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On doit à Macherot la création du personnage de Clifton. Ce recueil qui reprend les 3 premières aventures du fameux colonel lequel évoluera de manière assez différente sous la plume de De Groot et le crayon de Turk.
C'est pas mal, mais sans plus. Le génie de Macherot ne faisait que sommeiller dans cette série.
Encore une bande alimentaire de Goscinny. Pour autant son talent (il a mis son génie entre parenthèses dans cette série) permet de nous faire sourire et nous divertit agréablement.
Reste le dessin d'Attanasio qui n'est pas franchement préoccupé par les décors.
Un témoignage intéressant sur une bande aujourd'hui complètement oubliée.
Ah si, encore un mot, là encore la mention "intégrale" est complètement fausse puisque cet opus recueille 5 histoires à suivre alors qu'on en recense plus d'une 15aine (toutes ne sont pas de Goscinny) sans compter les gags en 1 ou 2 pages !
Là encore le terme d'intégrale est quelque usurpé puisque le recueil reprend 5 des 9 histoires à suivre signées par Goscinny et cela sans compter les histoires courtes de 2 ou 3 pages signées des mêmes auteurs.
Avec le succès d'Astérix, Goscinny laissera tomber cette bande qui était pour lui purement alimentaire et c'est Acar qui reprendra le flambeau pour 5 nouvelles histoires à suivre.
Bande alimentaire ou pas on retrouve dans cet album tout le génie de Goscinny, même si on reste en deçà de ces purs chefs d'oeuvre. Même quand il était simplement moyen le grand René était au dessus du lot.
Cet album reprend 4 des 5 histoires éditées au Lombard et intègre une 5ème (Stanislas a disparu). Néanmoins on est loin du compte pour une intégrale (qui d'ailleurs n'intéresserait pas grand monde car la série a vieilli).
Cette terminolgie d'intégrale est pour le moins osée. En effet, cette série publié dans Vaillant (l'ancêtre de Pif) représente en fait près de mille planches ! On est donc ici loin du compte. ET encore je ne compte que celles qui ont été publiées dans Pif-Vaillant. A cela il faudrait rajouter celles parues dans les multiples spin-off de poche diffusées dans ces années là.
Quoiqu'il en soit cette série pour enfants est très remarquable.
Son lectorat possible d'aujourd'hui serait sans doute plus jeune qu'à l'époque car moins naïf (?). Néanmoins, cette bande est un superbe témoignage de ce qui pouvait faire rêver et rire les gosses de l'époque. Ils y retrouvaient des héros pas très éloignés d'eux, pas toujours très sages et un peu plus astucieux.
Et une madeleine, une !
Après le départ de Rouge, c'est Allot qui reprend le pinceau.
Rodolphe change également d'approche, on est davantage dans le cérébral, un peu verbeux, empruntant aux Armées du Conquérant.
Du coup c'est moi qui n'est pas été complètement conquis !
Gwen quitte Elaine pour reconquérir sa couronne de Bretagne. Si vous avez gardé une âme d'enfants cet album vous rappellera Robin des Bois avec Errol Flynn.
Pas original certes, mais bondissant et rebondissant.
Ah qu'il est plaisant de retomber parfois en enfance !
Pour échapper aux forces de Reynaud, Gwen a du se réfugier sur la Grande Ile (comprenez l'Ecosse et l'Angleterre !). Mais il est toujours poursuivi et trouve l'appui d'un chevalier mystérieux. Il se trouve que le chevalier est une femme et qu'il trouve donc aussi l'amour.
De l'action, un peu de tendresse, un bon moment.
Un gentil petit album situé dans la Bretagne légendaire, celle qui passe des croyances celtes au christianisme.
Les auteurs on fait le choix de l'époque moyen-âgeuse, aujourd'hui on essaierait de coller davantage à la réalité il me semble.
Quoiqu'il en soit de réalité, il n'y a pas vraiment puisque lutins et sorcière (il n'y en a qu'une, mais elle compte !) sont partie prenante de l'intrigue.
Les 3TL* Je rajoute une petite cote, cette série le vaut bien.
Chef d'oeuvre, je suis tellement bouleversé que dès que j'ai les moyens je m'offre les 3. Alalalala ca c'est de la bd, superbes dessins, émouvantes à souhaits. Ca fait rêver, pleurer et au final on se dit wowwww, quel bonnheur d'être bédéphile et d'avoir profiter d'une telle offre. Chapeau, une bd qui vous marquera.
L'auteur a su traiter un sujet délicat avec une approche tout à fait humaine et
même à quelques reprises humoristique.
Un beau cadeau à laisser à tous ceux qui souffrent de cancer et à ceux qui les
entourent et qui ne savent trop comment se jeter dans l'aventure.
À souligner que ce livre a remporté un Eisner Award en 2005.
Par rapport à son alter ego "Les 1001 nuit de Shéhérazade", petit chef d'oeuvre de polissonerie coquine, cet album là est plus cru. Même la pirouette finale -un peu téléphonée- ne comble pas notre attente.
La suite qui n'est pas la suite du "Cahier Bleu". Comme on dit Outre-Atlantique, il s'agit d'un spin-off. Du coup on est un peu déçu de ne voir nos "héros" qu'en coup de vent. Mais cette (petite) déception n'explique pas tout; je persiste à croire que l'intrigue -très bonne- est quand même moins riche en finesse que celle du Cahier Bleu.
Bon d'accord c'est vrai, je suis un grand admirateur de Juillard.
Je trouve son dessin d'une grande finesse et d'une grande émotion.
On s'aperçoit ici que c'est aussi un grand scénariste qui dépeint avec délicatesse les affres, les tourments et les griseries de l'amour.
Une apothéose !
L'étalon mètre (ou même maître) du nanar. Même les deux ultimes pages pourtant les plus réussies n'arrivent pas à sauver la vacuité, l'incohérence et -osons le mot- la débilité du scénario.
Le héros continue à avoir des visions (ça c'est plutôt rigolo) et avance dans son enquête grâce au conseil avisé d'un pasant qui lui recommande de filer en Floride (ça c'est du n'importe quoi !).
Ce qui faisait le peu de charme du premier opus est en train de virer au système et du coup ça gave grave !
Un premier album pas trop mal même si les dessins sont loin d'être aboutis.
Un détective privé est chargé de retrouver une jeune fille de famille qui a disparu. Pour l'aider dans sa tâche on lui adjoint un certain Fausto qui est un maniaque du tarot.
Ce sont donc les cartes qui vont diriger nos bonshommes, enfin surtout le scénariste qui leur donne quand même un sacré coup de main pour les aider à retrouver la fille (sans lui je crois qu'on y serait encore).
Bref, un album potable car il laisse en suspens un certain nombre de questions.
On enchaine les pages du livre comme on enfile les kilomètres d'autoroute, en se disant qu'on se rapproche de notre destination.
Bref, on ne criera pas au génie.
Nous avons droit comme révélation aux origines d'Esmeralda, révélation qui empêchera tout un chacun de dormir à condition qu'il soit insomniaque et qu'il ait ingurgité un litre de café.
Quant à Quasimodo qui s'est baladé toute la série avec -ô originalité- le masque d'Hannibal Lecter (celui du "silence des agneaux"), la surprise est encore plus "bouleversifiante".
Victor Hugo avait fait de son roman un chef d'oeuvre de la littérature française et sans doute de la littérature tout court.
Cette histoire d'amour fou non payé de retour a ému des générations de lecteurs. Dans le cas présent les auteurs n'ont pas voulu jouer avec les émotions de leurs lecteurs (sinon la lassitude ou l'agacement), grâce leur soit rendue !
L'album le plus intéressant de la série; sans doute d'ailleurs parce qu'il s'éloigne de l'histoire originelle.
Nous avons droit à une intrigue sans réelle surprise mais qui se tient même si elle a tendance à faire son lit des scènes de torture.
Bref, par rapport au premier album une bonne surprise.
Les éditions Glénat précisent que cette série n'est ni un hommage, ni une adaptation de Notre Dame de Paris.
Soit !
Nous dirons alors qu'il s'agit d'une variation. L'album commence plutôt bien avec une (fausse) lettre destinée à Victor Hugo et qui va justement raconter une histoire survenue à Paris au Moyen Age.
Voilà, la bonne idée s'arrête là et l'album devrait en faire autant. Les auteurs ont pris le parti de "focuser" sur Gringoire. Pourquoi pas !
Sauf que leur narration est aussi excitante qu'un caramel fondu sur une banquette d'autobus. Glissons sur quelques gags d'une drôlerie tellement irrésistible qu'elle ne fait même plus rire les convives attardés et pleins de bière de l'Oktoberfest.
Ne retenons pas les anachronismes comme ces tomates qu'on jette sur les comédiens (rappelons que l'action se situe en 1482 et qu'on ne connaîtra la tomate qu'avec la découverte de l'Amérique).
De la subtilité du roman, les auteurs n'ont retenu que la caricature.
Dès lors on comprend mieux pourquoi cet opus n'est pas un hommage.
Victor Hugo foit d'ailleurs en être fort soulagé !
Un peu déçu de cet album et de la série en général. C'est lent, ça manque de piquant. Dans le genre, je préfère "Le combat ordinaire"
Bon tome sans plus, mais il y a quand-même quelques moments qui m'ont fait sourire.
Inutile de le nier, le retournement de situation opéré dans la première partie de ce tome 7 par le scénariste de génie de "Death Note", est absolument scotchant : justifiant le long tunnel des chapitres précédents, Tsugumi Ohba nous plonge dans une admiration béate devant la stupéfiante manipulation construite par Light, joueur d'échec suprême qui joue ici avec sa vie, comme avec le futur de l'humanité - rien que cela. A partir de là, les forces du mal méritent clairement de triompher, ce qu'elles font... nous plongeant du même coup dans cette délicieuse ambigüité qui est le principal charme de "Death Note" : quelle honte d'admirer la puissance intellectuelle pure quand elle est mise au service du Mal ! Il devient ensuite pour le moins pénible d'accepter que le manga ne se termine pas ainsi, et embraye sur une nouvelle histoire, située quelques années plus tard, et qui ne génère au départ que peu d'intérêt de notre part...
La vie tourne. Nous retrouvons notre jeune héros loin de sa campagne, dans les méandres de la vie citadine...
Il a grandit. Les premières attirances féminines, le copain chinois qui lui fait découvrir le rock, les bêtises à l'école et ailleurs, les Buntong boys... Le monde de l'adolescence réveillant en nous nos souvenirs de jeunesse.
Très très belle découverte de la Malaisie dans les pas de Lat. On s'y croirait.
La prochaine fois j'irai à Kuala Lumpur au "Coliseum coffee" discuter avec Lat accoudé au comptoir du bar. Le serveur indien nous servira un whisky sous une chaleur moite. Le patron chinois nous fera un sourire à travers une ambiance de fumée.
On sera bien là, pénard assis devant la vie...
Mis à part 2 mini-épisodes inutiles en fin de mensuel, toutes les séries de ce
troisième numéro sont vraiment réussit (même si je crains que Les Vengeurs :
l'Initiative ne prenne une mauvaise tournure). Petit bémol : Illuminati a été
éclipsé et ne revient que le mois prochain
Si la bible n'existait pas, ce serait un chef d'oeuvre.....
Ce n'est tout bonnement qu'un plagiat, on retrouve même du kubrick ;)
Outre le tirage de tête décrit, il existe chez le même éditeur, un tirage à cinquante exemplaires, présentant à gauche la version couleur augmentée d'un carnet de croquis et précédée d'un XL signé et numéroté de I à L, à gauche, la version noir et blanc dans les mêmes conditions (XL et carnet de croquis.
Le tout sous couverture identique aux deux TL des éditions Silhouet, sans jacquette.
Pour amateurs uniquement, je crois que la note résume bien mon impression de cet album pour lequel j'ai été terriblement déçu.
Une adaptation BD de Terry Pratchett avec un format sympa, et le même éditeur qui le publie si bien, ily avait de quoi frémir d'impatience! Mais le dessin gâche pour moi le scénario de polar médiéval-fantastique haletant (chaude, l'haleine), au point qu'il ne pas donné envie de le relire comme je le fais souvent après une première lecture rapide.
Pour amateur de Pratchett et de son univers rigolard et cynique, et plus encore pour tout amateur de ce type de dessins...
Il est de ces albums qui sont difficiles à juger la première fois. Ici, rien de
conventionnel. Un couple de jumeaux assez étranges demeurent dans une
maison où se passent de bien drôles de choses. Lorsqu'une inconnue franchit leur
porte d'entrée parce qu'elle est en panne, elle est loin de se douter qu'elle va
basculer dans un monde où la folie règne en souveraine...
En noir et blanc, la tension se fait sentir et se referme comme un piège sur le
lecteur. Un certain érotisme balaie quelques pages.Finalement, on en sort un peu
secoué! Vraiment rien de conventionnel! Une belle découverte!
Tous les fils se dénouent, tous les mystères se dévoilent mais il ya beau temps qu'on ne s'y intéresse plus et qu'on a déjà deviné la fin.
Un album vigoureux, le meilleur de la série d'ailleurs.
Davantage d'action que dans le précédent, des explications aussi et un dessin que je trouve remarquable.
Très franchement l'album est sauvé par le dessin de Rocco. Ses cryptes et ses souterrains ont quelque chose de remarquable.
Quant à l'histoire, elle prend un tour fantastique mais d'un classicisme tel qu'il n'y a pas de surprise.
Un bon album assurément qui lance une série qui pourrait devenir intéressante.
Ceux pour qui Tibet = bouddhisme seront déçus car on remonte aux temps légendaires mi-réels, mi-fantastiques.
Le jeu de pourpre en lui même fait inévitablement penser aux Chasses du Comte Zaroff, à la 10ème victime, Running Man et autres Prix du Danger. Donc pas d'originalité excessive à ce niveau là.
Dans la même mesure l'alliance des deux adolescents que tout oppose au départ est l'argument type de tout "buddy movie".
Tout ceci pour dire qu'on est en terrain connu et qui l'album est bon, il n'est pas non plus follement novateur.
Un album solide mais sans le génie du premier de la série.
Autant celui-ci jouait de la subtilité, du demi-ton et de la nuance, autant cela là est brut de fonderie et prévisible.
Bref, par rapport aux débuts tonitruants de la série une déception, mais somme toute un opus agréable même si les couleurs sont franchement loupées.
Album intermédiaire qui augure un troisième tome très riche, du moins on l'espère
Clément cherche toujours des réponses et des phénomènes extra-ordinaires viennent perturber la vie à Noirmoutier
Cela monte en puissance mais je suis resté sur ma faim ...
Poétique et émouvant.
Le dessin peut paraître simple mais sied très bien à l'histoire racontée
Un récit intemporel sur les pauvres mortels que nous sommes
Un livre vraiment émouvant où Taniguchi nous fait partager tristesse, regrets
et nostalgie.
Yoichi vient de perdre son père et retourne dans la ville où il a grandit (qu'il
n'a plus vu depuis 15 ans) pour se rendre à la veillée funèbre. Tout au long de
plus de 200 pages, c'est cette veillée qui nous est racontée, une veillée où on
se rapelle quel homme était le père de Yoichi, lequel Yoichi apprend en vérité
à réelement le connaître ce jour-là.
Le côté introspectif de l'histoire peut parfois être étalé de manière un peu
lourde mais au final ce livre ravit. C'est simple et très réussit.
Azzarello a voulu pour cet histoire encrer clairement Hulk dans un univers
réaliste : fini les immeubles détruits sans qu'il n'y ait aucune victimes
collatérales, ici on nous montre cadavres, familles éplorées et réfugiés
désorientés.
Niveau dessin, le Hulk de Corben est d'une grande force graphique, même si
ce trait particulier peut lasser un peu à la longue.
L'histoire quant à elle est réussit, pas forcément beaucoup d'action mais de la
destruction comme on la connaît avec le géant vert, et de l'introspection
comme il faut. Doc Samson traque son compère en radiations avec l'appui de
l'armée, un scénario plutôt classique en vérité au premier abord.
Au final on a un album bien réussit, avec peu de défauts.
Comme attendu, un ton en dessous.
Qu'un sentiment amoureux se fasse jour était attendu, c'est un peu téléphoné même si c'est fait avec un minimum de grâce et de métier.
L'implication politique ne rajoute pas grand choses à l'intrigue, au moins dans cet album, c'est même une facilité puisqu'elle nous éloigne du thème central.
Le dessin m'a paru moins chiadé que sur le premier album, quant aux couleurs, elles m'ont semblé à côté de la plaque, preuve que le scénar est plus faible car tout ceci ne m'avait guère gêné sur le premier opus.
Un pur chef d'oeuvre !
Nous sommes dans la Pologne de l'Entre-Deux-Guerres, Adam Zinguleski a tout pour être heureux : une carrière de peintre bien remplie, adulé autant par la critique que par ses clients, une jeune et jolie femme, des élèves qui se battent quasiment pour assister à ses cours.
Pourtant, il éprouve un sentiment de vide.
Le même que celui que peut éprouver un jeune homme qui court après la mort.
La rencontre des deux bouleversera leur vie.
Ce seul album pourrait suffire à lui seul tant il est vrai qu'aucune suite ne pourra atteindre ce niveau de perfection.
Incompréhension. Puis déception.
Incompréhension d'abord parce que, lorsque je suis tombé sur cette BD, je n'ai pas compris l'intéret de transposer Naheulbeuk sur papier quand le MP3 était si bon. Curieux, j'ai quand ouvert le livre. C'est vrai quoi, les dessins étaient marrant, bien foutu...
Et boum, déception. Parce que les dessins sont souvent photocopiés d'une case à l'autre, les couleurs font mal aux yeux et que, surtout, la BD n'apporte rien.
L'effet de surprise du premier album est passé. Il n'en resta pas moins un excellent album aux rebondissements multiples. Un bon polar qui sait allier en parallèlle la période moderne et celle qui clôt le Moyen-Age.
Le magazine reprend du poil de la bête!
On y voit un Spider-Man véritablement jusqu'au boutiste et plus ténébreux que
jamais confronté à un Fisk toujours aussi méthodique et efficace. Le prochain
épisode rique bien d'être des plus haletant, avec un duel au sommet. Seul
bémol : la manière dont sont réglés les problèmes de tante May me semble un
peu tiré par les cheveux et pas du tout satsfaisante.
Par ailleurs la collaboration Spider-Man/Homme-Sable dans "Friendly
Neighborhood" s'avère très intéressante (même si l'apparition de personnages
de 2011 n'annonce pas une suite forcément géniale) tandis que l'épisode avec
pleins de Spider-Men partout (Sensational Spider-Man), bien que pas super,
nous éclaire un peu plus sur les étrangetés qu'on a put voir et nous donne une
explication assez bien trouvée.
De son côté la série Thunderbolts continue d'être toujours aussi bien tournée :
on nous montre habilement le fonctionnement de l'équipe tout en cresant un
peu plus les personnages (notammant Osborn, de plus en plus tourmenté),
sans oublier le point de vue des super-héros pourchassés ni celui du peuple
américain. Au final on a un épisode avec peu d'action mais qui nous tient
véritablement en haleine du début à la fin.
Excellent premier album d'une série qui part en boulet de canon.
Comment expliquer qu'un peintre ait pu peindre une scène historique qui s'est déroulée deux ans après sa mort ?
Comment expliquer que des hommes se fassent assassiner par des carreaux d'arbalète datant du Moyen-Age ?
Bon tout ceci est fort bien et fort bon. Il n'est qu'à souhaiter que la série puisse se maintenir à un tel niveau.
album trés reussi et, trés agréable a lire et relire
scénario bien , dessins nul, le genre de bd ou il faut du courage pour admirer le talent du dessinateur ( désolé mais je fait partie de ces gens qui préfèrent a la bd le dessins au texte )
Cette bd est pour moi une révélation.
On ne veut pas comprendre au début ou l'auteur veut nous emmener ou en tout cas on fait semblant de pas savoir.
Le sujet abordé est tellement sensible qu'il est très périlleux de s'y aventurer et pourtant Cyril Pedrosa nous y emmène avec délicatesse et humilité.
Un long chemin à parcourir pour découvrir ce qui nous fait avancer dans la vie et quelle est notre raison d'être.
Enfin un final tout en subtilité et en sagesse, résolument porté vers l'optimisme.
Cette série m'a laissé complètement ko pendant un long moment.
Je vous la recommande vivement
On retrouve le couple, Maxime et Hélène, qui dans le premier tome avaient connu une lente mais constante descente aux enfers.
Cet exorcisme là va aussi ressembler à un chemin de croix, davantage qu'un exorcisme il va s'agir d'une réhabilitation qui va être forcément douloureuse.
Bel et dernier album d'une bien trop courte série.
Très curieux album. J'ai aimé cette atmosphère moite, vide de sens et avide des sens, désespérée. L'histoire située dans une Afique qui bordure l'indépendance est superbement illustrée par Beaudoin de Ville en digne fils de la ligne claire.
Mêmes bonnes intentions que dans le premier volume, mais mêmes limites. Dommage car sur le papier cela faisait une bonne équipe comme pourraient le dire les supporters déçus par leur équipe de foot favorite.
Une vraie série fantastique (et non d'horreur !) en voilà une bonne idée !
Avec deux soeurs, Lucie et Cécile, comme héroïnes, encore une bonne idée !
Avec pour cadre Bruges, la mystérieuse, toujours une bonne idée.
A l'arrivée ce n'est pas si fantastique que cela. Le dessin n'est pas terrible, mais toujours meilleur que les couleurs qui sont soit palichonnes, soit trop vives, mais toujours mal appropriées. Comme l'intrigue, quoi !
Celle-ci lorgne vers Jean Ray, ce qui est plutôt bien, avec un arrière goût policier assez patouilleux et ça c'est moins bien.
Jeremiah cherche du travail malgré Kurdy et se retrouve mêlé aux différents d'une communauté aux prises avec un apprenti dictateur. Et bien sur ils vont mettre leur nez où il ne faut pas, mais Jeremiah va comprendre que la vie en communauté n'est pas si simple et que la route à deux c'est pas si mal !
Très bonne histoire.
Nos deux héros si différents se retrouvent face à un trésor et ceux qui le convoitent et Kurdy va être honnête bien malgré lui.
De l'humour et de l'émotion dans ce monde de brutes et des vignettes qui sont de véritables tableaux, vraiment indispensable.
Début d'une série mythique où Jérémiah perd toute sa famille mais découvre Kurdy qui ne le quittera plus. Depuis cette série a été beaucoup imité mais jamais égalé grâce aux dessins si originaux de Hermann et à des scénarios malins où le pur Jérémiah doit faire face aux réalités.
Voila la Bd qu'il faut lire depuis ces 10 dernières années Magique !!!!!!!!
Attention voila de l'excellent Pope !!!!!! Génial merveilleusement dessiné Comme son colllègue Burns Voila un chef d'Oeuvre de la BD!!!!!!!!
J'ai beaucoup aimé cet album. Rien a dire bon scénaris et dessins plaisirs de retrouver certains personnages du tout bon quoi !
Voila enfin le premier cross-over de l'histoire des comics !!! Souvent imité (très recemment d'ailleurs) mais jamais egalé !!! Malgré les critiques cet album restera pour toujours dans les mémoires des lecteurs et malgré sa parution dans spidey a l'époque rien ne gâche le plaisir de le relire dans ce format bien au contraire !!!
Suite et fin d'un diptyque assez déroutant mais plutôt bien troussé.
Cet album marque aussi l'adieu à la série, laquelle ne fut pas prétentieuse et somme toute agréable.
C'est encore une fois Wigelow qui est le héros de cette aventure. Cette fois ci le bonhomme est taraudé par les choses du sexe. Evidemment les choses ne peuvent pas être aussi simple.
Wigelow, l'employé de Cliff Burton, s'évade dans la lecture et finit par se perdre en rêveries. Le titre de l'album explique tout. Un grandissime moment.
Souvent drôle de surcroît car Wigelow tient quand même davantage du gnome que du prince charmant.
Bizarre histoire de course de voiture. Original certes mais pas inoubliable !
Le dessin est passé à un niveau supérieur; le scénario aussi. Nous sommes quasiment dans le fantastique le plus complet. Enfin presque ...
Une vague histoire aux connotations faussement fantastiques. On en a lu quelques dizaines comme celle-là. Pas catastrophique au demeurant.
Suite du premier album, l'action (il n'en manque pas !) se déroule cette fois-ci aux Indes. Faut-il préciser que Ckiff Burton saura mâter les adorateurs de Kali et la menace qu'il font peser sur l'Empire (rien de moins !) ?
Commencée comme une série d'aventures policières assez standard, cette saga se modifiera avec le temps pour atteindre un excellent niveau.
Ce premier album, pas très bien dessiné, nous vaut l'histoire d'une malédiction venue des Indes.
A noter que la première planche se veut un hommage à celle de la Marque Jaune.
Fin d'un cycle et sans doute de la série, laquelle s'achève dans un grand n'importe quoi -à mon sens.
Commencée comme une série ultra réaliste et d'aventure, cette saga s'est muée en fantastique ésotérique et les deux ne sont pas raccord.
Où est passé l'enthousiasme que l'on pouvait avoir au début de série. Englouti dans les vases du bayou et noyé dans une série qui devient de plus en plus bavarde mais sans faire progresser l'intrigue.
Eu égard à la qualité des auteurs et à l'affection que l'on porte à cette saga, on dira que encore que c'est pas mal même si ça glisse dangeureusement vers le plus que moyen.
Petite (et même grosse) gourance de ma part puisque mon deuxième commentaire consacré au 4-Tonnerre au Sud, s'appliquait au 5-Jusqu'au cou.
Mais comme on ne peut toujours pas corriger les c... qu'on peut faire voici le rectificatif.
Le titre traduit bien la panade dans laquelle est submergé Jim Cutlass qui doit désormais faire face à un limier de l'agence Pinkerton. Pour le lecteur, le titre traduit aussi l'ennui dans lequel il est plongé une bonne partie du bouquin dans lequel les allégories et autres rêveries diverses dispersent et ralentissent l'action.
Tout ceci commence à s'effriter.
L'intérêt de la série reste à un bon niveau mais faiblit régulièrement.
Que Jim Cutlass se fasse ballotté entre les méchants de Don Clay (qui rappelons le ressemble à s'y méprendre à un Clarck Gable ventru !) et le mythqiue Alligator Blanc passe encore.
Mais le progresse est que l'histoire progresse peu. On est loin du ryhtme endiablé des deux premiers épisodes.
L'album le plus réussi de la série, où Najah capturée au Pakistan devra sa survie à des renforts extérieurs et où son engagement donnera enfin un début de résultat.
De l'action, de multiples rebondissements et un fonds réalistes qui donne une idée des problèmes du Pakistan et de l'Afghanistan, on passe un bon moment de lecture.
Najah est maintenant bien infiltré auprès de Sam, la routine des affaires tordues continue, il n'y a qu'à la fin que cela dérape pour relancer l'intérêt.
A la mort de Charlier, Giraud reprend les rênes du scénarios et laisse ceux du dessin à Rossi qui avait déjà officié dans le deuxième opus.
Celui-ci qui se déroule essentiellement dans les bayous de la Nouvelle-Orléans perpétue le souffle épique inspiré par Charlier.
Les rebondissements sont nombreux et les heureux coups du sort aussi.
La jolie Carolyn a des ennuis avec le Klan. Son cousin d'officier est dépêché sur les lieux ce qui nous vous quelques plaisantes scènes -un peu téléphonées- mais réjouissantes.
La série est alors à son pinacle et sa reprise en main par Casterman laisse augurer d'une production régulière de qualité.
L'avenir montrera que dans les deux cas, il n'en sera rien.
Cette histoire, habile mélange d'Autant en Emporte le Vent et de Fort Navajo, laisser augurer d'une longue série sopmtueuse et sans faille.
Pour un album d'introduction, celui-ci est parfait. On ne s'ennuie pas un instant et on se régale des démélées futures entre la jolie Carolyn et son cousin, Jim Cutlass, qui a embrassé l'uniforme plus contraint qu'enthousiaste.
Quoiqu'il en soit cet album est un régal !
Petit avis discordant dans un concert de louanges.
Tanatôs est la copie carbone de Fantômas (jusqu'à la présence de l'accent circonflexe !) et bénéficie des dessins et de la mise en page de Delitte. Il s'agit là incontestablement d'une réussite.
Quant à l'histoire ... elle est confondante de banalité. Ceux qui sont effrayés par la saga livresque de Fantômas se reporteront à sa version de 1913 -celle de Louis Feuillade- ou mieux encore au sérial "Les Vampires" (1915) toujours du même Feuillade.
Ils découvriront alors, à condition de supporter le muet, des histoires bien mieux charpentées avec des thèmes similaires à ceux de cet album, au demeurant pas désagréable.
Je lirais bien sûr la suite -c'est dans mes habitudes !- mais j'ai bien peur que le grand spectacle annoncé ne masque pas la vacuité du scénario.
Car finalement ce Tanâtos qui, au passage, gagne un accent circonflexe et perd un H, souffre du défaut de n'être qu'un simple ersatz.
J'ai trouvé cette suite encore plus intéressante que le premier opus. On est bien dans le roman feuilleton à l'ancienne avec un secret -presque de famille- qui constitue l'un des ressorts de l'intrigue.
Même si c'est un peu cousu de fil blanc, l'ensemble est sympathique.
La grande Aventure (avec un grand A) et l'esprit du feuilleton du XIXème siècle !
Certaines vignettes me font penser à celles de Giraud (jeune !).
A priori, nous voilà partis pour longue saga.
Dans la lignée de l'album précédent. A vrai dire, je l'ai même trouvé un poil moins bien.
Si j'ai fini par "entrer" dans les dessins, c'est bizarrement au moment où je "sortais" du scénario qui avait au moins une pâte poétique lors du premier album.
Ici, j'ai trouvé que c'était quand même assez ras des paquerettes.
Pas mal, oui, mais il y a tant de séries de cette qualité là (sans parler des albums) que rien -à mon sens- ne lui permet de se distinguer réellement.
Quant à moi je n'ai pas trouvé les dessins très folichons.
Si le thème de l'histoire est original -plus de soleil au pays du temple du même astre- le traitement est intéressant sans plus.
Je n'y ai pas trouvé matière à drôlerie particulière.
C'est plaisant sans plus.
Kessavient foutre là ?
C'est très drôle d'accord mais ce n'est pas une BD ?
Les dessins d'Altuna sont une merveille (ce n'est pas un scoop !) quant à l'histoire (en fait les histoires) elle croque à pleines canines les travers et les (petites) grandeurs de notre société.
Excellent album historique qui peut se lire sans rien connaître aux précédents (ce que j'ai fait !).
Joli album reprenant des contes et légendes plus ou moins fantastiques (des Ardennes si mes souvenirs sont bons).
L'un des premiers ouvrages de Counhaye, lequel est bien trop rare
Pas si catastrophique que cela pour un album publicitaire !
Précisons que les dessins et les gags sont des planches totalement originales puisqu'elles se terminent en vantant la marque des piles (Philips pour ne pas les nommer).
Maintenant c'est vrai que si j'avais dû payer la somme mentionée par mon petit camarade précédent, je serai plus que colère !
Najah se trouve embarqué dans un coup d'État au Cabinda en essayant d'infiltrer la mafia international tandis que ses commanditaires sont en difficulté aux USA.
On se demande toujours comment elle arrive à garder sa motivation dans ce bazar, mais il y a de l'action à défaut de sentiment.
Les dessins sont biens, l'histoire sur fonds de mafia international, de terrorisme, de politique internationale et de corruption politique est compliquée à souhait et on a du mal à suivre.
On voudrait trouver sympathique l'histoire de cette baroudeuse, mais on a trop de mal à comprendre ses motivations.
Malgré tout ça se laisse lire.
On peu dire que les choses ne s'améliore pas pour le pauvre Peter Parker qui va de désillusion en coup dur surtout avec la mort du personnage de Gwen Stacy dont il a du mal à se remettre. Entre culpabilité et désir d'aider les gens en utilisant ses pouvoirs le tout en pleine adolescence on peut dire qu'il n'a pas la vie facile. Les histoires sont toujours à la hauteurs, les petites touches d'humour toujours présentes sont bien introduites et servent bien le récit. Bref rien à redire à tous ces numéros.
Moi qui adors l'équipe des outsiders on peut dire que je partais déjà gagnant en prenant ce numéro de DC universe HS. L'histoire ne m'a pas déçu et même m'a beaucoup plu. Les personnages sont toujours aussi bien traités et l'intrigue a bien été développé. Je suis même pressé de lire la suite de leur aventure mais hélas i va falloir attendre un bon moment avant snif.
Le retour de Red Tornado : Cette intrigue reste excellente avec une nouvelle ligue qui est en train de se monter naturellement avec les évènements qui se déroulent autour de Red Tornado et de sont corp robotisé.
L'intrigue est bien développée et promet une fin plutôt intéressante mais j'ai tendance à me méfier des fin car c'est là que ça baisse en intérêt.
Titans globe trotters : Fin de cette excellente intrigue qui voit l'équipe des Teen Titan se recomposer une fois de plus et de nouvelles aventures se préparent dans l'ombre tout aussi prometteuse.
Le nouvel age : Début d'une nouvelle histoire de la JSA en fait la première que je vais suivre. Pour le moment il est un peu tôt pour s'en faire une idée mais les personnages ont l'air intéressants et ce début semble prometteur.
Un tome 4 qui vaut le détour, les scènes de bataille sont bien rendue, et on ne s'ennui pas. Les 2 premiers tomes m'avaient un peu laissé sur ma fin mais la série se relance bien; les rebondissements laissent présager de bonnes choses pour la suite.
Excellent one shot servi par un dessin dynamique et efficace ainsi qu'une intrigue bien construite se dévoilant petit à petit pour arriver à un final des plus surprenant et dans un sens même plutôt terrible. On est littéralement entrainer dans cette histoire mélangeant scène de survival et flash back bien introduits pour arriver à un dénouement absolument génial.
La petite histoire supplémentaire à la fin du volume "Rêves éveillés" est elle même excellente même si son développement peut parraitre particulier et surprendre le lecteur. Il n'empêche qu'il s'agit d'une intrigue très dure bien développer et dont le final est également surprenant.
Bref voici un one shot à ne pas du tout manquer.
Voilà un excellent diptyque à ne pas manquer. En effet avec un style très proche de Tezuka, Tatsuhiko Yamagami a développer une histoire passionante à une époque qui l'est tout autant et dont la fin est très bien trouvée. Cette histoire est très dure et même si le dessin parait léger il renforce la profondeur des propos tenus et l'horreur de certains évènements tout en les empéchant de devenir indigeste pas leur violence tant psychologique que physique.
On peut dire que ça faisait un bon moment que le volume précédent est sortit mais après lecture ça ne gène absolument pas. On se rappel vite de l'histoire et même après tant de temps j'ai trouvé ce volume agréable à lire alors que les récédents m'avaient ennuyés. Certe c'est un volume très centré sur les combats mais agréable à lire tout de même.
Ce second diptyque est plutôt sympatique, haut en couleur et agréable à lire. L'histoire est bien construite avec une petite dose d'humour, des personnages attachant qu'on a plaisir à suivre et l'intrigue elle même qui a un déroulement intéressant. Il est dommage qu'un ou deux personnage(s) n'ai(ent) pas été utilisé au maximum de ses (leurs) capacité(s). L'histoire demeure malgrés tout plaisante à lire et c'est avec plaisir que je lirais bien un nouveau diptyque des éternels.
Très bonne histoire qui tient en haleine du début à la fin avec d'ailleur une fin très réussi qui va bien avec cette période de l'histoire. Les personnages sont plutôt pas mal et les situations sont intéressantes. Cet album peut être considéré comme un one shot l'histoire se suffisant à elle même.
On ne perd pas de temps et en on entre immédiatement dans le vif du sujet avec force massacres.
Le sujet justement ? C'est le promblème car il n'y ena a pas de trop (de sujet, car pour ce qui est des problèmes les personnages du livre en ont plus que leur part). On en saura certainement plus dans le second volume car pour l'instant il n'est question que d'une sombre vengeance.
L'intérêt du livre réside donc essentiellement dans une période historique assez peu abordée (nous sommes en 794) et avec un respect presque documentaire (en tout cas je l'imagine) des costumes.
Voilà. La suite de ces aventures permettra de savoir s'il s'agit d'une aventure historique de plus et sans plus ou de quelque chose de plus rare dont cet album serait le long prologue.
Le cynisme du propos ne compense pas, à mon sens, la relative platitude narrative. Relative disais-je car c'est tout de même très bon mais cela n'est pas au niveau du 2ème volume, a fortiori du 1er.