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L'histoire de Marjane qui doit se construire malgré l'intégrisme et la guerre, et trouver sa voie dans l'occident futile.
Cette histoire très forte est merveilleusement racontée, le dessin est très maitrisé, le parallèle avec Maus est pertinent.
Et le film qui en est issu est un véritable bijou d'humour et d'émotion.
Réellement indispensable !
Un album d'introduction, un peu long parfois dans sa mise en place, Lauufray est toujours aussi bon,à suivre...
L'histoire est captivante. Le dessin est superbe ainsi que la couleur . Un regal!
Tres bon album. Toujours de tres bons dialogues. De plus l'histoire est aptivante. Le gros Beru est mis a mal, il doit perdre tous ses kilos pour reussir une mission ' commando'. Un regal!
Album sympa. Toujours des dialogues travaillés. L'histoire tient bien la route. Je conseille.
A lire pour les dialogues, les jeux de mots et le coté dejanté de la bd. L'intrigue de l'histoire n'est que pretexte a des situations grotesque et cocasses.
Un deuxième tome toujours aussi réjouissant voire même meilleur que le premier...De l'action et de l'aventure à longueur d'album, de l'humour, du charme et surtout du second degré pour ne pas se prendre au sérieux... bref mes ingrédients favoris pour une bonne BD...
Et puis le dessin de Berthet, WOW j'adore !!!!!
Longue vie à cette série !!!!
BD snob et prétentieuse avec des dessins qui rappellent un Bilal fatigué, des personnages principaux très agaçants, des personnages secondaires sans aucune épaisseur ou caricaturaux, un message super bateau, une "histoire" qui tiendrait sur dix planches avec un autre dessinateur (14 euros la BD quand même)... Ne m'a pas du tout donné envie de lire le tome 2.
Le scénario, qui comprend des parties intéressantes, traine hélas!, trop en longueur. C'est dommage, car le sujet et le monde dans lequel évolue les personnages sont dignes d'intéret (ce qui ne surprend guère, vu que Léo en est le scénariste). Quant au dessin, je ne parviens guère à m'y faire. Le détails des visages manque de précision, les personnages en mouvement et scènes d'action sont assez mal restituées.
Tout simplement exceptionnel. Une des meilleures bd, du moins un des meilleurs premiers tomes que j'ai pu lire. Et je le découvre que maintenant. L'ensemble est d'une limpidité déconcertante. L'auteur nous amène dans un monde mais d'une facon trés fluide, pas a coup de 150 infos par pages. J'ai beaucoup aimé le scénario et la manière de raconter l'histoire, en faisant parler le personnage principal, ca donne tout de suite une impression de proximité, tout simplement de réalisme. Ce monde qui est décris semble à la fois si loin du notre, mais d'un autre coté si proche. Une société de misère où l'homme est réduit à l'état d'animal. Les sentiments humains sont démantélés d'une manière apocalyptique, une sorte de néant sentimental ou des valeurs comme l'amitié, l'amour, la vie tout simplement n'existe plus, contre le sexe, l'ivresse, la débauche.. Cette bd fait réfléchir. Ce n'est pas malheureusement, même si je ne dénigre rien, de l'heroic fantasy ou de la science fiction pour collègien attardé. C'est plus une interrogation sur nos sociétés et la possibilité d'arriver dans des situations comme celle présentée. Tout est bien, rien à changer, d'un cinisme, mais d'un réalisme sans faille. Le perso principal qui se regarde "le faucon maltais", qui vit avec son poisson, des détails à première vue, mais qui ne font que la rendre la bd encore plus percutante.
Je suis obligé également de faire part de mon admiration pour des dessins et des couleurs impec, mais justement ce qui est bien c'est que je n'y pensais plus, comme quoi les dessins permettent ici la bonne véhiculation du scénario. ET finalement on ne retient pas les dessins, mais l'histoire. Ca mériterait de sortir en livre. C'est de la littérature, qui pour moi surclasse les bd du genre.
Enfin, une petite dose d'humour, qui est juste ce qu'il faut, pour ne pas sombrer dans le pathétisme. La rue josé bové par contre, où s'enchaine les fast food.
Je conseille évidemment à tous.
L'idée de départ est interressante, utiliser sept psychopathes pour assassiner Hitler en partant du principe que leur côté irrationnel les empêchera de voir l'aspect irrationnel de l'entreprise.
Le rendu est decevant. De raccourci en raccourci on en arrive à une fin trop évidente, trop "téléphonée". Les personnages sont traités trop légèrement on aimerais en savoir un peu plus sur leur "folie" certains caractèeres auraient du être un peu plus developpés. Reprendre l'idée de la ligue des gentlemans extraordinaires en la developpant sur sept thèmes differents est intérressante mais demande une rigueur scenaristique que je n'ai pas trouvé dans cet opus.
On est plongé dans la vie quotidienne d'une équipe des RG, en planque, pour établir les preuves d'un trafic
l'histoire est très réaliste et on s'attache aux personnages, dont le principal est co-auteur scénariste, et nous livre une fiction très proche de ce qu'il vit au quotidien.
Le trait de Peeters se prête très bien à l'histoire
On en redemande
La première enquête de notre héros, sous la forme de son devoir de fin d'études.
Le héros est sympathique, mais l'histoire est un petit peu abracadabrantesque.
C'est néanmoins un bon début et si la série a continué, c'est que l'attachement pour ce détéctive un peu dans la lune a du fonctionner ...
Moebius continue sa quête introspective dans le désert B : mêlant personnages passés, actuels et réel (comme Oussama) on suit avec plaisir l'auteur et ses "délires" : Blueberry qui pête un plomb, rassuré par Stel et Atana, on retrouve avec plaisir le Major et Arzach.
Moebius s'amuse et nous invite, profitons-en !!!
Les non-fans risquent dependant d'être déboussolés ou de ne pas comprendre ...
Rien à dire, je m'incline, on tient là un peur chef-d'oeuvre !!!
Merci aux auteurs pour ce moment magique de lecture ....
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Berserk
T 19
Kentaro Miura
Le précédent tome nous avait prévenu qu’en continuant nous aurions encore un bain de sang ! Et c’est vers cet avenir sanglant ( pour changer !) que Guts partait à la rescousse de Casca, suivit d’un voleur ambitieux. Bref et en d’autres termes, Guts pourra-t-il modifier l’écriture divine à son avantage ?
D’emblée, il est interessant de remarquer l’évolution angoissante légèrement perceptible de Nina et de Lika. Il sera plus que passionnant de voir la réponse de l’auteur prendre forme lorsque l’immensité du contexte hiératique prendra fin. Très rapidement, l’arrivée de Guts modifiera la pression de la hiérarchie dominante ( c’est sur que c’est pas très charismatique de le voir comme un ensemble de pression, mais bon ! ! !), mais on a l’impression, de plus en plus que l’on va le retrouver de plus en plus dans ce genre de situation. Pourtant, en sourdine, un autre drame se prépare celui de le faire taire ou de le massacrer pour que la hiérarchie divine puisse fonctionner tranquillement. On sait qu’en fonction du contexte la marque peut devenir une promotion, une ascension sociale, ou alors au passage à l’acte de masse c’est-à-dire au négationnisme intentionnel. ( le négationnisme relativisé prépare tous les groupes sociaux aux desseins futurs !) Rien à voir avec le déni émotionnel , qui est propre à la personne et à son récit, ou il en résulte un engourdissement, une perte de connaissance, ou un coma pour ne pas souffrir. Et c’est là que l’on en vient à Casca, ballottée par les circonstances, affublée d’un nouveau statut, elle risque de finir sur le bucher.
Mais on peut compter ( c’est vite dit !) sur le jeune Isidro, et sur son ambition personnelle pour la sauver. Plutot que de s’attarder sur les envies, on s’amusera à parler de son comportement. Je veux bien évidemment parler de la morphologie des coudes et des genoux masculins, socle de la phallocratie ( Le sexe y participant mais à moindre échelle que l’on aurait voulu nous le faire croire !), parce que moins gênants pour le lancer de caillou ( ce qui ne veut pas dire qu’une femme ne peut pas en lancer !). Donc , au delà des blagues, le jeune Isidro a une conduite, comment dirais-je, ancestrale. Une petite précision sur « l’objet d’attention » qui est, par l’entremise de la « destinée elfique » de Guts, le personnage qu’il affective le plus
(question de récit !), et donc Casca va chercher à l’attraper. ( le meme genre d’exemple se retrouve au quotidien comme les photo de famille ou l’enfant découvre sa filiation, etc…) On le retrouvera, un peu plus tard, avec le masque pour les monstres. On savourera le duel entre Guts et Serpico sur la corniche. ( attendu depuis au moins 2 tomes !)
On appréciera d’autres évènements comme la parabole grinçante sur l’efficacité du rythme à tenir pour que les tortures, soumises à la vision archaique de Mozguz, soient toutes faites en bonne et due forme.
Heureusement que le titre est aussi excellemment fournit sinon j’aurais laché le titre depuis bien longtemps.( pour une fois que l’on s’amuse à lire de l’H-F !) Un tome extremement malin, et réellement brillant ( pour changer !). Notre héros ayant un but plus précis que d’habitude, il nous fait ressentir toute la tension, et la crainte palpable que Casca meure. (cf : l’effroi lorsqu’il entre dans la salle de torture !) Mais que se passera-t-il lorsque la pression retombera, lorsqu’elle se fera plus diffuse, plus quotidienne?…
( ps : Pour les ectoplasmes sortis des ténèbres, on peut, disons que ça se rapproche fortement, penser aux travaux d’Edward Munch ( le cri, etc…))
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Homunculus
T1 & 2
De Hidéo Yamamoto
En lisant le titre, un vieux réflexe m’a fait me demander si on y retrouverait, à un moment ou à un autre le classique « Homonculus sensoriel » très cher à nos Neuropsychiatriques, et à nos neurochirurgistes, ainsi que toutes les maladies qui s’y rattachent. Bref, en usant d’un contexte contemporain notre auteur aurait de quoi en faire un titre passionnant. Alors est-ce le cas ?
Dès le départ, l’auteur nous présente des personnages déjà adulte, et donc tot ou tard nous aurons droit à un bon vieux Flash back de derrière les fagots…On remarque très vite, tout de meme, les rituels désangoissants de la voiture, de la position du fœtus, mais aussi du suçage du pouce. Pourquoi, alors, notre héros ne suce-t-il pas son pouce lorsque sa voiture part à la fourrière ? Allez savoir ? Mais il le fera une fois qu’il sera à l’hotel en train de dormir. Il est interessant de voir que le récit intime de la personne reprend le dessus lorsqu’elle n’est plus sous la pression sociale, mais malgré ça il y a trop d’interaction pour se limiter dans une conduite théoriquement claire, le discours social étant moins perceptible dans une chambre d'hotel. C’est par l’intermédiaire d’un jeune chirurgien ultra-riche que notre héros va petit à petit découvrir « un autre monde ». Mais quel besoin y avait-il pour donner autant de crédibilité, et de poids social à l’homunculus ? Le héros aurait très bien pu s’ouvrir le lobe préfrontal ( lieu caractérisé en neuro-machin par l’empathie humaine !) lors d’une bagarre, ou autre…Ca fausse véritablement l’interet du titre, ou la pression, la cohérence, et la crédibilité sociale tentera à tous les coups de reprendre le dessus sur l’imaginaire.
Et c’est ce qu’il va se passer avec le chef des Yakusa, ou pour obtenir une « paix intérieure » commune, si ça c’est pas un discours social, ils vont chacun faire revenir une blessure enfantine à la conscience. C’est là que le titre est brillant parce que l’on entend trop souvent que nos blessures et/ou traumatismes d’enfances ne sont pas réparables ( genre : « après ce qu’il vient de se passer, ou ce qu’elle vient de vivre, votre vie est foutue ! »), ils vont traiter leur psychisme mutuellement pour enfin régler ce problème antérieur dans le présent ( le contexte étant différent, et l’interprétation étant, elle aussi, différente ça ne donne pas les memes résultats !). Mais ce n’est pas parce que l’on règle tel problème, tel jour que ça y est c’est fini, et qu’ il n’y en aura pas un autre plus tard, d’ou l’impression mitigée, à mon sens par rapport à l’auteur, de laisser là ( fin du second tome !), le Yakuza, et de continuer sans lui derrière….
Meme si l’homonculus, cela se remarque facilement, a un but thérapeutique entre deux, voire plusieurs personnes, notre héros ne sera jamais au bout de ses peines, car il sera toujours pris dans les tourbillons des représentations( la sienne, et celle des autres !).
Ces 2 premiers tomes augurent des évènements interessants, si le titre poursuit sur sa lancée, avec un dessin toujours aussi réussit, on pourra faire de ce titre un incontournable rapidement. Bref meme si je suis un peu mitigé sur une ou 2 choses, le titre tient parfaitement ses promesses, et je suis curieux de voir ( force oculaire institutionnelle ! ) la suite des pérégrinations contemporaines de monsieur Nakoshi qui pour le moment donne l’impression d’avoir été, mais d’etre toujours ( meme si c’est moins perceptible !) un froid calculateur, mais qui tout doucement, et par l’intermédiaire de son nouveau don, s’humanise…
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Ce sixième opus des aventures de Wayne Shelton apparaît comme on ne peut plus banal. Avanture exotique, retournements de situations à tout va, personnages peu marquants, etc. Qu'il s'agisse de Denayer ou de Cailleteau, ceux-ci jouent sur les acquis de la série, sans surprendre outre mesure...
Encore une BD aéronautique : impossible qu'elle m'échappe.
Très déçu ... Le scenario est un espèce de mélange pas très convaincant entre "fox one" (en moins énergique), "les chevaliers du ciel" (le film. Images magnifiques, filmées en réel mais scenario très succinct - pas plus d'une feuille A4 en police "times new roman 16") et "ace combat 4" (un jeu sur PS2). Simple, beaucoup trop simple pour une série qui affiche la couleur : "contexte géopolitique d'avant-garde [..] actualité brûlante [...] espionnage industriel [...] guerre économique". "Insiders" fait nettement plus sérieux, dans le genre.
Quelques bons points, très bien vus ! Par exemple, le briefing du DV (directeurs des vols) avant le meeting. Pour ceux qui pensent que les pilotes font n'importe quoi : toutes les évolutions sont autorisées préalablement et suivies au radar. Première incartade et la sanction tombe.
Le dessin d'E. Loutte est toujours efficace et les angles de vues sont souvent très sympas : le Rafale est un joli jouet (très cher, mais joli). Les cases fourmillent de détails sur les avions, antennes, tenues de vol, etc. Un album pour lesquels les auteurs semblent s'être sérieusement documentés, à en juger au premier coup d'oeil ... Mais (car il y a un "mais") ...
Dans cet album, le pire côtoie le meilleur. Ne parlons même pas de la scène finale. C'est proprement hallucinant, tout à fait comme dans "ace combat 4" (pour ceux qui y ont joué). De même, s'appeler "eagle", c'est très guerrier, sauf que ce n'est pas l'indicatif du 01.007 ... Une désagréable impression de "vite-fait", que les auteurs ont cédé à la facilité. Beaucoup de petites erreurs ou de détails qui tuent. Un avion de la "2" (Dijon) arborant fièrement le blason du 02.005 (Orange) ??? Un Mirage 2000 dont on ne sait pas de quelle version il s'agit ??? Une formation d'attaque en patrouille serrée ??? Un vol de convoyage qui débute juste après un combat 2 contre 1 ??? Un Rafale en vol de convoyage en solo, sans sa "bonbonne" et avec un seul bidon ventral ??? Un pilote qui joue au "pistard" ??? Des mécanos caricaturaux (le gros balèze à moustache et son acolyte : Laurel et Hardy font du Rafale). Des Mirage 2000 de 3/4-face pas toujours très convaincants : les "pointes avant" sont loupées ... J'en oublie ...
Pas génial pour une BD qui affiche crânement ses ambitions (et fait la part belle au sponsoring).
Très déçu, je vous dis ...
6ème albulm très réussi. Autant le premier m'avait un peu ennuyé, autant celui-ci est très captivant. Il y a un peu moins d'intrigues et un peu plus d'action dans ce tome ce qui rend l'histoire plus fluide. La traque des rebelles Balba et la femme masquée s'intensifie et Lucius Murena se lance à la recherche d'Acté ce qui va le conduire hors de Rome et donc changé un peu le décor...
Côté dessin c'est toujours aussi bon.
Ce 4ème tome(le 1er pour moi car j'ai commencé la série au deuxième cycle) n'est pas mauvais en soi mais franchement j'ai été un peu déçu. L'histoire traîne un peu, il y a beaucoup de paroles et d'intrigues qui ont tendance à alourdir le récit. Les personnages sont intéressants et l'histoire se pose mais rien de très transcendant qui puisse donner à la bd son élan.
Côté dessin par contre c'est très bon, classique mais beau et réaliste. Le graphisme colle parfaitement à l'histoire.
Cette sérioe est splendide !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
j 'ai decouvert le dessinateur et son style m'a plu immediatement .ses deux premiers albums sont impeccables et le dessin est pur et "sonia" se merite j'attends son troisieme album de cette série donc a lire absolument
Suite des aventures de nos chasseurs de météorites. Le dessin manque de précision et les couleurs pourraient etre mieux. Cette histoire est assez linéaire (en quete d'une météorite tombée sur une voiture volée par des voyous), mais se lit avec un certain plaisir, même si premier album était un cran plus élevé d'après moi, notamment en raison de l'originalité du sujet et de certains dialogues. Un album à lire.
Ce tome nous mène en Russie et raconte le démantelement du réseau de filles. Dans la meme trempe que les deux albums précédents, cet album conclue ce premier cycle avec sensibilité et action. Le dessin est clair et précis, et dessert parfaitement cette aventure bien menée.
Le monde se divise en 2 catégories, ceux qui ont ce chef d'oeuvre et ceux qui ne l'ont pas. Je suis tombé par hasard sur ces albums et c'est avant tout la couverture du premier qui me les a fait acheté, ce bleu, cette falaise, ces enfants. Quelle surprise !
C'est incontestablement mon coup de coeur : dessin sympa mais pas non plus hors du commun mais par contre couleurs formidables, intrigue incroyable, humour implaccable comme le passage mémorable de l'explication de l'existence de Dieu dans le premier volume et que dire de ces 4 enfants : un pur bijou de réalisme, de dureté, de tendresse et d' attachement qui nous ferons revivre une partie de notre enfance.
Pour les durs qui ont peur de verser une petite larme ne lisez pas cette histoire, pour tous les autres faite en sorte de garder un petit mouchoir près de vous.
"Ou le regard ne porte pas" fait partie des chef d'oeuvre de la BD, deux albums incontournables d'une collection qui si elle est bien rangée par préférence sera sans aucun doute dans les premières place si ce n'est en numéro 1.
Bravo aux auteurs
J' avais été sublimé par "ou le regard ne porte pas " et l' on m' avait garanti que je pouvais être que subjugué par " il faut y croire pour le voir ". Alors j' ai plongé, peut être en attendais je trop. Mon sentiment premier et général est une grande déception : dessin moyen, personnages pour lesquels on a du mal a s'attacher même si on a un petit faible pour Narcisse Mulot le héros qui finalement tire son épingle du jeu, intrigue peu dense et légère. Le dénouement est à l'image de cette BD c'est à dire fade. Cette BD est désormais rangée parmi les autres, elle ne ressortira probablement pas. Vous l' aurez compris on peut s'en passer, à posséder uniquement pour les ultra ultra passionnés des auteurs.
La vie de Lili n'est pas de tout repos, et même si elle dit qu'elle veut se ranger, elle n'est pas près de trouver la tranquillité, avec les cadavres qui occupent son salon et les fantômes de son passé de dealeur. Le scénario est prenant et on se prend d'intérêt pour Lili, et on attend la suite pour vior si elle va s'en sortir.
Le dessin est lisible, seules les couleurs sentent un peu trop l'ordinateur.
Une série à suivre, mais le risque existe qu'elle passe à la trappe comme beaucoup de nouvelles oeuvres de jeunes auteurs à qui on ne laisse pas le temps de trouver leur public.
Dans le prolongement "du vent des les saules", ces nouvelles aventures de rat, de taupe et de crapaud vont encore plus loin dans la qualité du détail, de la beauté des planches et des dialogues. Cette série s'annonce comme un cadeau pour les grands enfants que nous sommes restés, merci Môssieur PLESSIS.
Ce tome relance superbement la série avec l'incursion de Lucius Murena en Gaule à la recherche d'Actée, laissant provisoirement Néron à sa folie des grandeurs et Pompée à ses intrigues.
Péripéties palpitantes, fonds historique passionnants, dessins très expressifs avec des personnages hauts en couleur, il manque juste pour que ce soit un chef d'oeuvre ce petit quelque chose qui fait qu'on se retrouve dans les personnages qui là sont quand même très loin de nous.
Série réellement indispensable.
Pas plus de quelques pages pour cette mini-Bd et pourtant elles sont particulièrement bien menées et suprenantes. Le début donne l'impression d'un huis-clos assez étrange et la surprise finale ne rate pas son effet.
A lire !
De ce tome 4 de Death Note, je retiens particulièrement la rapidité d'action qui donne la (fausse) impression qu'un dénouement est proche. Je ne sais pas ce qu'il y a dans les tomes suivants, mais la capacité d'adaptation de Light est remarquable, ses plans ne cessent d'évoluer en fonction des situations et celui qu'on entrevoit à la fin du volume semble particulièrement tordu. On en apprendra sûrement encore long sur l'utilisation des death note ! Une ombre quand même, Light n'a rien de convaincant dans les dernières pages et comme 'L'/Ryusaki je reste sceptique sur son attitude ; c'est dommage, un tout petit quelque chose en plus aurait permis de laisser le lecteur être pris au piège, mais bon, comme on se doute qu'il y a quelque chose derrière tout ça, autant se focaliser sur ce que sera le résultat de cette mise en scène.
Le 2ème Kira est pour le moins ... spécial mais pas inintéressant. Un seul point m'a fait tiquer c'est la relation entre fille/action selon sentiments et garçon/action réfléchie, froide. Je préfère penser que c'est purement fortuit et qu'il était plus simple pour le scénariste d'introduire un 2e Kira fille qui serait admirative et amoureuse du 1er, plutôt qu'un 2ème Kira mâle (ça aurait pu être piquant aussi). Ceci dit, Misa réservera peut-être quelques surprises ; elle a déjà donné pas mal de fil à retordre à Light par son comportement a priori inconscient, mais qui sait elle pourrait étonner (je m'attends à tout), surtout avec Rem qui veille.
Enfin, certains propos et actions de Ryusaki donnent l'impression qu'il ne sait plus quoi penser et qu'il est en train de basculer. Pourtant, je me demande s'il n'y a pas également quelque chose derrière ça.
Contrairement à Zanzibar, la prolifération des longs dialogues ne me gêne aucunement, et ça me plaît de voir défiler les raisonnements de chacun, en particulier ceux de Light et 'L'. A côté d'eux, l'équipe d'enquête fait bien pâle figure et je m'interroge sur ce que sera leur action et leur utilité (autre que de jouer les faire-valoir) par la suite.
Le 3ème tome m'avait bluffée par la rencontre et la confrontation directe entre 'L' et Kira ; là, j'ai surtout été impressionée par la rapidité des évènements, la façon d'y réagir des uns et des autres.
A suivre, car ça promet d'être toujours aussi intéressant.
Ce qui caractérise le travail de Christian Cailleaux c'est que chacun de ces albums est une invitation au voyage. De plus, ces voyages en question sont souvent axés vers des destinations exotiques, ce qui n'enlève rien au charme de ses recits.
L'auteur nous parle ici d'un jeune homme elevé par vieil homme riche qui s'est mit en tête de decouvrir la vie et l'amour. Une chose est sûr, Cailleaux a un réel talent de narrateur. Il jongle avec les mots avec une aisance naturelle. La lecture de chacun des chapîtres est un vrai régal. L'histoire en elle-même est très plaisante sans pourtant être transcendante. On suit le périple de Mogo, le héros, avec beaucoup de plaisir, tout en douceur, un peu comme si le temps s'était arrêté. C'est très agréable. mais si connaissez l'oeuvre de Cailleaux, vous devez savoir que ce coté délicat revient régulièrement dans ces recits.
Niveaux dessin, c'est du beau travail. Le finesse de son traît est remarquable. On devine parfois un inspiration evoquant la ligne claire surtout dans les paysages.
Haëllifa est un album à l'italienne. Les textes sont en général du coté gauche et une grande planche accompagne ceux-ci à chaque fois. Nous pouvons ainsi mieux apprécier le talent de l'auteur.
Je conseille cette bd pour son coté appaisant . C'est très agréable et c'est à suivre !
Un album de Christian Cailleaux est toujours un réel plaisir. Il nous fait souvent voyager sous des cieux plus cléments et franchement, on ne s'en plaindra pas.
Une fois de plus, l'auteur nous propose un récit délicat et plein de saveurs. "Harmattan" est avant tout l'histoire d'une rencontre entre deux hommes que tout oppose. Le premier, Samuel, est un noir issu de la banlieue new-yorkaise, et le second est un riche dandy. Ils vont se lier d'amitié et se mettre en quête d'un trésor, ce qui ne se fera pas sans peine.
Cet album est très agréable et on suit les personnages avec beaucoup de plaisir .
En règle générale, je trouve le graphisme de cet auteur assez réussi. La particularité de Cailleaux est qu'il travaille avec deux techniques de dessin différentes. La première est plus caricaturale ("Les Imposteurs"), et la seconde est, comme dans ce cas-ci, beaucoup plus en rondeur. Les visages des personnages sont très sympathiques et les paysages d'arrière-plan sont à la fois discrets et bien présents. Je pense que cela reflète bien l'état d'esprit du dessinateur.
Un album à lire sans hésitation.
Dans le cadre imposé d'une action centrée sur sept personnages, l'amateur de série B que je suis a pris un certain plaisir à lire cet album : le point de départ et les personnages sont caricaturaux à l'extrême, le sort de certains des sept est carrément expédié (le scénariste a avoué que celà l'arrangeait pour mieux recadrer l'action), les péripéties assez illogiques mais souvent surprenantes. Une bonne série B pour amateurs du genre ! Le dessin de sean phillips est très bon, quoiqu'un peu baclé par moment.
numéros 17 et 18 :
Le premier numéro montre bien à quel point Jackie Estacado a changé et n'est plus le tueur sans pitié qu'il était avant. L'histoire est intéressante et se suffit à elle même.
Le second numéro est centré sur la soeur du Darkness et est elle aussi fort intéressante. Elle permet d'en apprendre plus sur ce nouveau personnage et les épreuve qu'elle a traversée. Bref deux bons numéros.
Un album que j'ai acheté, car j'ai vu Léo au scénario. Le dessin ne m'a pas plu, manque de précision, un peu fouilli, et les couleurs sont trop dans les tonalités sombres et manquent de contraste et d'éclat. Un certain nombre de cases sont sans intéret du point de vue du dessin, et on aurait pu en attendre plus. En revanche, l'histoire est sympa et se lit avec plaisir, sans etre fracassante cependant. On sent Léo et les influences d"Aldébaran", notamment en raison de l'animal du désert (cf. le besitaire des mondes d'Aldébaran), la quête d'un animal issu des dinosaures, et une trame se déroulant dans un autre monde.
Civil war : Certes un gros rebondissement attendu tombe à l'eau mais l'histoire évolue vers une folie de plus en plus présente et des rebondissements passionants à suivre. A mon avis le bilan de cette guerre civile va être très lourd en conséquenses.
L'accusé : histoire toujours très intéressante avec un rebondissement final qui donne envie de lire la suite rapidement.
Cellule dormante : Un épisode très calme mais avec une fin qui laisse présager une forte implication d'Atlantis dans la guerre civil. Il reste juste à savoir ce que Namor compte faire exactement.
Un exceent scénario, de l'action en continu, on lit l'album sans relache, quoique les premieres pages n'etaient pas (pour moi) des pls passionnantes. Un bémol toutefois en ce qui concerne le dessin: manque de détails des visages souvent flous), arrière-plans simplistes, peu detailles, bref, c'est dommage, car le scénario est prenant. Toutefois, le livre de plomb fait penser qu'on va retomber dans une suite trop longue d'enquete. Je pense qu'il faudrait voir à conclure cette série très rapidemnet, pour éviter de lasser et tomber dans la médocrité.
L'avènement et la chute de l'empire Shi'ar : L'histoire est intéressante mais avance un peu trop lentement. un épisode ce n'est pas assez il vaudrait mieux qu'il y en ai deux. Mais bon la constitution de l'équipe est intéressante est fort prometteuse. Sinon le dessin est vraiment bon je trouve.
Supernovas : Autre équipe composé de personnages charismatiques et avec l'arrivé de Dent de sabre ça risque d'être très intéressant mais une fois de plus on avance lentement avec très peu d'informations sur l'adversaire des X-Men et ses objectifs.
Civil war : Voilà une histoire de plus en plus intéressante où l'ONE joue un rôle non négligeable et l'arrivée imminante du combat tant attendu Cyclope / Bishop donne envie de connaitre la suite.
Nemrod : Après le fiasco de l'ONE pour protéger les mutants du révérent Stryker les voilà cnfronté à un viel ennemi que tout le monde espérait ne plus jamais revoir d'autant que ce n'est pas tout. Les Vengeurs de Stark tentent une fois de plus de rallier les mutants à la loi sur le recensement alors que les Vengeurs n'on pas levé le moindre petit doight pour aider les mutants dans les moments difficiles.
Ce volume n'est pas riche en action, bien au contraire, par contre il est très riche en révélations. On a enfin des infos sur les players et le but de leur création ainsi que le rôle du Zet dans tout ça. Une chose est sûr Jin va avoir du boulot et de rudes combats à mener. Maintenant on peut vraiment se lancer dans les combats sans être totalement perdu même si des zones d'ombres subsistes. Même si la série peut sembler ne pas décoler c'est surtout du au rythme très lent de parution mais elle reste tout de même dans la norme. La seule chose c'est que justement le rythme de parution n'aide pas à gerder l'histoire bien en tête avec les détails dommage.
Voilà un volume assez sympathique avec toujours beaucoup d'humour et de petites aventures plutôt drôles et prenante. J'aurais préféré que l'auteur avance davantage sur l'intrigue de fond mais bon à mon avis il va falloir s'habituer à ces HS qui somme toute font tout de même évoluer le petit Negi.
Cet album est plutôt bon avec une intrigue assez bien développée et des informations assez intéressantes. Le rythme est assez soutenu avec quand même pas mal d'action et un rapprochement des personnages après une courte période de déchirement. Le seul petit hic à mon avis c'est que justement le rapprochement se fait un peu trop rapidement. Sinon celà reste agréable à lire mais vue le rythme de sortie des albums j'espère que la série sera courte.
Début prometteur d'une très bonne série, le jeune Hughes à la reconquête de son fief déguisé en jongleur, de l'aventure, du suspens, et de très bons dessins, dans une ambiance moyennageuse très bien rendu, ce premier tome est très palisant à lire.
Etant un amateur fou de westerns, cette BD est fantastique (tt comme Blueberry !)
Cette BD est tt simplement géniale !!!! Si vs êtes amateur de westerns, je vs conseille de dévorer cette série
BD émouvante qui retrace la célèbre comédie musicale
Superbe BD qui retrace la vie, les batailles de l'Empereur. J'adore !
BD très sympa qui s'inspire des séries animées de Canal+
Plusieurs services secrets sont à la poursuite des "3 petits singes", lesquels renferment quelque chose que tout le monde cherche à s'approprier. Une aventure assez bien menée.
Un laboratoire créant des mammouths, on est un peu sur un scénario à la "Jurassic Park". Un début d'histoire lent, des courses poursuites pas vraiment crédibles, ce n'est pas le meilleur scénario de Vernes.
Un ami de Bob est perdu au temps des dinosaures. Bob Morane va partir dans une machine à remonter le temps à sa rescousse. Si le scénario est sans grande surprise, il n'en demeure pas moins agréable à lire. Pour amateur de "Jurassic Park".
Un village baignant dans une atmosphère oppressante, une intrigue menant Bob Morane dans des marais, un album plaisant en raison de l'atmosphère.
Un scénario sans intéret, un dessin trop confus à mon gout, et des couleurs trop sombres, j'ai eu de la peine à lire cet album jusqu'au bout.
Les Stryges, qui n'ont pas apparu dans le précédent album, reviennent cette fois, avec des révélations sur eux, bien qu'il n'y ait rien jusqu'à présent de vraiment exceptionnel. J'ai bien aimé la découverte que leur ADN contient une base en sus par rapport à celles des humains. Sinon, on y apprend plus sur Sandor Weltman, dévoilant, à petites doses, certaines zones de mystères. Si j'ai adoré cet album, force est de constater que l'histoire n'avance que lentement (parfois trop lentement peut-etre), mais les scènes d'action et l'intrigue font de cet album une histoire prenante.
Excellente conclusion du premier cycle d'aventure. Superbes couleurs, très bons dessins, scénario prenant, une excellente série!
Ah oui, c'est un très bon livre autobiographique.
Ludovic Debeurme est sans pitié avec lui-même. Il couche sur ces planches ce que tout le monde aurait tendance à refouler. C'est impressionnant. Les différents stade des âges "ingrats" et "bêtes" sont bien exposés !
En plus c'est très bien dessiné et l'édition est belle.
Bd Lue en 5 minutes, pas une fois mon regard ni même mon cerveau n'a été accrocher par cet épisode...
Voici une série de très bonne tenue tout en ambiance sur le rythme de la blaxploitatin et découpé comme un film de Tarantino. Les trois volumes éclairent la même histoire en donnant la vision d'un personnage différent à chaque fois. Les dessins et le scénario vont très bien ensemble. Du bel ouvrage.
Je ne comprends pas la difference entre les 2 premiers Long Feu, un est estimé a 100€, le second non coté.. Comment savoir si je suis en possession d'un tresor ? :-D
Merci
Tome incompréhensible ! Au bout du moment, j'en pouvais plus, l'impression de rien, mais alors rien comprendre ! L'auteur nous balance des infos qui nous bourrent le crâne plus qu'autre chose. J'ai lu plusieurs fois, pas plus de 20 pages car ca devient du n'importe quoi. Je met 0 pour ce charabia incomestible. Pourtant j'avais été séduit par les dessins, ce qui avait motivé mon achat, et objectivement ce tome mériterait une meilleure note que 0 juste pour ses dessins. Mais j'ai noté le résultat final, et y aurait eu une note négative pour le scénario je l'aurais mis.
A éviter de toute urgence pour ceux qui veulent passer un bon moment. Ceux qui aiment les histoires complexes ( trés complexes ) vous pouvez y allez vous serez servit !
Excellent tome. Déja le travail de l'auteur ressort au grand jour. Quand on s'interesse au dessin c'est trés interessant de voir les croquis préalables. Pour ce qui est de l'histoire, moi qui commencait à avoir une indigestion d'héroic fantasy j'ai trouvé cette série pas mal du tout. C'est simple. L'histoire est bien prenante, aventure qui se lit facilement et qui divertit aussi facilement. Je conseille à tous les amateurs du genre.
mmm. Trés difficile de mettre une note sur ce tome. J'adore vraiment cette série, qui pour moi est plus réussit que Léonard, et pendant 10 ans, le vide. A force de relire mes vieux tomes poussièreux, j'avais idéalisé cette série et avant de lire ce tome, dans un élan de glorification, je m'attendais à un chef d'oeuvre. A la première lecture, LA deception. J'aurais mis volontier 1 ou 2 sur 10. Gags pas trés drôles, l'impression désagréable d'avoir déjà lu certain gags dans des tomes antérieurs... Mais à la relecture, mes sentiments d'impatience et d'idéalisme mis de coté, j'ai pu savourer ce tome à sa juste valeur. Bon c'est pas un chef d'oeuvre, mais certain gags font sourire finalement, d'autres font rire même, mais d'autres sont nazes. Les dessinateurs qui ont changé n'ont rien apporté, mais rien enlevé non plus.
Les personnages sont toujours aussi drôles, de ce coté la pas de problème. Je conseille quand même à tous. A lire !
j'ai decouvert cette bd par hasard a angouleme.
J'ai trouver le dessin magnifique ca a suffit a me decider.
a la lecture je n'en finit plus de regarder le dessin
Moins de non-dit que dans les albums précédents car on obtient quelques explications, mais cette série commence à être longue.
Bonne montée en puissance du début de l'album jusqu'à l'apparition des anges, mais la fin est décevante, même si on est loin de "Independance Day" !!
Les nouveaux dessinateurs sont restés fidèles au trait d'Yslaire, pour ce retour aux origines de l'obsession d'Hugo Sambre.
La mise en couleurs et les ombres nous plongent dans cette ambiance glauque et ces relations pleines de non-dits.
D'autres séries parallèles sont prévues pour venir étoffer la série principale, espérons que cette boulimie ne sera pas au détriment de la qualité ...
L'histoire semble prendre un autre tournant et puis non, le destin s'acharne à entrecroiser les vies des différents protagonistes. Tant mieux pour nous et pour l'intérêt des personnages de la BD qui au fil des tomes prennent de l'épaisseur. De mieux en mieux à mon goût donc, y compris au niveau de dessin qui comme les personnages s'affirment !
J'ai eu un peu peur de me farcir une resucée de Aquablue et une histoire déjà fatigué à peine commencé...
Et puis non ! Au final j'ai lu la BD avec beaucoup de plaisir et me suis bien fait "attrapé" par le scénar et les différents personnages, donct certains d'ailleurs sont à peine abordée. Vivement le suite donc...
On pourra dire ce qu'on veut mais Valérian c'est quand même un monument de la BD, un incontournable de la BD de SF et une série qui dure (même si pour certains elle s'essouffle). Des héros très attachants, un univers où l'humour est toujours présent mais qui aborde aussi les grands thèmes de la SF... c'est aussi une satire de notre monde. Respect.
Un héros super sexy (les superbes couvertures et 4ème de couv justifient à elles seules le titre - heat - et l'achat des premiers tomes) et un milieu (la pègre japonaise, les yakuzas) sans doute très bien rendu. Malheureusement certains personnages se ressemblent un peu trop visuellement (ce qui entraîne un peu la confusion) et l'intrigue est ultra-violente, voire sadique. On peut ne pas aimer et trouver ça un peu vain... Bon, reste le héros qui est vraiment pas mal...
Sympa, parfois très drôle (plus dans le dessin que dans les répliques qui sont peut-être très mal traduite) mais terriblement fouilli et le look des personnages est tellement cliché manga qu'on parvient difficilement à les reconnaître et les distinguer les uns des autres...
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Death note T4
De Tsugumi Ohba & Takeshi Obata
Non, non et renon mon but n’est pas de briser l’enthousiasme que la série vous procure, mais bien de cerner, à mon sens, ce qui fait l’immense déception d’un titre tellement prometteur qu’il n’en a tenu aucune ( de promesse !)…
Et puis rien qu’a l’idée de rempiler pour une tartine de texte ( quoique tout dépend qui écrit !), franchement j'étais pas très chaud, et il a simplement fallu que j’ouvre le tome 4 à la 8 eme page, parsemée d’un bla-bla indigeste à en avoir la nausée, pour voir tout mon courage ( morbide, forcément !) s’enfuir à toute jambe. Mais revenons à nos moutons, le tome 3 voyait notre héros devenir officieusement l’un des membres du comité d’enquete, on ajoutait à cela l’apparition d’un second Kira, et l’auteur respectait enfin le sens émotionnel, bref, en deux mots comme en quatre, on salivait d’avance.
Et là, patatras ! ! ! !( On se croirait au théâtre ! !) Au fur et à mesure de la lecture, les auteurs négligent l’exploitation entière de leurs idées suscitées pour en développer de nouvelles une fois qu’ils sont à mi-hauteur des précédentes. Par contre ils n’oublieront pas de nous envoyer en travers de la gueule les raisonnements affectifs ou supérieurs des 2 Kira.( p33 !)
Par la suite un problème de société est abordé, disons n’importe comment, de la page 38 à 45 simplement pour des interprétations esthétique à en bayer aux corneilles.
Soyons magnaneries ! ! (Non, vous savez lire !)Ajoutons à cela le duel entre L et Light, trop présent, qui ne nous amuse plus parce que le clivage de notre cher Yagami est devenu un stéréotype supplémentaire : un manichéisme balourd sans nuance, un tic de plus dans la longue lignée des tiques, bref l’anesthésie totale.
Si en fait, seules les exigences emmerdantes de la jeune Misa procurent encore un léger amusement, mais il en faut peu (mais alors très peu !) pour apporter du blé au moulin des stéréotypes ultra pointu, exemple : « ce sont les femmes qui posent problème ! ! » ( point de vue très masculin !), à ce sujet lire l’immense commentaire p134. N’oublions pas, mais alors surtout pas, la manière dont les personnages se défont du Death note, une façon ultra light de s’en dépêtrer ou on efface tout et on recommence comme si de rien n’était. Ha ! Ha ! mais bien sur ! ! Pour oublier il suffit de tourner la page etc…
Evidemment, pour « sauver » le titre d’un flop monumental ( genre Titanic mais sans musique classique !), les auteurs n’ont rien trouver de mieux que de nous faire le coup de Poker et/ou de bluff hasardeux, ou au final c’est bien l’enfant qui fait pénitence…
Le lecteur, quand à lui, entre en Thébaide pour faire passer un Boa long de 9 mètres…
Malheureusement, c’est en vain que l’on cherchera quelque chose dans le titre à se mettre sous la dent. Les auteurs ayant un contexte contemporain dont ils ne font rien, des personnages qui passe leur temps à se cogner platement les uns aux autres, et un commissaire de police plus souvent en train de gober les mouches qu’autre chose. Bref meme si on se doute que le dénouement est proche, je me demande si ça vaut bien la peine de le savoir. C’est dommage, on passe à coté d’un titre qui aurait pu etre une brillante réussite, au lieu de ça, c’est du vent ! !….
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Une arnaque totale ! Pourquoi cette BD est-elle si respectée et adulée, presque culte ??? Le dessin n'est pas mauvais mais le scénario - copie inintéressante de la Bible - est complètement téléphoné... Bref, une déception totale...
Malgré des dessins intéressants (décors, créatures) et quelques personnages attachants, on reste dans les clichés de l'heroic fantasy sans les renouveler et la fin est une catastrophe, pratiquement du n'importe quoi au regard de l'esprit du reste de la saga.
Une BD d'heroic fantasy pas sérieuse (mais parfois cruelle) et très sexe. Malheureusement, pas de tome 2 publié en français. Dommage car le tome 1 se termine pratiquement en pleine action et on se demande vraiment quelle tournure va prendre le récit...
Graphiquement très réussi.
Le scénario est, certe, un peu coussu de fil blanc. Rien d'original. Mais plaisant.
Toujours aussi sublime. Comparé au 1, cet album ne dénote pas. L'histoire avance. Le suspence devient terrible et la suite se fait furieusement attendre. C'est toujours aussi beau et prennant.
Un très bel ouvrage qui continue en beauté la saga des sambre que l'on croyait presque abandonnée (dernier album en 2003 quand même, mais on ne peut pas dire qu'yslaire ait chômé pendant ce temps). Là, on fait dans la préquelle et on remonte l'arbre généalogique de la famille pour s'intéresser au père, hugo sambre (démarche à la mode ces dernières années, et pratique pour dériver une série). C'est commercial, il faut le reconnaître. Artistiquement valable ? Un peu mon neveu ! Si l'histoire est bonne, il faut admettre également que les petits nouveaux bastide et mezil sont impeccables dans l'exercice, l'album est superbe à regarder, mais manquant un peu de personnalité quand même (ils font un peu trop du "yslaire", mais avec quelques nuances). En même temps, on imagine difficilement sambre dessiné dans le style manga ou comic-book...
Le genre super-héros poussé à son maximum : ultra-violent, cruel, parodique, gigantesque, politique, osé... On est très loin de Batman, Superman et des X-Men... Les héros ne sont pas très sympathiques, les histoires ne sont pas très complexes, mais l'idée fonctionne et on se sent tout petit en face de ces surhommes.
Une excellente série de SF avec un héros original, un univers étrange, de très bons scénars et un dessin efficace, parfait pour ce genre très bien exploité.
J'adore la série télé mais là, je constate que le passage à la BD est un fiasco. Bien sûr le dessin est bon et on reconnaît (un peu) l'humour des épisodes télé de Kaamelott, mais cette aventure contre le Nécromant est bourrée des clichés du genre sans les exploiter à fond le délire comme un Donjon de Naheulbeuk par exemple... Bref, on s'ennuie ferme... et on est très déçu...
Deux très bons albums. Le dessin et les couleurs sont beaux, envoûtants. L'histoire est très riche car elle évoque un contexte politique et l'histoire personnel d'un jeune homme. C'est intelligent, sensuel, touchant...
Je ne comprends vraiment pas pourquoi cette BD est culte... Je trouve les couleurs et le dessin plutôt laids, l'histoire - originale il faut le reconnaître - se termine un peu n'importe comment... C'est pas mauvais bien sûr mais à mon avis c'est très surestimé...
Une belle (et triste) histoire qui a le mérite de ne pas s'éterniser (4 tomes pour une série manga) et d'éviter la plupart des clichés du genre. Le dessin est plutôt sympa, classique, et les personnages intéressants.
Excellente BD qui surprend par sa maîtrise du scénario et du graphisme. La sobriété et la simplicité (apparente uniquement) du dessin met en valeur une approche originale de cette période de l'antiquité dont on pensait avoir tout lu et tout vu. Tout y est : drame, humour, action, réflexion... Grandiose et intelligent.
Le Mangecoeur m'avait bien plu, l'univers graphique et l'ambiance de foire, ainsi qu'une certain subtilité dans la scénaristaion, ce qui m'a amené à cette BD-là.
Je serais bref : sa lecture est très dépaysante. J'ai rapidement accroché à l'univers graphique et aux personnages, surtout les secondaires. Mais je n'écrirai pas ces lignes si en-dehors d'un univers onirique très envoûtant et d'un enchaînement de péripéties bien senti le tout n'était pas enrobé d'une très belle dramaturgie. C'est une vraie histoire, originale et faîte pour la BD...j'aime lorsque le support et le récit raconté font un, lorsqu'il convient le mieux pour raconter cette histoire précise, voire le seule.
Sincèrement la fin est bluffante, elle m'a schotché et à la fois ennivré, qui élève cette histoire sympathique, qui a tout d'une première oeuvre, au rang de belle histoire, rare et obsédante.
Très belle surprise.
Pour la première fois, on ne voit pas Ghorg, mais Darko en profite pour avoir une initiation façon Luke Skywalker avec Yoda : cela devrait lui permettre de s'en sortir dans les tomes suivants.
Toujours d'excellents dessins de Peynet et une histoire agréable, mais il est temps que ce cycle se termine
Monsieur Van Hamme et monsieur Francq nous honorent avec cette série,
mais rien de plus désagréable que d'attendre la suite d'une année sur deux.
que diriez-vous de donner la totale tous les deux ans. Pour l'inconditionnel que
je suis et sûrement pas le seul, on arrive à se lasser des histoires à suivre
dans le temps, les auteurs et dessinateurs de BD devraient y réfléchir
sérieusement.
JMP
Génial ! Un mystère prennant qui ne se dévoile que très progressivement.
Le récit n'a pas linéaire. Les rebondissements succesifs ne trouvent leurs réponses que quelques planches après si bien que l'on reste en alerte tout au long du récit. Les planches sont très variées : des formats panoramiques plein les yeux aux planches très serrées oppressantes.
Une merveille à ne pas manquer !
Cette série est unique dans tous les genres (Franco-Belge, Américain ou Manga)!
Un chef-d'oeuvre indiscutable! Le manga pour vous faire adorer les mangas! Un
scénario intelligent, bien documenté et particulièrement corsé desservi par un
dessin d'une rare excellence et d'un réalisme peu fréquent dans le monde des
mangas. Vous voulez commencer une nouvelle série-culte de science fiction?
Bienvenue sur le Miraï, cuirassé lance-missiles parti d'un futur rapproché pour se
retrouver au coeur de la seconde guerre mondiale avec sa puissance de feu, sa
technologie avancées...et sa connaissance de l'histoire. Une histoire loin d'être
terminée avec 28 volumes parus jusqu'ici en japonais, et 14 volumes parus en
français. L'équipage du Miraï est avec nous pour un génial bout de temps! Vous
êtes ici parce que vous aimez la BD? À lire absolument!
Cette série est unique dans tous les genres (Franco-Belge, Américain ou Manga)!
Un chef-d'oeuvre indiscutable! Le manga pour vous faire adorer les mangas! Un
scénario intelligent, bien documenté et particulièrement corsé desservi par un
dessin d'une rare excellence et d'un réalisme peu fréquent dans le monde des
mangas. Vous voulez commencer une nouvelle série-culte de science fiction?
Bienvenue sur le Miraï, cuirassé lance-missiles parti d'un futur rapproché pour se
retrouver au coeur de la seconde guerre mondiale avec sa puissance de feu, sa
technologie avancées...et sa connaissance de l'histoire. Une histoire loin d'être
terminée avec 28 volumes parus jusqu'ici en japonais, et 14 volumes parus en
français. L'équipage du Miraï est avec nous pour un génial bout de temps! Vous
êtes ici parce que vous aimez la BD? À lire absolument!
Comme je suis un fan du dessin de Ryoichi Ikegami, cette série me plait
beaucoup. Je considère qu'Ikegami est un maître du dessin réaliste ici, tout
comme dans Sanctuary et Crying Freeman. Et comme cette série s'annonce plus
longue que Sanctuary, je me délecte à l'avance des tomes à venir en termes de
dessin et de scénarisation. Ce type d'anti-héros gangster à la fois attachant et
implacablement violent est peut-être proche de certains mythes autant
américains que japonais. Quoiqu'ici la couleur culturelle est purement nippone
avec les antécédents des yakuzas qui remontent à l'époque des samourais, des
shoguns et des ronins. Je souhaite que les éditeurs accélèrent un peu la cadence
: cette saga est palpitante et prometteuse!
Cette série est un pur classique des manga japonais. Au fond, on constate que
les japonais ont une conception différente de l'amour avec un grand 'A' que les
occidentaux. Cette BD que j'ai lue en anglais, relate l'impossible amour d'un
jeune collégien pour une jeune veuve qui vient d'hériter de la maison
d'appartements qu'il habite. Rumiko Takahashi nous fait rire aux larmes tout en
suivant les aventures et quiproquos du jeune Yusaku Godai tout au long de ses
études (et de ses soupirs pour la belle Kyoko Otonashi). Un humour
omniprésent, tout en étant légèrement différent de celui de Ranma et de Lum,
les deux autres créations loufoques de la suprêmement imaginative et prolifique
Rumiko Takahashi. Une multitude de petits détails culturels propres au Japon
parsèment bien entendu cette savoureuse saga.
Cette BD de trois tomes de 125 pp environ ont le mérite de nous faire connaître
l'humour japonais portant sur le sexe. Avec un style de dessin qui s'apparente à
l'excellente Rumiko Takahaski (Maison Ikkoku, Ranma, etc.), les auteurs nous
dépeignent les aventures de deux jeunes femmes professeures d'éducation
physique enseignant à de jeunes mâles adolescents. Naturellement elles en
séduisent quelques-uns, soit dans la réalité, soit dans leurs fantasmes
complètement cinglés. Le niveau d'humour est particulièrement comique et
unique en son genre. Je n'hésiterais pas à recommander 'Cours particuliers' à
tous ceux et celles qui aiment Dany, Manara et Serpieri pour la thématique, ainsi
qu'aux amateurs de Franquin et d'Édika pour l'humour.
Quand on a aimé les tomes précédents, on ne peut qu'apprécier celui-ci, un peu ésotérique à mon goût, mais tellement, tellement bien dessiné et mis en couleur que les difficultés de compréhension sont oubliées ...
Relire les tomes précédents permet de bien retrouver l'ambiance et d'admirer les progrès et l'évolution dans le dessin.
Bd pas trop mal tirée du film. Seul reproche : certains graphismes sont trop petits, mal représentés...
Brunschwig est génial. Ca, nous sommes nombreux à le savoir. Cette BD est à l'image de son oeuvre : originale, noire et passionnante. Certains ont osé la comparaison avec "le pouvoir des innocents", en disant que c'est moins bien. Je dirais plutot que c'est différent.
L'histoire ici tourne autour de son héros prinicpal, ou plutot son anti-héros. Rien à voir avec la vision apocalyptique du monde du pouvoir des innocents, et son héros déchu. Donc, pas de comparaison pour moi.
Bref, Makabi c'est bien. Un héros pas comme les autres, avec des tas d'amis ordinaires et formidables, un intrigue bien menée (sans etre géniallissime...). Une fin un peu brutale...
Je n'ai juste pas trop apprécié le dessin, pas mon style.
Bref, 8/10, ni plus ni moins.
J'ai adoré le troisième testament, beaucoup aimé sanctuaire et été peu emballé par WEST. Attiré sournoisement par l'étiquette "par l'auteur du 3eme testament", je ne suis pas déçu du voyage.
Une histoire qui s'annonce passionnante (comme d'habitude, ce premier tome est une mise en place), aux frontières entre la réalité, le fantastique et le légendaire. Du Dorrison, en somme...
Comme beaucoup l'ont noté à juste titre, le graphisme est exceptionnel, et parfaitement adapté à l'histoire. Les dessins sont magnifiques, et la mise en couleur tout simplement somptueuse. Les auteurs remercient d'ailleurs chaudement le coloriste, lisez et vous comprendrez pourquoi!
L'histoire est intéressante, même si on ne peut pas la refaire ;-)
En revanche, je trouve que cela va trop vite et qu'il y a trop de raccourcis : le recrutement de l'équipe est pas mal écrit, mais à partir du départ pour l'allemagne, cela part en sucette, exception faite de ce qu'on découvre page 55.
c'est assez moyen pour comencer une série, mais attendons les tomes suivants pour voir si le niveau est relevé, heureusement, les histoires seront indépendantes et sont justes réunies sous ce label ...
Tout ce que vous avez voulu savoir sur l'incal sans jamais avoir osé le demander (ou alors désiré très fort). Un bel ouvrage de plus de 60 pages comprenant des notes biographiques sur les auteurs, des croquis et illustrations de moebius et autres articles. Ce livre devient surtout très intéressant concernant le légendaire projet avorté de l'adaptation de dune ("le film que vous ne verrez jamais"... passionnant à plus d'un titre, mais trop court) et un récit inédit par les auteurs du métabaron, repris et redessiné ultérieurement par gimenez dans le tome 1 de la caste des métabarons. Un indispensable pour les amateurs de la saga.