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Album sorti en marge de la série, peu de temps avant la coupe du Monde de foot de 1998 en France. Un attentat doit avoir lieu et bien sûr Léo est sur la piste.
A fini dans les bacs de soldeurs ce que cet album ne méritait pas car il est plus que correct. En plus nous avons bien droit à une finale France-Brésil (bien vu), Zidane y marque un but (re bien-vu) et Guivarc'h aussi (pas bien vu !)
Gattene est un écrivain venu faire des dédicaces à la FNAC de Marseille. C'est un vieux copain de Tonton, malheureusement il n'a pas que des amis car quelqu'un lit tire dessus en pleine séance de dédicace.
Intéressante petite histoire (22 planches) qui nous fait remonter aux drames de l'indépendance du Congo. Offert à l'époque par la FNAC pour l'achat de deux albums de Léo Loden. Excellente idée !
Après quelques albums en balade sur différents points de l'Hexagone voici nos héros de retour en Provence et Marlène n'est pas trop contente car Léo lui a promis le mariage et rien ne vient.
Et bien suit justement quelque chose vient : les huissiers !
Il est temps qu'une petite enquête arrive ...
Quand la forêt provencale brûle cela fait des dégâts, mais cela libère aussi des terrains sur lesquels ont peu construire avec un fort profit. Et voilà que justement un client fait appel à Léo car l'inspecteur Marlène Soral a découvert dans la voiture dudit client de quoi faire griller la moitié de la Provence.
Or cet homme se dit innocent.
Encore une enquête qui va compliquer les relations Léo/Marlène.
PAR-FAIT !
La Joliette, c'est le port (industriel et commercial) de Marseille. C'est donc aussi le lieu d'un certain nombre de trafics en tout genre. Il était inévitable que Léo y mette son museau. Cette enquête haute en couleurs le conduira à Cassis chez les pétanqueurs professionnels, un peu marlous sur les bords.
Tout à fait délectable.
En choisissant la Provence, Arleston ajoute à sa truculence la chaleur méditarréenne qu'elle soit humaine ou climatique. Le personnage de Tonton Loco, mélange d'inspecteur Croûton chez Gil Jourdan et du capitaine Haddock est une espècce d'Obélix moderne. Quant à Marlène c'est la nouvelle Queue de Cerise chez Gil Jourdan.
Tout ceci pour dire qu'Arleston a su reprendre des formules consacrées tout en y ajoutant sa pâte et cela donne quelque chose de purement magnifique.
Le commissaire Loden en voulant opérer une arrestation tire en l'air mais pas de chance le fuyard s'écroule mortellement atteint. C'est ce qu'on appelle une bavure et les ennuis de Léo commencent. Mais est-ce vraiment une bavure ?
Version moderne de Gil Jourdan, ce Léo Loden est une incontestable réussite qui sait mettre en valeur la ville de Marseille. Le scénar est impeccable, l'humour constant. On en redemande.
Sans doute l'album le plus faible de la série.
Courtois et Giroud ont pris le parti de dessiner les passages relatifs à Louis en caméra subjective. Autant cela peut être parfois efficace au cinoche, autant c'est un peu ridicule ici, le supense n'existant pas vraiment (compte tenu de la série "Louis la Guigne" notamment).
L'album reste intéressant sur l'atmosphère de l'arrière et des profiteurs divers. L'aspect recherche de la mère fait penser au "long dimanche de fiançailles" mais en moins bien quand même.
Je continue et j'abuse sur cette continuité fantasque.
En arrivant bien haut vers des cieux plein de mythes.
Nos deux héros courageux nous font vivre un spectacle.
Devant tant de danger ils se comportent en pitre.
Face à un capitaine malsain dénommé Mendoza.
Sur l'astre lunaire il seront bien tous là.
Un chien, un Diable, un Turc, un Hérétique vertueux.
Préparant une défense digne du royaume des dieux
Que néni le succès, que néni la médaille.
La fin de cette livrée paraitra moins qui vaille.
Peu importe la tournure je continue cette route.
Sur la mer de nuage j'attendrai coûte que coûte.
Second et malheureusement dernier volet malgache.
Louis doit faire face au tueur dépêché de Paris, à la rébellion de la VVS, à la trahison de celle qu'il aime et au patriotisme de sous-officiers bornés. Cela fait évidemment beaucoup.
Et quand il croira toucher enfin au bonheur, un imbécile idéaliste à quelques milliers de kilomètres de là viendra tout foutre en l'air. En abattant l'héritier de la double monarchie, Gavrilo Princip aura tiré les premiers coups de feu de ce qui allait devenir la Première Guerre Mondiale, la Der des Der' comme chacun croyait.
Superbe album que cette "île rouge". Nous sommes en 1913 et le régiment de Louis est muté dans la Grande Île (Madagascar).
La guerre se prépare et l'armée a besoin de chair à canon et semble prête à dégarnir une partie de ses troupes coloniales pour les amener en métropole.
Mais tout les Blancs de Madagascar ne sont pas vraiment ravis de se retrouver face aux autochtones qu'ils exploitent sans vergogne.
D'autant que les feux de la révolte de 1905 sont encore mal éteints.
Une superbe histoire et une déclaration d'amour pour Madagascar et ses peuples. A lire !
Suite à sa contestation de l'album précédent Louis connaît la chaleur et la moiteur africaine, muté dans un fort loin de tout.
Le commandant de la garnison, baderne plus vraie que nature, paasse sont temps à la chasse en laissant seule sa jeune. Mais tout le monde sait que qui va à la chasse perd sa place ...
Sauf que le cocu va vouloir se venger.
Très bel amour plein d'amour sur la terre africaine et qui ne fait pas l'impasse sur le racisme latent de Louis. Fort heureusement notre héros saura se reprendre de cette tare.
Louis est parti faire son service militaire. Le colonel du camp connaît son passé et le charge d'espionner l'un de ses camarades, Polonais d'origine donc suspect. Il se trouve que les mouvements de troupes françaises sont signalés avec célérité et précision à l'état-major allemand. Il convient donc de faire cesser cela.
Très bon album, légèrement en deçà des précédents toutefois. C'est à l'issue de cette aventure que Louis se révolte ouvertement contre sa hiérarchie, ce qui lui vaut dare-dare une mutation en Afrique.
Lorsque j'avais lu les 7 vies de l'épervier que j'avais bien aimé, je suis allé à ma médiathéque, et je trouve cette série.
Je remarque qu'elle fait partie du cycle des 7 vies de l'épervier, donc je me suis laissé tenter pour le lire.
Et là quel déception, un dessin d'une laideur épouvantable et dont le scénario ne m'a vraiment pas emballé, du coup j'ai du laisser tomber.
J'ai jeté un coup d'oeil à cet album, et quel déception, le dessin est d'une laideur, les personnages sont loupés, surtout au début ou elle tue deux personnes.
L'histoire quant à elle est vraiment mauvais, une fille qui ne rigole jamais et qui ne posséde pas de sentiments(ou très peu), dont sont seul but et de faire des contrats.
A éviter.
Voila une nouvelle histoire, ou Wayne qui va rejoindre un ancien ami devenu moine dans la France.
Il vas l'aider à protéger une lance dont plusieurs personnes sont intérressées.
Le dessin reste le meme, hormis la couverture qui, je trouve est faite différement des autres tomes, l'histoire quant à elle tourne autour de l'église, un peu d'ésoterisme, ça change et c'est bien, meme s'il reste en desssous des 5 premiers.
J'attend la suite.
Le scénario est riche et passionnant mais ce qui me fascine le plus dans cette série c'est l'atmosphère . On se prend vraiment à rever et à croire à cette histoire qui melange réel et légendes etça c'est la marque d'une grande série j'oserai meme dire d'un futur classique et je vous jure que je ne m'enflamme pas facilement
Etonnant album sans prétention.
Scénario très classique, voir trop (?), sur fond moyen-ageux. On accroche tout de suite au tourment et à l'aventure de messire Guillaume. Le dessin "simple" et non agréssif de Matthieu Bonhomme rend cette histoire douce et poétique.
Bédé singulière qui sort des sentiers battus.
Magnifique.
Les trois opales ont été reprises.
Cependant, Erik et Walaya s'échappent de la ville et retrouvent Joachim, qui n'est pas mort et qui leur explique la façon dont il a pu échapper à se sort.
On connait mieux sur l'enfance des trois personnes et comment chacun ont pu posséder les opales par leur parent.
Une série qui n'est pas trop mal dans sont enssemble tant sur le dessin que sur l'histoire.
Toujours poursuivi par d'étranges personnages, les trois nouveaux compagnons, avec les opales, décident de rejoindre le navire de Walaya en direction d'Anvers pour chercher un gémologue.
Une histoire mélant sur un fond historique, une touche de fantastique bien menée, ou l'on apprend plus sur les personnes mystérieuses qui complotes autours des trois opales et de Nostradamus.
En 1628, lors du siége dela Rochelle par les anglais, une jeune fille cherche à pouvoir mettre la main sur le trésor de son père en demandant l'aide au cardinal Richelieu.
Joachim un medecin et philosophe l'aide.
Le dessin de Grunn rappel celui de Delaby comme il a déjà été mentionné, sinon l'histoire est plutot pas mal.
Pour les amoureux de Blacksad, cet album nous dévoile la création, la mise en page de notre héros, des commentaires décrivant les pages de l'album et les intéressants interviews des deux créateurs.
On apprend plein de chose sur l'élaboration de l'histoire, avec beaucoup de dessin, rien que pour le plaisir de nos yeux d'enfant.
Un véritable régal.
Malheureusement c'est un album trop cher.
Dommage...
Donner suite au run de bendis maleev, ouh là là quelle tache risquée!!! Mais marvel a choisi l'imparable brubaker qui a commis le run de captain america (le soldat de l'hiver), et bingo on continue dans le même style. C'est tout aussi bon et brubaker est vraiment un excellent scénariste. Tout ce quil touche devient or. Le dessinateur suit la lignée de maleev et donc on a là une réussite totale dans cet ouvrage suffisamment volumineux pour en avoir pour son argent. Grandiose une fois de plus.
Je mets un avis en fait pour tout le run bendis maleev, et c'est du lourd, très lourd, un des meilleurs run sur le personnage. Je ne mets pas chef d'oeuvre mais ce n'en est pas loin. En fait, le dessin de maleev, sombre, réaliste, colle parfaitement à l'histoire, au personnage. On est quasiment dans un polar noir, et finalement assez loin de l'univers super héros classique. Peu de baston comme on en voit trop souvent dans le genre avec des combats qui ne servent qu'à faire de jolies pages bourrées de graphisme affriolant. Ici du brut, on assiste à la descente aux enfers de daredevil, et à son combat pour préserver sa moralité, et son identité cachée de matt murdock.
INDISPENSABLE pour ceux qui aiment du super héros intelligent basé sur la psychologie et non la baston à tout prix. Les amateurs de polar ayant l'esprit ouvert (aux sup héros) devraient adorer aussi.
Et ben, c'est encore pire que la série d'orrigine.
Navis est à la recherche d'une petite souris pour sa dent qui est tombée.
Je remarque souvent que les scénarios de Morvan sont plutot tourné du coté de l'humour, mais un peu béte (désolé).
Du coup j'ai l'impression que cette série est plus adressé à un public en très bas age.
Là aussi je me suis fait un plaisir, meme si j'ai acheté l'album ordinaire, j'ai quand meme pris celui là.
C'est très intérressant on a le droit à un interview des auteurs, ou ils nous montrent tous le boulot qu'ils se donnent pour nous donner une histoire la plus réelle possible.
Cela montre aussi que la façon dont il fabrique ses scénarios, Van Hamme est un très bon scénariste et ne les bacles pas.
Un tome 2 tout simplement génialissime. C'est tellement plein de vie que par
moment on se croirait dans un dessin animé. Jeff Smith maîtrise son scenario
comme personne et c'est peu de le dire, certains passages sont d'un tel régal
de lecture... Bref, je met le reste de la série Bone largement en tête de liste
de mes prochaines lectures tellement ça a été jouissif.
Même si j'ai préféré Les Eaux Lourdes, ce premier tome des Entremondes est très bon et surtout très drôle. Ca ne l'empêche pas d'aborder des thèmes importants et serieux, d'une manière qui me convient très bien. Comme très souvent chez l'auteur, le léger permet d'aborder le plus grave sans drame mais pas sans intélligence. Bref du "vieux" et du bon Larcenet !
Voilà une ville qui porte bien mal son nom si tant est que la neige soit symbole de pureté et de blancheur...Fell nous permet de suivre les pérégrinations d'un flic pas si exemplaire que ça tant sa mutation dans ce cloaque infame ne peut être qu'une punition (c'est un des mystères soulevés dans ce premier tome), dans cette bonne ville quasi post-apocalyptique de Snowtown. Ici, point de rêve américain mais plutôt un cauchemar éveillé, des nuits qui semblent perpétuelle(ment)s, sales et brumeuses dans lesquelles les putes et les toxicos cotoient de bien mysterieuses nonnes, des flics névrosés jusqu'à l'os et des ambiances presque dantesque....Pourtant, notre inspecteur préféré va s'acharner à mettre un peu d'humanité dans ce gigantesque purgatoire s'appuyant sur sa persévérance et son professionnalisme. Le récit est composé de courtes histoires se suffisant à elles mêmes mais permettant toujours de faire avancer la trame et l'intrigue générale. Le dessin et les couleurs illustrent parfaitement ce thriller à la Seven et finissent de faire de Fell une vraie réussite à mon goût...
Quelle belle surprise que cet album ! On y retrouve avec délice l'ambiance d'un Petit Nicolas ou d'un Mafalda, le tout à la sauce actuelle. Pico et sa petite sœur Ana Ana sont délicieux : le trait de dessin est tout simplement remarquable, comme si le dessinateur avait saisi une expression de l'instant présent. Ils a vraiment réussi à rendre des "bouilles" de gosses comme s'ils étaient devant nous.
Et puis pour l'histoire, ou plutôt les histoires, sont là aussi d'un grand niveau. Certaines sont tendres, corrosives, émotives et surtout très drôles. Vivement la suite !
Bon, je sais que s'il y a un domaine où l'on peut tout se permettre, c'est bien celui de la BD. Mais tout de même, le genre historico-fantastique ou fantastico-historique est un genre nul! Insérer des personnages historiques à des aberrations pseudo-scientifiques pour le moins confuses, voilà bien tout ce que je déteste.
Quant au dessin, bien qu'il soit extrêmement soigné, il ne m'accroche pas vraiment. Je crois qu'il conviendrait parfaitement au genre Comix ou heroic-fantasy, mais certainement pas à un genre qui se veut historique...
Inutile de dire que je ne chercherai pas à lire la suite.
Cinquième manga qui clôture cette très bonne mini série (comprenant donc cinq volumes). Dynamique, marante, un brin sexy sur un bon scénario, cette série nous entraine dans de multiples aventure pitoresques et originales.
Servie sur de très beau dessins dynamique, agréable à lire (sans combats qui dures des siècles, ou de violences gratuites, on se prend d'amitié pour la petite Pam.
A découvrir absolument.
Pour pouvoir régler les dettes que la maladie que sa mère occasionne, Louis accepte d'apporter en Suisse des pamphlets anarchistes mais en fait sans le savoir il s'embrigue dans une affaire d'espionnage de haute volée.
Bondissant, remuant, bien construit, crédible et documenté voici un bel album qui fait plaisir à lire. Les dessins sont toujours aussi précis et sympa. Chez Louis Ferchot demeure une excellente adresse.
Très bonne BD ces aventures du petit Tom,
le tome 2 est encore plus excellent,
les deboires avec la jolie Becky,
la vie de pirate sur l'île,à ce propos une scéne d'abordage de pirates sur un navire Anglais epoustouflant,
le procé de Muff Potter,
tous les ingredients sont reunis pour faire de cette BD un livre incontournable,
on a hâte de connaître la suite même si pourtant Tom Sawyer n'a plus rien à nous cacher,donc je le recommande,à lire et à relire
A lire ,un scénario d'un ton nouveau pour le talentueux Dohrizon,on ne
connaissait pas très bien Breccia fils (il n'est pas facile de se faire un prénom)
mais le dessin est efficace ,un bémol sur la couleur un peu "décalée" me
semble il par rapport au sujet qui aurait supporté moins de couleurs,mais le
sujet est original et l'album est plaisant à la lecture, très belle couverture.
on attend la suite.
Laffont s'installe en Bd par un parcours presque sans faute
Ce nouvel album chez Rober Laffont qui est le premier d'une série de trois est
une totale réussite.Une atmosphère très originale,un ton ,des dialogues de
grande qualité, le dessin de Terpant colle on ne peut mieux avec cette
nouvelle série qu'il dessine et scénarise.La ville médiévale,l'atmosphère
finissante du régne de ce Margrave héréditaire,qui donne son titre à l'album,
les paysages de neige,comme les personnages typés et bien campés,font de
cette série un véritable plaisr de lecteur.Il faut se précipiter
Cette BD nous offre une vision malines et pleine d'humour du petit monde des grandes entreprises.
On rit de bon cœur de cette succession de gags légers entre caricature, jeu de situation et humour absurde (le vieux de 50 ans du placard).
On s'amuse d'autant plus que le trait de James est particulièrement incisif et tout en finesse.
D'ailleurs, "l'animalisation" des personnages en fonction de leurs rôles et caractères renforce bien la narration.
Cette série est la préquelle de "Louis la Guigne". Elle nous raconte comment un jeune homme de 19 ans respectueux de la société et de l'ordre établi va progressivement se révolter.
Ce premier épisode se situe en 1910 et nous raconte la vie des ouvriers dans une petite usine de construction automobile comme il en existe tant alors en France.
Louis vient de perdre son père abattu lors d'une grève par les soldats alors qu'il tentait d'atteindre l'usine pour y travailler. Les conditions de travail sont déplorables, la sécurité aléatoire et le patron se comporte comme un seigneur au milieu de ses serfs.
Progressivement Louis s'aperçoit que la mort de son père n'est sans doute pas accidentelle ...
Excellent album, au dessin classique et lisible servi par une intrigue dont le ressort déclencheur m'a semblé peu crédible, mais ce détail mis à part ce volume est de grande tenue.
Devrons-nous attendre un autre deux, quatre, six ans avant d'avoir la suite? Quelle attente diabolique!
Avec le quatrième tome, toute la poésie et l'ambiance émotive et vulnérable sont encore plus présentes. Que de questions encore irrésolues? Qui est Liam? Pourquoi Paul est-il toujours en fauteuil roulant? Qu'est-il advenu de la source?
Une grande oeuvre qui sort de l'ordinaire avec des personnages plus beaux que nature!
Alors si vous voulez vraiment vous eclater,il faut lire ce livre.
Tout d'abord c'est une très bonne adaptation du roman de Mark et Twain et ensuite cette BD permet de connaître la veritable histoire du petit Sawyer qui n'est pas tout a fait celle du dessin animé.
le dessin et les couleurs apportent une touche très particulière à cette fresque americaine de fin du 19è,très dynamique et captivante elle n'en reste pas moins emplie d'emotions et de frayeurs.à lire absolument
Contrairement à ce qu'indique le titre le caractère purement celtique est réduit à sa plus simple expression puisque seule la premiere histoire se déroule en Irlande, les 3 suivantes se passant en Angleterre (à Stonehenge tout de même !) ou sur le front français.
Toutes ces histoires se déroulent lors de la première guerre mondiale mais c'est la première qui est la meilleure, digne de figurer dans toute bonne anthologie. Ce n'est pas tant le ressort de l'histoire qui est bon, c'est assez linéaire, mais c'est surtout la révélation finale qui est vraiment fulgurante, cynique et terriblement humaine.
Par rapport à cela les autres font pâle figure et c'est donc un album asse décevant dans l'ensemble.
Trois courtes histoires dont les deux premières "le secret de Tristan Bantam" et "Rendez-vous à Bahia" permettent la rencontre de Corto et Steiner et servent en quelque sorte de prologue à l'album Mû.
Si la troisième, "Samba avec Tir Fixe", continue avec les mêmes personnages elle est surtout prétexte à rencontrer les Cangaceiros.
Le tout est sympathique mais reste mineur par rapport à l'ensemble de la fresque maltesienne.
Ridicule tel est l'adjectif qui convient le mieux à cette fausse audace et vrai foutage de gueule.
La qualité des dessins ne saurait sauver du naufrage un scénario qui propose gaillardement du grand n'importe quoi et qui offre des personnages à la personnalité aussi épaisse que du papier à cigarette. Au départ et par osmose avec ce volume, je pensais à un autre type de papier... mais finalement même ce papier là a davantage d'épaisseur.
Et une interprétation des contes des milles et une nuit, une.
Mais celle là elle est enivrante et magique.
Oui magique car avec un tel sujet on trouve pleins de djins malsains pret à vous couper la tête. Des morts vivants vous poursuivant dans des endroits sordides. La lampe d'Aladin c'est pour les amateurs....
Oui enivrant. Les corps et les ambiances dessinés par Corben nous emportent, sans aucun effort, dans les ruelles de Bagdad. Corben a toujours su déssiner les méandres musclés du corps humain. Immersion totale.
Du grand art. Du grand Corben.
Reprise des 183 strips quotidiens en N&B parus dans le journal de Bruxelles, Le Soir, le même qui passera à la posterité sous le nom de "Le Soir volé" par les Allemands et qui vaudra quelques soucis à Hergé à la libération.Le livre est intéressant dans la mesure où il permet de mieux saisir la qualité du travail d'Hergé entre cette aventure parue dans le journal et celle publiée en album.
Il y a certes l'ajout de la couleurs et une multitude de petites modifications qui vont toujours dans le sens d'une meilleure lisibilité. C'est à ça qu'on mesure le génie d'Hergé.
Pour autant, je pense qu'il aurait préférable d'avoir comme pour l'Ile Noire, un album qui offrait simultanément les deux versions. Les commentaires prodigués reviennent en effet sur la version couleur qu'on n'a pas directement sous la main.
Grande secousse à la lecture de cette BD.
Elle est parue à un moment ou le conformisme était "presque" de règle. Et là, bingo. Dessin superbe de Gimenez très organique ( il aurait pu dessiner Alien...), et un très bon scénario sur la science au service de l'armement.
Un chef d'oeuvre original à remettre dans son époque de parution.
On pouvait penser la tâche impossible, mais Garth Ennis et Steve Dillon
arrivent avec ce deuxième opus à être encore pire que dans le volume
précédent! les deux maestro du dégueulasse se lâchent complètement et
semblent ne se fixer aucune limites tant ces épisodes sont abjectes, infâmes,
immondes... de grands moments de lecture! sans oublier les couvertures
originales, vraiment magnifiques.
Du grand n'importe quoi, mais qu'est-ce que c'est bon à lire. Sanguinolant,
immoral, comique, bordellique... Un régal de lecture macabre, avec une
touche d'humour noir sans pareil. Les personnages sont tout à fait fascinants
dans leur irréalisme, les dialogues efficaces au possible, et chaque scène en
rajoute un peu plus dans le morbide. Et avec ça une histoire vraiment
prenante même si pas crédible pour deux sous.
C'est évidemment à réserver aux personnes averties, mais on resent un vrai
plaisir à la lecture de ce gros bordel sanguinolant et complètement déjanté.
Avec cet album Tardi se lance pour la première fois dans l'adaptation d'un
polar en BD, exercice qu'il renouvellera très souvent par la suite.
Je ne suis en général pas très fan de ces adaptations assez linéaires, et celle-
ci ne déroge pas à la règle. Certains personnages ont beau être hauts en
couleur, ni l'histoire ni la manière dont elle est racontée ne m'ont
particulièrement accrochés. Pas très palpitant tout ça quoi.
Et voilà, Laurence revient en France pour ramener le crane à son propriétaire.
Toujours autant de mystére apparaisse, pour enfin nous révéler la vérité et l'histoire de cette Ombre en 1886, et son rapprochement avec le Solitaire.
Une série très bien construite, dont le style de fantastique change par rapport à d'autres séries d'autres auteurs.
Toujours sur l'ile les deux personnes sont poursuivis, car quelqu'un leur a jeté un sort en envoyant une Daiin.
Cuvelier aussi se retrouve confronté avec le passé, et presque tous les objets ont été réunis pour que le Solitaire puisse appareiller.
Un superbe avant dernier tome, qui commence à nous faire comprendre.
Cette fois, Laurence a pris l'avion pour une ile ( Martinique, je crois) et doit y trouver un crane.
Elle fait la connaissance de Cuvelier un descendant d'une personne qui aurait participé à l'équipage du Solitaire.
D'ailleurs elle retrouve l'équipage complet de cet ancien bateau qui était passé par içi.
On retrouive avec plaisir la jeune Laurence qui a été déjà mélée à cette
histoire.
Elle fait la connaissance de Gaston et enssembles vont esseyer de vaincre les
hommes d'Ozbek.
On commence à sombrer dans une folie qui dépasse toute forme de réalitée,
mélangeant présent avec passsé, et cette mystérieuse personne qui se fait
appeler l'Ombre.
Du très bon fantastique.
Dans ce deuxième duo, c'est Gaston un homme qui est atteind par la
malediction dans une autre ville, il essaye d'empécher les personnes de
toucher et retourner un sablier, car une malediction est lié à cet objet.
L'Ombre fait son apparition devant Gaston et lui demande de ramener son
sablier pour le remettre avec le Solitaire.
Dans cette petite ville de France qui se trouve au bord de la mer, d'étranges
phénoménes se produisent.
Il y a des fruits qui se mettent à pourire sans raisons, des personnes meurt
dans d'étranges circonstances comme le scorbut, ainsi que l'ont voit des
apparitions de personnes qui n'appartiennent pas au 21ème siècle.
Quelques élement interessants pour un début. Mais rien qui ne permette de se distinguer du flot de bd actuel. Le dessin est à peu prés satisfaisant, pas fantastique non plus, le scenar assez moyen aussi.. Le deuxiéme tome sera surement un element decisif dans le jugement de cette serie.............
Dans ce dernier album, Lévadé trahie ses alliés, Nicolas et Anais en les livrant à la police.
Pendant se temps, le compte fait la connaissance de Madeleine, dont tous deux veulent une chose qui compte beaucoup pour eux deux, dont un seul pourrat la garder.
L'histoire se termine d'une bonne façon.
Pour dire je trouve que c'est la meilleure série paru chez Glénat.
Au printemps 1871, Adélaide qui à faillit à sa mission se fait tuer.
L'ex commissaire de Paris méne son enquéte sur les différentes perssonnes retrouvés dans un états de démence.
Madeleine est la remplaçante d'Adélaide et la "mort" vient la chercher.
Les prussiens faiblissent fasse aux français qui reprennent les portes de Paris.
De son coté, Lévadé rend une visite à la tante de Nicolas pour mieux comprendre d'ou proviend le tatouage en "V" sur la hanche.
Nicolas retrouve Madeleine, une des anciennes penssionnaires, et Julien est devenu le nouveau "prisonnier" d'Adélaide avec d'étranges écussons acrochés sur le torse.
Cette fois, l'hiver est toujours rude et les gens meurent de froid dans Paris.
Nicolas et Anais ont fait la connaissance d'un comte, le chef des voleurs d'empires, pour se faire admettre, le jeune couple doit passer une épreuve.
Adélaide quand à elle, c'est trouvé un indien comme garde du corps.
La personne d'Adélaide donne un coup de froid dans le dos lorsque l'on voit sa téte.
La mystérieuse Adélaide Favier remue ciel et terre pour retrouver sa bague qui lui a été volé, quitte à retourner chez ses parents.
En meme temps alors que l'hivers 1870 arrive, Nicolas, Anais et Julien partient du pensionnaire, se mettent à voler pour survivre, mais les choses ne vont pas tourner comme ils l'auraient penssé.
Des corps ont étaient retrouvé mort d'une étrange façon dans le penssionnat.
La directrice quant à elle, à du mal à garder l'anonymat sur la penssionnaire étrange vivant à l'étage.
Nicolas est tombé amoureux d'Anais.
Eux deux et d'autres pensionnaires se font enfermer dans l'église par les prussiens qui ont envahient le pensionnat.
Pas encore d'avis pour cette série? Quelle surprise!!
Alors si vous ne la connaissez pas encore, courez vite découvrir ce chef d'oeuvre.
Vink est admirable, tant du point de vue du dessin et des couleurs, sublimes, que du scénario, où il allie les classiques pérégrinations d'un apprenti, à de l'art martial et la vision de la vie quotidienne dans l'Empire du Milieu.
C'est génial!
T1 et 2:
Ce dyptique est excellent! On ne peut pas le lâcher sans l'avoir fini: aventure, ambiance victorienne, attachement pour les personnages, beaux dessins, rien de manque.
Un petit regret qui n'en est pas un pour la fin absolument non conventionnelle: ça fait du bien, sinon, on aurait été déçu, mais quel dommage... Ca appelle une suite!
Qui serait décevante? Peut-être... Alors, imaginons...
Très bonne petite BD.
Ca n'a strictement rien à voir avec Blacksad: propos beaucoup plus, cible différente, ambiance moins travaillée, mais c'est tout de même une BD bien réjouissante que nous avons là!
Une multitude de références à des univers très variés agrémentent la lecture de clins d'oeil, qui même sans eux se suffit à elle-même.
Bref c'est sympa, c'est rigolo!
A la limite, on pourrait se satisfaire de ce seul tome, mais puisqu'une suite est annoncée, je la lirai avec plaisir.
Marv', homme désabusé à la force surhumaine et au caractère bestiale, se
réveille un beau matin avec le cadavre de Goldie, fille d'un soir, dans son lit. Il
décide immédiatement de la venger, persuadé qu'on a voulu lui tendre un
piège à lui. De bastonnades en fusillades, Marv' va connaître bien des
désagréments. Mais après tout, c'est ce qu'il cherchait.
Ce qui marque dans Sin City, c'est la véritable tarte graphique qu'on se prend
de plein fouet. Cette maîtrise du noir et du blanc est unique. Le principe du
damier qu'avait inventé Milton Caniff dans les années 40 est poussé à ses plus
extrêmes possibilités, amené aux frontières de ses effets, magnifié par Franck
Miller. Noir sur blanc, blanc sur noir. Cases comme coupés en deux avec une
tendance dominante sur chaque moitié, images entièrement blanches brisés
par une petite touche de noir, grands appalts de noir contrastés par quelques
tâches de blanc. Miller joue à merveille des ombres et des effets de lumière,
les innovations et créations graphiques sont bluffantes. Chaque case a un tel
niveau de qualité et de travail qu'on se demande combien de temps Miller a-t-
il bien put passer sur ces presque 200 pages. Un travail d'une qualité
irréprochable.
L'ambiance, elle, est extrême, opressante. Les personnages de Miller sont
d'une intensité sans pareil et en deviennent de ce fait assez surréalistes.
Presque chacune des scènes est anthologique, utilisant de superbes effets
graphiques, d'angles de vue et de mise en page (le défonçage de la porte, les
effets de carrelages, le combat contre les policiers, la scène d'introduction...).
En revanche, les innovations graphiques ont tendance à s'essoufler et à avoir
du mal à se renouveler au fur et à mesure qu'on avance dans le livre. On se
demande alors si les 6 autres albums de la série arriveront à maintenir un tel
niveau de surprise et d'éblouissement chez le lecteur que je suis. Autre défaut
: les pensées du personnage principal en "voix off", très présentes sur toute la
longueur de l'album, permettent certes d'instaurer de prime abord une
véritable ambiance, mais se mettent par la suite à devenir de plus en plus
envahissantes, coupent le récit, donnent une impression d'instrospection
surfaite et de surcharge inutile. C'est dommage.
S'il fallait résumer cet avis : uppercut graphique
Du duo Argentin Risso/Trillo, une très belle série, sombre mais belle.
On se retrouve au Brésil, vers les débuts de la colonisation. Fulú, une jeune noire arrachée à sa terre, se retrouve à devoir se soumettre aux désirs des ses différents maîtres. Mais Fulú ne recherche que la liberté et disposé à la donner à l'enfant qu'elle porte.
Fille d'une femme reniée et d'un sorcier/génie, Fulú porte sur son front un poignard, ses yeux voient bien au delà de ce que voient les hommes et possède un corps qui fait perdre la tête à plus d'un. Sous la protection d'un esprit, elle manipule et dresse les hommes contre eux-mêmes pour aboutir avec sa fille, de retour en Afrique.
Il est rond, jaune, vole avec sa queue, fort en gueule et fait des calembours tout le temps. Oui c'est le flagada. Sympathique animal que nous suivons dans cette intégrale.
Le flagada et son compère, Alcide Citrix, auront bien du mal à rester tranquille sur leur île paradisiaque. Degotte et son imagination très riche emmènera nos deux héros à la rencontre d'un drole de martin pêcheur, de Juju le requin, de Yamahonda le dernier soldat japonais, de l'oiseau-moche...
On ne s'ennuit pas un moment.
Une aventure cosmique!!!
N'étant pas à la base un grand fan de comics, j'avoue avoir été très surpris par cette oeuvre au final à la frontière de la BD et des feuilles américaines. Heath Huston, le héros a tout du cow boy solitaire, chargé en plus de quelques défauts typiquement texans. La narration à la journal de bord rend très bien pour les péripéties spatiales pour ce Han Solo comique et perturbé. Je conseille, vraiment...
Il y a des journalistes, en apparence pas doués, des vaisseaux spatiaux et des pirates de l'espace qui vont nous embarquer dans un capharnaüm galactique. Et le tout saupoudré de femmes aux formes pulpeuses.
Voila, bienvenu dans le monde décalé de Léo Roa. C'est aussi bon que les Méta- barons, dans un autre genre. On rit souvent et notre héros fait très bien l'anti-héros. Les méchants sont souvent ridicules voir grotesques.
Bref, de la très bonne lecture pour ceux qui en on marre de certains méta barons tourmentés...
Dans cet avant dernier épisode du second cycle, la tribu canibal ou se trouve Jade, et qui est prise comme la déesse Anakthu, veulent éliminer les blancs de leur terre.
Lord Nelson enfermé se retrouve avec la personne chargé de le retrouver par sa propre femme.
Les deux personnages veulent s'enfuire et pouvoir éliminer Jade.
On retrouve cette fois Kim Nelson en Afrique, qui tiend à rechercher une perle noire qui appartenait à Jade.
Pour cela elle doit faire certaines choses pour avancer dans sa quète, qui tourne par moment dans le fantastique, mais qui ne déplait pas.
Entre temps, elle découvre le cadavre de son descendant Lord Nelson.
Cette fois les auteurs nous emmennent en Afrique.
Le bateau ou se trouvait les Nelson et Jade à été attaqué par une tribu africaine de canibal.
On en apprend d'avantage sur le parcours des trois individus depuis la Turquie jusqu'à l'Afrique.
C'est un peu moins bon que Murena mais cela reste très haut d'une manière différente.
Fin de se premier cycle de Djinn, toujours mené superbement par Dufaux et Mirallès.
Kim toujours acompagné de Malek, ont réussi à sortir du harem, et se dirigent cette fois dans le désert pour y retrouver un trésor caché.
En 1912, les anglais cherchent à savoir se qui est arrivé à plusieurs de leur hommes disparus lors d'une sortie avec Jade, auprès du sultan.
On reconnait le style de Dufaux qui aime méler historique avec une touche de fantastique.
Dans ce troisième épisode, les hommes du sultans sont tous à la recherche de Jade, qui a été enlevé par Lord Nelson, se qui est mauvais pour les arrangements entre le sultan et les anglais.
Quant à elle, Kim doit seplier aux ordres que lui dicte le chef du harem pour sauver son ami Malek.
De plus elle en apprend un peu plus sur son passé.
Lord Nelson est acablé par la disparition de sa femme, et prends des contacts pour la retrouver, qui est devenue une nouvelle du sultan.
En meme temps mais plusieurs années après, Kim doit passer par des épreuves étranges pour pouvoir se permettre de faire la rencontre d'une perssonne importante.
Une suite très agréable.
L'histoire de cette série, se passe de deux façon, la première celle se passant en 1912, et la seconde à notre époque.
Les deux histoires se situent au Moyent Orient, aux alentours d'Istambul.
Kim Nelson une jeune anglaise essaye de remonter les traces de sa grand mère, Jade, qui était en 1912 la favorite du sultan.
Dans cette meme époque, Lord Nelson et sa femme font la connaissance pour la première fois du sultan et de Jade.
Un dessin joli qui permet d'apprécier la série.
Un peintre dans la débine finit par mourir de froid dans une rue parisienne. Le hasard veut que ses tableaux considérés jusque là comme des croûtes deviennent le must branché du marché de l'art. Et c'est son fantôme qui va contempler tout cela.
L'histoire est assez originale, encore que le thème de l'artiste maudit qui devient célèbre à sa mort soit assez rebattu, mais elle souffre d'une certaine langueur. Sur un pareil sujet, on aurait aimé quelque chose de plus incisif, de plus dérangeant. On reste dans le gentillet.
C'est dommage car le dessin de Denis est toujours aussi fort.
Je n'avais pas du tout aimé le premier tome et n'en comprenais pas l'intérêt. Aujourd'hui je viens de le relire, ainsi que les tomes 2 et 3 : je viens d'apprécier un peu tadivement cette série et corriger ma première impression. L'histoire très authentique, très émouvante, beaucoup de sensibilité s'y dégage et le dessin l'accomagne merveilleusement. Je vous la recommande vivement.
Toto c'est mon héros.
C'est beau et coloré. Magnifique album ou les couleurs vous sautent à la figure. On sent l'inspiration de l'art primitif australien dans cette BD. Il y a même 2 pages d'art arborigène ou l'on retrouve Toto au pays des rêves."Tjukurpa", le temps des rêves donnant une explication au monde....
Gentillette histoire qui réussit à vous transporter, en compagnie de Toto, dans les mystères de la forêt australienne.
Lue et relue pour mon bonheur.
La fin de cette trilogie n'est pas complètement à la hauteur des deux premiers albums.
Le double jeu de certains personnages était assez prévisibles, quant à ceux qui sont univoques, ils paraissent aussi un peu niais.
Une déception donc pour une série qui méritait tout de même un meilleur final.
L'aventure prend une tonalité policière avec l'enlèvement de la petite Elsa. On sait très rapidement qui et où ? On apprend aussi le pourquoi ? Reste à connaître le comment ?
C'est pas mal fait, très classique mais très agréable à l'oeil, il faut dire que les dessins de Michel Faure y sont pour beaucoup.
Un album très original à défaut d'être passionnant.
Une petite fille de 8 nas, Elsa, a décidé de rationner ses mots -150 un jours, 100 le lendemain- depuis la disparition de sa mère.
Elle ne communique désormais avec le monde extérieur que par des dessins. Michel Faure sert remarquablement cette histoire intrigante.
Une série par le meme auteur que les Déesses, qui cette fois nous entraine avec Hidalgo un jeune qui vas se retrouver embarquer dans une sacrée histoire.
L'histoire est faite de façon à se que un paysan se fait raconter l'histoire d'Hidalgo par son maitre.
Les desssins sont très moyens, mais l'histoire reste qu'en meme interrressante.
Dernier album en date, ou cette fois, Le gladiateur Massam, le protégé de Néron, est à la recherche de Balba ainsi que de la fille qui avait osé défier l'empereur.
Néron à le projet de construire une nouvelle Rome.
Lucius Muréna, Balba et Evix partent de Rome pour rejoindre la Gaule, et éspèrent retrouver la jeune Acté.
Les passages dans la neige sont superbements réussi, en plus cela à le mérite de nous changer des décors habituels dee Rome.
Dufaux et Delaby ont réussi une superbe série historique.
Bravo.
Si on vient de dire du bien de Michel Deligne, on ne saurait en dire autant des Editions Dupuis sur cette série de rééditions.
Pourquoi n'ont-elles pas respecté l'ordre de parution dans Spirou ?
Mystère et boule de gomme !
Cela étant si vous voulez découvrir cette sympathique série, cette réédition des 13 albums en couleurs est encore le moyen le moins coûteux de le faire !
Les éditions Dupuis avaient commencé à publier les aventures de Marc Dacier au début des années 60. Mais après 6 albums, elles avaient décidé de jeter l'éponge, les ventes s'avérant décevantes.
Une dizaine d'année plus tard, Michel Deligne dont on ne soulignera jamais assez la qualité du travail éditorial avait sorti en N&B les 7 histoires jamais parues en album.
Malgré un prix supérieur à 4 fois le prix habituel, la série s'était vendue assez correctement (si mes infos sont bonnes, le tirage était de 5.000 exemplaires).
Du coup Dupuis pouvait ressortir sans risque l'intégralité de la série.
Business is business !
Tout d'abors une petite reflexion sur la qualité du dessin qui s'est vraiment amélioré sur les quatres premiers.
Cette fois l'histoire reprend en l'an 62 après JC, Néron à maintenant l'age de 25 ans, alors qui l'est empereur depuis l'age de 17 ans.
Néron participe à une course de chars ou il se voit humilié.
Muréna et Acté, l'ancienne compagne de Néron, se sont raprochés plus intimements.
Cet fois les auteurs nous avance l'histoire de 4 ans pour se retrouver en l'an 58.
Lucius Muréna qui avait été banni de Rome, a pu etre réintégré, mais cela vas entrainer le combat entre Draxius, le protégé d'Agrippine, et Balba, le protégé de Britanicus, pour permettre de venger la mort de la mère de Muréna.
En meme temps Néron fait la connaissance pour la première fois de la sublimissime Poppée.
J'ai adoré le nouvel acoutrement du gladiateur Massam.
Cette fois ci c'est une jeune femme qui vient d'entre les morts qui va foutre le b... dans un couple en déliquescence et dont le mari est flic et enquête sur le suicide d'un patron de gang.
C'est aussi passionnant qu'un concours de yoyo. Le seul vrai mérite de cette série réside dans le dessin. Le fait que les scénarii soient si convenus pare un dessin -correct mais sans plus- de vertus.
Sans doute le meilleur album de la série, enfin et plus exactement le moins mauvais. Il est passable, c'est tout.
Cette fois, la galerie de tarés s'est donnée rendez-vous dans le local de surveillance d'un immense parking. Cela dit c'est un parking très moderne car tout est téléphoné.
Ainsi les gardiens n'aiment pas descendre au 3ème sous sol et pourquoi cela ? Vous allez répondre, ils n'ont (les auteurs !) quand même pas osé faire aussi niais et prévisible ? Eh si !!!
Une excellente idée de départ : un animateur de nuit à la radio reçoit les confidences de ses auditeurs, leurs témoignages servent de trame à une histoire.
Dans celle-ci une jeune fille, Samantha, appelle pour dire qu'elle a peur de son père qui est boucher aux abattoirs de la ville. La mère de Sam est, elle, clouée sur un lit depuis qu'elle s'est faite agréssée par un cambrioleur. Dans le même temps un serial killer assassine des prostituées.
Trame à peine éculée comme on peut le voir. Ce qui est encore plus ridicule, c'est que cette succession de clichés donnent la clé du mystère (qui n'en a d'ailleurs jamais été un tant on s'en moque allègrement !).
Même un gamin sortant du primaire n'aurait pas osé faire aussi rabâché...
Dans ce troisième épisode, Néron est devenu beancoups plus puissant qu'au début, sa mère Agippine, qui le commandait, n'a plus d'effet sur lui.
Les différentes pistes pouvants menées aux assassins de Lolia, se voient couper.
Les deux jeunes amis Muréna et Néron se voient devenir des énemis.
Cette série à le mérite aussi de nous montrer des scénes de combats, sanglantes mais jolies, de gladiateurs.
Dans cette suite, Néron a pu accéder au pouvoir, et est devenu empeureur de Rome avec l'aide de sa mère.
Lucius Muréna, quant à lui, ne pense qu'à une chose, retrouver les assassins de sa mère.
Le jeune Britanicus essaye, malgrés tout, de prouver sa succéssion auprès du sénat et de Néron.
A cette époque, il se passait beaucoups de trahisons et d'empoisonnements, très bien décrites içi.
Cette série est très agréable à lire. Lire un épisode, c'est une première gorgée de bière comme dirait l'autre.
Une histoire simple de gens simples avec la complexité ordinaire qui va avec la vie. "Indispensable" serait prétentieux, mais "à lire" : sans hésitation.
Quelques épisodes de plus siouplait...
Attention chef d'oeuvre.
L'histoire commence en l'an 54, à Rome.
L'empereur Claude qui gouverne veut mettre son fils Britanicus à sa succession. Seulement, sa femme Agrippine n'entends pas de la meme façon et juge que seul son fils Néron en est digne.
Le jeune Néron fait la connaissance pour la première fois de Lucius Muréna, un jeune patricien.
Des dessins vraiments superbes, ou les décors sont vraiments bien réalisés.
Pour trouver l'oiseau du temps, Bragon et Pelisse doivent revenir du temple de l'oubli où ils découvriront sa cachette. Et c'est là que les pouvoirs du fourreux se révèleront.
La quête continue et le bestiaire s'agrandit, pour notre plus grand plaisir.
Début de la série mythique parmi les fondatrices de la fantasy. Où l'on voit Pelisse provoquer Bragon pour partir à la requête de Mara à la recherche de la conque. Le bestiaire et les protagonistes se mettent en place, le dessin n'est pas encore dans sa plénitude et l'histoire amusante est classique, mais on plonge avec intérêt dans cette saga non dépourvue d'humour.
Les innommables partent en mission à Bornéo à la recherche d'un bombardier disparu et se retrouvent dans la jungle au prise avec des déserteurs et des soldats japonais affamés.
De l'humour pas très drôle, un dessin pas affreux mais pas très lisible, à la base cette histoire absurde pourrait être distrayante, mais il manque un petit quelque chose pour que la mayonnaise prenne, et au final c'est très moyen.
Ce troisième tome confirme le génie de la série et nous emmène aux côtés de Carmen dans un univers où l'argent et le pouvoir règnent sans partage. Notre héroïne, habilement dessinée et mise en couleur, est belle à croquer mais sans complaisance. Voyager en sa compagnie devient un réel plaisir. Les planches sont toujours superbes et le scénario sent le très costaud. Carmen va-t-elle se sortir du piège vers lequel elle semble se diriger ? Qui est finalement ce spectre qu'elle cotoie sans le connaitre ? Autant de questions qui font de l'exil un tremplin exaltant qui envoie Carmen et son équipe chercher des réponses dans l'espace et... le prochain épisode !