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Ce second album est moins fort que le premier. Il commence par une remise en ordre de la colonie pénitentière. Mais les bagnards révoltés et menés de main de maître (pas de spoiler !) vont tenter de retourner la situation.
Très intéressant album de transition mais sans la magie du premier.
A propos le doute est levé quant à la date du récit : 1946
Un jeune journaliste, Dorian Dombre, arrive au bagne pour un "papier".
Avec la complicité du directeur du bagne, il se fait passer pour un condamné et commence son enquête.
Un peur chef d'oeuvre narratif, simple, clair mais intrigant.
Un dessin classique mais parfait.
Un modèle !
Un simple exemple : impossible de déterminer le lieu géographique du bagne. Nous sommes sous les tropiques (ou pas loin) certes mais où ?
En Guyane ? En Indochine ? En Nouvelle-Calédonie ?
Certains détails narratifs ou dans le dessin renforcent ou trahissent tour à tour telle ou telle piste.
Et l'époque là encore, on pense d'abord à la fin de la 1ère Guerre Mondiale du fait de l'Histoire (la Grande) mais on est peu après démenti par les costumes ou les véhicules qui font plutôt penser à l'après 2ème Guerre Mondiale.
En fait, les auteurs ont fait LE bagne dans son archértype et son intemporalité.
Chapeau !
Ce n'est que du pur bonheur que de lire philemon , du reve tout éveillé , je posséde la collection compléte , je les lis depuis l'age de 17 ans , j'ai 45 ans et je prends toujours le meme plaisir de les relires , maintenant mon fils prend la reléve.............
Dénouement final pour nos protagonistes de la Commune. La repression s'abat sur les derniers Communeux. Grondin, Tarpagnan, la Pucci, l'inspecteur Barthelemy, Ziquet et les autres tentent de s'en sortir comme ils peuvent.
Vautrin et Tardi ont signé avec ce Cri du Peuple une oeuvre magistrale de la bande dessinée.
Le succès -mérité- de la parodie de "Natacha, hôtesse de l'air" avec "Nathalie, la petite hôtesse" donnait de multiples envies dont celle de remettre le couvert.
Voici donc Magali !
Seulement le côté parodique a disparu et l'humour devient bien poussif. Ça n'est pas mauvais mais cela n'a rien de grandiose.
Une lecture agréable qui n'engendrera pas de trémolos dans la voix.
Si vous avez aimé...
... the three amigos
... les Nuls
... Dodgeball
procurez vous cette BD car vous allez adorer Ran Corvo !
Une parodie de la BD Natacha. C'est coquin et drôle.
Excellent 5ème tome.
Le deuxième cycle commence aussi bien que le 1er avait fini. Les dessins de Lidwine n'ont rien à envier à ceux de Loisel, la mise en couleur est parfaite!!
Quant au scénario et aux dialogues, il n'y a que du bon! De l'émotion, de l'amitié, des aventures, tout est parfaitement dosé dans cette bd. Vivement la suite!!
Cosey redresse vertigineusement la barre dans ce second tome. Ainsi donc, le premier opus n'était qu'une intro (un peu longuette quand même) et là, feu d'artifice.
Sauf que la très hollywoodienne fin qui sacrifie au happy ending a fait chuté mon enthousiasme.
De 2 choses l'une, ou bien Cosey est touché par la grâce de croire à ce que Verdi aurait pu appeler "la force du destin", auquel cas il a bien de la chance, ou bien il n'a pas mangé que de la tsampa !
Un grand moment quand même !!
Suite de la saga mais cette fois nous revenons sur Terre. Les sous-jacents politico-religieux du précédent tome sont davantage développés et l'intrigue est également un peu plus complexe -elle reste tout de même linéaire.
Petit détail désagréable, cette histoire est sensée avoir une suite. Laquelle n'est bien sûr jamais parue !
Curieux monde que celui présenté dans cet album. Il fait penser à un univers steam punk, mais sans vapeur, avec des costumes qui prennent également modèle sur ceux de la période romantique mais pas seulement. Bref, une histoire qui fourmille de petits détails déconcertants excellement mis en valeur par Rotundo.
L'histoire en soi est assez classique. Un officier de la planète Mars, qui ressemble étrangement à Napoléon, prend le pouvoir et proclame l'indépendance vis à vis de la Terre.
En réaction, celle-ci envoie son meilleur tueur sur place.
On le voit du classique, mais ce qui fait l'unicité de cette oeuvre réside dans les détails de la vie quotidienne, dans la mythologie créée (par Boulgakov !) et par un certain cynisme de bon aloi.
Relu quinze ans plus tard, la poésie demeure mais les manques de l'histoire sont plus flagrants. Le récit de Luna ne manque pas de finesse et de poésie, en effet, et cela donne un grand charme à ces historiettes de gentil looser qui s'habille comme Bogart, prétend vivre de ses enquêtes de détective privé mais cède souvent (et naïvement) devant des personnes qui lui expliquent simplement la difficulté de leur situation. Mais il manque plusieurs histoires pour compléter ce qui apparaît un peu trop court. On comprend bien que la "source de la nuit", qui ouvre le récit, est surtout un fantasme d'enquête, mais l'ensemble laisse un goût d'inachevé.
Le dessin de Prado fait merveille, il campe un monde un peu tordu (à l'image des immeubles façon tour de Pise) et poétique, loin de l'acidité qui caractérise la série des Chroniques absurdes. On se plaît à rêver d'un Prado ayant collaboré plus longuement avec Luna...
La Commune se meurt et agonise face aux assauts des "Versaillais" de Thiers. Dans ce Paris assiégé, en proie à une guerre urbaine, nos héros font face à leur destin ou à leur passé et semblent voués à une mort certaine.
Fin de cette formidable série dans le quatrième et prochain album qui levera le voile sur de nombreuses interrogations.
Série très intéressante (voir les autres avis concernant le scénario). Cependant, ce qui m'a également marqué dans cette série et qui, je trouve, n'a pas été vraiment mis en valeur dans les avis précédents, ce sont la richesse et la grande qualité des dessins: très bon découpage, très bonne recherche graphique en ce qui concerne les monuments, les véhicules d'un futur proche (2040), couleurs très agréables et SURTOUT des cases bien remplies avec (toujours) de l'action en 2ème plan ( 10/10 Monsieur Mallié !!!). Le 2ème tome est peut-être le moins réussi. Certes pas un chef d'oeuvre, cependant une BD d'une grande qualité...
Ce troisième tome nous plonge en pleine Atlantide, où les intrigues reprennent de plus bel. Un fantastique décor créé par l'auteur nous emène dans les méandres du pouvoir, malgré la perfection quiu avait été voulu par les lois fondatrices mêmes de l'Atlantide. Tout serait basé sur la sagesse, mais l'homme est cupide et assoifé de pouvoir... Encore une belle théorie philosophique appliqué dans un livre ma foi palpitant, passionnant et avec un coup de crayon encore plus évolué que dans les deux précédents livres... Oeuvre à posséder, à lire et relire...
La fin intrigante qui appelle une suite change l'avis que l'on peut avoir sur cet album.
Le dessin, des plus classiques, est clair (comme la ligne !) mais pas "bouleversifiant". Quant à l'histoire, ça trainaille un peu. Et pourtant le thème (espionnage), l'époque (début des années 60) et le lieu (Allemagne) étaient certainement des choix gagnants.
J'attends la suite pour me faire une meilleure idée.
Bel album. Moi qui ne suis pas un fan des dessins de Fuente, je le trouve dans ce cas coller très bien à l'histoire. Du souffle, de l'aventure, que demander de plus ?
Tout simplement excellent !!!
Si j'avais eu le temps j'aurais tout lu d'un coup tellement l'histoire est captivante et instructive.
A lire ABSOLUMENT !
Mariée à un monsieur qui n'est pas de son âge, Marie-Jade rêve des choses très polissonnes mais la mettent un peu mal à l'aise à son réveil.
Plus qu'un livre érotique, d'ailleurs très sage, il s'agit d'un recueil de petites histoires au ton ironique.
Un excellent dessin, d'excellents moments donc une excellente lecture.
Ce hors-série est tout simplement génial.
Les dessins sont époustouflants de détails, l'histoire est prenante, et on découvre tous les personnages qui ont "fait" le commissariat 10.
Pour tous ceux qui ont un parent âgé qui commence à dégénérer ou se trouve en
état de sénélité, ce one shot devient très émotif.
Les planches sont très belles et malgré la simplicité tout s'y trouve et l'émotion se
trouve au bout du trait, du crayon.
Les dernières pages sont majestueuses et démontrent avec une légère morale
non contraignante qu'on a toujours besoin de quelqu'un d'autre.
Bravo, du bon travail!
Quitte à passer pour un vilain petit canard, je ne partage pas l'avis des autres chroniqueurs.
Si le dessin de Cosey est toujours envoûtant, je trouve son intrigue des plus minces. On est loin, très loin du Cosey de "Peter Pan", de plusieurs épisodes de "Jonathan" et je ne parle même pas des autres perles parues chez Aire Libre.
Oui, bien sûr, c'est à lire. Oui, bien sûr, j'acheterai le second tome; mais non cet album là n'est pas le chef d'oeuvre du maître suisse.
Un "brave" flic condamné par la médecine venge la mort violent de sa fille en exécutant ceux qui ont trempé dans l'assassinat.
Ceci lui vaut de se retrouver en prison, où ni les gardiens, ni les prisonniers ne le portent dans leur coeur.
Recueil de 4 histoires, violentes et d'un goût tout à fait discutable sauf la dernière qui cynique à souhait est d'une grande réjouissance.
Cela ne suffit pas à sauver ce livre.
Suite des aventures de la belle strip teaseuse.
On pouvait penser -espéreren tout cas- que les auteurs sauraient donner un minimum de souffle à l'histoire, notamment par le biais de l'intrigue policière.
Ce n'est pas le cas, l'album étant une resucée (si l'on peut dire) du premier tome.
Pas un gros intérêt.
Omaha, jeune et jolie strip teaseuse, se retrouve au chômage parce que le maire de la ville a décidé de la rendre propre. Et si cela cachait une manipulation ?
Cette bande est typique de l'undeground (bon chic, bon genre quand même !) qui existait aux USA dans le courant des années 80 et à ce titre, elle est emblématique.
Inutile de dire que le choix de mettre des animaux en scène, particulièrement l'héroïne qui est une chatte doit beaucoup à Crumb.
Mais Crum avait un vrai pouvoir de contestation.
Ici on retrouve certes du sexe et une vague intrigue policière, mais rien de choquant ni de révolutionnaire.
A prendre comme un témoignage.
Je crois que la note que j'ai mis reflète assez bien mon état d'esprit aprés l'avoir lu.
Un chef d'oeuvre tout simplement.
L'instrigue et l'atmosphère sont trés travaillées, et c'est un plaisir de lire une BD aussi... parfaite.
Evidemment je conseille à tous, amateur ou non du genre.
Il ne s'agit pas d'une BD mais d'un recueil de cartoons publiés dans la presse américaine aux débuts des années 70.
Les dessins particulièrement quand ils traitent de la guerre ou de l'écologie paraissent avoir été faits hier tant ils demeurent fort et tant les problèmes n'ont finalement pas changé. A moins que Cobb ne soit un visionnaire.
Faut-il préciser qu'il n'est pas de sensibilité "bushienne" ?
Un espoir immense s'est levé et la Commune s'organise à Paris face aux Versaillais de Thiers. Le capitaine Tarpagnan recherche sa belle qui est entre les mains de La Joncaille, Grondin se remet de son agression et les barricades se dressent un peu partout. Tout cela dans le Paris insurrectionnel de 1871 magnifiquement raconté par Vautrin et dessiné par Tardi.
Une série de fausses couvertures de Life. Ce magazine américain d'actualités-aujourd'hui disparu- faisait une très large place aux photos.
Floc'h s'ancre (et s'encre !) dans la période d'or de la revue : celle du N&B.
A noter qu'au moins une sérigraphie fut tirée (celle d'Hitchcock !) du fascicule.
Une superbe histoire ayant pour cadre le Tibet face à l'oppression chinoise.
Néanmoins, le ressort de l'intrigue ne se limite pas à l'opposition classique Chine/Tibet puisqu'il est question d'un manuscrit laissant entendre que Jésus aurait séjourné au Tibet.
On ne sait rien en effet sur la vie du Christ entre 15 et 30 ans. Le postulat du livre part de ce hiatus et reprend certaines théories pour qui Jésus paracheva son education philosophique et religieuse aux Indes et au Tibet.
Ce premier tome au scénario intrigant et aux excellents dessins donnent hâte de connaître la suite
Suite mais pas fin de cette intéressante aventure.
Gordon va chercher à libérer son frère, prisonnier des Anglais. Pour cela, il se jette dans la gueule du loup.
On n'en saura pas plus car malgré ces passionantes péripéties, la série est restée en rade.
Quand reverrons-nous donc le clan Mackenzie ?
Les occasions de lire une bonne BD d'aventures ne sont pas si fréquentes qu'on puisse ne pas les saluer. Que ces BD se passent en Ecosse à l'époque des presque derniers soubresauts contre l'Angleterre est encore mieux.
Certes l'histoire est classique, tout autant que le dessin. Cette intrigue de 2 clans qui se haïssent et dont l'un trahit au profit des Anglais tandis que l'autre lutte our l'indépendance n'est certes pas d'une folle originalité.
Pas plus que les traditionnelles jeunes femmes prises dans ce piège à la Montaigu/Capulet.
Mais la mayonnaise prend bien, malgré un dessin parfois un peu figé (les crayonnés du supplément sont plus intéressants).
Pfou... J'avais commencé la série, pour constaté que le dessin n'évolue pas alors que je le trouvais plus que moyen au départ. Le scénario est aussi sinueux qu'une route montagne Corse et devient franchement lour sur 7 tomes. Le coup des experiences génétiques dans la zone avec le monstre vert d' S.O.S. fantome dans un bocal...Hi hi. Tout revendu.
Critique pour les 3 volumes. Agréable. J'ai bien aimé le scénario amérique profond avec cadavre dans les placards des familles. Le dessin est plus que correct, trés détaillés ce qui est toujours pour moi une qualité. Comme dis par d'autres, pas la meilleure bd au monde mais supérieure à d'autres qui sont moins poussée par la pub.
Par le ton du dessin et l'esprit de l'histoire nous sommes dans une série proche d'Astérix. Ce n'est pas détestable mais le génie de Goscinny est complètement absent. Du coup la série a été abandonnée illico presto en France alors que "Peer" (puisque tel est son nom dans la version originale) a trouvé davantage de public aux Pays-Bas et en Allemagne.
C'est dommage car c'était l'occasion de (re)découvrir le talent d'un grand dessinateur, Dick Matena, l'un des rares a être aussi à l'aise dans le genre réaliste que dans le genre comique.
Il ne s'agit pas d'une BD mais d'un roman, très coquin (cochon même pourrait-on dire) illustré par Varenne.
Pour ceux qui apprécient à la fois ce genre et les dessins de Varenne, cet opus est une pièce délectable. Les autres jugeront cela mal dessiné et pas de bon goût. Je fais plutôt partie du premier camp.
Pas vraiment une BD puisqu'il s'agit d'une histoire dans laquelle le lecteur doit régulièrement choisir diverses solutions. Selon sa réponse, il est orienté sur telle ou telle page, poursuit son aventure ou se fait tuer (les dents et l'estomac d'un animal préhistorique font partie des fins possibles).
C'est en fait le CD Rom du pauvre, d'autant qu'à l'époque les jeux sur PC est encore (assez) rares et rudimentaires.
On ne peut pas sortir indemne de la lecture de cette trilogie et de cet épisode en particulier. Il semble évident que les 13 années écoulées depuis le tome 1 étaient nécessaires à un tel dénouement. Manon, Anna, Buggy et papa Célestin sont pris dans la tourmente destructrice pressentie dans le tome précédent. Les planches sont d'une rare beauté, elles nous atteignent en plein coeur comme autant d'éclats d'obus et bouleversent notre confort de lecteur. Les couleurs, les regards, la quête d'Anna nous entraînent au bord de l'asphixie dans ce no man's land où elle retrouve Célestin et paradoxallement la force de vivre. Oui zoo est une oeuvre majeure, une sorte de drame en image, une allégorie, un hymne à la vie... un vrai trésor.
L'ambiance et le scénario du premier tome est génial. Je me suis un peu plus ennuyé dans les suivants. J'ai eu du mal a suivre qui faisait quoi. L'histoire part en vrille a mon sens, les incohérence sont nombreuses dans le dessins (intérieur du sous marin cathédralesque, perso avec des raybans dans le S-M !!!) qui pompent un peu sur le photocopiage pour les personnages (spéciale dédicace Stargate SG-1). Par contre les décors et le temple sont superbe. Un bon moment quand même
Pas terrible du tout. L'impression d'un remix de Sanctuaire des mêmes auteurs avec encore plus d'impression négative. Les décors sont déserts pour donner une impression angoissante ? Ok. Les incohérence dans le dessin des persos ou du matos ? là je vois moins. Ambiance Urss+fantastique dans une casemate, remarque on avait ambiance Us+fantastique dans un sous-marin/grotte dans Sanctuaire, on sera pas surpris. Le récit est pénible à lire. Et a part voir l'aspect esthétique de ce qui tue tout ce qui approche de la zone je me suis pas senti accroché par l'histoire... Aucune envie de continuer.
Une autre merveille d'Alex Ross cette fois sur un autre géant de DC, Captain Marvel. Les illustrations, plus que du dessin sont toujours aussi fabuleuses. Le scénario m'a un peu moins satisfait d'ou la note de 8/10 mais celà est sans doute influencé par le peu d'attrait qu'a pour moi ce personnage dans ma collection.
On retrouve Théodore sur le Marie Vérité, accompagné de Novembre toujours aussi cynique et brutal. POUSSIN donne l'impression de vivre les évènements comme un spectateur, d'être le miroir où se reflètent les émotions de ses contemporains. Il possède la force tranquille des gens qui s'adaptent. Une force finalement bien supérieure à celle de Georges Town le capitaine des pirates, déjà croisé dans "le voleur d'archipels". Cet aventurier sans scrupules homme fort par excellence lui confie ses secrets et lui demande sous forme de pardon implicite la signification de sa vie... Tout cela sous fond de chasse au trésor et de mutinerie. Du grand LE GALL...
La guerre 14-18 transposé en space opéra sauce steam-punk. La simple lecture de la dernière phrase résume l'impression confuse qui ressort des albums. Avec un style Manga prononcé, surtout pour les persos. Vraiment pas convaincu, j'ai arrété après les deux premiers tomes, gentillement repris en occas' par un libraire pourtant peu emballé par la transaction.
Ce premier album est un véritable chef d'oeuvre esthétique et littéraire, orchestré de main de maître par Vautrin au scénario et Tardi au dessin.
Dans le Paris de 1871, où la révolte de la Commune commence à gronder, de nombreux personnages nous sont présentés : le mystérieux inspecteur Grondin, l'opportuniste Fil-de-fer, le capitaine Tarpagnan... Le scénario fait aussi intervenir quelques grandes figures de la Commune tels que Jules Vallès et Gustave Courbet.
Bref, Vautrin, allie à merveille l'histoire de la Commune et intrigue romanesque, le tout évoluant dans le monde merveilleux de Jacques Tardi très justement récompensé au festival d'Angoulême.
Cela reste égal à lui-même, on a du mal à comprendre ce qui se passe, les monstres sont toujours aussi hideux et l'histoire est abracadabrante mais on suit toujours par nostalgie du plaisir qu'on avait eu à lire les premiers Lanfeust.
Et c'est quand même vachement bien dessiné !
Valable pour les 2 tomes.
Gentille et fidèle adaptation du fameux roman de Conan Doyle. On passe un bon moment; de là à dire que c'est le chef d'oeuvre de la décennie...
Un peu moins réussit que le premier tome au niveau de la luminosité des dessins (pont fort du premier tome), mais plus approfondit au niveau du scénario qui rebondit là où ne l'attendait pas ! Une excellente série dans l'ensemble, je garde néanmoins la nostalgie des décors du premier album.
Album lumineux, scénario intéressant et original mais les points forts sont indéniablement les dessins et les couleurs qui sont admirables. Les personnages sont charismatiques et les paysages grandioses. A découvrir !
Une petite fille orpheline élevée par des moines, les grands espaces enneigés du Tibet, des batailles acharnés... Une aventure très prenante, bien dessinée et au scénario prometteur. Les 3 albums sont de qualité équivalente. La suite se fait attendre !
Le plus faible de la série. On pourrait intituler cela la rédemption par l'amour. Pas très crédible.
Suite et fin (enfin presque) de la saga. Lambert va chercher à se venger et mettre à bas les organisations concurrentes. Dans le même temps les services secrets dépêchent sur place une soi-disante journaliste pour savoir qui a récupéré la délicate cargaison.
Le dessin de Schulteiss est moins travaillé que dans l'album précédent mais l'histoire garde les mêmes caractéristiques : sexe et violence.
Cette bande ultra sexuée et ultra violente raconte l'émergence d'un chef de gang à Lagos (Nigéria). Patrick Lambert qui a échoué dans la région sans qu'on sache trop pourquoi se met en cheville, après quelques péripéties, avec une bande de pirates.
Ils réussissent à s'emparer d'une cargaison ultra-sensible mais se font doubler par des gangs plus puissants. La tension va alors monter d'un cran.
Que dire de cette BD ?
Intéressante sûrement, politiquement incorrecte encore plus.
Qui plus est le dessin de Schulteiss ne plaira pas à tous.
Critique pour l'ensemble de la série et surtout son évolution. Les dessins me semblent, même s'ils restent bons, décliner; moins de détails (les steppes d'asie centrale ou l'espace c'est sympa mais c'est assez vide...), gadget véhicules moins fouillés... mais je le redis ca reste bon.
Le scénario par contre. Loin de moins de proner,d' encourager, de faire la publicité ou l'apologie d'idéologies nauséeuses que je combat au quotidien mais j'ai de plus en plus l'impression de lire un tract gauchiste crypté.
J'explique : ceux qui ont des sous sont des méchants, les différents sont gentils, dans la brousse le sauvage est pas celui qu'on croit, les sociétés industrielles exploitent tout le monde au mépris de la vie surtout les méchants marchands d'armes... Ca devient lourd. Surtout que l'héroïne fait pas dans le détail ne résolvant pas les problèmes en s'asseyant autour d'une table.
On ne lis pas ce genre de Bd pour le coté politique ? Ok ! Exact !
Alors pourquoi le monologue (posthume ! pour le pathos) de fin du tôme 8 ? Et tous ces bons sentiments pour des auteurs Delcourt qui est pas vraiment la petite boite de quartier, merci ! De plus en plus plus l'impression de se faire prendre pour un môme ou un lecteur de Libération.
Hé les auteurs... moins de manichéîsme a deux balles et j'aurai pas d'amertume à vous filer DOUZES € pour vos productions.
Signé Le Spectre, un mec mais alors vraiment a l'opposé d'un fachiste
L'étalon-mètre du nanar !
Un mal mystérieux décime les voyageurs en partance de Caraïbos, république indéterminée des Antilles.
Les services secrets du monde entier sont sur les dents. Les Américains se reconnaissent facilement à leurs chapeaux de gangsters, les Russes sont un poil plus discrets. Rien ne nous est épargné, ni les savants fous nazis, ni les zombies, ni tous les tous les clichés habituels.
Ah si, ils manquent les vampires, question de climat sans doute !
L'une de mes BD culte, du grand Van Hamme ! Une fiction futuriste qui commence à dater (le scénario date de 1980), mais toujours d'actualité près de trente ans après. Ce "bonheur" partagé par les protagonistes de l'album est à porté de nous aujourd'hui, ces 6 récits indépendants les uns des autres rassemblés par la 7 ème partie font froid dans le dos. La "LIBERTE", est le cœur de cet album tristement réaliste. Dommage que la colorisation ne soit pas à la hauteur du scénario et des dessins. Cette BD fait réfléchir et laisse un arrière goût amer (mélange d’angoisse et de pessimisme). Un prodige !
Pour les 2 volumes. Assez inégal. Certains récits sont très bons d'autres sont pour moi du fouttage de gueule (la recette de cuisine ou le duel amélioré dans le desert). A lire quand on aime l'univers en question. De là à acheter...
Un bon dérivée de Travis. l'univers virtuel permet au dessinateur de varié les styles graphiques et c'est vraiment trés plaisant.
Le scénario tient la route et est assez divertissant. Un bon moment, supérieur au niveau actuel de la série originale.
Ou comment une série se XIIIsifie... Un bon départ et un declin de plus en plus prononcé. De la photocopie pour faire tourner les planches a billets. On tourne en rond avec une intrigue qui rebondis comme une balle que l'on a relachée, de moins en moins haut, de moins en moins fort et allant dans n'importe qu'elle direction. Quant au dessin, prendre quatre album différent dans la continuité de la série et comparer, cela parle de soi-même.
Avis pour les deux albums. Le travail en noir et blanc m'est toujours agréable et il est ici très bien effectué. Par contre pourtant friand d'humour noir, les gags sont assez inégaux et beaucoup sert a remplir plus qu'a faire rire. Un bon moment quand même.
Vraiment original. Le déplacement du site du crash de la sonde qui amena superman enfant sur terre en Urss permet au scénariste de transposer l univers dc dans un univers communiste (parents de batman abattus par un commissaire politique par ex..). Le dessin m'a beaucoup plu a la fois clair et précis. Un peu déroutant, ce n'est pas une parodie et donc pourra rebuter certains. Pas indispensable mais les fans regarderont l'homme d'acier sous un autre jour avec plaisir. La pirouette du scénario en fin d'album est pour moi plutot moyenne.
Superbe ! Une pièce indispensable pour tous les amateurs de l'homme d'acier. Non seulement Kurt Busiek le scénariste revisite la création des pouvoir de Superman mais il nous fait spectateur de sa vie, de son adolescence à l'aurore, avec maestria. Le dessinateur est parfait.
Un conte lyrique créé par un maitre de l'illustration qui sublime ses personnages. Si vous avez envie de voir le héros de votre enfance "vivre" dans les pages d'un album...
J'ai bien aimé cet album même si il est loin d'être irréprochable. Le dessin est particulier, je ne sais pas si c'est de la facilité ou la main du dessinateur mais c'est assez étrange. Le coloriage est trés... contrasté mais bizarrement agréable. Le scénario est un peu "énaurme" mais bon on est dans le comics. Sympa.
Album agréable, un scénario classique mais intéressant (apprentissage, amour, amitié et rivalité de 2 jeunes guerriers que tout oppose à l'époque romaine), bien dessiné, mais des situations et des personnages manquants de profondeur. Un peu trop de scène de sex à mon goût, (mais c'est la marque de MARINI que l'on commence connaître, le bougre !), qui n'apporte pas grand chose au récit. J'attends la suite !
Un bel album, très bien dessiné au scénario intéressant (mélange historique / fantastique), mais le récit n'est pas toujours clair et parfois difficile à suivre, j'attends tout de même la suite.
Wayne Shelton, vieux baroudeur, tente de retrouver le journaliste Martin Legret détenu par les forces rebelles du Bamago.
Le scénario est prévisible mais rythmé.
Une superbe légende (que je ne connaissais pas, gloups !) parfaitement mis en scène à travers ce magnifique album. Les dessins sont somptueux, félicitations aux auteurs. L'héroic fantasy dans toute sa splendeur, mythe, poésie, magie... Un très grand moment de bande dessinée, Merci !
Intrigue policière et financière sans grand intérêt et consistance !
Très bon album retraçant la vie d'un juif qui a "réussit" l'or du dernier siècle écoulé. Sur fond de trahison, luttes de pouvoir, collaboration et grand banditisme, l'histoire se déroule à travers de nombreux "flash-back" et rebondissements d'une période à l'autre, ce qui donne un certain rythme au récit. L'atmosphère des différentes époques est remarquablement bien reproduite par des dessins et des couleurs adaptés, les personnages sont profonds, l'intrigue bien planté... vivement la suite.
Une très bonne note à Fabien NURY (que j'ai découvert avec cet album) qui avec "le maître de Benson Gate" s'annonce comme un scénariste de grand talent et très prometteur. Je vais suivre de près ses prochaines sorties.
Les excellents dessins, très noirs, retranscrivent parfaitement l'ambiance sombre et froide du scénario. Ce mélange de malédiction (profanation d'un tombeau) et du mythe du loup-garou ne réinvente rien (le cinéma à beaucoup produit sur le sujet) mais à le mérite de produire une histoire originale en BD (pas grand chose d'équivalent à ma connaissance n'existe dans les bacs). L'intrigue est bien menée, les personnages énigmatiques renforcent le suspens, la suite est prometteuse.
L'édition "originale" de cette aventure jamais parue (et pour cause).
La dernière case voit Tintin partir vers son exécution. Le symbole de la mort de Tintin est évidemment beau.
Sauf qu'en fait, Hergé avait évidemment ajouté d'autres crayonné (Tintin est immortel, on le sait bien !) mais les éditeurs ont jugé bien meilleur de terminer sur cette fausse fin.
Cela fait penser à la dernière phrase du film de John Ford "Lhomme qui tua Liberty Valance" (1962) : "Dans l'Ouest, quand la légende est plus belle que l'Histoire, c'est la légende qu'on publie."
Histoire déplorable et infantilisante. Reprend en les tranformant les cellulos du film. Il existe une version "pirate" qui reprend une publication (dans un quotidien belge, je crois) qui, elle, a vraiment été redessinée dans l'esprit "Tintin" mais le sceénar est évidemment le même.
Sent le soufre car interdit par la fondation Hergé. Il s'agit d'un livre -barbant- sur les méfaits de l'alcoolisme.
A part ça ...
La version originale (à l'italienne) d'une des plus fameuses aventures de Tintin. Les planches étaient publiées en pages centrales de l'hebdo.
Un doucment pour tous les tintinomaniaques.
Ce n'est pas de la bande dessinée mais un recueil de jeu de plateau (sur 2 planches le plus souvent).
Impossible de noter car destiné aux afficionados uniquement.
Cet album m'a fait découvrir le duo Loeb/Sale et cette trouvaille a été tres agréable. Le récit prenant la trame de l'origine du héros est sublime et le dessin est très bon. Vraiment un grand album.
Malheureusement le retour du DK n'atteint pas le sommet égalé par le premier.
Bon celà dis on a là du trés, trés, trés bon. Même si le dessin de Miller ne semble pas aussi pointu (facilité ?, coup marketing ?). De plus le coloriage informatique me gêne un peu (remplissage ?). Maintenant c'est un avis de fine bouche, on garde quand même un haut niveau de comics, et le moment passé a lire les trois tomes est vraiment un grand moment. Achetez !!
Culte !
Tout simplement culte.
Indispensable. Dégoulinant de qualité. Le scénario comme le dessin. Toujours scotché a chaque relecture. Fixe jusqu'a présent le degré maximum de la qualité de traitement du personnage de Batman.
Comme précédement. Des archives... d'interets supérieurs aux précédentes mais à bien réfléchir si on est pas fan. Pas non plus la période la plus indispensable de la saga.
Du Soleil... Aucun interet. Démon, monde parallèle... Autant de rapport avec le Batman qu'avec les Schtroumphs.
Bon. Ceci est une réédition d'archives. Hé bien comme les vielles photos passée, les dessins sont "vintages" et les scénaros sont...authentiques. Comprendre datés.
Donc a réserver aux puristes uniquement.
Le must! Proprement merveilleux. Un travail comme seul le maitre Ross peut en faire. Y a rien a redire. Même si qqun peut toujours trouver un coté pompier à ses chef-d'oeuvres,on termine transcendé par le recit et le dessin photoréaliste.
Dommage qu'elle soit estampillé Soleil, ca dénote dans la bibliothèque, mais là je sors du sujet mesquinement....
"Année une" reprend la naissance du batman. Le dessin est particulièrement adapté par son coté rétro a l'ambiance générale de l'ère originale du héros.
Le scénario revoit les grandes scènes mythique (le coup de poignard dans la rue, l'immeuble ou le Batman est isolé) le tout avec succès. Vraiment une très bonne production avec le Dark knight.
Un chef d'oeuvre. On est ici, a mon sens, plus vraiment dans la bande dessinée, mais le roman graphique. Le défi imposé par le joker permet de visiter la galerie de personnage re-visité par le génie de Dave McKean. A découvrir, a posséder, a lire et relire. Tout bonnement superbe.
Bon ! Fan inconditionnel du batman, je me dis a la librairie, ouais... pourquoi pas. Puis... arrivé sur le canap' pour la lecture... Les dessins, pas le meilleur de Quessada et le scénario ben... disons qu'on a mis "Batman" sur la couverture pour garantir une qualité qui pour résumer, n'est pas là.
Maintenant si il y a des fans d'Azrael...?!? Non ? Alors passez votre chemin.
Cette Bd est pour moi celle qui m'a fait découvrir que le monde du 9éme art pouvais être adulte. Et quel choc, passer du Gaston, de Lucky luke ou de Steve Pops a Miller... Le dessin est proprement génial !!! Un précédent critique s' interrogeait sur la santé mentale de Darrow, dommage que tous les malades ne soit pas aussi doué que celui ci. Une tuerie. A chaque relecture on découvre des détails que l'on avait pas vu précédement. Je ne donne pas la note maximum car le scénario même trés bon ne "colle" pas a mon sens avec la débauche outrancière de violence qui en vient à la rendre parodique (l'assaut de l'entreprise par exemple...). Mais cette bd doit figurer absolument dans votre bibliothèque.
Note pour l'ensemble de la série, qui aurait pu être supérieure si elle s'était arretée au tome 3.
L'ambiance année 50-60 est superbe, le dessin très bon et les auteurs ont vraiment travaillés sur les détails avec minutie. Les personnages semblent sortir d'un film d'Audiard, avec régal. Le quatrième tôme me semble pour moi superflu même si l'histoire reste trés bonne et ne fait pas réchauffée (qui a dis XIII ??)
Une bonne valeur.
Parodie coquine et assez réussie du fameux "Little Nemo in Slumberland".
Dans ces courtes histoires de deux pages se mélangent des gags très réussis et d'autres beaucoup plus laborieux. Mais le crayon de Giardino fait passer le tout
Pour mieux comprendre l'importance de Winsor McCay, il faut revenir à la guerre que se livrèrent les 2 grands tycoons de la presse du début du XXème siècle aux USA : William Randolph Hearst et Joseph Pulitzer.
La bande dessinée, le comic strip en fait, devient pour leurs journaux un moyen de fidéliser leur clientèle. La page du dimanche est même en couleur et doit être un morceau de choix.
A ce jeu là, Little Nemo (1905-1911) va connaître un succès fulgurant puisqu'il sera même adapté au théâtre en 1908. C'est devenu un classique de la BD et il faut le traiter comme tel, même si il a un peu vieilli (tout de même).
Mais il y a tout au lond de cette série, 1000 idées, souvent géniales et mal exploitées, qui seront reprises plus tard par d'autres dessinateurs ou scénaristes.
On pourrait longuement parler de Winsor McCay tant il avait de cordes à son arc (il dessina par exemple tout seul les 4.000 images d'un dessin animé). UN grand monsieur, assurément !
Un intérêt historique indéniable... mais a considérablement, mais alors considérablement vieilli.
De surcroît, n'offre même pas la poésie de Little Nemo in Slumberland.
Je reconnais volontiers que Winsor McCay est un très grand bonhomme, certains de ses dessins de presse sont des monuments !, qu'il est de plus un dessinateur remarquable. Mais il ne serait pas une bonne idée de le découvrir par cette oeuvre ou encore par celle des "Cauchemars d'un amateur de fondue" (encore que cette dernière satisfaira les amateurs d'oeuvres "décalées").
Pour curieux ou historiens de la BD.
Il s'agit de 2 courtes histoires parues en 1972/73 dans le quotidien suisse "24 heures".
La première, 12 pages assez insipides, nous permet de faire connaissance avec l'intrépide reporter Paul Aroïd (on appréciera le jeu de mot !) et de celle qui va devenir son assistante, Marjorie.
La deuxième histoire (32 planches) qui donne son titre au bouquin est nettement plus aboutie. Elle permet de vérifier que même à ses débuts, Cosey a bien du talent. Plus intéressant, les thèmes qui seront plus tard sa marque de fabrique sont déjà là.
Il ya, bien que les histoires soient complètement différentes, un cousinage avec "A la recherche de Peter Pan" pour ne donner qu'un exemple.
L'histoire de 2 stations de métro (imaginaires) de Londres pendant le Blitz.
L'une, Cecil Court, est située dans le West End, l'autre, Plumton, dans l'East End.
D'où les jeux sur les oppsitions de classe, etc.
Sauf que la surprise finale est exactement celle de "Blitz".
Ça commence à bien faire !
Etaient prévus dans les "suites" : Black-out, "Fair-play", "Backstage" et "Eden" mais il y a fort à parier que cela fera comme "l'affaire Vera Lindsay" dans la série Albany & Sturgess, toujours annoncée mais jamais parue !
Nouvelle saison, donc nouvelle installation des éléments de l'intrigue avec des flash back réussis pour raconter le passé des enfants. L'histoire n'est pas bouleversante d'originalité mais cela reste distrayant et les dessins sont sympa.
Une série honnête à suivre.
Mieux que l'album précédent, l'histoire est sympa dans un décor interessant, et une touche d'humour saupoudre le scenario. Bien! Pourvu que ca continue sur la meme lancee!
j'ai lu et franchement j'ai beaucoup aimé, le scénario est prenant et à la dernière page on en redemande, quant au dessin je suis conquis, il crée une ambiance particulièrement sympa, même si je suis pas fan d'HF c'est pour moi une des meilleures séries de l'année
Cet épisode nous entraîne dans la quête sans compromis de Dora MARS. Dora est chanteuse au sein d'un Quintett constitué pour remonter le moral des troupes. L'histoire somme toute assez classique témoigne de la ténacité d'une femme. Cette ténacité lui permet de voir triompher son amour qui pourtant lui échappe de façon dramatique et définitive. Le contexte, la guerre de 14/18, le lieu, la Grèce et le corps d'armée, l'aviation donnent à l'intrigue une certaine saveur. On y retrouve le code d'honneur des guerriers où la femme a sa place. Les planches sont très agréables sans être transcendantes. Ce premier mouvement est intéressant et laisse supposer une approche et une vision différentes des évènements en fonction des instrumentistes de l'orchestre pour les mouvements suivants.
franchement bravo à Marini dont le dessin est ici peut être meilleur que dans le scorpion, de plus le scénario est plus que correctement bati pour un novice en la matière, et très agréable à lire, peut être même plus que Murena, et même si j'avais un peu peur à la lecture des critiques négatives, j'ai finalement vraiment été charmé par cet album
Un perroquet en héritage... de plus, un peu particulier, le volatile, mais chut!
Quelques petites trouvailles, des bonnes idées (je ne connais pas l'oeuvre
originale de King-Smith), mais je reste un peu sur ma faim. A lire malgré tout.
j'attendais vraiment, vraiment beaucoup de cette série de part son principe et son scénariste, et ben je n'ai pas été déçu
j'ai tout relu depuis le début, je pense que c'est nécessaire pour une bonne compréhension, et c'est fluide, ça passe bien et même si c'est 4 fois la même histoire ça n'est jamais ennuyeux, de plus le principe des dessinateurs différents pour la vue de chaque personnage est à mon avis ici plus que justifié. Donc après avoir relu les 4 premiers tomes, j'ai eu une petite appréhension, j'avais peur d'être déçu.
Finalement ce 5ème et dernier album est vraiment excelllent, et donne une autre vision des 4 premiers, la chute est très bonne et pour les 3 dernières pages je dis franchement respect à Frank Giroud qui signe ici sa meilleure série selon moi, quand je lis plus haut que certains la classe dans les bds du siècle, ben selon moi ce serait largement mérité, même si c'est vrai que certaines cases de ce dernier tome paraissent un peu baclées, le tout rend assez bien et il faut dire qu'Alessandrini n'a eu que peu de temps pour réaliser cet album.
Bref j'attends avec impatience la prchaine saga de Frak Giroud, car je crois qu'il a encore beaucoup de projets sur ses étagères
Excellent polar sur fond de campagne électorale, des personnages touchants, déchirés et imprégnés d'humanité, un scénario bien pensé qui fait réfléchir. La chute est prodigieuse. Une toute petite réserve sur les dessins pas toujours limpide. Série à découvrir absolument !