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Superbe BD, les auteurs, Lapière et Grenson nous livrent une histoire entre passé
et présent avec en toile de fond le vieux Charleroi industriel, l'univers carcéral, la
justice, les relations humaines compliquées si l'on est, tout comme Julie, en proie
à des tourments face au passé, l'existence, la bêtise des gens, l'incompréhension.
A lire absolument, et en couleurs directes.
Très bonne mise en matière du décidément très prolifique Bec. Une ambiance assez sombre pour ce premier tome, un univers assez typique des séries de Bec. Beaucoup de questions sont ouverte, vivement la suite..., une très bonne surprise ... Ah oui, grand format dans la collection Repérages ce qui rajoute certainement un plus au planche de Raffaele.
Le tome 1 m'avait assez plus, l'idée de départ était très bonne. J'avoue que c'est le nom de Morvan qui m'avait incité à commencer cette série.
En fin de compte, il faut lire les 4 albums pour se faire une idée d'ensemble sur la série. Résultat, petite déception... L'histoire se déroule à 100 à l'heure, mais reste finalement qu'une course poursuite dans chaque album. Le dessin évolue peu, ce n'est pas mon type préféré, mais plaira probablement à certains.
Je regrette la mise en couleurs tout à fait inégale... 4 albums, 4 coloristes et clairement pas tous très bon.
un tres bon manga dans l'ensemble je le recommande vivement aux amateurs et aux amatrices de polar et de suspens.l'histoire me fait pensée à pas mal de film style seven ou encore usuel suspect pour son cote intrigue qui se combine plutot bien avec le caractere des personnages ceux que je regrette en revanche cest le cote naif du personnage principal, de temps à autres envers certains protagonistes
(assez courant dans le monde du manga japonais)
Une très bonne BD, oscillant entre fresque réaliste, mysthicisme, et passages
oniriques. Les dessins tout en ondulations de Comès sont très bons, avec des
étirements exagérés des visages, des corps, des volumes, et des aplats de
noir qui rappellent assez Pratt. L'album est dans le pur style du magazine "À
Suivre", avec un découpage en chapitres, de longs discours, des passages
entièrement muets, etc... Le personnage principal, un muet autiste, est très
attachant, à la fois amusant et tragique, et toute la "faune humaine" qui tourne
autour de lui est des plus hostile, méchante, lâche, vengeresse, violente. Tout
un petit peuple des Ardennes craignant plus que tout les "sorciers" et leur
pouvoir mysthiques. En ce sens, ce bouquin arrive à très bien alterner entre
réalisme et magie noire, sans que cela ne choque particulièrement.
Quelques points faibles néanmoins : l'inexpressivité totale des visages, ce qui
est très dommage étant donnée la part "émotionnelle" de l'histoire. Des
cadrages beaucoup trop "serrés", avec peu d'espace, et des marges trop
larges entre les cases ; des éléments qui gênent la lecture en somme. Les
silences, malgré le titre de l'album, ne sont pas toujours très bien maîtrisée
eux non plus (ils coupent tout à fait le file du récit sans rien n'y apporter), et il
est aussi dommage que dans les derniers chapitres l'auteur nous fasse sortir
du huis-clos du village ardennais, parce que c'est aussi ça qui faisait la
particularité de l'album.
Reste néanmoins une très bonne BD, originale et personnelle.
Pas vraiment génial... bon c'est du Baru comme il sait très bien en faire, mais
on a déjà vu beaucoup mieux. Et puis ça se lit beaucoup trop vite selon moi.
Bref, pas une super lecture, quoi.
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c'est plutôt agréable à lire, avec un dessin simple et lisible, et un scénario
dans le style "nouvelle BD/tranche de vie". Bon l'intrigue principale est pas
super, mais tout ce qu'il y a autour est quand même assez sympa.
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L'évènement de ce numéro est bien évidemment le retour de Thor, et il faut
bien avouer que ça s'annonce génial. Les dessins du français Olivier Coipel
sont très agréables et très lisibles, et même s'il s'agit d'un simple épisode
d'introduction Straczynski semble avoir parfaitement intégré au scénario la
dimension épique du personnage (avec ce côté très dramatisant qu'il maîtrise
à merveille).
Côté Hulk on a un épisode qui n'est pas des plus intéressant mais qui permet
d'introduire Rick Jones et de faire un parallèle entre son parcours et celui de
l'extra-terrestre Miek. On a aussi un changement de dessinateur, et le
nouveau ne se gave pas des masses.
Gamma Corps non plus n'avance pas beaucoup, les auteurs ayant voulu nous
présenter le passé de chaque membre de l'équipe afin que l'on comprenne
pourquoi ils en veulent au géant vert. Et c'est plutôt bien réussit (il faut dire
que j'ai bien l'impression que les auteurs maîtrisent mieux tout ce qui est
"humain" que ce qui est super-héros).
Et enfin, après 3 mois d'absence, les jeunots de l'Initiative sont de retour pour
un épisode directement lié à World War Hulk. Les dessins de Caselli
m'enchantent toujours autant, et Dan Slott maîtrise très bien son intrigue et
ses personnages. C'est du tout bon.
Cet integral est vraiment le moins bon des trois, le dessin est vraiment très laid, tellement que je m'y suis arrété là.
C'est dommage car les huit premiers albums, surtout le premier cycle, m'avait bien attirré et le dessin était nettement mieux.
Du coup je me retrouve avec trois intégrals sur le dos!!!
Quel plaisir de repartir à l'aventure avec un personnage que l'on pensait cerné et catalogué. Dans "le journal d'un ingénu", Emile Bravo nous fait entrer dans la vie de Spirou juste avant l'invasion de la Pologne par l'Allemagne nazie. L'auteur s'amuse à faire de son héros, le groom candide et débrouillard que l'on connait, le digne héritier de Tintin. La petite soubrette dont il tombe amoureux sans connaître le prénom va le plonger dans les affres du premier amour et peut-être d'un début de conscience politique. Amour, amitié, enfance sur fond de guerre, tous ces ingrédients sont au rendez-vous dans ce one shot épatant servi par des planches abouties qui sans plagiat, sont parfaitement dans l'esprit Franquin. Un épisode fort réussi dont l'épilogue surprenant appelle une suite !
Lorsque j'ai vu que Van Hamme avait écrit cet album, j'ai été étonné, je ne penssé pas qu'il s'était aventuré de ce coté ci d'une histoire.
A ma grande surprise, des dessins assez bien et une histoire sympathique, dont l'histoire a l'avantage de ne pas partir dans la vulgarité et le pornographie, donc j'ai bien apprécié.
Excellente idée que d'avoir réalisé cette BD en 3D.
Jeronaton nous raconte une difficile histoire d'amour entre une princesse et un fils de paysan. La jalousie et la politique viendront perturber ce moment de bonheur.
Jeronaton est passé maître dans la description des civilisations précolombiennes. Costumes, décors, moeurs..... tout y est.
Bonne lecture renforcée par les jolies formes en 3D de notre jolie princesse.
Zut, les lunettes 3D sont trop petites pour ma grosse tête....
Depuis maintenant plus de 10 ans Esprit du Vent (MagicoVento en vo) fait les beaux jours de la maison Sergio Bonelli. Ce western atypique qui a déjà plus de 120 aventures au compteur, propose parfois des histoires classiques, d'autres fois des thèmes peu ou prou fantastiques.
Comme toujours en pareil cas, il n'y a pas de dessinateur attitré mais toute une écurie maison, la plupart du temps talentueuse.
Cela étant c'est Gianfranco Manfredi qui a signé la plupart des scénarii (mais pas tous).
Petit regret toutefois puisque les éditions Mosquito n'entament pas la saga par son premier numéro (mais par le #91).
Super idée que d'avoir réaliser cet intégral.
Très bon scénario. Le début nous plonge dans la recherche d'une civilisation disparue... puis place au fantastique, nous découvrons les éternels et leurs ennemis les déviants. Tout ce petit monde accueillant les célestes...
Dernier chef d'oeuvre de Jack Kirby prouvant son talent.
Les éternels avaient été censurés lors de sa première parution dans "Strange".
Rien de sulfureux pourtant...
De nouveau un cru exceptionnel !
Impossible de résumer le plaisir pris à la lecture de l'album.
Le fameux "doit-on craindre un séisme chez nous ?" a fait plusieurs fois le tout d'internet, c'est devenu un classique.
La planche des "super-chat" l'est devenue tout autant. Et l'on peut multiplier comme cela les exemples.
Un livre absolument I-N-C-O-N-T-O-U-R-N-A-B-L-E !
Un album un peu plus mou du genou !
Des gags ça et là, certes mais pas avec le même abondance que précédemment.
Le dessin sur les frères Daltonov est à replacer dans le cadre de l'époque quand la Russie était engluée dans des problèmes économiques de premier ordre. Compte tenu de leurs réserves de change actuelles, un tel dessin ne veut plus dire grand chose, mais il reste fort drôle.
Que dire d'une BD qui ne livre pas encore son intrigue ?
Ce voulme met en place différents éléments à la manière d'un puzzle. Difficile de dire ce que vaudra vraiment l'histoire.
Restent les dessins, magnifiques, et la mise en page, grandiose.
Tout ceci concourt à donner une impression d'apocalypse dans ce Paris de 1910 menacé par ces grandes inondations dont on se souvient encore un siècle plus tard.
Toutes choses égales par ailleurs nous sommes dans la version IIIème république de "SOS météores", avec cette impression d'étouffement progressif. De la belle ouvrage comme l'on dit.
Fin de ce troisième cycle.
La différence de coutumes et de moeurs entre Babyloniens et Egyptiens est bien rendue, même si le parti pris est favorable aux premiers. Par ailleurs Mery a quand un comportement assez moderne, presque celui d'une suffragette. Je n'ai quand même pas l'impression que la femme égyptienne ait été aussi libérée. Mais si cela est un caillou dans la chaussure pour l'Histoire (avec un grand H), c'est un vrai plus pour l'histoire (avec une minuscule !).
Lors d'une mission d'inspection sur le site des tombes royales, Kha voit son fils Hori, saon assistante Mery et le fils de celle-ci être enlevés par des bédouins. Tout laisse penser qu'ils seront vendus comme esclaves à Babylone.
Comment les récupérer discrètement sans que le nom de Pharon ne soit terni puisque des simple bédouins ont enlevé des membres de la famille royale.
Toujours aussi intéressant mais avec un glissement du thème policier vers celui du thriller géopolitique.
Il est certain que le scénario n'est pas sans mérite. Il serait sans doute mieux mis en valeur avec un dessin de qualité, ce qui je persiste à le penser n'est pas le cas ici -même si certaines vignettes sont belles.
Pendant qu'Isaac poursuit ses aventures, la belle Alice tombe dans les bras du beau Philippe. Quant au lecteur, c'est davantage le livre qui risque de lui tomber des bras !
La littérature romanesque ou les anciens comptes rendus de voyages nous offrent une tapée de livres dans les glaces. Beaucoup sont d'ailleurs passionnants. Cet album ne fait que reprendre certaines anecdotes glanées ici ou là. Cela pourrait être magnifique mais pour cela il faudrait un dessin grandiose.
Comment la majesté d'un site avec des caricatures ?
Dans le même temps, Alice, la "fiancée" d'Isaac succombe à Paris aux charmes de Philippe. Espérons qu'elle y trouve du plaisir, le même qui échappe au lecteur de ce volume dont la chose la plus remarquable reste encore la couverture.
Au risque d'étonner et de détonner dans ce concert de louanges et de bravos, j'ai trouvé ce premier tome des plus quelconque.
L'intrigue est correcte mais vraiment sans plus. Question comédie romantique, il y a maints albums plus intérressants, quant à l'intérêt de l'histoire de pirates je préfère ne pas développer par charité.
Je ne dirai rien non plus des dessins, cela serait trop cruel.
Numéros 42 à 56 :
La série prend une tournure de plus en plus intéressante avec Spawn qui refuse les règles du jeu que se livre le ciel et l'enfer et décide de faire cavalier seul devenant ainsi hors de contrôle. L'intrigue prend une tournure des plus passionnante et il y a fort à parier qu'un combat entre Spawn et Malebolgia ne soit à l'ordre du jour. Bref espérons que cette histoire continue dans cette voie car elle pour le moment elle ne réserve que de bonnes surprises.
Notre guerre : Bon début pour une nouvelle intrigue qui nous replonge dans la première rencontre entre Wolverine et Capitaine America. Les éléments développés dans cet épisodes sont plutôt passionnants et donne envie de lire la suite. Très bon épisode.
La maison du sang et des larmes : A part un dessin illisible, l'ambiance de cette histoire est plutôt bonne mais cette fin et carrément bizarre et pose plus de questions qu'autre chose.
Désolé. Oui je suis profondement désolé de ne dire que du bien de cette magnifique bédé.
A sa sortie ça m'avait fait l'effet d'une bombe. De plus ça paraissait dans la super méga revue "Métal Hurlant", la revue dénicheuse de grand talent...
Cette bédé nous raconte les aventures d'un scientifique sur un monde singulier. L'imagination n'a pas de limite pour Jean Pleyers et il nous décrit un monde fascinant. J'ai rarement lu un univers si riche et complexe.
Nous suivons la chute de notre héros (Ylo) confronté à un pouvoir tout puissant, à des anarchistes, à son manque de reconnaissance scientifique, à la fin de son "dieux" et, pour finir, le tout avec une confrontation entre deux peuples hostiles les Gogs et les Lactéris
Mais nan c'est pas compliqué.
Conseil: commencez par le tome 1
Super album et pur merveille de science-fiction singulière.
Pour les mauvaises langues, une bd qui date un peu ce qui est faux.
Aveuglés par la lumière : Les X-Men de Malicia se trouvent confrontés a des traitres et une attaque des maraudeurs sans que l'on en connaisse les raisons. Cet épisode est plutôt pas mal mais il manque d'explication.
Les extrémistes : Voilà un épisode plutôt pas mal qui met en place des éléments intéressants qui laisse entrevoir une suite plutôt pas mal si tout est bien exploité. A voir.
A la recherche de Magie : A part un dessin fait avec les pieds cet épisode est plutôt pas mal sans être vraiment passionant. Je pense que cette saga est pour le momment la moins bonne de la série mais peut être est-ce du au dessin qui m'empêche de rentrer dans l'histoire.
Confiance : Episode très intéressant avec les Vengeurs Secrets qui se méfient de tout le même y compris eux même. Des évènements très importants commencent à se mettre en place et les conséquences peuvent êtres très intéressantes.
In absencia : Episode plutôt pas mal avec Dugan qui prend la place de Tony Stark en tant que directeur du SHIELD, Iron Man étant prisonnier d'Hulk, et se rend compte que cette place n'est pas de tout repos et que les décisions prises y sont lmourdes de conséquence. Vraiment un bon épisode.
La théorie du complot : Voilà un épisode plutôt légers notamment à cause du fait que l'on suive plusieures équipes mais des éléments très intéressants se mettent en place. Espérons qu'ls seront bien utilisés.
Une vie fantastique : Episode sympatique des FF mais rien de véritablement remarquable. Un épisode bouche trou acceptable.
Ouaw... j'avoue je suis amoureux de Gazoline.
Jano nous raconte les aventures sexue... Euh les aventures d'une Mad Max au féminin sur une planète pourrie genre décor de fin du monde. Ca commence calmement et la sauce augmente au fil des pages.
Magnifique dessin de Jano montrant bien les avantages de notre héroïne. Scénario léger mais quand on aime on ne compte pas... HHHAAaaaaaaaaa Gazoline...
L'histoire de Peter : Globalement une histoire sans grand intérêt qui part rapidement dans le mystique. Bof bof.
Un jour de plus : Bon début qui nous montre un Peter Parker méconnaissable capable de tout pour pouvoir sauver sa tante. L'intrigue se met en place et la fin est des plus intriguante. Bons épisodes.
Galerie de monstre : bon épisode aves des combats intéressants mais sans vraiment d'intrigue dommage car les personnages sont plutôt intéressants.
La première fois que j'ai lu "Champakou" c'était dans la mythique revue Métal hurlant. Tout était nouveau et beau dans cette revue....
Champakou faisait partie de ces étranges découvertes.
Histoire originale, personnages attachants, bédé peinte (?), magnifiques costumes des natives, dépaysement total... Mais là ou l'on est surpris c'est l'ajout singulier de science-fiction dans ce récit historique. Il fallait oser et Jeronaton a réussit ce curieux mélange.
On se laisse facilement emporter dans le fin fond de la jungle d'Amérique central, ou plus loin dans les étoiles...
Il n'y a pas à dire Alan Moore est un excellent scénariste et ce receuille rassamblant des récit sur des personnages de l'univers DC est vraiment excellent. Moore a su utiliser les personnages en exploitant leur personnalité, leurs forces et leurs faiblesses pour faire des histoires très prenantes qui méritent d'être connues. De plus les dessinateurs associés à ces histoires sont globalement très bon. Mes histoires préférées sont celle sur Superman car Alan Moore a su utiliser pleinement ce personnages plutôt difficile compte tenue de sa puissance.
Voilà une bonne série avec une intrigue dont le développement est certes prévisible et classique mais toutefois bien mené. L'action est bien dosée, l'histoire plutôt crédible et prenante. cependant les personnages ne snt pas des plus attachants mais l'intrigue est suffisament bonne pour passer outre et passer une bon moment.
Je suis un peu mitigé.
C'est un très bon album sans aucun doute. Mais j'ai été un peu déçu par le scénario, tout s'enchaîne extrêmement vite. Et j'aimais bien l'atmosphère mystérieuse du premier tome, où le lecteur suivait l'enquête en même temps que les personnages. Cette atmosphère n'est plus très présente et l'auteur a fait la part belle à l'action et au fantastique.
Côté illustration, c'est toujours très beau, plus sombre que dans le premier tome mais tout aussi réussit.
Deux gamins fuient pour des raisons différentes leur sdomiciles hollywoodiens. L'un est une petite frappe et l'autre une jeune indienne déracinée. Leur fuite n'est qu'une longue série de crimes qui leur vaut d'avoir toute les polices aux fesses.
Mais James Healer est là et va intervenir efficacement.
Le genre d'histoire qu'on pourrait lire 100 fois, 1000 fois, tant elle est rebattue sous toutes ses formes. Encore une fois le dessin sauve la mise. C'est déjà pas mal, mais c'est insuffisant pour que cette série perdure.
Ce second album clôt le cycle entamé dans le volume précédent. NOus avons droit à force cadavres, réminiscences de parties fines et allusions à des candales politiques. C'est intéressant mais sans plus. Seul le dessin reste d'un haut niveau. Le tout n'est pas mémorable mais pas non plus catstrophique.
Pour ce qui est du bon goût, en revanche, on repassera.
"Eagle glance" un viel indien aux pouvoirs mediumiques transmet sette faculté paranormale à un bébé blanc. Bien des années plus tard, James Healer s'est un nom dans la résolution d'affaires criminelles embrouillées.
Camden Rock vient de connaître une série de crimes mystérieux et c'est pour cela que le shériff du coin fait appel à notre "indien blanc".
Ce premier album est plutôt très agréable. Il faut dire qu'il bénéficie du dessin de Giulio De Vita qui fait penser à celui de Francq, ce qui est plutôt une référence. Il est grand temps que la BD franco-belge s'interresse enfin aux dessinateurs transalpins lesquels bénéficient d'un véritable tour de main. Un héritage de Michel-Ange ?
Franquin au sommet de son art dans la guerre des parcmètres qui en fait voir de toutes les couleurs au pauvre Longtarin, même si aujourd'hui la défense de l'automobiliste est un peu dépassée.
Gaston reste un génie absolue, écolo avant l'heure, inventeur de la première lampe torche solaire, même s'il ne lui "reste plus qu'un petit problème à résoudre : elle ne fonctionne qu'en plein soleil" !
Comme souvent les épisodes intermédiaires entre le tome 1 et 3 sont un ton en dessous. C'est une gageure puisqu'il s'agit de développer l'intrigue sans en dire trop.
Cet album est surtout l'occasion d'une série de flash backs qui sous prétexte de raconter les derniers mois de la vie du père de Yann est l'occasion de raconter cette "sale guerre" d'Indochine. La force du livre tient au fait que les "bons" se comportent en salauds et que les "salauds" peuvent aussi être bons. Bref, pas de manichéisme, mais une réalité dure, changeante et finalement humaine dans son acception la plus basse (chantages, tortures, exécutions,...). A ce titre la dernière image est un bon reflet d'où peut conduire une "sale guerre".
Perfection. Tel est le mot qui vient à l'esprit quand on referme la dernière page de l'album.
Perfetion des dessin , mais ce n'est pas un scoop. Perfection dans les détails, dans les paysages, bref dans tout.
Perfection de l'histoire elle aussi. De sa documentation historique, de sa façon d'enchasser 3 histoires : celle des rotations maritimes qui peuvent "exploser" à tout moment, celle du fils du voisin parti en Indochine avec la Légion Etrangère, celle de Yann à la recherche de son père assassiné là-bas.
Tramp est devenu une série incontournable de la BD. Chapeau !
Super début de série. Intrigue contemporaine (Marseille, techno, drogues, mafia) hyper bien menée, passionnante, très rude (noire) et surtout très réaliste. Dessins grandioses, avec énormément de détails, particulièrement en second plan (Allez voir sur le site: http://www.sans-pitie.com). Excellent découpage. etc. etc. etc. Sincèrement, une de mes meilleures lectures de ces dernières années. La grande classe et vivement la suite, quoi!
Second et ulitme volet de cette histoire.
Matthew Montgomery va accomplir sa vengeance de manière mécanique, professionnelle et tout le monde sera très content.
Petit point intéressant, la raison de cette enchaînement de violence est très originale et très bien trouvée. Comme quoi même les f.. de p... peuvent avoir parfois aussi du sentiment.
Aussi convenu que le précédent et presqu'aussi efficace. En effet, je ne crois guère au happy ending de l'album compte du caractère rangé et routinier du héros.
Une incontestable réussite avec l'idée majeure de donner au héros les très de Sean Connery. Marini s'en souviendra et reprendra l'idée par la suite
Matthew, un homme solide, rangé et respectable, fonctionnaire de son état, a le grand déplaisir de trouver des policiers devant sa maison le soir en rentrant du bureau. Ce déplaisir se change en douleur quand il comprend que les policiers sont là pour enquêter sur le meurtre de sa femme et de sa fille.
Il n'a désormais qu'un seul but en tête les venger. Son enquête va l'amener dans l'ouest américain, là où s'arrête le chemin de fer encore en construction.
Un scénario solide, sans surprise et surtout un dessin remarquable, extraordinaire, les qualificatifs finissent par manquer.
Comment ne pas penser à Christophe de Ponfilly en ouvrnt ces pages. Christophe de Ponfilly dont la vie a basculé quand il est allé faire son métier de journaliste dans les hauteurs glacées afghanes.
Nous lui devons plusieurs documentaire et un superbe film sur Massoud, le lion du Panshir. Ce film, tout à fait superbe, décrivait la lutte des moudjahidines et mêlait des réflexions personnelles sur la vie et la mort (le cinéaste apprit la mort de son père alors qu'il était aux côtés de Massoud). C'était prenant. Le film récolta d'ailleurs 4 récompenses internationales
Journaliste accompli, lauréat de plusieurs grand prix (dont le prix Albert Londres en 1985) Christophe a voulu scénariser un certain nombre d'horreurs qu'il avait vu là-bas. Il en fit un film sorti en novembre 2006 et une BD, celle-ci, publiée en 2007.
Entre temps, bouleversé, il avait décidé d'en finir avec la vie, c'était en mai 2006; il n'avait que 55 ans.
Cette BD qui raconte la vie de Nikolai, jeune soldat russe de 20 ans envoyé en Afghanistan et fait prisonnier par ses ennemis qui deviendront ses amis puis ses bourreaux est à l'image de la vie de Ponfilly : pleine et bouleversante.
Bon je fais une note pour les deux tomes de la relecture du mythe de Frankenstein. Y a pas à dire c'est du bon. A partir d'une histoire déjà donnée Ptiluc va improviser plutôt bien pour nous donner quelque chose en parfaite adéquation avec son monde à lui.
Humour noire et philosophie digne de ses tomes précédents.
Les Pacush blues sont tous à lire pour leur histoire et la "philosophie" que Ptiluc y insuffle. C'est redoutable comme cela nous scotch à l'album.
Ce tome est particulièrement intéressant (selon moi le meilleur avec "le mal de mer" bien que je ne les ai pas tous lu). Le dessin est original, l'histoire complexe d'un rat de laboratoire qui va en en apprendre de belles... Bien sûr comme dans tous les Ptiluc y a pas beaucoup d'espoir mais on rit quand même. Il faut tout de même ajouter qu'on est très loin d'un RAT'S du même auteur ce n'est pas du tout pareil plutôt orienté public adulte qui veut réfléchir quoi.
Suite et fin de ce deuxième cycle entamé dans le volume précédent.
Ainsi qu'ils le pensaient, Khaemouaset et Meresankh ont la quasi certitude que la mort des princesses est dû à une vengeance. Tout remonte à une balade en barque qui eût lieu 10 ans auparavant et qui se termina en drame.
Kha et Mery acheveront leur mission et iront même un peu au delà.
Excellente série remarquablement documentée. Si vous ne deviez lire qu'une seule série sur l'Egypte ancienne, c'est bien celle là qu'il faudrait prendre tant les intrigues sont bien menées. Encore une fois, si les dessins sont bons, la reconstitution des monuments antiques mériterait un plus grand classicisme.
Une bd humoristique sur l'écologie ..... risqué, mais pari réussi.
Après 3 ombres, Pedrosa démontre qu'il sait changer de registre sans se perdre.
Le dessin est toujours aussi agréable, tout en courbes.
Quelques histoires fonctionnent un peu moins question humour mais l'ensemble est tout de même de très bonne facture.
Après la lecture de ce 1er je dois dire que je retiens un avis très positif car la bd est tellement bien faite qu'on arrive à la fin sans s'en rendre compte. L'histoire reste banale sur le fond mais extremement bien présenté surtout le choix des animaux qui sont caricaturés pour les rendre humains .
J'ai hate de lire le tome 2 !!!
Il s'en passe des choses dans le harem de Ramses II. Plusieurs femmes sont mortes à chaque fois qu'un chien noir venait rôder devant elles: le signe d'Anubis.
Meresankh mène l'enquête à la demande de son ancien maître, fils de Pharaon. Parmi les femmes du harem, une princesse keftiou (crétoise) : la fameuse Tiasatré. Une ombre mortelle plane sur elle aussi. Survivra, survivra pas ?
Une superbe aventure encore.
Excellent recueil d'aventures de Conan dont les aventures cultes "les clous rouges" et "le colosse noir" directement adapté des nouvelles originales de Robert E. Howard. Si la qualité du dessin n'est pas toujours du même niveau d'une histoire à l'autre, force est de constaté que l'ensemble est de bonne facture et qu'il trace avec vigueur les aventures épiques du plus célèbre des barbares. Un beau livre à conseiller à tous les fans de Sword & Sorcery.
Un seul regret pourtant que le nom de l'encreur ne soit jamais cité dans aucune des nouvelles. Une gageure pour un recueil de bande dessinés en noir et blanc tant certains mériteraient d'être connu pour leur qualité digne des gravures de vos plus beau livres d'aventures .
Question "histoire", ce manga n'est pas mal du tout, même si à patir du 4ème volume, on peut prévoir la fin assez facilement. Les seules choses que j'ai à reprocher sont:
- L'intrigue amoureuse (pourquoi Alice tombe pas amoureuse de Frey ????!!!! T_______________T ... désolée ^^) Mais c'est vrai, elle est amoureuse de Kyô, après il tombe amoureux d'elle, mais leur amour est impossible: c'est pas très original :( )
- Et puis Darva qui meurt en deux pages à peine, c'est un peu rapide...
Sinon, Frey et Billy mettent du fun, heureusement ! XD
Non, ce qui est intéressant, c'est le fond de l'histoire: le Lotis, le Maaram, les deux parts de l'âme humaine, l'obscurité, la lumière, et surtout, la force des mots et l'importance du dialogue dans la société actuelle. Tout ça est très philosophique !! ^^
En bref, si vous voulez commencez une nouvelle série de shojô manga, lisez Alice 19th !!!
Suite et fin du cycle entamé dans l'album précédent.
Ceci nous vaut de descendre dans les frontières sud de l'empire, aux confins de la Nubie.
Mérésankh mène toujours l'enquête avec son "garde du corps". Elle a raison d'en profiter, cela ne durera peut-être pas...
Très bon album avec suspense, action et originalité.
Alors là, je peux dire que j'ai lu pas mal de mangas vraiment très bien, genre Alice 19th ou Fruits Basket, mais aucun de m'a jamais autant passioné que Tsubasa !!!
C'est vrai, les dessins sont un peu épurés (que noir et blanc) mais ils n'en restent pas moins forts, émouvants, pleins d'émotions; etc.
Les dialogues sont (en général) d'un grand niveau de langue pour une série de mangas...
... Quand au scénario, il est absolument irréprochable: bien ficelé, tantôt tordant de rire (vive Fye ^^), tantôt triste à faire pleurer (c'est le cas de ce volume), mais toujours plein de suspense et de finesse à la fois.
Conclusion ? : Tsubasa est sûrement le meilleur manga que j'ai jamis lu, et je continuerai à l'adorer, il mérite très amplement son 10/10 !!
Si je dois faire un petit mot sur le volume en particulier, j'avoue que tantôt la partie avec Fye et Kurogané est maginfique, autant celle avec Sakura m'a un peu décue, mais même les grands chefs d'oeuvre ont leurs points faibles !!!
Le tome 9 et le tome 10 sont pour moi les meilleurs. D'une part parce que l'histoire au sujet du mystère de la tour de l'horloge est passionnante, et d'autre part parce que les dessins sont très jolis. Il y a certaines planches qui sont purement magnifiques (architecture de Venise, paysage italien...).
L'ensemble de la série est très bien, les premiers tomes sont assez noires, tandis que les albums suivants sont plus humoristiques, ce qui n'est pas pour me déplaire.
Remarquable histoire d'un pillage de tombes à l'époque des Ramsessides et qui débouche sur une secte sanglante qui veut remettre le dieu Seth à l'honneur.
Les personnages sont très attachants, seuls les dessins restent surprenants et pas à la hauteur de ce qu'on imagine pour une telle BD. Ils sont pourtant de qualité mais n'ont pas la "pompe" de ceux d'un Jacques Martin pour ne donner qu'un exemple.
Un album un peu plus faible que les précédents. On le considérera comme une transition nécessaire puisqu'il s'agit d'une traversée de l'Océan Pacifique avec un groupe de pirates et un équipage féminin de sous-marinièrs australiens. Une occasion pour nous d'apprendre que la marine australienne a ouvert ce métier aux femmes, ce qui est l'oin d'être le cas partout.
Qu'on se rassure les prochains épisodes nous apporteront leur haute puissance d'adrénaline ...
La Californie ne marquera finalement pas la fin de la saga (il s'agira en fait de Paris, oui, oui, notre capitale !).
Jamais sans doute cette aventure n'avait été aussi âpre et aussi désespérante. Jamais aussi Yorick n'avaita autant eu envie de retrouver Beth malgré une belle histoire d'amour entre parenthèses.
Notre petit groupe progresse sur son chemin. Le voici au Colorado plus très loin de la salvatrice Californie? Sauf qu'une plaisante jeune femme va retarder notre convoi en "confisquant" Yorick pour son usage personnel.
Mais l'aventure va de rebondissement en rebondissement le dernier étant le retour de la soeur de Yorick sur cette scène sanglante.
Cette saga majeure de 60 épisodes est désormais terminée aux Etats-Unis et a ramassé là-bas quantités de louanges et lauriers. Il est d'ailleurs question d'une version ciné qui évidemment ne pourra refléter toute la richesse de ce roman graphique. C'est pourquoi il est indispensable de lire cette magnifique saga, toutes affaires cessantes.
Cette bande dessinée est en quelque sorte un roman d'initiation. C'est la figure du roman picaresque classique sauf qu'aujourd'hui il est de bon ton de parler de road movie.
Enfin bref, toujours est-il que Yorick doit traverser les Etats-Unis de part en part pour aller retrouver un des labos du Dr Mann qui fonctionne encore. La jolie agent 355 protège précieusement ce seul mâle survivant tandis que les aventures s'enchaîne et que le Mossad israelien a vent de son existence et compte bien mettre la main dessus.
Le nouveau comic par excellence. Cette nouvelle vague qui déferle aux Etats-Unis et qui s'adresse à un lectorat plus adulte, en délaissant peu ou prou super héros et super vilains, emblèmes de la mythologie américaine, propose des scénarii et une vision plus cinématographique de la BD.
Cet Y là est non seulement représentatif de cette nouvelle vague mais c'est également une perle.
C'est la continuation moderne du roamn picaresque depuis Gil Blas de Santillane.
Qu'en est-il exactement ? Un jeune homme, Yorick (l'une des raisons du Y du titre) est le seul rescapé mâle (la deuxième raison du Y) d'une catastrophe qui a éliminé tous les mammifières mâles, animaux inclus, en quelques instants.
Lui et son singe Esperluette (le signe "&", "Ampersand" dans la VO) sont donc les seuls rescapés de cette abomination.
Pourquoi ? (cest la troisième raison du Y qui se prononce "why" en anglais).
Quelques vraies beautés, quelques superbes délires mais un album qui reste dans la tonalité usuelle, c'est à dire très bon mais pas forcément génial.
Il n'en reste pas moins vrai qu'on en redemande et que ce chat là fait plus pour la philosophie que bien des BHL de service.
Parmi les grandioses on retiendra celle là :
"Chaque seconde dans le monde quelqu'un dit une connerie, mais pourquoi faut-il que cela tombe si souvent sur moi ?"
"Si on payait mieux les bénévoles, ça donnerait peut-être envie à plus de gens de travailler gratuitement".
Cette maxime résume quasiment à elle seule la qualité de cet album qui -une fois n'est pas coutume- a davantage de scories que d'habitude avec quelques dessins d'un goût parfois discutable.
Mais ne boudons pas notre plaisir, on rit bien volontiers quand même.
Nous sommes en 46 avant JC et nous assistons aux derniers soubresauts de la guerre civile. Comme l'action se déroule en Hispanie on pourrait presque parler de guerre d'Espagne.
Les troupes de César affrontent celles de Pompée. Dans ce maelström un fier Ibère, Tarago, a donné sa parole de lutter jusqu'au bout avec les pompéiens. Il sera fidèle à sa parole.
A noter qu'au début de la BD un des personnages porte ... un béret basque. Je ne sais pas si c'est très historique mais c'est en tout cas assez rigolo.
Bien des années après, Alix est de retour dans le royaume parthe. Du coup, il aimerait retourner à Khorsabad là où règne désormais un vizir fidèle au roi Orodès. Ce vizir s'est fait une fortune en exploitant la naphte présente en abondance dans le région.
En se rendant sur place Alix et Enak vont vite reconnaître leur vieil ennemi Arbacès en la personne du vizir. Leurs ennuis ne font que commencer...
Un début d'album fort plaisant jusqu'à mi-parcours mais qui s'englue ensuite sur des péripéties qui ne sont guère palpitantes. Bien que de qualité, les dessins sont en dessous de ceux de Morales (à mon humble avis).
Cet Icare là est une ville qui a pour saint patron -si j'ose dire- le fameux fils de Dédale. Là encore le scénario est réduit à sa plus simple expression.
Une ville est assiégée par des pirates et sera reprise par les forces armées romaines. Bon et à part ça ?
Pas grand chose mais c'est plutôt bien fait, les reconstitutions sont comme toujours somptueuses et les scènes d'action bien fichues.
C'est également l'occasion de retrouver Numa Sadulus que nous avions découvert dans "l'Enfant Grec" et qui est l'allusion transparente de Numa Sadoul, critique et esthète en BD.
Quelconque !
Tel est le premier mot qui vient en tête après avoir terminé la lecture de cet album. L'idée de base est pourtant pas mal : Alix et Enak sont envoyés aux bords du Rhin dans une des forteresses du limes.
Le patron de ladaite forteresse fait du trafic d'ambre et c'est vraiment pas beau. Les diverses pérégrinations vont nous emmener jusqu'aux bouches du Rhin ce qui nous vaudra quelques jolies planches. Mais une succession de planches, mêmes réussies, ne font pas une bonne histoire.
Tout ceci reste très asthmatique et c'est bien dommage.
On a envie d'applaudir le concept de "Cité 14" (la publication mensuelle d'un livret d'une vingtaine de pages pour 1 Euro, la production de chaque année étant réunie en une "saison"), mais force est d'avouer d'une bonne idée de marketing plutôt que d'un défi "formel" : lire les douze livrets à la suite s'apparente tout-à-fait à la lecture d'un récit classique et on ne sent pas vraiment ce que le concept a pu apporter à la construction du récit... Finalement, ce qui "feuilletonne" le mieux dans "Cité 14", c'est l'aspect littéralement foisonnant des personnages et des situations, très proche, là oui, de ce à quoi la télévision américaine nous a habitué depuis une dizaine d'année (... D'où bien entendu le choix d'intituler ce premier volume "Saison 1" !). Sur ce point, force est de tirer son chapeau à Pierre Gabus, qui a su inventer un monde vraiment original (mélange d'humains, d'animaux et d'extra-terrestres), à la fois rétro (le New York du début du XXe siècle) et futuriste, tout-à-fait décalé et pourtant superbement familier (idée brillante de toujours ramener, derrière l'action débridée, les problèmes sentimentaux des personnages !), et qui a surtout réussi à nouer et dénouer tous les fils de sa fiction avec habileté, sans que pourtant son univers perde en profondeur et en mystère. Dommage finalement que le dessin, soigné mais peu enthousiasmant, tire le récit vers le bas : on peut aimer le côté cheap du Noir & Blanc et de l'impression (pour 1 Euro !), mais la force de la narration aurait mérité un plus beau support.
Je rejoins un peu l'avis de "lefanfois" , le graphisme est loin d'etre excelent mais le scénario est riche et profond , l'histoire rejoint un peu celle de new byzance , on retrouve Zack Kosinski enfant puis adulte et aussi ce complexe d'immeuble "Utopia" . Il y a des choses similaire ( utopia et zack ) mais aussi des choses différentes comme la lutte entre "les blanc" et "les noirs" et cette guerre n'etait pas présente dans new byzance ce qui endurci le lecteur.
Le tome 2 est à attendre comme celui de new byzance !!!
Série intéresante qui regroupe 3 histoires dans 3 villes différentes mais avec le meme personnage principal un précient . L'histoire est complexe mais intéresante et le dessin fin et très reussi ce qui nous ouvre les porte du monde d'uchronie , un monde basé sur le coexistance des culture .
Le tome 2 est à suivre !!!
Le tome 2 nous replonge dans l'univers sanguinaire des goblni's jamais à court d'ideés pour imaginer n'importe quel betise à faire. Sur le dessin on ne notera aucun changement et sur le scénario le principe 1 gag par page est respecté jusqu'a la moitié de l'abum ou on assite à une histoire d'une quinzaine de pages qui est pour moi un peu inutile. Je reste un peu decu du tome 2 comparé au tome 1.
J'attend donc le tome 3 au tournent pour savoir si la série va tenir le niveau du tome 1!!!
Dans le genre humour qui est envahi de bds pas intéresante et repétetive , Goblin's s'intalle dans le genre comme une claque à toutes ces bds de second choix. Coté scénario le principe de 1 gag par page reste le meme mais de voir des goblins se faire tuer à chaque page de facon différrente rend la série unique en son genre . Aun niveau du dessin de n'est ni excelent ni nul , le dessin reste simpliste mais très accrocheur.
Je conseille donc cette bd au personne qui souhaite lire un nouveau genre de bd humour très reussi !!!!
Le tome 1 de la bd m'avait intriguer et bluffer. Ce tome 2 nous installe dans le scénario très complexe de "La licorne" car il faut insister sur ce point le monde est complexe car il mélange renaissance et fantastique ce qui pourrait etre un inconvenient et bien non , l'auteur et le dessinateur nous plongent dans leurs monde et l'on s'habitue à voir ce cotoiller des personnage du XVI siècle et des "etres humanoides" , c'est ce qui fait le charme ce cette série.
L'album non apprend comment ont étés créer les "etres humanoides" et la menace qui pèse sur le groupe savants qui sont prets à tous pour connaitre la vérité.
Vivement le tome 3 pour savoir si Ambroise est réellement mort ou pas !!!!
J'étais rester sur un avis très positif du 1er tome et je dois dire que ce 2eme tome est d'un très grand niveau que se soit sur le scénario ou les dessins ( qui sont sublimes ) . L'histoire se trouve étoffer et les pages s'enchaines sans aucune confusion ce qui permet au lecteur de comprendre totalement l'oeuvre qui bascule entre 2 mondes . J'attend le tome 3 qui devrait etre très riche en rebondissements !!!
C'est officiel bien que non encore paru au Journal de l'Académie Française, le Chat est entré de plain-pied dans le monde des références de la pensée française, pardon, francophone compte tenu des origines de notre matou.
Ses oeuvres complètes sont à ranger aux côtés des Pensées de Pascal et des maximes de Chamfort. Ne serait-ce que pour cette réflexion d'une totale intensité :
"La mort, c'est un peu comme la connerie. Le mort, lui, ne sait pas qu'il est mort. Ce sont les autres qui sont tristes. Le con, c'est pareil ..."
Un p'tit coup de moins bien sur cet album. Geluck patine-t-il ou serions nous blasés (déja !).
En fait, l'explication est toute simple l'album recèle beaucoup de bonnes et très bonnes choses mais rien qui ne soit réellement génial.
Avouez quand même que c'est merveilleux de dire d'une série qu'un de ses albums est faible parce qu'il n'est pas aussi génial que les autres !
Un peu moins de perles qu'à l'ordinaire et premières apparitions des dessins du XIXème siècle que Geluck remanie pour leur donner un sens comique.
J'avoue humblement que ce n'est pas ce que je préfère chez lui. Mais il en faut pour tous les goûts !
Quelques dessins exceptionnels tels les problèmes du patron au cigare ou la discussion philosophique sur les hôtels à étoiles ont fait le tour du net francophone et sont devenus des classiques.
Quelques nouvelles et impérissables pensées profondes :
"Un groupe de loups, c'est une horde. Un groupe de vaches, c'est un troupeau. Un groupe d'hommes, c'est souvent une bande de cons."
"Il faut absolument sauver le marché de la moto, c'est la seule manière de maintenir l'emploi dans les hôpitaux."
"Un type qui ne parle pas français, je le comprends mieux s'il ne dit rien rien que s'il me parle. Tandis qu'un gars qui parle français, c'est l'inverse."
Après cela qui osera prétendre que Geluck n'est pas un de nos plus grands penseurs ?
Sous des allures de rigolade et de non-sens, Geluck via son Chat en profite pour nous balancer quelques vérités bien cruelles et toujours vraies.
Ma favorite dans cet album est la suivante :
"Le rire est la seule chose qui différencie l'homme de la bête, si l'on excepte toutefois ... la veulerie, la méchanceté, l'avarice, la cruauté mentale, l'orgueil, la perfidie, l'alcoolisme, la malhonnêteté, la vulgarité, l'appât du gain et le sens des affaires".
Cioran aurait pu faire sienne cette formule.
Un premier album au ton très surprenant à l'époque. Un recueil de gags mais qui sont présentés différemment des volumes analogues puisqu'on trouve plusieurs gags ou strips par page.
Le ton est également novateur. A la fois loufoque dans l'esprit de Pierre Dac mais aussi dans celui de Devos. Mais tout cela dans un univers qui lui est propre.
On ne savait pas pas à l'époque que nous venions de trouver notre Monsieur Prudhomme moderne.
Que dire après 59 avis...
C'était il y a environ 6 ans, le monde de la bédé policière s'endormait pépère, tranquille, sans effort... On continue notre petit chemin sans bruit, sans relief.
Et puis, il est arrivé cet album quasiment inaperçu dans les rayonnages... Et là, une grande claque.
Un polar animalier. Avec des animaux qui bougent de leurs corps ondulants, tels des félins dans la savane... Un scénario digne des films policiers noirs américains qui vous prend jusqu'à là... Oui, là. Là ou l'on se prend pour Humphrey Bogart à la rencontre de Lauren Bacall ou de Ingrid Bergman dans les ruelles de Casablanca...
Je m'en suis jamais remis et depuis je suis toujours à la recherche d'un album de Blacksad perdu dans une bibliothèque imaginaire...
Très bel album avec divers inédits.
Un court récit récit intitulé "L'étoile de Noël" et paru dans Spirou en 1977. Une histoire publicitaire de 16 pages pour une coopérative laitière intitulée "La légende de la montagne à beurre". Notons que la qualité du document (flashage sur original très vraisemblablement) n'est pas à la hauteur des "vraies" bandes dessinées.
Enfin une autre rareté, sans texte, qui date de 1964 et qui fait 3 planches 1/2. Il s'agissait d'un concours où le lecteur tout en suivant les dessins de Peyo devait construire les dialogues.
Goscinny s'est amusé à répondre et d'ailleurs 2 strips en font foi.
Notons que cet album est assez pauvre en "inédits".
Un court récit de 2 pages, "les Anges", paru en 1957 dans Spirou et un autre de 4 pages paru dans Risque Tout en 1955 et intitulé "Le dragon vert".
A cela il cobient de rajouter une pub d'une planche pour Omo en 1968.
C'est Lintas, une très célèbre agence du pub, qui avait compris avant d'autres que les enfants sont "prescripteurs" de produits, même ménagers (souvenons nous de la carte de Gaule d'Astérix avec Skip !)
Ce deuxième volume est à la hauteur du premier voire plus percutant. On suit avec passion la mission de sauvetage à laquelle participe notre journaliste Nestor accompagné du truculent Angus Mc Pherson du SAS. Les personnages sont haut en couleur et les dialogues plein d'humour. Le recours au fantastique est moins présent ce qui confère plus de crédit à l'action. On sent que le danger est là et qu'il est bien mortel ! Quel est donc ce terrible secret que possède les nazis et qui remonte à la nuit des temps ? Les dessins sont très réussis et collent parfaitement au scénario. L'ensemble donne un récit enthousiaste sans se prendre au sérieux et souligné par de superbes couleurs. Vivement la suite avec la belle camarade capitaine Irina Verotna !!!
Le sujet bien que traité maintes fois m'a incité à acheter cette BD. Tous les ingrédients étaient en effet réunis pour faire de cette histoire une réussite : la période très noire de l'allemagne nazie 39/44, ses dirigeants manipulés par des "forces supérieures", la science qui flirte avec le paranormal, des assassinats troubles, une belle ingénue prise au milieu de la tourmente... Mais voilà le dragon ne s'envole pas et son souffle loin de cracher du feu nous endort au fil des pages. Les intentions sont pourtant là, mais les dessins et les dialogues sont trop statiques pour créer la dynamique indispensable à ce genre de récit. J'espère que le prochain volume trouvera la clé ... de mon intérêt !
Un excellent album. Les personnages sont désormais rôdés, les gags se cumulent.
Le roi de France demande à Jehan de lui trouver une nouvelle colonie mais dans le même temps une exigence similaire est faite par le roi d'Espagne et le roi de Prusse à d'autres marins. Tous auront évidemment l'idée de converger au même endroit.
Certains aspects de cette aventure seront repris vers plus de folie dans "Oumpah-Pah contre Foie Malade" (si mes souvenirs sont bons).
Notre fine équipe se retrouve de nouveau au Corsaire Boîteux, cette taverne nantaise qui débute toutes leurs aventures. Parmi les personnages nous retrouvons P'tit René qui est la caritcature de René Goscinny mais nous avons perdu le quartier maître qui était celle d'Uderzo.
L'histoire est plaisante sans plus mais elle a toujours ces pointes purement goscinnyennes que l'auteur systématisera à l'avenir, qui feront sa griffe et son style.
On notera toutefois que le principe de cette île au trésor en forme de tête de mort sera reprise quelques années plus tard par J-M Charlier pour son Barbe-Rouge et évidemment dans un style réaliste.
Goscinny et Uderzo ont fait ensemble toute une tripotée de BD. La plupart dans les années 50. La seule qui soit très connue c'est évidemment Astérix.
Ceux qui s'y connaissent un peu plus parleront de Oumpah-Pah, très peu citeront Jehan Pistolet quant aux autres elles ne sont connues que des spécialistes.
Ce premier Jehan Pistolet n'a pas un gros intérêt. Uderzo n'a pas encore décidé entre dessin réaliste et dessin comique (il tranchera au profit du 2ème au courant de cet album). On a ici et là quelques éclairs de génie de Goscinny mais c'est bien tout.
Je viens de decouvrir cet album.
j'ai ete agreablement surpris. L'histoire est vraiment bien, il faut maintenant attendre la suite.
Pour tous les gens qui aime les histoires de vieux grimoires, il ne faut pas le rater.
A l'epoque de sa sortie je n'avais pas tellementb prete attention car ni la couverture ni le titre de la serie (Hypertext) ne m'avait emballe.
C'est la que l'on voit l'importance de la couverture et des titres.
Un des grands albums de la série dans lequel Pirlouit est pris pour le sire de Montrésor et, mon Dieu, il s'en tire plutôt bien. Jusqu'au moment où la supercherie est dévoilée et la potence lui est promise.
Des gags, de l'action, du bonheur !
Merwan enfermé au Vatican continue de lire les lettres d'Halid et donc nous suivons l'histoire de celui-ci, sa découverte de la dernière sourate, et son histoire d'amour tragique.
Ce tome éclaire beaucoup de points de l'histoire de Nahik et est pleins de rebondissements mais grâce au résumé du début, on arrive à comprendre facilement.
Un bon moment de lecture donc et même si on arrive pas au niveau du décalogue, ce spin-off en est un bon complément.
A lire donc.
Un puvrage indispensable pour les véritables amateurs de Peyo ou les collectionneurs avertis.
On retrouve ainsi le premier gag (uniquement visuel) de Johan paru dans la presse puis les premiers strips à suivre. Disons le tout net ces dessins sont d'une maladresse achevée et les scenarii ne sont guère mieux. Ce qui fait dire au préfacier (T. Groensteen) que les lecteurs d'alors étaient "sans doute moins exigeants".
Autant le dire ces pages n'ont guère d'intérêt pour le lecteur non passionné.
En revanche, ce même lecteur que nous appellerons "traditionnel" trouvera 5 petites histoires et près d'une dizaine de gags d'une planche (avec les Schtroumpfs) spécialement concoctés pour le chocolat Benco.
Nouvelle petite merveille de notre duo. Un album qui allie suspense, humour et aventure.
Les chariots qui ravitaillent ou partent du château du roi sont régulièrement attaqués par des brigands. Il faut se rendre à l'évidence quelqu'un du château les renseigne. C'est à l'aide d'un arc et d'une flèche contenant un message qu'il envoie tous les détails propices pour une attaque.
Mais Pirlouit puis Johan vont montrer qu'ils ont -eux- plusieurs cordes à leur arc.
Un petit bijou !
Johan et Pirlouit alors qu'ils sont de retour de leur expédition scandinave sont jetés à la mer par une tempête. Lorsqu'ils s'éveillent, ils constatent que le village qui les a receuilli est peuplé de "mollassons", c'est à dire des gens pertpétuellement fatigués que des soldats martyrisent.
Seule solution faire boire à tout le village un peu d'eau de la source des dieux et l'occasion de nous offrir une belle aventure.
Question : Cet album n'a-t-il pas inspiré Goscinny pour la "potion magique" ?
Gentille petite aventure dans le pays viking où Johan veut sauver un jeune enfant enlevé par des "pirates". Mais Johan a tout faux et se met un temps au service des "méchants".
La série a atteint sa vitesse de croisière. Le dessin est dans sa quasi plénitude et le scénario est bon même s'il n'a pas encore produit de chef d'oeuvre.
Une mignonne histoire qui a tout de même quelque peu vieilli.
Peyo ne va pas jusqu'au bout de ses jeux de mots. Ainsi le méchant s'appelle Boustroux. Goscinny lui n'hésitera guère mais c'est un autre style !
En attendant cet album est plaisant mais ronronne un peu.
Voilà une histoire plutôt bien construite où science et magie sont étroitement liées. L'évolution de l'intrigue avec les quelques notes d'humour présentes part ci par là est plutôt agréable à suivre et on reste accrocher jusqu'à la fin. De plus voir Ben Grimm finir en Schtroumpf grognon c'est plutôt marrant. Bref un bon numéro qui peu se lire indépendament du reste de la série.
Darkness / Wolverine : Une histoire sympatique où Wolverine renconre deux membres de la famille Estacado. Le premier en 1942 et le dernier en date de nos jours. le parralèlle entre les deux rencontres est plutôt pas mal même si la conclusion est différente. Cette rencontre montre également le décalage entre les précédents membres de la famille Estacado et Jackie qui contrairement à ses précécesseur est moins pourri.
Witchblade / Punisher : Rencontre intéressante entre deux personnages qui ont des conceptions de la justice qui s'opposent. Même si le dessin n'est pas génial l'histoire elle est plutôt pas mal avec une fin plutôt bien trouvée.
Ce volume marque un retour en arrière dans les aventures de Mido Ban et Amano Ginji au moment où ils ont repris le nom des Get Backer's avec l'accord de leurs prédécésseurs. On peu dire que ça fait bizarre de revenir comme ça brusquement en arrière sans avertisement ni explication pour une série d'histoires qui, à première vue, devrait s'étendre sur plusieurs tomes. Mais c'est plutôt intéressant de voir comment se sont passé les débuts de nos deux guignols, en espérant que ça ne dure pas trop trop longtemps.
Voilà deux bon volume qui montre un Namor naïf pas encore cynique ni désabusé comme on le connait aujourd'hui et même faisant confiance aux humains. L'intrigue est bien développée, les personnages sont intéressants et la fin plutôt intéressante. Il serait plutôt intéressant d'avoirs d'autres aventure de Namor afin de voir l'évolution du personnage pour aboutir ce qu'il est aujourd'hui.