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Il ne faut pas rêver !
Personne ne remplacera jamais Franquin, c'est bien pour ca qu'il a eu un tel succès, il est unique!
Alors je pense qu'il n'est pas besoin de vouloir comparer ou retrouver son génie à travers d 'autres artistes qui mettent leur talent à contribution pour que nos 2 amis, Spirou et Fantasio, continue d'exister dans le monde de la BD.
Merci à tous ceux qui permettent à Spirou, Fantasio, Spip, Champignac, etc de vivre encore dans notre imaginaire :)
La plus superbe BD au monde !
J'en suis tombée amoureuse dés mon enfance et depuis je n'ai de cesse de les relire encore et encore
Evidemment j'ai toute la collection :) J'ai connu cet série grâce à ma maman, quand on est petit on ne comprends pas tout et c'est pour cela qu'il ne faut pas hésiter à les relire plus tard
Les auteurs font honneur au mot "imagination"
merci Dany et merci Greg de nous avoir ouvert les portes d'un monde tel que celui de Rêverose !!
J'ai adoree cette BD, elle est drole, bien ecrite, on ne s'ennuie pas, j'ai du la lire en 2h :)
Les images sont super jolies, et les personnages bien trouves (surtout la sorciere qui est toujours malade, elle me fait penser a ma soeur lol)
Le concept des deux peuples : sorcieres et fees est tres bien trouve. On a plus de sympathie pour les sorcieres (ca change!) et les fees ont bien ete mises en arriere (bah oui pour le coup elles ne le sont pas en avant)
Bref, je la conseil fortement pour tout les gens qui ont garde une ame d'enfant mais avec un esprit d'adulte ;)
J'ai hate que le 2ieme album sorte !
Bon album certes, avec ce qu'il faut de surprises et de trahisons mais pour lequel j'ai quand même une retenue car ce n'est pas vraiment l'univers de Caroline Baldwin.
D'autant joli résultat qu'elle se retrouve à l'étranger, menacée dans son propre pays et suspectée d'avoir tué un procureur.
Quant à Gary Scott, cet agent du FBI qu'elle aime et qu'elle vient de retrouver, il semble bien qu'il ait du plomb dans l'aile (au propre).
C'est dans une bien bizarre affaire dans laquelle Caroline s'engage puisqu'elle concerne ni plus ni moins que le vice-président des Etats-Unis et futur candidat au bureau ovale.
Celui-ci est suspecté de différentes malversations organisées par un banquier qui a été enlevé par la guérilla birmane laquelle réclame une rançon. Pas question pour le gouvernement US de verser cette rançon. Mais le banquier étant couvert pour ce genre de risques, c'est à Caroline d'apporter la rançon.
Très agréable album avec un excellent suspens. Cela dit nous n'avons pas droit aux décharges d'adrénaline que nous pouvons trouver dans des séries spécialisées telles Alpha.
Caroline vient d'apprendre sa séropositivité et fuit le monde pour éventuellement en finir avec la vie.
C'est la quête d'un homme qui veut récupérer le corps de son fils dans la montagne qui la fait sortir de son état suicidaire. Ils partent tous les deux vers leur destin.
Encore une fois, Taymans ne fait pas qu'écrire qu'une histoire policière, laquelle n'est qu'un simple prétexte. Ce qu'il montre c'est la relation à l'autre, le transfert d'amour et le passage de la vie à la mort et de la mort à la vie. Un bel album assurément.
Un frappadingue sévit à New York, ville qui pourtant n'en manque pas. Cette fois-ci, il assassine les gens au petit bonheur la chance (du moins le croît-on) en signant ces crimes Midas et en exigeant que le chanteur vedette reprenne son rôle dans la comédie musicale Absurdia.
C'est gentiment fait prenant même si les raisons sont peut-être un peu trabiscotées (encore que...). Disons qu'elle ne sont heureusement pas courantes.
Une série qui s'installe et se confirme comme de qualité.
Intéressant mais pas vraiment maîtrisé tel pourrait être le premier commentaire sur cet album qui se déroule à Cuba et qui fait suite à Rouge Piscine. On sent qua Taymans avait beaucoup à dire, trop peut-être, moyennant quoi ça part un peu dans tous les sens.
La solution de l'énigme principale est un peu oiseuse en tout cas pas à la hauteur de ce que l'album précédent pouvait laisser espérer.
Quant à l'aspect cubain proprement dit, on sent que Taymans a manquer de place pour développer ce qui lui tenait à coeur. Même si la vengeance de Caroline est remarquable, l'album reste un cran en dessous de l'aune habituelle de la série.
Un étrange série de meurtres endeuillent New York. Le plus curieux est que plusieurs de ces victimes ont été scalpées. Parmi elles, un écrivain raté, nègre à ses heures qui tentait de rentrer en contact avec Caroline.
Cette histoire, nerveuse, se lit d'un trait grâce à un fort suspense. Nous sommes néanmoins en plan à la fin du volume puisque la suite et donc la clé de l'énigme n'est révélée que dans l'album suivant : "La dernière danse".
C'est également par la mort du grand-père, de l'héroïne cette fois, que commence l'album placé sous le signe de la fidélité. Peut-on, doit-on tout dire à ceux qu'on aime ?
C'est à la demande d'un de ses amis infirmes que Caroline se lance dans une enquête couverte par le secret défense où l'on apprendra les rapports peu ragoûtants entre laboratoires pharmaceutiques et services secrets.
Comme dans le premier album, c'est un drame humain qui clôt l'histoire.
Toute l'essence et les raisons du succès de Caroline Baldwin sont contenus dans cet album.
Un jeune femme, belle et libérée, représentante d'une minorité (amérindienne), fragile, conduit des enquêtes qui peuvent se terminer par un échec comme cette première aventure.
Pout autant on découvre et surtout on apprécie une approche poétique des choses comme si Cosey faisait du roman policier à la manière de Peter Pan.
Qui plus est l'album prend tout son sens quand on sait qu'il est dédié au grand-père de l'auteur.
Une série vraiment exceptionnelle! un Tardi qui donne la pleine mesure de son
art, tant graphiquement que scénaristiquement. On croirait son style avoir
toujours été destiné à cette période de l'Histoire tant elle lui va bien (encore +
que pour la Belle Epoque ou la Grande Guerre). Et puis ce format à l'italienne,
très bien choisit, permet à Tardi de réaliser de superbes vues panoramiques
et d'élaborer ses planches de façon tout à fait nouvelle.
Les intrigues individuelles s'entremêlent, se croisent, influent les unes sur les
autres... la grande Histoire rencontre la petite... C'est un régal, tant dans les
portraits que fait Tardi de chacun de ses personnages que dans la
reconstitution du Paris de la Commune. On s'y croirait vraiment. Le tout est
forcément très noir, réaliste, on passe au fil de ces quatre énormes albums de
l'espoir le plus sincère au désespoir le plus profond. C'est passionant d'un
point de vue historique et souvent très prenant du point de vue du scenario.
Tardi met ses tripes dans cette adaptation (libre) du roman de son ami Jean
Vautrin. C'est pour moi le titre majeur de l'oeuvre de Tardi et l'un des plus
important de la BD des années 2000.
Quelques bémoles néanmoins (il en faut bien) : une accumulation de texte qui
peut en rebuter certains (ce ne fut heureusement pas mon cas), un tome 3 qui
donne un peu trop libre court à des monologues sans fin (à mon goût), un
partit pris évident qui manque parfois cruellement d'objectivité (je parle
surtout pour le tome 4), et une intrigue finale un peu vite expédiée, ce qui m'a
légèrement déçu.
À part ça rien à redire, un grand moment de lecture!
La première BD que j'ai vraiment lue de la première à la dernière page, sans
rien oublier ni sauter. J'venais d'avoir 7 ans je crois bien.
J'lui met donc un beau 10 sur 10 qu'elle ne mérite pas du tout.
Histoire quand même sympatoche (j'viens de le relire) de Pif et Hercule
voyageant à travers le temps.
Rien à rajouter.
Ces dessins! qu'est-ce qu'ils sont beaux... et pourtant on aurait put penser
qu'ils colleraient mal à un univers super-héroïque mais là ces peintures (parce
qu'il s'agit plus de peintures que de planches) sont vraiment éblouissantes. On
se demande comment l'italien Dell'Otto a put boucler Secret War dans des
délais normaux vu le travail effectué sur ses graphismes.
Quant à Bendis, toujours en forme. Ses dialogues sont exceptionnellement
cinématographiquest et les personnages super bien traités. Sa tendance à
toujours vouloir mêler action passée et action présente est bien sûr là mais ne
gêne pas outre mesure (au contraire d'autres scenarii où il s'égare parfois un
peu). Une belle performance de sa part aussi donc.
Quant à l'histoire à proprement parlée, et bien je dirai 3 premiers épisodes
géniaux, puis les deux derniers un peu en deça (un affrontement final qui dure
et dure encore, des révélations pas super biens amenées, la partie "Latvérie"
de l'intrigue un peu vite expédiée...). Mais bon on va pas se plaindre, ça reste
du très bon (surtout que d'après la préface (qui n'a pas l'air d'un fake)
l'histoire serait vaguement inspirée de faits réels relatés à Bendis jeune par un
oncle travaillant alors à la CIA). Bref, une histoire d'intrigues classées secret
défense, de missions obscures et d'intérêts divergents, avec pour capitaine le
patron du SHIELD Nick Fury.
Il faut au passage préciser que sur 248 pages, la moitié au moins est
constituée de "dossiers" du S.H.I.E.L.D. présentant les caractéristiques des
personnages, des comptes-rendus de discussions et d'interrogatoires, des
notes prises par Fury... le tout présenté sous forme de vrai-fausses données
informatiques. C'est sympa, mais un peu barbant à la longue (quand c'est
entre 2 chapitres ça va mais quand on nous sert 80 pages compactés en fin de
volume on fait une p'tite overdose quand même).
Sans oublier aussi quelques pages consacrées au travail graphique de
Dell'Otto.
Bref, une belle réussite que ce Secret War (avec en + un très beau format et
un papier d'excellente qualité).
Un tueur peut-il se ranger et vivre paisiblement de ses rentes au soleil de L'Amérique du sud ? Il semble que non et qu'il faille solder ses comptes.
L'ambiance un peu écœurante de cette vie faussement paisible entre culpabilité et auto justification est très bien rendue par un dessin magnifique qui colle très bien à l'histoire.
Vraiment du très bon polar original.
Les débuts d'un style et d'un genre que nous retrouverons avec grand intérêt dans la série Djinn.
Une histoire un peu complexe, mais des dessins déjà superbes !
L'exotisme à Manaos en 1908 pour commencer. De la mère Dona Isabel à la fille Maria, qui hérite de toute la grâce et surtout de la capacité de séduction ! Envoûtements, aventures. Oublions Maria pour Eva Medusa.
Des pouvoirs redoutables.
après la (presque) déception du premier tome, j'espérais que le second n'allait pas me faire regretter mon choix de faire cette collection de 7 bandes dessinées. Je dois dire que je ne suis toujours super emballé.
Le dessin est une nouvelle fois à la hauteur de l'histoire : je trouve qu'il colle parfaitement à l'ambiance.
Le scénario a une nouvelle fois été le plus faible à mon avis : intrigue souvent alambiquée, trop compliquée, on s'y perd un peu...
Premier tome de la série, j'attendais énormément du thème de cette histoire. L'idée était très originale et, au bout du compte, j'ai été un peu déçu.
Le dessin est très bon, en parfaite adéquation avec l'ambiance de cette bande dessinée. Trait pas parfait, pas mal de noir... Là ça colle !
Le scénario par contre aurait mérité une fin beaucoup plus spectaculaire, plus "énorme", ... Je suis resté sur ma faim...
Pour le moment le meilleur des 3 tomes à mon avis.
L'histoire est dense, sans point faible dans le scénario, on ne s'ennuie pas. L'idée est originale, la mise en situation bien écrite, il n'y a pas de longueur dans l'action.
Le style du dessin n'est pas mon préféré (je n'aime pas trop la façon de colorier en fait) mais ça passe encore.
Je faisais partie de ceux qui craignaient que le qualité de la série aillent en déscendant au fur et à mesure des tomes. Me voilà rassurer une fois de plus avec ce excellent quatrième tome. C'est toujours aussi drôle et corrosif, plein de rebondissements, pas idiot...Bref, un tome excellent qui augure une série qui comptera pour moi !
Un one-shot que j'ai bien aimé. Une histoire gothique et romantique à l'extrême et un dessin qui accompagne parfaitement le récit. On est donc parfaitement plongé dans cette france médiéval pleine de superstition et de complots. L'univers de Croci peut je pense ne pas plaire à tous le monde...mais moi j'aime bien :o)
Des extraits du récit de Bram Stocker accompagnés de parfois très belles planches de Croci. C'est très beau et on reconnaît bien la patte de Croci (notamment les visages des personnages au traits et expressions bien particuliers). Le hic c'est que c'est très beau, comme je l'ai déjà dit, mais que c'est tout aussi ennuyeux, à mon goût en tous cas. Le récit à parfois du mal à bien s'articuler au dessin et les nombreuses coupures de récit (changement de lieu et d'époque) font que j'ai eu du mal à bien me plonger dans dans l'histoire. Bref, personnellement un peu deçu.
Recueil de 7 histoires complètes dont 6 étaient parues dans Spirou. Il s'agit de l'épopée d'une escouade de poilus français entre 1916 et 1917.
On est loin de l'univers repoussant des tranchées de Tardi, de la souffrance du Trou d'Obus et d'autres joyeusetés du même acabit.
Ici sans être fraîche, la guerre reste héroïque, les p'tits gars savent pourquoi ils se battent, même la saleté est relookée Chanel, etc.
Que ces histoires aient été destinées à des enfants expliquent cela m
Pour comprendre l'histoire il est préférable d'avoir lu le Triangle Secret, sinon cela risque de rendre la comprenette dificilette.
Cette histoire de résistance, à la fois tragique et pleine d'espoir, se lit sans déplaisir même si la notion du fils qui tue "accidentellement" son père reste à mon sens assez lourdingue de symboles.
Mais il est vrai que la série principale, le Triangle Secret, ne donnait pas dans la légèreté alors pourquoi voulez-vous qu'il en aille différemment avec l'un de ses épigones ?
Un petit avis sur cet album magnifiquement illustré par ce jeune auteur américain. Une histoire en 152 planches que j'ai dévoré d'un trait. Magnifique et original, cet oeuvre d'heroic fantasy du monde des souris devrait faire un carton... Lieam , saxon et Kenzie trois petites souris mènent cette aventure. J'attends avec impatience la publication du deuxième album de cette série hiver 1152....
Roman graphique classique sur les dérives d'un détective privé au chômage qui a peur de ce qu'il va pouvoir faire après avoir gagné au loto.
Les réactions et celle de son entourage ne sont pas très originales et le retour de celle qu'il n'a pas cessé d'aimer est un peu trop beau, mais la petite histoire policière de la fin est drôle et bien venue et montre que sous ses airs de looser reste un peu de lucidité.
Au total une chronique sympa de la vie qui va avec une fin optimiste qui fait du bien.
C'est fini et cela ne pouvait finir que tragiquement. L'histoire eût certainement été prenante avec moitié moins d'albums, là l'effet dilution d'intérêt jouait à plein.
Encore avons nous eu de la chance. 7 tomes pour un triangle ! Qu'en eût-il eté pour un carré (magique !), un hexagone, voire un octogone.
Mais les sachants vous diront qu'il ne pouvait en être autrement que le triangle.
C'est le symbole maçon par excellence, celui du mystère de la Sainte Trinté, de France-Brésil 98, des 3 Mousquetaires et surtout celui aussi des 3 Petits Cochons (qu'on oublie trop souvent à mon sens !).
Bd achetée suite à la recommandation de mon libraire.
Un One Shot comme on les aime : une histoire simple, qui sent bon la crasse, les plaines, le whisky, la vengeance et les rocheuses. Le tout soutenu par une narration et un dessin limpides et sans fioritures.
A lire (indispensable pour tout amateur de "Blueberry" et autres Bd's de Western)
Scénario sympa, avec une bonne mise en place des personnages et de l'intrigue, de plus la première guerre mondiale est un sujet peu sité, on attend donc la suite avec impatience.
Petit bémol le dessin, personnellement je ne suis pas très fan,malgré une couverture magnifique, j'espère une amélioration pour le prochain tome.
Ha oui j'ouliai, 62 pages c'est plutot sympa.
J’ai adoré.
Une œuvre pleine d'humanité. Chaque personnage est très profond, vivant…
L’histoire est simple (simpliste ?), mais le résultat, puissant, interpelle.
Cette BD laisse penser que le genre pourrait être intégré à la littérature.
J’ajoute un gros plus pour le dessin.
Je ne connaissais pas l’auteur. Il mérite d’être suivi avec attention.
Ça se tire et c'est très bien comme cela. Encore une fois l'agitation ne créé pas nécessairement l'intérêt sinon tous les films d'action américains seraient des chefs d'oeuvre et cela se saurait.
La série est aussi pompante que les titres de ces albums sont pompeux. Dire qu'il faut 6 albums pour localiser le tombeau de Jésus !
Et encore, ce ne sont pas les moins futes-futes puisque Gardiens du Sang (ça jette, hein, comme nom de société secrète !) et Francs-Maçons s'y cognent en vain depuis 2000 ans. C'est vous dire que ce ne sont vraiment pas des lumières.
Pas convaincu que la BD sorte grandie par cette série.
L'intérêt des albums ne tient que par la qualité des histoires subalternes qui sont présentées.
Dans celui-ci, nous avons droit à celle de Jérôme le Juif. Laquelle met en scène un apothicaire poursuivi par les foudres de Torquemada et qui saura se venger par delà la tombe.
C'est très astucieux, très sympathique et sauve l'album de ses langueurs habituelles. Faire mourir Torquemada de façon bien mystérieuse est vraiment bien trouvé, même si en fait il avait quand même 78 ans au moment de sa mort.
Si non e vero ...
De ces trois histoires les deux premières sont des chefs d'oeuvre d'humour noir et disons le même franchement la première est un pur chef d'oeuvre tout court.
Il est assez scandaleux que ces livres ne soient pas réédités en un seul volume. Ne serait-il pas temps de reconnaître que De Groot est un GRAND de la BD qui sait faire autre chose que des "petits miquets" (même s'il les fait d'ailleurs très bien).
Je recommande plus que vivement la lecture de ces deux albums.
Une mauvaise manip' m'oblige à reprendre et poursuivre.
La seconde histoire donc parle d'un couple qui se défait. Mais le sel de l'histoire vient que justement l'épouse tremble trop pour son héros de mari, il est démineur.
La fin est assez corrosive évidemment.
Quant à la troisième histoire, il s'agit d'un meurtre qui est programmé pour être parfait. Plus classique -le thème a déjà été traité dans de nombreuses nouvelles policières- la structure narrative s'avère excellente et la fin comme toujours assez caustique.
De Groot nous avait offert jusqu'alors que des oeuvres légères, pas désagréables mais "sans la profondeur qui sied au tragique". Quant à Philippe Francq, il était encore inconnu. Mais dans cette ouevre de jeunesse on sent déjà tout ce qui fera le charme et la puissance son style.
Mais revenons à ces trois nouvelles, toutes d'un genre différent. La première située à Key West flirte avec le fantastique, la seconde -la plus grinçante à mon sens- p
Le thème de départ est assez original puisque l'avenir de la station est menacée par une sorte de rouille qui en détruit progressivement le caparaçonnage.
Là dessus cela vire sur un gentil délire de monde virtuel, assez nouveau pour l'époque, mais qui, aujourd'hui où l'on a poussé les curseurs beaucoup plus loin, paraît un tantinet désuet.
Pas très grave en fait car ce que la série perdait en cohérence, elle le gagnait largement en originlaité.
Le retour sur Terre n'est pas très enchanteur. Nous sommes dans un mélange de Mad Max, New York 1997 et d'un Star Wars qui virerait au glauque.
Sur Terre existent d'autres tarés, avec le même appétit de pouvoir et les mêmes ambivalences; car l'intérêt de cette bande est bien que les "méchants" sont plus équivoques ou plus exactement, moins univoques
On retiendra la variété des décors et la nuance des couleurs. On se souviendra surtout d'une fin culottée en diable.
Une bande SF classique et sans trop d'originalité mais qui fit quelque bruit à l'époque car on avait trouvé quelqu'un qui "dessinait comme Gir".
Depuis Wilson a en effet repris Blueberry sur des "vies parallèles" mais ce n'était pas le cas à l'époque.
La terre a été ravagée et un satellite tente de recréer ce qui pourrait être la base du nouvelle vie. Sauf que cet alléchant programme, dirigée par la poigne de fer de Mme Steiner, exige des quasi esclaves et tout le monde n'est pas d'accord.
C'est en Indochine, sur la route Mandarine que se déroule cette dernière mission.
Il est bien dommage que Capitaine Sabre n'ait pas eu droit à une réédition en bonne et due forme, car cette bande d'aventure essaie, le plus souvent d'aller au delà des simples apparences.
Cette histoire ne trouvera d'explication valable au comportement assez peu cohérent d'un instituteur qu'à la toute dernière page. Qui plus est, cette fin est "à retournement". De la belle ouvrage assurément.
Le Baïlam est un état fictif mélange de Laos, Birmanie et Siam. C'est aussi une dictature qui vit sous la coupe de Car Se Tran Giam qui fait grand cas des prophéties. Or l'une d'elle annonce la venue d'un Occidental libérateur ...
Une version asiatique du fameux "quand viendra l'homme roux, tombera le joug" (le piège diabolique).
De l'aventure avec un grand A et un grand plaisir de lecture.
Le capitaine Sabre traîne son vieux rafiot, le Santa Cruz 2, de la Mer de Chine à celle de Timor, en passant par le Golfe du Tonkin.
Dans cet album, il est à Bornéo conduisant une troupe de comédiens/marionettistes dans les villages les plus reculés. A l'époque cette partie de l'île est toujours néerlandaise et un couple de parents fortunés à décidé de rejoindre fêter le 25ème anniversaire de leur fille là-bas.
Evidemment, les choses ne se passeront pas tout à fait comme prévues.
La fin ironique et cruelle est un must à elle toute seule.
Villemin...ou le dessinateur qui ne signe pas ses planches car il met en page les blagues que l'on entends depuis qu'on est au collège. Attention! C'est TRES TRES TRES FIN!!!! C'est dégoutant, sale, irrespectueux et scatologique; pleins de gros mots et de coîts crados... mais qu'est ce que c'est drôle!! Ames sensibles s'abstenir...
Une de mes premières BD, donc évidemment, difficile d'en dire du mal... Charly est une histoire d'amitié très originale entre un petit garçon en conflit avec ses parents et un jouet doté d'intelligence mais qui se révèle être une machine très dangereuse... Une bande déssinée destinée plutôt aux adultes et aux ados et qui présente plusieurs niveaux de lecture..., à lire.
Bon, ça m'apprendra à ne pas commencer mes lectures par les tomes en ordre
mais disons que celui-ci est meilleur que le troisième. Cependant, on a toujours
affaire aux couleurs ternes, au papier mat qui pour certaines collections sont un
must mais qui ici, peut-être à cause des couleurs délavées n'est pas un plus.
L'histoire est bien ficelée et on ne s'y ennuie pas.
J'ai de la difficulté cependant avec les traits des personnages. Ce n'est pas que ce
n'est pas réussi mais il s'y trouve quelque chose qui me laisse indifférente.
Cependant on passe un bon moment, et ça donne envie de lire les autres.
Une petite Bd sympathique et très modeste sur le thème héroic fantasy. Plein de petites histoires pleines d'humour et beaucoup d'idées sympathiques sur les qestions existentielles que peuvent se poser des héros (du style: pourquoi les nains sont-ils petits? Existe-il des orgres végétariens?...). Le dessin est tout à fait correct et la coloration très agréable. Pas mal... sans plus.
Excellent thriller psychologique où l'improbable rencontre le bizarre tout en gardant un certain réalisme. l'intrigue est très bien développée et maintient le lecteur en haleine tout du long avec fausses pistes et interrogations à la clé. La fin de l'histoire est des plus surprenante et quelque peu délirante dans un certain sens mais ce n'est pas grave car au final ça passe très bien et on est pas du tout frustré par contre ne penser pas pouvoir deviner la fin avant qu'elle ne soit révélée car elle est trop improbable. Très bonne série qui mérite d'être lu.
Numéros 7 à 13
Aspen et Canon Hawke : Voilà deux excellentes histoires aux déroulements passionants et prometteurs qui savent maintenir le lecteur en haleine tout au long des numéros.
Soulfire : Encore une très bonne intrigue avec des personnages sympa mais classiques. Pour le moment on a pas de véritables surprises mais on se laisse entrainer par l'histoire et ses rebondissements qui savent donner du rythme et intéresser le lecteur.
Convard reprend la technique des boucles de la Seine : on donne l'impression d'avancer mais en fait on ne progresse pas vraiment, on offre de nouveaux paysages en pensant enrichir la diversité (mais rien ne ressemble plus à un plateau crayeux qu'un autre plateau crayeux). Ce qui est sûr c'est que le temps passe.
Cette fois-ci nous avons droit à une diversion sous Napoléon III en 1864. Cela ne sert en rien l'histoire sinon de souligner que la menace est de toute éternité et fait quand même gagner quelques pages de plus.
Après tout chacun doit payer ses impôts, ses charges et son loyer. Il est simplement dommage qu'on nous fasse la ficelle à la taille d'une corde ou mieux encore d'un cable d'acier.
Le retour de Red Tornado : Réunion de la nouvelle ligue pour soutenir Red Tornado et récupérer son corp d'androïd, l'intrigue évolue de manière satisfaisante en tout cas assez pour donner envie de lire la suite.
Au diable mon âme : L'intrigue est plutôt intéressante et promet des moments plus qu'intéressants dommage que le dessin ne soit pas à la hauteur.
Le nouvel âge : On découvre petit à petit les nouveaux membre de la JSA et une nouvelle intrigue se met en place qui pour le moment semble ressembler à identity crisis.
Kid Amazo : Bon début d'intrigue qui promet des développements intéressants.
Ultimate power : Excellent épisode mais bien trop court à mon avis. Les combats sont intéressants et on sent que nos héros vont avoir du mal à récupérer Red Richards surtout que Nick Fury semble cacher quelque chose. Bref vivement la suite.
Ultimate vision : Voilà un début qui se fait en douceur et on se demande où tout ça va nous enmenner mais on en apprend pas assez sur l'intrigue pour pouvoir se prononcer maintenant sur la qualité de l'histoire.
Très bon polar, le scénario est étoffé et le déroulement de l'intrigue est progressif et convenablement rythmé. L'atmosphère dégagée par les dessins et la colorisation est réussie, par contre, je n'arrive vraiment pas à me faire aux visages des personnages (manque d'expression, de charisme... difficile de dire ce qui cloche exactement mais cette remarque était déjà vrai sur le triangle secret). J'attends la suite !
La première planche plante le décor, l'inspecteur Fell croise son premier meurtre par hasard, "un putain d'alcolo de merde" dans un univers où tout le monde s'en fout, y compris la police. Les dessins, les couleurs et les dialogues contribuent a créer parfaitement l'univers glauque de Snowtown. Fell y entame sa quête de justice et y rencontre Myako avec qui il forme un couple étonnant. Cette bd se lit comme un roman noir, avec passion. A découvrir sans tarder !
Y'a pas à dire, chapeau !
Etre capable de tirer 7 tomes à partir d'une intrigue aussi ténue, c'est du vrai travail de pro.
La recette : aussi simpliste que le scénario !
1/ les personnages doivent bouger de manière inversement proportionnelle à la dénsité du scénario.
2/ cette agitation permanente doit être entrecoupée de pauses régulières où l'on fait le point sur l'avancement de l'enquête.
3/ de manière à faire rebondir l'action, on ajoute un élément nouveau à chaque tome (ici la loge première).
4/ il n'est pas inutile de truffer certaines vignettes de détails mystérieux. On ne sait jamais, cela pourra reservir plus tard et montrera combien a été fine la construction de l'intrigue. Si cela ne sert pas, le gogo aura de toutes façons oublié et cela aura toujours entretenu un temps le mystère.
Fort de de tous ces éléments, il est donc possible de construire une série forcément médiocre mais qui se tient. Cela s'appelle faire le métier !
La première saison achevée, j'avais hâte de retrouver ce nouvel épisode. Pour le moment, le premier cycle est bien supérieur (à mon humble avis), mais ce 7ème volume reprend du poil de la bête sur la fin et je pense que ça vaut le coup de continuer. Pour ma part, les flashbacks sur le passé des enfants, j'aurais évité. De manière générale, une bonne lecture, sans plus.
Vraiment à éviter. Une succession de cliché enfilé par des des personnages caricaturaux. Le dessin n'est vraiment pas terrible et si le climat ou l'intrigue autour de magouille ou d'embrouille dans un service de police pouri aurait pu servir de trame interessante au récit pour accrocher jusqu'au second tome, le scénariste nous applique une couche de fantastique a base de statuette magique qui achève le tout. Beaucoup d'autres productions de qualités ou mettre le montant cette Bd. Une déception pour moi qui était plutot satisfait du Lombard
Bon, 7/10 (même si tout mon "être" veut mettre 8/10, je résiste !), car l'idée initiale est de Bec...Mais c'est vrai que ce dernier commence à s'essouffler ! Pourtant quel génie pour "Zéro Absolu" (même si le scénario semble un peu - bcp - abscons - 8/10) et Sanctuaire vraiment génial (8,8/10, les décimales ont leurs importances !). Ici, dès le T1 je me suis posé la question : pourvu qu'il ne fasse pas un remake de Sanctuaire....Hélas, même avec ce T2. cela semble se profiler...MAIS : Bec sera tjs Bec : ambiance fascinante et angoissante, même si répétition de séries en séries. PErso, avec ce T2, l'histoire s'agite un peu et commence a titiller mon intérêt plus que subjectif - je l'avoue - !!! MAIS, Ô oui, GRAND "MAIS" en ce qui concerne les dialogues : comme les chroniqueurs de BDGest, je trouve les textes primaires de chez primaires avec des références éculées de premières !! Et voilà t-y pas qu'on nous fait un remake de "USA in IRAK" même si ce n'est pas le cas "inside" (parallélisme idiot!).
Mais, encore un MAIS...Je suis tjs aussi "pris" par cette BD, c'est viscéral chez moi avec Bec, j'adore...Aurai-je besoin d'un psy ??? :-) Bon, si j'essaie d'être objectif, cette BD est bonne sans plus, MAIS (encore !) est - au niveau du T2 - qd même indispensable ! Tout avis étant subjectif - pour le prouver, je déteste LArgo Winch à partir du T9 - ben oui, réfléchissez un minimum, bref, je donne une dernière chance à Bec de prouver qu'il peut rester "angoissant" en se "renouvelant" qlq peu...Et comme certains autres "avis" le disent, pour la série "les Loups..." il faudra vraiment qu’il nous étonne car le T1 de ladite série est…Pffft lamentable !
Allez BEC !!! L’angoisse et le mystère tu connais, alors étonne NOUS !!
Un petit mot sur la « reprise » pour le dessin : pas mal sans plus…Ce n’est pas Bec, Hélaaaaas. Allez, disons un peu plus que pas mal, on a vu pire, non ??!!
Question ambiance, cela fait un peut penser aux histoires extraordinaires qu'on se raconte à quinze autour d'un feu de bois en essayant de flanquer la pétoche aux copains (et mieux encore aux copines !).
Comme j'ai passé l'âge, ce mystère me saoûle un peu et je n'y vois guère d'intérêt. J'y remarque en revanche de grosses ficelles. Pourquoi pas, après tout ?
Certaines planches m'ont semblé (mais j'hallucine peut-être) comme un hommage à Jacobs notamment dans "SOS Météores".
Tout ça pour ça ! serait-on tenté de dire.
Il y aurait beaucoup à dire sur les présentations faites au grand public des sociétés secrètes. Non pas que celles-ci n'existent pas mais qu'en règle générale après une génération elles ont purement et simplement disparu.
Et les Francs-Maçons m'objectera-t-on. Ce à quoi il est facile de répondre que cette "école de pensée" et malgré ses légendes n'a pas encore trois siècles d'existence. Quant à son caractère secret, vous en connaissez beaucoup des sociétés secrètes qui ont pignon sur rue, sites internet et tutti quanti ?
Mais là n'est pas le problème, que l'Eglise ait eu des branches pourries : oui, cent fois oui. Qu'il y en ait encore aujourd'hui ? Je n'i bien sûr aucune preuve mais je pense que oui.
Mais qu'il existe une branche encore plus pourrie qui tient le coup depuis 2000 ans, je n'y crois pas un seul instant.
C'est d'ailleurs la faiblesse consubtancielle de séries, par ailleurs remarquable, comme le Troisième Testament ou Le Scorpion
L'existence du frère caché de Jésus est elle boulversante ? Pas plus, il y a beau temps que des exégèses plus ou moins farfelues sont sorties sur le fameux Thomas (on parle du jumeau, Didymos en grec, pas de celui qui mettait ses doigts dans les plaies du Christ).
Quant aux Christ lui même, il y a tellement d'explications, toutes scientifiques bien sûr, sur les explications techniques de sa résurrection qu'on ne les compte plus.
Grâce au métier de Convard et au talent de Julliard (pas assez présent dans l'albuml à mon goût), on passe un bon moment.
Mais question originalité : zéro ! On est vraiment dans l'air du temps.
On aimerait pouvoir dire du mal de cet album car finalement les dessins ne sont pas terribles, le début de l'histoire est bavard et même verbeux !, l'assassin-méticuleux-propre-sur-lui-très-professionnel-mais-qui-a-un-coeur-sous-sa-gabardine fait quand même très cliché.
Eh bien malgré tout cela, ça fonctionne !
En fait on veut surtout savoir ce qui a lié le tueur et la jeune veuve (elle a des faux airs d'Emmanuel Béart jeune).
On verra avec le second album ce que vaut vraiment la série. En attendant, voici un très gentil moment de détente.
L'épouvantail pointe et comme tout ouvrier besogneux, il est consciencieux et
docile. Le trait de Beuzelin théâtralise très justement le Grand-guignolesque du
scénario d'Omond. L'histoire est empreinte d'un humour noir jamais amer : il y a
un amour fou, le dépit du petit artisan face au travail à la chaîne et une réflexion
salutaire sur la joie de servir.
Fabuleux! Alice, insipré par la musique de Wagner, signe ici le début d'une série en 4 tomes qui promet d'etre une balade formidable au coeur de la légende des Walkiries.
L'histoire très prenante est menée de main de maitre par de somptueux dessins et de superbes cadrages cinématographiques.
L'édition spéciale est très aboutie et mérite absolument sa place dans toute bédéthèque qui se respecte. De plus le DVD qui l'accompagne présente les premières images du dessin animé qui ménera la série sur les grands écrans (en utilisant une animation dans l'esprit des grands chefs d'oeuvre de Disney...ça donne franchement envie!).
Une BD fascinante entre aventure, quête initiatique et mytologie nordique...à posseder absolument!
Une très bonne série sur les vampires. Le scénario de Dufaux et plutôt bon même si il peut légèrement ennuyer dans de cours moments. Le dessin de Marini est toutefois superbe, les ambiances nocturnes sont très bien rendues par des couleurs brumeuses très bien choisies qui tranche avec les costumes rouge sang des héros vampires.
Tout ça merite grandement d'être lu par tous les fans de gothique, de vampirisme et d'intrigues policières...
Une histoire de pirates...une vraie! Tous les ingrédients sont réunis ici pour une superbe aventure: Un héros charismatique, un trésor fabuleux, des complots qui présagent des trahisons futures... un vrai régal!
Un nouveau scénario de Dorison qui décidement prouve une fois de plus qu'il est une pointure!
Seul petit hic: Dommage que le dessin de Lauffray donne parfois l'impression d'etre légerement baclé même si la mise en page et les cadrages sont impeccables.
Une BD à posseder absolument pour tous les mordus d'aventure!...Vivement la suite!
C'est l'album le moins intéressant de la série, d'abord parce qu'on y solde les comptes (il serait plus juste de dire qu'on les règle !).
Du coup le schéma est assez binaire : méchant/gentil, vivant/mort.
Les quelques pointes d'humour comme avec Kim Basinger ne compensent pas cette marche funèbre à laquelle on croit d'ailleurs assez peu : trop rapide, trop facile. Même si cette rapidité et cette facilité ont été voulues par les auteurs histoire de montrer qu'il y a de plus poissons encore.
Je reste convaincu que Matz aurait pu faire mieux.
Qu'on se rassure l'album reste néanmoins très bon et la série excellente. Le fait de chipoter sur des détails montre à quel niveau nos deux compères ont su porter leur affaire.
Hugues de Crozenc reçoit une lettre d'une certaine Alix. Malgré son mariage de force, elle est toujours sa bien aimée.
Il va tenter d'aller la délivrer mais les choses ne vont pas s'arranger car toute sa troupe va être attaquée et va être livré à lui même.
Un album qui nous laisse présager un excellente aventure semée d'embuches.
Le scénario est toujours aussi parfait.
Bravo monsieur Kraehn.
Cet album suit de manière très cohérent l'album précédent. L'auteur résussi avec brio à nous balader dans cette histoire.
Les dessins sont repris à partir de la page 18 par Pierret ce qui améliore considérablement la qualité graphique. Le personnages sont plus fins et sont beaucoup plus charismatiques.
J'ai découvert les aigles décapitées par cet album. J'ai été immédiatement pris par cette histoire.
Suite à un naufrage et à la capture de Sigwald et des compagnon de Hugues, celui-ci est envoyé, en compagnie de Nolwenn, à St Malo pour aller récupérer la rançon. Entre temps, il est marié de force à sa compagne Nolwen.
Puis, il fera l'objet d'une trahison au sein de la ville fortifiée.
Bref, un très bon album dans lequel on se laisse prendre par le scénario.
Les dessins quant à eux respirent encore les début.
Nos héros sont désignés pour essayer de nouveaux appareils. C'est une histoire en un seul tome mais très efficace.
Le scénario est également très bien mené. On y découvre les nouveaux avions de l'après guerre et également le précieux siège éjectable.
On sent qu'à cette époque le duo Hubinon/Charlier est en pleine ascension constante.
Je ne suis pas du tout convaicu par cet album.
Le scénario est quasi inexistant, le ton est assez décousu. Le début démarre au salon du Bourget pendant qu'un avion américain est abattu en territoire nord Coréen.
Puis plus rien jusqu'aux 2/3 de l'album: Nos amis sont transférés à Okinawa, transfert qui va durer bien trop longtemps. Ensuite vient le plus intéressant de l'histoire lorsque Buck est "dropé" pour aller chercher le pilote disparu...et malheureusement ça ne dure que 2/3 pages.
Ça dégage sec dans ce deuxième album puisque les trois duo se réduisent pour chacun à l'unité.
Il semble bien que tant du coté des flics et des journalistes que de celui des tueurs, il ait été décidé en haut lieu de couper les pistes.
Qel choix va-t-il donc rester aux survivants sinon et contre toute attente de collaborer ?
Moins drôlissime que le premier album, celui-ci est un noir de chez noir, gouteux avec ce qu'il faut d'amertume dedans.
Un grand cru !
Deux tueurs qui font penser à Laurel & Hardy, pas pour le physique mais pour le comique qu'ils inspirent, doivent aller buter un sénateur puritain qui se donne du bon temps avec une professionnelle mineure.
Le problème est que l'un des tueurs marche dans une merde de chien et que ses pompes valent 2.000 $ à partir de là tout dérape...
Décidément Matz est très à l'aise dans ses histoires de tueurs. Rien à voir ici avec son héros vedette, mais la mise en plac e d'un triple duo : les tueurs, les flics et les journalistes.
Car comme de bien entendu, l'affaire est vite étouffée. En tout cas beaucoup aimeraient qu'elle le soit.
Epilogue de cette fugace (pour ne pas dire fugitive !) série. Nous sommes en Afrique, au Congo où Désiré doit préparer son championnat d'Afrique. C'est peu de dire que Coralie est bien vue par le coach de son compagnon.
Le plus intéressant -à mes yeux en tout cas- ne réside pas tant dans l'énigme policière -assez quelconque- mais dans cette confrontation du traditionnel millénaire et de l'esprit rationalistes des lumières (représenté par Coralie).
Aucun des deux ne peut prétendre à la complétude, chacun apporte des réponses différentes -à des questions différentes qui plus est et aucun ne complète véritablement l'autre.
En attendant, cet album bénéficie de la présence d'un tueur habillé en prêtre et qui fait véritablement le sel de l'album.
La fin de l'histoire policière est bien dans le ton désabusé et légèrement amoral de la série.
Toute corrélation avec Caroline Baldwin est évidemment voulue. Coralie Lavallée est en quelque sorte sa petite soeur.
Toutes les deux sont des femmes libres, l'une est indienne, l'autre créole, toutes deux sont nées de l'imagination de Taymans et enfin le style d'Eric Lenaerts peut se définir dans la lignée de Taymans.
En attendant que vaut ce blues ?
C'est la suite directe de Requiem, lequel était resté en suspens sur les problèmes de narco-trafic. On rerprend donc avec un vague piège qui tourne mal et très franchement, ce n'est pas le meilleur de l'album.
Le meilleur de l'album, c'est justement la préparation du combat de boxe de Désiré et ses tentatives de revenir aux sources originelles africaines, Coralie jouant alors le rôle de Candide.
Une écriture virtuose, un dessin à la fois simple et complexe, une mise en couleur magnifique.
Fell est, pour ma part, une grande oeuvre dans la ligné d'un From Hell.
C'est fait avec intelligence et maitrise. Les dialogues et les personnages sont fouillé.
A acheter d'urgence !!!!
Coralie Lavallée est une -superbe- pianiste spécialisée dans les standards américains des années 30 à 50.
L'un de ses plus fervents admirateurs décide d'en faire pour moitié son légataire universel. Colère (rentrée) du gendre qui ne supporte pas de voir la moitié des picaillons lui passer sous le nez. A moins que ...
Ajoutons à cela que le compagnon de Coralie est un Rudy aussi jaloux que vioilent et trempant abondamment dans le trafic de stup' et vous aurez la base de cocktail classique mais solide.
Sûrement le moins bon de la série si je compare aux autres critiques. Il faut
aimer l'ambiance mate, les couleurs ternes, les traits grossiers des personnages.
Malheur pour moi, c'est le premier que je lis de la série. J'espère que je me
satisferai des autres tomes car celui-ci, me rappelle un peu les Dick Hérisson
mais en moins passionnant...
Il faut aimer le genre de lignes très épurées, la sobriété quai constante. Un peu
déstabilisant. Les personnages se ressemblent, on s'y perd quelque fois. rien de
méchant mais rien pour passer à l'histoire!
Le titre laissait présager quelque chose de plus disjoncté même si l'album ne suit
pas les traces de la normalité.
Nous voici désormais dans la botte italienne laquelle -entre duchés, royaumes et républiques- est d'une complexité absolue. Les alliances d'un jour se défont selon la pression que peut mettre la puissante maison d'Autriche.
Or un drame successoral est bien en train de se jouer.
Charlier retrouve toute la verve des grands feuilletonistes du XIXème pour nous brosser un monde plein de dangers.
Paru initialement dans Pilote sous le titre "Sus aux Barbaresques"
La BD qu'il faut avoir lue!!!
On se laisse emporter par ce héros atypique au gré de ces fantasques aventures.Et cette fin!! Ces dernières pages sont fabuleuses!! Tout y est!!
Un hymne à la terre et à l'humanité!!
Ce genre de récit où l'auteur nous emporte où il veut, nous fait oublier ce qu'on doit croire pour nous amener violemment la vérité .
Alors là sincèrement c'est bien un des rares fois où je m'écarte à ce point de l'âvis général.Jamais je n'ai réussi à dépasser la médiocrité des dessins et la pauvret de la recherche graphique. Même si le scénario est correctement ficelé, il n' y a pas d'atmosphère; c'est figé; oui vraiment le dessin manque de vie!! Je pense que cela aurait fait un très bon roman (est-ce le cas ?)...
Excellent polar, le scénario est bon et le principe des hommes/animaux est ici remarquablement bien utilisé et réalisé. Les personnages, tous charismatiques, sont superbement croqués et expriment une grande variété de caractères (forte tendance "gangster" et "dur à cuir" il est vrai), l'atmosphère est "aux pt'its oignons" et les dialogues tombent de sens. Une vraie réussite... et un énorme coup de cœur pour ces "bouilles" de poils. Bravo !
Bon western, sans plus... Le scénario est relativement banal et je trouve les personnages stéréotypés, ils manquent à mon sens de charisme et de profondeur. Par contre, les dessins sont très réussi. Je reste sceptique sur cette série (c'est le premier album que je lis) devant les nombreux avis (40 à ce jour) des lecteurs, tous élogieux. Peut-être que je l'ai simplement lu dans un jour sans... A voir !
Ce second album ne faiblit pas d'un pouce. Toujours complexe mais lisible. On commence bien sûr à avoir plus qu'une idée de qui trahit avec qui.
Ceux que les vrais histoires d'espionnage passionnent (loin des aventures jamesbondesques) seront ravis de cette combinaison immorale et amorale qui traduit l'état de putréfaction de certains services.
Sirweed Galver a tout pour être heureux. Dans 4 semaines la quille pour ce numéro 2 de la CIA !
Une vraie contrariété toutefois puisque l'un de ses meilleurs amis Peter Tasker vient de disparaître brutalement en Tchétchénie.
Et l'ennemi d'hier et allié d'aujourd'hui, Buggentov, qui traîne les pieds pour activer l'enquête sur place. Et voilà que Sirweed sert de cible à plusieurs reprises, rien ne va plus dans le monde du renseignement.
Souvent violente mais tout autant subtile, cette histoire met en exergue les tentatives d'infiltration des mafias russes par différents services secrets et d'où l'on se pose la question de qui manipule qui ?
Une bande déssinée plutôt réussie surtout au niveau de l'univers steampunk dans lequel évoluent les personnages, une société rongée par la rouille dans une ville futuriste qui rapelle l'archithecture industrielle du début du XXe siècle.
Moreno offre ici un dessin grisatre hyper éfficace qui colle impéccablement à un scénario de Corbeyran très bien ficellé.
L'ambiance est très bien rendue, le découpage des scènes d'actions assez réussi.
Très bon.
Voilà une série futuriste en 2 tomes que je qualifirai de gros défouloir bien bourrin.
Le premier tome présente le cadre, les personnages et le noeud de l'intrigue sur un scénario très classique (on est dans l'espace, huston on a un problème, les habitants du vaisseau se transforment en zombies, bla bla bla...) et justifie le passage au deuxième tome qui lui est par contre est un gros défouraillage de zombies au gros calibre et à la tronçonneuse, c'est du gore, c'est bien violent, ça sert à rien mais ça fait bien plaisir!! ça charcute dans touts les sens à coup de répliques style "on est 5: vous deux, moi,...et Black & Decker!".
Ca se prend pas au serieux (d'ailleurs le héros se surnomme Slob!), c'est gore, c'est décapant, c'est de l'action de base bien bourrine. De temps en temps, ça fait plaisir!
Fin de cycle satisfaite bien qu'un peu convenue (à mon sens). Ceci conforte l'idée d'une bande dessinée sympathique qui n'a pas la prétention de se hisser au rang de chef d'oeuvre et qui de fait, remplit son rôle : divertir. Pas déçu en définitive et curieux de savoir quel sort est réservé par la suite à chacun des personnages.
Faire d'une île inconnue le symbole de la lutte entre indigènes et conquistadores est peut-être une bonne idée (on verra à l'usage). Choisir ce dessinateur (que je ne connaissais pas) est une idée géniale.
Quel talent, quelles nuances, quelle subtilités dans les couleurs.
Ce qui a gâté un peu mon plaisir est l'impression du 1 partout la balle au centre. Certes les Espagnols sont très méchants, voyez comme ils tuent et ils violent mais les pré-Colombiens ne sont pas meilleurs non plus voyez comme ils traitent leur peuple !
Même s'il est historiquement fondé, ce genre d'argument me met mal à l'aise. D'abord parce qu'il s'agit d'un abus de pouvoir et que dans ce domaine, les caciques indiens ne devaient pas être meilleurs -ni pires- que les seigneurs féodaux. Ensuite, à l'arrivée ce sont quand même les civilisations pré-colombiennes qui ont disparu.
Il me semble donc que l'acier de Tolède a fait plus de dégâts que le poignard d'obsidienne !
Bien que ce ne soit pas une BD mais plutôt un livre illustré, il se rattache -très indirectement au cycle d'Olivia Sturgess.
Il s'agit bien sûr d'une enquête policière des plus classiques (un whodunit cher à Rivière) mais l'intérêt du livre réside dans un double twist qu'on a certes deviné depuis un certain temps grâce au titre et au prénom de l'une des héroïnes.
Ce n'est pas grandiose mais tout à fait charmant.
Suite de cartes postales signées par F. (Floc'h ou Fromental, zatize ze kweshion !). Elles trainent leur pesant d'ennui et preuve que les auteurs sont vraiment talentueux, cet ennui se communique rapidement au lecteur. Lequel se demande si on se fout de sa gueule ou si on se moque de lui ? Comme de toutes façons on lui a piqué son pognon, la réponse n'a plus beaucoup d'importance.
C'est pas une BD mais un livre illustré.
Comme son titre l'indique il s'agit d'un pseudo journal d'un "artisse" de passage à New-York. L'année -1966- et le milieu -artistique- sont sensés jouer de l'exotisme de pacotille. Car le problème qu'on se pose vite est de savoir si c'est du deuxième ou du premier degré ?
Autrement dit si en ne voulant pas faire une critique (?) via un second degré de bon aloi, Jourde n'est pas finalement tombé dans le panneau.
Sans les dessins de Floc'h se serait une catastrophe absolue, déjà que même avec eux ...
C'est bien sûr excellent, je pense aux multiples fins bien sûr, mais on avait quand même deviné depuis un petit moment le pourquoi du comment du "méchant".
Du coup, il me semble que cet album n'est quand même pas complètement à la hauteur des deux précédents. Dans la même mesure, il n'est pas autant d'équerre. Peut-on simplement croire qu'entre 1954 et la fin du communisme, un simple changement d'identité suffisait (je pense à celui du méchant pas au père du héros) ?
En pleine période kroutchevienne et brejnevienne, c'est à dire à l'acmé de la puissance du KGB. Laissez moi rigoler !
Attention ce que je dis est que ce type d'histoire est crédible mais que le secret qu'il constitue face aux autorités de l'état n'est qu'un pétard mouillé.
Même si cela ne relève pas du détail, cettte erreur est finalement de peu d'importance tant on a pris du plaisir dans cette formidable histoire.
Un suspense qui ne mollit pas, des décors envoûtants (je pense notamment au combinat), ce deuxième album prolonge le premier. Il l'explose même sur certains aspects dont notamment la violence, laquelle n'est toutefois jamais gratuite.
Outre une formidable histoire d'homme, Giroud nous dépeint tout un pan de l'histoire russe. C'est formidable et on en redemande encore !
A la mort de son père, un jeune traducteur de russe décide d'en savoir un peu plus sur son mystérieux géniteur. En fonction de quelques éléments retrouvés dans une mallette, il entame une enquête laquelle le mène bien évidemment à Moscou chez une partie ignorée de sa famille. L'acceuil est glacial car Valentin s'aperçoit que son père a purement et simplement laissé tomber sa famille moscovite. Pis, il était bigame.
Voyant qu'il n'est pas le bienvenu, il quitte le demeure en laissant les photos. Nouvel appel de sa "famille" le lendemain : le monsieur sur les photos n'a rien à voir avec l'éventuel mari bigame.
En revanche, il semble bien que le père de Valentin ait fait partie d'une mission ultra secrète dans l'Arctique en 1948. Ce qui expliquerait les tueurs lancés à ses trousses.
Cet album de quête identitaire et d'enquête que s'est-il passé voici plus de cinquante ans est une pure merveille.
AIE AIE AIE! On est partis d'un niveau tellement haut dans les 2 premiers tomes que l'on a l'impression de plus tenir la ligne... un petit peu décevant mais ça reste quand même de la haute voltige! Un Blacksad plus sentimental, qui enlève ses carapaces, ça fait plaisir aussi...
Quand on sait que les auteurs font une petite pause, on se dit que c'est bien, qu'on fait pas du commercial et qu'on se recentre sur autre chose pour revenir en force avec un Blacksad, on l'espère, plus détective que jamais pour 2009!
Un nouveau chef-d'oeuvre! Un scénar encore meilleur que le précédent trancendé par un dessin encore plus abouti... une nouvelle originalité avec les luttes raciales entre les "poils blancs" et les "poils noirs"... Un Blacksad encore plus humain, Le personnage de Karup (L'ours polaire) est l'exemple même du genie des auteurs pour ce qui est de donner vie humaine à des animaux. Une suite encore meilleure que le premier tome! Superbe! On en redemande!
Une vrai perle! On prend l'inspecteur Canardo, on lui met une pomme dans le bec, on le passe au four thermo8 (avec respect!) et on passe à la puissance 10 avec Blacksad, un polar bien ficellé, un casting-bestiaire incroyable, et un dessin à couper le souffle!!! Quel bonheur!!! Ma BD préféré de toouuuute ma bdthèque! un véritable chef-d'oeuvre! ...STOP!...j'dis plus rien. Faut lire pour comprendre!
Pour une première en tant que scénariste, on ne peut qu'applaudir Mr Marini qui nous presente là un très joli petit bébé! Bon, ça se sent que c'est une première car le scénario est quand même un tout petit peu plat, mais bon, on va dire que c'est normal, on decouvre les personnages, on fait connaissance avec ce nouvel l'univers.
Marini reste humble et on sent très bien qu'il ne veut pas concurrencer le puissant Murena de Dufaux et Delaby. Il fait sont petit bout de chemin tout seul et c'est très bien. Et puis une histoire dans l'Histoire de Rome c'est bien et c'est courageux d'avoir pris le risque. C'est vrai qu'il y a des petites scènes coquines, mais on pardonne parcequ'on sait qu'il aime bien ça... et nous aussi d'aillleurs (et puis un Marini sans scènes osées, c'est plus un Marini!)
Au niveau du dessin, là c'est vraiment quelque chose, plus de style, de maturité, de finesse, d'émotion... on est vraiment surpris. Je dit bravo et que ça continue.
Seulement un tome et déjà une belle aventure... la suite sera déterminante...
Encore une excellente épopée avec un péril pour l'univers tout entier comme Dc le aimes. Avec en prime mes deux héros préférés : le batman et green lantern. Que demander de plus ? He bien des personnages secondaires liés a l intrigue de façon intéressante. Les dessins ? Précis, clair net et colorié avec bonheur.
Bon album même si cela me semble perdre de son interet. Peut ètre moins inspiré par cette histoire je n'ai pas trouvé les personnages et leurs péripéties trés prenantes comparé au 1er et 2nd tome. Cela reste bon tout de même. Toujours très bien dessiné. Mauvais jugement ou impression réelle ? Je confirmerai aprés lecture des suivants.