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Une histoire que j'ai particulièrement adoré.
Le dessin de Reculé n'est certe pas le meilleur, mais il à le mérite d'etre bien, quand à l'histoire, qui nous parle des anges contres le mal ou une jeune humaine se trouve pris entre les deux est très bien réalisée.
Cette histoire montre que meme les anges ne sont pas si tendres que ça.
A recommander pour les fans de Desberg.
Parce qu'il défend un héros de la résistance devenu plus ou moins truand, Mandrill se trouve pris dans un engrenage qui va l'amener à être suspecter de meurtre.
C'est une descente aux enfers qui va commencer pour lui.
Frank Giroud nous offre dans ce nouveau cycle (les histoires précédentes tout en suivant un ordre chronologique étaient davantage des one shots) une réactualisation des grands thèmes de l'injustice. Nous sommes malgré tout plus dans le monde de "Roger la Honte" ou "Chéri Bibi" que dans l'esprit du "Comte de Monte Cristo". Passionnant.
Une série de meurtres étranges et inexpliqués endeuillent la Normandie.
Des femmes sont retrouvées assassinées habillées en mariées et avec un bouquet d'oeillets rouges. Toutes les vuctimes ont aussi un prénom qui commence que la lettre M.
Mandrill ayant connu l'une des jeunes femmes pendant la guerre se lance dans l'enquête.
Excellent opus avec une fin à la Agatha Christie (révélations de dernières minutes). La qualité de l'histoire fait oublier la relative faiblesse du dessin, lequel pourtant apporte une vraie atmosphère (les décors sont très réussis, les personnages beaucoup moins).
Ceux qui achètent aujourd'hui la série "Intégrale" n'ont sans doute pas connu le journal Pilote. Eh bien il s'en feront une meilleure idée à la planche 15 de l'histoire "L'école des aigles" (page 28 du recueil). La 2ème vignette de la page représente certes les héros autour d'une table. Mais on reconnaît parmi les officiers de droite Goscinny, Charlier et Uderzo (je ne suis pas certain des 3 du fond).
De même à la page 116 de ce même album (planche 16 de "Danger dans le ciel"), le pilote du chasseur belge n'est autre que Jean-Michel Charlier.
Impossible de résumer cet album car sinon il faut en l'air tout le suspens (notamment avec la fin du deuxième album).
Donc quelques mots pour dire que cet album conclut une série bien plaisante, que Bruno Marivain a énormément progressé depuis la Mémoire des Ogres et que la collection Bulles Noires offre souvent de jolies surprises (il y a aussi quelques nanars de première !).
Suite de l'album précédent.
Barbara Wolf va retourner aux Etats-Unis. La question qu'on se pose tous est évidemment de savoir si son boy friend, Franck, est vraiment un gentil gars ou si au contraire, c'est un fieffé qui ferait partie d'une gigantesque conspiration.
D'autant que ses aventures aux Etats-Unis prennent vite un tour tragique et que son retour en France est plus dramatique encore.
C'est d'ailleurs sur une note désespérée que se termine cet album.
Un album très sympa dans une collection qui ne l'est pas moins.
Nous sommes à St Malo et une jeune Américaine voit une de ses amies être assassinée sous ses yeux. Elle part chercher de l'aide mais quand la police arrive, le corps a disparu. Petite explication avec les pandores qui gentiment finissent par la raccompagner chez elle. Là, mauvaise surprise, sa maison est en flammes et les pompiers ont fort à faire. Qui peut en vouloir à cette brave Barbara ?
Un dessin correcte, encore un peu sec, mais qui est promis à un superbe avenir car lisible et classique, de quoi plaire au plus grand nombre.
Album final de la série dans lequel Celadon va tenter d'effectuer sa mission mais ...
J'ai beaucoup aimé le ton de la saga. Qui plus est la fin, un peu tarabiscotée, reste assez réaliste et cruelle (en apparence). On est loin du caractère guignolesque de "Rouge Total" chez XIII.
Qui plus est la dernière page laisse entrevoir une suite possible.
Avec la même équipe ? Moi, j'en suis !
Troisième album, troisième dessinateur !
Celadon est désormais au Guayabal pendant la visite historique du président américain sur cette île de "barbudos". L'action présente progresse donc peu. En revanche, on sait comment Celadon a pu fuir sa prison.
L'album fait un peu penser à celui de XIII "Toutes les larmes de l'Enfer", en moins bien quand même.
Mais la lecture est toujours très agréable.
En fait, notre jeune héroïne est un officier des services spéciaux des Etats-Unis, lesquels ont commandé l'assassinat d'un dictateur communiste des îles Caraïbes, le Guayalba, pour se raviser au dernier moment.
L'équipe a dont été décimée. Mais Celadon, puisque tel est son nom de code, entend bien terminer sa mission.
Toujours aussi bon avec un changement de dessinateur, mais sans que cela nuise à l'histoire.
Un excellent thriller au dessin remarquable.
Une jeune femme est recherchée par la police sans que celle-ci puisse lui reprocher quoi que ce soit. Mais savoir que la police, fut-ce d'un bled, l'a localisée incite la jolie blondeà vouloir disparaître.
Sauf que ces parents, milliardaires viennent aussi de disparaître. Mais dans un accident d'avion cette fois. Ei semblerai qu'elle soit la prochiane cible sur la cible.
... sauf qu'elle n'est pas la fille de ces parents là.
Cet autre hors série sortie lors des 20 ans de XIII, m'a beaucoup plus.
On y trouve quelques explication sur la fabrication de la série, ainsi que les différents projets des auteurs.
Si vous ne possédez pas ce bijoux, fonçaient le trouver car cela vaut le détour.
Je pense que tous les fans de XIII passeront un agréable moment de lecture, mais risque de déplaire les autres.
Puisque personne n'a donné d'avis deçut, je le fait.
Ce petit hors série, de la série est vraiment très bien, je pense que se qui apprécient toujours XIII, peuvent se permettre de le lire, car si c'est comme moi, il adoreront, pourquoi?
Tous simplement parcequ'il y a un texte (pas une Bd, attention), qui est fort sympathique et qui permet de passer environ 1/4 d'heure de joie.
On trouve aussi la biographie des deux auteurs accompagnés de jolis dessins.
Je m'étais promis de laisser tomber cette série et puis le résumé m'a intrigué. Une commédienne meurt et une voix venue s'accuse du crime. Le seul problème est que cette voix est celle d'un comédien mort depuis une 1/2 douzaine d'années. Alléchant ?
Et puis finalement le dessin de Miniac n'est pas si mauvais. J'ai cédé. J'ai encore une fois eu tort même si cette histoire est un peu meilleure que les précédentes.
Le problème de Rivière est qu'il est cultivé, qu'il veut jouer au dandy mais qu'à force d'hyperboles il finit par rater complètement sa cible. Quant au dessin de Miniac, d'abord très classique, il est souvent bon sauf quand il se trompe dans certaines perspectives. Je trouve par ailleurs son dessin quand même un peu figé.
Passez votre chemin, vous ne ratez rien ou pas grand chose (selon l'album de la série).
J'aime bien François Rivière. Son rendez-vous de Sevenoaks m'avait scotché quand il était sorti en librairie. J'avais suivi avec un certain intérêt ces enquêtes de Maître Berger, son Privé d'Hollywood ou son Victor Sackville n'étaient pas sans qualités.
Je n'allais donc pas passer la main après un premier album assez pitoyable. J'ai eu tort, j'aurais du
L'Angleterre des années 50, sous la pluie, le brouillard et avec des histoires qui plongent dans le fantastique. Delicious isn'it ?
Surtout que là, ça commence très fort avec un vol au British Museum et devinez quoi ? une pièce archéologique !
Et.... et cela ne fonctionne pas et l'on s'emmerde ferme !
Avec Albert Uderzo et Jacques Martin, Eddy Paape est l'un des derniers dinosaures de la BD encore. Par "dinosaures" on entend les auteurs qui travaillaient dans ce domaine dès la fin des années 40, début des années 50. Les contemporains de Franquin, Jacobs, Greg, Tillieux, Charlier, Morris, Goscinny et tant d'autres.
Franchement ce recueil n'apporte aucun commentaire qu'on ne connaisse déjà, c'est même parfois assez plat et incomplet. Mais l'iconographie est superbe et totalement originale avec des pièces inédites. Cela rend donc cet album très intéressant.
3 courtes histoires (16 planches chaque) tirées de Super Pocket Pilote n°1, 4 et 5.
Comme le format était de poche (d'où le nom !!!), les pages étaient composées de 3 strips de 2 ou 3 vignettes. Comme souvent en pareil cas, la réédition en format A4 amène l'éditeur à "remonter" les cases dans un rapport habituel de 2 pour 1. Ici ce n'est pas le cas, on luivre les planches telles quelles. Du coup chaque vignette devient immense. Chez Juillard, ce serait un cadeau pas chez Jijé (malgré son talent !).
Suite et fin des aventures initiées dans l'album précédent.
Le DC-8 qui transportait les réfugiés européens est détourné dans le camp des rebelles. La femme du roi qui fait partie du convoi risque bien de voir sa véritable identité dévoilée. Auquel cas, c'en est finit d'Azraf comme roi du Sarrakat.
Excellent album d'aventures où Laverdure malgré ses gaffes montre qu'il a de l'intuition puisque c'est lui qui va trouver le nom de l'espion qui renseigne si bien les rebelles.
Pour la petite histoire, Jijé pour dépeindre Azraf s'est inspiré du fameux "petit roi" Hussein de Jordanie.
Retour au Sarrakat où la Middle East Petroleum a réarmé les dissidents.
Michel et Ernest sont chargés de ramener les Européens qui sont pris entre deux feux.
Traditionnelles aventures de nos deux héros avec toutefois un point bédéesque géopolitiquement intéressant. Quelques années avant cette aventure, Tanguy se rendait en Israël pour vanter les vertus des Mirages. Depuis l'embargo gaulien sur les armes à destination de l'état hébreu, ce sont désormais les pays arabes qui sont devenus clients.
Second épisode contre le Vampire du précédent album.
On est dans la continuité absolue avec un zeste de surprise en moins mais le tout forme un ensemble très cohérent et très animé. Un grand plaisir de lecture donc.
A noter que tout comme pour "Mission Spéciale" d'ailleurs, Charlier a largement déborder les 44 planches traditionnelles pour en rendre 56, mais Dargaud n'en publia que 54 !
Une organisation puissante dont le chef se fait appeler le Vampire terrorise cette France pompidolienne (on voit à plusieurs reprises le président de la république dans cette BD).
Il menace de détruire le pays à coups de bombes atomiques à partir d'avions qui surgissent d'on ne sait où et qui s'évanouissent dès qu'ils ont des chasseurs aux fesses.
Suite et fin de ces premières aventures au Sarrakat (nos deux compères reviendront par la suite).
On est dans le même tempo que la première aventure, très rythmée certes mais très classique. A noter qu'une jeune médecin américaine va également tomber amoureuse de Michel (et c'est réciproque !). Résultat, même punition que pour Corine Mercier dans "Mission Spéciale".
Le jeune lieutenant Azraf est en France pour passer son brevet de pilote. Il gagne ce surnom de Double-Blang un jour où il passe le mur du son et brise par là même toutes les vitres de la base.
Il s'avère bien vite qu'Azraf est plus qu'un simple apprenti pilote. C'est le successeur de l'émir du Sarrakat qui vient d'être assassiné par une révolution de palais.
Pour soutenir les intérêts français dans le pays Michel et Ernest accompagnent le futur roi dans son pays ...
Retour à Dijon.
Cette fois c'est un pilote de l'armée indienne qu'il faut convaincre des qualités du Mirage.
Mais une puissante organisation ne l'entend pas de cette oreille et va tout faire pour saboter cette visite. Pour cela une arme secrète : Corine Mercier chargée se séduire Laverdure mais qui va tomber amoureuse de Tanguy.
La première héroïne à aimer Tanguy trace le chemin de sa destinée et par la même le sort des futures amoureuses du pilote.
Notons que dans le feuilleton TV c'est José Luis de Villalonga qui jouait le rôle du méchant et qui'l n'avait physiquement pas grand chose à voir avec le personnage de la BD, mais c'est le côté aristocratique qui faisait passait la chose.
C'est vers le Managua que volent Ernest et Michel. Leur mission : former des pilotes managuayens sur les "Mirage".
Petit problème, l'état voisin, le San Martin, veut mettre la main sur une province frontalière qui recèle de fabuleuses réserves minières. Le dictateur de pays, Larraz, cherche donc un bon prétexte pour envahir le pays et...
De bonnes aventures, bien rythmées, avec le dessin nerveux de Jijé. Un très bon moment.
Izo Okada, Samouraï du fief de Tosa (ou Tueur) est embarqué "malgré lui" dans les troubles politiques de la fin de l'époque d'EDO.
L'intérêt du manga ? Une relecture complète et sans concession de l'image du Samouraï. Ici point d'honneur sans faille. Place aux doutes, à la peur, à la vermine, à la condition misérable. Hirata démonte littéralement l'imaginaire occidental du "Bushi". Ajoutons à cela une analyse politique fine de cette époque et on obtient une très bonne histoire.
"Le Journal d'un Ingénu" est tout simplement un livre passionnant, loin, mais loin devant les 3 essais précédents de réactualisation du "mythe" Spirou. Tellement loin qu'on a du mal à le "ranger" dans la même collection. Ce qu'Emile Bravo nous propose ici, c'est à la fois un hommage très humble à la genèse d'un personnage essentiel de l'histoire de la BD belge (et donc française), sans doute autant que Tintin - auquel il est d'ailleurs magnifiquement fait allusion dans ces pages -, et une remise en perspective (im)pertinente de tout ce qui a été occulté par la fiction (infantilisante ?) de la série : les antagonismes politiques entre fascistes et communistes, la seconde guerre mondiale qui déferle sur l'Europe, la complexité mais aussi l'extrême puérilité des jeux de pouvoir... Et, plus près de notre héros chéri, la découverte de l'amour, de l'amitié, et en même temps de la cruauté du mensonge et de la trahison. On s'amusera bien sûr avec Bravo d'avoir trouvé ici une justification maligne à l'uniforme de groom et à l'intelligence de Spip, mais la tonalité générale est celle de la tragédie - toute en légèreté, rassurez-vous : les titres des 2 chapitres "Comment la Raison Vient aux Enfants" et "Comment la Raison Quitte les Hommes" disent tout ce qu'il y a savoir sur ce livre tout simplement indispensable, et par ailleurs graphiquement splendide (ce qui ne gâche rien !).
Alors la j'ai adoré, le dessin de DeFali est très bon, surtout pour représenter des monstres ( comme dans Garou), ainsi que l'atmosphère dans lequel se passe l'histoire.
L'histoire, quand à elle, donne envie de lire la suite tellement c'est prennant, on a l'impression que l'on vas retrouver Asphodéle à un momment mais c'est pas grave.
C'est du très bon Corbeyran ça.
Puisqu'il n'y a pas d'avis, je vais donner le miens.
Tous d'abords j'ai cru que cet album était le troisème de London, pas du tout meme s'il reprend en quelque sorte la suite des événements laissés dans le second London.
Donc le dessin toujours superbe, et l'histoire m'a bien plut, meme si un peu courte( les histoires fantastiques de se style j'aime).
Ces deux albums de cette nouvelle série sont spéciaux.
C'est l'histoire de deux femmes qui sont en fait des coal girls à Paris, certe un peu banal, mais sympathique.
En plus le dessin de Renaud est splandide, comme dans les derniers Jessica Blandy.
J'ai une petite préférence pour le second album, dont je ne divulgerait pas pourquoi car ça gacherait le plaisir.
Une série ou des vampires font leur vie aux Etats Unis, et qui sont poursuivis par des flics.
Un superbe dessins qui nous fait rentrer bien profondemment dans l'histoire et ou Dufaux est super, comme à son habitude pour raconter des histoires fantastiques différentes les unes des autres, mais tellement grandioses.
un peu en déça de son prédécesseur, L'Autre Moitié du Ciel reste un bon
Kogaratsu. Les personnages sont très réussit, l'intrigue pas inintéressante, et
certains passages vraiment bons, mais la manière dont Michetz raconte son
histoire est en déça de ce qu'il a réussit à faire d'autres fois. Reste malgré tout
un bon album, qui nous raonte un périple pour le moins semé d'embûches.
Un très bon album où notre bon vieux rônin sans attaches Kogaratsu se voit
mêlé à une "guerre" entre étudiants d'une école de sabres.
Comme à son habitude Bosse arrive à étirer son intrigue, à faire des passages
calmes pour mieux pouvoir accélérer le rythme le temps d'une scène, à nous
servir des dialogues tout en finesse remplis de phrases bien sentis. Mais il faut
malgré tout reconnaître qu'il est bien moins habile pour ce qui est d'entretenir
le suspense, qui se résume au final à un amas de mystères assez peu
palpitant.
Le trait a lui gagné en beauté, il se fait plus fluide, avec de longues lignes
alternant entre finesse et épaisseur. Les vues aériennes sont particulièrement
agréables, et les passages silencieux peuvent donné de très belles scènes,
soutenues par un découpage alternant sans mal entre classicisme et
destructuration (cases qui s'imbriquent les unes dans les autres, se
superposent, rétrécissent, etc...). L'art de la contemplation peut s'y avérer des
plus maîtrisé. Les vues ensoleillées, la colorisation atypique, et la façon de
dessiner la nature sont eux aussi très réussit, mais force est de constater que
dès qu'il y a un peu de pénombre Michetz excelle beaucoup moins. Reste que
son dessin reconnaissable au premier coup d'oeil est souvent un régal.
Bref, Kogaratsu est une série à découvrir malgré ses quelques défauts, et cet
album est particulièrement réussit.
Voilà une vraie jolie surprise!
Avec Tiffany, Yann a inventé une héroïne très attachante et à grand potentiel scénaristique. Ce premier album est loin d'être un simple tome d'introduction. Yann y développe une histoire policière très solide. Bien sûr, il n'oublie pas de le parsemer de petits clins d'oeil savoureux. Le dessin d'Herval est souple et élégant. L'ensemble donne un album d'une très grande lisibilité avec lequel on passe un bon moment de lecture.
Ce premier tome me semble faire partie des INDISPENSABLES au sens propre du terme. Flamboyants dessins, couleurs mettant en scène à elles seules l'ambiance, scenario imparable...et surtout Camilla!!! Cet album est une entrée en matière dans la série d'une rare densité. On distingue vaguement les contours de l'intrigue, sans pour autant la comprendre, on est tenu en haleine (ah!! Camilla!!!), bref ce tome 1 est un vrai chef d'oeuvre. Quel dommage qu'à l'époque il ai fallu attendre si longtemps le tome 2!
En résumer: à lire absolument et à prêter à tout les néophytes de la BD: ils tomberons de suite accro aux cases à bulles.
La fausse idée géniale d'inversion de personalité, entre Mortimer et Olrik, occulte complètement la finalité de l'album, qui est la recherche d'une civilisation disparue. Si bien, qu'en fin d'album, on se demande ce qu'on fabrique dans les sous-sols du sanctuaire du Gondawana, au fin fond du Kenya.
On aurait très bien pu rester dans la banlieue de Londres ....
La balade molassone d'Olrik dans la savane n'est d'ailleurs pas à la hauteur du personage, qui nous a habitué à une plus grande ambition. Dans sa position, il aurait pu tenter de détourner les dernières découvertes scientifiques de Mortimer, à des fins destructrices ...
En conclusion, il y a 2 scénarios incompatibles et mal exploités dans cette histoire. Moyen plus moyen, ça ne fait pas la moyenne...
Certes il y a du rythme et c'est intriguant... mais à part ça?
Ce premier tome m'a pas mal déçu par rapport à ce à quoi je m'attendais.
Déjà une impression de bâclé (dessins franchement grossiers, découpage
maladroit, scénario ne semblant pas avoir été réfléchit). Ensuite le fait que
tous les aspects de l'histoire qui sortent du cadre du jeu de Go soient
complètement éclipsés : on ne sait rien de la famille d'Hikaru (ah, si! on
apperçoit son grand-père qui... joue au Go!), rien de ses amis, rien de sa vie
en générale. Avec ça on a une dramatisation à outrance, des personnages
sans originalité (on a l'impression d'avoir déjà vu Hikaru dans pleins d'autres
mangas) et un scénario qui laisse une impression "d'amateurisme".
Mais malgré tout, je me suis parfois laissé prendre par ce manga, et la lecture
ne fut pas désagréable. C'est simplement que certains points m'ont déçu. Je
vais donc quand même lire encore quelques tomes, et si la mayonnaise prend
toujours pas je laisse tomber.
Le dernier album d'Uderzo en double commande.
Le succès -colossal- d'Astérix lui permet d'abandonner une autre série également à succès (mais moindre) et de laisser la place par la suite à Jijé.
Cette histoire s'inspire très directement de la mystérieuse mort de Dag Hammarskjold, secrétaire général de l'ONU, en spetembre 1961.
Si l'album est sorti en 1967, sa parution dans Pilote remonte à 1965 donc peu de temps après les faits.
Tout comme dans la réalité les faits se déroulent en Afrique, pas au même endroit certes mais dans les deux cas il s'agit de vols destinés à éviter des guerres. Celle du Congo avec la sécession du Katanga a bien eu lieu !
L'un des meilleurs épisodes de la série.
Le dessin d'Albert Uderzo est lumineux et l'aventure reprend des thèmes autrefois explorés dans Buck Danny.
La chasse israëlienne aimerait tester les nouveaux Mirage (qui feront d'ailleurs merveille lors de la Guerre des 6 jours). Mais un industriel qu'on comprend immédiatement comme américain fait tout pour mettre des bâtons dans les roues à nos pilotes.
Superbe !!!
Affectés à la base de Creil, Michel et Ernest vont finir par déjouer une plan qui consistait pour une puissance étrangère à survoler une zone interdite dans laquelle s'opèrent les essais secrets d'un avion à décollage vertical.
Dans la réalité les Français n'ont jamais été capables de mettre au point un tel appareil. Seuls les Britanniques l'ont fait et dans une moindre mesure et surtout plus récemment les Russes.
Cela étant ceci montre combien Charlier se tenait au courant car ce type de dossier restait tout de même assez confidentiel à l'époque. D'ailleurs les VTOL (vertical take off and landing) lui inspireront une chouette aventure de Buck Danny et surtout, bien plus tard, un superbe dyptique avec le même Michel Tanguy.
Suite de l'Ecole des Aigles.
Cette première histoire raconte en fait les débuts de Tanguy et Laverdure. Ceux-ci se font sous le ciel marocain. A l'époque le Maroc vient d'accéder à l'indépendance depuis peu mais l'armée française est encore présente notamment avec la base aérienne de Meknès.
L'Algérie n'est pas encore indépendante, ce qui explique la base française de missiles à Colomb-Béchar.
Justement un de ces missiles ultra-secret est détourné par une puissance ennemie dont le nom n'est jamais mentionné. Néanmoins l'origine de cette puissance reste un secret de polichinelle puisque l'un des méchants s'appelle "Kubnik" et un autre "Tibor", ce qui est autre façon de désigner le bloc de l'Est.
Dans cette première aventure on retrouve tous les ingrédients qui feront le succès de la série. Tanguy est le chic type par excellence. Il sera le seul à prendre la défense de Saint-Hélier, un de ses co-équipiers qui est mort de peur en vol. Laverdure joue les Sonny Tuckson de service en multipliant les gaffes ou en étant victime de farces.
Un point toutefois qui est valable pour tous les albums "Pilote" de cette époque. C'est vrai pour les deux premiers Barbe-Rouge, c'est vrai pour le premier Astérix, etc. : les couleurs sont totalement ignobles.
Uderzo a fait refaire les couleurs pour sa "Grande Collection". Il ne serait pas idiot que Dargaud se penche sur le problème.
A peu près tricards dans le métier pour des motifs de revendications salariales, Goscinny et Charlier voient dans la création de Pilote une chance à ne pas laisser passer.
Ils animent quasiment à eux seuls ce premier numéro.
Goscinny signe 4 bandes : Astérix dont c'est la création (avec Uderzo), le Petit Nicolas (avec Sempé), Jacquot le Mousse (avec Godard) et Pistolin (avec Hugues).
Charlier en fait à peu près autant avec : Barbe Rouge (avec Hubinon), Jacques Le Gall (avec MiTacq) et enfin Tanguy et Laverdure (avec Uderzo qui dessinait donc 2 séries chaque semaine !!).
Bref pour un coup d'essai, c'était quand même un coup de maître.
Charlier reprend les recettes éprouvées avec Buck Danny et crée cette fois un héros bien français : Michel Tanguy.
Cette première aventure regroupe en fait les deux premiers albums de la série puisqu'en fait l'histoire en tant que telle fait 84 pages et ne fut tronçonnée que pour les besoins de l'édition en album.
(Pour les commentaires spécifiques voir avis sur album suivant)
Il s'agit ni plus ni moins que de la reprise de la série "Ardoukoba" parue 4 ans plus tôt chez Blanco et que la déconfiture de la maison d'édition avait laissé en carafe.
La couverture a changé et les couleurs sont sensées être remaniées. A l'heure où la série italienne "Volto Nascoto" se taille un certain succès en Italie, il ne serait pas idiot de rédécouvrir cette série d'aventures fort prometteuse.
Située durant la période de la guerre italo-éthiopienne du XIXème, nous avons droit ici à une vériotable bande épique (alors que "Volto Nascoto" joue plutôt -assez brillament d'ailleurs- la carte du roman feuilleton). A lire.
Bon gré, mal gré, Constantin est devenu agent secret au service du gouvernement de la republique et sa première mission l'emmène dans la Vienne de la double monarchie.
Tandis qu'à Paris planent des ombres sur ses amis et sa famille.
Nous devions avoir un 4ème tome, le "dossier 75", et depuis plus rien.
C'est bien gentil que l'auteur reprenne (brillament c'est vrai) les Chemins de Malefosse mais ce n'est pas une raison pour nous laisser en plan dans une série palpitante.
Sans doute encore meilleur que l'album précédent.
Nous avons droit à moult rebondissements (conseil de guerre, apparition d'un héros masqué, mariage de la femme de Constantin avec son frère car elle se croît veuve, etc.)
L'ensemble se lit avec grand plaisir.
Une série à découvrir toutes affaires cessantes.
Le dessin de Goepfert a quelque de celui de Juillard (avec un bémol tout de même !). En revanche son choix de couleurs n'est pas complètement opérationnel.
En tout cas, cet album est fort gouleyant. Il débute lors de la guerre des Boxers et fait donc inévitablement penser à Tombelaine.
Sauf que nous sommes ici davantage dans la tradition feuilletonnesque que dans le récit épique (encore que Tombelaine joue également sur ces deux tableaux).
Toujours est-il que le héros de l'histoire, Constantin, sauve par deux fois la vie de Tchang (vous avez dit Tintin ?) et que du coup il s'en fait un ami à la vie à la mort. A propos de mort, il se fait aussi un ennemi mortel en la personne d'un autre officier français.
Pendant ce temps à Paris, sa femme va accoucher et son frère court la gueuse.
Une call girl a une bonne idée : faire disparaître son client mafieux et empocher un million de dollars pour mieux refaire sa vie au Brésil.
Si son départ de New-York se fait sans dommage, son arrivée à Rio est plus problématique puisqu'on lui a fauché ses bagages (donc son argent !) et que deux tueurs (belges) de la mafia sont à ses trousses.
Un dessin très plaisant au service d'un scénario classique sans plus.
Un album qui vaut davantage pour son atmosphère que pour l'intrigue elle-même qui n'a pas peur de prendre parfois quelques facilités.
Mais le côté immédiate après-guerre est admirablement rendu, notamment par les dessins de Baruti.
Autant Paris que Le Havre semblent vrais par 1000 petits détails. On regrettera une mise en couleurs qui n'est pas complètement au top.
Je viens de finir la série.
Certes le premier album peux rebuter par son dessin mais quand on voit le progrés d'album en album on se dit qu'il aurait été dommage que Cauuet n'est pas eu sa chance. Niveau scénario on peux se demander si Clavery savait vraiment où il voulait aller exactement mais on se laisse aller à suivre les personnages au fil de leurs péripéties.
Une série qui se lit sans déplaisir . Je dirais pour clore que ces auteurs méritent d'être suivi dans leur(s) prochaine(s) aventure(s) qu'elle(s) soi(en)t commune(s) ou non...
Bergèse suit l'actulalité chaude et envoie nos héros en Afghanistan.
Pas vraiment beaucoup d'action, sans doute pas le meilleur album mais assez sympa tout de même.
C'est de plus, semble-t-il, le dernier album de Bergèse et l'homme méritait bien un coup de chapeau.
Reverrons-nous Buck et ses amis ? Que deviendra Cindy MacPherson ?
Retour de la grande aventure.
Un excellent petit album, situé dans une région où Buck n'avait jamais volé.
Qui peut vraiment s'être fixé en Antarctique, y faire sévir l'enfer et pour quelles raisons ?
On est dans un scénario digne de Charlier avec le dessin toujours aussi efficace de Bergèse. Sans doute le meilleur scénario de Bergèse d'ailleurs.
Une histoire qui sent le moisi et qui part d'une fausse bonne idée. Lors d'un grand show aérien au Texas sévit un saboteur.
Le drame est que Buck se retrouve devant des avions qu'il est sensé avoir piloté ...60 ans plus tôt. Mais Bergèse est coincé et ne peut l'admettre dans l'histoire ("Buck est très à l'aise sur tout type d'appareils").
La seule originalité de l'histoire réside dans les raisons du sabotage, politiquement incorrectes. Mais pour le reste ...
Près de 50 ans après, Buck Danny retourne en Corée du Nord. Si cette fois la guerre n'est pas totale, elle est quand même bien réelle puisqu'un pilote américain a été piègé et s'est éjecté dans la zone communiste.
Les forces américaines font tout pour récupérer leur pilote et Buck est donc de service.
Pas terrible mais pas mauvais non plus. A le mérite de pointer du doigt les efforts bellicistes des nord-coréens mais pour cela nombre de films sud-coréens sont beaucoup plus intéressants.
Je ne suis pas un grand fan de tous ces "guides humoristiques", a priori très populaires, qui foisonnent à notre époque en France, et qui me semblent surtout traduire la facilité avec laquelle le Français aime se gausser de son voisin, avec une méchanceté arrogante qui est la caractéristique la plus consternante de notre culture. Mais là, s'agissant de se moquer des "accros de rock", comme j'en fais clairement moi-même partie, je suis preneur. Bon, comme tous les ouvrages de ce genre, "Accros de Métal" est d'abord de la mauvaise BD, mal dessinée en plus - le meilleur se trouve incontestablement dans les textes... - et n'est drôle qu'une fois sur trois. Mais, quand on adore soit-même les rituels hilarants que le Rock génère (même si on n'aime pas le "metal", ce qui est mon cas"), il est impossible de ne pas éclater de rire devant certaines trouvailles particulièrement bien venues. Un point gênant, toutefois : je ne suis pas certain que, techniquement, les Gothiques fassent partie de la famille des Métalleux ! Mais, en écrivant cela, je me rends bien compte que je tombe moi-même dans l'un des travers soulignés par ce livre : la tendance très "anale" du fan à tout étiqueter, classifier, etc.
Le tueur solde ses comptes et élimine ceux qui l'ont menacé pour pouvoir retrouver sa vie tranquille et caché.
Cet album est de la même veine que les précédents, le tueur continue à philosopher pour justifier son comportement auquel on a du mal à croire car est-il possible de brider autant ses états d'âme.
Bonne conclusion pour ce cycle qui peut se suffire à lui-même.
"La mélodie d'El Raval" est rythmée et nous raconte la jeunesse de Jazz avec un swing décapant. Les actions s'enchainent dans un tempo d'enfer. Peu de silences dans cette partition soutenue servie par des dessins aux couleurs "en demi teinte" éclairées par les solos de Maynard, équilibriste de haut vol. Cette trilogie barcelonaise aborde le polar dans un groove original, servi par un scénario au rythme syncopé qui devrait plaire aux passionnés comme aux néophites.
Troisième aventure, troisième one-shot, et toujours aussi efficace malgré l'utilisation des mêmes recettes.
A cette époque, le style de Swolfs ressemblait un peu à celui de Giraud mais le type de scénario est très différent de celui de Charlier toujours à l'affut de digressions. Dans Durango les histoires sont linéaires, ce qui leur confèrent efficacité mais également manque d'originalité.
Spirou, j'en étais resté à ceux de Franquin, ayant toujours été déçu par les essais de reprise.
Et puis le buzz autour de celui de Bravo m'a fait franchir le pas et je ne le regrette pas.
Certes, c'est un hommage, mais un hommage réussi. Et je préfère car pour moi il n'y a pas beaucoup d'exemples de bonne reprise.
Et en plus ça a plu à toute la famille, ce qui n'est pas toujours le cas. Mais contrairement à d'habitude, j'étais le seul à ne pas connaître Bravo, mes enfants l'appréciaient déjà beaucoup.
Bref, ce n'est pas du Franquin, mais c'est digne de Franquin, et c'est indispensable.
Ce début de série est vraiment bien, pour ma part j'adore le dessin de Rollin.
L'histoire elle est bien ficellée.
Un jeune Hacker qui se renferme sur lui meme de plus en plus et qui laisse meme tomber sa petite amie. Il a trouvé un jeu qui est très proche de la réalitée, mais qui va lui jouer des tours.
Un album agréable à lire et qui done envie de lire la suite.
Des bandits viennent terroriser une petite ville perdue de l'Ouest.
Pas de chance pour eux, c'est là que Durango se reposait de sa précédente aventure. Comme les bandits sont également stupides, ils font la grosse bêtise de tuer son ami. Du coup Durango est très colère...
Très solide narration, sans grosse originalité, mais fort plaisante à lire.
Mon one shot préféré ou Hermann est au dessin.
Quand on sait que cette histoire est basée en première partie sur des faits réels, et vu la tournure à laquelle Van Hamme nous raconte cette histoire, je me dit que l'homme est vraiment qu'une grosse béte idiote.
Vraiment sublime à ne pas manquer.
Un western classique, archi-classique mais bien fait, très bien fait.
Une histoire de vengeance comme souvent en pareil cas. Durango est appelé à la rescousse par son frère. Mais quand il arrive, c'est pour découvrir que ledit frère a passé l'arme à gauche.
Durango va donc sortir la sienne.
Un western grandiose, voire le meilleur en one shot.
L'histoire d'un jeune garçon dont les parents se font massacrés, et dont son oncle tient absolument à le retrouver.
Le dessin ou plutot la peinture de Rosinski est superbe comme toujours, quand à Van Hamme est toujours fidéle au poste pour nous conter deshistoires fabuleuses.
Contrairement à pas mal de perssonne, je trouve cette série superbe, d'une part le dessin de Griffo est vraiment bon, et d'autre part, l'histoire me plait.
L'histoire d'une personne qui doit absolument retrouver son frère pour pouvoir hériter de la fortune de leur mère, et à qui il arrive plein de mésaventures, j'aime bien.
J'attend avec impatience la suite du nouveau cycle.
Nouvelle aventure de la jeunesse de Carmen ou l'on commence a cerner un peu plus le personnage que l'on connait dans la série originale. Le scénariom'a paru alambiqué, la relecture des précédents n'est pas inutile. Si la tension et l'intrigue sont au rendez vous l'action n'est pas très présente. Le dessin est toujours agréable MAIS, car il y a un mais sans avoir passer l'album au microscope, l'effet de rapprochement sur une personnage rousse n'est qu'un clic sur les outils grossissement et copier-coller d'un logiciel. Alors on est pas devant la Joconde, c'est trés bien déssiné, les références a Led Zep sont fabuleuses mais j'ai peur que la maison d'édition prennent un coup de Soleil en usant de facilité pour produire des séries dérivées. Pas baclées mais bon, pas d'une valeur de 12€.
Achat conseillé tout de même, plus que pour les récits Travis-Carmen, car cela reste un trés bon album.
Les deux premiers albums de cette série, je trouve, sont les meilleurs car on retrouve le dessin de Swolfs, ensuite le troisième est vraiment en dessous(niveau dessin ),et les suivants moyens, en plus les couvertures de Legein sont pour ma part loupés( sur la quatrième on dirait que Dampierre ressemble plus à une fille).
Coté scénario c'est pas trop mal car c'est Swolfs, mais c'est domage qu'il n'est pas continué lui meme le dessin comme pour Durango.
Manolito sombre dans la débine parce qu'il a peur. Mais il va "se remettre en selle" et affronter son destin.
Incontestablement le meilleur album de la série ... parce que c'est le dernier.
Suite de ces aventures qui, à moins d'être un vrai afficonado, sont d'un désintérêt total. Ainsi on pouvait faire quelque chose de l'inéluctable duel/choiwx entre l'Américaine et la Gitane. Mais le scénariste recule la chose, l'effleure et s'appesantit sur des anecdotes sans grand intérêt.
Et là dessus, Labiano le dessinateur, fait ses classes.
Avouez que c ela fait quand même beaucoup ...
L'Espagne de l'après-guerre civile (années 40 ? années 50 ?). L'histoire d'un jeune toréro qui deviendra à coup sûr un grand matador.
Et c'est bien cela le problème de cette histoire, c'est que dès la dixième planche on sait grosso modo ce que la saga nous réserve.
C'est ainsi qu'on a droit aux pseudo Hemingway de service et à l'inévitable Ava Garndner (et sa passion avec Dominguin).
Question originalité : zéro.
Un très bon album au scénario bien construit contenant une touche de fantastique bienvenue avec l'étrange Némesis. On suit les aventures des Cazenac avec plaisir et le dessin est superbe, précis et détaillé. De très belles planches et les couleurs sont parfaitement adaptées. Un très bon départ pour ce deuxième cycle qui s'annonce très bon.
Britanniques et "Soviétiques" sont amenés à coopérer. Il semble bien que des animaux aient été entreposés dans des "boîtes" depuis des milliers/millions d'années et que la mise à jour de ces "boîtes" provoque leur réveil.
On avance toujours un peu plus mais le mystère est loin d'être levé. la série s'essoufle certes, mais le dessin de Léo et la mise en couleurs (parfaite !) valent plus que le coup d'oeil.
Pour autant, je reste conviancu que Leo ne nous a pas encore livré son "chef d'oeuvre", des livres intéressants, oui, mais de chefs d'oeuvres, pas encore.
Mais quand ce jour là va arriver alors attention ...
Sympathique album, pas inoubliable certes mais qui nous permet de retrouver Kathy Austin qui tel un Atlas porte vraiment la série sur ces frêles (et superbes) épaules.
Cet épisode en tant que tel n'est pas exceptionnel.
Grosso mode les forces britanniques rejoignent la mine désaffectée d'uranium et c'est là qu'elle récupère tous nos héros lesquels ont auparavent avancé dans leur quête extra-terrestre. Tout se termine enfin sur la lac Victoria avec la spéctaculaire disparition d'un monstre préhistorique.
Suite des aventures de Katherine Austin sur la même tonalité que l'épisode précédent. L'effet de surprise n'est évidemment plus le même et le scénario reste assez simpliste (voire primaire) mais les dessins et couleurs sont toujours aussi superbes et sont pour une grande part dans la qualité de cette série.
Nous sommes en 1947 et il se passe de drôles de choses au Kénya.
L'expédition Remington a purement et simplement disparu. Peu de temps après la jolie Katherine Austin arrive à Mombasa pour remplacer un professeur absent...
On pense au départ à une énième variation du "monde perdu" de Conan Doyle, mais non l'histoire mêle espionnage, science-fiction et fantastique dans un joyeux fourre-tout.
C'est vraiment une histoire de vampire géiale, qui rapelle un peut les légendes que certains ont put croire et raconter pendant de nombreuses années.
Le dessin est vraiment une pure merveille, quand à l'histoire rien à redire, j'adore la façon dont Kergan est représenté.
J'espère qu'il y aura une suite, on ne sait jamais.
L'histoire est assez quelconque, les dessins le sont tout autant, mais pourtant l'ensemble ne manque pas de souffle.
Cette BD mi-historique (encore que les armures des chevaliers ne sont pas d'époque !), mi-fantastique est une originalité.
A suivre donc
Un ton au dessous par rapport au tome 1.
L'apparition du fils aîné des Porphyre, Konan qui donne son titre à l'album, relance certes l'histoire. Mais sa confession de la vie dans les galères tombe comme un cheveu dans la soupe.
Il n'en reste pas moins vrai que les dessins continuent de porter cette histoire laquelle dans ce deuxième tome connaît deux rebondissements: l'un avec la présence d'Hermine de Rothéneuf et du lourd secret qu'elle trimballe, l'autre avec l'arrivée des ex co-détenus de Konan.
Un dernier mot sur le choix des couleurs : grandiose
Une superbe histoire située dans la Bretagne de l'Ancien Régime, celles des croyances de tout types, des superstitions et des malédictions.
Une jeune femme, Soizik, récupère un collier sur le cadavre d'une noyée tandis que d'autres habitants du village dépouillent d'autres victimes. Mais le recteur (comprendre le curé) demande à tous de restituer leurs larcins. Soizik ne l'entend pas de cette oreille et s'enfuit.
C'est là qu'elle va accidentellement rencontrer le dernier des Porphyre (vu le tmpérament du scénariste Yann/Blac, l'étymologie du nom aura certainement son importance)....
Si l'histoire est bien troussée, ce sont néanmoins les dessins et la mise en couleurs qui emportent tous les suffrages. Ce sont eux qui transforment une histoire solide en classique du genre. Chapeau !
Une bien belle histoire de guerre qui tente de décrire le quotidien de jeunes aviateurs chargés de larguer leurs bombes sur l'Allemagne nazie.
Le fait notable de l'album est qu'on ne s'appesantit pas sur "l'héroïsme" des guerriers mais plutôt sur le caractère quotidien de leur avec son côté parfois excessif. Carpe diem.
Qui plus est la structure en flash back, confortée par le caractère épistolaire du récit, apporte une jolie note poétique.
Bedour ayant remarquablement résumé l'album je n'ai pas grand chose à rajouter sinon sur la dessinatrice.
Viviane Nicaise a un style assez classique, solide et plaisant mais sans émotion particulière? Il se trouve que dans la plupart de ses albums, ses couleurs jouent sur des tonalités sombres ou délavées (je pense particulièrement à "6 jours et mourir" et à "la vie en rose").
Ce n'est pas le cas ici. Les couleurs sont franches et réhaussent la qualité du dessin.
La suite de Tough, série mythique sur les arts martiaux et les sports de Combats. On reste dans la continuité de la série originale pour notre plus grand plaisir. De nouveaux défis en perspective pour Kibo, avec en point de mire son Oncle Kiryu, qu'il devra affronter un jour ou l'autre.
Exactement le même schéma que l'album précédent mais comme c'est moins vulgaire (mais tout aussi creux !) on peut doubler la note !
Quand j'ai lu cette série je l'ai bien aimé.
Coté dessin rien à redire.
Coté scénario, Van Hamme nous entraine dans une histoire tournant autour de l'histoire de la bierre en Belgique.
C'est bien raconté, chaque tome explique un personnage de la famille Steenford, à différente époque de cette famille.
A ne pas manquer.
Pour dire vraie, quand j'ai acheté cet album, j'ai été déçut, pas pour le dessin il est vraiment génial, mais je crois plutot que vu mon attente et aussi les différentes séries sur lesquelles Marini à pu collaborer, je m'attendais à à des discours différents, mais c'est son premier album solo, et aussi comme il a été déjà dit le langage ma surpris, mais après tout cela change un peu.
Il n'empéche que je n'arrive pas à la faire rentrer dans mon top 100.
Une jeune femme de la jet set parcourt les 54 pages généralement dans le plus simple appareil ou presque pour apprendre à la fin qu'elle est la fille de Satan.
Voilà résumée, une histoire qui n'a strictement aucun intérêt. On parle certes de la beauté des dessins. Certes, ils sont très académiques mais assez raides.
Oui Sophia est bien jolie à moitié nue, mais à ce tarif là autant se porter sur une BD purement érotique.
Une autre histoire de Dufaux dessiné par Renaud (connu dans Jessica Blandy), qui nous propose une histoire semi fantastique- semi suspence.
L'histoire d'un flic en amérique, qui se retrouve dans l'au delas et, dont tous le monde croit mort, et qui vas rendre justice à ses assasins.
Série très originale ou le dessin se lie parfaitement au scénario.
Se style de série que Dufaux nous raconte , moi j'en suis fan.
Le dessin de Nicaise est bien réussi.
L'histoire quant à elle explique la lignée des Sang de Lune, et leur problèmes, ainsi qu'une jeune fille chargée d'une "mission" assez spéciale.
A lire absolument pour les mordus de Dufaux comme moi.
Une histoire se situant en France, dans un style sombre, ou l'on retrouve
plusieurs personnages qui sont reliés par différents objets assez spécials, mais
aussi à la fois singuliers.
Le dessin de Rollin j'adore, il représente bien le style de cette série qui part
dans un fantastique sombre très bien scénarisé.
En bref, courez vous la procurer, elle vaut le détour.
Alors la une superbe série, dans la meme lignée que Murena.
Une histoire basé sur l'histoire de la révolution en 1870 en France, qui sort perdante face aux prussiens.
Tout d'abords les dessins sont vraiments formidables, à mon gout, et ensuite sur se fond historique, il y a se coté fantastique que j'affectionne énormemment , et dont Dufaux est très doué pour nous faire profiter de son talent.
Vraiment, je recomande cette série à tout amateur de fantastique, ou à se qui ont pu apprécier d'autre albums de cet auteur.
Un très beau combat entre Iron Man et Hulk, le dessin de Romtia Jr. s'avèrant
des plus efficace pour ce qui est de l'action. C'est très léger, mais on en
attendais pas plus de World War Hulk. Par contre déçu que l'affrontement
contre Flèche Noire soit complètement eclipsé.
+ le début d'un mini-récit en fin de journal par Jenkins, et pour l'instant ya
vraiment pas grand chose à se mettre sous la dent.
Au début, je trouvais que les images étaient un peu figées, comme si on regardait
un film en saccade. Et puis, je me suis laissée entraîenr dans le scénario et j'ai
oublié. J'aimais la différecne du dessin à la plume et en même temps, ça
m'agaçait parfois.
Le scénario est bien construit; rien pour nous mettre sur le cul mais en même
temps rien pour nous faire décrocher. On prend le train et on y demeure jusqu'à
la toute fin.
J'ai adoré les dernières pages qui nous parle de l'auteur, de la manière dont il
travaille, de ce qui l'inspire.
Un très bon moment finalement.
Bien qu'ayant soutenu le futur empereur, Léopold Crubin, le protecteur d'Eva, doit s'exiler. Il use d'un subterfuge pour circonvenir sa maîtresse. Les voilà en Angleterre prêts à s'embarquer pour les Amériques.
Mais le bateau se révèle être aussi destiné au traffic de "bois d'ébène"...
Ultime épisode de notre jolie courtisane au grand coeur. Ce n'est pas une saga essentielle dans l'histoire de la BD mais si vous en avez l'occasion ...
Fantastique série fantastique. Le mercenaire, au service du "bon", combat monstres et machines dans un monde médiéval, qui s'avère être notre bonne vielle Terre ravagée par une guerre n'ayant laissée que peu de reliques de l'univers de jadis. De très beaux dessins, des histoires sympathiques, qui se lisent assez vite. Une fois un livre fermé on s'impatiente de pouvoir ouvrir le suivant. A ranger à côté des Storm. Personnellement une de mes séries SF préférée..
Bon album toujours aussi frais et intéressant avec une intrigue qui évolue de manière assez surprenante et imprévisible. Où tout celà va aboutir ? On se le demandes car les nouvelles pistes creusées par les auteurs relancent le récit et le suspense étant bien entretenu il est très difficile de prédire quels seront les prochains évènements surtout au niveau de la relation entre Drazen et son père.
Eva est devenue la reine des hétaïres parisiennes, à part le Prince Président (le futur Napoléon III) jalousement gardé par sa britannique maîtresse -Miss Howard-, la jeune femme peut désormais avoir qui elle veut.
Seul problème, l'un de ses amants de coeur est un peintre de l'école de Barbizon (d'où le titre de l'album) mais surtout un Républicain convaincu. Or, Louis-Napoléon prépare un coup d'état ...
Kidnapping, rançon, emprisonnement, départ pour le bagne, toutes les recettes y passent pour un plat plaisant sans un être succulent.
Numéros 40 et 41 :
Deux très bons numéros que relancent l'histoire de Spawn avec une enquête sur des meurtres en série chez les SDF qui n'a au final rien de très naturel. Le récit est bien développé et on est pris littéralement dans l'enquête se demandant si il y a ou non une implication infernale tant l'horreur décrite peu paraître humaine. Les relations entre les différents personnages devennent de plus en plus complexe même si certains sont pour le moment laissé de cotés et que Sam et Twitch occupent davantage le devant de la scène.
Suite des aventures d'Eva qui devient une courtisane accomplie et finit par achever sa vengeance envers son indélicat protecteur et son assassin de père, tandis que la révolution chasse Louis-Philippe pour mieux donner le pouvoir à Louis-Napoléon Bonaparte.
Se laisse lire sans rien d'exceptionnel.
Eva perd son pucelage en même temps que son amant, celui-ci étant assassiné dès la fin de leurs ébats. Bien évidemment les soupçons pèsent sur la pauvrette, fille du peuple, montée dans ce Paris louis-philippard (nous sommes en 1847). Mais Marie Duplessis, la fameuse dame aux Camélias, va prendre le destin de la jeune provinciale en mains.
Le ton du roman feuilleton dans l'époque même d'Eugène Sue.
Pour les dessins du trop rare Frisano.
Voilà un très bon numéro qui clos la saga du clone, qui aura été au final une excellente histoire, et commence un nouvel arc, "Marvel Knights", tout aussi prometteur. L'intrigue évolue de manière très prenante, les personnages évoluent de manière plus que satisfaisante créant ainsi des situations plutôt tendues par moment et les premiers éléments du nouvel arc donnent l'eau à la bouche. Vivement la suite.