Les avis de la bedetheque

Afin de faire tomber le cardinal Trebaldi, le Scorpion décide de partir pour Istanbul afin de retrouver la croix sur laquelle Saint Pierre aurait été crucifié.
Deux femmes mystérieuses et dangereuses l'accompagne : Méjaï et Ansea Lattal. Arrivé à Istanbul la quête d'indices commence mais les ennuis aussi.

Toujours aussi bien, on ne s'ennuie pas = un vrai moment de plaisir

Après avoir fait assassiner le pape, le cardinal Trebaldi entreprend tout afin de devenir le nouveau souverain pontife et exercer un pouvoir autoritaire sur toute l'Europe. Pour cela tous les moyens sont bons ! Mais le Scorpion ayant appris la véritable identité de son père essaie d'empêcher Trebaldi d'arriver à ses fins. Le cardinal compte bien sur son fidèle moine-guerrier Rochnan afin de faire taire le Scorpion à jamais.

Toujours autant de rythme et des dessins magnifiques coorrespondant bien à l'ambiance de la série.

Désolé je me suis trompé sur la note, je surnote afin de rectifier mon erreur !

Une bonne suite, on n'est pas déçu !
Petit à petit Desberg nous livre des indices sur le terrible secret qui fait trembler la papauté et que le Scorpion voudrais, lui, découvrir afin d'en savoir plus sur ses origines. Le méchant cardinal Trebaldi est toujours aussi méchant et prêt à tout afin de devenir pape et le Scorpion a toujours autant de charme et d'humour!
La lutte entre les deux hommes redouble d'intensité, d'autant plus que la belle mais redoutable Méjaï s'en mêle !

Un premier tome magnifique. Mélange de cape et d'épée, d'humour, de sentiments, de complot... tout cela magistralement dessinné par Marini. Cet album est donc en tout point fort intérressant. Pourquoi le Scorpion est-il pourchassé par le cardinal Trabaldi et ses terribles sbires ? Le Scorpion va tout faire afin de découvrir le terrible secret qui menace la papauté.

En un mot, excellent .
dessins comme scenario.
Le Tome 1 comme le tome 2 trouve une place de marque dans ma bedetheque.
vivement le tome 3 .

Un bon mariage entre Aria et Thorgal .
J'ais tjs un peu de mal avec le dessin mais le scenario est tres bon .
vivement le tome 3.

Très décevant. Histoire rachitique et anecdotique. Peu de gags et qui ne m'ont pas fait rire. Et puis le concept de la série "Parade" cad "une aventure d'Herbert et Marvin" est abandonné au profit d'une histoire plus centrée sur Grogro. Cette histoire sur un personnage secondaire appartient plutot au concept de la série Monster. Les dessins sont également moins sympa que ceux de Larcenet. Bref, j'ai pas accroché.

On se trouve toujours a Venise. Quelques petits rebondissements, le scénario s'améliore par rapport au tome précédent. On y retrouve Northman, et la fin réserve une petite surprise. Si les couleurs sont toujours aussi mauvaises, elles m'ont moins gêné dans ma lecture. Peut-etre que je commence a m'y faire (un peu), et par moment, ces couleurs "délavées" correspondent assez bien au climat glacial dans lequel évolue les personnages.

une bonne Bd pop'corn comme on les aime, a voir la suite

Un récit poignant, celui de la chute rapide d'un empire et d'une civilisation. Il se dégage une impression de compte a rebours des les premières pages, un sentiment de fatalité, d'issue ineluctable. Le personnage semble mieux le comprendre que les autres. Les repercussions sur son comportement temoigne de l'affreux traumatisme vecut par les indiens, qui resulte de la destructuration de leur communautés pendant la conquete, et de la mise en doute de leur croyances ( alcoolisme, violence, superstition exacerbée). Pour souligner cela, un graphisme noir, encré, aux personnages souvent flou, est tout a fait adapté, et meme somptueux, notemment lors des pages entieres. Le paysage andin en apparait alors presque maudit, comdamné.

Duchazeau signe ici un magnifique ouvrage, une lecon d'histoire a la fois simple et realiste.
Du grand art.

J'ai enfin eu l'occasion de lire les deux tomes parus de [i]Totendom[/i].
Autant le dessin m'a paru intéressant et propre à porter une grande épopée, autant l'histoire m'a ennuyée et j'ai trouvé qu'elle manquait cruellement du souffle épique et dramatique que j'attendais. Sans doute est-ce dû à l'impression lisse et plate laissée par les textes (certes parfois obscures mais compréhensibles) qui m'ont paru aussi lents à s'écouler que certains passages des [i]Perses[/i] d'Eschyle. Dommage car à cause de ça le graphisme puissant m'a paru dépouillé de la force tragique, de l'émotion que le trait contient pourtant.
Je suis déçue.

Ce deuxieme tome est deja d'un niveau au dessus.
Le premier tome me paraissait simpliste et je n'imaginais pas de suite .
Maintenant une multitude de voies sont ouvertes , attendons le Tome 3.

Parfait, que dire de plus, foncez , achetez, lisez,et prenez du plaisir avec cette BD

j'aime beaucoup le dessin , le rendu est très intéressant, synthétique mais intéressant, trop sombre par moment ou alors certaines cases on été faite très grandes pour après les réduire au format de la BD ce qui donne un rendu..... bizarre.... , mais alors l'histoire, j'ai mis une semaine a lire tellement que c'était chiant , dommage

album tés intéressant en attendant la suite, bon dessin , bon senar.

Voici une série pas très connue et qui gagnerait pourtant à l' être davantage. Ce n'est pas la série du siécle avec comme trame une histoire de frére jumeau que l' on a déjà vu mais malgré tout l' ensemble est d' un très bon niveau : dessins de bonne qualité, une bonne intrigue, du suspense, un rythme soutenu et un dénouement que l'on voit venir petit à petit assez original et loin des clichés ou les bons gagnent toujours contre les mauvais : c'est la dure loi des triades de Hong Kong et peut être pas si loin de la vérité ! Un Hong Kong comme si vous y étiez. Des auteurs qui se sont sans aucun doute fait plaisir avec surement beaucoup d' humilité. La cerise sur le gateau les 3 volumes sont dans un format agréable avec une qualité de papier irréprochable.
Hong Kong triade n'est pas une BD au rabais, c'est incontestablement à lire pour passer un bon moment.

EXCELLENTE METAPHORE
ET POURTANT, TOUT EST DEJA DIT DANS LE DESSIN DE COUVERTURE...

Très bonne surprise que cette grippe coloniale qui utilise de manière assez innatendu le thème du retour des poilus. En effet, ces poilus rentre chez eux, à la Réunion. Et pour ajouter encore un peu d'exotisme à la BD, se mèle à tout ça un thème assez peu usité dans la BD (pas que dans la BD soit dit en passant), celui de la grippe espagnole ! Cet ensemble de problématique était très clairement casse gueule tant il y aurait à dire sur le colonialisme, le retour des poilus, le comportements des autorités sanitaires et politiques facent à l'épidémie de grippe espagnole, etc.

A l'arrivée, les auteurs échappent à toutes les ornières avec brio ! En effet la BD ne sombre jamais dans le moralisme, la caricature ou le misérabilisme à deux balles. A la place on a le droit à toute une série de portraits de personnages très drôle et émouvants qui se débattent tous dans un univers que les métropolitains connaissent finalement très mal, y compris moi : les DOM/TOM. Et ça c'est bien dommage ! Qui me paye un voyage à la Réunion que je corrige tout ça au plus vite ;o)))

Fin du cycle concernant cette petite île bretonne ou je n'irait pas passer mes vacances !!! Tout se termine comme on pouvait s'y attendre dasn un bon bain de sang et avec quelques révélations...mais pas trop quand même, parce qu'il faut bien mettre un peu de contenu dans les prochains tome ;o))
Reste, malgré tout, une bonne tranche de suspense et un tome qu'on a tout de suite envie d'attaquer !

Ah quand même ! Comme quoi, il y a des fois on est pas du tout réceptif à certains types d'humours. Voilà, je me suis embêté comme tout à la lecture de ce tome. Mais bon, que ça vous n'empêche pas d'essayer, puisqu'au pays de aveugles les borgnes sont rois ;o))

Je me méfie de la collection Air Libre qui ne m'a parfois pas vraiment convaincu ! Et puis là plutôt bonne surprise...au détour d'une histoire et de personnages assez "communs" se tisse une histoire attachante et dont on finit par suivre le fil sans trop broncher...mais sans grande passion tout de même !
Le dessin et les couleurs sont très belles, notamment toutes les planches sépias qui nous plonge dans l'ambiance photos d'archives. Les passionnés de la petite reine risque eux de prendre beaucoup de plaisir tant le travail documentaire semble avoir été fait avec sérieux...

Une série indispensable pour les fans du japon médiéval, et un nvoyage extraordinaire pour les novices. Une perle

Deuxième tome dans la direct lignée du premier, c'est à dire magnifique. Gabriel se débat doublement dans un pays dans lequel il représente le côté obscur mais pour lequel il a choisit la voix du peuple, mais surtout contre sa propre personnalité, sa découverte de l'âge adulte, des choix qu'il impose et ses pulsions qui vont faire voler sa foi en éclat !! Le drame se joue à chaque planche, sans répit, déroulant se violence inéluctable jusqu'au final somme toute prévisible...De la BD comme je les aime !

genial, serieux, drole, poignant
un grand bravo pour la page 27 (encore celle la)
mais une larme en sachant qu'il n'y aura pas de suite
une GROSSE larme

bravo pour la page 27
Lucas n'a pas porté plainte, la chance

encore mieux que le premier, un chouilla plus serieux
à mourrir de rire tout de meme

bah un chef d'oeuvre bien entendu
Que faire quand on a un mec aussi taré que gaston, avec le QI d'un phacochère, qui ne rêve que de YODA, et qui ne connait pas le mot COPULATION
et bien rien justement
on le prend on le bouquine, encore encore encore et on pleure en attendant la suite

que dire de ce petit bijoux
tout d'abord un grand merci à Nhieu pour la belle dédicace d'hier au snorgleux a marseille (ça c'est fait)
On pourrait comparer cela à wild wild west avec un petit peu de patlabor, une liquette d'outre tombe et un peu de 28 jours plus tard
Prenez les bons cotés de tout ça et on vous pond un post mortem pacific
Je ne raconterais pas l'histoire car pour ça faut l'acheter hein... mais ce que je peux en dire c'est que je l'ai dévoré, ça bouge tout le temps, on a quelques scènes pas mal du tout comme celle avec le sumo (tres beau sumo que tu m'as dédicacé Nhieu)
Bon vous foutez quoi là, allez zou, achetez le

On quitte l'Hispanola pour quelques instants, le temps de se glisser dans un territoire occupé par une femme se faisant nommer "la lionne". Des scènes peu crédibles, des personnages peu intéressants, les auteurs n'ont pas su développer la trame, a mon avis. Globalement, cette série qui avait pourtant une idée très intéressante à la base (cet immense bateau sur lequel des gens se sont refugiés suite à une épidemie) a été traitée de manière decevante. Une série qui ne vaut guère la peine d'etre lue, selon moi.

Le nouveau dalai-lama a été identifié. Une caravane de la croix-rouge se dirige vers le monastère, afin de livrer des médicaments. Pretexte, en fait, pour les livrer aux guerriers du Népal. Mais Jonathan découvre que tout cela n'est en fait qu'une facade... Un album agréable dans un environement attractif. Les couleurs sont pales, le trait du dessin pas assez net, mais cela ne dérange pas trop.

Dans la veine des "filles de Soleil", quelques dessins sympa

Une autre petite perle de BERTHET, un trésor de 18 ans... Il s'agit de 3 nouvelles policières ayant pour thème le cinéma (privé d'Hollywood etc...) Dessins et scénarios sont réussis et nous font passer un moment exotique... savoureux. A découvrir et lire absolument !

Ce retour sur les années sombres de l'Espagne permet de ne pas oublier les dangers du facisme. Cette histoire décrit le combat de militants "agés" qui ne base ses motivations que sur la vengeance du passé sur le présent. Ce combat est voué à l'échec car il ne concerne plus personne si ce n'est les intéressés qui s'entretuent inutilement...Le propos s'il est intéressant, se perd malheureusement dans quelques longueurs qui retirent de la force au récit.

L'ouvrage débute avec un "historique" de Chandler et de ce qui devait être le film "playback".
Les dessins sont bien faits, le noir/blanc donne un cachet mystérieux à l'intrigue, bien ficelée et qui nous tient en haleine jusqu'à la fin.
Un bel ouvrage qu'il se faut d'avoir dans sa collection!

Largo doit s'acquitter d'une dette contractée auprès d'une triade pour son évasion de Makiling. Un album efficace, doté d'action, d'une touche d'humour, le tout desservi par un dessin précis. Un très bon album qui se lit d'une traite.

Déchirée : Malgré une importante révélation à la fin de l'épisode, ce dernier pose beaucoup plus de questions que ne donne de réponses. En effet les évènements qui se déroulent dans cet épisodes sont de nature à laisser le lecteur perplexe. En tout cas c'est encore une fois un très bon épisode qui donne envie de connaitre la suite.

Les derniers jours de Camelot : Depuis le début de New excalibur il y a eu plusieurs histoires qui avaient bien commencées et ont vites tournées court. J'espère que cette dernière n'en fera pas partie car il y a tous les ingrédients d'une très bonne histoire cependant je reste pour le moment prudent et j'attend d'en avoir lu plus avant de vraiment me prononcer.

Hypnose : Voilà un épisode plutôt léger mais avec un final explosif qui laisse entrevoir une suite très intéressante.

Chasse aux monstres : une nouvelle intrigue intéressante commence malgré l'incertitude, toute relative soit dit en passant, sur l'avenir des Exilés. En tout cas il s'agit d'un début prometteur qui pourrait bien relancer la série pour de nombreux épisodes.

Superman : La série reprend 1 an après les évènements d'Infinite Crisis et du combat entre Superman et Superboy Prime. Une chose est sûr c'est que Superman est plus man que super. Ce nouveau développement de ce personnage emblématique de l'univers DC est fort intéressant même si je doute que ça dure trop longtemps. En tout cas ces deux épisodes sont des plus prometteur et m'on vraiment passionnés ce qui ne m'était pas arrivé depuis assez longtemps.

Batman : Là par contre la reprise est plus décevante vus que l'on retrouve un statut quo par rapport à l'époque d'avant Jeux de Guerre et pour le moment l'intrigue introduite manque de consistance.

Pour une série qui avait bien commencée on est retombé bien bas. On a le début et la fin du combat entre le Darkness et les Cupidons. Une chose est sûr c'est que c'est très court et je dirais même bien trop. Bref l'histoire se termine sans être vraiment développée. C'est bien dommage mais au final ça ne vaut pas grand chose.

La rencontre entre les Jeunes Vengeurs et les Fugitifs est plutôt sympa ainsi que toute l'intrigue qui tourne autour même si au niveau de Civil War cette histoire n'a pas vraiment de conséquences. Cependant on passe tout de même un bon moment.

La fin de cette mini série est plutôt intéressante avec un changement important pour le Silver Surfer et l'apparition de deux nouveaux personnages intéressants qui pourrait tout remettre en question.

La mini série sur Ronan quant à elle est excellente avec un personnage plutôt charismatique et intéressant. Même si je n'aime pas vraiment le dessin l'histoire par contre je l'ai beaucoup appréciée. La fin de la saga Annihilation me semble pour le moment très prometteuse.

Pour une fois on a un volume assez sympa, moins tourné vers la rigolades mais plus sérieux. On en apprend davantage sur le passé de Yonbi et on se rend finalement compte qu'il ne s'agit pas juste d'un héros un peu simplet mais plutôt de quelqu'un qui a fait des choses pas jolies jolies et sur qui repose une lourde responsabilitée. Bref un volume intéressant.

Globalement il s'agit d'un bon volume avec des combats plutôt pas mal et qui en mettent plein la vue. Les adversaires des Get Backers ont des pouvoirs plutôt intéressants et laisse prévoir des combats tout aussi intéressants.

Un bon one shot avec des personnages intéressant notamment le personnage principale : Mao. Cette dernière garde tout au long de l'histoire sont coté mystérieux et secret sans jamais en dévoiler plus que le stricte minimum et la fin garde la plus grande partie de ce mystère. On a là tous les ingrédients d'une bonne histoire que j'aurais aimé certes un peu plus développé concernant certains points mais qui m'a fait passé un très bon moment.

Globalement la série est assez sympa, le côté sanglant est bien traité, la psychologie des personnages et leur façon de réagir au cauchemard qui leur tombe soudainement sur le dos est également très bien traité. Il y a juste le personnage de Nanahara qui est un peu trop gnangnan mais à par ça c'est plutôt bon. Certes on voit la fin arriver sans réelles surprises mais la façon dont ce déroule ce massacre organisé est plutôt bian traité. Bref on passe un bon moment sur les 15 tomes.

Direction Venise, ou Neige doit récupérer ne autre clé. Mais avant cela, place à l'intermezzo, événement carnavalesque ou des élus pourront rejoindre une sorte de comité de la cité. La tueuse est toujours à la poursuite de Neige, et le laissera pour mort à la fin du tome. Le dessin est pas terrible, les couleurs toujours ternes. Le scénario ne m'a que moyennement plu et j'espère que la suite s'emballera un peu, car l'histoire est globalement intéressante.

Un album qui m'a vraiment surpris en bien. J'avais peur de tomber sur un enieme Largo Winch, mais non, Gil est un monsieur tout le monde crédible. Sur fond d'enlèvement, on le suit à la recherche de sa femme enlevée dans des circonstances étranges. Un très bon scénario qui tient en haleine grâce à des indices ci et là, un dessin excellent, précis, clair, de bonnes couleurs, et un final qui reserve une surprise. Vivement la suite.

Dernier album paru, et c'est dommage. Trent doit accompagner une dame et son fils chez sa famille suite à une séparation. L'ex-mari, alcoolique et violent, les suivra dans leur périple. Un bel album, dans lequel Trent se sent avoir des fibres paternelles.

Une ancienne amie de Trent resurgit lors de son mariage. Les memes ingrédients que ceux utilisés lors des albums précédents font de cet album une histoire plaisante. J'aime beaucoup le dessin de Léo.

Encore un bel album. On y suit Wild Bill, redoutablement efficace avec un pisotlet dans la main, mais le scénario évite de partir dans une direction trop facile, et dévoile, une fois encore, des personages humains et attachants.

Bon, j'ai toujours aimé les films de zombie, c'est un fait.
Tout particulièrement la série des Romero (la nuit des morts vivants, zombie ....).
Alors la, comment vous dire, je suis comblé, c'est comme si on me racontait le "apres le film" la suite quoi, ce qu'il y a apres le mot FIN, le pied quoi.
En plus c'est super bien ecrit, dense, psychologiquement interessant, on à l'impression de lire une série télé de qualité (style 6 pied sous terre) demain je cours acheter le tome 2 en esperant qu il y en aura plein d'autre.

La couverture m'avait laissé dubitatif - des bestioles de laboratoire, avec des combinaisons style cosmonaute, en super-machines de guerre - je me suis demandé où morrisson et quitely voulaient en venir - ça faisait pour moi histoire de mauvais manga ! Une fois ma lecture terminée, un mot me vient à l'esprit : " waouh ". Un scénario irréprochable sur le destin tragique et absurde de nos trois cobayes, avec un regard féroce sur les expérimentations animales, ainsi que sur les applications scientifiques, même les plus folles, à destination de l'armée ; et le dessin magistral de quitely qui nous livre des planches monstrueuses d'efficacité, tant dans la violence exprimée que dans l'émotion contenue. Les nouveaux x-men étaient déjà une référence, voici encore un nouveau titre de gloire pour ces auteurs.

Je trouve ce tome trés mauvais. Je l'ai eu en plusieurs fois, me disant chaque fois que ce que je lirais serait mieux que ce que j'ai lu précédemment. En vain.
L'histoire est loin d'être passionnante et Zorglub est méconnaissable. Ce tome n'arrive pas à la cheville de la série, ou même du précédent. Grosse déception.

Un peu décevant pour un adepte de la série (et de Larcenet) qui a attendu longtemp pour lire un nouvel opus.
Ca reste très correct.
Vivement un album qui fasse avancer l'histoire (mais a priori, les prochain seront des Monster).

Envoutant, on est sous le charme
Une histoire relativement classique : un jeune garçon part à la recherche de sa soeur disparue, mais des dessins très "doux" et agréables, une histoire bien construite qui se déroule sans heurts du début à la fin
J'ai hâte de lire le tome 2 ...

Tony Corso, le détective à chemise hawaienne
Il réunit tous les ingrédients d'un bon polar, mis à part le côté looser : de belles filles, de méchants très méchants mais suffisament bêtes pour perdre, de l'humour (j'ai bien aimé dans celui-ci les mots-croisés), bref un bon album agréable à lire, si vous avez aimé les précédents

Un bien bel objet que cet album petit format reprenant le secret de la licorne publié en version strip noir et blanc pendant la guerre. La page de droite nous permet de lire l'aventure tandis que celle de gauche nous explique les changements entre les versions strip et album. Un peu rébarbatif quand on n'est pas tintinophile (ou logue, ça dépend - mais faut vraiment être passionné pour apprécier de lire "là, il a enlevé un g sur le drriinnggg de la sonnette" et autres infos du même aquabit) , mais certaines anecdotes sont passionnantes pour les néophytes, et c'est agréable de découvrir une version "inédite" de tintin en noir et blanc. Le trésor de rackham le rouge a été également édité sous la même forme. Ne manque plus que les sept boules de cristal...

Cette édition est passionnante car on (re)découvre les aventures de tintin au temple du soleil dans les conditions où les lecteurs des années d'après-guerre l'ont découvert. Un beau projet éditorial bien documenté dans sa préface, avec de nombreux dessins et planches inédites en album. Un regret : les planches auraient pu être un peu mieux "nettoyées", pas pour le fait que les couleurs d'époque font "passées" (au contraire, ça ajoute de l'authenticité), mais les traces d'agrafes, de trous et d'effets de papier froissé par endroits auraient pu être masqués (ça ajoute aussi de l'authenticité mais c'est moins agréable...)

La jeunesse de Gunther, son arrivée en France et sa rencontre avec Pritz
Un bon scénario, mené tambour battant avec un François Dermaut toujours aussi agréable à lire
J'ai préféré à la fin des chemins de Malefosse, qui devenait un peu compliqué à comprendre
Un bon album de la collection Vécu

On entre vraiment dans la folie de Néron.
super, on attend la suite avec impatience.

ce numéro 13 est formidable. Je n'ai pas voulu mettre 10/10 mais j'étais limite. J'ai été tenu en haleine pendant tout l'épisode et la fin, mon dieu, cette fin, digne des plus grands "cliffhanger" tous genres confondus, bon sang j'ai hâte de lire la suite : le miraï, vaisseau Aegis du 21ème siècle, aux prises avec 50 appareils américains de la seconde guerre mondiale, et la mitrailleuse est à cours de munition!!! Quel suspense! Et ce scénario diabolique qui multiplie les rebondissements, attention cependant à ne pas perdre le fil avec tous ces personnages, ce serait gâché. Je ne sais pas à quel genre on pourrait faire appartenir ce manga : guerre, espionnage, histoire, politique, aventures en mer, ici tout s'entre-mêle.
Bon allez, j'y retourne, j'ai le 14 qui m'attend après cette pause pour reprendre une petite bouffée d'oxygène, avant de me reprendre les embruns des Mers de Bismarck et des Salomon

Mazette, comment une telle bd a-t-elle pu être éditée par la marvel ! Ceux qui diront " pour faire du fric " n'auront pas tort, mais le projet était quand même assez casse-gueule, surtout pour cette maison d'éditions : du trash, du gore, mais surtout de l'humour très noir et du cynisme à outrance (manquait plus que du sexe, mais ça cadrait pas trop avec le sujet...), avec pour personnages principaux tous les héros du giron marvel (spider-man, captain america, hulk et consorts) revus à la sauce zombie. Plus surprenant que vraiment choquant (quoique, j'ai quand même pris ma claque en lisant cette histoire...). A ne pas mettre néanmoins entre toutes les mains...

Tout simplement superbe. Rarement une bd de SF ne m'aura autant emballé. Le deroulement est fluide malgré la densité du contexte géopolitique. Les dessins sont toujours magnifiques. L'implication et les motivations des differents personnages est assez réaliste quand à la difficulté d'etablir une organisation internationale. La parallèle avec notre époque ressort tres facilement. Je suivrais donc avec grand interet cette série, qui je l'espère, apres avoir decrit, par ce que cela était nécéssaire, le système de fonctionnement et le contexte, s'interessera plus à la psychologie des personnages et a leur rapports mutuels.

Que du bon.
A lire et a relire !

Je dispose d'une édition DL:4ème trimestre 1975,mais sans rabat????

Bon, on pourrait penser que l'on va tomber sur du Largo , mais, il y a quelque chose qui tourne vers le fantastique, alors, l'histoire devient étrange ; le pouvoir et l'argent ne semble finalement pas le thème principal de cette série, donc à suivre car surement en saurons nous plus dans la suite. Il semblerait que ce soit un tome ou les personnage et l'histoire se mets en place surtout... et bien sûr

Je suis plutot quelqu'un qui déprime, mais justement, cet album donne du punch ; encore une fois, même si la solitude est là, on trouve toujours un petit quelques chose qui prouve que le bonheur, l'amitié, l'amour, la compassion ne sont jamais aussi loin que l'on croit. Encore une BD qui nous "bouscule" un peu, ça fait du bien!

Bien qu'ayant une passion prononcé pour les chats, je n'arrive pas à me mettre dans ce bouquin.
Le thême est sympa, il concerne pourtant tout simplement la vie de chaque maître avec son animal, mais je sais pas, il doit manquer le p'tit truc qui fait que j'accrocherais...

Je dirais surtout que c'est une œuvre qui nous fait nous remettre en question ; eh oui, arrêtons d'être nombrilistes et narcissiques, de retourner tout contre les autres sans se regarder soi-même!
Les mots sont simples, conformes aux dessins, mais si forts dans leurs sens… ils nous permettent de regarder au fond de notre cœur, au plus profond de ce qu'il y a toujours eu de mieux en nous!
Moi, j'attends le tome 2 avec impatience!
Ji Di est vraiment pour moi un auteur hors pair et surtout, elle sait naturellement et sympathiquement nous faire nous remettre en question face à notre façon de vivre et surtout de voir les choses.

C'est un album original dans sa présentation sous forme de dossiers qui relate les origines d' alpha. Pas transcendant mais peut être est il nécessaire pour introduire la suite des aventures de notre héros. Je suis resté sur ma faim mais il faut finalement plutôt attendre le prochain album pour se prononcer : manque d' inspiration des auteurs ou superbe entrée en matière d' une nouvelle épopée.

Séduit par le cycle des cyberneurs, j'avais été un peu désappointé par le début du cycle vitruvia : alors que je m'attendais à une débauche d'aventures en des lieux futuristes et/ou exotiques, l'action est ici plus ou moins centrée sur un quartier de banlieue parisienne squatté. Pour rêver, on fait mieux ! Mais nos auteurs sont là pour nous raconter une histoire. Et quelle histoire ! Une fois les personnages et l'intrigue générale présentés, le tempo s'accélère sans jamais relacher la pression, en ajoutant de nombreuses ramifications personnelles, politiques et économiques s'enchainant et se complétant de façon dramatique pour les personnages principaux. Au bout du compte, on a de l'action, du suspense, des rebondissements à foison. Que demande le peuple... Juste encore et encore des sagas de cette qualité !

N'étant pas vraiment amateur d'héroic-fantasy, je ne peux pas avouer m'être jeté sur cette bd comme un fauve affamé sur un morceau de barbaque (ou comme certains clients des magasins gibert sur les bds d'occas', pour rester dans le sujet) - Je l'ai découverte au gré d'une dédicace ; le dessinateur étant sympa, on a envie de voir ce que vaut l'album. Pour le scénario du duo ange, c'est de l'h-f made in soleil, du 100°/ calibré pour plaire au plus grand nombre (je n'énumèrerai pas les clichés, pas assez de place), correctement amené dans l'ensemble et pas désagréable à lire. Quant aux dessins, c'est presque du tout bon : les personnages (aah, selina !) et les faciès animaliers sont convaincants, le dessin est dynamique ; un (petit) bémol cependant, concernant les plans d'ensemble des lieux, pas assez détaillés à mon goût. A suivre...

tres bon MAIS a quand la SUITE ANNONCEE sur le dos de couverture ; ....VINGT ANS APRES !!!
a t-il été édité si oui ou ! quand ! et comment l'obtenir ....
a bientot clement -Zeebrugge

La pire bd que j'ai pue lire depuis 2 ans!! C'est tout simplement affligeant, là mes propos peuvent paraitre outranciers, mais je puis vous garantir, que N'IMPORTE QUEL adulte est capable d'écrire de tels scénarii... Je les passe pas en détail, mais on peut parler d'abscence total d'intrigue, de psychologie, d'interêt tout simplement...
Hormis cela, assez marrant l'universitaire qui tente d'apporter sa scientificité à cet album (connais pas ce prof d'ailleurs... en même temps il nous a éviter la réference à edgard morin... c'est déja ça)

Acheté 1 euro!; je me suis fait avoir!

Le dessin est parfois sympa, surtout concernant l'architecture de la ville, le trait est séduisant sur les paysages, et les couleurs pas mal, mais le scénario est trés mince, vraiment trés limité, et les dialogues assez ahurissants dans leur genre (même les "bisounours" semblent plus matures), c'est d'ailleurs l'interrogation que laisse cet album , quel est le public visé (cela semble être les moins de 12 ans, mais n'est pas explicite....)

Comme beaucoup j'ai trouvé cet album un peu baclé. Un point de départ distrayant, des séquences un peu expédiées et une fin assez prévisible. On sent que le scénariste est un peu à l'étroit dans le format et dans le moule du concept de la série. Il se sort tout juste des contraintes sans déshonneur.
Dommage, il y avait matière à bien mieux... on peut imaginer qu'un Garth Ennis aurait fait beaucoup plus fort avec le concept de départ.

Ha cet épouvantail pointeur. Superbe univers déjanté d'Omond, servit par un dessin nerveux et terriblement expressif de Beuzelin. C'est assez drôle dans le propos, un humour acide et ironique sur une histoire qui nous renvoit à notre propre réalité.
Un grand moment de lecture, une belle découverte.

Une histoire de tous les jours mais tellement bien racontée et mise en images.
Je cours m'acheter le tome 2 ...

Dufaux et Delaby avancent à leur rythme ni trop rapid, ni trop lent, et on se régale à chaque fois.
La folie de Néron prend de l'ampleur à chaque nouvel album
Les bassesses et les luttes intestines sont montrées dans toutes leur dureté
et le trait de Delaby s'améliore d'album en album

J'ai pris énormément de plaisir à relire les 5 albums précédents, afin de me replonger complètement dans l'histoire

Reste le DVD ...

amateur de baston, de jolies filles et de beaux dessins ? alors ce manga est fait pour vous !!

alalala comment rater un chef d'oeuvre

suite a quelques obscures problemes avec son editeur l'auteur s'est vu obligé de finir vite, tres vite, la fin du manga conclusion : c'est a chier !! et oui la premiere moitié du manga je la note 9/10 et la seconde 1/10 a vous de faire la moyenne. Malheureusement je ne vois pas l 'interet d'acheter la moitié d une serie, si vous devez l'acheter faite le pour nourrir l auteur c'est tout.

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Homunculus T 3&4
De Hidéo Yamamoto

Un flot de lecteur fortement déçu de la suite des évènements, lors des tomes 3 et 4, ont considéré un peu hâtivement qu’il ne s’y passait rien. Est-ce le cas ?
Mais revenons au titre proprement dit. Il ne m’a pas fallu aller loin dans ce 3 eme tome pour rencontrer « l’homunculus sensoriel ». Mais surtout, on avait compris que voir le récit intime des gens autour de lui, c'est à dire le cœur, poussait notre héros vers un élan d’humanisme. Par là-meme le jeune docteur passait au second plan ( le discours social !) pour mettre en proue l’imagination de notre héros marginal Mr Nakoshi. ( N’oublions pas que les « homunculus sensoriel » sont issues de processus créatifs rigoureux comme le fut une fameuse théorie Darwinienne !)

L’interet de ces 2 tomes réside, premièrement, dans l’utilisation des faits réels de notre jeune docteur pour proposer des interprétations sur des exemples qui sont légions : « le petit garçon, la parvenue, l’employé, la jeune fille,…( En fonction de l’interprétation, les faits réels vont prendre un sens, là encore en fonction de l’interprète, qui formeront la chimère ; voilà pourquoi ce n’est pas parce que l’on est des centaines ou des milliers à voir le meme événement qu’on le voit mieux !) Tout cela pour en venir à la perception et à l’imperçu structurant l’artifice au fur et à mesure de notre récit, et vu la plasticité du cortex humain cette perception est constamment modifiable donc non-stable. C’est trop facile d’en faire une pensée dualiste ( conscience/inconscience !) et fixe, composée de pourcentage…Et c’est sur cette évidente fausseté matinée du stéréotype de la paix intérieur que le récit continuera. Par contre, le fait, que le corps délivre énormément d’information imperçu est véridique car le corps est avant tout social, créateur de l’alentour et /ou ambiance qui influera sur le comportement du voisin. ( mais de là à parler de trahison, il y a un pas…) Bref, notre jeune conclura son analyse sur : « C’est un animal répugnant ». A cet instant précis, ces quelques mots façonneront la suite du récit et du comportement de notre jeune héros. Ou pour le dire mieux la vie humaine est perçue comme un corps capable de produire un monde virtuel, et de le vivre en l’éprouvant réellement. Bref, en un seul terme l’ensorcellement. ( On retrouvera cet ensorcellement plus tard avec le coté droit et gauche ! !)

Petit intermède sur la nausée animale et le dégout qu’éprouve notre héros dans les toilettes, puis légèrement plus tard lors de la vision du médecin ( un toutou avec sur un écriteau marqué « Etat » autour du cou !) à la clinique d’Aono 2F. ( une légère déstabilisation est perceptible par le lecteur, on verra si l’auteur continu dans ce sens !)
L’incident de la clinique n’est d’ailleurs pas particulier mais bien global, dans un monde sédentarisé à outrance, et d’un immobilisme ( morbide ! et) contraignant, il est extremement difficile de modifier son statut, une fois que l’on entre dans ce genre de batiment. En fait, c’est très souvent un porteur sain affectivement qui met le doigt sur l’engrenage d’une pathologie sociale d’ou l’étonnement de Nakoshi de ne voir aucune distorsion.
Petit à petit, les propos du jeune docteur se précise dans la bouche de notre héros lorsqu’ils entrent dans le magasin Sailorblue : « Qu’est-ce qui peut me brancher chez ces pisseuses ?, « ça des humains, des marchandises sans plus ! »( Le genre de phrase qui peut conduire au viol dans une civilisation qui a embrouillé les interdits.)
Ce que Mr Nakoshi va y voir n’a à partir de là aucune importance que ce soit un schtroumpf ou le diable de tasmani…meme si ils jettent leur dévolu sur le numéro/ signe 1775. Notre jeune docteur aura, juste après, une charmante métaphore sur la délinquance des ados. ( le sucre !)

Par la suite nos héros suivront discrètement cette jeune lycéenne, l’ex numéro 1775, dans un supermarché de quartier ou le vol prendra le sens d’un plaisir sexuel méfiant, mais aussi une forme de libération par rapport à la pression familiale et sociale.( la fameuse réussite dans la vie qui massacre froidement et en silence !) Et c’est là, que l’on en vient à l’angoisse du doigt de notre aquarium ambulant ( composé de 80 % d’eau j’imagine !), ou pour créer une forme de plénitude momentanée face à l’angoisse émotionnelle, la jeune lycéenne sortira la phrase psychologique par essence : « je suis moi ». On peut ensuite cerner qu’un trop plein de signe peut etre un monstre d’angoisse émotionnel, d’ou le passage ou la mère fait éprouver une vive émotion à sa fille sur le pas de la porte qui la détruit totalement. Mais la mère qui vient juste de l’éparpiller la reconstruit selon sa vision de mère….Ce que recherche finalement cette jeune lycéenne, ce n’est pas de faire l’amour, mais bien de partir à l’aventure ( le désordre qui fait si peur !) avec la première personne qui se présentera !

Lentement la crainte, la peur, l’incompréhension, pousseront notre héros au passage à l’acte ( interdit ? !) allégeant son esprit momentanément ( Rappelons que sans peur nous resterions au lit toute la journée !). Mais aussi la lobotomie du présent ( jouir sans faire de mal !), sa tyrannie cognitive, sa succession de bien etre dépourvue de sens fera bientôt place à la souffrance, à la culpabilité du passé, ( le ou les Flash si il y en !), à l’angoisse qui poussera notre héros à retisser des liens sociaux ( autre que le doc !). Un processus de redécouverte de la saveur existentielle périlleux, de l’avenir par une bradypepsie du paradoxe psychique, le tout sans homélie ( bravo ! !), mais sans humour ( dommage ! !)…
Au final, c’est bien la question de l’illusion qui est posée ( Quelle sera sa réponse ? Et a quelle planche à clou notre héros se raccrochera-t-il ?), car on ne peut voir que ce que l’on a appris à voir… ( exemples : les pièges univoque des thématiques !)
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Album plaisant, dans la lignée des précédents.
Même si la facture est assez classique, l'histoire est bien écrite et le dessin agréable.
Il y a des jours où je préfère cette série à l'original

Cette intrigue policière qui met en scène le gentleman aventurier LLOYD présente tous les ingrédients d'un grand polar, qualité du dessin, mise en page etc... Malheureusement le scénario me semble un peu confus et alourdit le déroulement de l'histoire qui est parfois assez difficile à suivre. Sans atteindre la classe du privé d'Hollywood, ce one shot fait preuve d'un certain charme et de mystère.

J'avais lâché les x-men au début des années 90 et cet album permet de les retrouver, mais que de changements : des nouveaux venus, des anciens toujours fidèles, des méchants devenus gentils, ...
Globalement, j'ai quand même du mal, est-ce du aux changements de dessinateurs entre les épisodes ou à une impression de faits démesurés dans ces nouveaux scénarios.
Ce recueil permet de voir comment les x-men ont évolués, mais ne me donne pas envie d'y revenir régulièrement, j'ai du évoluer aussi ...

Ce deuxième volume dépeint l'amour. Un amour intense, physique et intemporel qui se joue de la guerre et rapproche les différences, ici juif/arabe. La démonstration reste pudique. Elle se sublime dans une fin surnaturelle, qui poétise le débat mais enlève de l'impact au message. L'amour triomphant des armes est certes, un message naïf mais tellement humain ...

On apprend (en partie) qui est Northman, et qui sont les 12. Neige va désormais etre investi d'une mission: récupérer les 12 clés, capables d'ouvir des portes dans le mur magnétique encerclant cette Europe enneigée. Un ennemi fait son apparition dans cet album, et clairment, Neige et "Cueille-la-mort" auront l'occasion de se revoir. Toujour le meme bémol sur la qualité du dessin et surtout des couleurs.

Dans cet album, Neige découvre la vérité sur l'assassinat des ses parents. Le scénario est un peu moins prenant, quant bien même cet univers peuplé de crève-faim suscite un interet certain, car il y a une touche de réalisme. Cote dessin et couleurs, c'est plutot faible et c'est dommage.

J'ai bien aimé le scénario, original, qui fait évoluer le héros dans un futur enseveli sous la neige. On découvre que l'Europe se trouve sous la neige suite au dérèglement d'ordinateurs qui régissaient les conditions météo. Un univers intéressant, hélas!, quelque peu gaché par un dessin par très bon, et surtout pas des couleurs ratées.

Cette BD est tout simplement superbe, construite autour d'une rencontre improbable entre un juif et une "beurrette bâtarde" le bassin ceint par des explosifs. Ce récit puise ses racines dans le génocide juif de 39/44 magnifiquement évoqué... Les planches sont partagées entres les dessins, splendides et les insertions de d'images d'actualité. Certes l'approche peut énerver car un peu démonstrative parfois, mais l'auteur a su trouver les mots justes sans tomber dans la facilité. Ce premier épisode donne immédiatement envie de connaître la suite de cette histoire d'amour... explosive.

Je suis vraiment sous le charme de cette série...Quels dessins magnifiques ( Bonhomme est vraiment un grand de la BD), quelle poésie, quel univers peuplé de monstres mythiques...C'est beau, c'est doux , c'est puissant à la fois...C'est un OVNI, j'adore....J'espère qu'un deuxième cycle verra le jour...quand celui ci sera terminé ( + qu'1 album )...C'est une série qui mérite de durer, au moins le temps d'une seconde trilogie...
Jetez vous dessus c'est un pur moment de bonheur ....

MURENA est en train de devenir une des 10 plus grandes séries de l'histoire de la BD. Dans un contexte d'édition morose (mimie mathy, caméra café, candéloro etc.) on a ici l'exemple même de ce que peut faire de mieux le 9è Art. On en redemande, DELABY a un trait de plus en plus exceptionelle.

Une nouvelle intrigue débute et elle est plutôt pas mal. On apprend plus de chose sur l passé de la famille Estacado et de nouveaux personnages apparaissent. A voir si la suite va tenir ses promesses mais en tout cas les bases sont bonnes pour une bonne histoire.

La séparation : C'est au tour de Sentry de choisir son camp dans la guerre civile qui se déroule. L'histoire est intéressante et la rencontre de ce dernier avec les inhumains est également bien faite. Par contre le seul point faible de cette histoire c'est bien le dessin qui est vraiment loin d'être à mon goût.

Il y a des paroles qu'on ne peut effacer : Cet épisode est une petite révolution au sein des fantastiques mais tout celà commençait à couver depuis un moment. Par contre cet épisode montre bien que Red Richard a bien changé au fil des années et que son soutient à la loi sur le rescencement n'est pas pour les raisons qu'il invoque officiellement.

Au loin tonnent les cannons : Histoire intéressente qui met en avant la relation entre Cap (en pleine rébellion contre la loi sur le resencement) et l'agent 13 du SHIELD. Le fin de l'épisode laisse présager une suite fort intéressante.

Iron man : Et voilà l'arrivée dans le mag de la série Iron Man, chose logique au vue de la guerre civile qui fait rage et que Tony Stark en est un des pilliers qu'autant qu'il s'agit d'un personnage intéressant. En tout cas on y voit unIron Man moins sûr de lui que dans les autres séries et pour qui la révélation de son identité va avoir de sacrés conséquences. En tout cas la fin de l'épisode promet une suite tout aussi intéressante et plus "frappante".

Vengeance : Le face à face entre Namor et Wolverine est des plus intéressant. En effet ces deux personnages se ressemblent et pourtant ils sont égellement très différents. Pour une fois Wolverine parvient à se maitriser pour au final obtenir des informations intéressantes. Bref l'intrigue évolue de manière plus que satisfaisante.

Le sauveur : On découvre une nouvelle partie de la vie de Wolverine et de sa relation avec la veuve noire. cependant il est temps que l'intrigue principale entre dans le vif du sujet car bien que ces retours dans le passé soient intéressant ça manque tout de même de consistance.

Ce numéro montre à travers l'enquête de deux journalistes Phil Urich et Sally Floyd, qui sont au passage de personnages intéressants, l'envers du décord de la guerre civil qui déchire actuellement les Super héros de l'univers Marvel. Et on peut dire que l'intrigue est très bien développée avec des indices supplémentaires que tout ce qui ce passe actuellement n'est que le sommet de l'iceberg et que dans l'ombre des intérêts sont à l'oeuvre pour que la loi sur le recensement des super humains soit maintenu. Les conséquenses de cette loi sur les libertés individuelles sont terribles et pose une question essentielle : peut on limiter et à quel point les libertés individuelles pour plus de sécurité ? En tout cas voilà un très bon numéro vivement la suite.

C'est trop beau, trop violent, trop prenant, bref l'ouest pur et dur, un héros charismatique au destin tourmenté.

POur les initiés...je ne suis pas fan de cet humour

Encore un chef d'oeuvre du duo jodo bess, une oeuvre magistrale qui nous transporte le coeur et l'âme vers la recherche de soi...

Cet homme est un dieu, une légende de la bd, un dessinateur comme jodorowski sait si souvent s'entourer, une histoire époustouflante d'un homme ayant cconnu, commis le pire et cherchant la rédemption. 0 posséder absolument!!!

Comme ça faisait longtemps que je n'en avais pas lu je me suis mis à celle ci et je dois dire que je ne le regrette pas. C'est très différents des aventures des X-Men et de Spiderman mais en ce qui me concerne je trouve celà tout aussi bon. Les aventures sont variées et très riches que ce soit en crétions technologiques qu'au niveau des ennemis des Fantastics même si leurs meilleurs ennemis sont pour moi Fatalis et Namor. En tout cas 1963 est une très bonne année.