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Voilà un très bon volume qui nous éclaire sur les raisons peu ordinaires qui poussent le Cat's Eyes à voler et les éléments qui nous sont donnés sont plutôt bien trouvés. Les questions restent encore nombreuses et de nouvelles viennent se rajouter. Bref on est pas près de s'ennuyer avec cette série. on sent toujours que desin a bien vieilli surtout au niveau des personnages mais ça reste une très bonne série.
La série se poursuit toujour dans une trame héroic fantasy classique mais bien traitée et sachant accrocher le lecteur. L'évolution de l'intrigue est assez rapide avec quelques surprises (d'ailleur le tome 4 devrait être le dernier si je ne m'abuse) et l'action bien rendue notamment au niveau du dessin dont le style est plutôt agréable. Bref une série qui ne révolutionne pas le genre mais reste sympatique.
Voilà une série avec une trame intéressante et prometteuse qui aurait pu donner quelque chose de bien mais dont la fin et tellement vite expédiée qu'on en ressort au final plutôt déçu même si le débutr est très engageant. C'est dommage car il y avait de la matière. C'est un peu ce que je regrète dans les Manwha car les début sont généralement prometteurs mais ça part toujours en vrille sur la fin.
Voilà encore un excellent volume volume générant encore davantages de questions et sans qu'on ai de réponses sur sur les déjà très nombreuses questions qu'on se posait déjà. L'histoire en elle même diverge un peu de la trame principale tout en gardant quelques informations par ci par là pour y faire référence mais ça reste quand même excellent à lire et va peut être aboutir à un nouveau compagnon pour notre fine équipe. On ressent toujours la puissance des combats et l'humour présent par ci par là donne un équilibre adéquat et sais dédramatiser certaines situations.
Un tome plutôt pas mal même si au niveau combat ça manque un peu de tension. En effet jusqu'à maintenant on a l'impression que les combats sont trop faciles pour Kiichi si bien qu'on a du mal à se passionner pour ces combats. Ils n'en sont pas mauvais notamment celui de ce volume contre le style Shindo. Sinon au niveau du développement de l'histoire on avance très lentement vue la place que prennent les combats, ce qui est une raison supplémentaire pour vouloir des combats plus passionant à suivre sinon on en a pour 40 ans avant d'avoir la fin si on multiplie les combats sans trop d'importance. Au final un volume agréable à lire mais on en attent davantage surtout au niveau de la qualité des combats.
Un seul être arrive et tout est repeuplé !
Cette venue de Pirlouit apporte un brin de folie et donc d'humour dans la série. Certes ce n'est pas encore un chef d'oeuvre mais c'est fort plaisant. Qui plus est le dessin de Peyo gagne en rondeur et perd en angularité.
Fort plaisant histoire donc que ce rapt de la princesse Anne, nièce du bon Roi, et que le méchant sire Girard fait passer comme ayant été réalisé par le terrible Pirlouit, le fameux lutin maléfique.
Le brave Hugues de Roucybeuf revient après 3 années d'absence. Mais les choses ont bien changé dans son fief. Tout d'abord son père a disparu et puis il ne semble pas le bienvenu et ne doit la vie qu'à l'intervention de Johan. Sa venue au château familial -sous des apparences festives- recèle un danger mortel.
Mais qui peut bien lui en vouloir ? Son frère Bertrand ? Son oncle Amauri (le 'i' est d'origine) ? Son cousin Thibault ?
Heureusement Johan est là !
Incontestablement du mieux tant dans le dessin que dans le scénario mais cela reste encore assez faible. La raison : pas un poil d'humour. Mais rassurons nous Pirlouit arrive bientôt.
Très franchement cette bande parue en 1952 dans Spirou est d'une grande faiblesse tant scénaristique que côté dessin.
L'histoire est celle du méchant Basenhau qui veut tricher dans un tournoi, se fait prendre et cherche à se venger.
Difficile dans cette oeuvre d'une grande maladresse ce qui par la suite va devenir l'un des trésors de la BD franco-belge.
Alors qu'il est dans le train Gênes-Paris, Jan Karta lie conversation avec un Français sympathique. Malheureusement le pauvre homme est atteint d'une crise cardiaque mais avant de succomber implore Jan de retrouver son fils à Paris et de lui donner une somme d'argent contenue dans une enveloppe.
Malheureusement ce jeune fils a trahi la Cagoule, cette fameuse organisation d'extrême-droite. Et le Comité Secret d'Action Révolutionnaire (son véritable nom) est aussi à la recherche de ce fameux Paul Rémond.
Superbe histoire située en 1935 qui a pour cadre un magnifique Paris tantôt pluvieux, tantôt enneigé. C'est superbe !
A la fin de l'album Jan reprend le train pour Berlin. Malheureusement cette histoire "Ritorno a Berlino" sortie en Italie en 1992 n'a jamais été éditée en France. De même que l'épilogue de ce retour publié lui en 1997 et qui a pour titre "Siemensstrasse 66".
Qui relévera le gant ?
Jan Karta a dû quitter l'Allemagne à cause des chemises brunes. Il cherche refuge en Italie avant de partir en Amérique. Mais en Italie sévissent aussi les chemises noires, ce qui n'est pas beaucoup mieux.
Jan se voit confier par une vieille amie de son père une mission délicate : espionner sa future belle-fille pour savoir si elle en veut à l'argent de la famille ou si c'est un mariage d'amour.
Jan va s'acquitter de sa mission et devra quitter l'Italie où il n'est pas meiux vu qu'en Allemagne.
L'enquête la plus humaine et la moins politique de Karta. On y sent sa sensibilité. Pour autant cet album est un peu en retrait par rapport aux précédents.
Un superbe album que nous livre içi Hermann.
Une histoire se passant dans l'Europe de l'est ou la misère et la guerre ne font qu'un.
Assez triste surtout pour sa fin, avec des décords splendides et avec des lieux rééls.
De plus il est marqué en première page que c'est considéré comme un document envoyé à diverses personnes concernés.
J'ai vraiment bien aimé, tout d'abords on retrouve Hermann avec ses dessins superbes et ensuite on decouvre une histoire qui se situe en Afrique pour changer.
Un homme qui évite des braconnages dans la savane.
Il est dérangé en compagnie d'une jeune femme journaliste par le gouvernement africain avec qui il ne s'entend pas.
Un beau one shot sur la sauvegarde des animaux.
Der Sturm peut se traduire par "tempête" et c'est bien d'une tempête dont il s'agit.
Nous sommes le 27 janvier au soir et un homme mourant frappe à la porte de Jan Karta et s'effondre. Avant de mourir il a le temps de prononcer une phrase énigmatique :"le Hollandais, c'est le Hollandais ..." Les ennuis de notre détective privé ne font que commencer.
A cette date, le maréchal président von Hindenburg n'a pas encore nommé Hitler chancelier. Le vieil homme le déteste et le surnomme "le caporal bohémien". Mais le parti nazi est le plus puissant du Reichstag et les SA font la loi dans les rues allemandes.
Manipulé, vieilli et malade Hidenburg nomme toutefois Hitler au poste de chancelier le 30 janvier. Mais Hitler ne peut pas gouverner comme il l'entend. Socialistes ett communistes lui mènent la vie dure au parlement puisque les deux groupes confondus ont davantage de députés que les nazis.
Hitler arrache à Hidenburg la dissolution du parlement. De nouvelles élections sont prévues pour début mars. Mais là encore la victoire nazie reste aléatoire.
A moins qu'un événement ne précipite les choses. Cet événnement sera l'incendie du Reichstag dans la nuit du 27 février.
Hitler met l'attentat sur le dos des communistes et fait arrêter le lendemain plus de 4.000 militants. Mais malgré cela si les nazis remportent les élections, ils n'ont toujours pas la majorité absolue.
Ce n'est que le 23 mars que le Reichstag vote les pleins pouvoirs à Hitler, grâce à l'appui du DNVP petit parti de droite qui n'avait obtenu que 8% des suffrages. Théoriquement ces pleins pouvoirs ont eu une durée de 4 ans mais on connaît la suite ...
3 jours plus tôt le premier camp de concentration à Dachau était ouvert. L'enfer vient de s'inviter en Allemagne et bientôt en Europe. Par son aspect pyschologique l'incendie du Recihstag a eu un rôle sinon déterminant au moins très important.
Reste à savoir si ce n'était pas une manipulation pure et simple des nazis.
C'est cette histoire qui nous est contée dans ce magnifique album.
Contrairement au précédent avis, j'avoue que les nombreux rebondissements ont fait ma joie. Ils permettent ainsi à l'histoire d'être moins statique que les dessins qui ont la qualité de ces années soixante, à la fois léchées et un rien contraintes. Ce qui n'est évidemment pas une critique, quand on voit certains westerns "modernes"! La première rencontre de Teddy Ted avec l'Apache, un sang-mêlé mutique, est la cerise sur le gâteau. Surtout quand on sait qu'il va devenir un compagnon fidèle de notre "cowboy aux yeux clairs". Pour cette "diligence de la haine", "Stagecoach" ("la chevauchée fantastique"), le film de John Ford, n'est pas loin et c'est tant mieux. On se régale les yeux avec ce western classique, très loin de "Blueberry", c'est vrai, ce qui ajoute à son charme.
Première histoire de Teddy Ted, "Triangle 9" réunit la qualité des dessins de Gérald Forton - ah cette maestria dans le rendu des chevaux! - et celle d'une intrigue au long cours, comme savait si bien l'illustrer Roger Lécureux. Paru aux éditions Hibou - suite des éditions Loup -, cet album est un vrai régal pour ceux qui aiment les histoires superbement structurées et les dessins calibrés. La couverture, en couleur, est vraiment superbe. Il s'agit d'une intégrale, semble-t-il, mais à l'heure où j'écris, pas d'autre album n'est annoncé. Aie... Ruez-vous donc sur celui-ci afin que l'éditeur nous en offre d'autres.
Dan Géronimo, le privé métis, est de retour. Cette fois il tente de sauver une jeune femme, amie de Solena, sa compagne. Mais les apparences sont trompeuses, semble-t-il. Tout se déroule en ville et les fausses pistes abondent Au final, Solena prend du galon et Géronimo, toujours en bute au racisme, nous la joue à la Hammett. La couverture est superbe, l'histoire à la limite de la bluette, parfois, mais c'est voulu, semble-t-il. On a là du polar référence et c'est tant mieux. Vivement la suite de la série!
Unité de temps, de lieu et d'intrigue pour cette seconde histoire mettant en scène Tom Drake. Atmosphère étouffante, village peuplé de "trognes" patibulaires et jeune femme en danger - ou qui met en danger?. Bref, du vrai polar où Drake - qui peut, par instant, ressembler au John Drake de la télé - a fort à faire pour se sortir d'un embrouillamini un rien sexuel. Ca a également des airs de western moderne. Pas étonnant quand on connaît l'amour de Forton pour ce genre - avec son excellent Teddy Ted. Un bon album, donc, qui fait honneur à la jeune maison d'édition Loup.
Deuxième album de la série "Borsalino", mais nouveau héros. Cette fois il s'agit d'un privé, Dan Géronimo qui, par une astuce scénaristique, se retrouve en liens étroits avec "Flouse Blues", où le héros, on le rappelle, était Tom Drake. Racisme, années cinquante cette fois - alors que Drake se situe vingt ans plus tôt -, méchants un rien caricaturaux, mais histoire solide et longue - plus de 50 planches. Un bon exemple de bd classique. A écouter sur un air de blues, évidemment...
Retour du "vieux" Gérald Forton dans un récit où un Tom Drake devient, à son corps défendant, un agent du futur FBI. Histoire en noir et blanc, avec de nombreuses péripéties, dessinée "à l'ancienne", ce qui ne gâte rien. Un bon album chez un petit éditeur qui, nous l'espérons, en sortira beaucoup d'autres, car Gérald Forton se faisait rare ces temps-ci.
Nous sommes en 1925 en Allemagne. Si la république de Weimar n'est pas encore agonisante, du moins elle est mal en point. C'est dans ce contexte qu'une jeune femme vient trouver Jan Karta, détective privé, et lui demande de prouver que son mari a des liaisons extra-conjugales.
Le privé s'exécute mais au lieu d'une maîtresse, il surprend le mari industriel dans les bras de son jeune amant. Professionnel jusqu'au bout des ongles, Jan remet les clichés à la femme trompée.
Quelle n'est pas sa surprise de découvrir quelques jours plus tard les photos s'étaler à la une du journal. Ne pouvant supporter le scandale, l'industriel se suicide.
Jan décide d'en avoir le coeur net et va demander des explications à l'épouse devenue veuve. Seul petit problème il apprend du coup que le défunt n'a jamais été marié...
Courte mais forte série italienne qui retrace dans ces années chaotiques la lente montée inexorable dui nazisme et plus généralement de l'extrême-droite en Europe. Le héros, Jan Karta, est un personnage désabusé mais droit. Il est aussi attachant que cette série trop rare.
De superbes planches qui collent parfaitement au scénario, et encore plus au
personnage du Surfer d'Argent... Beaucoup de "pathos", mais Joe Michaël
Sctraczynski sait le distiller à merveille, et ça donne au final un très beau
comics crépusculaire sur la fin du Surfer d'Argent, emprunt de tristesse et de
mélancolie. Certes les auteurs en rajoute beaucoup dans les effets mais c'est
très efficace. Une très bonne lecture en somme (par contre dommage que
Panini ait choisit cette couverture, celle du numéro 1 était bien mieux adaptée,
parfaitement dans le ton du contenu).
Way et Dillon continue à nous dévoiler encore un peu des souvenirs de
Wolverine dans Origins. Cette fois, il s'agit de sa rencontre avec Captain
America pendant la 2 Guerre Mondiale (oui bon c'est pas trop une révélation).
Pas très palpitant mais la suite risque d'être bien prenante...
À côté on a la suite et la fin de "La Maison du Sang" dont je n'ai pas lu le
premier épisode. En tout cas ce second épisode m'a quand même bien
emballé pour son côté véritablement terrifiant (les dessins de Aja sont
vraiment flippant). Bref, un récit horrifique qui m'a bien plut.
Il ne nous reste plus qu'à attendre le retour de la série principale la semaine
prochaine.
One More Day, One More Day... on nous a pas mal rabaché les oreilles avec
cet arc "incroyable". Bon certes c'est pas mauvais, mais est-ce aussi
exceptionnel que ça? Et puis le 2e épisode prend des allures mystiques (car
arrivée de Dr. Strange) qui ne colle vraiment pas à l'univers de Spider-Man je
trouve. Et pourquoi est-ce que les dessins de Joe Quesada sont-ils toujours
aussi moyennement colorisés? enfin disons plutôt qu'à chaque fois la
colorisation utilisée ne correspond pas du tout à son trait, et c'est ici encore
plus flagrant au regard des dessins en version noir et blanc présent dans le
portofolio bonus. Bien dommage. Enfin bon espérons en tout cas que les 2
épisodes suivants seront à la hauteur de la qualité qui nous a été promise.
Avec ça on a le dernier épisode d'Aguirra-Sacasa sur la série, qui s'est pour
l'occasion octroyé l'aide de Clayton Crain au dessin. De très belles planches-
peintures et une histoire assez particulière mais qui permet au scénariste de
nous quitter en grande pompe avec un épisode sobre et emprunt de nostalgie.
Et enfin les Thunderbolts sont toujours au rendez-vous, au même titre que la
qualité. Ca se bagarre et se bagarre encore, et c'est toujours un petit régal
que de lire cette série. L'avenir de Bullsey s'annonce quant à lui assez
sombre...
Les Nouveaux Vengeurs, après des épisodes remplis de combat, se posent un
peu et papotent un bon moment à coup d'hypothèses sur ce qu'ils viennent de
voir. Avec en bonus un accident d'avion bien maîtrisé.
Côté SHIELD Tony Stark est au plus mal, et c'est donc Dugan qui prend les
commandes... et comprend que ce n'est pas si simple de diriger une telle
structure, d'être mis face à ses responsabilités sans avoir uniquement à obéir
à des ordres. Après un premier épisode un peu bâclé, les auteurs sont donc
revenus à quelquechose de plus construit, et c'est réussit.
La série Captain America nous offre elle comme à son habitude un bon
épisode, et on fini le magazine en beauté avec un hors-série des 4
Fantastiques très agréable à lire. Bref, que du bon ce mois-ci.
La série des Supers-Tintins est très souvent ( voir tout le temps ) délaissée par les lecteurs de bandes-dessinées. Certains diront que les histoires sont mauvaises, d'autres que les dessins sont mauvais et d'autres encore que ces histoire ne valent pas la peine d'etre lues.
Quelle héresie !
Je considère les recueils Super-Tintin comme intéressants, bons, et bien réalisés ... Je suis moi-même collectionneur des recueils Tintins, Super Tintin et Spirou, pourquoi cet engouement pour les albums Spirou alors que les recueils Tintin tombent à l'oubliette ?
Ma plaidoirie n'a qu'un seul but, faire remonter l'estime du journal Tintin qui comme le journal Spirou contient d'excellentes BD.
Les recueils Super-Tintin ont l'avantage de contenir des récits complets, triés par thèmes et rendent bien l'esprit des dessins de l'époque ( années 80 ). Pour tous les amateurs de Buddy Longway, Ric Hochet, Robin Dubois ou encore Bernard Prince ces albums vous replacent dans le contexte de l'époque et vous permettent de (re)découvrir ces histoires sensationnelles.
Vive les recueisl Super-Tintin
J'ai lu cet album par curiosité car il daté, et vraiment j'ai été déçut.
L'histoire d'un enfant qui né sans ses bras ni ses jambes, juste avec sa tete et le torse m'a déjà tout d'abords donné un arrière gout de la série, et puis la suite est vraiment inninterressante.
je ne voit pas comment on peut faire évoluer un héros sans possibilité de mouvements.
En bref à éviter.
Dernier album de la série et dernière aventure avec "La ribambelle contre-attaque".
Cette histoire est la suite directe de "La ribambelle enquête" puisqu'Arsène Grofilou a mis la main sur le livre du brocanteur Levase et part à la recherche du "trésor". Ayant fini par comprendre que ce fameux trésor était enterré dans le terrain de la ribambelle, il charge Tatane et ses Caïmans de le récupérer.
Comme pour l'album précédent celui-ci est complété par une histoire assez courte : "La ribambelle au bassin". Ces deux histoires de complément (dans l'abum 5 et 6) étaient chronologiquement parues dans Spirou AVANT l'aventure aux Galopingos. Ceci explique qu'au début de l'album 4, un des mômes se plaint que cela plusieurs mois qu'il attend le billet gagnant.
Le brocanteur Levase a déniché un vieux livre dans lequel il constate qu'un trésor se trouve sur le terrain de la ribambelle. Il n'aura de cesse de mettre la main dessus quitte à séquestrer ce pauvre Archibald.
Mais le riche et avare Arsène Grofilou (que l'on avait découvert dans le tome 1) a aussi vent de l'affaire...
Pour compléter l'album une courte histoire "La ribambelle engage du monde". Cette fois ce sont les Caïmans qui veulent se joindre au groupe et pour cela, ils sont prêts à tout. Même à faire des bonnes actions !
La série s'essouffle quelque peu.
Superbe intrigue. Des dessins sublimes. Et une attente insupportable.
Si je compte bien, ça fait maintenant 11 ans qu'on attend. Il y en
a d'autres qui se font prier mais de temps en temsp, ils sortent quand-même
un tome histoire de faire pateinter les lecteurs.
Je ne sais pas s'il y a moyen de posser maître Vicomte à abréger nos
souffrances ... Pour ma part, je pense que j'ai perdu espoir.
Nos amis ont certes gagné le 1er prix mais malheureusement, il ne s'agit que d'un seul billet pour les Galopingos. Qui partira ?
Comme personne ne se résoud à quitter le groupe les voilà qu'ils l'offrent au Pr Berlingaud qui annonce qu'avec de l'argent il partirait "loin, loin, j'irai en week-end à Zuydcoote" (nouvelle allusion littéraire accessible aux gosses de l'époque ne srait-ce que par le film avec Belmondo mais aujourd'hui ?).
Ce brave professeur est ravi et va en profiter pour percer le mystère du fameux dragon de Grododo.
Sa disparition met les gosses en émoi. Mais un odieux chantage du "butler" James menaçant de tout révéler au "Rugissement matinal" fait que "La Clameur Vespérale" accepte de financer la mission de secours et voilà notre équipe qui part à l'autre bout du monde....
Retour sur le continent (France ? Belgique ?) pour notre petite bande et donc nouvelle confrontation avec la bande du méchant Tatane et de ses Caïmans.
Nous avions fait connaissance de ces vilains garnements, habillés en blousons nors (tout un symbole à l'époque !) dans le premier album. Les voilà de retour pour notre plus grand plaisir.
Ils veulent cette fois ci empêcher la ribambelle de gagner le grand concours qu'organise "La clameur vespérale" et si possible empocher le premier prix pour aller aux Galopingos.
Le titre du 4ème album vous donne une idée des noms des vainqueurs.
NB: l'âge cible du lectorat n'a évidemment pas changé.
Cette virée écossaise de nos 6 petits héros consiste à récupérer le Chardon d'or qui divise les clans des MacKlangbang et des MacDingelling.
Petit détail significatif alors qu'il détaille la bataille de Glenfyfy, Archibald évoque "l'horreur d'une profonde nuit" puis plus loin "Ma kingdom for a bottl'" (je respecte l'orthographe du livre).
Les gosses d'alors souriaient (j'en étais !) mais aujourd'hui ?
Qui y verra les allusions littéraires ?
Dans le meilleur des cas, les plus doués y verront une allusion à l'une des chansons de Carlos (le Boogaloo du loup-garou), mais à Racine j'en doute !
Et je ne parle pas de la référence shakespearienne !
Du coup, cela perd beaucoup de sa saveur !
Dans ces années 60, il était de bon ton que les "hebdomadaires pour la jeunesse" présentent une série avec justement de jeunes héros.
Si l'on excepte Jacques Le Gall qui est déjà un adolescent, Pilote échappa à cette vague mais pas Tintin avec "Corentin" (plus tout à fait un gosse mais pas encore un ado), "Pom et Teddy", "Jari", "Panchico" et ceci sans compter les "4 as" qui paraissaient en albums chez Casterman
Pif offrait deux séries fort intéressante "Les As" dessinés par Greg (près de 1.000 plaches !) et "Totoche" par Tabary dont sortiront les fameux "Corinne et Jeannot".
Spirou nous offrit cette Ribambelle dont la première histoire est assurément la meilleure.
Disons le tout net, cette série a vieilli et ne ravira que ceux à qui cela rappelera leur enfance. Autre clientèle possible les enfants de moins de 12 ans; j'ai essayé avec les miens et cela marche (un peu !).
Le plus mauvais tome des tuniques bleues qu'il m'est été donné de lire.
Un humour raz des paquerettes (et encore). c'est absolument pas drôle et surtout une histoire loin loin loin des débuts de la série.
Aucun intérêt. Après les Planqués (tome précédent) Cauvin nous signe une nouvelle daube dans la série c'est vraiment dommage il aurait pu arréter la série avant si c'était pour nous pondre ça.
Là on arrive dans les tomes que je qualifierai de "new style" des tuniques bleues. On se rend compte que l'auteur n'a plus trop d'idées mais sort des albums pour remplir et faire de l'argent.
L'intérêt général du tome est proche du néant, l'histoire semble bâclée, l'humour est au point mort...Dans la lignée d'un Cédric (du même auteur). Destiné à un public plus jeune que les premiers tomes en s'ennuit ferme d'un bout à l'autre.
Un très bon tome des tuniques bleues qui nous change un peu puisqu'on va enfin découvrir le passé d'un de nos deux compères à savoir le caporal Blutch (on ne saura pas comment il s'est engagé dans l'armée ça c'est dans Blue retro).
Le tome est léger et intéressant. Une aventure originale qui développe la série. Cependant il ne faut pas le lire en premier je pense (tome 34 normal vous allez me dire...je sais mais je préfère prévenir).
Cet album est également mythique.
La célèbre cavalerie du 22° régiment est une nouvelle fois décimée (normale avec Stark) et en plus le capitaine a été capturé. Blutch et Chesterfield sont donc momentanément mis à un autre poste.
L'humour bien que moins présent que dans d'autres tomes laisse place à une intrigue vraiment bien ficelée au vu du nombre de pages.
L'ALBUM mythique des tuniques bleues : quiconque l'a lu comprendra. Un véritable dédicace à "La grande évasion" en version bande dessiné. L'humour est comme d'habitude énorme avec un certain Cancrelat dans le rôle du sadique de service....
Oui car pour une fois nos deux célèbres compères nordistes vont être capturés et placés dans le pire des camps. Et en plus à peine arrivé ils veulent se faire la belle....
L'un des meilleurs de la série assurément.
Le scénario est digne d'un bon film Américain : le sergent Chesterfield et le caporal Blutch vont s'infiltrer incognito dans les lignes ennemis pour faire un maximum de dommages accompagnés de deux Méxicain attirés par une rondelette somme de 1500 dollars.
L'humour est toujours là, un dialogue me vient en particulier à l'esprit :
"Blutch passez moi votre corde."
"Pourquoi vous voulez vous pendre ?"
Faut voir le dessin aussi et surtout la situation mais je suis écroulé à chaque fois que je relis ce passage.
Un très bon tuniques bleues, à lire au moins pour voir la première rencontre entre Blutch/Chesterfield et le cémèbre capitaine Stark (le suicidaire vous savez).
Un humour très très fort, une intrigue bien foutue vraiment allez-y sans problème. Les dessins de Salverius sont très péchus même si ça change de Cauvin on peut pas dire que c'est moins bien.
Premier tome de la série est plutôt très bon. Pourquoi j'ai pas mis plus alors ? Ben parce que je note la série en entière (je vais pas vous faire 25 critiques quand pour chaque tome quand l'histoire se suit c'est ridicule...).
Le problème de la série est qu'elle perd beaucoup d'impact dés le second tome à partir du moment où on n'a plus de surprise (et aussi qu'on a attendu 1 an un truc de fabuleux et que finalement on reste sur notre faim). On a vite tendance à se lasser, il faudrait un véritable coup de théatre pour redonner un peu plus de jus là parce que ça perd en substance au fil des tomes.
Je suis plutôt partagé sur cette série : elle avance vite du fait des changements de dessinateurs mais on reste à un niveau plutôt enfantin dans la narration. C'est sûr c'est pas les 20-25 ans le coeur de cible de ces albums mais bon on peut réussir à faire un juste milieu de temps en temps. Enfin bon je m'égare en lisant le premier tome vous entrez vite fait dans le sujet (trop vite ? le tome se lit à la vitesse de l'éclair) on passe un bon moment mais voilà si vous voulez la fin de l'histoire il faudra vous farcir toute la série dans l'ordre (chaque tome possède quand même sa propre histoire mais bon j'aime bien pouvoir chopper une BD dans ma librairie au hasard et la lire avant de me coucher...avec cette série on peut pas).
Je maintiens mes avis avis précédents sur les couleurs et les dessins. C'est un bon point.
Je maintiens aussi mes avis précédents sur la qualité du scénario et ça c'est plutôt un très mauvais point. La fin -tragique- serait plutôt à mettre au crédit de l'auteur. Mais comme on s'est suffisamment enquiquiné, elle apparaît comme un soulagement.
Seuls les fanatiques purs et durs de SF (et encore !) pourront absorber cette saga sans mollir. Les autres se lasseront.
Une bonne BD à lire avant tout pour la maitrise des dessins. Rarement vu un tel niveau fait avec une grande originalité et son style propre. L'histoire ne touche pas des sommets de narration de science fiction mais on reste dans la moyenne de la BD francophone à ce niveau là alors ne crachons pas dessus.
Les tomes mettent un temps interminable à sortir par contre c'est LE mauvais point.
La meilleure des série Donjon selon moi. Le dessin de Blain est très vivant et convient très bien pour illustrer les aventures de Hyancinte. Mais là où on voit vraiment qu'on est dans de la grande bande dessinée c'est avec l'histoire originale, trépidante et bien ficelée sans pour autant se prendre la tête.
En merveille.
Honnêtement, autant j'aime beaucoup la série des Donjon dans leur intégralité autant il faut bien avouer que la série Crépuscule est inférieure aux autres.
L'histoire est assez bâclée et ennuyante, l'humour est aux abonnés absent et le pire c'est qu'on apprend pas grand chose alors que c'est le premier tome de la série. Marvin n'est plus que l'ombre de ce qu'il était à la période Zénith et Marvin rouge n'est pas très charismatique...
Y a pas à dire il vaut mieux que Sfar fasse le scénar et que Trondheim fasse les dessins on sera plus content.
Oh mon Dieu !!! Quel atrocité cette bande dessinée... et le pire c'est que n'importe quel néophite s'y laisserait prendre.
La raison de ma colère c'est que cet album (au moins le premier tome je ne suis pas allé plus loin) est un plagiat honteux du formidable comics américain de Joe Madueira "Battle Chaser". La quasi totalité des personnages principaux sont repompés à "l'identique" sur les chara design du maître MAD. Mais les dessinateurs n'ayant pas sa maitrise le résultat final est beaucoup moins bien (aller voir les planches sur ce site pour vous faire une opinion). Les couleurs aussi sont d'un niveau bien inférieur. L'histoire est quand même différente (certaines cases sont quand même dessinées à l'identique ce qui prouve le fort travail imaginatif) mais elle atteint pas le niveau de battle chaser.
LE BON POINT : ben contrairement à Battle chaser on aura peut être la fin un jour.
Une oasis dans le désert !
Une "mer" de nanotech s'étend au fur et à mesure que le bébé de Roxanne (et Fitzgerald Mallow) grandit.
Jonathan Fisher qui n'est plus très net depuis 2 albums est d'ailleurs celui qui anéantira la menace en transportant la mère enceinte au milieu des nanotechs (allez d'ailleurs savoir pourquoi !).
Enfin bref, le bébé naît et il est bien portant. Mais notre ami Jonathan est tout bizarre.
Après avoir cotoyé le précipice la série revient à une honnête moyenne. Ce n'est certes pas grandiose, mais c'est tout de moins moins délirant que les 2 albums précédents. Reste que le dessin est vraiment attachant et que les couleurs sont appropriées.
Ne voulant pas rester sur une mauvaise impression, j'ai voulu poursuivre la série (heureusement la bibli de ma ville est bien fournie !).
Zolis dessins, zolies couleurs, histoire incompréhensible mais sur laquelle nos auteurs se sont bien défoulés.
Les métacréatures sont la nouveauté de l'album. C'est directement repompé de Terminator II mais sans le plaisir que procurait le film.
Le deuxième volume est aussi réussi que le premier, le scénario est assez costaud tout en étant lisible et les personnages ont une réelle consistance. Les planches sont agrémentées de dessins superbes. Enfin les dialogues mettent parfaitement en relief la dynamique de l'histoire et des personnages. Nigel est toujours à cheval entre deux mondes, et la guerre que mène le M 10 pour l'atteindre et tuer le monde du rêve est effrayant d'efficacité ! Alors notre héros est il le djinn et va t il triompher des forces qui veulent tuer nos rêves de gosses ? Je l'espère comme j'espère ne pas avoir à attendre 18 mois pour croiser à nouveau la route de la fée Eireann ou de l'inspectrice Grey...
Le récit se déroule en Russie à la veille de la révolution bolchevique, Moscou et ses habitants sont en effervescences. Le héros, Alexandre étudiant en médecine, doit se faire "oublier" de la milice tsariste et accepte un poste de médecin dans une petite clinique dans une région reculée... Arrivé sur place, il doit commencer à se faire accepter des habitants et faire face à une "bête" qui rôde dans les bois... Trame classique pour un récit qui n'arrive pas à décoller.
Le dessin est bon et Jaime Martin joue avec les couleurs d'une façon très efficace, atmosphère bleue, rouge et grise qui colle à l'action. Pas de doute c'est très bien réalisé. C'est plutôt au niveau du récit que cela pêche. Le contexte historique, largement expliqué au début, ne joue plus aucun rôle une fois hors de Moscou (page 17 jusqu'à la fin). On pourrait être dans n'importe quelle campagne reculée du monde, la bête du Gévaudan est partout la même. La suite du récit suit les canons du genre sans beaucoup d'originalité (la chute finale est très prévisible), j'ai eu une impression de déjà lu page après page. C'est très bien fait mais le scénario manque d'originalité et d'ambition.
Ce premier album en français du jeune auteur Jaime Martin dans la collection Aire Libre pâlit un peu de la comparaison avec les autres titres de cette collection d'excellence. La majorité des titres de la collection sont le fait d'auteurs posés à qui on donne un espace de liberté, cela a donné et donne encore des albums d'une grande qualité. Dommage pour Ce que le vent apporte car Jaime Martin a du talent mais la décision de le publier directement dans Aire Libre n'est peut-être pas une bonne idée.
Le titre de "masse critique" est ramrquablement bien choisi. On atteint, en effet, la masse critique du supportable. De boursouflures en incohérences, d'incohérences en banalités, on ne se passionne guère sur ce qui peut advenir des personnages et encore moins du pauvre monde dans lequel il navigue.
La science-fiction et le fantastique sont d'excellentes thèmes car on peut tout aborder. La condition sine qua non est de la faire avec un minimum de rigueur.
Suite directe de "Reinhard le goupil". On s'appesantit sur la vie reconstituée d'Helena et à l'occasion des autres personnages de la série.
C'est prenant et passionnant mais une pointe de déception émerge à la fin de l'album. Celui-ci enchasse deux histoires: celle du temps ancien (jusqu'à 1962) et celle de 1998 (le meurtre d'un Russe en France).
La plus palpitante est évidemment la première. Or elle nous est contée par le biais d'une cassette audio. On aurait préféré lire la vie d'Helena au jour le jour, de vivre ses avanies et ses renoncements.
Cela aurait nécessité plusieurs albums. Et alors ? Refuse-t-on la durée lorsque le plaisir est au bout ?
Deuxième album de cette série doint la seule véritable héroïne est Berlin.
Cette fois-ci c'est le blocus de 1948 qui sert de toile de fond à l'histoire.
Par rapport au précédent ce livre est en net retrait pour plusieurs raisons:
1/Pagnol dans une de ses préfaces pour "les marchands de gloire" parlait de la nécessité d'identification du spectateur ce qui entraînait d'avoir des personnages un tant soit peu positifs. Ce n'est pas le cas ici.
Même ce pauvre Stuart n'est qu'un grand benêt, attiré par l'argent, loin de tout idéalisme même s'il est le "commandant bonbon". Et ce n'est évidemment pas Reinhardt avec qui l'on peut se sentir en phase. Quant à Helena, la seule a avoir une "dimension", elle est trop faible, trop meurtrie pour que cette identification reste positive.
2/Le récit fait preuve de trop de "salgarisme". Comme dans les romans du Jules Verne italien, il s'interromp brutalement pour nous parler de l'Histoire (c'est intéressant mais cela coupe l'histoire [avec un petit h]). Les placer au début du livre ou en annexe eût été, me semble-t-il, plus astucieux.
Au final, c'est une petite déception car cette histoire de trafic entre l'est et l'ouest, ces aveux de compromissions pour gagner la "guerre froide", étaient forts et prenants. Un bel album tout de même qui ne tient pas complètement ses promesses.
L'histoire est intéressante, bien que compliquée, mais je ne suis pas un grand fan des dessins.
Un volume peut-être un peu en déça des précédents.
On a d'abord un petit épisode comme Azzarello et Risso savent en pondre à la
pelle. Évidemment réussit, mais on a vu mieux.
Vient ensuite le temps des révélations. D'une partie du moins, tant le
scénariste s'attache à nous tenir en haleine, à nous divulguer ici ou là
quelques pans de la trame d'arrière-plan sans nous en dire trop, pour mieux
nous mettre l'eau à la bouche.
Avec ça l'arrivée d'un nouveau personnage fort intéressant, le retour d'un
autre, et une histoire qui se déplace à Paris. Brian Azzarello étant américain,
on ne passe évidemment pas à côté de certains clichés, mais on vu bien pire
et au final la reconstitution du Paris actuel est plutôt convenable.
Au final, bien que ce troisième opus soit de très bonne facture, on peut se
sentir un peu frustré. Les dessins de Risso, eux, sont toujours aussi bons, et la
colorisation plus sobre de cette histoire donne un rendu encore meilleur.
Pour apprendre, pour ne pas oublier...Que dire de plus devant l'absurde, le
déchirement, l'éloignement, la mort?
Un article de référence qui ne se lit pas d'une seule traite. Il faut prendre le
temps de digérer chaque lettre, comme une ôde à la vie. Certains dessins sont
absolument magnifiques, dont celui de la couverture. Un beau mélange littéraire-
dessin.
Bien entendu le dessin est assez hermétique pour ceux qui ne sont pas de la génération manga... Au fil des pages, on prends nos marques avec ces couleurs vives et ces petits persos ressemblent a "final fantasy". Voila pour le dessin.
Pour le scénario, chapeau bas à Mr Duval!
Quel scénario! De la Science Fiction a l'état pur! Une vision futuriste sur la suprématie de l'intelligence artificielle. Que du bonheur!
D'où ma note qui compense le dessin...
Nous sommes en 2013 dans un monde qui vient de connaître un conflit atomique. Quelque part au fin fond des Etats-Unis, un Français dont on se demande encore ce qu'il vient faire là veut franchir la frontière.
Pendant ce temps des loups sont accusés de meurtres alors qu'il y a de grandes chances pour qu'on ait droit à une simple et bête histoire de loups garous. Pour agrémenter la chose, les paysans du coin qui sont décrits comme semi-débiles veluelnt se payer une communauté de fumistes gourous végétariens qui vivent dans une communauté retranchée dans la montagne.
Voici résumé en quelques lignes un scénario qui se veut énigmatique mais brasse du vent sur 46 pages. A proprement parler il n'est pas catastrophique, il est simplement vide donc creux. Quant aux dessins on a connu mieux mais on voit pire aussi. L'ensemble ne revêt quand même pas un gros intérêt.
Retour dans les neiges pour ce pauvre Durango. Il passe ainsi du soleil cuisant au froid qui mord la peau. Ce n'est pas une vie.
A propos de vie, il commence par en ôter 6 à des gens qui venaient de massacrer une famille.
Pris dans l'engrenage de la folie de Loneville, Durango va devoir continuer le travail qu'il vient de commencer. La révélation finale, tout à fait prévisible, montre que l'enfger est pavé de bonnes intentions et que "les braves gens" peuvent aussi être des salauds dans leur genre.
Quant à Durango, il fait un béguin de plus; mais ce n'est qu'une adolescente et il préfère filer dans la neige.
He's a poor lonesome cowboy
La défection des hommes de Larenza suite à la mort de leur "lider" était déjà connue mais le fait qu'ils se joignent aux troupes mexicaines et aux hommes de Logan dans la chasse à "l'Amos" n'arrange pas les choses.
Cet album est la suite d'incessants combats et réglements de compte qui allègent assez considérablement le nombre de personnages. A la fin de l'album, il n'en restera d'ailleurs que 2.
Durango bien sûr et un autre dont je ne peux dévoiler le nom sans faire tomber le suspens.
Un série bien écrite, homogène, dont chaque album est un petit régal de western sans être pour autant un chef d'oeuvre. A lire donc.
Ce pauvre Durango va être pendu à moins qu'il ne ramène aux autorités la tête de son ami Amos. Cruel dilemme mais il n'a guère le choix.
Heureusement les évènements vont faire qu'il ne sera pas obligé de trahir son ami. Malheureusement les évènements vont faire aussi que les choses vont se compliquer nettement et la violence monter d'un cran (non finalement c'est plutôt de 2 ou 3 crans !).
L'apparition d'un révolutionnaire allemand au milieu de ces desperados donne une connotation plus politique; d'ailleurs Amos se considère plus comme un révolutionnaire que comme un "bandit" (ce n'était pas tout à fait le cas dans l'album précédent).
Bien que suite de l'album précédent, ce volume fait partie d'un nouveau cycle qu'on pourrait appeler "cycle mexicain", "cycle d'Amos" ou encore "cycle de Logan".
Cycle mexicain car les neiges américaines font desormais place au chaud soleil de la frontière américano-mexicaine.
Cycle d'Amos car Amos Rodriguez est un pîstolero avec qui Durango va faire ami-ami.
Cycle de Logan car Logan est l'affreux bonhomme qui cherche à faire la peau de Durango.
C'est aussi le cycle où Durango pense avoir trouvé un semblant de bonheur conjugal. Et c'est parti pour trois albums.
Un gentil méli-mélo de tout et n'importe quoi. Le monde est en danger car des êtres bioniques (moitié cyborg, moitié croisement génétique) ont échappé à la surveillance de la CIA.
Le scénario est aussi en train d'échapper à son auteur.
Reste un dessin sympa qui reste du sous-Berthet, mais même du sous-Berthet cela reste agréable.
Nous sommes de nos jours à New York. Un ancien responsable de la CIA qui promène son petit-fils se voit proprement découpé en morceau comme un gros salami.
Le FBI enquête mais se voit retirer le dossier au profit de la CIA. Mais Jonathan Fisher et son patron Mallow ne l'entendent pas de cette oreille.
Un scénario classique, un dessin plaisant. Un album de plus, sans plus.
Un livre jeu comme tant d'autres sauf que celui-ci est avec Astérix. C'est son originalité et nous vaut quelques dessins originaux.
Contrairement à ce qu'indique BDGest les autres albums ne sont pas des rééditions mais bien des aventures distinctes.
Nous avons ainsi :
2- La vedette armoricaine
3- L'affaire des faux menhirs
4- Le grand jeu
Devant le manque d'intérêt absolu de ce 9ème tome d'une série en complète perdition, essayons de comprendre ce qui ne fonctionne plus dans "Death Note"... Je vois 3 problèmes fondamentaux expliquant la déliquescence de ce manga qui nous enchantait littéralement à ses débuts : d'abord, Ohba a clairement - et depuis longtemps - épuisé les ressources dramatiques de son petit jeu, un peu enfantin, entre Light et ses adversaires... Alors il en complique les règles et en multiplie les protagonistes (plusieurs cahiers, une multitude d'ennemis et de camps) : or il y a longtemps que le lecteur ne comprend plus, ne suit plus, et les pièges logiques claquent désormais dans le vide de notre indifférence. Toujours haut, toujours plus fort, Ohba croit qu'il lui suffit de procéder à une escalade dans l'ampleur de l'affrontement (avant-hier le Japon, hier les USA, aujourd'hui le monde ! Rhaaa !) sans que son récit prenne pour autant la peine d'embrasser les conséquences (politiques, morales, sociales) de ce choix, le décrédibilisant complètement. Enfin, en sacrifiant ses personnages secondaires - au sens propre (en les tuant) comme figuré (en les excluant du récit) - Ohba a de plus en plus déréalisé le combat de Light, qui n'a plus de famille, plus d'amis, plus de petite amie (Misa, reviens !), et se débat désormais dans le néant absolu de son pouvoir (si c'était volontaire, ça pourrait être poignant, mais ça non plus, Ohba ne le traite pas). Faut-il continuer de lire "Death Note" ?
Un épisode fort intéressant où notre duo de grigous Van Rhinelander et McSternan sont en route pour mettre la main sur une zone pétrolière convoitée par ... Rockfeller. On va y jouer du revolver. Les grandes fortunes ont souvent eu au départ le goût du sang.
Sinon notre ami Ethan a son petit coeur qui bat pour Caitlyn que Mezzomo a doté d'un fort joli minois.
Comme on a pu le voir dans l'album précédent, Ethan Ringler espionne pour le compte des services secrets le fameux Van Rhineland. Mais là où Filippi fait fort, c'est que son "méchant" n'est en fait que la copie des multiples aventuriers qui firent fortune en Amérique dans ces années là. La plupart du temps en respectant la loi mais quand il le fallait en l'outrepassant sauvagement.
Van Rhineland tire davantage du côté de la pègre certes, mais l'image de cette Amérique là reste juste. Une plaisante série à recommander.
Nous sommes à New-York dans les années d'après guerre. D'après-guerre de Sécession bien sûr. C'est déjà en soit une bonne idée car si on ne compte plus les BD qui se déroulent à NY, rares sont celles qui ont choisi cette période.
On ripe en fait assez rapidement sur un western, bon au demeurant, et c'est un poil dommage car pour qui s'est un peu intéressé à Gotham City (c'est le surnom de la ville donné par Washington Irving en 1809 dans son Histoire de New York !) on pouvait faire mieux encore.
Le scénario est malgré tout très honnête avec; c'est aussi ce qui fait sa force, quelques originalités ici et là.
Quant au dessin, il est parfait et fait partie du cousinage des dessins de Gir (c'est dire !)
Ouf, enfin, je suis arrivè au bout !!! En effet, il vaut mieux éviter cette mini série. Les dessins ne sont pas en corrélation avec le scénario et ce dernier, de toute façon, n'a aucune réelle structure. Un simple merci à l'auteur de n'avoir fait que deux tomes...
Deçu que cette histoire soit dans la collection 'Aire Libre'.
Quelle claque ! C'est un récit génial d'anticipation sur notre futur, mais tellement présent dans certains domaines (économiques, sociales,...)
Les dessins sont splendides. Du très grand art et le scénario par l'auteur du 'Pouvoir des innocents' ne pouvait être qu'à la hauteur de son talent.
A lire absolument et vivement la suite...
Ce deuxième épisode est sensé se dérouler en 2002. Il est encore plus ridicule que le premier.
Mon avis devait être partagé par pas mal de personnes puisqu'un 3ème épisode était prévu et sensé se dérouler en 1936. Il n'est jamais sorti.
Au vu de ces prédécesseurs, ce mystère là est vite expliqué !
Cet été 1846, George Sand reçoit dans sa propriété du Berry Delacroix et Chopin. Au même moment une série de meurtres mystérieux endeuille la région. Vu comme cela la chose semble intéressante, en fait le début est alléchant mais ça se gâte assez rapidement.
D'abord parce que la qualité du dessin n'est pas suffisamment régulière, ensuite parce que le scénariste s'embrigue dans une abracadabrante histoire de sorcière dont on se demande ce qu'elle vient faire là.
Dommage !
Kogaratsu doit escorter un namban (blanc) venu au Japon pour y peindre la
guerre. Cet album aurait put être génial, mais il s'avère au final assez
décevant.
Le peintre Remigius Tafelberg est en lui-même tellement grotesque et
caricatural en tous points (a-t-on déjà vu une telle coiffure?) qu'il nuit
terriblement à l'ensemble de l'album. La manière dont Bosse développe son
histoire et surtout ses dialogues sont eux aussi bien en déça de ce qu'il est
capable de faire habituellement à mon sens.
Reste malgré tout encore et toujours de magnifiques dessins, et une intrigues
parallèle plutôt réussit (un duo de déserteur assez sympathique qui veut à tout
prix dérober les "richesses" de Remijiu-San).
Bref, un album qui en a ethousiasmé plus d'un qui ne m'a pas particulièrement
emballé.
Pour moi le meilleur album de la série. Et pourtant, l'histoire est toute simple :
Kitaro, manieur de sabre débonaire mais impitoyable, veut en découdre avec
Kogaratsu, qui s'efforce de ne pas répondre à ses provocations.
Tout au long de l'album, c'est cet affrontement psychologique qui est
développé avec beaucoup de finesse par Bosse. Ce sont deux entités qui se
font face, deux philisophies, deux personnalités. Bosse délaisse les longs
dialogues pour mieux faire resortir la qualité des quelques répliques qui
parsèment le récit, loin des longs discours qui pouvaient ralentir le
déroulement du récit dans d'autres volumes. Les planches muettes sont
nombreuses, et le dessinateur Michetz en profite pour laisser pleinement
s'exprimer son talent : la virtuosité de ses découpages, l'éclat de ses
magnifiques couleurs, la fluidité de son trait fin/épais n'ont jamais atteind une
telle qualité... Plus que jamais les auteurs laissent la place à ces scènes
muettes de "s'exprimer", et c'est tant mieux.
Cet épisode de Kogaratsu est à la fois un ovni et dans la continuité de la série,
qui atteind des sommets avec cet album.
Mazel avait créé un héros mousquetaire pour le journal "Tintin". Il s'agissait de "Fleurdelys" pour qui il dessina une centaine de planches et une dizaine de gags sans avoir le plaisir de la publication en album.
Son passage chez Spirou se concrétisa par une série à l'esprit quelque peu similaire "Caline et Calebasse". C'est en gagnant quelques compagnons supplémentaires comme Saint-Emilion que la série va devenir "Les Mousquetaires".
Une série plutôt destinée aux enfants aux délicieux dessins et offrant une gentille parodie des Mousquetaires d'Alexandre Dumas.
NB: Cet album reprend le thème de la survie de Milady après un simulacre d'exécution. A noter aussi que les couleurs n'ont rien d'exceptionnel.
On a beau vouloir se dire à chaque qu'un nouvel Alix va être un nouveau régal, on est à chaque fois un peu déçu. C'est encore le cas cette fois ci.
Non pas que le dessin soit mauvais, il reste fastueux, ni que le thème soit débile, mais c'est le traitement qui dérape.
Depuis plusieurs albums Martin use de longs récitatifs et propose des actions quelques engluées ou alors stéréotypées.
Il veut faire oeuvre de témoin de l'Histoire (avec un grand H !) mais il lui manque le ressort narratif qui fit autrefois sa gloire.
Mais où sont les neiges d'antan ?
Kogaratsu escorte une jeune aveugle partit sur la piste d'un mystérieux tueur
en série. Des personnages intéressants (la torturée biwahoshi et l'espiègle et
sûr de lui Gorodo), une intrigue bien développée, des répliques bien senties,
et une mise en couleur qui gagne en éclat par rapport aux volumes
précédents font de cet opus une réussite de plus pour cette série.
Même splendeur que l'album sur l'Egypte mais cette fois c'est la Grèce.
Allez savoir pourquoi cet album est paru aux Editions des Deux Coqs d'Or maison spécialisée dans la littérature enfantine et para-scolaire.
D'ailleurs si on détaille bien cette collection on s'aperçoit vite que les éditeurs sont multiples et variés dans un foutoir chronologique des plus réjouissants.
Notons déjà qu'en toute rigueur le titre de cet album n'est pas "les voyages d'Alix" mais "les voyages d'Orion".
Cela étant comme "Orion" a été un bide, Alix fait quand même plus vendeur.
Superbes planches de reconstitution de scènes de temples égyptiens.
Ce genre de bouquin a le petit défaut d'être moins complet qu'un véritable livre d'archéologie. Mais d'un autre côté, les livres plus académiques proposaient rarement tant de reconstitutions. Encore que désormais grâce à la 3D, c'est en train de changer.
Même motif, même punition que l'album précédent (mais pas la même note car je trouve la période considérée moins "exotique").
Nous trouvons :
- les Romains sous différentes périodes (archaïque, républicaine, du haut-empire puis du bas-empire) avec également un large focus sur les armées romaines à différentes périodes.
Cela étant ceux que cela intéresse trouveront bien plus de richesse sur cette période dans la collection britannique Osprey.
Dans les peuples exotiques nous avons droit aux :
- Chypriotes
- Nubiens
- Ethiopiens
- Sassanides
- Byzantins
- Egyptiens à différentes périodes.
Comme son titre l'indique, il s'agit de montrer différents costumes antiques sans reconstitution in situ. Ce type d'ouvrage est donc par essence moins grandiose que ceux qui décrivent des sites. Néanmoins le but du jeu est justement de fourmiller de détails qui passionneront les fanatiques et rebuteront donc les autres.
Si vous faites partie de cette catégorie ce livre est fait pour vous. Vous y trouverez :
-Hittites
-Phrygiens
-Lydiens
-Ibères
-Celtes
-Germains
-Scythes
-Daces
-Sarmates
-Illyriens
-Thraces
-Parthes
-Séleucides
-Arabes
-Nabatéens
-Phéniciens et Carthaginois
-Sardes
-Etrusques
+ quelques planches sur les mythologies respectives
Une somme !
Tout ou presque sur l'univers de Jacques Martin avec évidemment un focus sur sa série la plus aboutie : Alix.
L'iconographie est d'une grande richesse, les textes souvent intéressants.
Indispensable donc pour tout amateur.
Pourtant je trouve que l'interview de Numa Sadoul (si mes souvenirs sont bons) dans les Cahiers de la BD est autrement plus passionnante. Cette complicité avait du être partagée par Jacques Martin. Car ce n'est sans doute pas un hasard si quelques années plus tard nous eûmes droit à plusieurs reprises à un personnage nommé Numus Sadullus
Confuse, boursouflée, cette aventure pourtant originale n'a guère d'intérêt même si son début est tonitruant. Là encore la pseudo société secrète de près de 1.200 ans prête davantage à sourire qu'autre chose.
Quant aux péripéties connexes, elles sont purement et simplement assomantes.
Le problème de Martin, si problème il y a, est d'être celui d'un homme de grande culture, particulièrement bien sûr sur l'antiquité. Il tient à nous faire partager son savoir et ses passions. Il se focalise donc davantage sur celles-ci que sur l'histoire proprement dite, alors qu'à ses débuts c'était évidemment l'inverse.
Rendez nous un Martin d'abord conteur, l'historien suivra. L'inverse n'est pas vrai.
Martin part d'une hypothèse intéressante : et si Pompée avait fait libérer Vercingétorix pour nuire à César.
Nous assistons donc à la longue traque de Vercingétorix à travers la Gaule. L'inconvénient dans ce genre d'histoire est que justement la fin est prévisible. Néanmoins cet album ressort du lot car il montre justement les trahisons et revirements que le temps provoque. Un Martin en pleine possession de son art narratif en aurait fait un chef d'oeuvre mais le Martin d'auhourd'hui qui a voulu justement en faire un chef d'oeuvre signe un album intéressant.
Là encore l'idée est superbe faire venir Alix et Enak en Chine. La chose était des plus rares mais plausible. Les reconstitutions sont somptueuses, les anecdotes qui parsèment l'album superbes mais le scénario m'a semblé un peu faiblard. 46 pages sur un tel sujet revenait à courir le risque d'une faible densité.
Très bonne idée que celle de Jacques Martin de faire revenir Alix et Enak sur les terres d'Oribal. Qu'est donc devenu le jeune roi ? Un affreux dictateur. Avec cette idée il y avait de quoi faire un album somptueux; on reste seulement dans l'intéressant car on nous raconte davantage le voyage vers Zur-Bakal qu'autre chose.
Frank et Kay doivent se rendre à Kodiak pour accompagner une jeune Ecossaise qui doit rendre des masques de grande valeur que son grand-père d'explorateur avait pris dans la région.
Sauf que les "héritiers" du masque ont une fâcheuse tendance à se faire descndre. A moins que les masques n'aient rien à faire dans cette histoire et que ce soit plutôt cet enfant blanc adopté par ce couple d'indiens qui soit l'enjeu de cette affaire.
Et si c'était le fils de Frank ?
Excellent, on sent que la série a pris un nouveau tour et l'on se concentre désormais davantage sur cette quête de Frank que sur les enquêtes annexes.
La suite, viiiiite !
Kay Mansell est la jeune enquêtrice d'assurance que nous avons rencontrée dans l'album précédent et tout indique qu'elle va devenir un personnage récurrent de la série.
Elle est secrètement amoureuse de Frank Lincoln qui lui ne voit rien. C'est d'ailleurs la richesse de cette série de nous présenter des vrais personnages. Billy, bien plus jeune qu'Amy la secrétaire de l'agence va totu de même avoir une liaison avec elle. Ce qui désole Jeannie, la fille de Fra,k, qui elle aussi était amoureuse du jeune homme.
Quant à l'histoire de cet album, elle est survitaminée puisqu'on part à la recherche de deux dangereux gangsters qui viennent de s'évader dans la forêt alaskienne. Néanmoins on va encore rebondir sur la disparition de Susan, la femme de Frank. La fin, en feu d'artifice, relance complètement l'action et on se demande même si d'une saga policière on ne va pas basculer dans le monde des services spéciaux.
Idée très intéressante que de situer une enquête policière dans le monde confiné d'une plate-forme off shore. L'histoire -assez linéaire- n'est pas complètement à la hauteur des dessins. Néanmoins les dernières planches qui narrent l'entrevue de Frank et du ponte de la mafia en Alaska relancent complètement la quête de Frank pour son épouse.
Difficile d'en par ler sans révéler la surprise, c'est pourquoi je m'arrête là.
Une série très originale d'abord parce qu'elle se déroule en Alaska, ce qui n'est quand même pas courant, ensuite parce que si les albums sont des "one shot", ils bénéficient d'un fil conducteur (un fil rouge devrait-on dire puisqu'il s'agit d'une BD policière !) qui est la disparition de l'épouse du héros.
Cet album-ci voit une jeune femme demander l'aide de Frank Lincoln, un ancien flic devenu privé, pour être protégée. C'est Billy, l'adjoint de Frank qui s'y colle mais les choses ne se passent pas vraiment comme prévues....
Fin de la saga ?
Fin du cycle, c'est sûr, mais de la saga ce serait dommage.
On s'était fait à l'idée de retrouver notre Adrien Muzard-Mandrill en agent secret au service du SDECE. On aimerait aussi savoir ce qu'a pu devenir sa veuve. Et son ancienne secrétaire ?
Bref, messieurs les auteurs, on veut la suite ...
Le faux Friedrich Muzard est donc dans la place mais les choses ne se passent pas vraiment comme prévu. Le voici seul loin du secours éventuel des services secrets français, entouré de traîtres potentiels à la solde du régime. Si au moins, il pouvait deviner quel est celui (ou celle) qui renseigne les services secrets français ....
Excellente BD d'espionnage.
Bon ben, contrairerement à l'enssemble des autres j'ai vraiment aprécié cette série.
Le dessin est vraiment superbe, les Garous sont vraiment superbes, à croire qu'ils sont vraiment fait pour etre dessiné par DeFali qui se surpasse.
L'histoire quant à elle est bien construite, le seul reproche que je ferait serait celui de ne pas l'avoir continué.
Il y a des secrets qui ne doivent être connus qu'au moment où la vie le décidera.
Les planches sont très jolies, la trame est sincère. Pour tous ceux qui ont perdu un être cher...L'idée n'est pas mauvaise mais le punch devrait être...plus percutant!
On s'attache au personnage de la fillette et de son petit canard. Le père est...exécrable!
Correct!
Cet album permet aux incultes comme moi de découvrir avec bonheur la rencontre entre D’Artagnan et les trois mousquetaires et la suite de leurs aventures. Le décalage par moments entre l’attitude peu noble des personnages et le récit très romancé produit son effet comique.
Le trait épais de Juncker est agréable et précis, loin du réalisme. Mention spéciale pour les quelques dessins en N&B.
On serait en droit d’être rebuté par le titre, craignant un énième « remake » mais au final, on est surpris par l’originalité dont a fait preuve Juncker pour aborder un récit très connu du grand public.
L’investissement (35 euros le bébé !) est largement mérité.
Coincé dans sa prison de la Santé, Mandrill tente une évasion quasi désespérée. Mal lui en prend car il est abattu par la police parisienne.
Quelques mois plus tard une opération d'espionnage de grande envergure a lieu sur la côte de la Mer Noire en Union Soviétique. Or il se trouve que le savant que les forces américaines cherchaient à exfiltrer n'est autre que le propre frère de Mandrill ...
La saga prend désormais une tournure plus géopolitique. Passionnant.
Ça se goupille mal pour Mandrill. Si son ami Fauque est bien passé en Espagne, il vient aussi de passer l'arme à gauche pour une bêtise.
Pour sortir de cette nasse, voici le brave avocat obligé de "travailler" avec ses ennemis d'hier et de se transformer en cambrioleur afind de récupérer une pseudo-preuve qui pourrait bien le comprmettre définitivement.
Toujours aussi excellent. Une série qui se laisse dévorer et qui dévore aussi ses personnages.
Ce premier tome sert d'introduction à une serie dark fantasy qui, je l'espère, se révelera meilleure au niveau du scénario. En effet, j'ai trouvé l'histoire un peu basique et légérement ennuyante. Arawn occcupe la troisième place dans une fraterie de quatre frères. Tous sont voués à un destin prodigieux et chacun devra occomplir une épreuve de bravoure. Les frères se lancent alors chacun leur tour dans leur épreuve durant toute l'histoire. Ce qui me gène c'est que, mis à par le décor et la gueule du méchant boss, chaque épreuve est très similaire, ce qui est dommage à mon gout et qui gache pas mal le plaisir. De plus, je trouve la fin plutôt rapide et légerement baclée.
Les dessins sont toutefois superbe, très appliqués, et travaillés dans le moindre détail.