Les avis de la bedetheque

que dire ? ... pas emballé du tout... le dessin n'est pas génial, il n'accroche pas, trop peu spécial, trop banal, ... le scénario quant à lui... quel scénario ? ... je n'ai franchement pas du tout apprécié cette BD...
Ça arrive...

Kalesniko raconte dans cet album tous les traumatismes vécus par un jeunot
(lui?) pendant son enfance à travers de courts (très courts parfois) épisodes
où prédomine le muet. Une suite d'annecdotes à première vue annodines
soutenues par un dessin net, énergique et expressif, un découpage clair et
efficace, une narration et une mise en scène très bien maîtrisées où les
sensations du jeune Kalesniko (à condition qu'il s'agisse bien de lui) nous
touchent directement.

Ca se lit très vite (trop vite) mais ça nous atteind et nous émeut beaucoup.

C'est un coup de cœur de la rédaction... De ce fait, cela m'a influencé et j'ai
acheté cet album. L'objet est beau et tentant. A la lecture ma déception est
grande, certes le dessin est assez sympa et il ne faudrait pas grand chose pour
créer une "ambiance", mais les personnage sont difficiles à identifier et les
actions sont trop fouillis pour s'y reconnaître. Le scénario est, quand à lui, plus
que minimaliste, sa seule originalité tient dans le fait que ça se passe dans un
monde imaginaire de souris, mais les bons contre les méchants avec héros
évidemment, on nous l'a fait maintes et maintes fois. Franchement ces petits
Mickey ne feront pas trembler l'original, il peut dormir tranquille ! Et pour les
dialogues c'est encore pire, ils sont si peu nombreux qu'il faut moins d'une demi-
heure pour lire ce livre de 152 planches ! A éviter.

Après avoir lu les quatre 1er albums, je pense que c'est à partir de ce tome que Morris commence à trouver l'idée d'un personnage fort et charismatique avec Lucky mais aussi avec ses adversaires. Pat Poker a tout ce qu'il faut pour donner de l'intérêt à l'histoire et créer des situations comiques. Les 4 premiers albums de la série étant plutôt des scénettes. Les dessins commencent déjà à s'affiner avec plus de détails.

Un bon album pour tout amateur de SF en BD. Le mélange de la SF, l'uchronie, et de sujet biens actuels (tel que le fondamentalisme religieux) prend bien et la lecture s'avère agréable grace à des dessins corrects et bien mis en couleurs. Le savoir faire de Corbeyran est indéniable pour ce qui est des dialogues et de raconter une histoire sympa avec de l'action. Reste qu' à force d'enchainer de nombreuses séries, ses personnages sont quand même un peu stéréotypés. L'originalité est inconstestablement cet univers original et vaut à lui seul la découverte de cet album.

Je continue de parcourir avec plaisir cet entrecroisement de destinées. Ici comme dans le tome précédent, la musique est un peu mise au second plan. L'histoire d'amour entre Elias le mécano talentueux et Aleka la jolie bergère martyrisée par son oncle bien que classique et prévisible est agréable à lire. Le dessin est vivant et servi par des couleurs agréables. On se demande qui sont ces personnages dont on aperçoit les mains au début et à la fin de chaque tome. Cet épisode donne envie de connaître la suite et c'est bien...

qu'est ce qu'on rigole avec Jacques.
merci Libon de m'avoir fait passer un si bon moment.
il faut bien regarder les expressions des gens autour de lui. et ses réflexions lorsqu'il voit un papillon.
j'ai un album dédicacé avec un gros lézard en 1ère page. contente moi !
j'attends impatiement la suite de ses aventures avec Mamie !

Cette histoire, malgré le sujet qui traite de l'amour entre deux hommes, le lieutenant Alban Méric et son ordonnance le jeune grec Manolis a baissé d'intensité par rapport au précédent. Le principe narratif m'a plu, retrouver chaque membre du Quintett dans leur vie et revoir des scènes vécues en commun abordées sous un autre angle, mais comme Voltaire, je n'ai pas accroché aux dessins... L'intrigue est bien écrite tout en restant classique, amour, chantage, meurtre, le tout dans un contexte de guerre qui rend les limites entre la vie et de la mort plus aisées à franchir...

Un PUR chef d'oeuvre.
Il s'agit ici d'une formidable quête : la quête de soi, trouver un sens à sa vie en repousssant ses limites. Habu se cherche et force à la fois l'admiration et l'incompréhension.

Le "Sommet des dieux" ou comment le fond et la forme ne font qu'un. Par son dessin d'une incroyable précision, qui a du demander une somme colossale de travail, Tanigushi est Habu.

Aux détracteurs qui houspillent les passages vides, je dis : vous les considérez vides parce que vous n'arrivez pas à les remplir utilement. Une BD comme ça, ça se savoure, ça se digère, ça émeut, ça se respecte.

Prenez le temps de ne pas sortir indemne de cette lecture.

un second volume (presque) aussi bon que le premier (d'où mon 7/10 au lieu du 8/10 du premier)... Toujours rien à reprocher dans la globalité mais je ne sais pas, un petit quelque chose en moins au niveau de l'intensité, du "volume" du scénario, ... Au final cependant, une très bonne histoire à ne pas manquer.

aussi bon que le premier tome, meilleur que le second je trouve... L'histoire, tout en étant mystérieuse n'en est pas pour autant trop complexe, on ne se perd pas dans les petits détails qui peuvent parfois embrouiller un scénario. L'action est là en permanence, les dessins et couleurs très agréable ne gâchent rien.

Wayne Shelton qui avait été commencé par Van Hamme et repris par Cailleteau, est assez bien dans l'enssemble, un peu moins ce dernier, mais le dessin est très bon.

Dans celui ci, Wayne Shelton vas devoir venir en aide à une personne que connaissait sa copine Honey et qui est retenu en otage comme l'indique le titre.

Lady S est une nouvelle bonne série que nous raconte Van Hamme, pas la meilleure, mais bien.
Aymond dont je ne connaissait pas dessine bien,(mieux que dans Apocalypse mania, dont j'ai vu des extrais).
Une jeune fille qui posséde plusieures identitées et qui finalement se fait embaucher par la CIA (en gros).

Vance nous dessine içi l'histoire d'un jeune matelot Bruce, à il arrive plusieurs péripéties.
Apparement Vance nous continuerait cette série, si c'est le cas alors tant mieux.
Cette série est faite pour toutes les personnes qui aiment les histoires de bateaux du temps des pirates ( je ne me souviens pas vraiment de l'époque).

S'il n'y avait pas Murena, je dirait que Ramiro est la meilleurs série historique en BD.
Içi Vance nous montre sont grand talent de dessinateur avec pour histoire une seule chose fictif, le héros, tous le reste est vraie, d'ailleurs avant chaque histoire il y a des photos de paysages ou autres nous expliquant un peu les monuments d'Espagne et du sud de la France ( comme le chemin de Compostelle).

Vraiment bien réussie.

Cet album est mon préféré de la série.

Tout d'abords Vance c'est nettement amélioré,
d'autres part l'histoire est bien ficelée, Gotcho Moralles est le personnage principal de cette histoire s'est se qui m'a plut, car Bruno Brazil n'est pas un héros qui me donne un réél plaisir, juste assez pour passer un bon moment.

Cette série est assez bien.

On retrouve avec plaisir Vance au dessin, mais étant donné que cela date des année 60, ce n'est pas mon préféré car il était à ses débuts,et ça fait bizzare de voire l'évolution quant on posséde d'autres séries de lui, et comme d'autres il fallait bien qu'il fasse ses marques.

Quant au scénario, c'est correct sans plus.

Voilà, vous prenez cette bd et vous êtes scotché...où est le 2ème tome ?!
Inutile d'apprécier le western, le scénario, c'est l'histoire du Graal, de la vie, de la vie éternelle !
C'est un album est graphiquement, esthétiquement magnifique !
Le tome 2 n'en doutons pas, confirmera cet excellent premier opus !
C'est à mon sens un chef-d'oeuvre indispensable, à posséder dans sa bédéthèque !

Contrairement à certains autres albums de la série, les tomes 9 et 10 sont pour moi les plus mauvais.

L'histoire part trop dans le fantastique (comme réussir à manger un oeuf avec la coquille, un peu ridicule), ce qui est domage car j'adore le coté fantastique de Dufaux, mais pas là, en plus l'envirronnement ne plait guére aussi.

Ce Jessica Blandy est vraiment génial.
On trouve un personnage, Peau d'enfer, glauque et pervers, ainsi que des paysages de crasses.

Renaud dessine à merveille cette histoire ou Jessica Blandy va se retrouver embarquée par hasard et va la rendre plus forte mais surtout plus méfiante.

C'est vraiment le must du must.

Très bon volume dont l'intrigue est très bien développée laissant le suspense présent jusqu'à la dernière planche. Les personnages sont plutôt sympa à suivre et attachants. De plus la présence d'une touche de fantastique renforce le tout. Le dessin quant à lui est également une réussite renforçant l'ambiance plutôt "surnaturelle" de cet album.

Peter Parker face à la terrible réalité d'un monde cruel. Voilà ce qui pourrait résumer ce numéro. Les révélations faites à Peter sur l'existance de ses clones sont difficilements supportables pour ce dernier et les évènements vont vers un affrontement sans pitier. Mais le plus intéressant reste la fin de ce numéro et de ce que promet le prochain. En effet Peter va devoir mettre les choses aux clair avec sa tante May et réfléchir à la proposition faite par Red Richards. Bref voilà que de nombreux évènements intéressants se profilent.

Fathom : L'intrigue est devenue plus lente avec moins d'action mais ça reste intéressant à suivre. Bons épisodes

Shrugged : Malgré certains éléments qui laissent supposer que l'intrigue devrait devenir plus classique dans l'avenir, pour le moment celà reste très intéressant à suivre et même plutôt drôle.

Soulfire le règne du chaos : Pour le moment on ne sait rien du lien qui peut exister entre cette série et Soulfire (mais vue le titre il doit y en avoir un). D'une manière généralme l'intrigue est longue à s'installer mais pas dénuée d'intérêt.

Le retour de Red Tornado : Fin de la saga qui marque le retour d'une nouvelle ligue de justice d'amérique. bien que pour l'instant ce retour ne soit soit pas des plus "officiel" dans l'univers DC (la reconstruction étant plutôt le fait de la nécéssité et du hazard plutôt que par la réelle volontée des trois piliers de la JLA). L'intrigue en elle même est plutôt bonne et la fin toujours dans le style "rien ne change jamais" est plutôt bien faite.

Le nouvel age : L'intrigue de cette première aventure de la nouvelle JSA met un peu de temps à s'installer mais ça reste prometteur avec des personnages intéressants bien que peu connus (du moins en ce qui me concerne). Reste à voir comment celà va évoluer mais ça me rappel un peu la saga de la JLA "crise d'identitée".

Kid Amazo : Voilà deux bons épisode qui montre un homme pas ordinaire luttant contre son côté robot qu'il vient de découvrir afin de conserver son côté humain et se libérer de l'emprise d'Amazo. La fin est plutôt intéressante et donne envie de connaitre la suite.

On ressort de ce volume un peu déçu à cause des combats en général trop courts et trop légers, sans véritable spectacle. On se consolera tout de même avec le combat de Kiryu qui est plutôt pas mal et on espérera que la suite soit meilleure à ce niveau. Toutefois certains éléments développés dans ce tome laissent sous entendre les projets de Kiryu vis à vis de Kibo et ça peut donner quelque chose d'intéréssant.

Très bon volume où l'action laisse la place aux intrigues politiques et les manipulations qui en découlent. L'histoire est très bien développé et maintient en haleine le lecteur tout au long du volume. La fin est terrible et donne envie de lire la suite tout de suite. Chaque volume est une surprise et dans un sens exploite un genre différent du précédent avec des thèmes pas vraiment faciles à aborder. Bref voilà une très bonne série.

Voilà une série très sombre aux dessins très très réussis mais qui souffre considérablement d'une absence de scénario, enfin il y a bien le début d'un commencement d'approche d'une histoire mais il n'y a pas vraiment ce que l'on pourrait appeler un développement. Certes on s'attarde sur chaque volume sur le dessin mais alors c'est incroyable comme on s'ennuit. Franchement dispensable.

Une petite série pop corn sympathique commence, très bon dessin, assez drôle, très encourageant
( c'est une serie qui se rapproche , par son style, de Merlin "chez dargaud" de Munuera )

Les dessins sont sublimes, bonne continuité sur le tome 1, bonne lecture a tous

Agréablement surpris par cet album sans prétention.
Pas de texte, une histoire simple. J'ai toute suite été embarqué dans cette histoire. Le héros est sympathique et très bien rendu par le magnifique dessin. A chaque moment de lecture le héros c'était moi, oui j'étais à la place de notre vedette cherchant la grande vérité....
Très bon album.

Pour moi qui n'aime pas la série Blueberry première, j'ai vraiment préféré cette série dérivée.
Tout d'abords les dessins de Wilson puis de Blanc Dumont sont beaucoups mieux faits, quant à l'histoire elle est vraiment captivante surtout lorsque l'ont a des perssonnages comme Snake(oeil en moins, cicatrice, cheveux longs façon indien, comme sur la couverture).

C'est sans doute mon album préféré.

Alors la, j'ai été un peu déçut par cette suite.
Bon le dessin reste toujour le meme, en revenche l'histoire m'a moins plu, car d'une part Nadja qui est enfermé est très peu présente, et aussi parceque je trouve que je me pert un peu dans toutes ces histoires de cartel.
J'ai du mal à distinguer les personnages comme Sam Natchez, ainsi que les autres.
Donc un peu moins bon que le reste.

Vraiment le meilleur album de la série surtout par son coté plus sérieux.
Le Scorpion est vraiment décidé à tout pour faire tomber Trébaldi, à qui il en veut, surtout depuis les diverses agressions qu'il à subit.

Déjà la série était bien, mais la elle va etre encore mieux, vivement le prochain.

Plus on avance dans la série et plus on connait mieux le passé de Larry qui est très secret et sa relation avec gloria alias Kate Absynthe.
Le dessin est mieux qu'au début et les couleurs plus claires se qui permet de mieux apprecier la lecture.
Quant à l'histoire, ele est toujours interessante et on à hate de savoir la suite.

L'histoire de Larry Max, un agent du fisc américain, qui dans ces deux premiers tomes, essaye de résoudre une affaire de nazi datant de la seconde guerre mondiale, qui va le mener jusqu'en Suisse.

Les dessins sont un peu simplistes, mais on passe un agréable momment de lecture.
Desberg a l'air d'aimer traiter se genre de sujet.

C'est un album de transition, on y voit enfin le pourquoi du comment, le rôle et le but de l'Eglise, mais on se pose encore pas mal de questions.... On sort de la confusion du premier album. Très interessant aussi le cahier graphique en fin d'album ou les auteurs expliquent la fabrication de l'ouvrage, ce qui les a amener à cette histoire. Les petites explications en fin d'album sur la science et la médecine son très interessantes et nous permettent de mieux cerner l'époque. Vivement le tome3 !!

je donne mon avis sur les trois volumes en même temps

j'avais vraiment bien accroché au premier avec des dessins comme je les aimes bien et une ambiance bien restituée.

Malheureusement le second manque d'intérêt au niveau de l'histoire mais reste tout de même plaisant dans l'ensemble

Quand au troisième, il gâche tout. La fin est ultra rapide et limite pas compréhensible. On pourrait croire que le dernier album est un résumé de plusieurs bd mais que les auteur on du faire vite ils avaient signé que pour 3

Dommage Dommage

j'ai été d'abord rebuté après quelques pages, je me demandais où l'auteur voulait en venir, si ça allait enfin démarrer, et puis j'ai vraiment accroché et lu jusqu'au bout...
Bon, ce n'est certes pas une histoire pour se détendre, s'évader, mais qu'est-ce que c'est instructif !!! J'ai appris pas mal sur l'histoire politique de gauche dans notre pays.
Heureusement qu'il y a eu des gens comme les parents de Davodeau...

Au cinéma, j'ai toujours beaucoup aimé les histoires de flic. Surtout les petits flics en civil sans esbroufe, ceux qui mangent de la planque et de la paperasse dans une banlieue ou un quartier pourri et cosmopolite. J'ai été ravi de retrouver tout ça en bédé.
Le ton est très réaliste, on est immergé immédiatement dans l'univers de Pierre Dragon, un flic au physique bourru mais profondément gentil et adepte de la méthode douce. On planque, on partage l'ennui du soum' (mais sans s'ennuyer en tant que lecteur), on croise des indics, on se heurte aux rivalités entre services...
Finalement, l'enquête en elle-même est secondaire, c'est Pierre Dragon qui est intéressant.
Et le dessin de Peeters se prête parfaitement à l'histoire. J'ai adoré certaines planches (je pense notamment au passage en voiture à 5h du mat' avec les reflets sur la carrosserie) et le dessinateur suisse rend parfaitement hommage à la fois aux personnages et aux ambiances qu'il retranscrit.
Vivement le tome 2, je suis pressé de retrouver l'univers de Pierre Dragon.

Très bon opus de série.
Il vient renforcer la côté attachant de Largo par l'issu un pu tragique. Dans le
reportage de Kanari film, l'auteur (J. Van-Hamme) ne laisse pas non plus
envisager une 'bonne' fin pour le tome 16, et notre héro en a bien besoins pour
rester à la portée du commun des mortel.
Très bonne BD qui redonne un coup de vif à la série

J'ai acheté le premier tome de cette serie attiré par le titre (tiens? un western!) et surtout par les dessins que j'ai trouvé vraiments très beaux. De plus le scénariste (Dorison) m'avait vraiment impressionné dans "Le troisème testament" et je me suis dit que cette bd ne pouvait etre que bien.
Je l'ai laissé reposer dans ma bibliothèque très longtemps avant de la lire (ce qui n'est pas dans mes habitudes) - était-ce un signe? - Un beau jour je me décide à la saisir et à me plonger dedans... grosse déception. J'ai trouvé le scénario compliqué je ne m'attachais à aucun personnage, même si le dessin est très beau, je me suis vraiment ennuyé... mais j'ai quand même acheté le deuxième tome en apprenant qu'il concuait le cycle et en espérant qu'il allait réhausser mon interêt, et là... pfff, tout pareil. Je me suis tellement ennuyé que je n'ai même pas fini la bd ; ce qui me m'était jamais arrivé! Dommage...
3/10 pour le dessin et basta.

Une superbe serie qui mêle très habilement des univers dans le style de Mad max, Jeremhia et waterworld sous la forme d'un conte spirituel à l'intrigue très progressive et extrêmement bien menée.
Le dessin, très bon, gagne en maturité tout au long de la série et frôle la perfection dans le dernier tome. La mise en scène est impeccable.
Dommage que l'histoire se lise si vite.

La péniche où se trouve Jeanne et François a été réquisitionné par les Allemands afin d'acheminer du matériel. Il est donc plus difficile pour Jeanne de retrouver sa soeur et de découvrir l'identité du mystérieux corbeau.
Ce deuxième tome est un peu moins savoureux que son pécédent du point de vue des dialogues. Néanmoins, le scénario est très bien ficelé, même si un peu prévisible, et réussit à captiver le lecteur. Les dessins sont, bien sûr, toujours superbes !
La fin laisse espérer une suite ...!?? En tout cas, on espère.

Hausman, l'un des plus grand conteur de la BD, nous offre là une superbe histoire d'une autre époque. Je m'explique, la source d'Hausman pour cet album n'est autre que sa grand-mère qui lui racontait, alors petit enfant, des légendes paysannes qu'elle même tenait de son enfance... Nous avons donc à faire à un témoignage direct de la culture populaire du XIXème siècle sous nos yeux, aujourd'hui au XXIème siècle !


Que nous offre la mamie au grand René ? Une histoire remplie de vagabond-rebouteux, d'échange de bébé au berceau, de lutins et de paysans bêtes et butés. Il n'y a pas beaucoup de place pour l'amour et la grâce quand on est paysan, la vie est dure et la terre ingrate sans compter que les forces surnaturelles ne sont pas de notre côté. Le récit d'Hausman avance morceau par morceau et l'histoire prend forme page après page à son rythme (et celui des saisons :wink: ). Chaque page, chaque case est un tableau en soit, un petit détail qui nourrit cette histoire tragique. C'est un vrai conte, pas une grande épopée remplie de fougue, une histoire qui prend son temps comme à l'époque où faire les choses prenait du temps.


Le tout est servit par la plume et les couleurs généreuses d'Hausman. Il n'a pas son pareil pour les scènes animalières, un trait inimitable et grouillant de vie.

Un très bon moment de très bonne BD documentaire. Lefèvre, le "héros" photographe, couvre une mission de MSF dans l'Afghanistan en lutte contre les soviétiques (nous sommes en 1986). La BD est construite en parallèle entre les superbes photos de Lefèvre et les dessins de Guibert. Cet amalgame peut paraitre étrange mais au fil des pages le récit sublime cette différence de média et la fusion des genres devient logique. Les photos offrent des fenêtres sur la "réalité", le dessin fait avancer le récit et, de par la nature même du média, condense et résume le propos. C'est le genre de BD dont le sujet (les conséquence de la guerre, les victimes innocentes) est fort, presque trop fort et on pourrait tomber dans un traitement misérabiliste ou larmoyant. Les auteurs, par leur talent, ont évité cette situation et en fait de pitié pour les victimes on se retrouve à admirer ces personnes (car on parle de vrai personnes pas de personnages de papier) : le courage des Moudjahidines, l'abnégation des civils (femmes, enfants, vieillards) et le travail exemplaire des médecins.


Est-ce que ça fait une bonne BD ? Oui, le récit marche bien et la narration, malgré les arrêts sur "image", est fluide. On peut partager l'histoire en deux parties : un côté documentaire (découverte de la situation, le pays, la guerre, MSF) qui se retrouve dans les 2 premiers tomes, un côté aventure "solo" de Lefèvre dans le troisième tome. Personnellement j'ai préféré la "première" partie que je trouve plus passionnante : on est dans l'action, il y a une espèce de tension entre découverte d'une réalité et l'urgence de la situation. La deuxième partie est moins tendues, on est plus dans récit de voyage "classique". C'est pleins d'aventures et d'anecdotes intéressantes en soit mais il manque un peu de la tension de la première partie.

Ce premier opus du Vol du corbeau est un des tous meilleurs scénarios que j'ai eu la chance de lire jusque là !
En juin 1944, Jeanne, une résistante communise dénoncée, et François, un petit cambrioleur, se rencontrent en prison. A partir de ce moment, ces deux personnages, aux caractères si différents, ne vont plus se quitter : ils s'enfuient de prison, traversent Paris, se réfugient sur une péniche ...
Ce scénario, sans être très original, est magnifiquement construit. Il laisse plané le mystère autour de l'identité du délateur et il est surtout mené, tout du long, avec un humour particulièrement fin !
Enfin, cet album est un véritable plaisir pour les yeux avec de somptueux dessins et reconstitutions du Paris occupé.

La meilleure série de western qui est jamais existée.
Pour les treizes premiers albums, Swolfs nous faisait vivre de superbes histoire trampant dans la crasse.
Ce dernier toujours bon avec Girod au dessin est parfaitement réussi, pourtant dieu sait que cela devait etre un défit à difficile à faire.

Un Hermann toujours égal à lui meme, qui ne manquera pas de me rejouir à chacun de ses tomes de cette série, encore plus depuis qu'il utilise cette façon de peindre.
Ce dernier nous montre encore une fois comment l'homme peut etre vraiment béte quant il s'agit d'argent.
Ce qui aime cette série ne seront pas déçut.

Cette série est vraiment génial, dans ce tome, Jeremiah et kurdy sont confrontés à une chose étrange venant d'un étang.
Les deux amis vont prendre un chemin différent car ils n'ont pas le meme point de vue.
L'un l'argent et l'autre l'amour.
Hermann nous fait part de son talent à la fois d'écrivain et de dessinateur.

Pas trop mal. Même si cela reste de la science-fiction de série B, l'album est cohérent et se laisse lire. Les ingrédients sont stéréotypés: le héros au mauvais caractère cachant un bon fond entraîné par une jolie femme qui ne peut le supporter, du moins ça s'améliore. A noter un gros effort sur les couleurs par rapport au tome 1.

Kabylie, 1957. Le lieutenant Messonier et sa section ont disparu depuis bientôt
un mois. Désertion? enlèvement? attaque des fellagas? retournement de
veste? rebellion? Valera et ses hommes sont chargés de retrouver les
disparus et de faire la lumière sur cette histoire.

L'histoire que Franck Giroud nous sert ici n'est en fait qu'un prétexte pour se
replonger dans les régions montagneuses de l'Algérie en guerre, où son père
a combattu étant jeune. Solidement documenté (Giroud est par exemple allé
sur place interroger d'anciens fellagahs), le récit n'en est que plus fort. On en
retiendra le caractère trempé des différents personnages, l'intensité
dramatique habilement mise en place, la très forte véracité des dialogues, et
surtout la volonté de montrer tous les apsects de la guerre d'Algérie dans
cette région de Kabylie dans un soucis évident d'objectivité, sans poser aucun
jugement de valeur sur personne. Et c'est très réussit.

La force d'Azrayen vient aussi en grande partie de la patte de Lax qui, à
travers un très beau sepia magnifié par des touches de lumières habiles, nous
sert de superbes compositions fourmillant de détails. On passe ainsi de
vertigineuses vues panoramiques à d'autres toutes en longueur, de plans
d'ensemble géniaux à des gros plans qui se fixent sur une action, un
personnage, un visage, le tout laissant une impression de parfaite symétrie,
avec des cadrages habiles et audacieux. Le trait est brisé, hérissé, aussi
chaotique que les décors dépeinds, avec des lignes allongées, exagérées, qui
donnent du mouvement à l'ensemble. Il faut aussi noter l'importance des
premiers et des arrières plans où toute la vie de la Kabylie est mise en scène
; des images rarement au centre de l'action mais qui amènent une ambiance,
des impressions, comme s'il s'agissait des décors naturels du pays.

C'est cette association du trait dur et expressif de Lax et du scénario au plus
proche de la réalité de Giroud qui donne à Azrayen cette envergure, cette
qualité, cette sensation qu'on vient de lire une très grande BD. Et ce n'est pas
qu'une sensation, heureusement.

Bon, pour cette BD, il fallait que je prenne le temps d’écrire une critique. Je dois l’avouer, j’ai eu immédiatement un vrai coup de foudre à la lecture du « Testament du Docteur Weiss ». Tout d’abord, le scénario de Clod est vraiment bon. L’histoire de prime abord peut sembler simple : Georg hérite de l’île de son oncle. Mais ça vire rapidement à la chasse à l’assassin entre science et paranormal. En effet son Oncle n’est pas quelqu’un de très recommandable. L’intrigue est bien menée et des petits indices sont intelligemment distillés tout au long de l’histoire. Le personnage principal est super bien campé, assez mystérieux, ayant souvent la répartie ironique et blasée. D’un autre côté, les dessins torturés de Frébourg sont très bons et permettent de bien retranscrire l’ambiance qu’il règne dans le petit village.
Le seul point faible de cet album, c’est que c’est un one shot contrairement à ce qu’on aurait pu penser. Le fait que l’histoire du testament du Docteur Weiss soit basée sur les carnets de Georg Weiss laissait présager toute une série d’albums (basés sur ses écrits). Bien qu’au départ ce fut l’objectif des auteurs, un album une histoire, ce ne sera pas le cas… C’est d’autant plus malheureux que le concept, un carnet une histoire, était vraiment bon. En plus de cela, après la lecture de cet album, la curiosité le lecteur était forcément piquée à vif, notamment sur la lycanthropie potentielle de notre ami Georg…
Dernier point, les éditions Petit à Petit n’ont pas lésiné sur les moyens, le papier est de qualité et on a même droit à un petit carnet de croquis à la fin : que du bon dans cet album.
J’espère que les incantations Voodoo que je fais chaque jour pour que ce projet renaisse de ces cendres porteront leurs fruits.

Dessin à mon sens mal maitrisé (les proportions choisie pour la gamine font d'elle une haltérophile courte sur pattes). L'histoire parait aujourd'hui bien fade, l'ennui nous guette au fil des pages, pour ne rien arranger la fin est convenue . Bref malgré l'affection que je porte à certaines autres oeuvres de l'auteur ici il n'y a rien à voir !!!

Suite réussie. Lili est toujours dans les embrouilles mais elle s'aperçoit que c'est son père qu'elle croyait rangé qui en est la cause. Scénario sans temps mort, histoire policière doublée d'une histoire de famille, on ne s'ennuie pas une seconde et la qualité des dessins participent au plaisir que l'on prend à lire cette histoire.

tout simplement excellent. Joe Matt met sa pitoyable vie en image sans aucun
tabou. Et on prend un malin plaisir à suivre les tribulations maniaco-sexuelles
d'un loser assumé, pingre, grincheux, pleurnichard, insuportable, obsédé
sexuel, voyeur, obsessionel... c'est très bien fait, à peine a-t-on fini une page
qu'on veut absolument connaître la suite, on est très facilement pris par ce
personnage assez hors du commun, on sent qu'il y a eu une volonté de
"travailler" ces souvenirs, d'y mettre de l'ordre, de ne pas simplement aligner
des évènements les uns à la suite des autres (dans le cadre de chaque
chapitre je veux dire, pas sur l'ensemble du bouquin).

Les graphismes quant à eux, bien que simples, sont un régal de lisibilité et de
noir et blanc maîtrisé, avec des expressions faciales savammant exacerbées.
L'auteur a beau donner l'impression de se reposer sur ses aquis, on ne lui en
demande pas plus.

Le découpage systématique en planches 6 cases et la tendance à garder
toujours le même type de cadrage et les mêmes angles de vue tout au long
de l'album donnent quant à eux à l'ensemble un côté feuilletonesque et une
apparente cohérence, en plus d'accentuer l'aspect dessin animé (ou view-
master pour reprendre un objet cher à l'auteur).

Bref, un livre hautement jouissif.

franchement pas très emballé par ce premier tome... bon déjà les dessins
m'ont semblé assez moches (grands applats de couleurs fades ou au contraire
trop vives, corps "rectilignes" et statiques, visages avec des expressions qui
sonnent faux, et surtout d'énormes carrences pour toutes les scènes de
mouvement et d'action... bref ça manque vraiment de technique. Maaaaais ça
n'engage que moi).

Bon ensuite si l'idée de départ est très bonne (du jour au lendemain tous les
hommes meurent... n'en reste qu'un, au milieu d'un monde désormais dirigé
par les femmes), la manière dont elle a été traitée est par contre très en
deça. L'énorme champs d'idées scénaristiques que cela aurait put induire est
très mal exploité, on est surpris à quasiment aucun moment, dans l'ensemble
les situations paraissent très peu plausibles, on a des personnages sans
charisme... bref ça semble baclé.

Mais tout n'est pourtant pas à jeter, car si le scénariste a un peu du mal au
niveau des éléments de l'histoire, il a néanmoins un certain talent pour ce qui
est de raconter : les séquençages sont bien trouvés, les dialogues plutôt pas
mal, la multiplication des points de vue intéressant... et en + il a même réussit
à me donner envie de connaître la suite (un peu en tout cas).

un rythme soutenu, une intrigue prenante, un découpage et des dessins assez
flamboyants pour un type de BD où l'austérité est habituellement de mise...
bref un très bon album plein de qualités, mais qui contient néanmoins
quelques clichés assez pénibles qui auraient facilement put être évités.

bla bla bla (ça c'est pour la nouvelle règle des 300 caractères)

Cet épisode est beaucoup moins puissant que les précédents. Certes les planches sont toujours bien construites, les couleurs toujours aussi agréables et les personnages attachants. La magie n'opère pas car le scénario a baissé d'un cran. l'histoire mêle toujours habilement le fantastique et le réel mais n'a pas de réelle raison d'être, un peu comme si les auteurs avaient réalisé un simple exercice de style pour conserver la forme. Dommage pour le lecteur !

A l'occasion de la sortie du tome 5, j'ai relu avec un grand plaisir je l'avoue J.F.K. Le scénario est bien construit et décrit un évènement majeur de l'histoire des USA vue sous un autre angle. Pandora et Chance y sont attachants. Les planches ne sont pas prises de têtes et sont illustrés par des dessins aux couleurs simples et souvent lumineuses. Un polar qui puise ses racines dans le fantastique sans pour autant tomber dans les excès de la série Arcanes.

Vraiment je ne suis jamais déçut de ce scénariste, il arrive toujours à me surprendre (cela n'engage que moi bien sur).
C'est vraie que cela pourrait parraitre assez simpliste, mais non le dessin en plus fait que chaque fois que lie une de ses histoire je n'en decroche pas et que je suis vraiment content de posséder ces séries.

Changement de coté, Simon est devenue une star d'Hollywood et Largo se fait arréter ainsi que Cochrane, derrière tous cela se passe un horrible trafic.
Les décors sont vraiment somptueux surtout pour les passages dans le desert du Névada. L'histoire est bien réussi à nouveau, à part ça que dire de plus que super et que ça continue.

Ceux là ne peuvent pas etre laissés de cotés, on y découvre des paysage et des habitatios asiatiques très jolies et très bien réalisées, ainsi qu'une certaine Malunai bien jolie.

Van Hamme aime décidement nous faire voyager à travers ses différentes séries, içi que se soit en Europe, en Amérique ou en Asie les dessins de Franck sont toujours très bien réalisés.

Deux albums tournants sur le marché de la drogue, et comment Largo se fait piéger.
Des flash backs montrent comment Largo à voyagé étant plus jeune et aidé et compris le marché de l'opium en Asie.

Une histoire qui est très bien ficelée (une des meilleurs sans doute) du début jusqu'à la fin et dont on en décroche pas.

Je lis depuis peu la plupart des comics Batman que j'arrive à acheter par ci par là. Silence fait partie d'une des premières séries que j'ai découvert du vengeur masqué. Au début je doutais de l'efficacité de cette histoire. Le premier tome, très moyen, faisait intervenir Superman -chose que je ne supporte pas dans l'univers de Batman- puis l'intrigue n'était pas très motivante, épicée. À partir du deuxième volume j'ai commencé à davantage plonger dans ce "Silence". La galerie de personnages ne cessant de s'accroître, l'encyclopédie sur Gotham et ses protagonistes n'étaient pas de trop pour un novice ! Et enfin c'est avec un plaisir suprême que le dernier opus de cette mini-saga a été dévoré. Les graphismes sont toujours aussi mythiques, le scénario dérive sur une fin excellente, de plus on assiste à de bons moments "batmaniens". Tous les méchants réunis, plus ou moins manipulés, qui se cache derrière tout ça ? Suspense excellent ! Brillament entretenu. Et puis vous avez vu cette couv' aussi ? SUPERBE, comme la série. Indispensable à n'importe quel fan. (À noter que la suite de ce "Hush" se situe dans la série "Vengeance" paru dans les comics Batman de Panini, du volume 1 au 6 je crois. SPOILER :le Sphinx, menacé par Silence qui cherche à se venger et à le tuer, est protégée par le Joker qui le fait évader d'Arkam. Toute protection a un prix : Nigma connaît le nom du tueur de l'épouse du Joker et lui offre... Une autre très bonne saga !)

Ces deux albums suivants sont un peu plus complexes, et nous montrent comment se fait une OPA et tous le buisines des grandes entreprises(dont je n'est pas toujours vraiment pas tous compris).
Largo est toujours au top de sa forme et s'est pour ça que j'aime.
Cela rappel un peu certains films d'actions mais en beaucoups mieux.

Les deux premiers albums nous montrent comment Largo, un jeune homme devient héritier à la tete de 10 miliards de dollards après la mort de son père adoptif, ainsi que le début de l'amitié avec Simon.
Beaucoups d'actions et une bonne histoire fait en deux tomes ou l'on apprend un peu sur le passé de Largo Winch.

Deuxième opus très réussi, après la découverte de la DMZ, Matty chargé de devenir un médiateur va devoir déjouer la manipulation dont il est l'objet destinée à justifier l'intervention militaire et qui risque de couter la vie à tous ses nouveaux amis.
L'ambiance toujours aussi oppressante est sauvée par de vrais morceaux d'humanité qui montre que la vie arrive à surmonter toutes les situations.
Un scénario percutent, je ne suis pas très fan des dessins style comics mais ils servent bien l'histoire.

et bien, quelle surprise avec ce tome 1 de la Croix de Cazenac !!! Vu dans les nouveautés de la bibliothèque de mon Comité d'Entreprise, j'ai pris l'intégrale du cycle de l'ours et j'ai vraiment adoré "Cible soixante" !
Le dessin est très agréable, le trait précis je trouve et les couleurs "donnent" bien. De ce côté, pas de doute, ça donne envie de lire.
Le scénario est quant à lui bien ficelé, l'intrigue monte tout doucement et on ne s'attend pas à la fin de ce premier volume.
J'ai vraiment hâte de lire les 2 tomes suivants dans ce recueil...

Notre tueur essaie de refaire sa vie en Amérique latine, au Vénézuela. Afin d'oublier sa condition d'assassin, il partage son temps entre la plage, les femmes et les parties de domino. Mais très vite son passé et son instinct de tieur le rattrapent.
Un deuxième album avec plus d'action et moins de réflexions ennuyantes et inutiles. Le scénario me semble donc beaucoup plus réussit et attractif pour le lecteur !

Jacamon et Matz nous livrent ici une bande dessinée originale où le héros est un tueur qui parle peu mais qui réflechit beaucoup, voire trop ! Cela donne donc très peu de dialogues et beaucoup de confidences de sa part sur le bien, le mal, la mort ...
J'ai personnelement trouvé ces reflexions, soit disant philosophiques, assez plates et simplistes. Dommage !

Cet album est plus que superbe, le dessin de Rosinski est encore mieux, il me rappel un peu le style d'Hermann qui s'est mis bien plus tot à cette façon de colorier comme une aquarelle.

Van Hamme à su terminer sa part de l'histoire ou Thorgal sera relayé par son fils Jolan qui lui à sauvé la vie.

Oh que cet album m'a bien plu, Thorgal et sa famille se retrouve dans un lieu encore différent.
Après les vikings, les incas, le voilà chez les arabes, (du moins dans un endroit semblable).
L'histoire est toujours cohérente, Thorgal doit participer à un concour de tir-à-l'arc d'ou il ne sortira pas totalement indemne.

Thorgal qui à pu retrouver sa mémoire, est pressé de retourner prés d'Aaricia, Jolan et Louve sur leur ile et leur expliquer qu'il n'est plus Shaigan.
Mais cela ne va pas se passer comme il espèré, et va devoir les convaincre de sa bonne fois, tout en les sortant d'un bien mauvais pas.

Encore une réussite du duo Rosinski-Van Hamme.

Un de mes album préféré de la série, ou plutot le cycle en lui meme.
Tout d'abords l'histoire se situe non plus chez les vikings (qui est très bien quand meme), mais dans un paysage du style Amazonie avec les Incas.
Thorgal retrouve une partie de ses origines tournant dans le "futuriste-fantastique"

Quand à la couverture avec se fond vert m'a toujours plu.

Cet histoire est la suite de la galère noire et se termine dans la chute de Brek Zarith, un très bon album ou Thorgal est devenu sans vie, mais va etre aidé par la petite Shania à surmonter son chagrin et l'univers fantastique dans lequel il se trouve.

Une couverture superbe, l'image de la jeune fille en arrière plan est très réussi.

Voilà encore en excellent volume pour une excellente série. L'intrigue prend une tournure de plus en plus fantastique avec pas mal de révélations et de rebondissements. Les personnages quant à eux sont très bien exploités et promettent encore des face à face passionants. A mon avis il y a encore pas mal de surprises en réserve pour la suite. Bref un excellent moment de lecture.

40 ans après, on retrouve nos rescapés de la guerre venu en pèlerinage au château qui les a sauvé pendant leur enfance et on découvre le destin tragique de la petite lingère qui se croyait responsable de la chute du maquis.
Le scénario de cette suite est un peu moins convaincant, mais on retrouve avec plaisir nos protagonistes et l'histoire est quand même très forte.
Au total très bon diptyque.

Numéros 14 à 16 :

Fathom : Toujours une très bonne série avec une intrigue entrainante malgré son côté archi classique. Une nouvelle page de Fathom se tourne avec des personnages rudements secoués qui doivet mainenant se reconstruire et, pour certains, vivre avec certaines actions pas très glorieuses mais sur le moment nécessaire. Reste à voir comment la série va évoluer.

Shrugged : Très bonne série malgré une entrée en matière assez lente mais qui a le mérite de bien poser les personnages. Reste à voir comment tout celà va évoluer.

Soulfire le règne du chaos : Alors le début est pas mal même si on ne sait pas trop où l'on va mais alors je me demande quel est le rapport avec la série Soufire et quand on aura la suite de cette dernière qui était très prenante.

Du bon Servais cette histoire de gamin juif recueilli dans un camp scout pendant la guerre et qui amoureux de la lingère va la perdre par dépit amoureux.
L'histoire n'est pas totalement originale mais très bien raconté et mis en image par Servais, elle suscite l'émotion et on s'attache aux personnages.

Que dire de plus sur ce chef d’œuvre qui n’ai pas déjà été dit ?
Un Franquin dépressif qui laisse son esprit exprimer ses plus noires pensées. Tout simplement bluffant. Pas de fanfreluches, le dessin en noir et blanc permet de rendre au mieux les sombres pensées de l’auteur.
A posséder absolument !

Que dire de la meilleure histoire de tous les temps ?! La psychologie des personnages, leur évolution, leur design, cette immersion dans plusieurs mythologies tout est parfait... Et surtout cette abnégation qui pousse les personnages à se relever quelque soient les soufrances... Même après la mort... Saint Seiya véhicule plus de valeurs que n'importe quel précepte... Plus qu'un culte, une véritable religion !!!

Que faire de cet objet?
- le brûler
- le déchirer
- l'offrir à son pire ennemi
- le renvoyer en recommandé à Uderzo avec des "remerciements"
En aucun cas il ne faut :
- le ranger dans sa bibliothèque à coté des autres Astérix
- le donner à un enfant ou une personne découvrant la BD...
Cet album surpasse de très loin en déchéance toutes les prolongations de séries
cultes. (Lucky luke, Spirou...). Je crois que les derniers scrameustaches sont mille
fois plus intéressants.

Je sais, je vais à contre-courant....MAIS : est-il possible de rester objectif face à cette saga ? Je vais essayer...
POSITIF : le dessin : là, "y a pas photo" c'est SUPERBE ! Les couleurs : même chose, magnifiques.
Le scénario : là, franchement...je vois que les avis des commentateurs "officiels" de BDGest sont très, très pondérées et encore, je pensent qu'ils ont un peu "peur des clients"...Les japonaiseries (Oups, mes oreilles sifflent déjà un max !!) c'est la mode...Il suffit de voir le succès des Mangas (pq 1 majuscule ??)...Le nivellement par le bas ! Non, je ne suis pas un intello "à la con" : franchement, les scénariis des mangas : vachement abordable si t'est bas de plafond...(J'admets QU'IL Y A QLQ EXCEPTIONS MAIS SI RARES) ET LE PRIX (quoique...). Donc, une BD très "classieuse" en japonaiseries...Ben, çà percute !! On pense que l'on devient un peu plus "intello" en déclarant que c'est un chef d'oeuvre....Mais, l'hermétisme, l'historique culturel du sujet, le minimum "véridique" spirituel...: quelqu'un s'est-il un peu penché sur "la chose" ??? Tapez sur Google et vous serez...SUBMERGE ! Donc, pas facile de vraiment sentir le subtil de cette histoire himself inclu !. Donc, je ne cote pas cette série uniquement parcequ'elle est mangas sant être mangas (comprendo ?) ni parce qu'elle présente un dessin superbe. Ma cote n'est relative qu'à l'hermétisme et à la répétition de scènes inutiles (T3) et si, on réfléchi bien...l'histoire qui, à ce stade, pourrait se réduire à 2 tomes...Une comparaison pas évidente, je l'avoue : James Ellroy (roman, pas BD !) : si vous êtes amateur de Thriller, vous connaissez : dans ses bouquins, il ne faut pas passer 1 seule ligne, sinon vous risquez de ne pas comprendre la suivante. HUB (pour le scénario) = King = Koontz etc, càd : bcp de blabla, bcp de blabla et vraiment bcp de blabla : exemple : la saga "La Tour.." sans blabla, au lieu de 4 à 5000 pages = 2 000 pages...SVP, lisez Ellroy, vous verrez ce qu'est de l'action "active" sans blabla inutile...Et OKKO, perso, une suite "d'effets" (magnifiques, £OK, mais bon, au prix des BD...), faut pas charrier ! Allez, je vais encore me faire des ennemis (c'est pour çà que je ne fréquente pas le Forum (no comment, ou je risque une Fatwa des intégristes BD - représentatifs ? - ).

Quel parent ne voudrait pas protéger son enfant de tout ce qui rôde en-dehors du
noyau familial?

Être parent, c'est accepter que l'on nous prête notre enfant et qu'il ne nous
appartiendra jamais. Le papa de Joachim lui, n'accepte pas cette condition
inconditionnelle. Lorsque les trois ombres se présentent, le rôle de papa-
protecteur prend tout son sens.

Ce conte atypique m'a fait verser quelques larmes tellement l'émotion y est
présente. Quelle belle découverte!

Ce n'est pas mauvais; ce n'est pas à mettre dans les coups de coeur à vie. Ça
ressemble à un de ces films qui se retrouvent en nomination aux Oscars et
auxquels on se dit:bof! Un de ces films d'auteurs qui aiment la masturbation
intellectuelle.

On en ressort pas grandi, ni rien d'autre. Ça se lit, ça se digère et puis on passe à
autre chose!

Et voila, Vance et Van Hamme nous finnissent se premier cycle d'une manière somptueuse.
La véritée est enfin révélée, et le sort de chacun des divers protagonistes est règlé.
Van Hamme à su finir sa série d'une très bonne manière,
un grand bravo, et merçi pour ses moments de lectures que j'ai tant appréçié.

Ce changement de dessinateur pour le passer n'est pas trop mal, on aurait pu s'attendre à pire, malgré que je ne suis pas fan du dessin de Giraud.
Quand à l'histoire, elle est très bien, on comprend bien maintenant le passé de XIII, qui il était avant son amnèsie et son parcourt très riche en épreuves.

Après que la montre est était trouvé, ils veulent retrouver le fameux trèsor perdu il y a plusieurs années de cela.
Cette histoire est très cohérente, les seconds personnages y sont plus présent que les principaux.
Le passage dans la montagne qui est ensolleillé, cette lumière réflechissante est bien réussit.

Cette fois les recherchés veulent retrouver la troisième montre qui avait diparut. XIII et Jones doivent enfiller une combinaison de plongée.
En meme temps le général Witaker voit sa famille se faire assassiner.

J'ai adoré la couverture, ses deux bleus sont vraiments attirants, et jones est vraiment bien réussit.

XIII toujours poursuivit, fait alliance pour peu de temps avec Jessica une tueuse, chargé de l'éliminer.
Dans le désert du Nevada(je suppose), il prend contacte pour que l'ont puisse l'emmener chez Armand de Presseau, ou se trouve Jones et Carrington.

Se qui change dans celui ci s'est qu'il soit senti proche de cette Jessica, differement d'avec Jones.

La traque est repartie contre XIII, seulement cette fois il est seul contre le patron de la NSA, et les nouveaux tueurs d'Irina.

Des couleurs encores plus belles, tout particulièrement sur la couverture.
Quand au paysage, cette fois on change de lieu pour la Californie.
Dans cette série on découvre beaucoups de paysages différents très bien dessinés, un vraie régal pour les yeux.

Ce hors série est très interressant car il nous montre tous les personnages de cette série depuis le début, comme un dossier sur chacun, les différents noms de XIII, ainsi que de vraies photos, avec des petits passages en BD.

Les auteurs ont du mettre un grand momment pour le créer, mais le résultat est époustouflant.

Cet album est super, d'une part il y a le changement de couleur qui est plus réssent que les précédents.
Et d'autre part, le scénario n'est que très bon, c'est le procé de l'homme le plus puissant du monde.
On retrouve la mangouste et sa tueuse favorite, ainsi que Carrington et Amos avec Jones et XIII.

Se qui est interessant dans cet album c'est le passé de XIII, raconté par Sean Mullway.
Les passages dans le passés sont bien définis grace à une façon de colorier vers le marron. On découvre l'histoire de trois amis qui ont du tous laisser tomber.
En meme temps, les Santosistes doivent finir une bonne fois pur toute cette dictature, avec l'aide de XIII et Jones.

Alors la une pure merveille celui ci meme si je ne pourrais donner un album mieux qu'un autre.
XIII, Jones ainsi qu'avec l'aide des rebelles font tomber la dictature.
XIII, lui se retrouve confronté à son passé, il aurait été marié.
Il fait la connaissance d'une autre perssonne importante de sa vie.

La forteresse de Roca Negra ainsi que les marais sont bien dessiné.

Cette fois XIII et Jones sont obligés de se réfugier chez un ami au Mexique.
Je le trouve bien dessiné comme pour rouge total d'ailleur, meme si il à toujours était réussit.
On découvre des bordels, la crasse de ses pays mais aussi l'inverse tel que la bourgoisie et la cruauté des dictateurs comme Ortiz ou Perralta ainsi les rebelles du gouvernement comme jorge de los Santos.

De retour aux alentours de Washington, XIII doit retrouver le numèro un du complot à la demande du président des USA.
Cependant, il vas découvrir des preuves assez importantes pouvants faire tomber le coupable, mais est vite intérompu par une nouvelle tueuse Irina.

Cette suite n'est que trop bien réalisé car on ne s'attend pas à certaines découvertes du hèros. Très bonne continuation et relancement de la série.

A lire absolument ! Les couleurs peuvent déconcerter au premier abord. Trop orange ou trop bleu: c'est tout ou rien ! Mais ces couleurs mettent vraiment le lecteur dans une ambiance particulière ! Le scénar... Au début on ne voit pas trop ou Balac veut nous emmener mais l'histoire est bien ficellée et lorsqu'on commence à comprendre alors on a plus qu'une seule envie : lire la suite. J'espère que 2. Konan sera à la hauteur de ce premier tome vraiment excellent !

Dans cette suite XIII, est rejoint par Jones, et sont aidés par Judith une pharmacienne, se qui permet à XIII de découvrir la vérité sur son père, si tel est le cas et déchapper à la mangouste.

Un bon suspence qui nous livre un passé troublant sur les habitants de Greenfall, tel qu'étant des membres du klu klux klan.

Changement d'univers, on découvres les montagnes Rocheuses ou s'est rendu XIII pour y découvrir un peu mieux sur sont passé, seul cette fois, ou il ne se sens pas le bienvenue.
Seul un vieil homme aveugle réussit à le reconnaitre en tant que Jason Fly.

Van Hamme nous envoie sur une autre piste pour nous faire perdre la tete une fois de plus, et joue avec nous, ce qui n'est pas déplaisant.