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C'est le premier album d'Alix où l'on passe de 62 à 54 pages (en attendant moins !).
L'histoire de cette cité maudite est certes intéressante mais ne se hisse pas, à mon sens, au niveau des histoires précédentes.
Cette fois-ci c'est vers l'Etrurie et ses mystère qu'Alix nous entraîne.
Notre héros bouleverse l'ordre des choses et surtout une société secrète aux fondations anciennes.
Si anciennes qu'elles remontent à l'époque étrusque et à celle du royaume de Rome. Le choix des décors, la patte du mystère font de cet album une lecture à recommander.
A noter que la fin est annonciatrice de l'avenir d'Octave que l'on connaît mieux sous son nom d'Auguste (il ne s'agit pas du clown !)
Idée toute romantique que d'imaginer dans un coin perdu de Grèce subsiste encore un "royaume" grec indépendant des Romains.
On sent bien que Martin ne peut, ni ne veut aller contre le sens de l'Histoire, pourtant on sent, plus ou moins confusément, que son intérêt se porte davantage sur la lumière des Grecs que sur le rationalisme des Romains.
Voilà pourquoi, il y reviendra bien des années plus tard avec la série Orion.
Mais sans le même succès, et sans doute faut-il le dire aussi, sans la même vista.
Superbe histoire, remarquablement dessinée, avec ces cohortes de légionnaires perdus dans la neige des Alpes et une idée forte, celle du loup prisonnier qu'Alix délivrera et qui fera rebondir l'histoire.
Martin vient de trouver définitivement son style. Il signe là l'une des pièces maîtresses de son oeuvre.
Le choix des Parthes est révélateur, civilisation méconnue (surtout à l'époque où l'album a été rédigé), elle intrigue le lecteur.
L'astuce liée à la tiare était on ne peut plus originale (au moins pour les jeunes lecteurs de l'époque).
L'aventure proposée avec un grand A est également un modèle du genre.
Comme l'album précédent, l'Ile Maudite possède un style feuilletonesque très agréable. Cette île là est simplement un peu moins convaincante.
Dès cette histoire Jacques Martin met le niveau à ce qui sera désormais encore longtemps son standard.
Si son dessin reste du "Tintin réaliste", il est d'une grande lisibilité.
Quant au scénario, il est plein de rebondissements, tire vers le roman feuilleton du XIXème siècle et fait, sans doute du sujet et de la connivence dans le dessin, au Mystère de la Grande Pyramide de Jacobs.
Hormis son caractère historique (le 1er album d'une série phare de l'école franco-belge), cet album se révèlera décevant.
Décevant par un dessin qui se cherche encore.
Décevant par une histoire qui s'écrit ou se dessine au fil de l'eau, un peu comme les premiers Tintin.
Décevant par les emprunts à Ben-Hur, ce que Jacques Martin reconnaît bien volontiers.
Disons qu'il s'agit d'un album de rodage.
J'ai trouvé ces deux albums très imprégnants.
Les couleurs sont superbes, on s'attache aux personnages, l'histoire on la connait mais le scénariste est doué pour faire naitre des émotions diverses du dégout, de la pitié, de la colère et de la joie. Pour le dessin les expressions sont bien perceptibles, parfois à la limite de la caricature (t 1 le maitre)!! Mais aussi très juste et beau ! J'ai bcp aimé ; ces 2 tomes ont une place de choix et de coeur surtout, dans ma bédéthèque.
Tout simplement enorme !
J'adore les dessins, j'adore le background, j'adore le scenario.
A part quelque problemes de "realisation" (certains intervenants ou evenements ont tendances a arriver comme un cheveux sur la soupe), on est pris dans une histoire dont on souhaite connaitre la fin.
Les dessins sont tres beau, les texts en vieux francais sympa bien que peux credible...
L'histoire est sympa, sans plus : on sent que l'histoire n'a pas été pensé dans sa globalité pour arriver a 6 tomes. Du coup, on a l'impression qu'on vient greffer des intrigues supplementaire sur la trame de base qui s'essoufle...
Un peu moins exceptionnel, mais toujours de très haut niveau.
La série se renouvelle avec une petite crise d'adolescence, et de nouveaux personnages très typés.
Très bon également. La série ne s'essoufle pas.
Absolument excellent. L'histoire d'une fille de 13 ans parfaitement ordinaire... donc exceptionnelle...
Pourtant pas grand fan de Berthet cette série m'a accroché de suite. Le dessin clair est excellent et le scénario marie avec brio anticipation et parodie. Les idées sur les gadgets, la technologie ou la situation des sociétés est particulièrement inventif même si le tome deux est moins riches en trouvaille à mon sens.
A prendre sans hésitations
Cet album est comme la bouse que sert comme humour une célèbre chaine cryptée française qui devant une majorité consterné avance le coté "esprit décalé" pour essayer de vendre la médiocrité. Le scénario est pourri. La ligne : pipi, caca, vomi, méchant capitaliste, etc... Le dessin ? Toujours très admiratif de ce que je ne peux pas faire moi même, j'ai là des cases qu'un niveau art plastique de fin de collège me permet de reproduire à main levée; autant pour le talent... Le seul qui doit se marrer c'est le banquier des auteurs à chaque vente.
c'est pas mal mais l'histoire ne se tiens pas completement. Il y a plus ou moins une suite, mais pas cohérente. A lire tout de m^me
C'est un tres beau livre avec une belle histoire. On se laisse prendre et c'est émouvant. Tres beau cadeau pour noel.
Mouais. Pas totalement convaincu. On a ici un scénario qui sert de prétexte a faire dégouliner l'hémoglobine et les viscères plus qu'a faire réellement suivre une histoire. Certains personnages sont carrément grotesques et Fury semble ètre une copie assermenté par le gouvernement du punisher, ressemblance qui transpire dans le dessin du personnage d'ailleurs. Plus une tentative de surfer sur la vague hardcore développé avec succès dans le Punisher qu'autre chose. Sans suite d'ailleurs...
Vraiment un bon comics, un très bon. Brian Wood nous envoie dans un New York servant de ligne de démarcation entre deux groupes en guerre civile au Usa. Le scénario d'anticipation permet au dessinateur de créer une ville proche de celle que l'on a pu voir dans New York 1997, où est perdu un reporter lâché par ses patrons. On rencontre toute une galerie de personnage ou de groupuscule a la fois inquiétant ou attachant. Avec des coups de canifs à la politique Us actuelle que l'on retrouve dans beaucoup de parution en ce moment. Acheté sans avoir approfondis en magasin et particulièrement séduit au final.
Alors... Comment dire... On ne peut pas dire que cette Bd soit géniale loin de là. Les dessins sont plus que moyen pour les personnages et assez bon pour les décors. Par contre le coloriste doit être atteint de daltonisme car les planches rendraient malade un caméléon adulte. Le scénario sent le déjà vu et ne propose pas de surprise particulière dans le déroulement de l'action. Malgré cela, j'ai un sentiment positif sur cet album, qui risque bien de rester unique, car les lieux visités sont plaisants et l'histoire décontractante. A voir en cas de trouvaille dans les bacs occasions.
Du très bon! Un dessin superbe qui crée parfaitement l'atmosphère, avec une mention pour tout ce qui est appareil ou machine avec des détails très fouillés, sans baisse de qualité entre les deux tômes. Le scénario sans être original tient largement la route. Il est bien possible que Orbital devienne un classique.
Correctif de mon précédent post. Influencé par l'excellente rédaction de pierre999 j'ai écrit "le meilleur d' Hubinon avant..." lire "le meilleur de Bergese avant ....". Mea culpa a mettre au compte de mon inexpérience. Le rédacteur sera chatié par coup de fouet pour avoir floodé
Ce titre est une découverte encyclopédique de l'aviation par Thierry Cailleteau grands amateurs d'engins volants; illustrée par un dessinateur bien connu des lecteurs du Fana de l'Aviation, Jean Barbaud. Ce dernier a un réel talent pour dessiner des avions à la sauce caricaturale sans les défigurer ou les rendre méconnaissables. On parcours donc un siècle des plus grandes réalisations de l'aéronautique militaire avec un descriptif qui, bien que teinté d'humour, est toujours très fidèle et précis . Une gros volume qui permet de concilier passion de l'aviation et passion de la bd.
Du trés bon Marini. Une ville américaine dessinée dans une ambiance glauque, des personnages très bon et un scénario qui en vaut d'autres. Rien que les femmes présentes dans les albums justifient l'achat. Plus sérieusement ces une série qui a un réel intérêt pour un amateur moyen auquel j'ai la prétention de vouloir appartenir. A recommander chaudement
J'ai rédigé dans une ancienne critique que j'avais découvert et apprécié le duo Chauvel/Le Saëc avec les Enragés et je me suis donc intéressé a leurs autres titres. Celui-ci est un chef d oeuvre. L' histoire même si elle suit le ressort propre au scénariste qui aime se faire rejoindre deux histoires développées en parallèle est excellente. Le dessin en noir et blanc colle parfaitement au récit. D' expérience, puisque flic moi-même, je peux affirmer que l'ambiance, les discussions, l'état d'esprit,les lieux, les situations sont exactement celles décrites dans ce titre. Ni manichéen, ni inquisiteur, juste au plus prés du réel. La meilleure oeuvre sur la Police devant L.627 de Tavernier au cinéma.
Attention, avis de fanatique. J'ai découvert Alex Ross avec ces titres et depuis je fais parti de la secte des Rossiens. Ces deux tomes ont démarré, il me semble, la vague de titres ou les super héros et leurs actions sont remises en questions par les être ordinaires dont la vision des événements de l'histoire Marvel, du point de vu humain, sert de fil à la narration. Pour le dessin, c'est du roman photo... La peinture à l'huile, technique appréciée de l'auteur, donne l'aspect vivant aux protagonistes. Du grand art. De nombreuses scenes mythiques abordé sous un autre angle... Un grand étonnement de ma part pour la côte des deux premiers tomes (épuisés) dont la présentation et la couverture cartonnée sont supérieur aux récentes rééditions. Si, comme moi, vous aimez les comics vous ne pouvez manquer ces volumes. Alex Ross tu est mon gourou...(par contre si tu peux baisser le prix de tes originaux ça serait sympa...)
Commentaire pour l'ensemble de la série. Agréable a lire pour a curiosité du chamboulement de l'univers Marvel. Par contre ne pas se laisser abuser par les couvertures d' Alex Ross car le dessin est TRES en dessous. Sympa sans plus.
Que la Marvel ai décidée de chambouler son univers avec Earth X, ok. Mais là on nage dans le n'importe quoi. Le graphisme est moyen et le scénario bidon saupoudré de philosophie que l'on peut lire sur les tables de lycée aprés que la salle ai été occupée par une 1ere Littéraire. Pour les fans uniquement.
Alors... Que dire. Le dessin est parodique mais conserve un réalisme dans les détails d'équipements ce qui est pour moi très agréables. Les deux sympathiques andouilles de héros sont géniaux et la galeries de personnages ont des traits comiquement forcés pour le plus grand bonheur du lecteur (mention spéciale pour les agents du FBI). Les deux albums peuvent se lire indépendamment pour ceux qui hésitent.
L' exemple parfait d'une série qui part en décrépitude au fur et a mesure des albums pour finir dans un tome 10 réalisé après que les auteurs ai regardé Predator et Alien 2 à la télé. A se demander si le scénariste avait une fin a la création. Quand au dessin de bon à moyen. Sur ma liste de revente...
Du très bon. Le dessin extrêmement réalistes dans les détails (véhicules-batiments- équipements) renforce la crédibilité de l'histoire. Pour les scénarii si les premiers tomes étaient brumeux et assez difficile à suivre les suivants atteignent le pendant d'un Tom Clancy en littérature. Déception pour l'espèce de dossier qu'est l album "mensonge" ou le même malaise est apparu chez moi que après la lecture, et surtout l'achat de l"enquête" pour XIII. Par contre pour le reste rien a redire...
Un must de série noir. Une de mes premières séries qui m'a fait découvrir et adopté le duo Le Saëc/Chauvel. Je ne met que 9/10 car le dessin est parfois... à la fois excellent et douteux. J'ai du mal le définir. Par contre le scénario constamment avec des destins qui se croisent est génial, absolument génial.
Une série à posséder absolument. Les deux premiers tomes ne sont pas pour moi les meilleurs et le dernier décline un peu. Toutefois le personnage est excellent les scénarii formidables.
Je rejoins mon prédécesseur pour dire du plus grand bien de cette agréable série.
Nous avons là un X-file (le bon, celui des 2-3 premières saisons...) en bd du meilleur cru. Les appareils et équipements réels sont excellemment dessinés et ceux créés ou imaginés à partir de données supposés (cf Aurora) tiennent la route. Le scénario et les personnages sont tout à fait corrects et le dessin rappelle le meilleur d Hubinon avant qu'il ne passe en mode automatique. A acheter en urgence et a recommander. La série précédente est sur ma liste du père noël.
La première fois que j'ai lu Fox One j'ai été soufflé. L'action est géniale, les appareils sont, pour un grand amateur d'aéronautique qu'est le rédacteur, dessinés à la perfection. Après quelques relectures je suis un peu plus mitigé. Certaines cases sont exactement la reproduction de photos réelles, ce qui pourraient ètre sympa en ajoutant plus de réaliste semble avoir été de la facilité. Qui plus est j'ai été surpris de retrouver une case identique à un album de Largo Winch du même éditeur (la case ou l'équipe de terros s'enfuit accroché à l'echelle d'un helico identique à celle ou Largo s'enfuit d'un chateau...). Pas mal de bricolage et un final douteux pour les puristes (un chasseur en mission anti-aérienne équipé de missiles de croisière air-sol...). Pour les deux épisodes suivants le réalisme des épisodes et le scénario est encore plus sujet a caution. Des détails d'un emmerdeur pointilleux peut être mais je crois pas que le genre s'adresse au grand public, donc assez gênant après analyse. Je conseillerai l'intégrale en occas...
Recueil de petites histoires assez inégales mais plutôt très originales. L'un des premiers albums de Ceppi.
Allez, on retente pour le passé de Ceppi.
Patatras ! C'est pas mieux.
L'auteur confond mystère et tarabiscotage, faux érotisme pseudo osé et libertinage. Dommage !
Un Ceppi, chouette !
Avec une série liée au monde trouble des affaires, de l'argent, du crime et du terrorisme. Rechouette !
Avec comme cadre une officine à la réputation sulfureuse : la Brigade des Enquêtes Réservées. Sûrement que du bonheur !
A l'arrivée quelle déception, quelle platitude !
Ou est passé le Ceppi de Corps Diplomatique ?
Un Scénario "novateur" servi par un dessin magnifique très détaillé.
Une BD de SF atypique, une sorte de "space opéra à l'envers": Une seule unité de lieu rassemblant tout un univers (et non l'inverse). C'est la principale originalité de cette série.
Des personnages bien développés, de la créativité, un univers cohérent qui prend forme : une BD à lire pour tout Bédéphile qui se respecte, vivement la suite.
Un avion est obligé de se crasher en pleine mer. Les rescapés atteignent une île des plus bizarres qui temoigne de la présence (statue gigantesque) de chevaliers du Moyen-Age alors que nous sommes en plein Océan Pacifique.
Avec cette BD parue en mini chapitres dans le journal de Tintin, le regretté Claude Auclair faisait une entrée remarquée
Une BD érotique des années 60 (comprenez assez déshabillée). Faite pour des potaches américains, cette BD est d'une loufoquerie digne d'Helzapoppin. Certain diront qu'il s'agit d'un grand n'importe quoi !
Peut-être, mais il s'agit d'un n'importe quoi voulu, agencé et finalement très drôle.
Nouvelles démélées d'Yvan avec Hagen de Malégante. Les dernières en fait. Cela suffisait largement.
Dans un Moyen-Age aux contours légèrement fantastiques, le chevalier Yvain est inquiet de voir que le corps d'Hagen de Malégante a été déterré. Véritable sortilège ou sombre machination ?
Ce petit album en N&B vaut surtout pour les dessins de Forton qui faisait alors un timide retour dans la BD européenne.
Nous sommes en Birmanie dans l'entre-deux-guerre. Vanlabecke est un Hollandais qui cherche à trafiquer tout ce qui est possible et imaginable. Abjecte de la tête aux pied, c'est l'homme qu'on adore détester.
Mais que cette bande est drôlatique, cynique, amorale et brutale. Même si la fin, tel un twist, renverse quelque peu les choses.
L'enquête se poursuit et mélange passé (la Renaissance en l'occurence) et époque moderne. De la belle ouvrage. On en redemande.
La fusion à froid est une chimère qui fait fantasmer nombre de scientifiques. Justement un groupe d'entre eux a connu de signalées avancées dans ce domaine. Or voilà que des tueurs cherchent à récupérer ce savoir quitte à renverser un peu de sang.
Qui ?
Des groupes pétroliers ? Des industries concurrentes ? Ou encore diverses factions politico-religieuses ?
Le génie de l'album est de mélanger tout cela avec une intrigue soutenue, un dessin prenant et des couleurs remarquables.
Nous voilà partis pour un cycle passionnant. Espérons qu'il ne se terminera pas en pantalonnade comme XIII par exemple.
Certes les histoires n'ont rien d'exceptionnel, mais les dessins de Toth sont, comme toujours remarquables. L'album repose sinon sur ses épaules au moins sur ses doigts experts.
Rudy Chance est un flic véreux, mauvais mari et pas très bon père. Après diverses aventures, il se retrouve dans le monde des morts, charge à lui de réparer quelques unes des erreurs passées. Un purgatoire en somme.
Un mélange de Ghost et de Beetlejuice.
Original tout de même et prenant. Le dessin y est fortement pour quelque chose.
Un accident d'avion a eu lieu. Le seul rescapé est poursuivi par des tueurs sans qu'il sache pourquoi. Au fur est à mesure, il s'aperçoit qu'il a de nouveaux "pouvoirs". Il ne s'agit pas de super-pouvoirs, mais des savoirs et des expertises de tous ceux qui sont morts dans l'avion.
En échange de ce "don", il doit régler toutes les situations restant pendantes de tout ceux qui sont passés de vie à trépas.
Car il semble bien que ces morts n'étaient pas "programmées"? C'est donc à Dane de rétablir l'équilibre, tout en évitant les hordes de tueurs lancés à ses trousses.
Vivement le 2ème album.
Dans un style évidemment différent de Buscema, Kirby donne une vraie puissance au Surfer. Néanmoins le "drame" Shalla-Bal étant vite évacué, l'histoire, me semble-t-il, perd un peu de son romantisme.
Malgré les épisodes avec Méphisto, malgré une aventure dessinée par Jack Kirby, cet album est en retrait. "Le jour du jugement", graphic novel de 1988, n'étant pas totalement convaincante.
Parmi les quelques pépites, on soulignera "l'assemblée des sorcières" -un classique- et le fameux affrontement du surfer avec le Hollandais Volant.
Ce volume reprend la fameuse histoire avec "l'héritier de Frankenstein" et du fameux "et qui le pleurera" dans lequel un noir, Al Harper, sauve le monde et en meurt.
Dans les années 60 et en pleine lutte pour l'égalité raciale, cette histoire était un témoignage militant. Cela valait bien un coup de chapeau.
Le Docteur Strange n'a pas été depuis 30 ans mon personnage favoris ni, au vu de son traitement, celui de sa maison d'édition. C'est donc après avoir feuilleté l'album que je l'ai acheté sur les dessins, très bon. Et l'histoire suit ! Marvel semble vouloir redonner une nouvelle vie au Doc (peut être un film en approche?). A voir si Panini aux parutions "fluctuantes". A se procurer ou a prendre en considération si vous êtes dans le doute.
Un parfum des années 60 pour l'éternité.
La continuation du tome 1 dans le même esprit, le même bonheur et le même humour, l'effet de surprise en moins.
Toute la vague de Pilote "le journal qui s'amuse à réfléchir est partie de là. De cette fusion entre Gotlib et Goscinny, de ces petits riens de la vie quotidienne tournés en poésie ou en dérision, celon les cas.
C'est tendre, drôle et grandissime.
Une excellente série noire. Un dessin excellent qui ne baisse pas en qualité au fil de la série comme on peut le constater ailleurs, un riche scénario. Vraiment du très bon. Et le second cycle semble continuer dans cette voie.
C'est mignon certes, mais cela n'est pas vraiment une BD (des dessins qui illustrent un texte) et reste strictement réservé aux moins de 10 ans ou aux chercheurs du CNRS.
Bon d'accord, Oumpah*pah passe pour le "petit frère" d'Astérix, oui bien sûr il y a la pâte et la patte de Goscinny, mais tout de même, si la bande n'est pas désagréable, elle n'a rien non plus de grandiose.
C'est donc pas mal. Sans + ni -.
La subversion de mon adolescence. Un monument de dérision ou d'humour caustique ou l'on ri tout le temps en se demandant si on ne doit pas s'en sentir coupable... Et en fait non !!! Abusez en !!! Sans modération.
Excellent. La simple perfection, dans le scénario, dans la narration particulière, le dénouement. Le dessin et les couleurs vont a merveille avec le scénario. Indispensable.
Du très bon ! Vraiment peu adepte de benoit Delépine dans ses autres activités je dois admettre qu'il a vraiment produit une bonne Bd en contactant un très bon dessinateur en la personne de Stan. Le futur très pessimiste est détaillé avec brio même si le manichéisme (les méchant ricains... les méchants riches... -je ne suis ni riche ni résident us-) peut être lourd. Les idées pour les gadgets ou la bande de pote du héros sont excellentes et le dénouement... génial.
Pas terrible. L'idée de scénario est bonne puisque elle ouvre une foule de possibilité. Le dessin est très inégal. Autant entre chaque dessinateur, mais aussi dans chaque histoire ce qui est plus embettant. Sympa sans plus.
Mike Magnola n'a jamais trouvé chez moi un grand admirateur. Fan inconditionnel du Batman j'ai donc choisi cette bd sur le personnage sans l'étudier auparavant... Et donc aïe... on ne peut pas dire a mon sens que cette épisode marquera l'histoire. Le scénario est moyen mais c'est souvent le cas quand ce personnage est confronté au surnaturel ou a la magie. Le travail avec le noir et blanc , j'apprécie toujours, mais là, est ce a mettre en rapport avec une sorte d'aversion pour le trait de Magnola ça n'accroche pas. A lire avant d'acheter, en occasion, ou pour compléter une collection comme l'auteur du présent avis.
Autant le dire, je suis un fanatique du travail 'Alex Ross, cela corrigera ou excusera peut être auprès du lecteur de ce commentaire un avis dithyrambique. Le dessin proche de la photographie comme toujours avec Ross donne l'impression suit les aventures de personnages vivants. Le scénario peut être simpliste dans le fond (tous les méchants contre tous les gentils) permet de faire apparaître l'ensemble des héros de chez DC pour notre plus grand plaisir. L'ensemble est orchestré avec brio. Vraiment un must.
Un premier album prometteur mais qui présente encore une belle marge de progression tant au niveau du scénario que du dessin. L'humour est déjà bien présent mais pas totalement exploité du fait de la quasi absence d'Obélix qui s'affirmera dans les albums suivants.
Cette série est une de mes préférées. Le dessin clair correspond parfaitement a l'époque traitée avec une réelle minutie dans les détails des véhicules ou des batiments. Les personnages sont tous dotés d une psychologie particulière qui renforce l'histoire. Un indispensable.
Cette série est comme certain téléfilms policiers de seconde partie de soirée, rien d'exceptionnel mais un agréable moment. Les dessins sont tout a fait adapté a l'ambiance de l'histoire, le milieu d'une petite ville de province américaine est très bien retranscrit . Les fausses pistes et les rebondissements maintiennent l'intérêt sur les trois tomes. Vraiment bon.
Déception. Au risque de répéter la bonne chronique posté plus haut la série perd manifestement de sa qualité. Le scénario à mon sens s'enlise et le dessin est en chute libre. Les riches décors du premier tome sont remplacé par des égouts et la qualité des personnages diminue également. A voir pour le final, mais avec des doutes.
Spécial. L'ambiance particulière et oppressante de l'histoire est renforcée par le dessin. Effectivement le scénario est brumeux et le dénouement laisse un peu perplexe pourtant j'ai passé et je n'hésite pas à repasser de bon moment a la lecture de ces albums. A conseiller.
Enfin cette série s'achève et il était grand temps. Des personnages ressuscités une énième fois, un personnage principal qui est plus spectateur qu' autre chose, une action absente ou absurde quand les deux groupes de tueurs se rencontrent et surtout de la pub pour les autres albums incrustée 6 ou 7 fois. L'overdose qui m'a fait me séparer de tout ce qui a été produit aprés Le Jugement.
Pour avoir fait expertiser le mien il y a peu, il n'en existe quasiment plus d'exemplaires.
En fait, la personne a qui je l'ai montré m'a simplement dit : "c'est comme le monstre du Loch- Ness, on nous en parlé mais on ne l'avait jamais vu !"
Malheureusement, l'usure du temps, 4 enfants et 15 petits-enfants l'ont sérieusement endommagé. Toutes les pages sont encore en place mais elles sont assez abîmées.
J'ai demandé si ça valait la peine de le faire restaurer mais l'expert en question m'a dit que ça lui ferait perdre toute sa valeur.
Il s'agit ici d'une oeuvre magistrale à mon avis.
Une vraie BD de science-fiction alors que l'Europe sortait à peine de la guerre !!
Dans ces années qui ont suivi la révolution d'Octobre, un grand foutoir (c'est le moins qu'on puisse dire) a existé aux confins de l'Empire entre les armées rouges, blanches, étrangères et ceux qui essayaient de tirer leur épingle du jeu à leur profit.
Micheluzzi qui a mis l'un de ses héros, Rosso Stenton, dans cette région et à cette époque, signe ici un shot magnifique.
Tant au nveau du dessin , mais c'est une constante chez lui, qu'au niveau u scénario, désabusé.
C'est à se demander, et bien que les histoires soient différentes, si Hugo Pratt n'avait pas lu cette BD avant d'emmener son Corto en Sibérie.
La contre révolution blanche a suscité pas mal de personnages hors du commun. Crisse, dont le dessin est toujours aussi magnifique, s'attache à faire revivre une épopée qui partait de nulle part pour y retourner.
Une BD fort plaisante.
Plus que la BD elle-même, au demeurant somptueusement mise en scène par Crisse et Natacha, c'est le parfum de cette lutte vaine et désespérée que l'on retiendra. Avec la sauvagerie qui va avec. Un petit album méconnu mais qui vaut largement le détour.
Nous sommes cette fois-ci revenus à l'époque romaine faire un tour en Calédonie (l'Ecosse d'alors). Une troupe de soldats romains part chercher dieu sait quoi et se massacrer en cours de route.
Depuis "Alien", le cinéma US nous ressort de ces histoires à la pelle; lesquelles provoquent le plus souvent un départ précipité (d'ennui et non de peur) ou un baillement poli.
L'énergie dépensée par les auteurs de ette BD nous la font ranger dans la deuxième catégorie.
Cette histoire de sous marin disparu mais baladeur dans les froidures de l'Arctique est des plus intrigante. La présence d'un pope spécialiste du slavon fait penser au film la forteresse noire mais le tout est inimitable.
Visiblement le récit s'enchasse dans une série ambitieuse. A voir.
Faire de Dumas, Nodier et Nerval des héros de BD est une bonne idée. Les mettre en contact avec des créatures spectrales mal définies en est une autre.
Pour autant si le scénario pose plein de questions, il n'y répond pas.
Mise en place des personnages et de l'intrigue répondra-t-on.
Certes mais on court aussi le risque de l'hyperbole mal contenue qui pourrait se terminer en déception.
Les albums suivants permettront de se faire une idée plus avisée.
Des dessins parfaits .
Les couleurs magnifiques .
Histoire bien construite ..
Des textes dignes d'une fine plume .
A quand le tome numéro 2 ?
Commentaire trés subjectifs car découvert enfant (il y a + de 25 ans chez mes grands parents) et forcément teinté d'affection. Toutefois Casterman avait produit une parodie d'un célèbre agent secret ou le dessin, les dialogues et les scénarios délirants --un dictateur d amérique du sud installe un rideau de vert (catus géants) entre deux pays ou Steve est pourchassé car il a avalé par gourmandise des plans ultra secret-- concourent à passer un agréable moment avec ces deux tomes.
A ne pas hésiter si par bonheur vous le découvrez en occasion.
Assez inégale, mais une très bonne idée de départ, imaginée par Straczinsky :
étudier les différentes étapes qui constituent le deuil à travers le regard de
plusieurs super-héros sur la mort de Captain America. Ces étapes sont le
refus, la colère, le marchandage (dans le sens où on essaye de remplacer la
personne morte par une autre), la dépression et enfin l'acceptation. Autant de
passages du deuil qui donnent lieu pour chacun d'eux à un chapitre de ce
recueil. Au final ce ne sera pas Straczinsky qui se collera au scenario de ce
récit mais Jeph Loeb (qui a perdu son fils il y a 2 ans de cela) tandis que les
dessins sont confiés tour à tour à Lenil Yu, Ed McGuinness, John Romita Jr.,
David Finch, et John Cassaday.
Mais, comme je le disais plus haut, c'est assez inégale, et si on a le droit à de
très bons passages (l'enterrement par exemple, ou encore d'un point de vue
graphique l'épisode de Finch qui est vraiment époustouflant) il y en a d'autres
qui semblent presque inutiles (comme le combat entre les Puissants Vengeurs
et le Requin-Tigre). Mais bon, les premiers priment sur les seconds donc au
final je ne dirai qu'une chose : c'est franchement pas mal.
La pire des daubes ! Où les auteurs ont particulièrement apprécié Hard Boiled de miller pour le dessin et Carmen Mac Callum cycle 1 pour le scénario. 2000 exemplaires vendus au total auprés d'aventuriers comme le présent rédacteur. Pas de tome 2...peut être a cause d'un procès pour plagiat ? A offrir a qqu'un que l on aime pas. Ou pour caler un meuble bancale...
Excellent. Warren ellis et ben Templesmith ont produit un trés bon comics. Le dessin colle absolument à l'ambiance glauque de cette ville damnée, les personnages sont tous quelque part inquiétants, et l on hésite toujours lors de la résolution des problèmes entre une explication rationnelle (le talent de l'inspecteur) ou fantastique (intervention de la magie ou des esprits). A recommander.
Grosse déception. Acheté sur le nom du scénariste et un coup d oeil rapide au dessin, séduisant aux premiers abords; grosse déconvenue. Un scénario plus que gentillet dégoulinant de bon sentiment et des scènes d actions... impressionnantes (un convois de la denrée la plus chère gardés par DEUX gardes, un avion abattu par un parachute...). Aussitôt lu, aussitôt revendu.
Les quelques planches dessinées par Buscema affadissent complètement le reste du bouquin dû à Barry Smith.
Enfin, on allait vraiment pénétrer de plein pied dans le mythe le vrai. Mais depuis septembre 2005, plus rien.
Les amateurs ou les impatients n'ont pas manqué de se retourner vers la réédition américaine assurée par Dark Comics.
Même recette que les précédents avec des histoires qui globalement fonctionnent mieux. A noter que deux épisodes sont dessinés par Gil Kane.
Incontestablement du mieux par rapport au 1er volume. Thomas tire ieux parti du monde hyperboréen, le dessin de Barry Smith est davantage assuré.
Mais vis à vis de ce que fera Buscema (je sais, j'insiste !) on est loin du compte.
Le problème de cet album est qu'il ne peut empêcher de faire la comparaison avec les histoires dessinées par John Buscema.
Non pas que Barry Windsor Smith soit un mauvais dessinateur, loin de là, mais il n'est quand même pas à la hauteur de Big John.
Quant au scénario, on dira poliment que Roy Thomas en peaufinera de bien meilleurs par la suite, qu'il fait là son apprentissage et que le tout est une bonne idée de publier les histoires de Conan en français dans l'ordre où elles étaient parues Outre-Atlantique.
Ça y est voyant sans doute que les courbes de vente du comics plongeaient, les éditeurs ont décidé de faire une tour à Pellucidar. Mais c'est tellement bien fait et tellement crédible qu'on se croirait sur la planète de Peter Pan, avec con coin aux Pirates, aux Peaux-Rouges, etc.
Mieux on a l'impression d'être à Disneyland.
Les lecteurs américains ont mis les pouces; nous aussi.
Tarzan méritait mieux que cela et les lecteurs aussi.
Le 2ème tome offre le même lanque d'imagination que le premier. Tout juste notera-t-on à la fin la présence d'Abdulharazad, un adversaire à la hauteur de Tarzan.
Allier le mythe de Tarzan à la puissance du pinceau de John Buscema , en voilà une bonne idée. Surtout quand la plume est tenue par Roy Thomas.
Oui mais voilà, les deux premières aventures (c'est un recueil du comics américain) sont affligeantes de médiocrité (je ne parle évidemment pas du dessin) puisqu'on a droit à un Tarzan qui se mesure à un lion ou un gorille ... oh surpise !
"L'autel du Dieu Ardent" est déjà plus conforme à ce que l'on attendait mais la suite retombe dans le manque d'originalité totale. On aurait aimé que Buscema nous entraîne dans le monde de Pal U Don, Pellucidar ou Ophir.
Niente ou presque.
Comme disent nos amis shakespeariens : Much ado about nothing
Lefran exhume quelques courtes histoires parues dans Pilote. A vrai dire, elles ne fonctionnent pas toutes très bien.
Reprise de vieilles bandes parues en N&B dans Pilote. Une Madeleine pour les anciens, un agréable divertissement pour les autres; encore que l'irruption des Jurassic Park ait rendu tout cela un peu plat.
L'histoire d'un mégalo frappadingue qui veut revivre sous le temps des romains ... avec quelques aménagements bien sûr. Mais pour Bob Morane l'ère des empereurs est terminée.
En vérité assez peu palpitant. Une pièce de collection sûrement mais d'un intérêt diffus quant à l'histoire.
Les inconditionnels de Bob Morane apprécieront, les autres sur un sujet similaire préféreront Tiger Joe.
Ue bande d'une qualité honnête. D'une manière générale plus lâge du lecteur descend plus l'intérêt grandit.
Cette histoire de satellite dans la jungle amazonienne a été vue, revue et rerevue. Comme les autres aventures de Morane direz-vous ? Oui, mais les autres ont souvent (pas toujours) un petit quelque chose de plus absent ici.