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Bon ben que ce soit le 1er ou le 2eme tome que dire ....... Genie ?
Bon ben que ce soit le 1er ou le 2eme tome que dire ....... Genie ?
Top , rarement 1 bd aussi génial tant par le scénario que par les dessins un Must !!!
Pour ma part je n'aime ce héros alors que j'adore Hermann Dommage trop de clichés !
Que dire de plus !!!! toute l'époque de Fluide glacial lui tout seul !!!
Pfff quelle misère d'en finir là après toutes années !!!! Déçu de chez déçu !!!!
Que cette série est lourde est c...., pouf vivement la fin et le destin qui s'en suit c'est à dire les oubliettes !!!
quel onheur de retrouver son enfance, paru dans pif à l'époque je ne l'avais jamais relu depuis près de 30 ans snifff , a gardé toute sa splendeur et sa superbe RAS
Voila juste chef d'oeuvre une série que le n'ont ne voit que toutes les décénnies on ne peut rien dire de plus !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
On comprends pourquoi il à recu le grand prix d'Angoulème , très très fort !
Bouffff pas terrible cette histoire de yakuza semée de champion de kung fu , et d'indecomphension (1 mec brulé a 80 % voit pas comment il pourait lever le petit doigt) Bref du ken le survivant sans la magie de dorothée !!!!!
En fait j'ai envie de rajouter 1 demie étoiles tellement quand je l'ai relu tout l'univers me clashait à la figure !!!! Sans doute le meilleur cross de tout les temps !!!!!
Hyperdéçu pour ce qui devait tête remettre tête a corne sur de nouveaux rails, même persos, même ntrigue rien de bien neuf quoi !
Pour tous les fans de comics viçi sans doute le plus abouti depuis des années !!!! 1 must le scénario est hyper réaliste, l'époque bien retranscrite, les dessins fabuleusement mis en couleurs !!!!! courez courez après vite !!!!!!
Un spin-off de Requiem Chevalier Vampire intéressant. Franck Tacito s'améliore à chaque tome et mériterait d'être encouragé plutôt que descendu !
J'ai mis la note maximale pour remonter la note moyenne, qui est totalement injustifiée à mon sens.
"Suite" du précédent album. Mêmes avantages, mêmes réflexions avec néanmoins une question complémentaire : Pourquoi pas une rééédition complète ?
Le Pilote du débuts des années 70 innova en proposant des pages "actualités". Outre cette avancée, l'hebdo développa de petites séries récurrentes humoristiques.
Ces déboires là forment une parodie des films d'horreur des années 30. Certains sketches sont bien sûr meilleurs que d'autres mais le tout est délectable.
Suite de petites histoires dessinées par Alex Toth dont le dessin en N&B est réellement une merveille.
Qui plus est plusieurs de ces histoires sont intrigantes, originales et formidablement narrées.
A quand une réédition complète des oeuvres de Toth ?
Un classique histoire policière dans l'Amérique des années 30. Pas d'originalité folle, c'est sûr, mais un travail solide et bien fait qui charmera tous les amateurs de polar en N&B (comme cette BD) avec Bogart dans le rôle de l'anti-héros ou du faux méchant.
Spécialisée dans l'édition de BD italiennes (dont quelques perles de Micheluzzi et Battaglia), Mosquito nous propose cette histoire policière qui se situe dans le Hollywood du début des années 30.
D'un scénario classique, remâché et ultra vu et revu, on ne dira pas grand chose. Ici l'intérêt tient à la qualité de petits détails qui rendent une authencité et un piment à l'histoire. Et puis, il y a surtout le formidable dessin en noir et blanc de Milazzo.
Dessiné de main de maître par Boulet, la branche Zénith - peut-être s'agit-il même du tronc ? - de l'arbre "Donjon" reprend, grâce à ce "Retour en Fanfare" assez décoiffant sa place centrale au sein de la saga, en réussissant à intégrer dans son scénario suffisamment d'éléments apportés par les séries "Monsters" ou "Parade" pour satisfaire les plus épris de logique parmi ses fans. Si l'on peut regretter que l'humour des premiers tomes n'ait pas vraiment survécu à ce recentrage sur l'épopée (on n'est pas si loin ici de l'heroic fantasy la plus traditionnelle...), mais aussi qu'il y ait moins d'éclairs de folie ou de flottements poétiques que dans certaines digressions récentes autour de l'univers en permanente expansion du Donjon, force est de constater que ce nouveau tome impressionne par son inventivité et sa cohérence : sans doute temporairement égarés au sein de leur projet démentiel (et détournés vers d'autres tâches en parallèle), Trondheim et Sfar ont clairement ici repris la main sur leur fiction prolifèrante et leurs personnages éclatés. Et si la fin "à suivre" est forcément frustrante, on sort de ce 6ème tome (et 31ème volume du "Donjon" en 10 ans !) rassurés et ravis.
C'était l'époque où Pilote était encore "le journal des jeunes de l'an 2000" (sic !). L'hebdomadaire, outre ses séries à suivre, proposait régulièrement des histoires complètes de quelques planches. Le genre comique s'adaptant plutôt bien à ce format, le journal offrait des petites séries humoristiques avec des personnages récurrents.
Godard nous offrait les (més)aventures d'un agent secret pris dans les remous géopolitiques de deux pays riverains et bien sûr rivaux : la Belladonie et la Strychninie.
L'objet de cette rivalité sans merci : la recette des nouilles aux oeufs !
Cet album la 1/2 douzaine d'histoires qui parurent dans Pilote dans ce tout début des années 60.
Une fois encore Templesmith et Niles nous font rencontrer les bas fonds des villes, les vampires y pullulent, la femme vengeuresse est celle défunte le premier tome. Un régal de dessin et de texte !!!
Le top du top de la série Sillage. Ce sera impossible de faire mieux à mon avis.
Cet album m'a fort plu ! Navis à la rencontre des humains, c'est beau au début et ça se termine en cauchemar. Et le dessin, sublime une fois de plus !
Et je me demande encore pourquoi pas le 10? Si, parce que, comme à l'habitude des frères PERU, le scénario reste confus au début, on a parfois l'impression d'être perdu dans le truc. Mais ce premier tome est un réel chef-d'oeuvre... Le graphisme est superbe...
alors j'ai lu tous les avis posté sur cette album et sur la série en général. tout est une histoire de goût, c'est sûre, on aime ou non. personellement je trouve que la série fait tout à fait ressortir les racines de l'histoire de peter pan. certain n'ont visiblement pas compris pourquoi cette histoire est si noire. si peter pan ne souaite pas grandir c'est parcequ'il a vécu dans un univers d'adlute ou règne la misère,la pauvreté, il vit dans les quartier glauques de londres avec une mère qui se prostitue... qui voudrait devenir adulte pour finir ainsi. globalement l'oeuvre est très proche de l'originale. la fée clochette nottament est bien représenté,comme dans l'histoire originale.
ce conte est bien loin du dessin animée de disney (pour les enfants), cette série est destiné à un public adulte. pas de happy end mais plutôt la dure réalité de la vie! lisez le livre, l'histoire originale pour faire la comparaison.
au de là de ça, les dessins et l'univers est magnifique.
Magnifique!
le port folio en plus est tout simplement magique! la version de dany est sublime de finesse!!!
je rajouterai juste que l'édition est limité a 500 exemplaires découpé de cette façon :
500 exemplaires commercialisé :
250 labelisés bruno graff sur la couverture arrière avec couverture nuit
250 labelisés boulevard des bulles sur la couverture arrière avec couverture jour
20 exemplaires hors commerce pour soleil,
60 exemplaires hors commerce pour les auteurs,
4 exemplaires pour claude guth
25 exemplaires hors commerce pour bruno graff editions
25 exemplaires hors commerce pour boulevard des bulles
et sinon parfait ocmme ptit cadeau de noel! :P
L'arc de Jeph Loeb avait très bien commencé et j'attendais la suite avec
impatience, mais je dois avouer avoir été un peu déçu avec cet épisode. Les
dessins de Bianchi, sombre et proches de la peinture, ont beau être
magnifiques et donner lieu à quelques géniales compositions, mais l'intrigue...
ça s'emmêle, c'est confus, les pensées en voix-off et les dialogues ne sont
pas clairs et les évènements ne s'enchaînent pas forcément bien. En revanche
je trouve l'idée d'ouvrir chaque épisode par une sorte de rêve très bien
exploitée.
Quant à Origins, je dois avouer que les dessins de Dillon ne sont pas vraiment
ma tasse de thé et que ça gâche quelque peu ma lecture. C'est d'autant plus
flagrant ici vu qu'on a pas mal d'actions et que Dillon n'excèle vraiment pas
dans ce registre.
Bien dommage que Straczinsky soit partit de la série Fantastic Four. Ce n'est
pas que McDuffie soit mauvais scénariste, mais il est assurément moins bon.
On a le droit a 2 de ses histoires, une première aux allures cosmiques que je
trouve vraiment sans plus, et une seconde plus de l'ordre de l'anecdotique
(une rencontre entre Richards et Fatalis) qui ne convainct pas vraiment. En
bref : j'attends l'arrivé de Mark Millar avec pas mal d'impatience.
Quant aux Vengeurs Secrets, je trouve que Bendis emmêle trop passé et
présent. Je sais que c'est un peu à la mode ce procédé de flash-back mais ça
donne ici une histoire pas forcément agréable à lire alors que l'intrigue vaut
quand même le coup (surtout avec une équipe aussi charismatique). Par
contre rien à redire au niveau des dessins, le style crayonné de Lenil Yu donne
certes un aspect un peu brouillon à l'ensemble mais c'est vraiment original et
même osé pour un comics Marvel. Un vrai style à part quoi, expressif et
instinctif.
À l'inverse des 2 autres épisodes qui ne m'ont pas emballé des masses, Iron
Man (maintenant devenu directeur du shield) m'a en revanche agréablement
surpris. C'est clair, c'est maîtrisé, et on centre clairement la série sur l'aspect
organisationnel du S.H.I.E.L.D.
Après avoir accomodé à leur sauce Sherlock Holmes, Veys et Barral remettent le couvert dans ce pastiche des aventures de Blake et Mortimer. C'est bien vu et c'est à hurler de rire.
La définition la plus parfaite et la plus aboutie du chef d'oeuvre.
L'une de ces histoires qui vous prend et qu'on oubliera jamais.
Dense, désespéré et pourtant si plein de vie !
Excellent polar situé dans la Russie soviétique.
On glisse rapidement vers l'affaire d'état.
Fait penser aux 2 romans (2 chefs d'oeuvre soit dit en passant) de Fridrich Nezansky et Edward Topol (Une disparition de haute importance-1983 et Une place vraiment rouge-1983).
Qui plus est, les plaches en noir et blanc renforcent le caractère étouffant de l'intrigue
Dernier album de la série Zig et Puce signée par Greg. Publiée à l'origine dans le journal Tintin en 1970, cette histoire est un chant du cygne.
C'est original, farfelue et drolissime. Et quels dialogues, mes aieux !
Symapthique et bien fait mais au fond assez classique.
Encore plus loufoque que SOS Sheila, encore plus drôle, ce qui n'est pas peu dire.
Prescription médicale obligatoire contre toutes les contrariétés de la vie.
Greg a "maturé" ses personnages, ils sont vraiment devenus les siens et l'on glisse ainsi dans une aventure farfelue où l'on ne s'ennuie pas un instant.
Grandiose ! Une nécessité quand on a besoin de se changer les idées.
Dans ce premier album où Greg reprend les fameux personnages d'Alain Saint-Ogan, l'auteur n'est pas complètement à l'aise.
Oh, l'histoire est plaisante mais on est loin des délires de loufoqueries qui suivront.
L'essai est néanmoins concluant.
Dans ce joyau unique (il n'y eut pas de suite), rien n'est à jeter. C'est une pure merveille d'inventivité et de drôlerie.
L'un des tous meilleurs Greg avec comme question à la clé, pourquoi n'a-t-il pas été réédité depuis 1974 ?
Une BD peu connue de Greg, et pourtant ...
Même s'il ne s'agissait dans l'esprit de l'auteur que d'une bande alimentaire, on y retrouve une vraie folie dans les personnages et les situations.
Bien que créés un peu avant (1962), Babiole et Zou sont dans l'esprit de Constant Souci et le Mystère de l'Homme aux Trèfles (1967), autre perle injustement oubliée.
On retrouvera la même cocasserie, la même déraison dans les Zig et Puce de Greg, non pas tant le premier (Le voleur fantôme -1963) que dans les suivants surtout SOS Sheila-1963, Prototype Zéro Zéro-1964 et Les frais de la princesse-1970.
En attendant, il est bien dommage que Babiole et Zou n'aient pas bénéficié d'une réédition en bonne et due forme, car outre cette histoire existent également une aventure de 30 planches et 5 petites histoires de 4 planches chacune. De quoi faire un bel album.
Dans le même esprit, on pourrait compléter cela avec les 3 petites histoires de Tagabudoirement vôtre et les 24 planches de Haineux Gordiens (qui valent celles d'Achille Talon).
Messieurs les éditeurs, au boulot !
Certes ce n'est ni les Astérix ou Lucky Luke de la meilleure cuvée, mais cette fée Aveline là vient juste après.
Dans l'histoire de cette fée qui bascule dans la vraie vie et se sert de ses pouvoirs en toute innocence, Goscinny distille avec finesse les travers de la société française des années 60/70.
Mais il le fait avec tendresse, avec humour (mais n'est-ce pas naturel chez lui ?), avec un entrain qui font plaisir à voir et surtout à lire.
Certains pourraient penser qu'il s'agit d'un démarquage de la célèbre série TV de l'époque, Ma sorcière bien aimée. Pas du tout.
Cette sorcière là sort rarement de sa maison de banlieue et nous raconte les gentils petits malheurs de la middle class américaine.
Goscinny nous présente une fée (rien à voir avec la sorcière donc !) qui parle de ceux de la société française. C'est donc très différent !!!
Cela étant, il y a dans ces 2 oeuvres matière à réflexion pour percevoir justement les différences de sensibilité des deux côtés de l'Atlantique. Gageons qu'un thésard nous apportera un jour un copieux dossier dessus. En attendant, la fée Aveline n'arrête pas de se balader, ce qui permet à l'auteur de multiplier les situations, alors qu'à force d'être cantonnée à sa cuisine et aux agaceries de sa mère, la sorcière américaine finit par jouer sur le même tempo.
Merci donc à Marcel Dassault qui fit un pont d'or à Goscinny pour que celui-ci livrât (et que toc !) les aventures de la fée dans les pages du magazine Jours de France.
Il serait temps que la France redécouvre cette petite merveille.
Si Jacquot le mousse n'est pas ce que Goscinny a fait de mieux, Tromblon et Bottaclou mérite(ent) d'être redécouvert(s).
Issus des pages de Pilote du tout début des années 60, les 2 énergumènes rejouent le jeu classique du gendarme et du gentil voleur. Mais il y a la verve de Goscinny et un petit parfum d'une époque aujourd'hui disparue, celle qui fait penser au film d'Yves Robert, Ni vu ni connu (1958), avec Louis de Funès et Moustache.
Cette série est une cousine de ce film là et les 2 sont un vrai bonheur.
Les romans, films ou nouvelles proposant des variations sur le temps sont souvent passionnants, parfois intrigants, quelques fois déroutants.
L'histoire qui nous est proposée ici ne manque pas de références littéraires. Elle a incontestablement du style mais elle est presque totalement linéaire, alors que le sel de ce genre de récit est justement de jouer sur les paradoxes temporels.
Ici que nenni. Tout ça pour ça ! serait-on tenté de dire; mais l'originalité de la démarche et l'audace d'un dessin peu classique méritent quand même de saluer cet album.
Inégale. Comme d'hab avec cette revue le meilleur cotoie le pire!
J'ai adoré cet album...avec surprise presque.
D'abord la couverture holographique est sympa, mais c'est surtout l'histoire qui surprend. Débutant comme une suite d'aventures presque loufoques, pour les enfants...une intrigue perce mettant en scéne les parents de Zarla et leur relation avec les dragons. Seraient-ils des "traitres"aux Azras? Quel est le vrai pouvoir de Zarla?
Il y a un peu de tout dans cet album, c'est surement ce qui m'a plu. De l'humour, une bonne histoire prometteuse sans être "prise de tête", une graphique agréable...
Et puis j'adore Hydromel...
Vivement la suite!
La saga ultra-populaire de XIII s'achève sur ce "Dernier Round" qui n'en est pas un, puisque toute l'histoire est jouée depuis longtemps, et les dernières péripéties ne sont plus guère qu'anecdotiques. La seule belle idée de Van Hamme est d'utiliser ses propres livres (et en particulier "la Version Irlandaise") comme révélateurs du récit, ce qui crée un bel effet de trouble. Pour le reste, on en est au "service minimum", qui caractérise d'ailleurs sur la série XIII depuis plusieurs années : l'action, les règlements de compte ne concernent plus Jason Fly, les femmes s'entre-tuent pour lui, contre lui, autour de lui. A la fin, il reste seul avec son coeur (a-t-il un coeur au moins ?) froissé, sinon brisé. Et on aime bien cette fin en mode mineur, loin du bruit et de la fureur de l'épopée. Loin de la frénésie inextinguible d'un schéma narratif entre "24" et "Jason Bourne", XIII a enfin gagné le droit de se reposer. Loin de nous.
Parodie truculente et égrillarde de la petite bonne bretonne.
N'a pas révolutionné la BD, certes, mais a provoqué quelques jolies crises de rire.
Bien vu !
Suite quasi directe de Galipettes, Culbutes reprend les mêmes recettes, avec le même bonheur, à ceci près que l'effet de surprise du premier album a disparu. Mais le plaisir est toujours présent.
Il s'agit bien sûr d'un album égrillard; donc à ne pas mettre entre toutes les mains.
Cet avertissement passé, cet album est un chef d'oeuvre du genre. Ceux qui viendront chercher de la chair fraîche à la Manara seront déçus. Mais ceux qui ont un esprit rabelaisien sauront rire de cet érotisme rural, bon enfant, jamais vicieux et toujours drôle.
Je parlais à l'instant de Rabelais (mais sans l'aspect pipi-caca-popo), je pourrais aussi rajouter le Boccace du Décaméron pour la truculence des saynètes qui nous sont proposées.
Dire que cet album est une bluette pour jeune fille serait excessif. Mais pour qui s'est un peu intéressé à l'histoire du Japon médiéval, elle traduit assez bien la mentalité de l'époque -même si je le reconnais, il y a un certain tropisme occidental, moderne qui plus est !
Alors oui, l'histoire est violente. Oui, elle est pleine de sexe, mais Cothias sait admirablement tisser sa narration, sans temps mort ni ennui. Quant au dessin d'Adamov, il souligne la puissance et les déraisons de l'époque et des personnages.
Pour qui est prêt à être confronté à une réalité assez inique, cet album est un chef d'oeuvre. Mais je comprends que certains puissent avoir des haut-le-coeur.
L'histoire peu connue de Genghis Khan, de l'enfance à la mort. Près de 250 pages qui ne manquent pas de souffle, avec un dessin classique mais remarquable.
Deux petits reproches :
1/ une structure en flash back qui devait pas rendre la lecture aisée album après album.
2/ il y a tant de personnages intéressants qu'il était possible de faire des digressions ou carrément des spin-off. Lesquels nous auraient conté par le menu d'autres formidables histoires alors que là, nous avons droit à des résumés fait par différents messagers.
Mais dire qu'on aurait aimé en lire deux fois plus, n'est-il pas un véritable hommage ?
Dépaysant au possible et passionnant.
On ne sait pas trop où tout ça va déboucher mais ce jeu de pistes et de faux
semblant donne envie de lire la suite.
Du déjà vu au cinéma et question scénario, mais du déja vu qu'on aime car tant
qu'on ne tournera pas la dernière page, on suivra un chemin sans aucune
lanterne.
À suivre...
De valeur inégale mais certains passages d'anthologie !!!
Le graphisme est surprenant mais je m'attendais à plus de surprises voir des révélation du point de vue scénario.
C'est toujours très fort et me confirme que c'est bien une des toute meilleur série que j'ai lu ces dernières années.
Le denouement semble proche, les derniers pions se mettent en place dans le même déchaînement de violence que les précédents tomes. Même Lucius Murena, le "gentil", nous montre un visage bien impitoyable qui est le bienvenue pour la crédibilité de l'histoire. Le voyage en Gaule est sympa et à le mérite de nous sortir un peu des ruelles étroites de Rome.
Encore un excellent tome !
Barbie au pays des merveilles ! Barbie et le pirate des Caraïbes ! Barbie et Tarzan....
Bref, du lourd pour pretexter une BD coquine, aussi légère dans son scénario que les tenues de notre bimbo gonflé à l'helium...
Ceci dit, les mecs s'en mettront plein les mirettes avec beaucoup de plaisir, moi le premier, sans donner l'impression à leur copine de feuilleter un Playboy. Mais à ce compte là les auteurs pourrait nous faire un mensuel ;o))
Enfin l'intégrale de ce grand personnage. Loin du je m'en foutisme et de l'égocentrisme actuel, un médecin humanitaire qui parcourt la planète pour apporter réconfort et soins aux déshérités du monde. Docteur Justice est né en 1970 dans les pages de Pif-gadget. Cet homme combat les injustices avec ces armes de toubib, mais aussi, lorsqu'il le faut, avec ces connaissances en judo. Le 7e Dan, Benjamin Justice, peut alors mettre hors d'état de nuire tous les malfrats qui s'attaquent aux enfants. Ceux qui les exploitent n'ont qu'à bien se tenir!
De l'action à profusion, une pointe d'humour, mais surtout une grande dose d'espoir face à l'exploitation que subissent tant de gens dans notre bas-monde. Les histoires concoctées par Jean Ollivier sont très bien documentées et ont toujours suivi l'actualité du moment. Les dessins de Marcello sont d'un dynamisme peu commun et ont un trait clair et efficace.
À l'époque si populaire que l'on en fit une adaptation au cinéma en 1975 avec John-Philip Law dans le rôle principal et des acteurs comme Gert Froebe et Nathalie Delon.
Souhaitons que la renaissance du personnage, entamée dans le nouveau Pif-gadget en 2004, avec Corteggianni et Barison, se poursuive. Un problème de droits, paraît-il... Anthony Delon aurait même un projet de série télé en préparation.
Retenons finalement, comme le dirait le vieux maître Hiamuri que "LE VRAI COURAGE EST DE FAIRE CE QUI EST JUSTE!"
Rare de voir une bd aussi ingenieuse !!! un must de chez must !!!
Comme d'ab excelent. Je n'aime pas trop le trait de yu mais quel scénarios ! sur les 5 tous sont super! Vive CAP AM !!!
Un nouvel album formidable qui nous entraine dans les coulisses du pouvoir. Neron commence a sombrer dans une certaie folie. Passionnant. Murena est pour moi le meilleur scénario de Dufaux.
A mentionner que le dessin est superbe, les décors sont magnifiquement travaillés. Les personnages sont parfaitement rendus, et le souci du détail est omniprésent. Une réussite.
Le 2 tient les promesses du 1, les faibles croient toujours qu'ils vont s'en sortir, mais un nouveau coup du sort leur tombe dessus.
Toujours aussi bien raconté et dessiné, on attend la conclusion avec impatiente.
Très noir, très dur, très bien dessiné, à ne pas lire par temps de cafard, mais une bd qui tient en haleine.
Les filles sont un peu trop belles et les méchants un peu trop affreux pour être réalistes, mais c'est ce qui laisse un peu d'espoir après avoir lu, ouf ça ne peut pas être la réalité !
Excellent ! Bon, j'adore les BD de Blain donc je partais avec des à prioris très positifs. Et pour le coup je suis pas déçu. Le dessin, par contre il faut aimer le trait de Blain, est vraiment top. Les couleurs de Walter ne sont pas en reste et certaines planches sont vraiment saisissantes avec, je trouve, de très beau jaunes.
Reste que c'est dans le scénario que la BD puise toute sa force. Le décor et la vie du Far West dénote totalement avec les états d'âmes de nos coeurs d'artichauts de héros. C'est d'autant plus comique que Gus et ses potes sont des cowboys, des vraies, à la Bouncer et cie. Mais bon, voilà, des qu'un jupon passe, leurs coeurs et leurs bites passent avant leurs colts !! Un comble ! Vivement la suite de ce Santa Barbara in the west...
mouais pas top ce numéro...
déjà le Straczinsky n'est pas des plus réussit malgré les alléchants épisodes
qui le précédaient. Enfin un peu déçu quoi, on peut pas dire que ce soit
mauvais mais "l'enquête" de Peter Parker est expédiée super vite et pas super
bien racontée (et puis les dessins de Garney j'avoue que j'suis pas un grand
fan).
Le Friendly Neighborhood m'a pas trop emballé lui non plus même si une
collaboration entre Spidey et l'homme sable peut donner du bon par la suite.
Sensational Spider-Man c'est somme d'hab', Roberto Aguirre-Sacasa nous fait
crouler sous les énigmes et on comprend à peu près rien. C'est pas mal
comme procédé mais faudrait qu'il se renouvelle un peu ce scénariste.
Au final seul Thunderbolts m'aura un tant soit peu enthousiasmé, avec un
Osborn qui commence à montrer ses failles et une équipe dont on comprend
mieux le fonctionnement. L'assault sur Jack Flag n'est pas forcément des plus
palpitant mais la série reste intéressante.
Par contre je suis vraiment déçu que les traducteurs aient choisit Penance
comme nouveau nom pour Speedball plutôt que Pénitance. L'utilisation de ce
dernier pseudo pour nommer le nouveau SpeedBall auraient à mon avis eu un
impact bien plus important qu'un "Penance" dépourvu de tout sens à la lecture
directe.
Enfin bref vous l'aurez compris ce numéro 95 n'est pas un Spider-Man qui
m'aura emballé
Mike déguste dur en ce moment, dans cet ouvrage qui raconte la genèse de la série et auprès de certains lecteurs qui ne l'apprécient plus ou pas. Certes c'est le lot des héros célèbres, ils ne laissent pas indifférents. Bien évidemment, ce HC reprend des passages de la série Mister Blueberry, mais cela est annoncé clairement par l'auteur et la préface de Max Armanet. L'objectif annoncé est la remise en perspective du contexte historique et de la rencontre de Mike avec Géronimo et non la création d'un nouvel épisode original. Je comprends parfaitement le désappointement et la réaction normale du lecteur dans ce cas. Alors la parution de "Apaches" est elle une affaire purement commerciale ? Pour ma part je ne le pense pas eu égard au plaisir que j'ai eu de relire cet épisode de l'orphelinat sous un angle légèrement différent...
Pfff, manque d'inspiration total.... Il y a des jolies couleurs, mais l'histoire est molle, on retrouve vito la déveine partout..... (dans l'aventure d'après, c'est à champignac même.... bref, super crédible).....
Non, là, ils auraient du arreter....
BD intéressante... on y retrouve des vieilles séries (Jijé, Rob Vel) que je trouve toujours charmantes même si le style du dessin reflete bien celui des années 40... La bd de Chaland est vraiment sublime ! Quel dommage qu'il n'ait pas pu travailler sur la série en parrallèle avec Tome & Janry....
Très amusant !! Le dessin est encore assez jeune, mais j'aime bien cette bd à l'ancienne (les expressions, les gags,....)... Beaucoup de charme....
Excellent ! C'est l'anti album par excellence ! Avec un zorglub méconnaissable... L'intrusion de Gaston dans les aventures de Spirou... Les gags s'enchainent à toute vitesse... A ce titre, l'episode Bravo les Brothers, qui est en fait une avnetures de Gaston, est à hurler de rire.... Cet album ne reflete pas la série, mais est vraiement tres drole
Génial ! quelle trouvaille que ce Zorglub... Greg a fait un excellent travail de scenario.... Franquin dessine toujours aussi bien... Album truffé de gags.... Dans les 10 meilleurs... !
Un des meilleurs albums de la série, original, plein d'humour et de poésie.... ce n'est plus une aventure de spirou et fantasio, mais bien une aventure du marsupilami...
Très bonne bd de Franquin.... comme d'habitude....
La mauvaise tête est encore un sublime album, dans la même veine que les deux précédents... Le dessin est somptueux, l'humour présent, bref, ce n'est que du pur bonheur....
Un superbe album de Franquin, dans les 10 meilleurs de la série : humour, aventures.... tout y est.... Indispensable !
Superbe ! Un des 10 meilleurs spirou et fantasio.... (période Franquin, normal....)
Série indéfinissable qui louche incontestablement vers la série TV "le prisonnier" avec une touche de "Twin Peaks"; quant au début c'est celui du film "Alice ou la dernière fugue" de Claude Chabrol (1977).
Est-ce vraiment prenant ? Non
Est-ce rasoir ? Pas davantage.
C'est simplement bizarre et anormal -dans son acception première.
A lire non pas d'une traite mais à petites gorgées comme on le ferait d'un vieux whisky fortement tourbé qui laisse un goût spécial dans la bouche et pour lequel on se sait si c'est vraiment bon ou mauvais; et dont on attend la prochaine gorgée pour se faire une idée.
J'ai peur de ne pas avoir le même avis qu'Akileos. Cette BD fait inévitablement penser à "La maison du Diable" (The haunting-1963) de Robert Wise ou de son quasi remake-plagiat "La maison des damnés" (Helle house-1972) de John Hough.
Le principe ? Un groupe de scientifiques se rend dans une maison hantée et les uns après les autres disparaissent. Classique !
Sauf que contrairement aux films précédents, Indiana Jones oblige, nous avons droit en plus à une archéologue aventurière -histoire de moderniser le sujet- et une vague malédiction surnaturelle égyptienne -histoire d'exotiser la narration.
Secouez le tout très fort, laissez reposer et vous obtenez ce volume sans vraie originalité -et en plus pas très bien dessiné.
Bon, maintenant, il en faut pour tous les goûts !
Une BD sur fond chrétien dont j'attendais plus. Les quelques bonnes trouvailles ne suffisent pas à emballer le lecteur jusqu'au bout.
Ce tome conclut le premier cycle, superbe, de cette série qui dépeint admirablement la vie romaine sous Néron et qui tient en haleine grâce à des complots et des personnages au caractère marqué. Ce premier cycle est superbe.
A nouveau, un album passionnant restituant avec beauté les complots durant la vie de Neron au pouvoir. Pour tout amateur de BD. Une réussite.
Une fresque historique qui tient en haleine de bout en bout desservi par un superbe dessin. Ce deuxièeme album est à la hauteur du premier. Une grande réussite.
Les dessins sont assez sympa, l'histoire, même si elle a un fonds de vérité, est très superficielle.
Excellent crossover qui développe des pistes de plus en plus intéressantes avec un suspense très bien entretenu et on a pas encore vue le meilleur. J'ai bien aimé le côté humoristique apporté, hélas provisoirement, par Spidey. Donc globalement c'est un très bon numéo à ne pas manquer à mon avis.
Bon épisode qui développe la réation des X-Men et de leurs proches (amis ou ennemis) face à la mort de Charles Xavier. Le sujet est bien traité chaque persannage a sa propre façon de gérer ce triste évènement et tout reste cohérent. De plus les premières pierres de l'évolution des X-Men sont déjà posées. Bref bon numéro qui donne envie de lire la suite.
Les histoires sont certes sympa mais je n'ai pas vraiment accroché à l'ensemble. On ne s'ennui pas au contraire mais on sent qu'il n'y a pas vraiment de lien entre tout çaet au final on a une impression de trop court qui ne mène pas à grand chose.
Un nouvel épisode de Carmen est toujours un évènement. Le tome 7 avait placé la barre très haut. Ce nouvel épisode y prend ses racines. Nous y retouvons des personnages comme Sunside, Russel, Kapoor, Young et Sonoda. L'histoire démarre sur les chapeaux de roues et a pour thème les EMG, pensez Êtres génétiquement modifiés, un développement vraisemblable et une allusion à ce que nous connaissons actuellement sous le sigle OGM ! Le shéma est simple, les transcontinentales anciennes multinationales ont créé des êtres corvéables et sacrifiables à merci. Mais voilà, ces derniers pensent et la révolte gronde. Alors ceux qui ont le pouvoir manipulent les extrémistes pour brouiller les cartes. Toujours de l'action, beaucoup d'émotion et de superbes planches. Je mets 9/10 pour la qualité constante de cette série devenue emblématique...
Retour en noir : Bon voilà un épisode certes sympa et un spidey en colère ça donne des choses intéressantes, même si le plus intéressant reste à venir.... du moins j'espère, mais pour le momment ça reste bien calme c'est dommage.
Sables mouvants : Episode intéressant qui semble développer une collaboration improbable entre l'homme sable et Spiderman mais pour le momment on en sait pas assez pour vraiment juger. En tout cas cette histoire semble prometteuse et j'ai hâte de lire la suite.
L'étrange cas de.... : Voilà un épisode qui porte bien son nom puisqu'il est plutôt étrange. On a très peu d'information et on ne sait pas où l'on va mais ce début d'intrigue pose des questions et développe des évènements tout aussi intéressant qu'ils sont étranges (et ils sont vraiment étranges).
Galerie de monstres : Bon épisode qui nous montre une équipe de Thunderbolts composé de criminels parmis les plus pourris rattachés à un systhème pourri aux méthodes encore plus pourries. Bref tout ça ne sent pas très bon et c'est ça qui est vraiment intéressant malgré le fait qu'on risque de ne jamais s'attacher à cette équipe.
Encore un très bon volume qui marque à priori le début d'un tournant dans l'histoire du groupe Beck avec une nouvelle chance de percer dans le monde impittoyable de la musique. Il était temps car le côté looser était sympa un temps mais ça devenait un peu lourd. En espérant que la suite marque un tournant plus marqué on pourra vraiment apprécier ce tome globalement bien sympa.
La première partie de ce volume est surtout orienté humour, humour qui deviendrait certes un peu lourd en cas de lecture successive des différents volumes due au fait qu'il est composé essentiellement des même gags qui se répètent mais avec le délais de parution entre deux tomes ça passe plutôt bien. La seconde partie est surtout orienté combat avec notamment le combat entre Negima et Takamishi qui somme toute le plus intéressant (par contre c'est dingue de voir ce dont est capable un enfant de 10 ans :mrgreen: ). Bref voilà un bon volume.
Tout d'abord, les amours de Kiyoko se portent de mieux en mieux avec Sei, Sophia veillant à ce que le couple se rapproche toujours plus et passe à une nouvelle phase. Mais som omniprésence, un secret bien gardé et la trop grande préoccupation de Sei pour elle peut tout remettre en jeu...
Du côté de Sachiko, l'inévitable survient et elle termine à l'hôpital dans le coma en raison de son anorexie. Autour d'elle, personne ne sait que faire pour l'aider à s'en sortir ... ni ses grands-parents qui la veillent sans cesse, ni Keiji qui lui rend régulièrement visite. Et finalement la réponse vient de Tommy qui a beaucoup réfléchi et mûri en quelques temps. La solution pour lui est de donner à Sachiko ce qui lui a toujours manqué. De leur côté, Akemi et Yuki sont de plus en plus liés et une nouvelle romance apparaît.
La crise qui s'était installée a donc trouvé une issue attendue mais les solutions sont également à portée de main et la fin de l'album est positive, sauf en ce qui concerne le trio Sophia/Sei/Kiyoko. Un petit drame supplémentaire pour finir la série ? ou bien verra-t-on que Sei a raison quand il dit que Kiyoko a suffisamment mûri pour comprendre son choix ?
ENcore un bon tome.
Enfin le dernier tome !
La rupture du lien entre les 12 et Akito est enterninée, la malédiction levée.
L'auteure apporte confirmation de l'évolution plus ou moins importante de tous ses personnages. Les couples qui s'étaient dessinés et formés peu à peu prennent leur élan, le temps du drame est passé et leur quotidien ne sera bientôt fait que des mutliples petits heurs et malheurs habituels. Si ce dénouement est incontestablement positif, Takaya montre que les blessures ne se sont pas fermées comme par miracle et que ça prendra du temps pour chacun d'accepter la nouvelle situation et en particulier d'accepter Akito telle qu'elle est.
Joli flash-back sur le décès de Kyoko, la mère de Tohru, qui fait presque office de "cordon ombilical coupé".
Bref, une fin toute douce pour prendre congé de tout ce petit monde. Plutôt réussi !
Un incontournable classique de la bd à lire et relire absolument ! Quand je pense que Tif et Tondu n'étaient plus édités et qu'il fallait débourser des sommes astronomiques pour pouvoir acquérir les albums d'occasion ! Au même titre que Martin Milan, Ric Hochet et d'innombrables héros franco belge qui ont FAIT la bande dessinée et ont contribué à son universalité et à sa grande diversité, la réédition de Tif et Tondu est un hommage au neuvième art, une invitation à la découverte pour montrer à la jeunesse par exemple qu'il n'y a pas que Lanfeust de troy des étoiles de la galaxie dans les bacs !
Décalé, caricatural à souhait, une Bd rafraîchissante qui ne manquera pas d'éclabousser les amateurs de marée basse, de désespérer les fabricants de poudre à canon, d'omnibuler les joueurs de Poker. Vivement l'arrivée du capitaine Stubbing et de son fidèle équipage du love boat. A conseiller aux gens qui pleurent tout le temps et aux marins d'eau douce !
Bon plan marketing (le lancement conjoint des 2 albums "finaux"), mais fausse bonne idée sans doute que de confier le dessin de ce "flash back" au sein de "l'épopée moderne" de XIII à un Moebius qui n'avait, comme il l'a lui-même avoué, que peu d'intérêt pour le sujet du livre, soit les déchirements de l'Irlande. Moebius - non, pardon, Jean Giraud, s'acquitte donc soigneusement de sa tâche, c'est-à-dire dessiner "The Kelly Brian Story" comme si c'était un épisode moderne de Blueberry, mais a visiblement du mal avec les visages - une constante d'ailleurs de son travail, cette difficulté à fixer un visage à ses personnages... Le paradoxe passionnant, quand même, est que ce trouble d'identité entre Kelly Brian et Jason Fly sert directement le scénario malin de Van Hamme qui, pariant certainement sur nos difficultés à mémoriser les multiples identités successives de XIII au fil des albums, réussit à maintenir jusqu'au bout son suspense manipulateur : lequel des deux personnages deviendra-t-il donc XIII ? Outre ce petit jeu amusant, avouons que cette digression en forme de double flash back n'apporte pas grand'chose à la saga de l'un des personnages les plus fascinants de la BD contemporaine.
4 tomes et la magie est toujours là !
Une des Bd les plus drôles et déjantées que j'ai pu lire.
Cet album , véritable petit clin d'oeil aux rapports hommes/femmes, nous raconte, sous forme de strips, les vaines tentatives de Tozoïd (le spermatozoïde qui ne pense qu'à ça) à féconder Vula (pas du tout pressée).
Une Bd remplie d'humour, fraîche et colorée !
Quelle déception !
J'avais relu les 3 premiers tomes juste avant d'entamer ce tome 4 concluant la série ou à tout le moins le cycle, histoire de bien me souvenir des tenants et aboutissants... et bien j'aurais pas dû ! Cette conclusion alterne les répétitions, rappels des tomes précedents éparpillés sur tout le volume, explications compliquées ou hypothèses démenties plus loin, erreurs d'amateurs (la voiture verte devient rouge, détails certes, mais bon...) avec des rebondissements que personnellement j'ai trouvés ridicules et quelques planches qui effectivement font enfin évoluer l'histoire. Les dialogues sont banals, les cases littéralement "au service" du texte, le dessin est figé, parfois grossier, ... bref, l'impression d'une conclusion commercialement obligatoire.
J'ai noté l'album "pas terrible (3/10)" car la tentation est grande d'acheter l'album concluant une série et en cela, je ne regrette pas mon achat, mais pour tout le reste, càd finalement le principal, cette bd fait partie de celles que j'évite d'acheter.
Les personnages mis en scène sont hauts en couleur. D'un côté Marcus et sa demi soeur, sales gosses de riche capricieux et racistes et de l'autre côté Ermanamer fils de prince captif au tempéremment ombrageux. Les dessins sont toujours aussi beaux, avec de la clarté et du mouvement. Par contre, l'utilisation de mots orduriers peut paraître excessive car n'apportant pas de réel plus à l'intrigue. Ce bémol mis à part, l'histoire se lit avec un réel plaisir...
Voilà une histoire racontée par COSEY qui pourrait être banale, la rencontre de deux femmes que tout oppose. L'une est célibataire, très jolie et capricieuse, l'autre plus ronde, mal fagottée, mère de famille et écrivain. La rencontre se déroule dans des paysages de montagne très beaux où les personnages apparemment secondaires comme le viel indien jouent un rôle important. Tout se déroule lentement, au rythme de l'hiver et des paysages enneigés pour se terminer de façon surprenante et optimiste.
Même si les missions de sauvetage sont un peu répétitives, "K, l'ivresse des sommets" est un bon album, ne serait-ce que parce les bandes-dessinées sur la montagne sont rares. Les auteurs maîtrisent le sens de l'escalade et cernent assez bien le rapport particulier entre l'homme des sommets et la montagne. On retrouve aussi un peu de ce sens japonais de la nature. Cet album est en tous cas à conseiller aux adeptes de l'escalade et de l'alpinisme.