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Quelle maîtrise de construction, de mise en scène, de présentation! Beaucoup d'humour aussi.
Oui, sans aucun doute, mais pour moi cela sombre dans le mauvais goût. Les scènes macabres, glauques, ne sont pas sauvées par le reste.
Alors oui c'est bien, mais pour coeurs bien accrochés seulement. Pour les autres, moi y compris, je dis: à éviter absolument pour préserver ses nuits. Dommage...
NonNonBâ.... Je me suis jetée sur ce manga, à la lecture des critiques élogieuses et du prix d'Angoulême 2007. Quelle déception...
Les personnages principaux sont caricaturaux, surtout du point de vue dessin, mais aussi en termes psychologiques. Les scènes ne se suivent pas et forment un patchwork de courts scénarios. J'aurais aimé pouvoir rentrer plus dans chaque scène, prendre le temps de s'imprégner. Mais là, presentation de la scène, oh un yokai, ouf sauvés.
Parfois la simplicité permet à la poésie de s'exprimer, là pour pour moi, elle la dessert clairement.
Bref, pour amateurs.
Bonjour,
Il s'agit plus d'un recueil d'illustrations, avec entre autres Ray Banana, soit mais de multiples et diverses illustrations qui ne n'appartiennent pas aux aventures de Ray Banana. Aussi, je le classerai plutôt dans (AUT) Benoit, Ted.
Qu'en pensez-vous ?
PS ; bravo aux correcteurs pour le travail accompli.
Bonjour,
Il s'agit plus d'un recueil d'illustrations, avec entre autres Ray Banana, soit mais de multiples et diverses illustrations qui ne n'appartiennent pas aux aventures de Ray Banana. Aussi, je le classerai plutôt dans (AUT) Benoit, Ted.
Qu'en pensez-vous ?
PS ; bravo aux correcteurs pour le travail accompli.
Une histoire un peu triste avec un personnage plein de tendresse dans un monde qu'il ne comprend pas bien. Ce qui n'aime pas cet album manque de poésie tout simplement. A lire, à re-lire, à re-re-lire.
La, je mais un 9/10, plus pour l'ensemble des trois tromes (bien que le 2e soit un peu moins bon, car l'action est plus lente à démarrer) que pour ce tome. Je n'ai pas décroché, lu ces albums d'une traite, l'action est omniprésente, la trame très chouette, le dessin excellent et les couleurs magnifiques. Un excellent mement de BD pour une série à la hauteur de "Golden City".
Je ne vais pas laisser un avis sur chaque tome et celui-ci comptera pour les 3 premiers.
C'est une série merveilleuse qui nous fait oublier le train train quotidien pour nous plonger dans un monde mi-réel, mi-fantastique, mais avant tout d'une naïveté désarmante qui nous fait lâcher prise vis-à-vis du quotidien.
Contrairement à ce que j'imaginais, le scénario n'est pas contemplatif ou niais, mais plutôt rythmé et bien construit.
Je ne peux que vous conseiller de découvrir cette série si ce n'est déjà fait.
Je ne peux que réagir au commentaire précédent :)
On est en présence d'un tome intermédiaire où tout est dévoilé. Il fallait bien que ça arrive ! Il est vrai que ça se fait un peu dans la précipitation, mais l'ambiance et la magie sont toujours présents.
Cette série est excellente et il faudra attendre la fin pour savoir si le tout se tient. En attendant, je laisse le charme agir...
J'ai relu les 10 autres avant et je n'ai pas noté de grosses différences avec les précédents. Bonne lecture, très agréable. Des personnages toujours charismatiques, une intrigue dense qui avance encore petit à petit. Les dialogues sint toujours un peu longuets et rébarbatifs mais bon, on commence à s'habituer. Les couleurs que je trouvais crillardes de prime abord s'avèrent finalement correctes. Le dessin est parfois très bon voir original mais peut être y a t il moins le soucis du détail par rapport aux premiers tomes. La dernière révélation est assez tonitruante mais ce n'est pas la 1ère fois que les auteurs nous font le coup. Bien souvent, ça retombe comme un souflet dans les 1ères pages du tome suivant donc wait and see.
Le scénario est à la hauteur du dessin, c'est à dire vertigineux.
Un 1er album époustouflant, vivement le tome 2.
En lisant la revue de Canal BDE et le site de Casterman, le Tueur est reparti au boulot. Sortie du 6ème volume, pour la fin septembre.
Sinon, absolument excellent dans le sens où le narrateur-tueur est complètement détaché de la partie morale et sentimentale de ses contrats. Le détachement est pratiquement le même que dans le roman "La mort est mon métier" de Robert merle.
Corbeyran aurait enfin écouté les avis des lecteurs et trouvé quelque chose pour relancer l'intrigue, même si elle traîne un peu en longueur. Attendons le n° 12 pour savoir si on ne vas pas encore faire des allers-retours avec le passé.
Variation sur le thème du rêve de l’aventure. Il s’agit d’abord, dans la vie de Poussin, d’un retour en arrière, en 1929 lorsque Théodore parcourt les mers de l’Indonésie à bord du mangeur d’archipels. Le cadre est posé, le reste, comme la noire prédiction d’un indonésien nommé Confucius sur le quai d’où part Poussin par une nuit de brouillard à couper au couteau, ne sert au fond qu’à permettre au lecteur de décrypter rapidement l’état de rêve dans lequel on va bientôt retrouver Théodore. Celui-ci part donc, rencontre une mouette qu’il baptise Tchékhov et, conformément à la prédiction de Confucius, s’échoue sur une île à la suite d’un terrible ouragan. Sa première rencontre est une ornithologue nommée, précisément, Tchékhov. Les surprises se succèdent dans cette île : personnages étranges, sensation de labyrinthe végétal, d’absurde et de folie, et cette maison qu’il aperçoit toujours à la même distance sans pouvoir l’atteindre... Le Gall nous offre donc ici une variation sur le thème du rêve comme aventure à part entière (ou de l’aventure comme rêve, ce qui revient pour Le Gall à méditer sur ses motivations de conteur d’aventures), mais cette variation est-elle bien nécessaire à la série ? Elle n’est en outre pas véritablement convaincante et, au bout de l’album, on est un peu déçu. Manifestement, Le Gall cherche un second souffle. Après la vallée des roses qui permettait une transition plutôt réussie vers un ailleurs, de nouvelles aventures à la suite du cycle des six premiers albums, il nous sert une nouvelle parenthèse dont on ne saisit pas bien la logique, sinon celle du second souffle reporté et non trouvé.
Rosendaël, la Vallée des Roses, est le village où Théodore Poussin passa son enfance, loin des sirènes des navires qui le berçaient à Dunkerque lorsqu’il était plus jeune encore. Le Gall, par un récit simple et intimiste, tente de nous plonger dans l’atmosphère protégée et ingénue de l’enfance, en soulignant néanmoins les occurences de la vie, et en particulier l’arrivée de la Grande Guerre, celle de 14. On ne sait dans quelle mesure Le Gall s’inspire de la vie de son ancêtre qui lui inspira Théodore Poussin. Néanmoins chaque événement nous ramène à cela : dans quelle mesure a-t-il romancé, extrapolé, et dans quelle mesure a-t-il utilisé ce qu’il sait de sa vie... Mais tout cela est en définitive peu important. L’important est que, avec ses couleurs directes, ses voix off, cette ambiance provinciale et discrète, Le Gall réussit en partie ce qu’il cherche : créer une émotion. Enfin, on sent confusément que cet album, qui est une parenthèse dans la série de T.Poussin, nous dit Le Gall, sonne le glas de Théodore tel qu’il fut dans le premier cycle de ses aventures : un “poussin”, un homme sans expérience et balloté au gré des événements.
Ce sixième tome est le dernier de la série des aventures de Théodore Poussin en Orient. Poussin revient à Dunkerque, mais en faisant escale à Colombo sur l'île de Ceylan, il retrouve par hasard le mystérieux Novembre. Ce dernier lui fait des révélations qui vont le bouleverser. Cet album est particulièrement bon. Le Gall manie un humour discret mais qui colle tout à fait à l'ambiance de l'oeuvre. L'atmosphère est un peu froide, en attente ; Le Gall sait ménager le suspens, mais aussi construire et laisser filer l'histoire avec une maitrise certaine. Admirable.
Suite des aventures de Théodore Poussin. Le Gall y affine son dessin en même temps que l'on cerne mieux son personnage et son histoire. Certaines scènes (celle du meurtre de Novembre dans le bar) son particulièrement réussies et maitrisées. Pourtant, cet album n'est en définitive qu'une douce transition et introduction pour Marie-Vérité... Le fait que Le Gall soit parvenu malgré tout à ce résultat est très révélateur de ses progrès. Le Gall tient désormais Théodore Poussin d'une main ferme et c'est un véritable plaisir que d'en lire les aventures.
Débuts de Théodore Poussin. On le suit de son départ de Dunkerque, où apparaît déjà l'inquiétant M. Novembre, son "destin", à l'Indochine. Récit intéressant, mais pas encore transcendant. Le dessin de Le Gall y est encore très "spirousien" mais peu à peu évolue. Poussin voit le dessin de sa tête s'arrondir au fil des pages (comme au fil des albums) et l'atmosphère inquiétante, parfois oppressante et étouffante, agit sur lui comme modération de son caractère au départ joyeux. Bref, Le Gall définit son personnage au fur et à mesure qu'il définit ses aventures. Poussin finira beaucoup plus inquiet et introverti (mais dans un certain sens serein de par les épreuves que la vie a mises sur ses pas) qu'au début ; en outre, en même temps que le vécu de ce personnage s'épaissit, son physique aussi, signe d'un équilibre qui vient progressivement. Poussin n'est alors plus du tout "spirousien".
Yann est le scénariste, cela se sent ; Le Gall est de l’école de Spirou et cela se sent aussi, même s’il prend peu à peu ses distances en se créant un style propre [troublante proximité de traitement du dessin par Le Gall et Conrad]. L’album est très agréable, même raffiné sur le plan graphique. Yoyo est un drôle de noir américain directement importé d’Afrique et ayant gardé en lui un certain nombre de caractéristiques de “non-civilisé”. Il a sous sa garde la petite Eve Grimaldi, 7 ans, petite-fille de son bienfaiteur qui en mourrant lui a légué sa fortune et la surveillance d’Eve. Mais les Grimaldi ont sur eux un terrible joug, une malédiction directement inspirée de Dracula. C’est la malédiction de la Lune Noire qui, tous les 7 ans, tue un Grimaldi. Eve est la dernière et part donc avec Yoyo conjurer la malédiction en Transylvanie, dans les Carpates, d’où viennent ses ancètres et où la malédiction contre la famille fut prononcée. L’humour est noir, l’esprit aussi, les références abondent (Dracula, Baudelaire, etc) et l’ensemble est joliment empaqueté dans un thème de losanges rouges sur fond blanc. On apprécie beaucoup...
Etrange humour à la fois extrêmement lourd et si lourd qu’il en est efficace. Le gang des offreurs de chevaux n’est pas en lui-même terrifiant, et d’ailleurs rien n’est terrifiant dans cet album si ce n’est l’épaisseur de l’humour. Il s’agit d’un univers de total nonsense que crée Kamagurka, complètement débridé, sans aucune retenue. Bref, si l’intrigue est vide on ne s’en soucie pas et si le dessin est mauvais (quoi que) cela ne fait rien car l’essentiel est ailleurs, dans les enchaînements, les réparties, les dessins qui représentent efficacement l’esprit de l’auteur. En définitive on prend un vrai plaisir à suivre les aventures de ce cow boy niais (quoi de plus niais d’ailleurs que son nom : Maurice le Cow Boy) car les trouvailles abondent. En outre l’appétit est ouvert par les deux strips imprimés sur la quatrième de couverture qui sont un chef d’oeuvre de décalage vers le nonsense. Néanmoins la lourdeur l’emporte lorsque l’on relit plusieurs fois l’album et que l’on est moins surpris par l’histoire.
Dernier album de Jeff Hawke sorti dans la collection BDVF de Glénat, on peut également le considérer comme le meilleur. Au fil des histoires on se prend d’un véritable intérêt pour des intrigues moins rocambolesques et plus finenement présentées qu’aux débuts de Jeff Hawke. En particulier, on observe un saut qualitatif important lorsque l’on passe à" La grande traversée de l’Atlantique" et ses suivants : le dessin est plus stylisé, moins surchargé d’effets de trames ; il se veut moins réaliste et gagne en lisibilité ce qu’il perd (légèrement) en fascination. En outre, le lettrage devient enfin un vrai lettrage de bande dessinée, effectué à la main, et non plus écrit à la machine. La pâte de la série s’en trouve largement fortifiée (et pourtant, c’est un détail). Enfin, il semble que le ton devient plus badin (presque négligé dans "le moteur qui marchait à l’herbe", mais est-ce un effet de traduction ou le texte original était-il ainsi ?), plus décalé de ce qui est présenté. Les deux personnages diaboliques apparaissent désormais à chaque transition et ajoutent un élément de décalage et de désinvolture pour une bande qui se voulait trop sérieuse malgré son sujet, auparavant. On assiste alors à de très bonnes histoires, en particulier le petit chef d’oeuvre (si, si) "le patrouilleur fantôme" où les auteurs manient extrêmement bien le mystère, le suspens, et même la tendresse. La technologie et l’aspect purement science fiction cessent de l’emporter, ainsi en est-il dans "esprits purs et purs esprits", "une grêve sauvage", etc, pour au contraire presque s’en moquer. D’une bande magnifiant les mystères scientifiques et la science, on est passé à une bande la concevant avec plus de pragmatisme, de recul et presque de défiance, malgré le ton des récits. Cela devient tout bonnement excellent. Un seul regret qui tient à la mauvaise qualité formelle de la collection : on aurait aimé un récapitulatif chronologique des récits de la série pour mieux se repérer.
Les dessins restent sympa même si je n'aime pas trop la couleur qui sent trop son ordinateur, mais l'histoire se rapproche plus de la SF traditionnelle avec engins futuristes et combats boum boum ! Il me manque la poésie du premier tome.
A suivre en espérant que la suite sera un peu plus originale.
Dessins surchargés de références à l’univers spécifique de Jacovitti : saucissons omniprésents, serpents partout, dés et peignes qui jaillissent des personnages lorsqu’ils se prennent une raclée, etc. : cette série, 3e album paru chez Garnault de Zorry Kid, est dans la lignée de Coccobill. On y retrouve le même absurde, peut-être cependant moins virulent, moins foisonnant d’idées. Le fond de l’histoire est une démarque des aventures de Zorro, tournées dans une dérision qui les rend plus qu’étrangères à leur modèle. Le reste se greffe en toute innocence (folie) débridée ; même si les ficelles sont très grosses, les jeux de mots traduits en français tiennent encore la route, et l’épaisseur du trait (scénaristique) fait partie des règles du genre. Il y a de quoi bien rire si l’on passe le cap du graphisme, rendu plus difficile encore par l’absence de couleurs, et donc par l’absence de points saillants qui guident le regard. On est déjà heureux, ici, lorsque les longues moustaches noires de Perfidio apparaissent, et lorsqu’elles sont transformées en poisson par le sorcier Abraca, on souhaite vivement qu’elles reviennent vite.
Dernier volume complet écrit par Jacobs, cette aventure reprend des trames présentes dans les albums précédents : la présence récurrente d’Olrik, cette fois “homme de main” d’une organisation qui le dépasse mais dont il restera la seule partie visible (le commandant auquel il s’adresse au début reste invisible) ; le détournement de Mortimer dans une affaire qui le dépasse, avec ses multiples poursuites et tentatives d’assassinat ; l’appel à un Blake invisible dans la première partie de l’histoire mais qui va se révéler déterminant pour la suite (cela rappelle un peu la Pyramide), les inventions et l’avant-garde technologique comme prétexte à l’histoire (à moins que l’histoire ne soit que le prétexte à la présentation de ces visions) avec en filigrane l’idée des conséquences positives ou funestes pour l’humanité que ces inventions peuvent avoir, etc. La base est donc une histoire de savants, classe à laquelle appartient Mortimer, dont les inventions extraordinaires sont l’objet d’une récupération par une puissance invisible et secrète dont le dessein ultime est de modifier l’ordre planétaire et millénaire. Derrière ses grandiloquences habituelles, Jacobs parvient à dresser une atmosphère tendue, à couper au couteau, et construire un récit qui se tient et un suspens efficace.
Il s’agit presque d’un manifeste. Il a en la caricature. Il donne l’impression d’être le résumé d’une histoire, et non l’histoire elle-même ; en ce sens il condense et transcende tous les poncifs du genre - héroïc-fantasy juste né à l’époque, mais récit d’aventure en général, tant un récit de Bob Morane pourrait s’en approcher. Côté graphisme, Jacobs est déjà très maître de lui, malgré quelques imprécisions ; son art des couleurs est fort étonnant pour un premier album. En ce sens aussi il est un manifeste, celui d’une bande dessinée aux dessins recherchés et léchés, d’un académisme rigoureux mais pleinement assimilé. Un académisme si achevé qu’on peut s’interroger sur sa succession : a-t-on trouvé, dans le cadre de cette “école”, un auteur qui dépasse l’art de Jacobs ?
C’est aussi un manifeste en ce que le rayon “U” contient en germe des inspirations qui serviront au moins à Jacobs et Hergé dans leur carrière ultérieure : le secret de l’Espadon, l’énigme de l’Atlantide, le piège diabolique, et trois ou quatre personnages de la série de Jacobs se laissent déjà deviner (Jacques Laudy apparaît déjà, sous les traits du valeureux Lord Calder, centre de l’histoire, avant de devenir un capitaine Blake un peu plus effacé ; et il existe déjà un professeur barbu, le Pr. Marduk) ; de même, chez Hergé, on sens que le Temple du Soleil s’en inspirera partiellement.
Coup d’essai, coup de maître, donc, malgré les défauts du genre qui se révèlent ici être une qualité de second degré, pour quelqu’un qui n’a jamais considéré ce métier comme le sien, et encore moins comme un art.
NB : l’allusion très claire à la recherche d’un uranium (l’uradium) qui changera les relations guerrières, dans un cadre géopolitique à peine esquissé - Mcguffin dérisoire.
Ce deuxième tome, bien qu'un peu inférieur au premier, se lit avec beaucoup de plaisir. Les ingrédients pour une bonne BD s'y retrouvent. J'aime particulièrement le travail sur les couleurs.
Dans le monde de Golden City, une course de voiture va avoir lieu. Un excellent premier tome doté d'action, desservi par un bon dessin, et de superbes couleurs.
si les auteurs ne savaient pas ou ils allaent ils retardaient la publication
comme dit ma fille un album pour rien
on espère que la fin sera à la hauteur du début de la série !
On retourne en Allemagne qui a envahie la Russie, la population commence à se poser des questions sur le régime, et une résistance timide s'organise. Mais la répression est féroce.
On suit Maria, secrétaire d'un médecin, dans sa vie quotidienne, toujours avec cette ambiance faussement tranquille qui reflète la réalité de l'époque en Allemagne qu'on connait peu en France.
Fin poignante qui donne tout son sens au récit très bien raconté et mis en dessin.
un univers totalement déjanté soutenu par un déssin de haut vol! Du plaisir en perspective, humour en bonus!! une bonne série méconnue à découvrir
Ultimares 2 ème série : Après une version des defenders version ultimate des plus inintéressante, on repasse en fin aux choses sérieuses avec une intrigue toujours aussi bonne et bien développé. Les personnages sont plutôt bien utilisés et les rebondissements et trahisons sont très bien trouvées. Bref voilà une série à suivre plutôt deux fois qu'une.
Ultimate secret et extinction : Voilà deux mini séries liées à l'arrivé Gah Lak Tus (un nouveau venu ? :mrgreen: ). La première est vraiment très intéressante avec l'entrée en scène des Kree et de Mahr Vehl, série très agréable à suivre. La seconde et pour le moment fort prometteuse et donne envie d'en savoir davantage.
Qui se cache derrière la porte ? : Voilà un épisode qui ne sert pas à grand chose mais reste relativement sympa et permet de développer les sentiments de MJ suite aux bouleversements provoqués par Civil War dans sa vie. C'est sympa mais sans plus car trop convenu.
Envol : Début intéressant qui met en place une intrigue prometteuse. A voir comment celà va se développer mais pour le momment on manque de détail.
Conflit interne : Episode passionant qui aboutit à une fin encore plus passionante. dommage qu'on doivent attendre un bon moment pour avoir la suite (pas avant 2 mois) et ça va être très long.
Sixième sens et coup de foudre à Manhattan : Deux histoires courtes sympas et marrantes mais qui n'apporte pas grand choses à l'univers de Spidey. Bref très dispensable.
Fin de l'histoire précédente où l'intrigue se dénoue et on retrouve Louis toujours aussi malchanceux puisqu'il ne pourra même pas embrasser sa mère avant de repartir. Mais il y a encore plus malheureux que lui !
Toujours l'ambiance de la guerre de 14, cet album fin de cycle n'est pas le meilleur mais est indispensable pour terminer l'histoire.
C'est la guerre, Louis Ferchot a disparu sur le front, et nous suivons parallèlement les recherches de sa mère et ce que vie en caméra subjective ce que vis un soldat exempté de l'armée suite aux séquelles des combats avec des papiers au nom de Louis Ferchot.
Série historique qui décrit l'ambiance dans l'Europe de la première guerre mondiale. On est intrigué par ces histoires qui ne trouveront leur aboutissement que dans l'album suivant.
Dessins décrivant très bien l'époque, une bd solide dont la véritable héroïne est la mère de Louis.
A suivre.
Civil war : Voilà une fin bien surprenant et d'un certain point de vue peu crédible mais au final on aboutit à une situation intéressante avec certains boulversements dans la vie des résistants comme Spiderman entre autre. Il faut voir comment cette situation va être utilisé dans les séries de l'univers Marvel mais ça peu aboutir à des choses très intéressantes.
Accusé : Au final beaucoup de bruit pour pas grand chose. ce n'était peut être pas spécialement nécessaire de faire une mini série spécialement pour la naissance d'un nouveau héro mais bon. Bref voilà un récit bien dispensable.
La fin des aventures malgaches de Louis Ferchot qui est confronté à la rébellion et qui essaye toujours de vivre comme il peut au milieu des tragédies du monde.
Assez classique et sans surprise, ces aventures reflètent surtout un atmosphère bien rendu.
Fin de la saga annihilation et quelle fin ?! Chaque personnage joue un rôle taillé sur mesure pour lui afin d'arriver à un final bien ficelé. J'ai adoré la lecture de ce numéro et au final j'ai même un petit regret que ce soit déjà fini. J'espère que les prochaines saga seront tout aussi intéressante. En tout cas on aura eu un scénario solide de bout en bout. Excellent.
Plus haut, plus loin : Voilà le retour de Superman. Certes il n'est pour le moment pas au sommet de sa forme mais bon il est bien là et il est bien décidé à reprendre du service. Comme en plus dans le même temps Lex Luthor décide de refaire surface le prochain numéro promet d'être des plus intéressant. Au final l'intrigue est bien développée et le retour de Superman se faire d'une manière logique et agréable à lire.
Face à face : L'enquête sur les morts mystérieuses de certains des ennemis de Batman deviens de plus en plus complexe et cette enquête est vraiment agréable à suivre. De plus le retour d'un ancien ennemi qu'on pouvait croire définitivement rangé (mais dans n'est définitif dans l'univers des Super héros) va faire son grand retour ce qui est une bonne nouvelle car leurs affrontements sont toujours passionant à suivre.
Représailles : Fin de cette histoire liée à civil war et je dois dire que cette fin est pas trop mal fichu. La toute fin est logique et plutôt bien pensée. Un bon momment de lecture.
Vendetta : Episode plutôt dispensable qui n'est en fait qu'une série de flash back des divers épisodes précédents liées à civil war sur fond d'état d'âme de Wolverine. Sympa mais sans plus.
Bon volume certes moins drôle que les précédents mais les prouesses de nos artisants boulangers compenses cette baisse. Il y a quand même quelques scènes bien marrante et globalement on passe un bon momment. de plus on se dirige vers une finale de la coupe monaco des plus mouvementée. Vivement la suite.
Bon volume agréable à lire du début à la fin, toujours aussi déjanté avec des situations toujours aussi anbigues. La fin est également intéressante surtout avec ce petit tournoi qui s'annonce à mon avis on va encore bien rire. J'ai hate de lire la suite.
Voilà un premier dyptique des plus réussi. L'intrigue est solide bien développée sans lourdeur avec des personnages humains, charismatiques et intéressants. On échappe au cliché personnages principal = héro bondissant partout et gardiens = gentils et prisonniers = méchants. Rien n'est manichéen si bien qu'on est carrément emporté dans l'intrigue dévorant chaque planche avidement. Le dessin est franchement une réussite, donnant les ambiances idéales à chaque scènes. Bref un excellent momment de lecture. je recommande cette série chaudement.
Globalement il s'agit d'un album sympa mais l'histoire est un peu légère et rapide. J'ai eu du mal à accrocher car au final tout sonnait un peu faux mais globalement ça se laisse lire quand même. Les personnages sont plutôt charismatiques et marrants mais hélas ils ne sont pas utilisés au maximum. J'aurais plutôt vue cette histoire en dyptique afin de l'approfondir davantage.
Le commentaire d'Yvantilleuil correspond assez bien à ma lecture, à ceci près que pour moi la frontière du mauvais goût est franchie. Je progressais, surpris et intéressé, dans l'ouvrage, puis la succession de l'histoire "Le duei" (qui, certes, contient encore de beaux moments d'humour avec tous ces avaleurs de sabre que les duellistes utilisent pour se réarmer) puis "les deux prostituées" a emporté mon avis : ça sombre dans le malsain.
Oui, essai OuBaPien ; oui, maîtrise de la narration et du découpage ; oui, décalage parfois réjouissant entre dialogues et action (cf "Stéréoscopie de saloon") ; oui, très original et inventif ; mais malsain.
L'histoire est superbe. Ambition d'un écrivain raté qui va s'adonner au plagiat.
Tout cela se termine mal pour le protagoniste principal ... ce qui donne encore plus de force au scénar', à mon sens.
Pour le dessin, j'avoue , j'ai eu un peu de mal.
Le visage de la vieille au début me semblait trop flou, trop crayonné.
A partir de la page 12, j'ai l'impression que les visages deviennent plus nets et je me suis habitué au dessin.
En tout cas, un très bon album dans cette série sympa.
L'histoire est excellente : la protagoniste intègre avec sa famille une société secrète pour faire tomber le pouvoir en place au début du 19è siècle.
Mais ils vont être trahis et l'histoire tourne à la tragédie.
On apprend en fin de volume qui a trahis : très bon rebond scénaristique, je trouve.
Le dessin est très agréable. J'aime bien le contraste entre le Paris sombre tout au long de l'album et les fresques claires et pures de l'Egypte en fin d'album.
Très bonne histoire. Le protagoniste découvre ses origines et par la même la trahison de ses proches ... et même de ses vrais parents. On finit tout de même sur une note positive, avec un petit clin d'oeil (nom du bateau).
Côté dessin, le naufrage est très bien illustré.
Plus loin, lors d'une scène violente, le fond tourne au rouge, illustrant la colère et la frustration. New-York est bien détaillé, j'aurais d'ailleurs aimé quelques grandes cases supplémentaires, pour le plaisir des yeux.
Enfin, le dessin illustre bien aussi le contraste entre le quartier pauvre (dessin sombre) et la riche villa.
très bonne série. Une histoire différente à chaque fois.
Je croyais que le livre "Nahik" serait plus présent comme fil conducteur, qu'on en apprendrait plus, mais les récits sont plus orientés vers les personnages.
Dans ce tome 5, l'auteur traite d'un pan de l'Histoire peu connu : le génocide des arméniens commis par les turcs au cours de la 1ere guerre mondiale.
L'histoire est prenante, le perso principal se retrouve face à un conflit moral et personnel.
Le dessin est assez sombre et colle bien au scénario. Un léger reproche pour le côté "fixe" (manque d'impression de mouvement) mais sinon le dessin est agréable, les visages bien détaillés.
Une suite un peu décevante. Le premier album frisait avec la perfection
technique niveau scenario, le second reste un album comme un autre, pas
mauvais mais pas exceptionnel non plus. Les pensées en voix-off du
personnage principal prennent le dessus pendant une trop longue partie de
l'album, et surtout les explications que l'on attendait des énigmes du tome 1
sont trop brutales, même pas amenées, il aurait fallu les distiller, faire
comprendre petit à petit, par touches, par bribes. Alors que là on nous balance
tout d'un coup, dans un explicatif de plus d'une page. Sans parler du
manichéisme à peine camouflé que l'on trouve pendant une grande partie de
l'album.
En bref : un tome 1 génial, un tome 2 qui déçoit. On en attendait peut-être
trop.
Le traitement du scenario est tout à fait remarquable : minimalisme des
dialogues pour une efficacité parfaite, découpage réussit à la sauce "nouvelle
vague", une vraie personnalité pour chaque personnage, une enquête aletante
et intrigante, des énigmes à foison qui ne virent pas à l'accumulation, une
ambiance particulière dût en grande partie au dessin de Brüno (un dessin
souple, arrondie, courbe, cartoonesque, porté par un minimalisme outrancier.
Raffraîchissant et très agréable à l'oeil)... Et cette fin, retournante, inatendue,
surprenante, qui appelle inévitablement une suite et qui nous fait nous
impatienter de plaisir.
Cet album est un chef-d'oeuvre pour toute personne sachant apprécier une
expérience graphique atypique! Celle qui nous est présentée ici est unique, un
véritable choc artistique. "Cauchemards" est une oeuvre hors du commun.
Il ne s'agit pas de dessin mais de peintures, d'aquarelles, mélangées à des
crayonnés, des traits brouillons, des coupures de journaux, des photos
retouchées et des gribouillis d'enfant. On peut à peine dire qu'il s'agisse d'une
BD tant les pages sont destructurées : cases tordues, trames changeant
d'épaisseur, traits imprécis, bordures de cases mal tracées, voir carrément et
assez souvent absence de cases. Le style ne cesse de changer, les couleurs
dépassent, s'étalent, des tâches apparaissent, on mélange aquarelle,
gribouillis, peinture et crayon. Et puis il y a ces mots, parsemés au fil des
pages dans les bordures, entre les cases, au milieu des dessins, des mots
écrits violament et mal-habilement, sans véritable cohérence, et faisant
presque l'effet d'images subliminales.
Bon j'arrête là, je viens tout juste de finir cet album donc je m'emporte un peu
mais bon, qu'est-ce que c'est beau cette BD. Au niveau du scenario aussi je
trouve ça très bon, c'est lentement amené, le récit est étalé, il y a des
passages vraiment saisissant, de l'effroi, de la tristesse, du drame.
Mais tout de même deux "hic" qui font que je ne met pas 10/10 (si ça se
trouve je regretterai même mon 9/10 d'ici demain) : premièrement les
révélations que fait Spider-man à la fin. Trop soudaines, amenées trop
brutalement (même si la toute fin, elle, est très réussit). Deuxièmement : les
pensées de Ben Urich (le personnage principal - eh oui, on voit très peu DD)
en voix-off qui souvent brisent un peu l'ambiance et même n'apportent pas
toujours grand chose au récit.
ATTENTION : cet album ne plaira sûrement pas aux amateurs de BD ou de
comics classiques, parce que là c'est vraiment expérimental. S'il n'y avait pas
les philactères je sais même pas si on pourrait dire que c'est de la BD. En tout
cas, moi je dis merci à Bendis et Mack pour ce livre.
Cet album est un chef-d'oeuvre pour toute personne sachant apprécier une
expérience graphique atypique! Celle qui nous est présentée ici est unique, un
véritable choc artistique. "Cauchemards" est une oeuvre hors du commun.
Il ne s'agit pas de dessin mais de peintures, d'aquarelles, mélangées à des
crayonnés, des traits brouillons, des coupures de journaux, des photos
retouchées et des gribouillis d'enfant. On peut à peine dire qu'il s'agisse d'une
BD tant les pages sont destructurées : cases tordues, trames changeant
d'épaisseur, traits imprécis, bordures de cases mal tracées, voir carrément et
assez souvent absence de cases. Le style ne cesse de changer, les couleurs
dépassent, s'étalent, des tâches apparaissent, on mélange aquarelle,
gribouillis, peinture et crayon. Et puis il y a ces mots, parsemés au fil des
pages dans les bordures, entre les cases, au milieu des dessins, des mots
écrits violament et mal-habilement, sans véritable cohérence, et faisant
presque l'effet d'images subliminales.
Bon j'arrête là, je viens tout juste de finir cet album donc je m'emporte un peu
mais bon, qu'est-ce que c'est beau cette BD. Au niveau du scenario aussi je
trouve ça très bon, c'est lentement amené, le récit est étalé, il y a des
passages vraiment saisissant, de l'effroi, de la tristesse, du drame.
Mais tout de même deux "hic" qui font que je ne met pas 10/10 (si ça se
trouve je regretterai même mon 9/10 d'ici demain) : premièrement les
révélations que fait Spider-man à la fin. Trop soudaines, amenées trop
brutalement (même si la toute fin, elle, est très réussit). Deuxièmement : les
pensées de Ben Urich (le personnage principal - eh oui, on voit très peu DD)
en voix-off qui souvent brisent un peu l'ambiance et même n'apportent pas
toujours grand chose au récit.
ATTENTION : cet album ne plaira sûrement pas aux amateurs de BD ou de
comics classiques, parce que là c'est vraiment expérimental. S'il n'y avait pas
les philactères je sais même pas si on pourrait dire que c'est de la BD. En tout
cas, moi je dis merci à Bendis et Mack pour ce livre.
Un très bon débt d'histoire desservie par d'excellents dessins et de beaux décors. Hélas!, la trame perd de son intensité sur la fin (lorsque Lefranc est sur l'ile) et c'est dommage.
Encore une bonne aventure dans un beau décor. Le dessin est toujours aussi bon, net et précis.
Un bon album, de l'action bien menée, un agréable moment de lecture.
Une aventure exotique, sur un fond intéressant, mais la guerre mondiale de la religion qui se prépare est irréaliste et mal menu. Bref, le scénario pêche. Des dialogues parfois un peu "pédant", et Lefranc qui a parfois un drole de visage, ne sont pas là pour rehausser le niveau. Ca se lit quand meme, c'est assez dépaysant, mais cette BD ne marquera guère les esprits selon moi.
Une très belle série qui m'a décidé à m'inscrire pour partager mon coup de coeur. Depuis la sortie du premier album, j'ai souvent hésiter dans le rayon avant de passer le pas et de lire les deux albums d'une traite.
Une histoire Humaine, mélangeant récit d'enfance et pointe de surnaturel. Deux magnifiques albums où les auteurs ont trouvé la formule pour captiver le lecteur. Une série qui me fait penser aux albums le livre de Jack et le livre de Sam notamment. A Acheter les yeux fermés
Probablement le record de l'attente : 12 années entre le tome 2 et celui-ci !
On retrouve avec plaisir ces héros, dans un monde très concret avec une petite touche de fantastique non expliquée.
Une suite est envisageable... mais pas dans 12 ans !!!!
Très bon album, scénario captivant, c’est vrai que, comme certains le diront, il n’y a pas beaucoup de seins et de… quoi donc ? Ce n’est pas ça qui fait un bon scénario !!! Sinon il y a les « Blagues Coquines » de Di Sano pour les gourmands…
Retournons alors à « La Geste des Chevaliers Dragons » Tome 6 : Très bon scénario, le dessin est également joli même si parfois il semble manquer de précisions par rapport aux autre tomes mais bon, il est quand même très joli, la mise en couleur est également très belle. Une héroïne fascinante qui se bat seule contre tous pour défendre ses convictions… A lire absolument !!!
Super ! ! Je me suis fié aux avis sur ce site et à une doc' que mon libraire m'a refilé.
J'avais peur de pas trop accroché sur le monde futuro-robotique etc ...
et en fait c'est génial.
Le scénar' est bien fourni avec en toile de fond une vengeance entre ex-meilleurs amis. Beaucoup de persos, tous bien différents.
Le dessin, quant à lui, est dynamique. Les persos semblent un peu moins nets quand ils sont vus de loin, mais j'ai remarqué que ce petit défaut (pour moi) disparait dès le 2e tome.
Les couleurs sont contrastées et donnent une impression de volume.
Le découpage suit bien l'action, avec tantot des grandes cases couvrant deux pages (meme les marges) et tantot des petites s'incrustant par dessus ou en décalé.
Bref, découpage complexe mais logique et lisible.
Excellent, j'aime trop.
J'aime trop cette série ! ! ! C'est vraiment fendard, BD jeune public et bien documenté sur les événements historiques.
Concernant le n° 51, ce n'est pas le meilleur de la collection.
Le dessin est fidèle à ce que Lambil fait depuis un bout de temps maintenant : simple mais franchement sympa.
Par contre, l'histoire est un peu creuse je trouve. Ca bouge pas beaucoup.
On découvre quand meme la jeunesse du Capitaine Stark mais j'ai trouvé un peu gros le coup du gars qui change de personnalité avec un choc : c'est du déjà-vu et un peu vieux.
Voilà, pas un bide, sympa mais sans plus. Les numéros précédents étaient plus sympas.
Peut-être le meilleur album d'Andreas.
Toujours magnifique graphiquement mais en plus un scenario accessible,
ingenieux, avec un fond de fantastique (c'est quand même de l'Andreas).
A mettre entre toutes les mains pour découvrir un des plus talentueux auteurs
de BD.
Aldébaran est une excellente bd, celà fait déjà quelques années que je la possède mais je prend toujours autant de plaisir à la relire.
L'histoire est passionnante et rythmée. Seuls bémols, le graphisme d'abord qui pourrait être meilleur et aussi les relations entre les personnages qui sont parfois un peu caricaturales. Mais ce n'est rien à côté de la qualité du scénario et des trouvailles pour surprendre le lecteur dans sa découverte de la planète Aldébaran.
Aprés avoir lu cet épisode, pas vraiment grand chose à dire. Ni une deception, ni la naissance d'un sentiment d'enthousiasme pour lire le second tome. Ca se laisse lire, on passe un bon moment, mais pas de quoi devenir complétement fan. Je lirais le deuxième si l'occasion se présente, le seul suspens réside dans le secret des personnages. A lire tout de même pour les amateurs du genre.
Il est de ces albums qui ne laissent pas indifférent. Tengiz en fait partie et le seul regret que l'on puisse avoir est de ne pas avoir sous la main la suite de cette aventure incroyablement réaliste.
Dès la prise en main de la BD, on est supris par la qualité exemplaire de la couverture et du papier. Ensuite ... ensuite ce n'est que pur Bonheur. Dessins fluides, précis, soignés, limpide ... Le scénario m'a captivé d'entrée .... Mais je que j'ai aiumé le plus c'est observé tous les petits détails avec lesquels l'auteur (aurélien Morinière) rends les costumes et autres personnages presques réels. La mort du père entre directement dans la liste de mes séries à suivre de toute urgence. Espérons que le scénario va continuer sur la même lancée pour le tome 2 (apparement prévue en fin d'année 2007)
Quoiqu'uil en soit, je recommande favorablement cet album ... Bonne lecture
Cela peut paraître long (près de 300 pages) mais j'ai dévoré
6 personnages : 5 avec un passé commun et une pièce rapportée pour l'occasion de quelques jours à la campagne pour assister à une éclipse de soleil
Le dessin et le scénario rendent palpables les tensions et les joies entre personnages, au fur et à mesure de l'avancée dans l'histoire.
J'ai adoré la dégaine de la "guérisseuse" du village, et le naturel des situations
Cet album regroupe le mythique combat titanesque opposant Thor au Surfer
d'Argent, et un combat certes moins impressionant mais tout aussi exaltant
qui cette fois-ci met aux prises l'Arraignée et le Caïd.
Le premier des deux récits reste pour moi le plus intéressant. "Je me suis
régalé en mêlant la linguistique asgardienne de Thor à la grammaire
galactique du Surfer!" nous révèle Stan Lee. Eh bien on se régale nous aussi!
"Rien ne peut atteindre celui qui chevauche les météores et qui a connu la
chaleur de milliers de soleils". Sublime réplique!
La suite m'a plutot decu. Hormis l'atmosphere tres humaine decrite par de nombreux lecteurs, je ne trouve pas que l'histoire emballe. Il n'y a pas grand qui se passe et j'ai le sentiment que ca traine en longueur un peu inutilement.
Vraiment pas mal les Hulk scénarisés par Peter David. Pour moi les meilleurs
sont ceux qu'a dessiné Dale Keown (jusqu'au 9). Certains des dessinateurs qui
ont suivit manquaient parfois de talent...
J'avoue n'acheter ce magazine uniquement que pour sa série phare des x-men par whedon et cassaday, vraiment très bien écrite dans un pur esprit "feuilleton" et superbement mise en image, dans un style réaliste qui convient à merveille. J'ai lu sur le site de panini que cette série était surnommée le watchmen des x-men, comparaison un peu exagérée à mon goût... En tout cas, disons que cette dernière est la digne héritière de l'esprit des périodes claremont-byrne et morrison-quitely. Un pur bonheur... Par contre, je ne suis pas amateur des autres séries du magazine, qui sont assez faibles à mon avis.
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Homunculus T7
De Hidéo Yamamoto
La couverture de ce tome 7 est éloquente ! Nous aurons à faire à un face à face ( Dualiste ?) entre le nouveau moi et l’ancien moi de notre héros Mr Nakoshi. Mais surtout il est particulièrement intéressant de constater que notre héros emportait avec lui une part intime des personnes avec lesquelles il s’était querellé…
Avant de commencer, on peut revenir sur « l’homonculus sensoriel », et la manière dont le docteur les a présenté. Les homunculus sensoriel changent, disons se modifient, d’une société à l’autre, d’un entourage familial à l’autre. Il est facile à partir de là de savoir quelle forme il prend en fonction des gestes sociaux. On embrasse pas n’importe qui sur la bouche, on ne fait pas une poignée de avec n’importe qui, et la grosseur de la tete ( du cerveau !) en dit long sur la prédominance de cet organe sur les autres…Dois-je rappeler que nous éprouvons des signes sociaux par le corps ? D’ou les fameuses fausses surprises comme les rencontres ou l'amour. On en vient à la suite. De quelle manière notre héros voit-il les homunculus ? De façon instantanée, comme une photo ou un flash immortalisant immédiatement la personne. Sauf qu’à partir de là, on ne se pose plus la question de l’historicité de la personne concernée. Sauf quelques flashs éculés clivant les zones d’ombres. Par là l’auteur affirme une vision stéréotypé de la personne. Bref l’homunculus est à double tranchant, mais le fait que notre héros conserve des « signes » de ses rencontres ( le bras, et la jambe) suffisent à espérer une ébauche de récit de notre héros.
C’est au travers d’un vieillard que notre héros a ruiné autrefois que l’on verra poindre ce récit, mais aussi de la culpabilité. ( Il faut dire que les montagnes de chiffres et de pourcentage ont tendance à engourdir psychiquement !) C’est là que l’on tient la grosse réussite du titre dans l’utilisation des 3 grosses poutres de nos civilisations du nord c’est –à dire les mythes les plus imposants qui répondent très souvent d’une manière archaique : l’argent, la performance ( une boite de 700 milliards !), la technologie ( les esclaves mécaniques !). Ils sont aussi présents dans d’autres titres mais ils sont rarement utilisés de cette manière là, ou la prédiction de notre héros autrefois cynique se produit réellement parce qu’un énorme morceaux de notre société vit en autarcie comme en proie en une boulimie étrange, comme clivée et rejetant toute personne qui n’accroît plus les mythes. Finalement la réussite est là ou on ne l’attend pas dans ce titre ! Elle réside dans le traitement du vieux devenu marginal mais c’est encore trop photographique pour proposer un récit digne de ce nom.
Tout cela pour en revenir au rendez-vous entre le docteur, et notre SDF Mr Nakoshi dans un bar.
On peut s’arreter sur le thème de la suggestion que l’on rencontre très souvent comme un pseudo raisonnement psychanalytique, exemple : si vous etes en plein « mal-etre » aujourd’hui, c’est parce que dans votre petite enfance vous avez été battu(e), ou violé(e)et qu’il suffit de le dire, de parler pour que ça aille mieux( il y a le meme genre de raisonnement pour la carence affective !). C’est assez amusant parce que ça marche jusqu'à la fois suivante.
La tete que fait notre docteur quand il découvre que la trépanation fut vraiment faite est vraiment très drole ( pas sur que ce soit le but de l’auteur, mais moi je l’ai trouvé très drole !).
Malheureusement notre héros souhaite à tout prix se défaire de son nouveau don, et je crains que le titre ne reste qu’à l’état théorique ou d’ébauche d’un récit palpitant et d’une brillante critique de notre société de consommation ( terme à la mode !)
Ce tome 7 était parfait pour faire un bilan, et malheureusement, on a la fâcheuse impression que l’auteur n’a pas laissé son titre murir, ou qu’il n’a pas la sensibilité nécessaire, ou l’intelligence de sortir des clichés un peu facile et gras des discours normo-moral. Dommage terriblement dommage.
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Mon album préféré, avec le tome 1. Une exaltante chasse à l'homme, des
révélations sur le passé de XIII, et une force dramatique qui à mon goût n'a
jamais atteind un tel niveau dans cette série.
Je pense néanmoins que peu de gens partagent mon goût pour "la Nuit du 3
Août". C'est pourtant sans doute celui qui m'a le plus marqué.
Cet opus forme avec le n°15 un dyptique qui constitue pour moi le sommet de
cette série. On nous y raconte l'enseignement que reçoit Ryo Narushima du
"maître" dans les montagnes reculées (tome 15), et le combat qui s'ensuivra
contre celui qui se fait appeler "Son Goku" et ses deux disciples (tome 16).
Sans oublié la jeune Yan, élève du maître. Ce sont là les 6 seuls personnages
que l'on rencontre dans ces deux albums. Pas un de plus.
Ce dyptique arrive à point dans une série qui avait parfois tendance à se
répéter et à se complaire dans la surenchère. Un récit complet en tous points,
maîtrisé. L'art du détail, du gros plan, du décorticage graphique est à son
appogé, porté par un découpage d'une précision sans pareil. Et le récit...
presque mystique par moment. Une sorte de quête initiatique. On se sent
porter par ces deux albums. Et tout se concrétise, se matérialise dans cette
dernière séquence qu'est le combat final, magnifique, aérien, décomposé,
extrême...
Le meilleur de "Coq de Combat", avec peut-être le tome 1.
Très album ! Je ne l'ai pas encore fini mais les dessins sont magnifiques ! Quelqu'un sait quand sortira le vol.2 ?
Superbe album, merci BDB. Intérieur sépia + cahier d'inédits.
Ce tome clôture la série, les dessins sont resplendissants pour cette édition sépia qui met en valeur le trait de Régis PENET.
A lire absolument.
Ce nouvel opus de SCHUITEN-PEETERS, nous emmène avec la même malice dans un univers en noir et blanc où la réponse aux questions semblent pourtant crever les yeux d'un éclat blanc. A l'intérieur de cette valse des nuances, nous recroisons avec plaisir Mary Van Rathen, l'enfant penchée. L'intrigue est menée comme une enquête policière, subtile et pleine d'humour subtil. Vivement le dénouement !!!
L'histoire est sympa, un jeune aristocrate breton fauché qui part dans les iles à la recherche de son ancêtre et qui y découvre l'amour, mais ce qui est extraordinaire dans cet album c'est que les pages sont dessinées par plus de 20 auteurs qui ont pris la suite de Will décédé après n'avoir fini que 5 planches.
Et pas des moindres, Dany, Derib, Frank, Franz, une superbe illustration de Hausman, Hermann, Loisel, Mézières, Plessix, Roba, Walhéry, Wasterlain pour citer les plus connus. Cela donne des planches en couleurs directes de toute beauté qui permet de comparer et d'apprécier le style du must de la bd franco belge. Un collector !
Ultimates 10 à 19 :
Voilà surement la meilleure série Marvel du moment qui développe des intrigues plus profondes et réalistes par rapport aux autres séries. Les personnages y sont beaucoup plus intéressants et les choix faits par les auteurs sont très surprenants. Les intrigues ne tirent pas en longeurs et l'action n'est pas perpétuellement présente mais plutôt savament dosée. Bref je n'y voix que des qualités et je recommansde chaudement cette série.
Déchirée : La voie prise par Whedon et Cassaday dans le développement de l'histoire est très intéressante et pas une simple confrontation entre les X-Men et le club des damnés. Je trouve ce parti pris très intéressant et logique quand on prend en compte les différents évènements qui se sont déroulés dans les séries X et également la puissance du personnage d'Emma Frost. Un très bon épisode.
Les derniers jours de Camelot : Une fois encore la conclusion de l'histoire est beaucoup trop rapide et sans surprise (décidément il faudrait peut être donner des cours aux scénaristes de chez Marvel). L'histoire qui avait pourtant bien commencée tourne une fois de plus à l'eau avec une conclusion sans intérêt.
Hypnose : Voilà un épisode très intéressant avec son lot de révélations. Les évènements risquent de prendre une tournure de plus en plus passionnante à suivre. Très bonne série.
Chasse aux monstres : Episode assez moyen mais qui laisse dans l'incertitude quant à la suite des évènements de la série.
Les nouvelles routes de l'enfer : Bien qu'intéressante l'histoire se révèle finalement très classique et sans véritable surprise que ce soit sur le thème ou son traitement.De plus la façon dont s'en sortent nos héros est un peu rapide à mon goût et manque de difficulté. C'est une histoire certes sympa à lire mais sans plus.
La vengences des Green Lantern : Intrigue intéressante à suivre qui semble mettre en place les bases d'une nouvelle intrigue très prometteuse.
Les nouveaux Teen Titans : Intrigue intéressante qui nous permet de découvrir la Doom Patrol dans une version modifié par infinite crisis. L'histoire semble bien partie, reste à voir comment tout celà va tourner.
Décidément voilà une série qui sort de plus en plus du lot de par la profondeur de ses personnages et des qualités indéniables de so,n scénario. L'histoire prend une tournure de plus en plus complexe où le paranormal joue un rôle de plus en plus important. De plus la descente aux enfers de Gael et l'arrivé d'un nouveau personnage bien mystérieux sont parfaitement traités et à la fin de l'album on brule de lire la suite.
Les plus jeunes découvriront les 20 années de créativité d'un éditeur indépendant avant l'invention de ce concept, aventure qui a permis la naissance de l'Association.
Les plus anciens comme moi revivront avec émotion la naissance d'une bande dessinée atypique et surprenante, à une époque (1970) où BD signifiait uniquement Tintin et Mickey.
Merci à Florence CESTAC pour avoir relaté avec un certain humour cette aventure humaine !
Magnifique Album qui dégage une ambiance assez "bizarre". J'aime assez bien ce coté Policier / Suspence sur un thème ecolo-futuriste :p
Les commentaires excellents m'ont poussé a faire l'acquisition de cette serie. Je m'attendais à un chef d'oeuvre, et j'ai tout de meme ete un peu decu. J'esperais mieux. Cela dit, j'ai bien aimé cet album. Un débt un peu bizarre,, puis une trame qui s'articule autour de personnages attachants. Le dessin est correct, les couleurs renforcent l'atmosphere de cette histoire ayant pour centre un zoo. Ca vaut la peine d'etre lu, mais ce n'est pas le chef d'oeuvre que j'esperais.
L'anorexie de Sachiko est révélée à tous et frappe particulièrement un Tommy qui se pose de plus en plus de questions et se réfugie chez ses parents où il est amené à faire le point sur ce qui a conduit à une telle situation. Akémi sort lentement de sa déprime grâce à Yuki, tandis que Kiyoko et Sei se trouvent enfin grâce à l'intervention de Sophia. Mais les choses sont loin d'être terminées puisque Sachiko refuse de reconnaître son problème et rejette Kenji, tandis que Tommy comprend enfin les longues années de rancune de Kiyoko a son égard.
Voici un volume placé sous le signe de la vérité qui éclate (ou qui commence à éclater plutôt), à deux pas de la fin. Dans la lignée des albums précédents, l'intrigue continue de se développer et atteind le sommet de la crise inévitable. Reste à voir quelles solutions seront apportées par Jenny à l'histoire. L'anorexie de Sachiko fait entrer la série dans un registre plus sombre et mature, sans pour autant tomber dans l'excès ni la dramatisation à outrance.
Encore un bon moment de lecture.
Récit horifique et profondément sombre. Du mal à accrocher véritablement au côté "magie noir" del'histoire pour moi qui ne suis pas un habitué de cette série (peu de tomes ont été traduit e français), mais l'ambiance est là, et le personnage de John Constantine toujours aussi irrésistible. Vraiment pas mal du tout.
Du très bon Jason. Histoire d'une vie médiocre, dont le récit est divisé en une dizaine d'histoires au nombre de pages variables, toutes muettes. Les thèmes chers à Jason sont tous présents : l'amour, la mort, la médiocrité et le traumatisme.
C'est un régal d'essayer de décripter le sens de chaque dessin, de chaque scène. Tout ou presque est implicite et "métaphoré". Et puis ce muet, ce découpage, quelle force!
Cet album permet de mettre en place l'intrigue, les dessins sont clairs et précis.
L'ensemble est cohérent et semble prometteur.
Une bonne série de SF en perspective.
A noter, Guarnido réalisera le dernier album servant d'épilogue à la série. Il réalise également toutes les couvertues
Deux histoires formidable de simplicité et de poésie, une au Japon où les deux amoureux se sont perdus et se cherchent et l'autre en Afrique à la découverte d'une petite fille.
Les dessin est parfait, un album tout à fait réussi pour tous.
Chacun cherche son chat et en profite pour faire des rencontres et se découvrir soi-même.
Le dessin atteint sa maturité et l'histoire très simple est prenante jusqu'au bout avec cette ambiance poétique qui est la marque de cette série.
Un très bon album.
On retrouve l'univers du premier album mais cette fois ci à la campagne, mais le message ésotérique est un peu difficile à saisir.
Il reste de très belles images et l'ambiance particulière de cette série.
Premier album, dessin encore en formation, histoire poétique mais un peu tiré par les cheveux, mais l'humour du quotidien fait passer le tout pour cet essai prometteur.
Très bel album de Vaughan et Henrichon. Pour enfants, ados ou adultes.
Les dessins sont magnifiques, bien mis en couleur, mais surtout il faut porter une attention particulière aux dialogues.
Une relecture en imaginant de "simples" irakiens à la place de ces animaux donne une toute autre dimension à ce récit, dimension sûrement souhaitée par l'auteur: ce qui arrive à ces 4 lions enfin libres dans Bagdad est l'histoire que de nombreuses familles irakiennes ont du vivre en avril 2003.
On peut dire que ce troisième tome tient toutes ses promesses, même si on s'éloigne ici du personnage principal (Martin) pour s'intéresser à Maria, retournée comme lui en Allemagne. L'histoire aborde un thème rarement évoqué en BD : la résistance durant la seconde guerre mondiale, non pas en France mais bien en Allemagne ; ces résistants impitoyablement poursuivis par le régime nazi... "Amours fragiles", c'est un scénario remarquablement construit, des dialogues qui sonnent juste, un dessin réaliste et élégant et, surtout, une histoire touchante, voire émouvante par moments. Du grand art.
Dessin style manga, histoire de cape et d'épée amusante, une série sans prétention
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