Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 29/11/2024 à 19:42:50 en 0.4091 sec
Comme tous les lecteurs, j'attendais avec une certaine impatience cette chute et la réponse à nos questions. Ce dernier mouvement est mené comme une enquête policière avec beaucoup de suspens et de rebondissements. L'écriture y est habile et sert une intrigue plus longue qui tient en 80 pages. Le fait de retrouver, 15 ans plus tard les protagonistes des épisodes précédents abîmés par la vie pour certains, est passionnant. Nous suivons avec intérêt Alban Méric et Dora Mars dont la quête est servie par des dessins agréables aux couleurs réussies surtout dans les plans nocturnes. Le dénouement est un peu décevant car trop simple par rapport à l'effort déployé. l'ensemble donne cependant une série assez originale que l'on prend plaisir à lire.
Une rencontre au sommet entre Brüno et Pothier et nous rentrons de plein pied dans une histoire de vengeance toute en subtilité. Les dessins, les dialogues et les couleurs servent magnifiquement ce premier épisode qui voit les retrouvailles des membres d'une ancienne bande pour la recherche d'un hypothétique trésor. Les plans s'enchaînement magnifiquement et les différents personnages sont hauts en couleur. Beaucoup d'humour, de retenue et d'intensité. La recherche de ce faux trésor va intéresser une autre bande d'affreux, des vrais méchants qui veulent faire main basse sur l'or. Même si Hank, Jill et les old guys sont mal partis, vivement la suite ...
Ce tome qui commence un nouveau cycle est sans aucun doute encore mieux, voire le meilleure.
Cette fois Jina Lens est considéré comme le dieu jaguar.
Les reclus,les pretres, et les amazones le respectent.
Il demande une garde rapproché, et fait appelle à un personnage banni de la société pour retrouver quelqu'un, il s'apelle Dog Mengo.
Une belle réussite.
Fin du cycle, Jida Lens réussi à traverser le temps, en passant du présent vers le passé et changer le cours des choses.
Cette série ne plairat forcément pas à tous le monde, car elle à tendance à parfois etre un peu biscornue, mais c'est ce que j'aime, de plus les paysages sont vraiment magnifiques.
Dans ce deuxième tome, Jida Lens un flic, aidé par Oona et les autres reclus, essaye tant bien que mal à devenir une personne dont il en ignore tout et entre dans une semi-réalité, tout en étant poursuivi par les amazones.
Une bonne suite que nous offre cet album.
On retrouve un Dufaux en grande forme.
Deux réalitées se mélangent dans cette série.
La première se situe à une époque proche des aztéques avec des conquistadors, et la seconde dans une ville dans un futur proche.
Les deux mondes sont étroitements liés graçes aux perssonnages principaux.
Les dessins font pensser à des peintures franchement bien réussis.
Effectivement ces deux albums sont assez biscornues, cela rapelle quelques épisodes de Jessica Blandy aussi bizzares.
Le dessin est assez moyen, quant a l'histoire, je pense que de voire des oeuvres d'arts tuer leur propre créateur est assez bizzare.
Je pense que c'est parti un peu trop en live.
Ce li, sans plus, ni moins.
Un album ou Dufaux nous propose une histoire en terre Sainte au temps des croisades, qui opposes les chrétiens aux musulmans.
Parmis les français, seul Gauthier de Flandres est contre cette bataille qui serait un massacre.
De l'autre coté, Sar Mytra, un étrange personnage se lie avec le chef des musulmans.
Un très bon premier album, avec des couleurs très jolies, vivement la suite.
Très joli dessin dans cette Venise chaotique, que nous offre içi Serpieri.
Une jeune fille est chargé par son père de retrouver une fameuse porte, elle doit faire face dure monde cruel ou elle vie.
L'horreur et la crasse sont très bien montrés.
Un bon mélange entre fantastique et science fiction.
Un superbe album.
Une histoire, datant environ de l'époque de Louis XIV, ou les humains sont contre les bétes et se font donc la guerre. Cela aurait pu etre terminé grace à un pacte, mais tout ne se passe pas comme ils l'auraient prévu.
Cela montre encore une fois comment les différentes espèces arrivent rarement à se tolèrer et préfères se haire.
Les dessins sont vraiment très réussis aussi bien les différents animaux que les personnages.
Ah, j'ai hésité entre 9 et 10, mais je me suis dit que ma première impression flatteuse ne pouvait que se bonifier avec le temps. Et pourtant, avant d'acheter cet album, je me suis taté longtemps, longtemps. Mais les commentaires de bedetheque n'ont pu que me décider à franchir le pas. Mais, malgré tout j'hésitais, entre l'édition classique de ce livre, et la version deluxe très grand format agrémenté des 5 premières planches en noir et blanc du second tome. Dilemne, que faire? D'autant plus qu'acheter une bd est parfois une aventure. Acheter une version luxueuse en était encore plus périlleux, car si la déception était au rendez vous?
Que nenni, ce premier tome est une merveille, un enchantement. Il est déjà agréable de voir l'esprit des vieux films de boucaniers tel l'ile au trésor adapté en BD de manière si parfaite, mais il est encore plus agréable de se délecter de dessins somptueux aux couleurs dignes de belles fresques. Ce premier tome qui campe les bases de ce récit qui est annoncé en quatre opus, est d'une fluidité remarquable. La narration est tout aussi réussie, le découpage au diapason, et les dialogues nous immergent dans ces récits ou l'on peut sentir les embruns, le cri des mouettes et l'atmosphère enfumée des tavernes de ports lointains.
Rien à jeter je vous dis, et ce n'est pas les cinq premières planches du tome 2 qui me feront reculer devant une épopée d'une telle maestria.
Chapeau bas messieurs, et souquez droit devant!!!!
Pour une première, les trois co-scénaristes arrivent à tenir en haleine le lecteur pendant les 47 planches de ce premier tome. L'histoire paranormale retrouve les clichés habituels : une société secrète 'la Golden Dawn' (ou l'Aube dorée, société ayant agit au début de ce siècle), un vieux baroudeur-agent secret-journaliste déchu, un jeune archéologue prêt à tout, une belle lady, une étrange statuette, un royaume mystérieux. Bref, pleins d'ingrédients à lire et qui donne envie d'attendre la suite.
Pour une première, le dessin est également de bonne facture. A suivre...
Numéros 7 à 15 :
L'histoire évolue de manière plus que satisfaisante et l'intérêt pour le personnage de Spawn grandit. l'histoire laisse entrevoir des possibilités très intéressantes des développement et les évènements de ces numéros sont loin d'être ennuyant. Le personnage de Spawn est plutôt complexe et plus on en apprend sur lui plus on se pose de questions. De plus le côté "vulnérable" de ce personnage qui malgré ses pouvoirs est loin d'être tout puissant le rend assez attachant.
Etat critique : Bon au final cette histoire n'aura pas été des plus réussie. Je n'ai pas réussi à m'intéresser à l'intrigue et le dessin n'étant pas des plus lisible mon intérêt est très très vite tombé en dessous de zéro.
A la recherche de Magie : Là non plus le dessin n'est pas terrible mais l'histoire promet d'être plus intéressante qu'"Etat critique". Il va falloir faire abstraction du dessin mais c'est pas impossible.
Mal noté cette série, ce n'est pas simple. Depuis le début, chaque tome était un rebondissement (quoique le 7...). Le thème, surprenant et plein de possibilités, apporte tout au long des tomes des rebondissements sans fin. Et sur ce huitième tome, ça continue mais, bon, cela devient un peu long. Le combat Light/L avait atteint des sommets. Maintenant c'est un combat Light/N ou Light/M(ello) qui se perd un peu (plusieurs deathnote, de nouveaux dieux de la mort,...). Espérons que l'auteur va retourner la situation et ne pas arriver à d'autres combats du style Light/Z ou autres (l'alphabet est long...).
Voil à un album magnifiquement dessiné mais dont le scénario tient sur un post it (petit format en plus). certes la vie de Pile ou face est intéressante mais de la manière où tout celà a été développé on a pas le temps de s'y intéresser que l'album est déjà terminé. Certes ce volume pourrait être une sorte de résumé mais celà impliquerait des volume précédents plus détaillé (et par conséquent ce rendrait ce tome totalement inutile). Bref c'est très jolie mais hélas c'est tout.
Une histoire sur l'origine de l'espèce, ou un jeune photographe qui photographie les horreurs de la guerre sur le terrain meme.
Il est confronté à India Allen, une femme étrange qui se dit etre une nouvelle espèce.
De temps en temps on à tendance à se perdre dans l'histoire.
Vallès nous dessine bien cette série.
Très bon album avec un scénario intéressant qui malgré une élipse qui peu surprendre au premier abord, se développe dans une nouvelle ambiance plus froide que celle du premier tome. L'intrigue évolue de manière satisfaisante et l'utilisation de l'élipse permet de se concentre sur l'intrigue à proprement dite en supprimant les scènes de voyages (et les aventures qui en découlent) en ne gardant que l'essentiel pour la compréhention. Bref on passe un très bon moment avec des personnages toujours aussi attachants.
Un très bon premier tome, ou une jeune archéologue de notre époque tente de comprendre qui auraient été les assassins de Cassio, une perssonne de haut rang dans l'antiquité.
Ce tome nous dévoile qui serait sont premier assassin.
Le dessin de Reculé quand à lui est superbe et se préte bien à l'histoire.
Ces deux tomes nous envoie en Indochine ou un homme Alan Thomas, un ancien marine, se retrouve à devoir aider une jeune fille en danger.
Un jolie dessin qui nous montre de beau paysages, avec de belles couleurs.
A mon avis cette série, est pour l'instant la meilleure des séries lançées par J.C Bartoll.
Cette nouvelle série est assez bien, l'histoire se passe à Paris ou il y a des révoltes, et c'est là ou va se retrouver au beau milieu le héros sans pouvoir y faire grand chose.
On reconnait le style de J.C Bartoll qui nous parle de politique et de mondialisation à sa manière qui n'est pas toujours évident de comprendre car un peut long et lourd.
Je pense que le second tome sera meilleure.
Meme si les deux premiers tomes étaient moyens, les sept autres sont supers.
On decouvre Niklos Koda qui appartient à une organisation qui sont basés autour de la magie.
On apprend plus sur le passé de Niklos, et dans se dernier tome on sens qu'il va prendre une direction différente.
Le dessin lui est bien réussi.
Perso j'ai adoré cette bd et pourtant j'achète très peu de bd de ce genre! Mais alors là qu'est ce qu'on se marre ! Les pérégrinations du lézard débile sont, dans ce tome, délicieuses, pour autant je suis assez sceptique quand à la parution d'un suite enfin nous verrons! En tout cas c'est frais, rigolo, absurde, ça ne se prend pas la tête et ça fonctionne à merveille. Déjà lu et relu avec à chaque fois les mêmes crises de rire avec ma copine rien qu'en regardant la tronche du lézard
Encore une fois, je suis bluffer par le génie d'Alain Ayroles qui pond des scènes burlesques jubilatoires tout en gardant un sens certain pour le récit d'aventure parfaitement "cohérent".
Içi, on se régale du comique de situation, des phrases biens senties et des superbe galerie de personnage qu'il nous offre avec cette histoire de moines, incarnation des 7 péchés capitaux, envoyés en missionnaire en territoire vikings.
De plus, l'intrigue est servie avec brio par un dessin qui parvient à concilié un sens certain du détail et du réalisme, tout étant incroyablement expressif. On apprécie l'effet "carte postale" au couleur rayonnante de Pietri et on se regale des trognes de chacun de ses moines névrosés.
Un must à lire absolument qui se distingue de loin de ses 7 camarades.
Tabarnak ! Que la vie s'anime dans la petite bourgade de Notre-Dame-des-Lacs. Avec ce troisième tome, on se régale de retrouver les personnages atypiques tels que Gaëtan, les trois Gladu, Noël, Serge, Marie et surtout les hommes qui sont de retour. Ce tome, ponctué par l'ambiance magnifique des dessins de Loisel et Tripp, comblera tous les lecteurs et la fin de cette trilogie vous laisse dans l'attente de la trilogie suivante...
Superbe histoire d'amour où la passion débouche vers le drame, au sens littéraire du terme. Cet épisode est le plus abouti des 4, la musique y retrouve sa place au côtés des sentiments exacerbés. Nafsika la jeune aubergiste y est irrésistible dans son combat pour sauver puis venger Stélios. Un mouvement aux rebondissements passionnants...
L'intrigue nous mène en laisse dans un labyrinthe mortel où les forces en présence ne reculent devant rien pour prendre le pouvoir absolu. Dans cet épisode nous suivons toujours Victor, Pierre et Myriam à la recherche d'Andréa. Mais si l'histoire semble marquer le pas l'épisode se lit malgré tout avec plaisir.
Une belle histoire d'enfance avec ses joies ses peines ne peut laisser indifférent surtout lorsqu'elle est racontée par Frank Le Gall. Les planches sont soignées et représentent une succession de tableaux plus foisonnants les uns que les autres. Il suffit de s'arrêter sur le cirque et la foire d'hiver pour s'en convaincre et retrouver avec Camille, Théodore et Pépère nos émotions d'enfants. Mais voilà tous les rêves ont une fin car l'homme se plait à tout détruire...
Un début fracassant pour une série qui est en train de devenir une référence. Eperons néanmoins, que l'auteur saura s'arrêter à temps et évitera de faire trainer en longueur son histoire (si tant est qu'il sache réellement où il va).
Le dessin est très réussi, l’histoire passionnante et Navis aahh Navis… du charme, de la force et du caractère ! Dire que les Américains ont censuré sa poitrine d’adolescente… risible.
Par contre, je reste très sceptique sur la sois disant cote (entre 150 et 200 €), pas très crédible.
Au secours!!
C'est pas l'agent de la CIA qu'il aurait fallu retrouver c'est un scénariste. Alors d'accord Bergese est le meilleur dessinateur d'avion qui puisse exister pour moi, mais alors....
On s'enmerde. On s'enmerde vraiment. Faites quelque chose. Pas jusqu'a embaucher Jean Van Hamme mais quand même. Notre équipe -ou s'est méchament incrustée Cindy, peut etre pour faire l'otage idéale comme robin pour Batman- livre des colis en afghanistan et se retrouve sans surprise dans cette région du monde au coeur d un traffic d'armes !! Le vieux IL-2 va t il s'ecraser sur la montagne ? Buck va t il etre abattu par le pistolet du trafiquant ? Voilà pour les moments TRES forts. On a la surprise d'ètre réveillé par deux ou trois chasseurs dans les dernières pages sinon on a des Transports -trés bien déssinés- qui volent
dans des vallées. Le prochain tome sera une mission pour UPS...
Le cycle d'Ostruce gagne indéniablement en profondeur et en intensité dans cet épisode. PONA & DUBOIS ont su créer un univers qui allie fantastique et romantisme avec des personnages, des dialogues et des paysages dignes de l'univers de Prévert. Ici, pas de vulgarité mais de la poésie et de l'action. On retrouve avec plaisir Ajjer la DRACK rebelle, prisonnière sur un drôle de navire qui doit la conduire à St ATANOV pour y être jugée. Elle sera rejointe par son amie venue pour la suivre et la sauver au péril de sa vie. Les relations complices entre le Capitaine Lyan et Héria la déesse en bois, son vaisseau-sorcière vont servir de toile de fond à cet épisode où l'amour triomphe finalement de la peur et de la mort. Superbe !
Contrairement à la plupart des autres avis, j'ai beaucoup apprécié cet épisode. Le cycle se termine sur un épisode très réussi. OKKO san et ses amis y affrontent enfin les moines corbeaux. Contrairement au tome 3, le récit est fluide et allie parfaitement dialogues et action. Tous les ingrédients sont là pour donner un souffle épique, amitié, vie en groupe mouvementée avec des personnages hauts en couleur comme Fauche le Vent, ou Setzuka la samouraï manchotte, l'incroyable Noburo ou encore Nezumi le rat énigmatique. Les dessins sont superbes et les plans s'enchainent en une suite de mouvements qui terminent le récit en apothéose, dans une bataille rangée, sorte de Fort Alamo à la japonaise où les forces du bien remportent enfin la victoire contrairement à l'original !
Les commentaires de certains sont un peu déroutants !? Bon, moi je me situe du côté des fans de la BD ! Pris par hasard à la bibliothèque en raison du duo Rosinski/Van Hamme, étant alors en plein période Thorgal, je me suis régalé du début à la fin. Effectivement les références sont nombreuses mais sont me semble t'il totalement assumés et affichés. Kubrick et la Bible sont ils à ce point intouchables qu'on ne puisse s'en inspirer ?! Bon je respecte tout à fait les avis des détracteurs mais je dis (que dis-je, j'écris) haut et fort mon désaccord avec eux ;o)
Bref, le Grand Pouvoir du Chninkel est effectivement un grand melting pot d'influences et c'est ce qui selon moi en fait sa richesse mais ausi ce qui en fait un grand récit humaniste et universaliste dans lequel ont peut tous se retrouver.
Pour moi la meilleur série SF que j'ai lu avec UW1. J'aime tout dans le récit et le dessin de Marvano et Haldeman. Contrairement à d'autres je ne trouve pas que le dessin vieillisse plus que ça. Le discours lui, est plus que jamais d'actualité et nous renvois directement aux interventions américaines en Irak. La Guerre Eternelle est une réfexion très à propos sur la guerre et sur la manière dont les soldats la vivent et la gèrent. Indispensable pour moi !
Je ne renierais pas cette BD, notamment sur son premier cycle. A l'époque cette première salve m'avait passionné. Le dessin était à mon goût et le scénar aussi. Les méchants était tès méchants, les gentils, très gentils, et les vaches étaient bien gardés. Tous les ingrédients des grandes sagas étaient bien là et tant mieux pour nous d'ailleurs. Bon maintenant je regarde la série un petit peu différement parce que mes goûts en BD ont évolués, mais je reste persuadé que si je découvrais la BD aujourd'hui je la lirais encore avec plaisir.
Une série que j'ai beaucoup apprécié ! L'ambiance sombre et étouffante des sous-marins et des grandes profondeurs est très bien rendue ! Quelques planches sont vraiment scotchantes à ce niveau là ! Clostro, abstenez-vous. Le scénario est bien ficelé et ryhtmé, ménageant suffisamment le suspense pour nous tenir en haleine jusqu'au bout. Le dessin est peut-être ce qu'il y a de moins bon dans la série, surtout sur les premières planches (tome 1), notamment avec des personnages que l'on a du mal à reconnaître parfois.
Reste que dans ce style de BD, type polar/fantastique, c'est une vraie réussite.
Je ne connaissais pas, je me suis lancé dans l'inconnu, en me basant sur les avis des BDGistes ...... et je suis pas déçu ! !
Côté dessin, j'aime beaucoup le trait des personnages. Les mouvements et les animations ont un bon rendu et les couleurs sont sublimes.
Côté scénario, j'aime beaucoup le sujet : intolérance du monde religieux.
Les persos se mettent en place mais je trouve qu'on n'et pas submergé d'infos, de noms et de persos ... ce qui est bien pour la compréhension.
Et c'est pas trop mou, y'a quand meme une histoire et de l'action ... enfin un tome introductif qui n'est pas ennuyeux ! ! !
Après un premier album assez décevant, les auteurs nous livrent ici des meilleurs albums de la série. Suspense, rebondissements et surtout un scénarion inédit sont au rendez-vous. Sympa aussi les à-côtés de l'énigme principale avec le jeune pick-pocket qui deviendra ami de JKJ, et la boulangère dont Jérome tombe amoureux.
Premier album un peu décevant ou JKJ est à l'école des détectives. Peu de suspense, on ne voit pas bien ou les auteurs veulent en arriver et la résolution de l'énigme est de piètre qualité. Les auteurs ont sans doute voulu mettre la série en place sans vraiment vouloir faire un scénario du tonnerre. Par contre, au niveau dessin, Dodier s'en sort très bien en donnant une allure de Monsieur Hulot à JKJ.
Ca continue très bien avec toujours le dessin impeccable de Peeters. L'intrigue avance significativement dans ce tome très rythmé et souvent très drôle. La petite addidas est toujours aussi craquante (la petite fille que l'on rêve tous d'avoir !). Suffisament de zone d'ombres subsistent pour que la lecture du tome suivant soit attendue !
Mais quand même, le dessin de Peeters est vraiment superbe :o)
Ca y est, Buck Danny s'essoufle vraiment. Aucun combat aérien ou alors vraiment à peine, aucune prise d'otage.. Pourtant, si l'idée de départ, devoir retrouver un agent de la CIA disparu en Afghanistan, n'était pas spécialement originale, elle aurait pu suffire à éllaborer quelqu'intrigue valable. Il n'en est rien, les indices s'enchaînent comme des poupées russes. Bof. C'est juste pour dire: "je les ai tous".
Jouant des codes de la bande dessinée, optimisant son langage, la démarche de l'auteur y est encore plus poussée que dans "La station". Traite de la question humaine avec encore plus d'acuité. Comment parler de cette BD sans en livrer la clé... Guère possible, surtout quand l'absurde est repoussé dans ses derniers retranchements et que le nihilisme n'est pas loin.
Huis clos étouffant dans l'immensité d'une gare et de ses dépendances. La personne humaine y est plus pantin qu'acteur, mais l'ensemble pourrait aisément être transposé dans le cadre d'une pièce de théatre. Les dialogues y sont savoureux.
Absurde, noir, voire un rien nihilisme, mais non dénué d'esprit et de questionnement sur la condition humaine. La construction de cet album est d'une remarquable intelligence.
Sympa, tout mignon, un peu "olé olé" sans tomber dans le graveleux, avec quelques planches vraiment amusantes, d'autant plus qu'on peut facilement s'identifier à notre bourreaux des coeurs...Bref, une BD à sketchs distrayantes. Attention, le dessin très numérique pourra en gener plus d'un.
Mais quelle jolies formes ces demoiselles ont au final ^^
Contenant 4 histoires dont 3 courtes avec pour seul lien le caractère autobiographique porté sur la jeunesse de son auguste auteur. Le dernier récit, intitulé Le val des ânes, est plus développé et se fait à la fois chronique d'une enfance passée à la campagne, chronique du pouvoir de l'aîné sur ses frères et par certains côtés, chronique de la cruauté entre enfants.
Le tout raconté avec le recul de l'âge qui permet tendresse et amusement, très sympa à lire.
Autant j'amais bien le dessin de Charlet, autant j'ai beaucoup de mal avec celui de Horne. Je me suis pas du tout habitué aux nouveaux traits de personnages, au point que j'ai eu l'impression que c'était pas la même série que je lisais. Ca m'a fait également apparaître que le scénario commençait serieusement à tourner en rond et à se complexifier inutilement. Quelques évènements un peu tarte à la crème plus tard, j'ai fermé la BD avec joie et je pense que je ne pousserais pas plus loin dans la série. Très déçu...encore une série qui aurait mérité d'être terminé plus tôt...
Difficile de donner un avis sur cet album.
L'histoire est intéressante (dans un monde post-atomique, un homme, Vir, se réveille sans souvenirs. Il apparaît vite qu'il est immortel).
Par contre, les dessins sont entièrement repris depuis d'autres bande dessinées (surtout le Surfer d'Argent) et d'autres auteurs (Gene Colan, Steve Buscema, Jim Starlin...).
Est-ce un hommage ou un vulgaire plagiat ?
Si le graphisme est classique et correct, l'histoire reste faible, nous navigons de batailles en batailles au gré des coalitions sans explication sans lien le tout imbibé d'une dénonciation plus ou moins réussie des horreurs de la guerre. Une certaine monotonie des dessins s'installent au cours de la lecture.Le héros est un naïf (trop?) bavarois qui véhiculent des idées anachroniques à la fin de l'ouvrage.En effet, l'auteur a priori fervent partisan de l'Europe, prête aux héros des idées contemporaines qui étaitent loin des préocupations du peuple bavarois à l'époque de Napoléon I. Cela frise le contre-sens historique puisque c'est l'époque où se forge efficacement le sentiment des differents nations européennes et il n'est nullement question de fédérer les peuples européens dans un même cosmos. Cette idée germera dans les pensées de quelques rarissimes intellectuels au milieu du siècle.
L'histoire manque de rythme, l'idée d'une liaison amoureuse avec la jeune berlinoise est mal exploitée. Un album décevant même si les premières pages commençaient bien.
Giacomo C est une série vraiment bien réussi, on y trouve de l'historique, de l'aventure et de l'humour, surtout dans cet épisode ou, comme l'indique le titre Parmeno prend la place de son maitre Giacomo.
Un bon épisode ou Giacomo va devoir accepter que son valet est devenu un aristocrate, dur dur pour lui.
Fin de ce formidable dyptique de Sente et Rosinski. Dans cet album, le scénario nous ballade grâce aux rebondissements qui sont bien choisis. Sente réussit à garder l'esprit du comte de Monte Cristo et à multiplier les clins d'oeil, tout en évitant de plagier cette oeuvre monumentale. Cette fois il nous emmène dans le milieu de la piraterie dans les Antilles afin de mieux nous perdre et nous emmeler pour nous livrer, au final, la vérité sur cette terrible vengeance.
Ce scénario très malin est magnifiquement mis en couleur par le dessin de Rosinski.
Clin d'oeil au célèbre Comte de Monte Cristo d'Alexandre Dumas, ce premier tome nous fait vivre un procès retentissant dans le milieu de l'art, dans le Paris du milieu du XIXe siècle. Le comte Skarbek règle ses comptes avec les personnes qui l'ont trahi.
Excellent album. Le dessin de Rosinski est de toute beauté et le scénario de Sente très fin.
Plus qu'un témoignage, cet album à vocation documentaire est une oeuvre magistrale décrivant les conditions de travail et de vie de la classe ouvrière. Largement autobiographique, cette bande dessinée rayonne d'émotion grâce à son noir et blanc implaccable et à la justesse des dialogues poignants et toujours sincères. A l'heure de la cyberproduction et du travailler plus pour gagner plus il faut savoir qu'à l'abri des regards médiatiques, vit bel et bien cette classe sociale que semble oublier la classe politique et qu'en 2008 finalement on est encore tout proche de Zola et de germinal !!!
Voilà bien un auteur à découvrir et "L'enragé" me semble être le diptyque idéal.
"L'enragé" ou comment se faire une vie malgré une position sociale difficile, la non-reconnaissance de ses proches, l'orgueil et les trahisons. Hé bien il faut se battre, boxer la vie pour qu'enfin on y trouve sa place. Une belle histoire, vraiment.
Les dessins et couleurs sont superbes, ils servent parfaitement l'expression des personnages. Il faut peut-être s'y habituer mais ne passer pas à côté de "L'enragé".
Malgré un début en fanfare, avec courses poursuites, histoires parallèles et action, on sent une baisse de rythme (et d'idées innovantes) à partir du 4ème tome.
Le scénario débute bien donc, perso je sens l'influence de Tarantino ou de Stone. On est scotché dans les 2 1ers tomes.
Pas grand chose à dire sur le dessin qui ne rebute pas mais n'enthousiasme pas non plus. A lire.
Cette série, qui dans un premier temps, nous explique la vie d'Aymar de Bois Maury, un chevalier qui tente de reprendre ses terres qui lui ont été prise pendant plus de 10 album.
Viens après 3 histoires de différents descendants d'Aymar.
Au dessin on retrouve Hermann qui nous fait part de son talent, ainsi qu'au scénario sauf pour les 2 derniers qui sont tout aussi bien.
Cet album m'a horriblement déçut.
Je ne l'ai pas trouvé interressant et je m'y suis ennuyé en le lisant contrairement au reste de la série.
Il construit à la façon d'un dossier sur Alpha, des choses qui lui aurait été cachés, mais se n'est pas réussit.
En espèrant que les prochains albums seront aussi bien que les 9 premiers.
Avis pour la série,
L'histoire d'un jeune homme, Alpha, qui entre dans la CIA est confronté aux problèmes mondiaux lié avec les USA, aussi bien la Russie, le Royaume Unie, l'Europe.
On se croirait un peu comme à la télé ( comme Alias) c'est se qui me plait, à la différence que c'est mieux grace au dessin.
En bref une bonne série.
un excellent album!
un dessin noir et blanc magnifique, des planches absolument somptueuses
et un scenario tres abouti avec une excellente utilisation de l'une des figures originelle du blues robert johnson.
on se retrouve plongé en 1935 au sein de la communauté noire ou le blues est né
il n'est par contre nul besoin d'etre amateur de cette musique pour déguster cet album.
Amères saisons... le titre en dit déjà très long...
Etienne Schréder nous livre là le travail de plusieurs années avec son véritable récit autobiographique. Ciselé, ce petit bijou de la BD procure un plaisir immense à la lecture.
Tout commence par la dégringolade d'Etienne qui, alcoolique depuis plusieurs années, s'enfonce petit à petit dans la pauvreté et le vagabondage. "Inadapté parmi les marginaux, marginal parmi les gens normaux", l'auteur nous livre une partie de son histoire faite de rencontres, d'allers-retours en France et en Belgique au gré des vents, de cures de désintoxication et de rechutes...
Le fil conducteur de ce roman dessiné est le noir. Le noir et blanc de son dessin, tout d'abord, très pur, très stylé, sans fioritures mais terriblement émouvant.
Le noir des idées de l'auteur pendant cette période de sa vie, la souffrance transpirant au moindre mot, mots choisis et étudiés longuement avant d'être couchés sur la feuille de papier.
On en ressort bouleversé, changé, et la vue d'un "Etienne" dans la rue nous renvoie immédiatement au roman. Véritable rédemption pour l'auteur, on le sent, ce roman est à conseiller à tous dès l'adolescence et pourrait même faire l'objet d'avertissement pour ceux qui flirtent avec la dépendance ou, plutôt, pour ceux qui sont "sur une mince frontière entre ordre et désordres".
Chapeau!
un dessin superbe, un scénario sublime. Pour qui aime les ambiances propre à J-C. Denis va adorer cet album. Il y a tout ce que j'aime : de la poésie, du suspense, des atmosphères fouillées, des personnages touchants par leurs humanités diverses, l'emploi des couleurs est juste parfait. Une histoire d'amour pas comme les autres, les paradoxes d'une société mise à nu. Le monde de l'art passé à la moulinette. Une bd crue, mordante et lyrique. bref un chef d'oeuvre pour moi.
Freindly neighborhood : Bonne histoire sur trois épisodes qui en fini définitivement (?) avec la saga "the other". L'intrigue est plutôt bien développée même si on sent que son déroulement est un peu préscipité en vue de l'arrêt de la série. Cependant cette histoire est plutôt bonne et annonce un face à face intéressant entre Peter Parker et J. J. Jameson.
Retour en noire : Voilà un épisode plutôt légers avec un Peter Parker à bout de nerf qui ne sait plus vraiment quoi faire. A voir avec la suite mais ça peu devenir intéressant tout ça.
Numéros 1 à 6 :
Voilà un début plutôt intéressant avec un personnage principal plutôt sympa et une intrigue donnant envie d'en connaitre davantage. Par moment l'histoire part un peu en vrille et on a du mal à rattacher certaines parties à l'intrigue mais globalement c'est agréable à lire. On a envie de savoir ce qu'il va advenir de Spawn et connaitre toute la vérité sur sa mort, ce qu'il est et son rôle.
Attention, absence de Sensasional Spider-Man et des Thunderbolts dans ce
numéro.
À la place on a 3 épisodes de Friendly Neighborhood plutôt cools (et en
rapport avec la saga "L'Autre"), comme quoi Peter David sait être constant
dans le "plutôt agréable à lire".
Du côté de la saga régulière pas de super-vilains ni de supers scènes d'action,
mais juste des super-problèmes auxquels un Peter Parker très sombre doit
faire face. Plutôt pas mal.
Les dessins et les dialogues sont réussis et servent l'enquête que mène Forester Hill sur le kidnapping de la jeune Sherwood. Les motivations des coupables en revanche, sont un peu légères et gâchent la qualité de l'intrigue, faisant de ce volume le moins percutant de la série. Par contre, la fin de l'épisode laisse entrevoir un rebondissement dans le prochain tome. Ce rebondissement aurait il un lien avec le meurtre de Dana ? Suspens !!!
Voilà un album plutôt sympatique à lire qui nous en apprend plus sur le personnage de Martin HERTZ et sur son passé notamment comment il a intégré la loge première. L'intrigue est intéressante et on se laisse porter par l'histoire. C'est un plaisir que de se retouver ce personnage et ça m'a même donné l'envie de relire la série du Triangle secret.
Voilà un second volume toujours aussi délirant que le premier avec toujours le même côté kitch et une intrigue qui se laisse lire malgré son côté classique. On sent une certaine amélioration dans le dessin qui était déjà plutôt pas mal et une mise en couleur toujours aussi flashie. On passe un bon moment à rigoler de nos deux compères qui vont de galères en galères mais qui finissent toujours par s'en sortir... plus ou moins.
Voilà un album avec une aventure plutôt intéressante dans la lignée du précédent, des personnages plutôt pas mal utilisés et un petit côté rétro que j'aime bien. Cependant on pourra tout de même regretter certains dialogue plutôt douteux qui certes pouvaient passer à une certaine époque mais ici sont plutôt dérangeant malgré le côté classique de la grande époque avec lequel veulent renouer les auteurs. Celà restera le gros point noir de cette série hélas.
L'intrigue de ce one shot est plutôt pas mal, les personnages sont bien utilisées notamment Zorglub et le côté sérieux avec un peu d'humour comme on l'aime pour faire passer le tout rend l'histoire intéressante à lire. cependant à la fin de l'album on a tout de même l'impression que l'histoire, bien qu'intéressante, est quelque peu légère et aurait méritée d'être plus approfondie. On passe malgré tout un très bon moment et c'est ce qui compte au final.
Le combat tant attendu entre Ajite et Mun-Su commence - je devrais dire, le combat entre leurs armées.
Très clairement, les forces et la force d'Ajite paraissent largement supérieur, mais ce serait compter sans les (bonnes) idées de Mun-Su et sa chance. Nous sommes donc servis de ce côté-là puisque la bataille couvre une partie du tome et qu'elle continuera dans le dernier volume.
Mais ce qui m'a surtout intéressée ce sont les "révélations" qui montrent que le scénario était bien construit depuis le début. Pas d'explication bizarre (ou alors je n'en ai pas noté) ni capillotractée ; en se remémorant bien chaque tome de la série ou en les relisant, on se rend compte que tout se tient et qu'il y avait pas mal de pistes et d'indices, en particulier concernant Sando (mais pas seulement). Un bon point, indéniablement, et s'il restait des doutes, sur l'utilité du flash-back, ils sont complètement levés également.
Vraiment un bon moment et beaucoup de plaisir à cette lecture.
Malgré un de"ssin qui a pris un certain coup de vieux ce volume n'est est pas moins un très bon début pour une série que tous les trentenaire se rappellent avoir suivuit à une certaine époque sur FR3. On constate que ce volume pose les base de la série avec les différents personnages et leurs caractères bien marqués. Il pose également la contruction globale de chacune des histoires à savoir je jeu du chat et de la souris entre Toshio et les Cat's eyes avec par moment l'entrée de personnages secondaires pour corser un peu le tout et donner un intérêt supplémentaire à l'histoire. Bref voilà un très bon volume qui va satisfaire les nostalgiques du dessin animé comme les autres.
Bon volume encore une fois qui termine l'arc du combat entre les Kiryûdo et les Maryûdo. La fin du précédent volume laissait supposer une sorte de power up de Kabuto chef des Kiryûdo mais il n'est est rien. Ce volume est plus orienté pychologie qu'action avec des thème comme le deuil ou l'acceptation de la mort d'un être cher. C'est plutôt bien traité et le volume est très intéressant à lire. De nombreuses pistes intéressantes pour la suite de la série sont mentionnées et celà promet de très bons moments en perspective. Après une longue période d'histoires inintéressantes cette série rentre enfin davantage dans le vif du sujet.
Le dessin est toujours très joli par rapport à Blame et au niveau de l'histoire ce volume est une sorte de préquelle à Blame qui donne davantage de renseignements sur le contexte de Blame. Cependant même si celà éclaire certains points celà reste toutefois insuffisant pour en faire un bon volume. Bref bien que meilleur et plus clair que Blame ce volume est loin d'arriver à un niveau suffisant pour en faire un volume à recommander.
Autant comme le tome 1 m'avait laissé un sentiment mitigé, autant comme Point zéro donne de la dimension eu récit. Il crée une rupture narrative salutaire en changeant le lieu et en attirant notre attention sur des évènements qui nous sont plus proche. "L'image de soldat dans le désert" sert de catalyseur à ce rebond et permet de remettre en perspective la lutte de pouvoir mettant en jeu des forces surnaturelles sans que cela viennent gêner le lecteur. Aleksi STASSIK devient notre point de repère et les dernières planches qui le voient avec Anika BORODINE, laissent augurer d'un troisième volume passionant s'il se révèle de la même veine.
J'apprécie le travail d'Hervé Bourhis sur le Stereo Club et j'étais impatient de lire ce récit. Au bout du compte, mon opinion est assez mitigée... Le dessin m'a plu, c'est incontestablement un point fort de Bourhis. Les rêves notamment sont très bien "retranscris". Le scénario est quant à lui un peu compliqué et la fin ne m'a pas plu... Bon, c'est subjectif, on est d'accord... mais je trouve que ça aurait mérité une fin en apothéose, avec quelques approfondissements sur l'existentialisme justement... N'étant pas un féru de littérature, j'ai appris pas mal de choses sur Vian mais pas sur l'existentialisme... ;-)
La guerre a commencé et les Coréens du Japon se retrouvent très vite la cible de vexations puis d'une politique d'élimination. Dans ce tome, on suit d'une part l'évolution des opérations militaires, de l'autre ce qu'il advient de la famille de Hae-Sung. Port d'une marque distinctive, rassemblement des familles pour les interner dans des camps, une fois sur place séparation des hommes et des femmes etc. font directement référence aux camps de concentration et d'extermination nazis.
Encore une fois le sentiment anti-nippon de l'auteur est très palpable et on regrette un peu de ne pas savoir ce qu'il se passe dans le même temps en Corée envers les Japonais qui pourraient y être installés.
Cette bd m'a bouleversée.
Quel petit bijou!
je n'aime pourtant pas ce genre d'histoire ni ce genre de dessin...
Mais finalement, la sobriété du dessin ajoute à l'intensité de l'histoire.
Il faut absolument la lire.
c'est un torrent d'émotions.
Moi qui ne pleure pas souvent, j'y suis allée de ma petite larmounette à la fin...
Cette parodie des romans de cape et d'épées nous entrainent avec des héros à tête de loup et de renard à la quête d'un trésor dans des îles lointaines, avec force référence aux fables de La Fontaine et pièces de Molière.
C'est amusant mais finit par lasser car l'intrigue n'avance guère et l'humour un peu répétitif.
Pas mal sans plus.
Cet album met en lumière la complexe situation géopolitique du début du XXe siècle. L'affaiblissement de l'empire ottoman attire Français et Anglais qui désirent se partager cette région et attisent le nationalisme arabe afin de provoquer des révoltes contre les Turcs. Au milieu de tout cela, un homme s'affirme par sa compréhension réelle de la revendication arabe, le lieutenant T.E Lawrence, plus connu sous le nom de Lawrence d'Arabie.
Ce premier album de cette nouvelle trilogie de Tarek est, d'un point de vue historique, extrêmement réussi. Mettre en relief la situation géopolitique du début du XXe siècle au Proche-Orient, n'est pas chose aisée ! Tarek réussit cela très bien en dosant à merveille Histoire et fiction tout comme dans Sir Arthur Benton.
Petit bémol, le dessin d'Alexis Horellou ne permet pas toujours de bien reconnaître les personnages.
Le premier tome ne m'avait pas convaincu. Ce deuxième confirme la bêtise de l'histoire. C'est un tissu d'idioties que l'appellation "aventure fantastique" ne peut excuser. Un scénario indigeste, absolument pas crédible et un dessin tout à fait quelconque. Un achat et une lecture que l'on ne peut que regretter.
Le commissaire Delgado est un flic aux méthodes relax, travaillant sur une ile aux apparences paradisiaques ou vit un groupe d'independentistes qui va avoir une reunion sous peu. Mais celle-cii risque d'etre la cible d'un commando. Sur fond d'imbroglio politico-policier, cette serie plait en fait grace a ses personnages hauts en couleurs, dont le flic Delgado, et l'atmosphere qui en découle, plus que par le scénario principal.
C'est avec plaisir que j'ai lu ce deuxième opus. Après l Afrique, les auteurs nous emmènent en Norvège sur les traces du célèbre Kraken. Un album qui m'a plus pour ses ambiances, bien rendues, du grand nord. Les couleurs, pales, correspondent bien à l'atmosphère et plonge le lecteur dans ce monde de pêcheurs rudes. Le dessin n'a pas vraiment évolué, les details ne sont pas présents, mais cela m'a moins dérangé que lors de la lecture du premier tome; et les plans rapprochés sont bien faits. Une très bonne BD pour tout amateur de zoologie et cryptozoologie.
La reine Yvanaëlle, veuve, doit aller chercher la pierre de vie de son voisin qui menace d'envahir son pays si elle ne se soumet pas en l'épousant.
Unique histoire de Michel Weyland en dehors d'Aria, ce one-shot est de la même veine, même si son héroïne est un peu moins invincible. Encore une femme seule qui doit affronter son destin et qui sauve son peuple.
On retrouve avec plaisir l'ambiance d'Aria mais ce n'est pas vraiment original.
Agréable à lire malgré tout.
L’inspecteur Fell est transféré pour d’étranges raisons dans le quartier sordide de Snowtown. Il va devoir se charger d’enquêtes toutes plus glauques les unes que les autres et découvrir que tout le monde à quelque chose à cacher. A commencer par lui-même…
Inspirés de faits divers réels, un très bel album qui nous plonge dans les bas-fonds de la ville et de l’être humain.
Œuvre de fiction mais inspiré du vécu de l’auteur, nous voilà embarqués dans la vie quotidienne d’un flic des RG. Loin des clichés, Peeters s’attache à nous montrer, à travers le personnage attachant de Pierre Dragon, chargé de surveiller des trafiquants suspectés de financer des terroristes, les vraies galères du policier : les planques, les magouilles politiques, les relations avec les indics, la vie de famille chamboulée.
Adapté d’un roman coréen, ce manga nous plonge en 1950 pendant la guerre de Corée. L’auteur de « Fleur » relate ici un massacre perpétré sur des civils par l’armée américaine. Réfugiés sous un pont, ils vont subir pendant 3 jours une fusillade meurtrière qui fit près de 400 morts…
Une œuvre bouleversante qui fait appel au témoignage des rares survivants.
Les gunslinger girls sont des petites filles génétiquement modifiées pour devenir des tueuses anti-terroristes surhumaines. Toutes dirigées par des mentors, leur dévouement total obtenu par lavage de cerveau n'exclue pas les interrogations sur leur statut et leurs identités.
Les relations complexes et ambigües entre les instructeurs et leurs "armes", la violence, la réflexion pessimiste sur la condition de l'etre humain en font un manga sombre à réserver aux lecteurs avertis.
Gipi nous offre ici un bel album autobiographique consacré à son père. Nous sommes entraînés dans un entremêlement de ses propres souvenirs à ceux de son père, souvenirs réels ou enjolivés racontés au fils. Son omniprésence dans la narration ne fait que souligner continuellement son absence et dénonce la douleur de la perte.
Le récit très touchant d’un fils en hommage à son père.
Un papy entre dans un café avec un nourrisson dans les bras. Les clients commencent à le soupçonner d’enlèvement. La mémoire défaillante, Mr Letignal va alors conter l’histoire de sa naissance dans un quartier défavorisé à l’aide des pense-bêtes qui traînent dans ses poches.
Une belle chronique sociale de gens simples qui se retrouvent confrontés à l’éclatement d’une famille face à l’arrivée d’une jeune maghrébine en situation irrégulière.
Emile est un retraité veuf qui tue le temps à la pêche avec son ami Edmond. Alors qu’il pensait le connaître, il va découvrir qu’Edmond va à des rendez-vous galants. A la mort soudaine de son ami, Emile va alors prendre conscience que sa vie n’est pas derrière lui et retrouver le chemin du sentiment amoureux.
Un sujet tabou abordé avec humour et tendresse qui nous prouve qu’il n’y a pas d’age pour aimer.
Olivier, tiraillé entre l’éducation religieuse de ses grands-parents et celle baba-cool et libertaire de ses parents, va s’attacher au curé anti-conformiste de la famille. Un été celui-ci va lui demander de toucher son corps. Olivier ne sera pas violé mais cet évènement le marquera à jamais.
Un album autobiographique très fort sur un sujet grave traité sans pathos et avec pudeur.
Voici le récit poétique de la vie quotidienne d’une mère veuve et de sa fille Iwha. Nous allons suivre leur évolution amoureuse respective. Iwha découvre au fil des ans son corps, l’amour et la sexualité sous les yeux de sa mère qui renaît à l’amour et à la sensualité. Quel plaisir de voir s’épanouir la liberté complice des 2 femmes face à une société patriarcale traditionnelle qui leur assigne un rôle d’obéissance !
1914. Un jeune homme, contraint de renoncer à ses études de musique,
décide de devenir professeur dans une école d'aveugles et de sourds-muets. Alors qu'il s'attache à un enfant violent ne sachant pas communiquer, il découvre la difficulté de vivre dans le monde du silence et les problèmes rencontrés devant l'incompréhension et le rejet de la société.
Un récit fascinant, inspiré d'une histoire vraie.
Antoine, 10 ans, a un papa fossoyeur et une maman taxidermiste. Son grand frère Vincent, un idiot, est décédé mais revient d’entre les morts pour habiter au cimetière. Ils continuent de s’amuser avec insouciance. Jusqu’au jour où Vincent, kidnappé, disparaît…
Un album très touchant qui parle de la perte d’un être cher et de la difficulté à faire son deuil.
Hong Kong, 1996. Nous suivons le parcours d’un jeune couple, forcés de se marier par l’arrivée soudaine d’un bébé. Redevable matériellement envers un oncle, dont ils deviennent les serviteurs, ils cherchent désespérément à fuir la pression familiale.
Un récit émouvant et tragique par un auteur finlandais.
Portraits croisés entre oppresseurs et oppressés, ce magnifique album sur le génocide cambodgien des Khmers rouges nous plonge intimement dans la tragédie. Les dessins, de véritables peintures, mettent en relief la souffrance et la noirceur des âmes.
Un récit très humain sur le Cambodge en guerre.
Un homme nu déambule dans les rues et meurt foudroyé par le virus de la filariose, un vers qui se loge dans l’œil et vous dévore le cerveau… Alors que le virus s’étend, la police enquête et soupçonne une volonté humaine derrière cette contamination.
Un bon thriller biologique qui s’interroge sur l’animalité de l’homme et sa violence. (Ames sensibles s’abstenir !)
1930, Nouvelle-Zélande. Nyree, institutrice maorie, se révolte lorsqu'un de ses élèves traite un camarade de "monstre".
Elle leur fait alors le récit touchant de sa jeunesse chahuté par la bêtise colonialiste et nous entraine dans l'horreur des cirques occidentaux et de leurs monstres de foire. Un album prometteur.
Billy Wild, le fameux chasseur de primes invincible, semble perdre de sa force. Le mystérieux brevage qui lui donne son pouvoir vient à lui manquer, et le charlatan qui le fournit est introuvable...
Mais qui est ce drôle de bienfaiteur ? Quel pacte Billy Wild a-t'il scellé avec lui ?
Il va apprendre que tout se paye un jour ou l'autre.
Un western atypique aux graphismes très fort. Une claque visuelle !
Récit muet d’un émigrant qui quitte sa famille pour partir en terre inconnue. Il doit réapprendre à vivre
dans cette nouvelle société. Croquée sous une forme allégorique, celle-ci se révèle universelle. Un chefd’œuvre de tolérance qui rend hommage à tous les exilés.
Le prix obtenu à Angoulême est amplement mérité !
L’éditeur Robert Laffont nous offre là un fabuleux conte épique qui ravira les grandes personnes. Orchestré par un duo terriblement efficace, Jean Dufaux au scénario et Béatrice Tillier au dessin, « Le bois des vierges » nous emmène au cœur d’un conflit qui oppose les hommes aux bêtes de Haute Taille. Ce qui pourrait paraître burlesque tel les loups doués de parole et marchant à la façon des humains ne l’est point. Les auteurs ont l’art et la manière de rendre naturel ce qui ne l’est pas. Les dialogues sont judicieusement dans le ton de l’époque : la Renaissance tardive. Le scénario est habilement mené jouant sur les points de vue des deux races. Les alliances se font et se défont, les anciennes rancoeurs ressurgissent conduisant à de furieuses scènes de batailles incandescentes. Dans ce récit haletant, le lecteur est balloté sans fin entre deux éclairages, deux visions, deux espèces luttant pour conserver leur suprématie.
Pour couronner le tout, Béatrice Tillier nous éblouit par un dessin au style très réaliste et une colorisation de toute beauté. Les décors sont minutieusement détaillés, en particulier l’architecture et les costumes inspirés de la renaissance. Les humains tout comme les bêtes de Haute Taille se révèlent d’une grande élégance. Des traits gracieux tout en finesse pour les uns, un faciès sauvage mais fabuleusement expressif pour les autres. Des illustrations dignes des contes de Charles Perrault défilent sous nos yeux émerveillés somptueusement mises en valeur par des couleurs lumineuses, chatoyantes ou relayées par des couleurs plus sombres selon le ton des scènes. Il serait vraiment dommage de bouder une lecture pareille ! Vous venez de découvrir le tome I d’une nouvelle série à suivre de près. Tome II prévue pour mars 2009.