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c'est quoi cette blague!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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De petites histoires courtes sur fond de "conquista portugaise" aléatoire, chacun en prend pour son grade et l'esprit de bord est libertaire et désopilant. Le dessin est vraiment superbe, les dialogues savoureux et la dynamique de l'aventure fonctionne à merveille. A lire et relire avec un bonheur intact !
La vie de Stark, bonne idée pour un tome qui manque toutefois d'un peu d'action. Sinon l'humour est au rendez-vous, et c'est plutôt une bonne nouvelle, car à vrai dire il ne s'essouffle pas trop. Imaginez Stark professionnel de la couture, et le sujet est vite porteur. A lire.
-
Vagabond
T25
Miyamoto Musashi tue Denshichiro, revoit furtivement Otsu, rencontre son ancien ami Matahachi Hon’iden ( elle finira d’ailleurs sur un coup de poing !), fait le point sur sa condition de bretteur, par la suite une requête du Dojo Yoshioka lui sera proposée ( se battre contre les 70 !), puis il finit par retrouver son ancien ami : le Bonze.
A force de répéter a Mushashi, et qu’il se dise à soi-meme qu’il y a un an, il était un campagnard plein de rage ( tout ça, tout ça !), il agira comme tel à la fin du tome. Soit, on parle peu et l’on se soumet au contexte instantané ( ce que font nos sociétés de plus en plus !), ou bien on parle beaucoup plus, on éprouve alors ce que nos mots représentent.
(attention ! On peu parler beaucoup sans émotion, d’une manière idéologique, comme dans un certain titre dont je ne citerais pas le nom !)
Un choix s’impose donc : se soumettre aux impressions plantées en nous par le milieu, ou se soumettre aux sentiments éprouvés par nos représentations.
De là, à considérer l'émotion comme une faiblesse ( Ueda!), il y a un pas que je me garderais bien de franchir.
Ajoutons à cela le coup de pinceau ensorcelant de l’auteur, et l’on obtiendra l’un des titres les mieux réussit du moment.
-
Cet album m'a véritablement pris aux trippes. Derrière une histoire loufoque
se cache un étonnant récit dont le resort principal semble être l'absurdité de la
situation vécue par le personnage principal, héros malgré lui et mort
programmé. Une absurdité atroce, angoissante et terrible.
Une grande réussite sur sa totalité.
j'ai pas du tout aimé cette série (dont j'ai lu les 3 premiers tomes) mais vu les
notes qu'elle reçoit ici, je suppose qu'il doit y avoir du bon dedans. J'ai dût
passer à côté mais ne change pas d'avis.
Icare a été beaucoup critiqué, et ce dès sa sortie, à cause de son côté "non-
fini". J'attache pour ma part en général plus d'importance au "resentit" qu'à
l'histoire, et ce côté ne m'a donc jamais gêné. Je comprends néanmoins tout à
fait que cet album ne fasse pas l'unanimité.
L'étrangeté du scenario y contraste avec la rationalité et la précision des
dessins de Taniguchi. Ce dernier s'est d'ailleurs surpassé, nous offrant sans
doute les plus belles images qu'il ait jamais dessiné, maîtrisant parfaitement
son noir-blanc-gris. Grâce à un découpage plus que soigné, ces 280 pages
souvent muettes sont sublimes. La douce poésie de Taniguchi est poussée à
son paroxysme, cotoyant la mélancolie, la tristesse et la cruauté.
Cette histoire aux allures de thriller politico-historique ne se limite
heureusement pas à ce seul aspect. Il s'agit avant tout de tragédies, de
drames humains et de détresses personnelles : Osamu Tezuka dépeind avec
un réalisme très rare la psychologie de ses personnages. C'est véritablement
boulversant et saisissant. L'absence totale de manichéisme chez les
personnages ne s'est jamais vu ailleurs poussés à un tel degré que dans ce
livre, ce qui donne au récit une justesse et une objectivité unique.
Le dessin, assez simpliste et essayant maladroitement de se rapprocher de
celui des BD réalistes n'est pas gênant à partir du moment où on s'y habitue.
Un chef-d'oeuvre profondément humain.
Le norvégien Jason nous raconte ici l'histoire de toute une vie en une
soixantaine de pages de seulement 6 cases chacune, qui en plus sont
casiment toutes muettes. Une fois le livre terminé on se demande encore
comment l'auteur a put réussir à en dire autant avec si peu.
À travers un univers particulier et récurent (tous les personnages sont des
animaux, etc...), un dessin noir et blanc minimaliste très réussit, un art de
l'ellipse époustouflant et un récit qui se divise plus que jamais en pages (à
chaque page sa tranche de vie), Jason nous livre un album tout en finesse,
plein de mélancolie et de tristesse, de tendresse aussi, nous montrant le
désespoir d'un homme rongé par la mort de son ami d'enfance.
Ce livre boulversant est unique et difficilement descriptible, l'art de Jason se
rapprochant d'une certaine manière de celui d'un Chris Ware. La solitude, les
ravages de l'amour et la mort sont les thèmes principaux de cette BD qui, plus
qu'une BD poétique, est une poésie en BD, dans toute sa simplicité.
À l'heure actuel, ce troisième album de "Blacksad" est le plus humain de la
série, le plus dense, le plus tragique, alignant portraits recherchés et drames
psychologiques. Plus posé que ses prédécesseurs, "Âme Rouge" est une
grande réussite.
Un album génial au rythme étonnant, avec des dialogues à couteaux tirés où
les phrases tranchantes fusent comme des balles de 11.43, et un scenario où
les resorts tragiques ne peuvent être que des plus.
L'intérêt de "Blacksad" tient tout d'abord dans l'étonnant bestiaire qui nous est
présenté. En effet, jamais on avait vu en BD une série si réaliste dont les
protagonistes étaient exclusivement des animaux. Le talent avec lequel Juanjo
Guarnido dessine ces bêtes-là est impressionant. Il réussit à leur donner une
allure, des positions et des expressions profondément humaines sans pour
autant dénaturaliser leur aspect d'origine. Le dessin est sobre mais varie
parfois vers des tons plus gais, plus joyeux, étant dans l'ensemble extrêment
vivant. Ajoutez à cela une qualité certaine du trait et des cadrages parfaits,
souvent sublimes, et le dessin de Guarnido brille de toute sa sombre
splendeur.
Quand à ce premier album, il fut remarqué et applaudit plus pour l'originalité
de la nature des personnages que pour celle du scenario. Ce dernier n'est pas
mauvais mais sans plus, classique, les textes en voix off étant beaucoup trop
envahissants et gênants.
Au cours des deux histoires de cet album, c'est dans la forêt amazonienne que
l'on retrouve Corto Maltese. La "Lagune des Beaux Songes" est un très beau
récit d'où émane une envoûtante magie tandis que "Fables et Grands-Pères"
reste un bon cran en dessous.
Au cours des trois histoires de cet album, c'est dans la forêt amazonienne que
l'on retrouve Corto Maltese. Ce sont principalement des histoires d'aventure
qui nous sont racontées ici. Des histoires que par ailleurs je trouve assez
ratées.
Cet album réunissant trois histoires d'une vingtaine de pages chacune raconte
les voyages de Corto Maltese à travers l'Amérique du Sud et les caraïbes. Il
s'agit d'un enchaînement d'histoires d'aventure où magie noire, vieilles cartes
au trésor et mystérieuses intrigues s'entremêlent.
L'album n'est pas désagréable à lire, mais du fait du manque de place, il y a
un surplus de texte à chaque case, ce qui devient parfois barbant.
Cet album réunissant trois histoires d'une vingtaine de pages chacune raconte
les voyages de Corto Maltese à travers l'Amérique du Sud et les caraïbes. Il
s'agit d'un enchaînement d'histoires d'aventure où magie noire, vieilles cartes
au trésor et mystérieuses intrigues s'entremêlent.
L'album n'est pas désagréable à lire, mais du fait du manque de place, il y a
un surplus de texte à chaque case, ce qui devient parfois barbant.
Des histoires plaisantes dans les zones désertiques de l'est africain, des
aventures guerrières agréables à lire, et surtout Cush, un personnage
fascinant qui donne tout son intérêt à cet album.
Les Celtiques raconte le passage de Corto Maltese en Europe pendant la
Première Guerre Mondiale.
Trois chapitres m'ont particulièrement plus dans cet album : "Sous le Drapeau
de l'Argent", "Songe d'un Matin d'Hiver", et "Côtes de Nuits et Roses de
Picardie". Le premier des trois est un régal à lire pour sa légèreté et sa
drôlerie, la multiplication des personnages permettant une multitude
d'évènements simultanées. Le second brille par sa magie et son originalité,
nous portant au sein des mythes celtiques. C'est d'ailleurs un grand classique
de la série. Enfin, le dernier chapitre est une très grande réussite
scénaristique, avec une histoire qui m'a véritablement régalé.
À travers une région dévastée par la guerre et la violence (l'Asie du nord-est),
Corto Maltese vit une aventure où s'entremêlent coups de feu et coups de
couteau et où des personnages atypiques font leur apparition, tous plus
extrêmes les uns que les autres, que ce soit dans la cruauté ou le romantisme
(il y a notammant le Baron Von Ungern-Stenberg, le plus étrange de tous en
plus d'être un personnage historique).
Un album grandiose, une aventure superbement racontée où la rudesse des
caractères va de paire avec celle des décors. La cruauté de l'homme et le
chaos de toute une région sont très bien retransmis. Selon moi, il s'agit là du
meilleur album de la série, et c'est incontestablement un grand classique du
9e Art.
Toute l'action se passe à Buenos Aires, et Corto Maltese est un héros un peu
passif. Il se pose plus en spectateur qu'en acteur. L'ambiance, elle, est noire.
Proxos et macros de toutes nationalités d'Europe se massacrent sur fond de
Tango.
J'aime beaucoup cet album au charme unique, ressemblant par certains côtés
à "Fable de Venise" (l'action se passe dans une seule ville, il ne s'agit pas
d'une aventure, l'histoire est plutôt calme...) mais avec une saveure en plus,
une sorte de goût amer dût au calme et à la lenteur de certaines scènes, et
renforcé par la fin de l'album. L'ambiance sombre et glauque est des plus
prenantes.
C'est la troisième fois que Corto Maltese se rend à Venise, la deuxième que
son séjour nous est raconté. Ici, le héros maltais hère à travers les ruelles et
les cours de Venise, pas celle des cartes postales, mais la Venise des
mystères, la Venise des légendes, la Venise des cours cachés et des sociétés
secrètes... La Venise des fables...
Une belle histoire romantique et posée,différente de ce qui s'était vu dans les
précédents albums de la série. Il ne s'agit pas d'un album que j'apprécie
énormément, mais il est vrai qu'Hugo Pratt a signé avec "Fable de Venise" une
très belle bande dessinée.
La quête (initiatique?) de Corto Maltese et de ses amis d'Amérique du Sud
pour retrouver le royaume perdu de Mû.
Première chose à souligner : la très mauvaise qualité des dessins, qui sont
carrément baclés, même si cela est en harmonie avec la spontanéité du
scenario. Scenario qui laisse à désirer... À trop vouloir nous emmener dans la
monde des songes, Hugo Pratt rate ses effets et rend le fil du récit
insaisissable. Cela reste un avis personnel. "Mû", on aime ou on aime pas.
La Maison Dorée De Samarkand raconte le périple de Corto Maltese à travers
l'Asie orientale et mineure, le long de la route de la soie.
Un album très plaisant à lire où l'humour omniprésent et la spontanéité des
dialogues sont des plus, mais dont le scenario semble un peu baclé, surtout
pour une aventure de cette envergure. Les scènes où apparaît Raspoutine
sont des pures plaisirs, au meme titre que les divers rêves et étrangetés
semés dans le récit.
Ce récit est d'une très grande puissance romanesque, passant de la simple
aventure au drame humain, les relations entre les personnages et le
dévoilement progressif de leur personnalité étant très bien mis en scène.
L'intérêt principal de l'album tient dans son panel de personnages, dont le plus
intéressant semble être le Moine, mégalomane susceptible qui est en faite un
homme tourmenté et à moitié fou. Sans oublier Raspoutine, Pandora, Caïn,
Cranio, Tarao et Slütter, qui sont autant de personnages à la personnalité
profonde et attachante. Et Corto Maltese bien sûr.
Rêves et fables attendent Corto Maltese dans ce récit qui se déroule en
Suisse.
Un album très étrange étant donné qu'il s'agit d'un songe pendant la majeure
partie du récit. Les bizarreries du récit sont plaisantes et originales, mais le
côté envoûtant qu'Hugo Pratt a voulu donner à cette histoire n'est pas
réelement réussit.
Comme l'indique son titre, cette histoire se passe pendant la jeunesse de
Corto Maltese. Mais il n'y apparaît que comme un personnage secondaire, et
on parle de lui plus qu'on ne le voit dans cette Chine qui vient de sortir de la
guerre russo-japonaise.
Cette album m'a semblé assez baclé par Pratt, et les Raspoutine et Corto
Maltese jeunes déçoivent. En revanche, le personnage de Jack London est très
attachant.
La quête (initiatique?) de Corto Maltese et de ses amis d'Amérique du Sud
pour retrouver le royaume perdu de Mû.
Première chose à souligner : la très mauvaise qualité des dessins, qui sont
carrément baclés, même si cela est en harmonie avec la spontanéité du
scenario. Scenario qui laisse à désirer... À trop vouloir nous emmener dans la
monde des songes, Hugo Pratt rate ses effets et rend le fil du récit
insaisissable. Cela reste un avis personnel. "Mû", on aime ou on aime pas.
Toute l'action se passe à Buenos Aires, et Corto Maltese est un héros un peu
passif. Il se pose plus en spectateur qu'en acteur. L'ambiance, elle, est noire.
Proxos et macros de toutes nationalités d'Europe se massacrent sur fond de
Tango.
J'aime beaucoup cet album au charme unique, ressemblant par certains côtés
à "Fable de Venise" (l'action se passe dans une seule ville, il ne s'agit pas
d'une aventure, l'histoire est plutôt calme...) mais avec une saveure en plus,
une sorte de goût amer dût au calme et à la lenteur de certaines scènes, et
renforcé par la fin de l'album. L'ambiance sombre et glauque est des plus
prenantes.
La Maison Dorée De Samarkand raconte le périple de Corto Maltese à travers
l'Asie orientale et mineure, le long de la route de la soie.
Un album très plaisant à lire où l'humour omniprésent et la spontanéité des
dialogues sont des plus, mais dont le scenario semble un peu baclé, surtout
pour une aventure de cette envergure. Les scènes où apparaît Raspoutine
sont des pures plaisirs, au meme titre que les divers rêves et étrangetés
semés dans le récit.
C'est la troisième fois que Corto Maltese se rend à Venise, la deuxième que
son séjour nous est raconté. Ici, le héros maltais hère à travers les ruelles et
les cours de Venise, pas celle des cartes postales, mais la Venise des
mystères, la Venise des légendes, la Venise des cours cachés et des sociétés
secrètes... La Venise des fables...
Une belle histoire romantique et posée,différente de ce qui s'était vu dans les
précédents albums de la série. Il ne s'agit pas d'un album que j'apprécie
énormément, mais il est vrai qu'Hugo Pratt a signé avec "Fable de Venise" une
très belle bande dessinée.
Les Celtiques raconte le passage de Corto Maltese en Europe pendant la
Première Guerre Mondiale.
Trois chapitres m'ont particulièrement plus dans cet album : "Sous le Drapeau
de l'Argent", "Songe d'un Matin d'Hiver", et "Côtes de Nuits et Roses de
Picardie". Le premier des trois est un régal à lire pour sa légèreté et sa
drôlerie, la multiplication des personnages permettant une multitude
d'évènements simultanées. Le second brille par sa magie et son originalité,
nous portant au sein des mythes celtiques. C'est d'ailleurs un grand classique
de la série. Enfin, le dernier chapitre est une très grande réussite
scénaristique, avec une histoire qui m'a véritablement régalé.
Au cours des cinq histoires de cet album, c'est dans la forêt amazonienne que
l'on retrouve Corto Maltese. Ce sont principalement des histoires d'aventure
qui nous sont racontées ici. Des histoires que par ailleurs je trouve assez
ratées, à l'exception de la "Lagune des Beaux Songes", un très beau récit d'où
émane une envoûtante magie.
À travers une région dévastée par la guerre et la violence (l'Asie du nord-est),
Corto Maltese vit une aventure où s'entremêlent coups de feu et coups de
couteau et où des personnages atypiques font leur apparition, tous plus
extrêmes les uns que les autres, que ce soit dans la cruauté ou le romantisme
(il y a notammant le Baron Von Ungern-Stenberg, le plus étrange de tous en
plus d'être un personnage historique).
Un album grandiose, une aventure superbement racontée où la rudesse des
caractères va de paire avec celle des décors. La cruauté de l'homme et le
chaos de toute une région sont très bien retransmis. Selon moi, il s'agit là du
meilleur album de la série, et c'est incontestablement un grand classique du
9e Art.
Cet album réunissant six histoires d'une vingtaine de pages chacune raconte
les voyages de Corto Maltese à travers l'Amérique du Sud et les caraïbes. Il
s'agit d'un enchaînement d'histoires d'aventure où magie noire, vieilles cartes
au trésor et mystérieuses intrigues s'entremêlent.
L'album n'est pas désagréable à lire, mais du fait du manque de place, il y a
un surplus de texte à chaque case, ce qui devient parfois barbant.
Des histoires plaisantes dans les zones désertiques de l'est africain, des
aventures guerrières agréables à lire, et surtout Cush, un personnage
fascinant qui donne tout son intérêt à cet album.
Ce récit est d'une très grande puissance romanesque, passant de la simple
aventure au drame humain, les relations entre les personnages et le
dévoilement progressif de leur personnalité étant très bien mis en scène.
L'intérêt principal de l'album tient dans son panel de personnages, dont le plus
intéressant semble être le Moine, mégalomane susceptible qui est en faite un
homme tourmenté et à moitié fou. Sans oublier Raspoutine, Pandora, Caïn,
Cranio, Tarao et Slütter, qui sont autant de personnages à la personnalité
profonde et attachante. Et Corto Maltese bien sûr.
Tout le long de cet album, Jiro Taniguchi raconte chapitres après chapitres les
promenades d'un homme à travers les rues et les paysages de la banlieue
tranquille d'une ville de province japonaise. À chaque chapitre sa promenade,
et à chaque promenade sa particularité. Cet "Homme qui marche" prend le
temps d'observer ce qui se passe autour de lui et ne perd aucun des détails
qui l'entourent. Partageant ses découvertes avec sa femme, ce promeneur
semble se satisfaire de choses simples et vit dans un mélange de bonheur et
de douce mélancolie.
Taniguchi signe-là une très belle bande dessinée, un récit unique d'une rare
poésie. De par des cases la plupart du temps muettes, on apprécie encore
plus les magnifiques dessins du maître japonais, pleins de netteté et de
fraîcheur. Une douce mélancolie resort de ce livre, à lire posément pour
pouvoir pleinement en profiter.
Une très belle édition de luxe est éditée par les BD Fugue Café, à 250 exemplaires, comprenant 12 pages de bonus superbes, 2 ex-libris, couvertures exclusives avec dos en similicuir noir, et signés bien sûr !!
Des visuels dispos sur http://bdfugueannecy.blogspot.com/
Recueil de 5 histoires parues dans Fluide Glacial à l'exception de la "préhistoire de la poste". L'humour décalé de Goossens fonctionne en régime de croisière ; les entrées en matières, les développements et les chutes empruntent toujours le même type d'inspiration délirante, auxquels des formulations pseudo-littéraires et des enchaînements pseudo-scientifiques donnent un éclat que l'on ne trouve pas ailleurs dans la BD. Et, comme d'habitude, certaines histoires (ce ne sont pas vraiment des gags) tombent à plat - même si on apprécie finement tous les éléments réunis pour nous faire rire, même si on jubile - et d'autres, comme l'introduction de la "Princesse aux petits poix" ou la digression sur le muscle du mollet dans "Adieu mélancolie", font rire aux éclats.
Dans la digne suite de l'oeuvre de Schuiten/peeters. Pas non plus surprenant remarquez, on est dans la même ambiance, on retrouve l'univers des auteurs avec le même plaisir. J'attends la suite (et fin) avec impatience...
Par contre j'aurais apprécié que la couverture intérieure soit cartonnée plutôt que souple. C'est fragile comme ça et ça manque de classe... Pire encore le papier... Quel dommage de ne pas éditer ce travail noir et blanc sur un papier de qualité, comme chez Futuropolis par exemple... Y'en a marre de ces noirs brillants qui remontent !
L'histoire se situe à la fin de la 2e guerre mondiale. Le sujet traité est assez délicat : l'occupation allemande dans les années 40 et les injustices commises lors de la libération.
Par le biais d'une famille française déchirée par l'occupation allemande, l'auteur nous plonge dans cette époque tourmentée. L'histoire est simple, racontée sans trémolos mais avec une poignante vérité.
Le dessin est axé sur les personnages et plus particulièrement les visages.
Je recommande cet album, il parle de la seconde guerre mondiale sous un angle peu commun.
Je recherche absolument cette BD si quelqu'un l'a et ne la veut plus je suis pret a l acheter. Ou alors si quelqu'un peut me dire la ou je peux l'acheter. Je vous en remercie d'avance.
Sympa dans l'ensemble. Le côté historique est intéressant, les histoires de culs, limites nunuches, beaucoup moins. J'avais de loin préféré les courtes histoires du "Dernier Envol". Le dessin est très plaisant.
Waouh ! Mélange (d)étonnant...un petit canard (tout mignon) en privé "dur à cuire" (quoique !), une histoire toute lovecraftienne, des scènes crus et incongrus avec quelques touches d'humour pour détendre un peu une ambiance plutôt lourde et oppressante. Le dessin est très beau et colle bien à l'ambi(val)ance de la BD. Un truc à lire quoi !
Des années d'attente, des années à imaginer une suite au destin follement romanesque de Julie et Bernard, des années à prolonger la série (le roman graphique devrais-je dire) par l'iconographie à la fois sensuelle et puissante d'Yslaire. Puis, enfin, il arrive ce cinquième album. Et là, une pointe de déception. L'histoire d'abord est plus que simpliste, l'album ne fait qu'un état des lieux de la famille après cette longue absence, nous présentant le destin de Julie et nous faisant rencontrer son fils. Rien de plus... Pas de souffre muystérieux ou romantique, par d'histoire d'amour. Juste la haine que traduit le dessin à mon goût trop maniéré d'Yslaire. Les personnages ne semblent plus que les carricatures de ce qu'ils ont été et c'est sans doute voulu puisque Sarah qui n'a pas changé conserve le même visage. mais où est le charme envoûtant de Julie. La rage lui donne des traits anguleux qui, personnellement, ne me sied pas.
L'avis qui suit est uniquement basé sur la lecture du 1er tome "les cent premiers jours"
Un super héros préfère raccrocher son costume et se lancer à la conquête de la mairie de New York, la politique étant un moyen bien plus efficace à ses yeux que des super pouvoirs pour faire le bien.
ce comics est plus une relecture qu'une réinvention du mythe du super héros. Tout l'intérêt réside dans le dilemme "politique/super pouvoirs". On peut y trouver un grand intérêt au fil de la lecture de ce tome, ou comme moi, considérer que la narration de ce dilemme reste superficielle et sans grande surprise.
Mais à chacun son analyse !
-
MPD Psycho
Tome 11
Très souvent, on parle de cette série comme ceci : « Yosuke Kobayashi est un brillant profiler de la police de Tokyo. Un jour son existence s’écroule car il vient de recevoir le tronc de sa petite amie dans un carton. Fou de rage, il traque le meurtrier puis au moment de le tuer une autre personnalité apparaît et tue le meurtrier de sang-froid. »
Tout en mettant l’eau à la bouche, on voit à quel genre de série on a à faire rapidement, sauf qu’il est bien plus enthousiasment de la voir comme ceci.
Une société humainement en crise ( heureusement le Japon n’est pas la seule ! !) par l’aval de son gouvernement ( éloge de l’ultra-sécuritarisme !) créée un programme : une sorte de bidouillage génétique. Mais comme les déterminismes humains sont à courtes échéances : l’un des projets par en couille complète, un massacre prend jour, et l’un des trois rescapé s‘accapare les personnalités des morts, et bridera tous les nouveaux projets de perfectionnement. ( Ils ont tous un code barre, ou quelque chose d’écrit dans le blanc de l’œil !)
Résultat, ça créée de merveilleux petit sadique ! ! !
Le Mythe de Lucy Monostone ne servant qu’en tant que référent, signe, code d’un accroissement de puissance par le reve du sujet.
Un panurgisme psychanalytique qui éveille au meurtre ! ! !
On nage, en fait, en pleine « science fiction » sans conception supérieure, ni fanatisme identitaire.
Au final, le lecteur se bidonne à mort s’il ( ou elle !) est capable de saisir l’intelligence fanfaronne du titre.
-
Une fin un peu déçevante. Les mystérieux linceuls ne sont en fait pas si mystérieux et l'on sort légèrement bredouille de plusieurs heures de lecture.
Au final, Laurent Bidot nous fait beaucoup espérer dans le scénario ambitieux de cette série pour un résultat assez moyen mais pas désagréable.
Ce troisième tome de la série est plutôt réussi. Le scénario est plus consistant que le tome précédent et nous accroche donc davantage. Les zones d'ombres s'éclaircissent enfin autour du mystérieux linceul mais certains secrets sont encore à élucider dans le dernier tome.
Moi je l'aime bien cette série! Je trouve la chronique trop sévère avec une histoire bien ficelée, énergique et qui accroche bien. On fait pas dans les jeux de lumière flashies et les plans spectaculaires mais Léa Valmont, l'héroïne a des qualités et des défauts sympathiques, et l'intrigue enchevêtrée dans les rapports entre medias, hautes sphères politiques et milieux mafieux dans notre société est épicée d'un zeste d'histoire personnelle et familiale peu ordinaire.
Par contre je n'aime pas les couleurs, comme quoi...
Une petite spontanéité graphique. Le regard tendre d'un père sur ses enfants. Une métaphore sur le rôle du dessin.
"L'atelier" c'est peut être ça ou plus encore.
A lire avec tendresse.
L'histoire mets un peu de temps à démarrer. Ce n'est qu'au milieu de la bande
dessinée que l'on sait vraiment pourquoi on veut continuer à la lire et connaître la
suite. Il y a de l'action sans en avoir. Un bon nombre de pages sont dédiées au
récit du héros, indispensables à la mise en place de l'histoire; un peu longuet.
Les dessins sont magnifiques et l'on se trouve dans un contexte auquel on n'a pas
vraiment l'habitude : attirant.
Les indiens parlent parfois dans la langue Navaro, donc forcément on ne
comprends pas tout ce qu'ils disent, on doit le deviner ! Seuls deux ou trois mots
sont traduits en bas de page, mais cela ne gêne pas vraiment la lecture. Un
album lut en 25 min à tout casser, qui finit sur une envie de lire au moins le tome
2.
A suivre
Ayant relu pratiquement tous les albums de la série ces derniers temps, j'ai relu celui-ci...enfin j'ai essayé. Je l'avais déjà trouvé mauvais à la première lecture, mais je n'ai même pas réussi à finir la deuxième lecture. On savait déjà Uderzo faible sur les scénarios mais là, on va jusqu'à se demander ce que peut être le scénario. Tout le monde se demande : "mais que viennent faire les extra-terrestres dans le monde d'Astérix ?"; la question que l'on se pose en lisant cet album est plutôt "Mais que viennent faire les gaulois et les romains dans ce cette aventure intergalactique ?". On parle d'un coup de gueule de Uderzo contre l'attitude des maisons d'édition, mais celui-ci est un peu facile. Les critiques qu'il soulève peuvent aussi bien s'appliquer à Albert René. Plutôt que de se cantonner aux seules aventures d'Astérix, Uderzo aurait pu profiter de l'occasion pour proposer quelque chose de nouveau à ses lecteurs.
Je ne mets pas 0 à cet album pour récompenser le dessin (malgré les innovations pleines de couleurs assez moches) qui évite à cet album de figurer parmi les plus mauvais albums qui soient. S'il ne faisait pas partie de la série des aventures d'Astérix, cet album mériterait une meilleure note mais le poids du succès et les responsabilités qu'il implique nous rendent (et à juste titre) plus exigeants.
Un peu déçu par rapport aux avis que j'ai lu, dont je me suis inspiré pour acheter ce premier album.
En fait, c'est la comparaison avec l'univers d'aquablue qui m'a un peu décontenancé.
Comparaison bien naturelle quand on voit les remerciements à Cailleteau et Vatine pour leur participation.
Donc j'ai eu du mal à rentrer dans ce premier tome car je m'attendais à quelquechose d'un peu plus personnel et novateur. En plus du dessin très proche de Mr Vatine, les personnages sont trop proches d'un état d'esprit de ceux d'Aquablue (Les gentils / les méchants, contexte politico/environnemental instable pourri par les riches...), encore une fois l'univers et les personnages, à mon sens, sont trop proches de ceux d'Aquablue.
Tous les personnages de Travis ont leur pendant Aquablue.
Dommage je m'attendais à autre chose.
J'avais abandonné la lecture et l'achat de la série au tome 3. Deux ou trois ans après me voilà avec ce tome 4 dans les mains et autant dire que ça m'a pas forcément donner l'envie de continuer à investir. C'est sympa mais ca m'a pas passionné plus que ça. J'ai trouvé le tome un peu long et répétitif (la bataille est interminablement longue et presque ennuyeuse). La fin, très attendu et convenu termine un cycle. Je lirais surement les deux derniers tomes mais j'acheterais pas la totale, ça c'est certain.
Belle et triste histoire qu'on se plairait à coire réélle tant les auteurs semblent s'être documenté sur cette période trouble de l'histoire. La fin est pessimiste à souhait... La lecture de la BD à de toute façon le mérite d'en apprendre un peu plus sur les causes et le déroulement cette guerre d'indépendance. Le dessin est très bien et le scénario bien foutu, suffisamment pour ne pas décrocher de sa lecture.
Très bonne surprise que cette BD. L'univers est très drôle, les personnages intriguants et attachants. De la SF comme on ne s'y attends pas, surtout quand on a grandit avec Star Wars ;o)) La pêche aux gros interstellaires sous acides, mouarff, fallait y penser !
voici le premier ric hochet ke j'ai lu é je suis tombé fou amoureux de cette bd
mmaintenant j'essaye de completer la collection pou r ainssi finir l'histoire de ric
hochet
Donne quelques clefs de la vie d'Hergé avec des clins d'oeil aux personnages des albums.
Le dessin est tout à fait fidèle à la ligne claire.
Suites des aventures de nos otaku préférés et je dois dire que ce second volume tient toute ses promesses. L'humour est toujours aussi présent et les personnages tous plus attachants les uns que les autres. Les situations cocasses s'enchaines toutes pour notre plus grand plaisir et chaque personnage vis sa passion jusqu'à l'exès, d'ailleur certaines conversations sont des petits bijoux à ce niveau. Une série à na pas manquer.
Jusqu'à maintenant on a été habitué à des volumes de grande qualité dans cette série et aujourd'hui...... on a encore droit à un excellent volume. Ce volume est très intense que ce soit en action, en confrontation ou en révélation. On a plein d'éléments savaments placé dans une histoire sans le moindre temps mort qui donne toujours envie de savoir ce que va nous raconter la planche suivente. D'ailleure la fin du volume est extrêmementfrustrante tant on aimerait déjà avoir la suite.
C'est un très bon volume que nous avons là avec deux histoires solides, bien construites avec leur lot de surprises et de rebondissement. Personnellement mon histoire préférée est celle avec les secret six. Que ce soit au niveaux des personnages ou de l'intrigue j'ai trouvé que c'était la mieux construite des deux. Même si l'intrigue avec les Teen Titan est également bien construite j'ai eu un peu de mal à accrocher (peut être à cause du nombre de "nouveaux" personnages qui sortent d'on ne sait où). en tout cas ça reste un très bon moment de lecture.
Une avalanche de gags plus drole les uns des autres.
A découvrir et faire découvrir furieusement.
Yslaire fait preuve d'excellence ses tirages de TT sont les plus beaux impressionnants du monde de la BD.
Très riche graphiquement cet album clôture une série grandiose.
Eh oui un album comme ça c'est un chef d'oeuvre. Tout y est, le dessein le scénario et le contenant !!!
Que demander de plus à part un nouveau cycle...
Cette seconde époque voit évoluer les personnages principaux au sein d'un monde tourmenté entre la religion et la science.
Un must à découvrir.
Série de SF sur 4 époques à découvrir frénétiquement, les desseins sont un peu léger mais restent toutefois agréables. L'histoire est bien ficelée et se laisse découvrir au fil du temps des 4 époques.
Ont retrouve les personnages qui évoluent avec le temps.
Personne ne semble connaitre cette superbe série.
Une idée originale, suivre l'évolution des personnages au cours du temps. Le monde bouge en 40 ans et quels part ont-ils pris dans cette évolution ?
Une belle série de SF.
Une relecture de la création selon la conception chrétienne (En 7 jours hein !, pas le Big Bang, faut pas déconner non plus !).
Un ange déchu raconte à un mortel le premier homicide parmi les anges quand la création du monde était encore en cours d'élaboration.
Une vision très personnelle sur "l'humanisation des anges", l'apparition des sentiments, du pêché et ce qui en découlera par la suite: l'apparition de l'homme.
A lire pour les inconditionnels de Gaiman, intéressant mais dispensable pour les autres.
Pas mal pour un 7ième tome.
Les desseins sont bien appropriés à l'histoire, le scénario simple mais efficace.
Oula !
Rien, non il n'y a pas de scénario...
Le premier tome pourtant très très bon promettait un chef d'oeuvre et bien non se sera une histoire sans fond...
Le dessein reste bien mais pollué par des photos d'archives que je trouvais originales au début mais qui m'ont vite lassées.
Non, franchement je déconseille cette série.
Superbe, un récit touchant proche de l'actualité et du monde dans lequel nous vivons. Belle romance en devenir.
Des dessins toujours aussi magnifiques.
BRAVO,
Yslaire a inventer un univers qui se prête élégamment aux cycles. Ce nouveau cycle des sambre en est la preuve une fois de plus. Bien qu'il ait passé les commandes du dessein cet album est fabuleux. Quelques scènes sont un peu trop sombre mais l'ensemble est très prometteur.
Vite la suite...
L'arlequin en panne de tours, trop pris à conquérir sa Valentine un 14 février.
Un conte fidèle à l'oeuvre de Gaiman: littéraire, imaginaire et onirique. Un relecture de la Saint Valentin. Les peintures de Bolton peuvent sérieusement indisposer les lecteurs les plus téméraires tellement elles sortent des sentiers battus.
L'édition de ce one shot, quant à elle, est plus qu'honorable, disposant d'une postface indispensable sur l'explication des personnages de l'(H)arlequin, du Pierrot et d'autres de la commedia dell'arte, permettant de s'y retrouver et surtout de se cultiver.
Le graal...
D'un point personnel les Bd qui vous pétent à la gueule en se foutant de vous sont hélas trop rare. Celle-ci fait bien pire...
Jamais personnage ne s'est imposé d'emblée comme aussi évident et/ou improbable sorte de distillat de hargne, de cynisme et de talent.
Tout n'est pas parfait les épisodes sont inégaux, mais c'est une Bd à sensation à lire avec la peau et du très bon café.
Je suis accro.
Album déçevant. L'intrigue devient confuse et peu digeste. Le mystère qui plane sur le linceul et son authenticité reste toujours au point mort.
Ce premier tome de cette série consacrée au mystérieux linceul de Turin réussi à nous accrocher. Nous passons de notre époque au Moyen Age avec plaisir et curiosité afin d'en savoir un peu plus sur l'origine du linceul.
Les dessins de Laurent Bidot sont agréables.
Entre Eisntein, le savant fou et le paranormal, Jack B Quick est un peu tout à la fois. Ce one Shot met en scène un enfant prodige mais un prodige brut, non maitrisé. De là en découle plusieurs histoires plus extravagantes les unes que les autres où les auteurs s'amusent avec les concepts scientifiques
Tout est dit dès la première page, est-il plus important de savoir que sa vie tourne autour de son foyer ou autour du soleil ? C'est le fil conducteur de ce tome, le décalage entre la théorie et la vie quotidienne qui est mis en exergue au fil des pages. Malgré l'originalité du scénario, ce grand patchwork est comme son jeune héros, non maitrisé. Les différentes scènes partent dans tous les sens, on s'y perd sans s'y retrouver au final, seul reste en bouche un arrière gout amer de folie douce.
Il s'agit essentiellement d'un volume de transition qui voit le retour des différents personnages dans l'univers de Lost Saga et pour introduire une nouvelle quête par ailleur fort prométteuse et riche en rebondissements. Malgré le fait qu'il s'agisse d'un volume de transition on est entièrement plongé dans l'histoire et au final on a qu'une hâte c'est de découvrir la suite.
Il s'agit là de différentes versions d'une même histoire, chaque version apportant sa propre vision de l'histoire et ses propres explications avec certaines parties plus ou moins développée l'ensemble donnant une vision à peu près complète de l'histoire. Globalement c'est assez sympatique à lire mais pas indispensable.
Voilà un volume intéressant qui permet de faire connaissance avec de nouveaux personnages et d'avoir un peu plus d'explication, même si on est loin de tout savoir, sur le lien entre les Shiki et les Kiryudo. Les combat de ce volume sont égalements intéressants à suivre. Bref on a envie d'en savoir davantage.
Voilà une petite série fort sympatique avec des histoires drôle et intéressantes. Le personnage principal et une sorte d'Onizuka entrée dans la police et qui permet de faire une sorte de point sur l'état du système judiciaire avec ses défaillances et ses abérations. L'évolution de Kagami (personnage principal de cette série) permet de voir les différents aspect des forces de l'ordre et celà demeure très intéressant jusqu'à la fin.
Le matche entre Poseidon et les Devil bats se poursuit de manière remarquable. Chaque équipe donne le meilleur d'elle même et fait preuve de beaucoup d'imagination pour développer des tactiques de jeux et des parades à celles de l'adversaire. C'est un matche très séré que l'on suit et qui tien en haleine le lecteur du début à la fin. Très bon volume vivement le suivant.
Encore un volume à mourrir de rire avec des situations plus cocasses les unes que les autres. Chacune des deux histoires est bourrée d'humour et ne se prend pas du tout au sérieux. On passe un excellent moment à lire ce volume. Vivement la suite.
Une fois de plus le groupe de Beck connait revers sur revers et se voient écartés de tous les évènements qui peuvent vraiment lancer leur carrière. Ce tome voit l'intrigue évoluer de manière intéressante intensifiant la descente aux enfer du groupe mais intensifie la combativité de chacun des membres. Un évènement important à lieu dans ce volume qui pourrait avoir des conséquenses très importantes pour la suite. Très bon volume.
numéros 7 et 8 :
V.I.C.E. : La fin de cette mini série est plutôt intéressante. certes elle est très classique et convenue mais malgré celà il y a tout de même un petit quelque chose (sûrement dans les personnages) qui m'a bien fait accroché à cette histoire. Je recomande la lecture.
Freshmen : Au début je trouvais cette série assez moyenne mais au final elle s'améliore pas mal et on a vraiment envie de connaitre la suite. Les personnages sont au final assez intéressants et leur pouvoir allié à leur personnalité donne un quelque chose qui donne envie de s'accrocher.
Witchblade : Episode intéressant qui retrace brièvement l'histoire de la Witchblade à travers le temps. La série pourrait être intéressante à suivre si elle donnait lieu à publication, ce qui est semble-t-il envisagé par Delcourt.
New avengers : Voilà un épisode qui n'apporte pas grand chose à part quelques nouvelles de la Sorcière rouge et d'Oeil de faucon mais ça n'a pas vraiment de conséquences ni vraiment d'intérêt en soi.
Au loin tonnent les canon : Episode intéressant qui introduit de manière assez efficace une future entrée en scène de Crâne rouge contre un Cap en fuite suite aux évènements de civil war. L'intrigue développée est assez intéressante et donne envie d'en savoir davantage.
Rubicon : Excellent épisode qui nous montre un face à face entre Tony Stark et Capitaine América. Ce face à face est extrêmement bien développé et nous montre que bien que les deux hommes soient amis ce n'est pas le premier affrontement qui les oppose.
Ric Hochet amnésique, découvre qu'il l'objet d'une machination. Un album qui se résume un peu trop à une course poursuite, mais qui offre un bon moment quand meme.
L'avènement et la chute de l'empire Shi'ar : Episode intéressant où l'on suit l'avancée de l'équipe du professeur Xavier partie à la poursuite de Vulcan. L'épisode est plutôt intéressant à suivre même si l'histoire n'avance pas des masses mais la fin semble plutôt annoncer des évènement très intéressant pour la suite et une intrigue qui va sûrement se compléxifier.
Supernovas : Episode intéressant avec quelques révélations assez surprenantes qui promettent une suite riche en action.
Civil war : Fin de la partie "liée" à civil war (mais pour trouver le lien il faut vraiment le vouloir désespérément). En tout cas la fin est plutôt convenue et pas très intéressante dommage.
Nemrod : Episode assez sympa avec quelques scènes d'action bien senties mais la suite promet d'être pationnante avec un terrible combat qui s'annonce.
Excellent numéro qui tient en haleine le lecteur du début à la fin de la partie "Journal de guerre" avec une montée en puissance du suspense sur les véritables raisons de cette fameuse guerre civile et il semblerait que Tony Stark ne soit pas étranger à tout ça. Espérons que la montagne n'accouche pas d'une souris et que cette fameuse révélation nous scotch sur place.
Les petite histoires annexes sont assez sympa mais pas indispensables.
Je n'ai pas décroché de cette histoire apparement banale d'un petit caid de la mafia qui se retrouve dans un beau pétrin. L'interet reside dans les personnages, des dialogues parfois crus, mais qui collent parfaitement au milieu, des gueules, et une 2e histoire en cours de route, qui se retrouve liée à la première. Un très bon album.
Civil war : Bon épisode qui promet une fin très "percutante" avec un combat général comme on peut s'en douté. A part celà on survole un peu chaque camps que ce soit ceux pour ou contre la loi mais également ceux qui restent neutre (mais peut-on vraiment rester neutre ?). Le seul regret c'est que celà reste tout de même assez superficiel.
L'accusé : Ces deux épisodes sont certes sympa mais ils n'apportent pas grand chose à l'épopée de Civil war si ce n'est suivre les mésaventures du principal bouc émissaire de toute cette histoire.
Cellule dormante : Episode très court qui n'apporte absolument rien de plus. Dispensable.
Franz est vraiment un grand. Et quand on sait qu'il est mort avant la sortie de cet album, la fin prend encore plus de résonance !
C'est du grand western, âpre et désenchanté malgré la qualité des rencontres et les amitiés qui se nouent par dessus les préjugés.
Et le dessin est vraiment magnifique.
Oui, à lire absolument.
On a quelques détails sur le passage du punisher dans l'équipe de Capitaine America mais rien de bien essentiel pour la compréhention de l'histoire de civil wars. Par contre ce numéro marque l'arrivé d'une nouvelle série sur le punisher plus ancrée dans l'univers Marvel que la précédente. En effet ce d'Ennis bien qu'officiellement dans l'univers Marvel raconte des histoires centrées sur le punisher et sans réel lien avec l'univers Marvel (pas de rencontre avec d'autre perso du monde Marvel ou autre) tandis que dans cette nouvelle série le Punisher reste égal à lui même mais avec en plus une intégration plus poussée dans l'univers Marvel où les super vilain et autres super héros apparaitrons bien plus souvent (voir apparaitre tout court). Globalement ces premiers numéro sont vraiment bien, l'intrigue accroche bien et on se laisse porté par les évènement jusqu'à la fin.
Encore un très bon numéro avec pas mal de rebondissements. Les différentes histoires prennent de plus en plus d'ampleur et les retournements de situation sont de plus en plus intéressants à suivre. Il semblerait également que les auteurs profitent de cette série pour continuer le ménage au niveau des personnages commencé dans Infinite Crisis. Bref c'est toujours aussi intéressant à suivre.
Voici une très belle série, classique, peut-être méconnue, et c'est dommage ! Patrick A. Dumas et François Rivière nous servent une BD d'excellente facture. Le scénario est beaucoup plus élaboré qu'il n'y parait dans les premières pages de l'album. Des rebondissements, des personnages avec une densité et un caractère que l'on découvre au fil de l'histoire. Le héros, lui-même, n'est pas l'archétype de l'enquêteur classique, ni dans sa propre histoire, ni dans ses réactions.
Quant au dessin, l'ambiance de ces années là est superbement retranscrite.
Bref, une série à savourer.
Cette série est absuloment énorme. Tous les personnages sont attachant, l'histoire et l'univers sont terrible.
Matsumoto est , sans doutes aucun, l'equivalant japonais de moëbius. Même trait de dessin sous influence psychotropique, même univers complètement dégenté.
Et en plus il n'y a que 8 tomes.
Il faut courir acheter cette série et bruler des cierges pour que Sensei Matsumoto nous fasse un autre chef d'oeuvre dans le genre