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Les 4 premiers tomes sont remarquables, cette adaptation SF de la guerre entre l'Empire Romain et les Huns est magnifiquement réalisée... Un grand oui !
Ayant adoré la série "le Fléau des Dieux", je me suis jeté sur ce tome à sa sortie : quelle grande déception ! Mangin a tenté de reprendre son concept SF qui a su nous charmer quant à la guerre entre l'Empire romain galactique et les Huns. Le problème, c'est que là, ça ne marche pas, mais pas du tout...
Ces deux nouvelles se situent entre le tome un du privé d'Hollywood et Couleur Café. Nous quittons ici le polar et l'espionnage pour faire une incursion dans le fantastique. C'est globalement assez réussi même si les scénarios m'ont semblé un peu raccourcis pour la circonstance...
Quelle poésie et quel raffinement, nous suivons avec des yeux d'enfants la rencontre entre rat, blaireau, crapaud et leur nouvel ami Samir Djerbil. Le choc des cultures est savoureux et la plongée dans le souk et sa place aux conteurs très réussie. Les dessins et les couleurs traduisent de façon saisissante l'exotisme ambiant. Quels talents de conteur !!!
Ces tomes 3 et 4 de Cyann, sans rivaliser avec les deux premiers, sont fidèles à la série. 2 bonnes BDs mais tout de même moins prenantes en terme de scénario
Ces deux premiers tomes de Cyann sont très réussis. L'univers graphique est d'une rare originalité, le scénario prenant... Un très bon début de série...
Une série d'excellente qualité, la meilleure dans le genre pour ma part... Elle surpasse de loin le triangle secret, le décalogue... tant au niveau du scénario que des dessins. Un grand moment de lecture.
Un polar de plus ? non, cette histoire sort des sentiers battus. Le graphisme est en mouvement perpétuel et les couleurs tirant sur l'ocre contribuent à renforcer cette impression. Il y a du Taxi driver dans les premières planches lorsque Jazz part sauver sa soeur... Il y a une sorte de poésie musicale dans les combats, une chorégraphie d'expressions et de "prises de vue" qui cachent les repères du genre tout en les laissant deviner. Intéressant !
Dans ce deuxième album, nous voici projeté en 1871, toujours en Algérie. Le lieutenant Barthélémyet sa compagne s'installe sur des terres confisquées en Kabylie. Très vite leur rêve de réussite et d'exotisme disparaît et laisse place aux combats et à la lutte contre les populations locales.
Les personnages sont attachants, le scénario bien ficelé et les dessins toujours aussi bons.
Les BDs antérieures à Pin-up, parues chez DUPUIS valent vraiment le détour. Cette histoire ne déroge pas à cette règle. le scénario est intéressant bien que parfois prévisible. Les dessins sont toujours très réussis, juste un peu "jeunes" ou "naïfs" par rapport à aujourd'hui, mais le talent est bien là ! Il ne manque que YANN pour que le bonheur soit complet...
En 1836, un jeune peintre français débarque à Alger tout nouvellement contrôlée par la France. Celui-ci va tomber amoureux d'une jeune arabe puis de la culture et du pays. Mais très vite cet amour devient difficile. "L'Orient est une femme qui nous échappera toujours"
Formidable hommage à l'Algérie du XIXe siècle. Cette Bd est à la fois une leçon d'histoire et un hymne à la fraternité et à l'amour, le tout magistralement raconté et dessiné par Jacques Ferrandez.
Une belle histoire, pleine d'humanité.
A partir de la vie d'un homme ordinnaire qui ambitionne de s'acheter un vélo afin de participer au Tour de France au début du XIXe siècle, Lax réussit à nous passioner pour ce destin à la fois beau et tragique.
Tardi nous livre, ici, plusieurs destins, ceux de soldats français lors de la Première guerre mondiale, des destins souvent tragiques presque tous voués à la mort.
C'est une oeuvre remarquable, intelligente qui prête à la réflexion.
Séra nous livre ici une bande dessinée très intéressante et artistiquement très réussie. Dommage que le récit soit trop complexe. On perd très rapidement le fil de l'histoire qui apparaît alors sans véritable cohérence.
un bon scenario et un bon dessin
que demander de plus ?
La chronique BD Gest m' avait fait saliver, je me suis donc jeté dessus dès réception. Pour apprécier il faut soit être un adepte incontournable des auteurs, soit un fan invétéré de l' underground, soit aimer les mystères irrésolus.
Qualité d' album et qualité papier irréprochable, soyons objectif. Pour le reste ... Album qui se lit d' une traite très rapidement.
Les dessin me décoivent ( je ne suis pas un adepte de ce gebre angulaire que je trouve grossier), les couleurs très sombres ( underground oblige), les personnages complétement insignifiants, dialogues médiocres, l'histoire (ou plutot les histoires puisqu' il s'agit d'une sorte de succession de 4 histoires) est plate centrée avant tout sur la demeure.
Reste ce fameux baobab
On attend un dénouement, une explication, .... rien! Beaucoup de question restent en suspens dans un album mystérieux.
Les auteurs connaissent surement la trame mais ont beaucoup de mal à la faire passer au lecteur.
En résumé si vous n' êtes pas un amateur invétéré, payez vous un bon ciné à la place.
Les dessins de Rosinski sont éblouissants ! Quant au scénario, les lecteurs connaissant l'oeuvre de Dumas auront tout de même un arrière goût de Monte Cristo. Malgré tout, cette courte série reste remarquable...
A l'origine de mon premier effroi... nulle BD tombée entre mes mains jusqu'ici ne m'aura semblé aussi mauvaise... Malgré une bonne idée de départ, on est très vite endormi pas ce scénario poussif, lent, trop facile... Les dessins sont d'une dureté incroyables, tracés à l'équerre... A fuir.
Une nouvelle réussite du duo Van Hamme / Rosinski, un western à contre courant, avec un scénario moins "évident" que les références du genre. L'histoire de ce cow-boy anti-héros n'est pas sans nous rappeler un certain Bouncer...
Une des plus grandes réussites de Van Hamme à mon avis. Les auteurs ne sont pas tombés dans le piège de la série interminable contrairement à d'autres succès du scénariste.
Ce tome 6 conclut de façon très brillante le cycle commencé au tome 4. La si belle Dottie a vraiment peu de chance en amour, lorsqu'elle se bat pour sauver son homme, ce dernier finit par en aimer une autre, son ex belle geôlière russe. L'histoire est servie par les dessins sompteux de Berthet, qui croque si bien les silhouettes et les visages et l'humour décapant et drôle de Yann.
Du grand art !!!
Histoire, rapide trop rapide, pas franchement inovante, la fin et décevante car improbable... bof bof
Dans un premier temps j'ai été attiré par le dessin et l'aspect historique de l'album.
Pour ce qui est du dessin et des couleurs je trouve cet album réussi.
Mais pour tout dire, je n'ai pas été déçu par l'ensemble. Certes j'attends de voir comment cela va évoluer, mais pour un début ça me semble correct. On découvre des personnages bien campés et une histoire qui tient la route.
L'auteur nous fait découvrir cette période d'une façon originale et pour cet album un dossier historique de huit pages ainsi qu'un glossaire nous aide à bien nous plonger dans l'histoire.
A lire par tous ceux qui ont été bercé par les chansons de Patrick Bruel.
Cet album termine de façon magistrale cette trilogie. On apprend enfin la vérité sur Arthur Benton et les dernières pages laissent la place à un dossier secret qui nous livre de précieux renseignements sur toutes les ficelles de l'histoire.
Enfin, la Seconde guerre mondiale est traitée de manière très intelligente en évitant le manichéisme opposant les méchants allemands et les gentils alliés.
Après le succès du premier tome, récompensé par de nombreux prix, ce deuxième volet nous tiens toujours en haleine. La personnalité de sir Arthur Benton s'affirme. Ce citoyen anglais qui choisit le camp nazi par haine contre le communisme, nous dévoile ici un nouvel aspect de l'Histoire du nazisme. En effet, après un premier album consacré à la montée en puissance du NSDAP lors des années 30, Tarek s'intéresse, ici, à la conférence de Wansee de 1942 et à ses conséquences proches.
Le scénario et les dessins sont toujours aussi splendides.
Cet album représente la fin du premier cycle. Une brèche est (enfin!) ouverte dans le mur et Neige va à l'exterieur. J'ai bien aimé cette album, dans lequel la tueuse de l'extérieur verra sa fin. Un bon dénouement qui ouvre d'autres portes, pour d'autres aventures.
On ne change guère de décor. Les 12 se sont réunis, mais un traitre est parmi eux. Cet album donne une série d'éclaircissement sur l'aventure et la msision de Neige, dans une bonne ambiance. Une amélioration des couleurs, sans pour autant etre bonne.
Neige, Northman et d'autres arrivent dans un monastère. La femme du Pisse-Dieu est prise en otage par le chef d'un clan. La trame tourne en grande partie autour de la libération de cette femme. Un album pas franchement passionnant.
Excellent récit d'espionnage sur fond historique. Ce premier tome met en scène un agent secret particulièrement trouble, sir Arthur Benton, en 1929 lors de la montée en puissance du nazisme. Ce scénario très original de Tarek et très bien documenté, est mis en valeur par des dessins somptueux de Stéphanne Perger.
Musique et amour ouvrent ce premier tome de [b][i]Last Quarter[/i][/b], mais rien dans le ton ni dans l'ambiance n'a à voir avec les autres séries de Ai Yazawa. L'atmosphère est plus mystérieuse, plus sérieuse, plus trouble, plus sombre. Et le changement est grandement appréciable. Car si la romance est bien présente, le côté un peu fantastique avec l'invisibilité et l'amnésie de Mizaki après son accident est une agréable nouveauté, même si ça n'est pas forcément innovant.
En tout cas, l'intrigue démarre bien et donne envie de connaître la suite. Côté dessin, on reconnaît immédiatement la patte de Yazawa, mais l'introduction de personnages qui sont en primaire (4 quand même) apporte une fraîcheur toute nouvelle et plaisante.
De l'aventure, du suspens, de l'amour et de très beaux dessins, série de qualité qu'on suit avec plaisir.
Ce volume introduit un gros coup de théatre mais ce coup de théatre répond en partie à une intérogation / critique envers la série et notamment le succès d'Eye shield 21. De plus ce volume introduit un affrontement très intéressant (dont on se doute quand même un peu de la fin) et lance des pistes intéressantes pour la suite de la série.
Ce volume est excellent et éclaire le personnage de Yureka sous un nouveau jour avec pas mal de révélations sur ce personnage qui a toujours été un mystère. La suite de la série est très prométeuse au vue des diverses pistes présentes dans ce volume.
Cette série est assez agréable à lire. En effet l'histoire en elle même est assez intéressante et les questions qui se posent sont plutôt bien pensées mais il est dommage que l'intrigue soit un peu trop superficielle et les personnages pas vraiment attachant. Cependant ça reste tout de même une agréable série.
Cette suite est plutôt agréable à lire mais celà aurait pu être bien meilleur. En effet il y a de bonnes idées pas suffisament exploitées et des personnages intéressant mais le ton trop gnangnan et le style graphique pas vraiment adapté, à mon avis, n'aide pas à accrocher à l'histoire.
Globalement ce volume reste à la hauteur par rapport aux tomes précédents. L'histoire ne gagne pas en originalité mais reste agréable à lire. Personnellement je continue cette série même si je ne suis pas pressé de connaitre la suite. Le fait que le déroulement est trop prévisible gache quand même un peu du plaisir. En effet à la lecture de ce tome j'avais l'impression de l'avoir déjà lu.
Je suis pas fan du tout des dessins que je ne trouve pas lisibles, j'ai du mal à m'attacher à des personnages aussi peu figuratifs.
L'histoire est un peu tiré par les cheveux, et j'ai du mal à m'intéresser à ces personnages trop éloignés de moi.
Bref je ne pense pas aller plus loin, mais c'est un jugement apparemment pas partagé puisque certains crient au génie.
Tous les gouts sont dans la nature !
Cette série continue de nous emerveiller. Néron sombre de plus en plus dans la folie attisée par son épouse Popée et le courtisan Tigellin, Lucius Murena est prêt à tout afin de retrouver sa belle Acté et l'esclave Balba continue à venger son ancien maître Britannicus.
Vengeance, action, cruauté, sentiments, détails historiques... tout est là !
La manière de Tondheim de raconter ses états d'âme est jubilatoire. Et c'est vrai qu'en plus il nous apprend pleins de choses sur ses confrères.
Ses dessins illustrent très bien ses propos et donnent une ambiance particulière, il y a indiscutablement une "patte" Trondheim.
Ce tome développe bien l'ambiance guerre froide dans laquelle se trouve plongée Dottie. Nos "héros" croisent la route de nouveaux venus aux contours troubles. En effet, l'espionnage bat son plein faisant sortir de drôles d'oiseaux. l'amérique de cette période est très bien décrite et l'on sent que la rencontre probable entre Dottie et Gladys la tueuse risque d'être... intéressante !
Ce premier opus du deuxième cycle, consacré à l'influence de Popée sur Néron, est admirable. L'intrigue se fait de plus en plus fluide et captivante tout en laissant une place importante à l'Histoire. Qui se cache derrière le masque de l'aurige rouge et désire venger la mort de Britannicus ? Le nouvel amour entre Lucius Murena et Acté est-il possible ? ...
Ce début de cycle est donc une vraie réussite, vivement la suite !
Ce deuxième opus me semble plus dense. L'enquête de Néro bascule dans une quête, la poursuite d'une ombre, qui se transforme progressivement en une sorte de psychose obsessionnelle. Les planches décrivent bien ce parcours surprenant qui débouche sur une fin qui ne l'est pas moins et qui ouvre des perspectives intéressantes pour la suite.
Ce quatrième album clôt magistralement ce premier cycle de la série, celui de "La mère". L'affrontement entre Néron et Agrippine touche à sa fin et le jeune empereur ne paraît plus reculer devant rien afin de règner seul. La belle et redoutable Popée arrive et réussie à séduire Néron, ce qui introduit déjà le deuxième cycle à venir, celui de "L'épouse".
Le scénario de cet album est d'excellente facture, voire le meilleur de toute la série.
Ce tome 3 est assez décevant, l'intensité baisse et l'histoire s'essoufle. Les personnages sont stéréotypés et les dialogues un peu ternes. Bref cette série ne s'envole pas vraiment...
Album honnête et de bonne facture, les dessins nous mettent bien dans l'ambiance historique et le scénario maintient suffisamment l'intérêt pour faire un agréable moment de lecture.
Certes, il s'agit d'exploiter le filon du décalogue, mais c'est fait avec qualité donc on se laisse faire volontiers.
Ce deuxième volume, permet de suivre Caleb et Mézoké dans l'accomplissement de leur première mission. L'impression de Cicatrices se confirme, les planches sont superbement bien construites, le graphisme élégant. Le scénario est cohérent et nous tient en haleine. J'ai été séduit par la complexité du monde dans lequel vivent nos héros. La suite risque d'être passionnante !
Dufaux et Delaby réussissent à maintenir cette série au plus haut niveau.
Après la mort de l'empererur Claude et celle de Britannicus, Néron et sa mère Aggripine continuent toujours de comploter afin d'assouvir leur soif de pouvoir. Face à l'attitude de plus en plus douteuse de l'empereur, Lucius Murena se détache de lui afin de mener à bien l'enquête qu'il mène pour retrouver l'assassin de sa mère.
Suite et fin du tome 1 : mêmes commentaires
on se demande au final quel besoin avait la patrouille du temps d'utiliser les 3 compères ...
Pas de surprise dans ce dyptique, le scénario doit être respecté mais cela manque toujours de punch et de tonus.
côté négatif, le dessin de Coria est toujours aussi figé, mais ce qui énerve le plus sont les phylactères coupés en 2 sur la même case ou sur plusieurs cases. C'est peut-être pour donner du mouvement au récit, mais cela donne plutôt le mal de mer ...
Un scénario qui tient la route et qui s'appuie sur des sources historiques sérieuses et les dessins somptueux de Delaby font de cette BD un vrai chef d'oeuvre. La personnalité de Néron, nouvellement empereur, est complexe, fascinante et commence même a être effrayante par moment. Une Bd très intelligente !
Un bel hommage d'un fils à son père. Ayant perdu le mien l'été passé, je fus assez interpellée question sentiments et émotions. Le petit garçon a les plus beaux yeux des bd lues cette année. Pour être nostalgique...
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Homunculus T 5&6
De Hidéo Yamamoto
Les précédents tomes avaient quelque chose du cours pompeusement magistral. On commençait à se dire que malgré le travail important effectué, il manquait cette prise de risque et de distance qui aurait permis aux lecteurs de faire passer le placebo. Malheureusement ( comme il arrive très souvent !), on s’est gavé en cachette de psychotrope ce qui a faussé le résultat.
Dans une société ou l’idolâtrie froidement compétitive des diplômes et de l’argent va de paire avec des discours platement pieux : « Nous sommes tous égaux, nous avons le choix,… ». Quels moyens restent-ils pour palier la négligence des adultes qui considèrent très hâtivement (ça tranquillise !) qu’un enfant angélique est un enfant sage ( au bord de la dépression !) ? Evidemment, différents modes d’expressions vont etre trouvé pour palier le vide qui les entoure, comme la jeune Yukari qui en proie en une mélancolie noire s’ouvre les veines et/ou saute dans le « vide » ( depuis sa chambre !). On voit naître des évènements à hauts risques, voire à très hauts risques devenant instantanément des identifiants personnels activant un semblant de fierté contrebalançant l’immédiateté lourdaude des discours ultra-sécuritaire de nos politiciens, et des palabres moraux des parents. Un monde joyeusement sans aucun sens ou la douleur amorce un semblant de vie, d’existence ; ou la mythomanie : « les grands thèmes de notre existence » s’écroule pour faire place au réel sordide ; et ou les actes autocentrés deviennent la règle. Une forme d’angoisse latente à la recherche du bonheur ! A partir de là, on comprend la métaphore informatique durant le viol( cf T3 !). Là ou ça pose problème, c’est que tout système social algébrique donne une impression d’universalité, mais est aussi un puissant narcotique. La marginalisation de notre héros, Mr Nakoshi, qui cherche de nouveau rituel pour sortir de l’angoisse de la solitude est dangereuse car il faut peu de chose pour la paumer.
Plus on avance dans le titre, et de plus en plus, il devient « un shoot de saynètes » laissant les personnages secondaires sur le bord du chemin, par là-meme l’auteur donne l’impression que tout est réglé. L’auteur tentera de s’en sortir, un peu inconsciemment, par une rébellion soudaine de la pression sociale et familiale d’un viol extrêmement ambigu qui n’ouvre sur aucune porte ( meme pas sur du vide- c’est dire !), si ce n ‘est sur des discours stéréotypés : « Jefais ce que je veux avec mon corps » ( mais bien sur !). Mais au final ce n’est pas très concluant. Que le psychisme de notre héros soit perçu comme une mezzanine ( pourquoi pas !), mais l’auteur de débine dans des flottements dès que les lecteurs souhaitent des précisions. Etrangement, cela donne une allusion aux auto-stoppeurs qui attendent patiemment que quelqu’un veuille bien les amener à leur destination, mais comme il n’y a ni autoroute, ni voiture…
C’est au cours du petit déjeuner avec les SDF que notre héros livre ( enfin !) son cynisme sur la hiérarchie pécuniaire, dont il faisait partie, poussant l’un des convive à bout. Mr Nakoshi se retrouvera, comme précédemment lorsqu’il était dans l’océan, sur le dos à mater le ciel. Un ciel dépourvu d’architecture glaciale. L’auteur cherche-t-il à isoler, à perdre son héros dans la nature ? La naiveté flagrante de cette belle planche à clou, mais aussi de la croyance en la naturalisation de l’humain pourrait etre interpréter un peu hativement par des activistes extremistes. A contrario d’autres nous parleraient de l’animalité des humains pour s’empresser de les massacrer.
Ce sont bien des questions fondamentalement douloureuses que pose l’auteur( toujours sans humour, malheureusement !), et ce meme si il ne précise pas sa pensée. Une ébauche de réponses aux problèmes élémentaires répondrait d’une manière enfantine :
« Oui, l’humain est une composante du monde des vivants. Oui l’humain est par nature un etre de culture. Et re-Oui, l’humain est le seul animal capable d’échapper à la condition animale. » Il a suffit de le poser simplement pour qu’il devienne extrêmement compliqué.
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Une fois encore je me suis beaucoup amusée avec ce tome 5. Rencontre avec le (vrai-faux) robot Cartox (pauvre Miura !), coup de main chez les Ayase, rencontre avec Yanda (quel gamin !), découverte des constellations, jeux dans les flaques sous la pluie, petite virée à la mer avec jeux dans les vagues et quête de coquillages, Yotsuba a la pêche et c'est un un régal de suivre ses aventures et de se laisser porter par les situations comiques.
Un vrai moment de détente !
Jack Palmer, détective pas très doué, recherche une jeune femme qui a disparu. Il a retrouvé sa trace ! Elle se serait convertie à l'Islam, porterait le voile et se ferait appeler Yasmina Fatwa. Il se retrouve projeté en plein coeur du monde musulman afin de poursuivre ses recherches.
Une bonne bd sur un sujet délicat. Pétillon pointe du doigt l'intégrisme religieux mais aussi tous les clichés sur l'Islam. C'est drôle, fin, on n'éctate jamais de rire mais on sourit souvent.
Les croisés attendent toujours en Egypte devant la ville de Damiette. Hugues capture une magicienne, Azulah Mariam, qui lui prédit un triste sort sur cette terre d'Egypte. Le chevalier doit faire face à l'hostilité des autres seigneurs français et à leur jalousie mais aussi à Al Mansour l'espion maure qui avait tenté de tuer Louis IX. Cette macabre prédication est-elle fondée ? Hugues va t'il encore s'en sortir ?
Erik Arnoux et Michel Pierret terminent de façon magistrale ce cycle et nous tiennent en haleine pour la suite !
Ca y est les croisés quittent enfin l'île de Chypre pour la Terre Sainte ! Cette septième croisade est gagnée par la rivalité et la jalousie des grands seigneurs du royaume de France. Hugues en est bien sûr victime. Mais les problèmes du seigneur de Crozenc ne s'arrête pas là, une terrible nouvelle venue de France l'attend.
Un nouveau scénariste, Erik Arnoux, qui est largement à la hauteur de son prédécesseur JC Kraehn et les très bons dessins de Michel Pierret font de cette collection un classique de la bd historique.
Nous retrouvons Hugues abandonné au fond d'un puits par le traître Al Mansour. Ce dernier n'a en fait qu'un but : assassiner le roi de france Louis le Neuvième afin de compromettre la croisade. Mais HUgues fait face aussi à la jalousie des seigneurs français qui essaient de récupérer son fief de Crozenc.
Encore une fois un album très réussit. Tous les ingrédients sont là pour nous faire savourer cette bd.
Un nouveau cycle commence, plus exotique, plus trépidant que jamais. Hugues se prépare pour combattre en terre sainte. Il rencontre Guy de Vaucouleurs, un descandant de chevalier chrétien et d'une orientale. Mais qui est vraiment ce dernier ? Hugues doit faire face au doute et à la trahison.
Un excellent album qui inaugure un cyle passionnant.
Afin de conserver son titre, Hughes de Crozenc décide de partir en croisade sous la bannière de son rival le comte de Lusignan. Mais avant cela il doit règler les problèmes qui secouent son fief. Un loup sème la terreur sur ses terres. Mais est-ce un vrai loup ou quelqu'un manipule t'il la peur des gens ?
Excellent album ! A mes yeux l'un des plus réussi, du fait qu'il change du style de la série. On se croirait dans "Le pacte des loups" mais en mieux !
Hugues risque de tout perdre si Ravenaud arrive à prouver qu'il n'est pas le fils du seigneur de Crozenc. Tous les personnages de la série sont réunis dans cet album : Hugues, Alix, Nolwenn, Ravenaud....pour notre plus grand plaisir. Ce qui fait surtout l'intêret de cet bd c'est que l'on apprend enfin la véritable identité d'Hugues dans les dernières pages !
Ravenaud essaye vraiment tout afin de destituer Hugues, le seigneur de Crozenc. Dans cet album, il demande à Harribert Coupe-Nez, un bandit de grand chemin, d'enlever le fils de Roger de Castelnau afin que celui-ci avoue un secret qui pourrait faire tomber Hugues. Encore un scénario aux multiples rebondissements mais un peu en deçà des précédents. Le plaisir reste quand même intact et l'on veut absolument savoir quand Hugues arrivera enfin à coincer Ravenaud. Le dessin de Michel Pierret colle vraiment bien au style de la série et est très agréable aux yeux.
Au début de cet album Hugues, enfant bâtard, devenu seigneur de Crozenc, enterre son fidèle compagnon Sigwald. Nolwenn qui est liée à la mort de ce dernier s'enfuit et rejoint Ravenaud, le vassal félon. Hugues va tout essayer afin de capturer Ravenaud et de casser son mariage avec Nolwenn et de pouvoir épouser la belle Alix. Mais l'affaire se complique lorsque Nolwenn lui apprend qu'elle attend un enfant de lui ! De plus, Ravenaud n'est pas du genre à se laisser faire !
Toujours autant de plaisir en lisant cette bd mais on peut regretter que le scénario soit de moins en moins historique.
Ce huis clos dans le château de Peyrepertuse est passionnant du début à la fin ! Comment Hugues va t'il libérer Alix des mains de Roger de Castelnau et de Guilhem le Creux ? Comment Sigwald va t'il s'y prendre afin d'arrêter Ravenaud, le vassal félon, avant qu'il ne dénonce Hugues ?
Ce magnifique album confirme que Les Aigles Décapités est l'une des toutes meilleures séries d'aventures historiques en bd !
Ca y est les Aigles décapités retrouvent le niveau des premiers albums ! On est projeté, ici, en plein Pays d'Oc, au château de Peyrepertuse, au printemps 1245. La belle Alix est prisonnière de Roger de Castelnau qui veut la marier à son fils Guilhem le Creux. Hugues, apprenant la nouvelle, vole au secours de sa bien-aimée. Mais le chemin qui mène jusqu'à Peyrepertuse est semé d'embuches !
Le scénario de cette série est à nouveau sans faille et le dessin de Michel Pierret commence à véritablement s'affirmer
Hugues est arrivé avec Nolwenn à St Malo afin de récupérer l'argent de la rançon qui doit libérer Sigwald et leur compagnon juif. Ils sont emprisonnés, réussissent à s'en sortir, sont mêlés à un complot qui vise à subtiliser l'argent de la rançon...
On ne s'ennuie pas dans cet album car l'intrigue est bien menée. Mais le dessin est aussi déçevant que dans le tome précédent. Heureusement qu'à partir de la planche 18 JC Kraehn laisse sa place à Michel Pierret qui réussi à améliorer un peu les traits des personnages.
Un nouveau cycle qui commence pour cette série ! Fini les conflits féodaux, voilà que nos deux héros Hugues et Sigwald se retrouvent en pélérinage en Bretagne. Ceux-ci sont capturés par des naufrageurs menés par Goliard, un curé défroqué et Nolwenn, une jeune sauvageonne. Est prisonnier avec eux, un juif qui promet de payer une rançon. Hugues est choisi afin d'aller chercher l'argent à St Malo. Il doit faire avec Nolwenn qui a décidé de laisser tomber la bande de naufrageurs.
Ce premier album du nouveau cycle est un peu déçevant. Le scénario se tient bien mais c'est plutôt le dessin qui déçoit. Patrice Pellerin ne collaborant plus à cette série, c'est JC Kraehn qui s'occupe à la fois du scénario et du dessin. Les planches de la fin de l'album sont de médiocre qualité et les dessins de moins en moins travaillés et fouillés. Dommage pour cette série qui jusque là était sans reproche.
Ce troisième album termine de façon magistal le premier cycle de cette série. Hugues, ayant appris qu'il n'est pas le fils d'un grand seigneur, jette ses dernières forces dans le combat qui l'oppose au bâtard de Cuzion afin de libérer Alix. Blessé lors de cette péripétie, il est accueilli par les moines de Fongombault. C'est dans cette abbaye que l'intrigue autour du conflit féodal qui oppose Alphonse de Poitiers et Lusignan se déroule. Puis pour finir Hugues a même la bonne idée de sauver Louis IX ce qui lui permet de gagner ses éperons d'or et donc de devenir chevalier et seigneur de Crozenc. Malgré une fin un peu rapide cette série est toujours aussi excellente. Ce premier cycle de trois album est donc à lire et relire.
Toujours aussi bien cette série ! Lors de l'hiver 1251 au temps de Louis le neuvième, Hugues et Sigwald ont réussi à s'échapper du château de Crozenc.Enguerran, le seigneur de Crozenc remue ciel et terre afin de les retrouver et de sauvegarder un horrible secret. Celui-ci a fait assassiner le seigneur Renaud, le père de Hugues, lors d'une croisade afin de récupérer le fief de Crozenc. Viennent se mêler à cette intrigue le Seigneur de Lusignan qui projette de renverser son suzerain Alphonse, et le bâtard de Cuzion qui fait enlever le belle Alix, fille d'Enguerran.
On est entraîné du début à la fin dans cette aventure à couper le souffle et sans jamais s'ennuyer !
Deux grands noms de la BD se sont retrouvés dans ce premier album d'une longue série. Et qu'est-ce que ça donne ? : pour moi un chef-d'oeuvre ! Le dessin de Kraehn et le scénario de Pellerin sont vraiment de très bonne qualité.
En 1241 le royaume de France se divise entre différents suzerains. Le comte de Lusignan est au coeur d'un complot qui vise Alphonse, le frère de Louis IX. Enguerran le seigneur de Crozenc et son fidèle vassal Ravenaud semblent eux aussi de mèche. C'est dans ce décor trouble que deux troubadours apparaissent. Mais ceux-ci ne semblent pas être présents chez le seigneur de Crozenc juste pour jongler !
Une bd déjà ancienne qui vient d'être réeditée en intégrale et qui n'a rien perdue de son charme. Le héros Lester Cockney s'est fait enroler de force dans l'armée britannique du XIXe siècle et part en Inde, au Pakistan, au Soudan puis se dirige vers la Hongrie. Une vraie BD d'aventure... on ne s'ennuie pas.
Apparement les avis sont très partagés ! N'étant pas un inconditionnel des Blacke et Mortimer j'ai quand même lu cet album avec un grand plaisir. Le scénario et le dessin réussissent à nous rendre les héros si distants de Jacobs enfin accéssibles. L'humour est très présent dans cette parodie mais tout en respectant l'oeuvre originelle.
C'est un bon polar que nous livrent ici Tardi et Malet. Le dessin colle parfaitement à l'ambiance de cet album et le scénario est bien ficelé.
Ce premier opus de la nouvelle collection de polar historique des Humanoides Associés est interressant. Le scenario de P.Weber passe de personnages en personnages, ou plutôt de suspects en suspects, l'intrigue s'installant petit à petit mais les personnalités de ces derniers restant donc peu fouillées. Novikov, le héros, ce beau policier de Saint Petersbourg,un peu grande gueule, nous devient presque attachant. Le scénario exploite bien le mystère qui plane autour de la mort de sa femme. Enfin le dessin de B.Brindisi est assez original et correspond bien à l'ambiance de la série.
Ce dernier album du premier cycle de la série tourne autour du mariage de Tosca avec Angelina, la fille de don Paliacci. Durant cette journée tous les protagonistes veulent en profiter afin de se débarrasser d'un adversaire. Les Tosca, les Palliacci, la DEA...tout le monde pense réussir son coup. Le problème c'est que Tosca commence à se méfier de la DEA, des Palliacci et prépare lui même son plan. Qui va sortir vainqueur de ce bras de fer ? Angelina est-elle vraiment amoureuse de Tosca ou celui-ci doit il s'en méfier? Cicéro, l'amant jaloux d'Angelina, va t'il réussir à se débarraser de Tosca, son rival? Toutes les réponses sont dans cet album qui est mené tambour battant par Desberg bien accompagné au dessin par Vallès. Vivement le deuxième cycle de la série !
Ca y est Tosca apprivoise son nouveau rôle. Il fréquente dealers, prostituées, parrains...En jouant très bien son personnage de John Tosca il réussit à se faire parfaitement passer pour lui aux yeux de tous. Mais après avoir passer un accord avec don Paliacci pour la vente de coke il doit épouser Angelina, la fille de son nouvel allié. Elle est si belle mais aussi mystérieuse...Cicéro, l'âme damné de Paliacci voit d'un mauvais oeil cette relation . Tosca voit les ennemis se multiplier autour de lui et même la DEA qui lui avait permis d'infilter le clan semble jouer un double jeu. Ce deuxième opus de la série nous plonge encore dans l'action, la violence, les complots au sein de la mafia et le personnage de Tosca tiraillé entre sa volonté d'éradiquer la drogue (qui a tué son frère) et ses nouvelles fonctions au sein du clan, commence à devenir très attachant.
Un jeune venge son frère, mort d'une overdose, en descendant dans la rue deux dealers. La lutte anti drogue des Etats-Unis décide de l'embaucher afin d'infiltrer les parrains. Il prendra la peau de John Tosca, le fils de Sandro Tosca. Mais ce dernier est victime d'un règlement de compte et le nouveau John devient le chef du clan. Tosca doit infilter la famille Tosca sans se faire démasquer, se méfier du nouveau clan émergent des Paliacci et de son âme damné Cicero. Ce premier album mélange très bien action, suspence, jolies filles, sentiments... A lire absolument.
Ce troisième est mieux réussi que le précédent. Malgrè tous les ingrédients d'une bonne histoire d'aventure ( pirates, chasse au trésor, île mystérieuse, complot...) je n'ai pas trop accroché. Même si le dessin est très bon le scénario de cette série n'arrive pas trop à s'affirmer. Mais la lecture reste tout de même agréable
Quelle déception ! Autant le premier tome promettait beaucoup autant celui ci m'a ennuyé. J'ai eu l'impression de lire pleins d petites histoires à la suite et non un seul et même scénario. Nos trois nouveaux pirates perdent leur bâteau mais en quelques pages il est déjà récupéré. Puis, El Gallio décide de s'arrêter sur une île et de faire jouer ses relations ( il est le cousin du roi d'Espagne) pour renflouer les caisses des pirates. Bien sûr il y retrouve Timmy qui avait disparu lors de la prise du bâteau et y rencontre Paloma une belle jeune fille courageuse. Enfin on se retrouve projeté sur l'île de la Tortue où une prostituée du nom de Jeanne leur parle d'un trésor...les 3 pirates et leur équipage se prépare donc à partir à la chasse mais je ne sais pas trop si j'ai envie de les suivre !
Un premier album prometteur. Celui-ci nous raconte comment 3 hommes différents sont en fait promis à un même destin : la piraterie. Il y a Augustin Ambroise d'Aubert, le médecin, Juan Miguel Lopez y Vega dit "El Gallio", coureur de jupons et fine lame, et enfin John Woodlof, marin. Tous les trois sont des déçus de l'ancien monde et se retrouve finalement car le destin et la mer les ont réunis. Un scénario vraiment sympa qui croise les 3 personnages et des dessins de qualité. Pas mal
Une très belle histoire, pleine de poèsie, de bons sentiments et de simplicité. Blaireau, lapin, taupe nous font vivre avec tendresse des moments simples : un repas, les amis, Noel... Crapaud lui est condamné à 20 de prison car il est toujours fou de vitesse et d'automobile.
Une très belle histoire, des dessins magnifiques... à mettre dans les mains des personnes de 7 à 77 ans.
Tous les ingrédients sont là pour faire une bonne bd d'aventure :mafia, corruption, complot, terrorisme, vol d'ogives nucléaires...tout cela dans un cadre glacial, c'est-à-dire la Russie qui sort à peine de la période communiste. Le problème c'est que ça ne prend qu'à moitié. On ne s'ennuie pas en lisant mais ce n'est pas non plus le nirvana. Jean-Yves Delitte, qui est au scénario et au dessin, nous serre donc une bonne bd qui passe le temps mais pas une bd qui passionne.
Quelle déception j'ai eu en lisant les dernières pages de cet album ! Une série qui était jusque là vraiment passionnante ! Les trois premiers albums et le début de celui-ci restent du côté réaliste et dans les dernières pages, tout d'un coup, on sombre dans le fantastique. Pas très convaincant. Dommage.
Le mystère se poursuit autour de ce troisième testament. Comment nos héros prisonniers dans une île perdue et sombre vont-ils s'en sortir ? Vont t'ils réussirent à devancer la horde des guerriers qui se dirigent vers le monastère de St Luc ? Quel est le rôle des Templiers dans cette affaire?
Beaucoup de questions qui trouvent réponse, ou en partie, dans cet album de très très bonne qualité.
Un album qui nous entraîne de Tolède à l'Ecosse en plein Moyen Age. Entre l'Inquisition, les Templiers et le mystérieux troisième testament on ne s'ennuie pas ! Mais dommage que le côté historique ne soit pas plus fouillé et que les situations commencent à devenir un peu "grosses". Un peu déçu, donc, par rapport au 1er album qui était si prommeteur
Un excellent premier album pour cette série. En plein Moyen Age, dans une ambiance sombre et mystérieuse un ancien inquisiteur essaye de percer un des secrets de l'Eglise. Son meilleur ami est mort à cause de cette histoire et lui même est en grand danger, il est pourchassé par un groupe de mystérieux tueurs...
Le scénario est très bien mené et mélange très bien action et suspense. Le dessin est lui aussi très agréable et son côté sombre colle bien au style de cette série.
Un premier tome prometteur pour cette nouvelle série de Franck Giroud. Un mystérieux tableau, peint par Hans Roeghin en 1477 représente une scène intervenue bien après sa mort ! Les descandants des personnages dessinés sur la toile trouvent les uns après les autres la mort, tués par un carreau d'arbalète du XV siècle. Cette vengeance qui se poursuit au-delà du temps nous tient en haleine !
Dans le fin fond de la Lituanie médiévale, un complot seigneurial vise à compromettre le connétable Wilhelm von Schoneberg. Cinq siècles plus tard Adam Roback croit acquérir cette oeuvre par hasard avant de s'aperçevoir qu'il est le descendant de l'un des personnages représenté sur le tableau de Roeghlin. Aussi, un mystérieux tueur à l'arbalète s'en prend à tous les descendants de ces personnages, dont Adam.
On ne s'ennuie pas, on est même captivé par l'intrigue. Dommage que le dessin ne suive pas toujours.
Très belle BD sur la vie des enfants des rues dans un bidonville de Medellin en Colombie. Le petit Joan, enfant de 10 ans se drogue, tue, vole, et tout ça sans remord. Un seul homme lui veut du bien, c'est Miguel, qui se dévoue corps et âme pour ces gamins des rues.
C'est poignant, c'est triste, on ne sort pas indemne de cette lecture.
Enfin une vraie bd "historique" ! Dufaux et Delaby nous plongent dans l'univers passionnant de l'empire romain aux temps de l'empereur Claude. La corruption, la trahison, l'ambition sont présents partout avec Agrippine, Pallas... Néron lui est partagé entre des sentiments nobles et sa soif de pouvoir exacerbée par la présence de sa mère Agrippine.
Le côté historique important laisse, quand même, la place à une histoire plus romancée. Les dessins sont magnifiques.
Un vrai plaisir pour tous les amateurs d'histoire.
Une bonne biographie de Vlad Dracul le personnage qui inspirera Dracula. Les amateurs d'histoire y trouveront leur compte surtout les médievistes. L'histoire de la Valachie, région de l'Est, est très interessante à découvrir. Cette bd manque peut être un peu de rythme.
Très bonne bd historique et très bien documentée ! L'histoire met en scène un journaliste qui s'interroge sur le sort d'un ancien résistant français qui a ensuite disparu pendant la guerre d'Indochine. Est-il mort d'une balle perdue, est-il passé du côté indochinois...? Le scénario de Frank Giroud est excellent et original et les dessins de Lax très bien adaptés à l'histoire.
Très très amusant ! La politique internationale revue par Jul ... ! Centrée sur les personnages de Bush et Ben Laden, cette histoire est pleine de gags bien trouvés. la politique impérialiste américaine et l'intégrisme en prennent pour leur grade.
Au final c'est une bande dessinée qui réussie à nous faire rire par rapport à des évènements contemporains durs ... une réussite.
Une très belle et très émouvante bande dessinée qui sait être à la fois intelligente et intéressante . Un collectif de dessinateurs illustrent admirablement vingt lettres écrites par des Poilus durant la Première guerre mondiale. Certaines sont tristes, d'autres drôles et certaines effroyables mais toutes nous poussent à nous interroger sur la bêtise de la guerre.
Sans conteste, l'album le plus mauvais de toute la série ! Mais où est donc passé le Alix des premiers albums qui m'a fait aimé la bande dessinée ? Les personnages, les dialogues et l'intrigue sont devenus sans consistance et l'apparition dans cet album de géants mi-hommes, mi-crocodiles est même consternante. Il faut donc beaucoup de courage afin d'arriver à la fin de cette bd.
Quel dommage d'en être arrivé là !
Cet album s'inscrit dans la lignée des derniers Alix, c'est-à-dire avec des dessins et un scénario très déçevants. Dommage de ne pas s'être arrêté plutôt, les premiers albums sont si agréables à lire et à regarder !
C'est un bon western que nous proposent Desberg et Marini dans ce double album. Ambiance de Far-West, meurtre, vengeance ... tout est là. C'est aussi et surtout une belle occasion de réflechir sur la notion de civilisation.
Pascal Croci nous livre ici une Bd intelligente sur un thème pas facile à aborder : l'extermination des Juifs durant la seconde guerre mondiale. Les dessins et le scénario restent toujours justes. A mettre aussi bien dans les mains des adolescents que des adultes.
Pendant que Trabaldi fait règner la terreur sur Rome, le Scorpion court toujours après sa croix en Orient. Accompagné de gens peu recommendables il poursuit donc sa quête. Ce tome cloture le premier cycle et fait donc place à de nombreuses révélations. Un album palpitant !
Rattrapé par Rochnan, l'âme damnée de Trebaldi, le Scorpion tente toujours de retrouver la croix de Saint Pierre. De plus la redoutable Ansea Lattal l'a devancé. Une véritable course poursuite s'engage donc à travers la Cappadoce. Tous nos héros se retrouvent finalement à Karabas !
Un alum plus exotique que les précédents, cela change mais reste toujours aussi passionnant !