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Une oeuvre difficilement classable tant elle emprunte à différents genres : Road movies, thriller, polar, drame ...
Mais une chose est sure, on peut la classer dans les grandes BDs parues en 2007.
Merci KSTR.
Ça ne faiblit pas, sur la même lancé que le 1er tome, ce genre de BD , pour moi, ils peuvent en faire je suis preneur
bonne série , j'aime ce genre de dessins, les histoire sont sympas, mais il me manque un truc pour vraiment adoré
Une nouvelle fois , hormis le dessin pas assez régulier, une série pas assez connu mais une fois que l'on a goutté ......
tous aussi canon que le premier a ne pas loupé, indispensable
Alors la, personnellement j'ai adoré, cela nous rappelle les BD de notre jeunesse, gros papier, planches mats,beaucoup de lecture ( bonne odeur sur les albuns neufs ) ect.. les dessins sont pas trop terribles par moments, mais regarder biens, pas mal de personnages vous rappellerons des acteurs des années 60, ou d'autres personnalité, a vous de chercher, senorio tiens bien la route, bref album presque parfait ( dommage le dessins )
Très intéressant, la suite se tiens un peu de longueur qui fait nous impatienter pour la suite ( en espérant qu'il n'y aura pas 24 tomes )
autant le tome1 ne ma pas laissé indifférent autant celui ci ma tout simplement fait Ch... les dessin sont trés trés moyens , couleur bof, senar,pas mieux
Un agent de la CIA en France, c'est un genre difficile à avaler !
Depuis le fameux kidnapping de son père, on protège la mystérieuse S. contre tous les espions.
En tous cas, le dernier tome est bien facilement rythmé par Van Hamme, comme à son habitude, et toujours aussi impeccable qu'original en parlant des planches d'Aymond.
Ce troisième album est un chef d'oeuvre de la bd d'aventure ! Le scénario est parfait : on en apprend un peu plus sur les intentions du vrai meurtrier et en même temps le mystère s'épaissit autour d'un trésor qui serait enterré en Guyanne. Le dessin de Pellerin accompagne le tout de façon magistrale.
Yann de Kermeur est toujours en fuite après avoir été accusé d'un crime. Depuis son repère il essaye de se sortir des griffes du marquis de la Motte.
Un deuxième album qui tient toutes ses promesses. Les dessins et le scénario sont toujours aussi impécables.
GENIAL : Delitte dessine très bien, même si l’on confond parfois ses différents personnages ; et Convard a mitonné un scénario du diable : ce dernier intervient pour mettre en place les conditions de survenue de la première guerre mondiale pour s’enrichir ! Effrayant de crédibilité.
Au XVII e siècle, en Bretagne, le jeune Yann de Kermeur, marin réputé mais ancien galérien, est accusé d'un meurtre qu'il n'a pas commis.
Une mise-en-bouche très réussie pour cette série très prometteuse. Ce premier album alterne à merveille action et intrigue. Le scénario de Patrice Pellerin est très "carré" ainsi que ses dessins.
Un album sur l'enfance, ses souvenirs et son rôle sur la vie d'adulte. Une composition graphique atypique et protéiforme (photo, dessin, collage, touches de peinture) pouvant en rebuter plus d'un.
Toutefois, pour qui aime le sujet de l'enfance, cette oeuvre est à parcourir (voire plus).
"Le soleil naît derrière le Louvre" est certainement l'un des Nestor Burma les plus déçevants. Si notre détective national est toujours aussi attachant et aussi imparfait, le scénario reste un peu plat pour un Nestor Burma. Le dessin de Moynot n'est pas mauvais.
A la page 79 de l'album, l'éditeur, qui a le culot de le vendre 50 francs en 1982,
remercie diverses institutions de lui avoir permis de "reconstituer l'Oeuvre (avec une majuscule, s'il vous plait) grandiose (pourquoi pas, les superlatifs inappropriés ne coûtent rien) de Enki Bilal".
D'abord le livre est rempli de vide.
Ensuite, je ne trouve rien de bien à "l'Oeuvre" de cet auteur. Ni le dessin, ni le contenu des histoires, ni l'esprit qui les anime.
Grandiose, vous avez dit grandiose...
Le sombre héros "Long John Silver", vu dans l'"ile au trésor",repart avec un équipage en quête de la mythique cité de Guyanacapac. Peu en reviendront...
Ce premier tome est extremement prometteur, l'ambiance est oppressante et glock! J'attend la suite avec impatience...
En ouvrant la BD ma première réaction fut assez négative causé par le dessin, mais en creusant le scénart est costaud et on s'habitue rapidement au graphisme. En la refermant on a hate d'attaquer la seconde!
Cette série est irréprochable, le scénart est une tuerie. Quand on ouvre le tome 1 qu'on lit quelques pages, on sait déjà que c'est du bon. Quand on ouvre le tome 2 qu'on lit quelques pages, on s'apperçoit que c'est du trés bon...ainsi de suite jusqu'à la fin.
Magistral!!!
Cet album, qui est chronologiquement antérieur aux autres, reste un indispensable même si Yslaire n'est plus au dessin, son influence est toujours trés présente. L'atmosphére est pesante, appuyée par la noirceur du passé de la famille "Sambre"!
Encore une fois du trés lourd!!!
Très bon album !
Comme Van Hamme et Sente, Thorgal se repose et c'est Jolan qui se lance dans ses premières aventures avec ses trois nouveaux amis rencontrés, l'un après l'autre, dans un autre monde. Beaucoup de surprises y sont réservées.
Toujours appliqués de la peinture, les planches du grand Rosinski restent fidèles, accompagnées de bulles de la part d'Yves Sente qui s'en sort bien.
Pour ceux qui ne connaissait pas Yves Swolfs voilà une bonne entrée en matière, la série s'annonce prometteuse. Si vous avez apprécié, vous apprécierez aussi "Le prince de la nuit"
Un album supplémentaire n'aurait pas été de trop pour achever cette bonne série, la fin est un peu trop rapide à mon gout, ce qui entache quelque peu la qualité de l'ouvrage!!
Cette série, bien qu'en cours, est un véritable chef d'oeuvre!!
A conseiller à vos amis et connaissances!
Les desseins de Swolfs sont trés beau et le scénart prenant! Mais qu'attend- il pour sortir la suite??
Après "Le Ciel radieux", Jirô Taniguchi nous présente cette magnifique "Montagne Magique" : Auteur d'habitude, la poésie dramatique et fantastique y est sur les pages toutes colorées !
En supplément, cet album assez costaud nous offre également un interview intéressant.
Toujours du trés lourd, dans la continuïté des albums précédents "le sang des bêtes" est une nouvelle fois une réussite alliant beauté du dessein et rigueur historique.
Du grand art!!
Ce second tome est toujours aussi bien dessiné pour peu qu'on aime ce genre de dessin (crayonné puis couleurs directes). Mais l'histoire moins débridée m'a moins enthousiasmée que le 1er tome. On ne retrouve pas ici la douce folie du 1er tome qui colle tant au personnage du baron. Il est comme spectateur et non acteur de son histoire. On a du mal à s'impliquer et ressentir quelque émotion à la lecture en dehors des dessins toujours magnifiquement expressifs. Finalement, je pense que l'histoire sous exploite l'énorme talent de Supiot. Peut être, devrait il maintenant passer à un autre projet ?
Oui certes nous faisons face à un rouleau compresseur commercial, une machine bien rodée, avec tirage spécial, film d'animation...Ce tirage est très beau, rien à dire de ce côté, par contre je regrette le côté trop enfantin de la retranscription du Ring de Wagner, qui est une oeuvre bouleversante, magique , mais sombre, là je ne retrouve pas cet esprit. Je trouve siegfried assez fade et les niebelungens , notamment mime vraiment ridicule. En bref je trouve le tout un peu lisse, le trait d'alice est très beau rien à dire, ses cadrages aussi. Mais voilà, le ring me prend au tripe mais là la bd pas vraiment, qui je pense est vraiment ciblé jeunesse, donc aseptisé. Mais bon bravo tout de même de vouloir condensé la Tetralogie afin de la ramener à un public plus jeune, car un opéra de 14h n'est pas à la portée de tous.
Personellement j'ai trouvé cet albumtrès bien fait, les gags sont originaux et les dessins sont bien réalisé. Bref, je trouve que c'est une bonne BD;
MONSIEUR ALICE nous propose ici un chef d'oeuvre comme il est donné d'en lire assez rarement, tout est magnifié sous les crayons d'Alice. ALors rien à ajouter si ce n'est bravo et .... ENCORE,ENCORE,ENCORE,ENCORE,ENCORE!!!!
Une bd un peu trop gentillette sur un thème pourtant dur : le régime totalitaire de l'URSS à l'époque stalinienne. Le sujet est donc passionnant mais le scénario manque de ce petit plus qui aurait fait décoller l'histoire.
Pourquoi avoir fait colorier à nouveau cet album ? Autant les couleurs de la version Sachse étaient belles et rendaient bien, autant celles de la version Rouger sont laides et repoussantes. Une horreur, bien dans le ton de l'insane mode actuelle. Désolé, mais le "chiqué" ne masque jamais la médiocrité.
Très très bon ce Malet de Juncker, un mélange parfait d'humour et d'histoire sur des dessins somptueux. C'est beau et riche d'enseignement...
Malet c'était un malin !!
Géant !! Fabuleux !! Enorme !! Incroyable !!
Pas forcément la BD la plus émouvante qui m'est était donnée de lire cette année, mais sans doute une des plus aboutie.
Cadrage cinéma au top.... pas étonnant quand on sait qu'un film anime va voir le jour prochainement.
Ambiance glaciale, jeux divins, une épopée fantastique qui nous emporte déjà dès le tome 1 dans ce qui est pour moi, une plus belles et une des plus grandes légendes nordiques.
Le bouquin est en plus vraiment bien foutu, vu le prix on se moque pas de nous !!
De plus Alex Alice revient en force, il a travaillé dur pendant toutes ces années et ça se voit.
J'avais un peu peur du buzz autour de cet album, mais la surprise est de taille il est vraiment super !!!
C'est beau, c'est bien, ça promet un grand moment... fans des grandes et belles histoires, du seigneur des anneaux notemment, courrez l'acheter !!
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Kurosagi, livraison de cadavres
De Housui yamazaki et Eiji Otsuka
Au fur et à mesure de la lecture, on comprend que l’auteur joue sur la sensibilité morbide ( rien à voir avec l'ambition morbide tant salué dans nos sociétés occidentales !) de ses héros et du lecteur. On est surpris de constater que le titre défend crânement et finement ses chances avec des récits efficaces et plein d’humour dans l’ensemble.
Mais comment peut-on rire des cadavres ? ?
Le jeu ( du rire !) se situe entre les situations sociales et les remarques de nos héros…
En bref, le dessin n’est pas toujours excellent ( les cadavres étant mieux réussit que les personnages vivants !), pourtant l’auteur réussit à rendre sa petite troupe sensible et morbidement sympathique malgré ses fameux soucis d’argent.
Plaisant et amusant ! ! !
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Ce livre est magique, poètique.
De page en page sombrement bleutée, j'étais tout é-mer-veill-é comme un gosse devant les films de Walt Disney.
Curieux mélange de Comics, Disney et Tolkien et bourré de dialogues riches, Alex Alice n'a vraiment rien plagié à partir de l'inspiration de Wagner.
Siegfried est vraiment un bel homme, rempli d'éternel amour.
Alex Alice, continue ainsi sans crainte !
Je n'ai pas acheté cet album absolument spécial pour rien !
Une belle histoire qui traite d'un sujet compliqué et tabou (la sexualité des personnes âgées) avec humour, legereté et tendresse. Si le dessin n'est pas très accrocheur au début, il nous séduit rapidement en collant bien avec l'histoire.
MA-GN-FI-QUE !
Sacrée claque dans la tronche, j'ai adoré !
La version collector est vraiment sympa, l'entretien avec A. Alice passionnants, et les illustrations impressionnantes. Quand aux quelques minutes du film d'animation, le moins que l'on puisse dire c'est que ça donne envie.
Ce premier tome est une belle mise en place, deux destins qui sont semble t'il appelé à ce croiser dans les tranchées de la grande guerre. Lax nous distille l'enfance et l'adolescence de nos deux héros dans ce premier tome dont il confie le dessin à Blier.
Blier qui semble être nouveau dans le monde de la BD nous gratifie d'un dessin très personnel et très agréable (parfois proche de Loisel... si j'ose dire).
BD à suivre avec attention...
Clap de fin pour une série qui m'a beaucoup impréssionné. Sûrement une des mes plus belles découvertes de ces dernières années. Que dire, graphiquement je trouve toujours ça aussi génial et puis surtout quelle sensibilité et intélligence dans le récit, la construction de la BD, la manière de faire évoluer physiquement et psychologiquement les personnages. C'est drôle, émouvant, le tout dans un univers pas banal. Magnifique !
Il était sans doute inévitable que, après le démarrage fulgurant des 7 premiers chapitres, "Death Note" marque un peu le pas. La raison en est double : Ohba a pour l'instant échoué à faire de "L.", sorte de stéréotype du héros de mangas pour adolescents, un personnage aussi fascinant que Light, et toutes les scènes tournant autour de l'enquête en deviennent assez fastidieuses. Ensuite, le meurtre des agents du FBI transforme clairement (ah ha) Light en un "pur méchant", et fait disparaître l'ambigüité morale de sa démarche qui générait tant de trouble... Mais ce "passage à vide" ne dure que quelques chapitres, et le face à face entre Light et la jeune fiancée de Raye constitue bien vite un nouveau sommet de "Death Note", avant que, les soupçons de L. se resserrant, l'intrigue s'accélère à nouveau. C'est une torture que de ne pas passer immédiatement au Tome 3, qui attend bien sagement rangé dans ma bibliothèque...
Heureusement que les femmes sont là pour venir au secours d'Hughes !
Fin de cycle pour cette très bonne série bien ancrée dans son temps. La vérité éclate mais pour les héros, les happy-end ne durent jamais très longtemps.
Ravenaud met tout en oeuvre pour perde Hughes, y compris sacrifier Nolwen à d'affreux brigands pour se les allier. Le pauvre Hughes va encore se retrouver au fond du gouffre !
Très bonne histoire et dessins maintenant parfaitement maitrisé, cette série est à son apogée.
fac-simllé de mon avis sur " V pour Vendetta". C'est un indispensable, un chef-d'oeuvre.
J'ai pour principe de ne pas donner d'avis personnels sur les albums ou séries dont la note BDgest correspond à mon opinion et/ou sont déjà suffisamment chroniqués, préférant m'attarder sur ceux moins en vue.
Mais je fais une petite exception ici, tant cette oeuvre est exceptionnelle. A lire absolument, que l'on soit amateur de comics ou non. Un indispensable.
Seule au milieu de l'immensité de l'océan sur une minuscule chaloupe, Eléonore est recueillie à bord du Typhaon.
L'ambiance sur le grand voilier n'est pas des plus joyeuses, mais les secrets que porte en elle la jeune femme ne l'incitent pas non plus à la liesse. Peu à peu elle se lie d'amitié avec un lieutenant, Vernon, le seul sur le bâtiment à lui montrer un tant soit peu d'égards surtout d'attention. Malgré la distance que l'officier s'applique à laisser entre eux Eléonore en arrive à s'ouvrir à lui et à lui révéler sa terrible histoire.
Jeune scientifique embarquée avec son fiancé sur un navire elle s'est trouvée confrontée à un mal étrange le jour où elle a insisté pour analyser le corps d'un naufragé étrangement conservé par les flots. Rapidement la maladie décime l'équipage, cristallisant la colère et la peur superstitieuse des marins sur Eléonore. Mise en quarantaine sur une chaloupe à la remorque du navire elle préfère couper le lien qui la relie au bateau fou et malade. C'est ainsi qu'elle va errer sur les flots avant de rencontrer les hommes du Typhaon.
Libérée de son lourd secret la jeune femme ouvre bientôt les yeux sur les phénomènes étranges qui entourent le navire. Pourquoi les marins ont-ils tous cet air désabusé et las ? Pourquoi tout le monde semble-t-il éviter sa compagnie, sans pour autant qu'aucune animosité n'apparaisse à son égard ? Pourquoi le capitaine s'acharne-t-il à braver comme il le fait les tempêtes, déployant toutes ses voiles quand il faudrait au contraire les affaler ? Enfin, quelle est la destination du Typahon ? Autant de réponses qu'Eléonore découvrira bientôt, une fois l'horrible vérité dévoilée. Et pourtant, malgré l'horreur de la situation, elle renaîtra à la vie, à l'espoir, à l'amour...
Ouvrir un album de Guillaume Sorel c'est déjà plonger en plein cœur du mystère et de l'étrange. On est là dans l'illustration des univers chers à Edgar Allan POE, le dessinateur nous le rappelle d'ailleurs par un clin d'œil avec un volume des Aventures de Gordon Pim. Le dessin sert parfaitement le scénario de Dieter. Maître à conter ce dernier distille ici savamment tous ses mystères, nous laissant arriver nous même à la conclusion plutôt que de l'assener comme un coup de théâtre. Le drame pourrait y perdre mais il y gagne au contraire en ambiance, nous installant dans une situation et un état de fait qui s'impose pour laisser la place à des perspectives plus lumineuses. Autant d'atmosphères que le trait nerveux et les couleurs lourdes de Sorel parviennent parfaitement à retranscrire. L'angoisse dégouline des cases, la peur en transpire, mais l'espoir illumine aussi le dessin avant que la violence ne le plonge au cœur des abîmes. Fidèle à sa réputation de peintre de l'étrange le dessinateur nous offre encore là une œuvre superbe, comme un de ces tableaux symboliste qu'il admire tant (L'ïle des Morts d'Arnold Böcklin, par exemple), un tableau qui e déroulerait sur des dizaines de cases...
Déception pour cet album dont j'avais lu et entendu plutôt du bien.
Déçu d'abord parce que, de mon point de vue, le dessin ne correspond pas à l'histoire. L'histoire est violente : on frappe, on tue, on viole tandis que les dessins rappellent les bandes dessinées enfantines : ça ne colle pas.
Déçu ensuite parce que l'histoire est un peu confuse, la matière est clairement là mais incomplètement exploitée : ça piétine et le second album donne l'impression que l'auteur ne savait pas comment terminer.
Alors là bravo, quel album ! L'histoire est passionnante et les planches très soignées. Un vrai roman d'aventures avec en prime de l'humour, un brin de philo sur le totalitarisme et la recherche de la pureté, de la pudeur dans les sentiments et Prudence toujours aussi... craquante ! Bref une BD comme on voudrait toujours en lire. J'espère que Miss Endicott reviendra de son voyage un jour pour nous rendre visite à nous les gens du triste réel !
Numéro 17 à 19 :
Ces trois numéros voient la fin du combat contre Magnéto et la réabilitations des X-Men (avec même un rapprochement avec le SHIELD) et le début d'une nouvelle aventure centrée sur Logan et avec la participation en guest star de Spiderman et de Daredevil. L'intrigue commence plutôt bien même si les révélations ne se bousculent pas au portillon. Bref trois numéros intéressants.
Ce numéro marque le début d'une nouvelle mini série : Ultimate Power. On peut dire en tout cas que cette mini série démarra fort avec un combat fort intéressant impliquant les FF, Spiderman, les X-Men et les ultimates. L'intrigue commence plutôt doucement mais semble très prometteuse.
Voilà une nouvelle série Flash qui démarre plutôt pas mal avec l'arrivé du nouveau Flash en remplacement de Wally West qui fait maintenant partie de la force véloce. On peut dire que le choix était évident mais l'approche pour introduire ce nouveau flash avec les révélations qui y sont liées est plutôt bien faite. L'intrigue en elle même est certes commune mais intéressante avec l'arrivé d'un nouvel adversaire très intéressant. En espérant qu'on ait la suite dans pas trop longtemps.
Très bon numéro qui voit se poursuivre les aventures du couple du Wakanda en plein civil war et les décisions de Capitaine america vont avoir de grandes répercution pour Tchalla et Ororo. L'intrigue est bien menée et on passe un bon moment à suivre leurs manoeuvres politiques entre combats et faux semblant. La fin de ce numéro est même très surprenante et laisse présagers de bon moment en compagnie de nos deux tourtereaux. J'espère que Panini continuera à publier les aventures de la panthère noire qui sont pour le moment excellente (et continuer la série en 100% puisqu'il existe déjà un numéro 1).
Fin du match entre Deimon et Poseidon qui est somme toute sans surprise si ce n'est la nouvelle technique employé par Sena pour remporter la victoire. Cependant c'est l'arrivé d'un nouvel adversaire pour Sena qui est le plus intéressant d'autant qu'on revient sur le passé de larbin de se brave Sena et on apprend enfin comment il a pu développer une course aussi parfaite tout au long de ces années. Bref un très bon album qui laisse entrevoir un nouveau match palpitant.
Voilà un volume plutôt sombre pour Beck qui se voit dans une situation difficile que ce soit pour le groupe en lui même qui, privé de Ryusuke parti aux USA, rate une belle opportunité ou pour ses membres toujours obliger de poursuivre des petits boulots difficiles pour gagner de quoi survivre et pour Koyuki qui voit Mao partir pour Londre poursuivre ses études et à celà s'aoute l'arrivée d'un nouveau un peu similaire à Beck mais qui lui n'a pas d'ennemi puissant dans le monde de la musique pour freiner sa carrière. Bref rien ne tourne bien pour Beck au point que ses membres se posent beaucoup de questions. Très bon volume mais personnellement j'aimerais bien que les choses tournent enfin bien pour eux.
Bon album d'une manière générale avec pas mal de suspense conserver et une intrigue qui s'épaissie mais il serait temps qu'on ait quelques révélations et une idée de se qui se trame vraiment même si plusieurs hypothèses sont de mise. Les rebondissements et le comportement des personnages face à tout ce qui se trame est crédible donc on peut dire que les évolutions sont assez longues à se mettre en place mais ça se fait de manière logique sans raccourcis. Globalement j'ai passé un bon moment et il y a de bonnes bases. en espérant que le tome 4 soit plus riche en révélations.
Terry HACKMAN, pirate informatique très doué, se voit "contraint" de pénétrer illégalement Back World le nouveau jeu en ligne à la mode pour le compte d'un patron sans scrupules. L'intérêt de cette histoire où le virtuel et le réel se croisent, réside en grande partie dans le fait qu'elle met en avant les dangers des jeux virtuels sur notre quotidien et nos relations avec les autres. Back world univers virtuel représente donc un danger bien réel. Alors que va trouver Harry derrière la porte du niveau 2 qu'il réussit à ouvrir à la fin du premier épisode ?
Le scénario n'est pas des plus prenants. Une suite de meurtres par des gens manipulés, Niklos va mener l'enquete. Je suis resté sur ma faim, l'album se lit, mais ne passionne pas. En revanche, le dessin est de bonne qualité et j'ai bien apprécié les décors, ce qui rehausse un peu la qualité générle de cet album.
Une fin déçevante où il est difficile de cerner l'intrigue de JF Charles. Si les deux premiers tomes étaient plutôt prometteurs les deux derniers ne réussissent pas à faire vivre le scénario et à nous tenir en haleine.
Un troisième album très déçevant. L'intrigue devient indigeste et incompréhensibe. En espérant que le dernier tome sera de meilleure facture.
Un très bon tome !
Il est intéressant de connaître Joseph Joanovici, un nom que je n'ai jamais entendu jusqu'à ce que l'excellent scénariste, Fabien Nury, le fasse revivre sur les planches magnifiques du dessinateur, Sylvain Vallée, et du coloriste, Delf.
Il existe néanmoins un téléfilm "L'Etrange Monsieur Joseph" de José Dayan, inspiré d'un roman d'Alphonse Boudard, avec Roger Hanin dans le rôle-titre.
Je vous le recommande vivement !
Belle et originale idée que celle de Hub qui nous donne là la possibilité d'approcher la mythologie et la culture japonaise antique. Les deux premiers albums sont truffés de références historiques, emplis de légendes et l'alchimie est plutôt réussie. Pour autant je suis resté sur ma faim.
Les dessins tous d'abord sont à l'étroit, dans des cases trop petites et une mise en page par beaucoup trop classique? Lorsque l'on voudrait des vues grandiose (celle du château volant par exemple) il faut se contenter d'images somme toutes classiques. Même chose pour les combats : tout me semble statique, sans cette libération subite d'énergie propre aux arts martiaux japonais. Quand à l'écriture elle fait souvent montre de raccourcis qui, s'ils permettent certes de gagner du temps et des pages qui se révèleraient fastidieuses, ces éllisions n'en sont pas moins déroutantes et il est parfois difficile de suivre le fil du récit.
Bref, une série à découvrir, pour l'intérêt du sujet à défaut d'un réel brillo.
Remarquable album. Il est bien rare de nos jours qu'une série se bonifie avec le temps. C'est le cas de Celle ci, dont les deux derniers opus sont incontestablement les meilleurs de la série (déjà très bonne pourtant).
A posséder absolument.
Je fais parti des gens qui ont été réellement déçu ! Je me suis procuré les 2 premiers albums d'un seul coup et je le regrette beaucoup.
Pour résumer, les auteurs ont voulu faire de la B.D. d'auteur avec des effets et tout le toutim... bref, il faut s'y reprendre a plusieurs reprises pour comprendre la trame de l'histoire qui est pourtant la plus classique possible...
Par moment, on comprends que dalle et donc c'est vraiment chiant à lire.
J'aime pourtant le travail de Beck, mais là , ZERO POINTE.
Je fais également parti de ces gens qui aiment les films de zombis sans savoir vraiment l'expliquer... sans doute le huit clos, le fait d'être constamment sous pression avec toujours une fine équipe qui survit tant bien que mal. Je suis pourtant hyper rationaliste mais là pas un moment je me pose la question sur la plausibilité qu'un être mort puisse déambuler malgré sa putrification avancée.
Le tome 1 a démarré très classiquement, la suite est fidèle au genre. On ne s'ennuie pas, les personnages sont bien développés et ont de la profondeur.
J'attends la suite avec impatience fin novembre mais je précise que c'est réellement une B.D. de genre. Si vous n'aimez pas Romero, passez votre chemin. Sinon, y'a pas a hésiter !!!
sujet original et bien abordé avec humour et poésie le dessin peu accrocheur a mon gout au depart est cependant trés en accord avec le théme .
a lire pour passer un bon moment ,et qui en plus ammene une reflexion sur la viellesse fort bien vu.
Lefranc se rend a un congres, et se retrouve dans une bien etrange atmopshere. Il y retrouve Axel Borg. Le scénario est trop tiré par les cheveux, on tombe dans un pseudo-fantastique pas vraiment crédible. Le dessin est tres bien cependant, et malgré tout, il y a quelque chose d'assez sympa si bien que j'ai lu ce tome non sans plaisir.
LE POUVOIR DES INNOCENTS
Ici pas de prouesses au niveau du dessin, pas de cadrage à couper le souffle, pas de mise en page audacieuse, pas de bijoux en colorisation, pas de..., pas de..., pas de...
Et pourtant !! Ces 5 albums constituent l'un des meilleurs BD du Paysage Bédétesque Français ! Un scénario finement monté, des personnages aux caractères parfaitement trempé et une savante distillation des rouages de l'histoire.
Ce qui m'a le plus impressionné dans cet série c'est cette idée du bien dans le mal, du mal dans le bien, ce constat que rien n'est jamais totalement noir (à l'image de ses gosses délinquants auxquels on dévoile le meilleur d'eux-mêmes) mais surtout que rien n'est jamais blanc. Derrière les meilleures intentions peuvent se cacher les pires compromissions, derrière la bonté peut se cacher l'horreur et la cruauté... Alors parfois, pour échapper à cette dualité peut-être faut-il, à l'image de Logan, s'isoler totalement du monde, jusqu'à ce qu'un ange au sourire enfantin ne vienne vous en tirer.
Le scénario de Brunschwig est lourd de réflexions sociales, de pensées politiques, mais aussi de mise en perspective psychologique, il sait montrer le parcours de ses personnages et mettre en exergue tout ce qui les constitue. On aimerai entendre davantage de Jessica Ruppert parmi nos femmes et nos hommes politiques mais on frémi à la pensée des sacrifices consentis pour qu'elle puisse enfin être écoutée.
Alors certes le dessin de Hirn n'invite pas à la contemplation mais il faut néanmoins reconnaître qu'il sert fidèlement et efficacement l'histoire. Et si l'on regrette parfois quelques imprecisions, quelques traits trop hâtifs, sans doute faut-il se rappeler qu'un dessin correct suffit à un scénario aussi bon que celui-ci alors que le dessinateur le plus talentueux aura bien du mal à donner une âme à une histoire creuse. Tout ce que l'on peut souhaiter dès lors à Hirn c'est qu'il trouve encore d'autres auteurs qui, avec lui, auront des choses à dire et des réflexions à nous soumettre.
Une très belle BD, des dessins très agréables, et une histoire originale. Cette BD racconte, ou plutôt imagine ce que la bible ne racconte pas, ce qui s'est passé autour. Elle racconte surtout l'histoire d'un père qui ne comprend pas le départ brusque d'un fils et qui part à sa recherche, pour le ramener au foyer familliale. Avec beaucoup d'humour et de tendresse elle racconte la vision de ce père qui ne croit pas à ce faiseur de miracle qui est Jésus.
Une histoire tendre et savoureuse, avec les mots de notre époque, sur une problème, peut être vieux comme le monde : croire en Dieu et les hommes, et laisser ses enfants suivre leur voie.
A lire (en attendant impatiement) la suite
Je rejoins les avis postés jusqu'à présent. Un très bon album. On est vraiment transporté dans le grand nord, on a froid avec le héros ou avec son chien, on accuse le coup lorsque la neige lui joue des tours, on perçoit le silence, on entend la voix off dans sa tête, on souffre puis on s'apaise avec elle... Joli tour de force ! J'ai beaucoup aimé, à lire absolument.
Un deuxième album au scénario plus "carré". La recherche de vérité sur le passé de nos héros se mêle à l'histoire de l'Inde et du début de la décolonisation du pays. Le dessin est toujours aussi bon.
Le côté envoûtant de cette bd (l'Inde du XIXe siècle) est quelque peu ecclipsé par un scénario confus. Néanmoins, les dessins sont splendides.
Dans l'édition de 1999, les phylactères des planches 6 et 7 sont mal placés (ex. la succube dit "cela va finir par abimer ma lame" à la place de pile ou face".
Cet édition est-elle plus cotée qu'une autre ?
Lu et très déçu.
Je pense qu'il y avait matière à faire beaucoup mieux car les idées de départ ne sont pas trop mauvaises en soit, mais sont absolument et abominablement mal exploitées.
L'uchronie qui m'a intéressé au départ (dans l'achat de la bd) n'est pas du tout expliquée et développée. La n'est pas le sujet apparement. Mais la conséquence imédiate, c'est un univers peu crédible. C'est un ramassis de données historiques où de sous culture fantastique réchauffée (Foo fighters, Lovecraft, Lou garou, super héros Comics), mises bout à bout sans cohérence globale. ça n'aide pas du tout à la crédibilité de l'ensemble ni même à la compréhension. Bien que l'histoire soit "du grand n'importe quoi" (d'ou le coté série B), ne me gène pas, bien au contraire, mais ça n'empêche pas un devoir pour les auteurs de créer l'illusion et de la rendre crédible. Une bonne histoire ce n'est pas uniquement comme ici, reprendre des faits et personnages historiques et simplement les citer comme une donnée "a admettre" de soi même tout en agrémentant de fantastique très réchauffé. La façon d'aborder l'histoire relève ici, selon moi, du non talent et même du non professionnalisme.
Autre point très négatif, c'est le coté complètement médiocre et indigeste des dialogues. Ils sont trop nombreux et compliqués pour installer une intrigue à l'intérêt plutot faible et finalement simple. Ils deviennent pesants, trop nombreux et la fluidité et le plaisir de lecture sans ressent très fortement.
Le coté fanfaron du héros en toute occasion m'est également extrêmement désagréable et assez lourd car trop souvent répété.
Enfin, le dessinateur n'est pas mauvais mais il y a une trop grande successions de dialogues entre personnages et à huit clos d'ou un dessin inintéressant.
Bref, attention, cette BD peut en décevoir plus d'un !
Indispensable... Le meilleur tome de la série, pour moi. JMC avec un scénario typique, une trame linéaire avec multiple rebondissements et la suite aux prochains épisodes. Du bon Hubinon au dessin, bref, du grand art
Encore une excellent Davodeau. Et pourtant le thème, l'auteur le reconnaît lui même en préface (qu'il faut lire d'ailleurs), n'est pas forcément très sexy. mais voilà, le dessin et surtout les personnages de cette BD/docu sont tellement attachants qu'on a du mal à descotché du récit. Davodeau traîte le désarroi des ces gens si proche de nous de manière très humaine et très humaniste. Sans jamais verser dans le larmoyant. ce qui serait injuste au vu du courage et du flegme de certains "héros" ordinaire de la BD. Le résultat provient peut-être du fait que l'auteur se met en scène lui même ce qui lui donne peut-être le récul nécessaire. C'est tout simplement une magnifique BD qui relate de manière très intelligente notre qotidien et la manière dont, même un peu désarmé, on peut se battre contre une société en passe de devenir totalement folle !
Les tribulations de nos deux loosers en mal d'affection se lit facilement et arrive même à nous arracher quelques sourires. La brochette de personnages, même assez convenu est bien exploité. Le beau gosse à qui tout réussi, toujours énervant, le pine d'huitre, l'éduc spé sympa...tout ça sous un soleil de plomb, crée forcément quelques sitations, qu'on à tous plus ou moins connu de près ou de loin, plutôt cocasses. Bref c'est diverstissant, à défaut d'être très profond, mais c'est pas le propos de la BD de toute façon. A aucun moment le propos ne se veut sérieux, heureusement d'ailleurs !
j'adore le dessin et les couleurs, j'adore l'histoire, de toute façon j'adore rimbaud!
Ah.... quel plaisir de lire et relire au fil des pages le bateau ivre.....
Messieurs, chapeau...! Ferré l'a chanté, vous l'avez dessiné!
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Futuropolis
De Florence Cestac
Une grosse déception, et une vilaine soupe à la grimace !!!!
Que l'on soit nostalgique des bons vieux tubes : c'était mieux avant,etc....
d'accord, mais faudrait pas que l'on soit submergé pour s'empecher de faire un récit. Au lieu de ça l'auteur(e) ne trouve rien de mieux à faire que d'aligner les moments forts.
au final le titre en est plat, plat comme une mer étale....
Ca m'en a fait mal au coeur de voir cette joyeuse bande de pionniers de la BD ne me procurer aucune émotion...
Vengeance: je vais aller relire la collection "à suivre"....
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Construire un feu
De Christophe Chabouté
Qui remercier pour un tel titre ? Jack London qui avait écrit l’histoire, ou Chabouté pour avoir su interpréter la nouvelle ? Outre le fait que l’auteur raconterait le récit d’un aventurier, ce qui m’a particulièrement accroché c’est cet emploi du mot hostile. Dès le départ l’auteur construit son titre autour de cet environnement hostile. Il ne s’agissait pas de nous dire qu’au Nord du Canada il fait froid, mais peut-etre que ce titre délaisserait les arguments supérieurs au placard ( exemple : réalisme,…) pour savourer le quotidien d’un de ces chercheurs d’or.
L’intelligence de Chabouté réside en plusieurs points précis. Tout d’abord dans cet emploi de l’hostilité environnementale à la fois insidieuse et quotidienne qui façonne bien plus que des coupes du monde de la satisfaction ; mais aussi ,en plus, en partant d’un global pour en venir à l’intime entre le lecteur et l’aventurier avec des termes comme : « mon ami » puis pour en revenir à cette globalité ( j’ai beaucoup apprécié cela ! ce yoyo malin).
Deuxièmement dans un cheminement plus général : celui du feu visible qui jalonne et ponctue le récit mais aussi le maintient d’une voire plusieurs flammes d’espérances psychiques permettant de garder l’esprit en alerte ( la morale du vieux gars de Sulfur Creek !), et toute sa lucidité. Le jeu de la chaleur de Chabouté est donc double : à la fois humaine et animale, mais aussi technique ( faire un feu, fumer.). Le feu fait partie de ces éléments qui captive la conscience tout en apaisant ! ! ! Une connaissance qui permet, ici, de s’en sortir parce qu’un monde hostile à la vie ne veut pas dire sans vie. Bref et en d’autres termes un savoir basé sur des gestes précis qui sauvent et entretiennent…la vie.
Autre point important c’est celui des voix. Une voix off importante, une voix intérieure très présente mais par contre pas un son audible. Un titre mutique quoiqu’en dise les mutiques qui se trompe de mutisme. Dernière petite subtilité de la part de Chabouté que je situais mal avant ce titre, c’est sur la ( grande !) question de l’inexorable, car on aurait pu craindre que le titre se termine sur une mort totale. Pas du tout ! Meme si l’aventurier obtient la sérénité dans une mort lente, le chien qui le suivait est encore vivant. Une petite malice qui suffit à ne pas terminer son titre sur une mort plombante trop facilement répandue.
C’est parce que Chabouté s’attarde sur l’environnement quasi monochrome, les gestes ( une très grande précision, je le rappelle !), les mouvements, et les pensées du jeune aventurier qu’il réussit son pari de nous transporter dans une région très isolée de la fin du 19 eme siècle. Bravo à Chabouté, un auteur terriblement doué, pour avoir su réadapter et remoduler la nouvelle de Jack London en BD. Une belle adaptation fine et malicieusement humaine totalement incompatible avec une monstruosité trop lisse ou supèrieure.
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C'est classique mais c'est tellement bien fait. Je ne connaissais pas du tout ce classique de la BD des années 80 et était plutôt réticent à la lire ! Déjà parce que la BD historique c'est pas forcément mon truc , ensuite parce que je trouve que certains dessins des 80's ont tellement mal vieilli que ça me coupe toute envie de lire une BD jusqu'au bout.
Et là, très heureuse surprise, déjà le dessin est très bien je trouve et ensuite le scénar, alternant histoire, avec un grand H, et fantastique tient toujours la route, sans jamais faire dans la surrenchère et en gardant les pieds dans une France en pleine mutation très convaincante ! L'histoire, aux méandres tourmentés mais toujours compréhensible, nous fait rencontrer les grands de cette époque, parfois en tant que personnages centraux, parfois seulement comme un clin d'oeil. Mais toujours les protagonistes, qu'elle que soit leur puissance, semblent les jouets d'un destin cruel et inéluctable. Bref, il faut lire ce classique passionnant de part en part...
Impossible de trouver la paix pour Hughes, Nolwen menacé de répudiation s'allie de nouveau à Ravenaud qui menace de dénoncer son illégitimité.
Toujours une histoire palpitante à rebondissement, dessins parfaits, du très bon divertissement.
Fin du cycle où Hughes parvient à déjouer les machination de Ravenaud et de Nolwen et sauve Alix grace au sacrifice de Sigwald.
Histoire palpitante, dessins arrivés à maturité de Michel Pierret, un très bon album.
Hughes court tête baissé pour délivrer Alix et tombe dans le piège tendu.
L'histoire est toujours bien mené, le dessin de Pierret n'est pas encore au top, mais cela reste un bon numéro.
La suite tient toutes ses promesses. Action avec une pincée d'humour, un scénario intéressant sur fond de société secrète, un dessin excellent, efficace, desservi par des couleurs éclatantes, tous les ingrédients sont réunis pour une bonne histoire.
Voila un album que je voulais lire depuis longtemps. Je n'ai pas ete decu par sa réputation. C'est drôle, l'action est omniprésente, et le monde crée par les auteurs est très chouette. Un excellent moment de lecture.
La collection "Bulle Noire" avait livré de bons albums, mais celui-ci m'a plutot décu. Conventionel, la trame ne parvient pas vraiment à démarrer et traine en longueur, pour finalement laisser le lecter sur sa faim. Et c'est dommage, car on sent des pistes, mais rien ne se passe et ca finit par etre lassant. D'autant plus dommage que le dessin est très agréable.
Cet album apporte les réponses aux questions ouvertes dans les tomes précédents. Le tout est plutot bien ficelé et intéressant. Une bonne série dans l'ensemble. J'aurais appréciés des couleurs plus vives par moment.
Le jeune héro de la caste du petit nombre parvient à éviter le jeu de pourpre à son père, mais cela ne suffira pas à le sauver. Le scénario tient bien la route.
La trame suit son cours. On y découvre la soeur qui doit épouser son frère afin de faire perdurer les pouvoirs de ces monarques. Les deux héros deviennent de véritables amis, ce qui n'est pas sans conséquence sur leur proches. Le père de l'un deux devra se livrer au jeu de pourpre. A nouveau, cet album se lit avec plaisir.
Suite du précédent !
Le scénariste a completement craqué et on se retrouve dans un bd de science fiction !!! Excellentissime....
Excellent album! C'est plus de l'aventure que de l'espionnage mais c'est un vrai bonheur.... On a hate de lire la suite de l'épisode....
Excellente BD ! Beaucoup d'humour... Le dessin n'est pas tout a fait au top mais c'était le tout début !
Le tandem Conrad & Yann est plein de ressources. Ces aventures d'Alix Yin Fu nous emmènent dans les bas fonds de Hong Kong afin de retrouver "Fat Girl". Nous côtoyons des personnages bien glauques et grâce à l'humour corrosif de Yann, la petite Mouche rouge, dont c'est la première mission nous entraine dans une sarabande pleine d'action parsemée de citations exotiques. A dévorer dans l'heure... du tigre !
Ultimate X-Men 1 à 16 + Ultimates 5 et 6 :
Voilà d'excellentes histoires avec une équipe des plus passionante à suivres. Les personnages sont vraiment bien revisités et deviennent même plus intéressants à suivre que les originaux. L'opposition de la Confrérie aux X-Men se fait de manière plus crédible et logique que jusqu'à présent et ça donne de très bons résultats. Même le cross over avec les ultimates est bien trouvé.
Ce numéro revisite les origines d'Elektra, personnage somme toute très intéressant, de manière passionante. J'aime beaucoup suivre les choix d'Elektra préférant tout régler par elle même plutôt que de faire confiance à quelqu'un notemment Matt Murdock. L'intrigue est bien développée sans temps mort avec une fin vraiment excellente.
Excellent numéro avec des histoire toujours aussi intéressantes, sauf peut être celle avec Lobo à laquelle je n'accroche pas vraiment, mais globalement c'est très bon. Les personnages sont intéressants et nous réservent toujours des surprises.
Phénix : chant de guerre : Le phénix quand il n'y en a plus il y en a encore. décidément il porte bien sont nom. En tout cas le démarage n'est pas passionnant dommage, mais voyons comment la suite sera.
Thérapie : L'équipe de Facteur X chez le psy c'est plutôt intéressant et permet de mieux comprendre chaque membre de l'équipe. Un épisode intéressant.
Irréparable :Bon début avec un fléau qui ne porte désormais plus très bien son nom et qui part dans une quête pour retrouver sa tranquillité d'esprit (quand on commence à entendre des voix c'est généralement mauvais signes). a voir comment tout celà va tourner.
World tour house of M : Les exilés débarquent en plein House of M, certes ils sont quelque peu en retard mais c'est pas grave, voilà qui devrait donner une aventure intéressante.
Superman : Fin du combat contre Lex Luthor et retour définitif de Superman à Métropolis. L'intrigue est plutôt intéressante le tout sur fond de réflexions et de sentiments de Clark Kent / Superman concernant son retour.
Batman : Fin de l'enquête sur la mort d'anciens ennemis de Batman un peu abrupte, un peu plus de développement aurait été appréciable, mais^globalement c'était agréable à lire.
Les nouvelles routes de l'enfer : L'histoire avait des atouts mais hélas une fois de plus ça tourne court avec la JLA qui n'a jamais été en difficulté non non c'était juste pour évaluer l'adversaire. Bref ça tourne trop à celui qui a la plus grosse... puissance de frappe.
Recherche Hal Jordan : Voilà un début d'histoire très intéressant avec de beaux combats et un Green Lantern rongé de remord face à de pseudo héros ne reculant devant rien pour le neutraliser. A voir la direction que va prendre l'histoire maintenant.
Les nouveaux Teen Titans : Fin de l'histoire avec la Doom partrol et le combat contre la Confrérie. Le plus intéressants est sans conteste la fin car les combats à proprement parlé sont plutôt légers. Par contre la fin de l'épisode est plutôt intéressant notamment vis à vis des changements dans la Doom Patrol et la nouvelle équipe des Titans qui semble se confirmer.
Une intrigue intéressante avait été mise en place dans le précédent monster et se poursuit ici. cependant la conclusion de cette intrigue tourne, hélas, court. Ce n'est certes pas étonnat vue que dans l'univers des super héros rien ne doit vraiment changer et que l'avenir d'un personnage dépend de ses ventes, il est bien difficile de faire des fin vraiment intéressante si bien que les intrigues tournent vite court. Globalement celà reste très agréable à lire.