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Le dessin de Giraud se prête bien à ce long flash back et permet de différencier les époques. Dommage seulement que comme souvent depuis Arizona Love, il néglige les arrières plans.
En fait c'et ce tome qui révèle réellement la véritable identité de XIII.
C'est a lire absolument pour les aficionados.
Un premier tome construit efficacement et qui laisse entrevoir une intrigue aux rouages complexes. L'ambiance délétère qui règne en Russie avec la présence Tchéchène est bien rendue et laisse peu de place au romantisme. On sent que l'inspecteur Youri Vladimir va avoir fort à faire pour rester en vie avec ces nouveaux tsars qui aiment le pouvoir, l'argent... et la chasse !!!
Alef-Thau reste l'un des rares BD de science-fiction des années 80 que l'on parvient à relire sans la trouver totalement naze, démodée et chiante. Il faut dire que la série est supportée par l'excellent dessin du regretté Arno et vaut le coup d'oeil rien que pour la finesse de son trait. Quant au scénario de Jodorowsky, même s'il n'est pas sans défaut, il a le mérite de ne pas être totalement hermétique pour le lecteur non averti. A lire donc même si on n'est pas un fan de science-fiction.
je suis parfaitement d'accird avec jcduce14, j'ai lu les 5 premiers épisodes avec admiration, et attendant avec impatience de lire le 6eme, mais j'ai été FRANCHEMENT decu. C'est l'élement qui a tout gaché, je ne vois vraiment pas pourquoi l'auteur a voulu faire finir ainsi, c'est tout simplement a l'encontre de l'esprit de l'histoire, et j'avais cru franchement au début que c'était loin d'etre fini quand j'ai vu que c'était la fin de la série.
Voilà une très bonne série aux histoires globalement passionantes à suivre et des personnages plus humains et intéressants que la série principale (qui est somme toute déjà très bonne). Les dessins sont également d'une manière générale de très grande qualité ce qui fait de cette série une série à suivre.
Encore un très bon numéro qui nous plonge en plein coeur de l'univers DC. Suivre tous ces personnages secondaire est finalement plus intéressant que de suivre les personnages principaux tels que Batman ou Superman. On a pas cette image du héro intouchable immortel (où si il meurt on sait qu'il s'en remettra assez vite) si bien que tout peu arriver et on a davantage de surprises. Les intrigues évoluent de manière plus que satisfaisantes et on a vraiment envie de lire rapidement la suite.
Voilà une très bonne série qui passionne du début à la fin mais traite de sujets très dur comme la pédophilie (âmes sensibles s'abstenir). Le pari était risqué mais au final il est réussi. On a une série avec des personnages atttachants et une fin relativement tragique avec tout de même une petite note d'espoir. C'est une série à lire mais attention tout le monde n'aimera pas.
Voilà un one shot assez sympa en pleine seconde guerre mondiale. Bien qu'au final l'histoire reste un peu légère surtout vis à vis du sujet traité ça reste agréable à lire.
Bien que Kibo soit le nouvel héritier du Nadashinkage il lui reste encore pas mal de choses à apprendre avant de pouvoir faire face à Kiryu. Son combat contre Shion n'est au final pas vraiment un adversaire à la hauteur malgré sa puissance de frappe hors norme. Au final on a un volume assez sympatique qui donne envie de lire la suite.
Encore un excellent tome riche en réfléxion et en rebondissements. l'intrigue est de plus en plus prenante et je n'ai pas décrocher une seule seconde avant la fin,qui finalement arrive bien trop vite. Les personnages sont toujours aussi intéressants avec des réfléxions et des mises en scènes toujours à la hauteur de notre attente. Vivement la suite.
Déjà le gros point noir de cet album est un dessin inconstant, gachant le plaisir de la lecture de cet album. L'intrigue en elle même évolue un peu et prend une tournure un peu surprenante au point qu'on ne sait pas vraiment où l'auteur veut nous ammener. Celà reste très agréable à lire mais bien en dessous des deux premiers.
Certainement une (la ?) des rares BD a m'avoir fait versé une larme.
Poignant.
Quel n'est pas mon étonnement quand le lis tout les avis dythirambiques sur cette série qui m'a proprement laissée de glace.
Certes, je ne la trouve pas mauvaise mais bon :
- le scénario ne m'a interessé que l'espace du premier tome et je n'ai clairement pas accroché au dénouement.
-le dessin est pour moi des plus quelconques.
C'est typiquement le genre d'albums que je conseillerais de lire AVANT que de les acheter
Cet avis concerne le 1er cycle au complet.
L'histoire démarre doucement et le premier album, s'il est bon, ne m'avait pas laissé un souvenir impérissable à la première lecture.
C'est en lisant le second que j'ai commencé à vraiment accrocher à cet univers, aux personnages , à trouver le dessin de plus en plus adapté.
"Le Rige" m'a mis une vrai claque car le scénario, extremement bien trouvé permet à l'intrigue de fond de sérieusemnt monter en puissance.
Enfin , le dénouement est proprement hallucinant et contribue fortement, à mes yeux, à rendre cette série completement culte.
Et là, on redécouvre le tome 1, le tome 2...
Brillant. Que dire de plus !
Il s'agit d'une de mes Bd préférées. Un univers fantastique/étrange, sorte de "Alice au Pays des Merveilles" en version plus noire.
Un scénario original et bien travaillé qui se tient parfaitement en 2 tomes.
Un dessin adapté à l'atmosphère.
Un choix de couleurs saisissant.
Bref, un must. Courrez lire l'intégrale si ce n'est déjà fait !
Une suite à Golden City, je me disais pourquoi pas, avec un sentiment de crainte, celui d'être déçu. Et pourtant dès les premières pages ce sentiment s'évanouit. Les planches sont au service d'un scénario qui nous prend d'entrée par la main. Nous y apprenons l'histoire de MIFA, APPLE SOLO et KUMIKO, pendant qu'un nouveau complot se trame contre Goden City et BANKS. Un complot inquiétant où l'infâme Professeur SEED se trouve impliquée malgré elle. Les dessins et les couleurs sont sompteux, les scènes du train en sont la parfaite illustration. Cette série renait pour nous plonger dans les abysses de l'océan... superbe !
Cet album nous dépeint l'Algérie du début du XXe siècle à travers les yeux du petit Paul. La société coloniale qui nous est décrite avec poésie, humour et tendresse. Une vraie réussite !
Que dire de plus?
Histoire envoutante, magique, d'une beauté parfaite, faisant partie des incontournables.....
C'est avec impatience que j'ai lu ce tome et ma première réaction fut vis-à-vis du dessin et des couleurs. Le dessin manque de précision, les arrière-plans sont simplistes, dépouillés, les couleurs parfois mal choisies, bref, le dessin ne m'a pas plu. Heureusement que le scénario vient rehausser cette mauvaise impression. Van Hamme nous mène là ou il veut, et après les quelques 20 premieres pages intressantes, mais pas passionnante, l'aventure prend une tournure vraiment très bonne et j'ai dévoré l'album jusqu'à la fin.
C'est ni plus ni moins que le meilleur Michel Vaillant !
De belles voitures, une belle intrigue (qui se poursuit dans les suivant), avec en toile de fond une belle course, les 24 heures du mans.
Un monument, tout simplement ! La meilleure série marvel du moment, haut la main - et déjà super dure à dégotter en occas' (en tout cas à un prix raisonnable, car en neuf, c'est rupture de stock partout) - Et j'ai compris l'engouement envers cette série : un scénario qui prend le temps d'installer les héros et les situations, des personnages avec un traitement réaliste qui ont autant à faire contre leurs ennemis qu'entre eux, et un dessin absolument sensationnel (hitch a réussi à faire encore mieux qu'avec the authority) - Cette édition deluxe est assez sympathique, avec des bonus très intéressants comme ces commentaires des auteurs sur chaque épisode. Par contre, un (petit) regret : la censure de la punchline controversée de captain america contre l'extra-terrestre lui demandant de se rendre et à qui il répond " me rendre ? y a pas écrit "france" là ! " en désignant le A de son masque. Définitivement culte.
J'ai lu les deux cycles et personnelement j'adore ....les dessins de Garreta sont trés riches en mouvements pour les situations de combats. Dans tous les coups donnés , on sent la puissance de la frappe et l'art du combat dans les gestes. Le scénario nous plonge directement au coeur de l'action et ne perd pas son souffle sur les tomes suivants. Vivement que le 3eme cycles soit achevés. Encore BRAVO à Barreta et Bartoll.
Suite logique du tome 1 avec une intrigue qui se pécise sans trop se livrer. Beaucoup de questions soulévés et peu de réponses. J'aime toujours autant le dessin (normal c'est Peeters) et les personnages sont toujours aussi attachants, Addidas en tête. Bref, du tout bon je trouve !
Haaaaaa... Natacha. Qu'aurais-je fait sans connaitre natacha?
Natacha est la première grande représentante des héroïnes de papier. Une des premières à faire bouger les mentalités.
L'intégrale rassemble 4 histoires: Natacha hôtesse de l'air, Natacha contre le Maharadjah, Un brin de panique et La mémoire de métal.
Ces histoires sont gentillettes. C'est aussi le reflet d'une grande époque de Spirou magazine. Et surtout la première mise en situation de notre héroïne, le tout début d'une grande histoire.
Très bon supplément, en début d'album, expliquant la création et la mise en forme de Natacha. Nous apprenons plein de choses...
Mon coté nostalgique a beaucoup aimé l'intégrale de Natacha.
Vivement que la lecture de la suite.
Ce 6ème tome semble donc boucler (d'après sa postface) le premier cycle de "Death Note", en attendant d'être projetés dans les prochains chapitres dans le (proche) futur. Si l'affrontement entre L. et Light et le nouveau Kira se termine dans un magnifique suspense, et de véritables scènes d'action - les premières de "Death Note", en fait - qui permettent de goûter pleinement enfin la virtuosité du dessin d'Obata, on ne peut pas s'empêcher de se sentir frustrés par l'indéniable futilité de ce qui semble être devenu une banale histoire policière. Espérons donc que la seconde partie de ce manga à la popularité planétaire nous ramènera vers les subtilités intellectuelles et les ambigüités morales des premiers chapitres.
Vraiment, j'ai adoré ce livre. Les dessins sont vraiment très plaisant et à la
hauteur de leur dessinateur. Par contre, pour ce qui est de l'aspect scénaristique
de ce livre, il m'a un peu déçu, car je me serais attendu à quelque chose de plus
sérieux et à des histoires plus intéressantes. Le fait qu'il y ait de l'humour ne m'a
dérangé nullement, mais c'est que faire de l'humour avec les dessins de Ledroit,
ça ne marche pas réellement. C'est comme demander à un singe d'écrire un
roman d'un millier de pages, c'est incompatible. Les dessins de Ledroit ne sont
pas fait pour être porteur d'humour je trouve, il devrait être utiliser pour des
histoires avec énormément de sérieux.
Voilà, je dis à lire absolument à cause des dessins, mais ne vous attendez pas à
découvrir le scénario de votre rêve, car là, vous rêvz en réalité..
Vraiment, j'ai adoré ce livre. Les dessins sont vraiment très plaisant et à la
hauteur de leur dessinateur. Par contre, pour ce qui est de l'aspect scénaristique
de ce livre, il m'a un peu déçu, car je me serais attendu à quelque chose de plus
sérieux et à des histoires plus intéressantes. Le fait qu'il y ait de l'humour ne m'a
dérangé nullement, mais c'est que faire de l'humour avec les dessins de Ledroit,
ça ne marche pas réellement. C'est comme demander à un singe d'écrire un
roman d'un millier de pages, c'est incompatible. Les dessins de Ledroit ne sont
pas fait pour être porteur d'humour je trouve, il devrait être utiliser pour des
histoires avec énormément de sérieux.
Voilà, je dis à lire absolument à cause des dessins, mais ne vous attendez pas à
découvrir le scénario de votre rêve, car là, vous rêvz en réalité..
Je l'ai moins apprécié que le premier album, car le dessin des décors est parfois
très peu gothique tel que les décors de cet univers devraient l'être. Les
personnages sont assez bien maîtriser, malgré que quelques fois leur traits
soient un peu grossier ce qui fait encore que l'on s'éloigne de l'univers des
chroniques. J'ai trouvé que l'histoire manquait un peu de contenu et que
Froideval aurait pu se forcer en mettant plus de dialogues... ça c'est ce qui me
déçois toujours un peu de Froideval. Les idées de cet auteur sont toujours
excellente, mais pourraient être plus développer. en bref cet album manque
réellement de contenu, que ce soit scénaristique ou graphique.
Voilà pourquoi je dis que ce tome n'est qu'à lire.
Jazz, années 30, New Orléans, amour, tout un programme…
Ce deuxième opus est dans la continuité du premier, léger, simple, sans histoire à nombreux tiroirs, on se laisse simplement porter par les tracas quotidiens de Monsieur rainette dans cette Amérique des années 30.
Le dessin est toujours aussi bien maîtrisé, simple mais efficace. L’ambiance et l’univers sont réalisés avec une telle virtuosité qu’on arrive presque à étendre une mélodie jazzy qui résonne au loin.
Dans cette histoire, Georges est toujours en quête de devenir une star du jazz mais a, comme tout bon musicien qui ce respecte, des petites difficultés financières. Pour réussir a continuer de vivre de sa passion, il donne des cours a sarah, la nièce d’un de ces amis. On fait aussi la connaissance de nouveaux personnages, toujours aussi attachants et riches en caractères.
La fin laisse pointer une suite avec un triangle amoureux Cora/Georges/sarah qui peut être très amusant et assurer encore de nombreuses péripéties à cette attachante petite grenouille.
On sourit souvent en lisant cette histoire, et on a hâte de lire les prochaines…
Bref un histoire sans prise de tête, un très agréable moment de lecture pour moi.
La Ligue de Justice Américaine est vraiment très bon , le reste a du mal à suivre surtout les teens titans qui n'ont pas vraiment leurs place mais le plaisir de retrouver tus les grands de la DC est toujours extra.
Alors là, bravo ! Cette BD est tout bonnement sublime. Les personnages d'abord, Pauline et Erwan sont attachants et délicieusement différents. Les prêtresses et leurs animaux superbement croqués. Tout ce petit monde évolue dans des paysages savoureux et soignés. Les couleurs habilles à la perfection une mise en page irréprochable. Il suffit de s'attarder sur la traversée du champ rouge effectuée par Pauline avec Georges sur les épaules pour s'en convaincre ! Enfin le scénario est à la hauteur de l'ensemble et nous emmène avec les héros dans une quête immédiatement prenante soulignée par des dialogues subtils et teintés d'humour... Alors Larmes d'abeilles, un chef d'oeuvre ? Sûrement, mais aussi et surtout, un beau cadeau et du miel plein les yeux !!!
Excellent album !
Toujours aussi pointu et drôle, Soeur marie-Thérèse est au paroxisme de son décalage dans cet album !
Très beaux dessins et un sens aigü du scénario et de la mise en scène..
Moi, ça me fait mourrir de rire à cause de certaines tronches qu'il arrive à parfaitement saisir..
Bravo Maëster !
A lire et à re-lire !
Au premier abord, il peut être vulgaire..
Mais tout comme un Bigard qui peut être insupportable qq fois, l'esprit comique et la dérision sont toujours présent dans cette BD digne de quelques numéros de notre Fluide Glacial national..
Humoir noir et pincé.. Humour gras.. Quelques pages très censées sur le problème du Sida..
Tout y est !
Et c'est bien fait ..
Je viens de rencontrer Hengé sur son stand à Colomiers au Salon de la BD, il est tout-à-fait en raccord avec l'esprit de sa 1ère BD..
Je le conseille à tous les esprits ouverts de France et de Navarre..
Et je suis hétéro..
Après un démarrage à 100 à l'heure avec pathos et suspense, "Death Note" effectue une figure pour le moins inhabituelle, un pur et simple "reset" de son histoire - et de la mémoire de personnages-clé de celle-ci. Indéniablement culotté, ce tour de force scénaristique, redistribuant les rôles, vient secouer le confort du lecteur et d'un face à face un peu répétitif entre Light et L. Désormais littéralement enchainés l'un à l'autre, ceux-ci s'avancent désormais avec nous dans un monde aux règles encore inconnues. Le reste de "Death Note 5" ne tient malheureusement pas les promesses de cette incroyable rupture, sans doute parce qu'il y a quelque chose d'un peu plus conventionnel dans le nouvel affrontement qui se dessine entre les forces du Bien (plus clairement définies comme telles) et le Mal, désormais identifié au capitalisme financier sans âme et à ses sbires prêts à tout pour assurer leur ascension sociale. Il faudra donc voir si Tsugumi Ohba réussit à nouveau à nous surprendre dans le Tome 6, et ainsi à échapper aux clichés et à la banalité qui menacent "Death Note".
Album formidable d'une série non moins parfaite. Cela fait plus de 10 ans que Ayroles et Masbou nous comblent avec De capes et de crocs, le 8e opus en est le digne successeur : histoire rondement menée, des dessins superbes, des couleurs parfaites et des dialogues dignes des plus grands auteurs.
Le plus dur c'est lorsqu'on ferme l'album et qu'on sait qu'il faudra attendre encore avant de lire la suite.
Impossible de rentrer dans l'album. J'ai l'impression, à la vue des autres critiques, que je suis un cas à part mais j'ai trouvé l'histoire très alambiquée voire confuse avec une fin très film US.
boarf
Comme à l'accoutumée, les dessins de Marini sont de trés grande qualité, et cet album ne déroge pas à la règle. Côté scénario, l'histoire débute plutot bien bien que je suis dans l'attente, pour les prochains albums, d'un développement plus abouti (évolution de l'intrigue, des personnages). Dans le type péplum, la série Murena est à mes yeux la réference incontournable. Néanmoins, je reste globalement, sur une trés bonne impression, à suivre...
Michetz est peut être le seul déssinateur à dessiner ses asiatiques d'un trait très japonais. Oui, le trait est là. Très grande maitrise du dessin.
L'album nous raconte la rencontre entre un ronin et un peintre hollandais dans un Japon ravagé par la guerre. De nombreuses péripéties les feront parcourir ce pays tourmenté.
Deux personnages opposés qui se trouveront dans un but inaccessible, l'un à la recherche d'un maître perdu, l'autre à la recherche du "rouge ultime".
Du pur bonheur
Bonjour les gens
Caza m'a toujours intrigué. Des mondes étranges, un style singulier qui ne ressemble qu'à lui. Une attirance faite d'étonnement et d’inquiétude...
Caza nous raconte en 6 petites histoires un futur sombre et inquiétant.
Ce livre est un rêve. Un rêve sombre. La fin d'un monde.
Il tire une partie de ses histoires de mythe, de conte et de légende: "la mandragore", "le joueur de flute".
Je suis toujours bouleversé quand je relis ce livre. Peut être que les histoires et les mythologies anciennes sont marquées au plus profond de nous... Ils n'attendent qu'un simple déclic pour se réveiller.
Merci Caza d'avoir réveillé ces histoires oubliés.
Ave Marini !
Marini, "imperator rex" au dessin ... et ... simple "civitas" du scenario ?
"Non omnia possumus omnes."
Le dessin de cet album est somptueux, même si les premières planches m'ont irrésistiblement fait penser à un certain film à grand spectacle hollywoodien, finalement assez peu regardant sur la vérité historique... Couleurs sombres aux reflets presque bleus, cadrages, configuration du champ de bataille, combat sous les arbres ...
Cet album des aigles de Rome est une incontestable réussite graphique, mais que dire du scenario ? Presque banal : une histoire d'amitié entre deux adolescents qui naît dans la bagarre et la douleur, se fortifie dans l'épreuve et le sexe ... Rien d'exceptionnel donc ... Peut-être quelques surprises à venir, comme le laissent présager une mort pour le moins suspecte et la dernière planche.
Qu'ajouter à cela ? Que l'album est émaillé d'insultes et de jurons fort désagréables à la longue. Tant qu'à faire, pourquoi ne pas nous avoir fait profiter des injures romaines ? C'aurait été plus instructif, surtout que l'album nous fait découvrir d'autres facettes beaucoup plus sérieuses de la société et de la vie romaines !
Lucien trouve le grand amour et se fait chambrer par ses potes...On rigole et on s'amuse bien.
[ ... suite]
Et voilà, je recommence la lecture de ce tome 2.
Et bien ca ne change pas grand chose ... toujours pas assez de developpement de l'histoire.
En contrepartie il y a des personnages qu'on voit évoluer et ce coté est sympa ... mais ne suffit pas à relever le niveau global de la BD.
Il y a pourtant matière a travailler sur le personnage du chef des gardiens, mais non ... il ne fait que passer.
Sans dévoiler l'intrigue, la chute est lamentable :
"- Hé non en fait c'est moi le tueur !!" qu'un type qui sort du placard à la fin ... c'est nul, vraiment nul.
Bref, je n'ai aimé du tout ce dyptique, et comme il s'agit d'un premier cycle, ca laisse à penser qu'il va y avoir un 2eme cycle ... que je n'acheterais sûrement pas si la narration reste la même.
Sortir une série baignant dans l'univers carcéral en ce moment, en surfant sur la vague de Prison Break est un super coup marketing.
Ca a marché pour moi :
J'ai craqué, j'ai acheté, j'ai regreté.
Pourtant ca commence bien. Un dessin plaisant, des personnages bien travaillés desquels on arrive ressortir les émotions et caractères. L'ambiance de la prison est très bien représentée, bref tout va bien.
Mais qu'est ce que c'est LENT !
Il ne se passe rien avant la fin de l'album (je ne l'ai pas sous les yeux, mais je dirais bien que rien ne démarre avant la planche 40) ... on developpe les personnages, l'ambiance de la prison, de la ville ... mais il n'y a pas d'HISTOIRE.
A la fin de l'album, "enfin" il se passe quelque chose. Mais j'ai tellement été décu des 40 premières planches que j'hésite à lire le tome 2.
Bon, comme je l'ai acheté en pack avec le tome 2, je vais le lire.
Il est là, à mes pieds (à suivre ...), aux toilettes :D
Un remake des fameuses "guerres secrètes" (paru dans Spidey), qq bonnes idées ! Ne vaut pas l'original premier Cross-Over de l'histoire des comics.
Sommaire :
- Les X-Men : Tragédie finale (scénario Roy Thomas / dessins Don Heck) ( à signaler le changement de costumes des X-Men qui laissent leur fameux costumes bleu et jaune) suivi des origines de Cyclope (non mentionné sur le 2ème plat)
- Daredevil : Chute d'un Héros (scénario Stan Lee / dessins Gene Colan)
- Iron-Man : Marche dans la nuit ( scénario Gerry Conway / dessins George Tuska)
- Spiderman : Les cornes du Rhino (scénario Stan Lee / dessins John Romita)
Sommaire :
- Les X-Men : Combat de titans (scénario Roy Thomas / dessins Werner Roth)
- Daredevil : Le bluff de l'aveugle (scénario Stan Lee / dessins Gene colan)
- Iron-Man : Le Mechanoïde ( scénario Allyn Brodsky / dessins George Tuska)
- Spiderman : Si tel est mon destin ( scénario Stan Lee / dessins Steve Dikto)
Sommaire :
- Les X-Men : Le cri du Fantôme (scénario Roy Thomas / dessins Werner Roth)
- Dardevil : S'il devait avoir un Dieu Tonnerre (scénario Stan Lee/ dessins Gene Colan)
- Iron Man : Tous les moyens sont bons ( scénario de Allyn Brodsky / dessins de Don Heck)
- Spiderman : Les griffes du Chat ( scénario Stan Lee / dessins de Steve Dikto)
Fin de cette excellente série des frères Stalner. Le scénario tient toutes ses promesses mais sans être non plus exceptionnel. Un très bon moment de lecture !
Toujours sur fond historique (la France rurale du début du XIXe siècle), l'aventure continue et le suspense aussi avec un nouveau meurtre à la fin de l'album !
Les frères Stalner nous gâtent avec cette série qui mériterait d'être plus connue.
Agréable livre que celui là mais l'originalité principale réside bien sûr dans le fait que le livre est "en relief" et qu'il convient d'en chausser les lunettes adéquates !
Très belle BD qui reprend la fin de l'empire aztèque devant les -maigres- forces espagnoles. Ce n'est pas à proprement parler une BD d'aventures puisque tous les personnages sont historiques et qu'on ne s'écarte pas d'un iota de la "vérité" historique.
C'est sans doute ce qui donne le côté un peu académique du scénario, caractère renforcé par le dessin -parfait et méticuleux mais sans délire ni extravagance qui font justement parfois le sel d'une planche- de Torton.
Mais c'était là une obligation puisque ces pages sont tirées de l'hebdomadaire Tintin et constituaient un excellent alibi pour inculquer l'histoire aux jeunes de 7 à 77 ans.
Nous avons donc des planches assez sages qui sont loin de montrer toutes les horreurs de la conquête comme Quetzacoatl peut le faire par exemple.
Comparée aux BD d'Histoire (type Larousse), cette série est en revanche plusieurs crans au dessus et paraît même tout à fait bondissante.
On peut reprendre ces mêmes commentaires pour l'album Guerrero.
Sur le plan de l'histoire, c'est un plagiat presque complet de l'Epoxy de Jean Van Hamme et Paul Cuvelier, le génie en moins.
Ce qu'il perd en subtilité, le récit le gagne en caractère rabelaisien. Pourquoi alors bouder son plaisir ?
L'un des premiers scenarios de Jean Van Hamme. A l'époque, toujours cadre d'une multinationale, il décide de donner le nom d'un de ses "produits" à son héroïne. On imagine la tête des dirigeants de la boîte quand s'ils se sont rendu compte de la chose (nous sommes en 1968 alors !).
Van Hamme connait sa mythologie sur le bout des doigts et sait tisser une histoire qui, au delà des charmes de son héroïne, nous propose justement de visiter cette même mythologie.
Ceci nous vaut de rencontrer dieux (et déesses !) et demi-dieux de l'Olympe.
L'album bénéficie de la qualité du dessin de Paul Cuvelier dont les femmes n'ont sans doute jamais été aussi sensuelles que dans ce livre là (et pourtant ...).
Bref, un bien beau moment.
Soulignons que l'édition "colorisée" de Claude Lefranc ne rend pas grace au talent de Cuvelier, c'est même un complet ratage.
A noter que la fin est inspirée par celle d'un philosophe grec. Comme quoi Van Hamme est un homme de grande culture.
Une belle histoire dépaysante et bien menée mais alors les dessins j'accroche pas du tout.Vaut l'achat pour le théme abordé ; mais dans ce style je préfére largement les petits ruisseaux.
Ce tome conclut le premier cycle. Le meilleur album des trois, ou le caractère des personnages est bien dépeint et le scénario est bien mené. L'histoire nous mène jusqu'au confins de la Russie, et est soutenu par de beaux dessins.
On croche bien, un bon album dans lequel le frère sensé avoir été tué réapparait. Toujours un bon dessin. On se plait à suivre les péripéties des Cazenac.
Sur fond de guerre, on suit les Cazenac et en particulier, le jeune Etienne dont le frère a disparu. Le scénario est intéressant sans etre passionnant. J'aurais apprécié des rebondissements plus spectaculaires et plus de suspense, bien que le tome se termine de sorte à donner envie d'en lire la suite. Un bon point pour le dessin, détaillé et travaillé, peignant de superbes décors dotés de belles couleurs.
Les personnages de Julien, Clémence et Mathilde sont accusés du meurtre du baron de Villememont. Samson, lui, trafique avec le comte de Charlant.
Dans ce deuxième album, les personnages s'affirment et le lecteur tente désespérement de trouver le coupable. Suspense garantit à la dernière page.
Premier tome prometteur. Dans le France du début du XIXe siècle, de nombreuses personnes gravitent autour du baron de Villemont. Mathilde sa femme, Julien, Samson, le comte de Charlant... Une affaire pas très claire se prépare et peut-être même un meurtre.
Un album qui vient compléter la série de façon sublime ! Récit passionnant de Van Hamme qui nous raconte des petits bouts d'histoire de la famille Steenfort afin de combler les vides.
Début très prometeur ! Qualité des scénarios et Dessins plus que correcte.
P....n ! les dessins sont a tombés part terre , c'est sublime, renversant, la vache, ce mec est une bête, c'est tellement beau que l'on a pas besoin de lire, mais quel rendu bravo !!!!!
Attention voiçi le premier des mythiques "guerres secretes" premier cross-over de l'histoire des comics avec le beyonder!! cross over cultissime dans le monde marvel dérivé en trois cycles.
dans Spidey 66 à 77 1ere partie
dans spidey 78 à 87 2ème partie se situant sur Terre
La 3ème partie s'offre un épilogue dans les 4 fantastiques.
Ce personnage et ce monde sera repris en 2007 dans le cross over The Beyond.
Voilà une série que j'ai ataqué à reculons et puis que j'ai finalement lu avec grand bonheur. Les dessins, aux premiers coups d'oeil ne m'avaient pas emballés et puis lorsque je me suis décidé à prendre le tome 1 à la biblio ça a été une bonne claque. Les scénar est excellent et nous tiens en haleine tout au long des tomes. Je me suis finalement bien fait aux dessins de Léo que j'ai finis par trouver tout à fait naturel et évident.
Un must have de toute bédéthèque à mon humble avis !
Le tout premier en grand format tout en couleur couleur !! Must de Must! avec le poster du Surfer ! voiçi le sommaire :
- Les X-Men : le triomphe de Magnéto (scénario Stan Lee / dessins Jack Kirby)
- Iron Man : Démasqué (avec le mandarin) (scénario Archie Goodwin / dessins George Tuska)
-Dardevil : La minute de vérité (scénario Stan Lee / dessins Wally Wood)
- Le Surfer d'Argent : Dans les griffes de Méphisto (réédition des Fantask) (scénario Stan Lee / dessins John Buscema)
Extraordinaire pour l'époque !!!! Un must malheuresement bien trop chère, après la mort de Fantask par la censure Marvel et Strange ont repris le flambeau avec genie et qualité. J'ai le Fac similé mais un jour j'aurai l'original §§
A savoir que près de 70 % de l'édition est passée au pilon par erreur, donc cet album est un des plus rares des éditions Lug , très difficile à trouver en bon état. Je pense que ça côte devrait être supérieur à celle des autres albums de la même époque.
La meilleure chose qui soit arrivée à XIII depuis le tomme 8 !!!
Absence de scénario, dessin plus que limite, pub toutes les 3 planches...
Presque ce que l'on a fait de pire dans le genre.
Heureusement que Giraud était là pour que la fin de cette série ne soit pas aussi pathétique que ce tomme là !
Parfois des séries BD s'éternisent, n'en finissent pas de finir et au final nous épuisent tout autant qu'elles finissent par nous décevoir.
Et parfois, et c'est la cas de Quintos je trouve, un one shot s'avèrent terriblement frustrant parce qu'un peu expédié. Alors le thème et le message sont relativement en accord avec cette brieveté, mais ça laisse comme une impression de pas fini, au pire de baclage, bon...j'irais pas jusque là quand même. Bref, le dessin d'Andreas est très bien, mais son histoire et ses personnages ont à peine le temps d'inspirer une première fois que c'est déjà leur dernier souffle...frusrtant je vous dis !
L'ensemble est bien vu mais c'est tout de même pas le meilleur Bidochon ! La faute à l'époque sûrement et peut-être à quelques gags un chouille trop caricatural. Ca reste très lisible tout de même, hein...
On se dit en achetant la dernière parution de ces séries à rallonge qu'on va être déçu, et je dois dire que les histoires de Bardet sont quand même diablement bien foutu, avec des cheminements parallèles qui se croisent et se décroisent et oblige à se concentrer sur sa lecture mais on s'y retrouve même si on n'a pas pris le temps de relire les 15 opus précédent. Bardet est un sacrément bon scénariste et si je regrette un peu Dermaut, on se fait au dessin de Goepfert une fois qu'on y est plongé.
Cette série réussit à maintenir le niveau, un très bon moment de lecture dans cette ambiance "guerre de religions" si propice aux passions.
Roulements de tambours ! Et l'identité de XIII est... gros suspense entretenu depuis des mois par la campagne de pub... (attention, il y a une révélation)... jason mc lane... ou jason mullway, c'est comme vous voulez, c'est pareil. Au fait, on ne savait pas tout ça depuis les albums 8 et 11 ? La saga XIII, thématiquement, s'arrêtait au tome 8 avec les révélations des identités de numéros XIII et I. La partie des trois montres d'argent était plaisante et le tome 12 permettait de clore la saga. Ensuite, pour ma part, ça se gâte et ça tire en longueur avec de grosses ficelles de série B (encore une autre piste pour l'identité de XIII, et une chasse à l'homme, et aussi une chasse au trésor, et irina svetlanova qui fait rien qu'à ressuciter, ah ben tiens, diane aussi, manque plus que la mangouste... un rien poussif tout ça) - Certaines mauvaises langues disaient même que le scénariste de XIII était le banquier de jean van hamme... En même temps, on ne va pas lui reprocher de vouloir entretenir la poule aux oeufs d'or, et comme il y avait la demande énorme du public ! Le tome 18 est néanmoins très bon (giraud est comme à son habitude super inventif, là où vance se repose un peu trop sur ses lauriers) et permet un peu de raccorder l'ensemble de cette dernière partie, mais le 19... comment dire... c'est prendre un peu le lecteur pour un idiot et lui expliquer tout ce qui s'est passé sur les albums précédents (avec en prime de la pub pour le tome 18 toutes les deux pages, au cas où vous l'ignoreriez). Au moins, là, c'est vraiment fini et toutes les intrigues sont pliées et rangées. Mais là où j'attendais un final un peu plus surprenant, j'ai eu droit à une résolution en pantoufles !
Frank, le fils de Julienne et Jay sort de prison. Il découvre que les brasseries Steenfort et Texel sont maintenant dirigées par des membres de la famille qui semblent avoir bien profités de la situation.
Cet album clôt la saga familiale de la famille Steenfort de façon magistrale. De plus, ce tome a une saveur très particulière car il mêle à l'habituelle vie quotidienne de notre famille de brasseurs une enquête policière.
La crise économique des années 1970 touche l'entreprise Steenfort et Julienne, la nouvelle patronne, doit faire face aux assauts du concurrent américain Texel.
Le tome le moins agréable de la série à mon goût. L'histoire n'est pas palpitante et ne réussie pas à véritablement nous emballer.
Je met la note maximale pour ce 1er tome de mx zero. Tout simplement parceque c'est mon grop coup de coeur actuel et que j'aime beaucoup les composantes de la série, entre le prof hard, le héros bien délirant et tout le reste aussi. Bref, vivement la suite :(
Ce volume est meilleur que le précédent. Les dessins et les couleurs retrouvent une certaine vie. Bien que prévisible, le scénario nous emmène avec un certain humour dans une aventure où les militaires s'affrontent pour le bien de quelques uns... mais ce n'est pas nouveau. Bref une vision de l'épopée napoléonienne pour le moins personnelle et qui mérite d'être lue !
Il y a du Serpieri chez Ortiz et et du Kurdy chez son héros, mais là il y a encore moins de bons sentiments et tout est noir, hormis une petite parcelle d'humanité chez notre héros.
A découvrir
L'aventure africaine continue, Jade est devenu une déesse et entraine le peuple noir dans la révolte, et tous sont prêt à mourir pour elle.
Avec un scénario qui vire avec le fantastique de plus en plus irréel et un dessin moins original, Djinn reste plaisant mais ne surprend plus autant. Un début de lassitude ?
Ce premier numéro revisite l'histoire des personnages et leur rencontre. Ce début est très intéressant est plus crédible que l'histoire d'origine. Reste à voir comment ils vont avoir leur pouvoir mais on en a déjà une petite idée à la fin de ce premier numéro. Excellent début.
Numéros 39 à 41 :
Voilà trois très bon épisodes avec leur lots de rebondissements et l'arrivé de Cable dans l'univers ultimate et plutôt pas mal tout en laissant sont lot de réponses sans questions. La suite promet d'être très intéressante.
Du sang dans l'air : Plus on avance moins l'intrigue est claire. Personnellement je n'arrive pas à accrocher à cette histoire si bien que chaque épisode est assez ennyeux à lire.
Train d'enfer : Voilà un épisode bien meilleur avec enfin un face à face entre le père et le fils tant attendu. Une chose est sûr ce face à face est pas mal fait et la suite devrait également être intéressante. Très bon épisode.
Phénix : chant de guerre : On avance avec quelques révélations pas vraiment surprenantes. C'est sympa mais sans plus.
Irréparable : Toujours pas mal de remous au sein de l'équipe d'excalibur avec des révélations sur le Fléau qui choque l'équipe. Cependant je ne voix pas ce que ces révélations ont de choquantes vue que tout le monde sait que le Fléau est un ancien méchant.
Problèmes multiples : Episode intéressant mais malheureusement l'histoire n'a, à mon avis, pas suffisament était exploité et aurait pu donner quelque chose de ben meilleur. Cependant c'est loin d'être un mauvais épisode.
World tour : Fin du voyage des Exilé au sein d'House of M et le final relance l'intrigue est l'intérêt de la série qui commencée à s'essoufler. Bon épisode.
Mighty Avengers : Bon épisode qui voit la création d'une nouvelle équipe de Vengeurs plus officielle avec des personnages assez différents de ceux que l'on a eu jusqu'à présent. Bon épisode qui donne envie de connaitre la suite.
Heureux accidents : On suit les premiers pas de jeunes apprentis super héros pour leur arrivé à l'initiative et leur premier entrainement qui est assez sanglant au final. Pour le moment l'histoire est classique mais il y a certaines pistes à exploiter qui peut permettre à cette série de devenir très intéressante. A voir comment les choses vont évoluer.
Alpha et Omega : On assiste aux début de la création de la nouvelle équipe Omega flight mais pour le moment c'est plutôt léger.
Illuminati : Début très prometteur qui promet des répercution très intéressante par la suite. Vivement la suite.
C'est un plaisir de suivre les aventures des Vengeurs secrets et d'apprendre comment ils en sont venu à porter secours à Ronin. Le passage entre les évènements face aux troupes d'Iron man et les scènes de combats contre les agents de la Main ne sont pas vraiment claire mais ça reste tout de même lisible. Globalement il s'agit d'une bonne histoire.
Iron Man : Episode intéressant où l'on apprend comment s'en sort Tony stark en tant que nouveau directeur du SHIELD et on peut dire que certains choix sont des plus surprenants. Bon épisode.
Le fer et le feu : Episode intéressant de Capitaine America (épisode pré Civil war puisque Cap est encore vivant) le dessin est un peu old school mais ça reste sympa avec une intrigue intéressante.
Joyeux anniversaire : épisode bouche trou sans intérêt.
Deux excellents volumes avec pour toile de fond un match d'entrainnement entre Meisei et Sumi. Le déroulement du match est passionant et les relations entre les différents personnages se complexifient entrainant des passage très drôle. Bref c'est une série toujours aussi passionante à suivre.
Voilà un one shot très sympatique avec une histoire bien construite et un dessin plutôt pas mal. L'intrigue est un classique du genre mais elle est prenante avec des personnage assez attachants voir antipathique pour certains. J'ai bien aimé la fin de l'album et l'histoire se suffit vraiment à elle même sans appeller vraiment de suite. Bref un bon album à lire.
L'histoire reste assez sympa même si on ne sait pas trop où l'on va. Les personnages sont un peu trop classique et ne se démarquent pas vraiment d'autres séries du même style. Ce n'est pas une mauvaise série mais elle n'a pas réussie à me passionner. Maintenant reste à voir comment sera la fin du cycle.
Ce dernier épisode est un de mes préférés. Il ne se prend pas au sérieux mais nous entraine sur les traces de Adam le clone du président nourrisson au tome N°1 aui est pisté par un journaliste peu scrupuleux. Les auteurs nous plongent dans une aventure construite comme les bons films catastrophes. Les dessins et les couleurs décrivent parfaitement le déchainement des éléments. Ce tome 8 nous dévoile le rôle joué par la vieille femme aperçue dans chaque épisode de cette série. La victoire finale d'Adam, qui affronte son destin de clone "humain" et donc sa différence, représente finalement l'epérance.
Cet épisode traite du probléme de la vache folle et de la gangrène apportée par l'argent. Ce dieu tout puissant qui pervertit les hommes et leurs bonnes intentions. Les analogies entre le bétail et l'être humain sont intéressantes et ont le mérite de provoquer notre intérêt. Le scénario est bien ficelé sans être original meis les dessins restent assez moyens (à mon goût). Un BD à lire pour le message qu'elle véhicule...
Je suis pas un fana de la BD érotique, doinc j'y allais un peu à reculons !! Bon, en l'occurence c'est pas vraiment de la BD érotique au sens ou je l'entends moi, c'est à dire à la Manara par exemple. C'est plus comme si un auteur avait eu le cran d'édité un carnet de dessin intime et personnel. Donc au final on a un peu une impression de voyeurisme tant les situations semblent vécu. Vécu par l'auteur mais aussi personnellement. C'est ce qui est le plus troublant d'ailleurs. Difficille de ne pas s'identifier...
Le dessin est assez minimaliste avec de vrais influences mangas (ca se passe au Japon d'ailleurs). Les faciès et expressions des personnages sont mis en avant ce qui permet de bien cerner leurs sentiments de l'instant.
Reste que l'exercice de style peut paraître un peu vain et narcissique...est-ce que vous vous voyez édité votre journal intime ? Moi pas...
Au final je suis mi-figue mi-raisin...sans jeux de mots, aucun ;o)
Ou Nic Omouk chez les bouseux ! Forcément ca créé des situations cocasses...Mais bizarrement c'est presque la première partie de la BD, qui se passe dans la cité de Nic, qui m'a le plus fait rire.
Tout les monde en prend pour son grade dans ce deuxième tome, les journaleux, l'industrie agroalimentaire et son fameux kebab bio...
Dasn l'ensemble je crois que je préfère le premier tome, mais ca reste très bon, divertissant et en oubliant d'être con pou ne rien gacher. Allez, la suite Msieur Larcenet.
Un super album. Au départ, les couleurs et dessins nous surprennent, c'est assez
différent des autres albums due à la présence de Giraud. Mais le fil de l'histoire
est super, beaucoup de lecture... A lire.
J'avais un peu peur avant d'attaquer la lecture de ce nouveau Loisel. Surtout que le sieur n'est même pas au dessin et dieu sait que j'aime le dessin de Loiseil. Mes craintes ont été vites dissipés par une histoire très mignonne, toute en sensibilité (mais qui ne tombe jamais je trouve dans la mièvrerie) et des personnages attachants. Le trait de Tripp et les couleurs de Lapierre sont très belles. De quoi me faire lire la suite avec grand bonheur !
D'habitude, je ne me replonge pas souvent dans les albums que j'ai déjà lus mais là, j'avais envie de le faire.
Très bon album !
Trondheim semble tomber dans le piège qu'il dénonce lui-même : le récit d'action à grand spectacle entre le bien et le mal. Parodie de ce type de récits, donc, mais parodie qui essouffle vite le lecteur par la volonté monomaniaque de Mildiou de tuer le Lapin, et par la presque identique monomanie du Lapin d'esquiver et fuir.
Petit bijou. Recueil de petites histoires composées de 4 images par page, chacune illustrant un commentaire. Toutes commencent par des cases blanches ou noires, illustrant le début - le début de tout, où il n'y avait rien, ou l'éternité, etc. Dessus se greffent des développements jamais hasardeux, dans une direction bien déterminée. Exploitation d'une idée de départ sous diverses formes, donc. Ces historiettes ont en commun l'idée de départ, le traitement, et la façon dont est considéré le monde : on rencontre particulièrement quelques catégories d'hommes comme les héros, les philosophes, les pacifistes, etc. La récurrence de ces quelques thèmes a un effet humoristique certain.
Cela fait parfois penser aux shaddocks dans la façon d'illustrer des commentaires qui, certes, priment sur le dessin, mais qui ne seraient rien sans lui.
Au sommaire : "le héros" (discours sur la volonté d'aller toujours plus loin de l'homme, idée récurrente par la suite), "la mort farceuse" (discours sur la mort et sur le discours sur la mort...), "monnaie de singe" (discours sur l'organisation de la société par l'argent), "génèse à la bolognaise" (discours sur l'existence et son sens, sur Dieu et autres), "histoire avec des martiens" (la plus gratuitement aventureuse de ces histoires), et "le vrai sens de la vie" (... sur le sens de la vie).
Petit bijou, donc.
Oeuvre forte, on est happé par le récit dès les premières pages, aussi difficile que puisse paraître le dessin lorsqu’on est encore à l’extérieur. Une fois entré dans les premières cases, on n’en sort plus. Il s’agit d’un récit tout à fait autobiographique. Art Spiegelman se raconte, renouant avec son père un dialogue et un amour tiraillé après des années de vide, à propos du passé de son père. On découvre, plus peut-être que l’horreur de la mort lors de l’holocauste, celle de la survie, qui a transformé, meurtri, bouleversé à jamais les survivants, et ce jusqu’à leurs enfants. Le père d’Artie, que les petites manies, les habitudes d’épargne, de propreté ont largement contribué à sauver lors des épreuves inhumaines qu’il a traversé, est devenu un vieil acariâtre et maniaque, dont la personnalité écrase Artie depuis sa naissance. La mère du narrateur, plus faible, n’a survécu que grâce à l’appui sans faille de son mari ; elle se suicidera en 1968. Artie, second fils du couple, né après la guerre et après la mort de son grand frère, souffrira toute sa vie du traumatisme parental. Ecrasé par son père, rejeté comme celui qui est imparfait, à la différence du premier fils, idéalisé. Artie sombrera dans la drogue, devra être soutenu par un psy... MAUS, oeuvre extrêmement puissante, est donc double : elle conte l’horreur de l’holocauste avec une justesse, une vérité et une pudeur extraordinaire ; mais elle conte aussi l’horreur de la survie, l’horreur de l’après. Sur le plan artistique, cette oeuvre est fabuleuse.
Second album de la série “les terres creuses” à laquelle il donne, rétrospectivement, son nom en étant lui-même renommé Zara. Il succède ainsi, dans cette série, à Carapaces.
Zara est le nom d’une planète sur laquelle (dans laquelle) nous pénétrons après un très brillant prologue. Il existe en réalité deux terres creuses dans cet album, précisément celle du prologue, une terre dans laquelle la population marche sans fin au bas de l’intérieur de la terre pour toujours rester à l’horizontale (cela suppose une attraction terrestre située sous ce “bas” et qui ne varie pas malgré la rotation évidente de cette terre), puis celle du récit proprement dit, où l’héroïne du prologue, Olive, se rend sans l’avoir voulu en étant transportée par des être mi-oiseaux mi-éphémères. Cette seconde terre est tout aussi étrange : la population de femmes aux moeurs saphiques - on apprend plus loin qu’elles ont adopté le comportement d’un insecte qui rappelle évidemment la mante religieuse - y vit entre deux parois, la croute et le “coeur”, très proches l’une de l’autre et qui vont dans un sens contraire. Ce monde est un monde vertical et sans hommes, en opposition au monde d’Olive qui est plutôt horizontal (bien qu’en réalité rond) et avec des hommes.
Difficile de décrire tout cela...
Récit très fort. Le type de récit et sa force rapprochent, d'une certaine manière, de Maus.