Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 30/11/2024 à 07:34:36 en 0.3876 sec
Premier épisode signé Corteggiano qui a la lourde charge de remplacer Charlier mais aussi de terminer une histoire qu'il n'a pas entamée.
Dans ce contexte on dira qu'il s'en tire plutôt pas mal, tant la succession semblait lourde.
Point positif, il reprend en le développant le personnage du sergent Grayson qu'avait créé Charlier dans l'album précédent. Pour la petite histoire Grayson vient du Nouveau-Mexique, ce qui fait répondre à Blueberry (via Charlier) :
"Le pays des bouffeurs de piments ? Aucune chance pour que j'aille un jour là-bas !"
Dernière aventure signée J-M Charlier avec une jolie dédicace en forme d'adieu (au moins dans la version originale). On applaudit donc une dernière fois le brio de l'Alexandre Dumas de la BD.
Si le plan de Blueberry est très astucieux, voire diabolique, il est moins prenant côté lecture. C'est plaisant certes mais Charlier avait fait mieux. Néanmoins comme l'homme avait du talent et même du génie, l'ensemble reste à un niveau supérieur à la moyenne générale des BD.
Premier album de la longue série de Jacques Martin. Une vraie bd d'aventure historique comme on en sait plus beaucoup en faire aujourd'hui ! Aucun temps mort, on ne s'ennuie jamais.
A travers ce jeune esclave qu'est Alix, le lecteur voyage de l'Orient jusqu'à l'Italie via l'île de Rhodes. D'un point de vue historique, Jacques Martin souligne l'opposition pour le pouvoir entre les deux consuls César et Pompée après l'assassinat du triumvir Crassus.
Le dessin, lui, n'est pas encore stabilisé mais reste très agréable.
La loge des assassins clot le dyptique Les comptes secrets du Vatican. L'intrigue y est toujours intéressante mais perd de sa force au fur et à mesure que les secrets se dévoilent et réduisent le mystère entrevu à quelques intégristes mégalomanes. Bien que le dénouement soit assez prévisible, l'ensemble reste malgé tout agréable à lire.
Là il faut m'expliqur...
En 2000 j'ai acheté "Le Nouveau rêve", premier tome de "Après l'incal" (scenario de Jodo et dessin de Moebius). 8 ans que j'attend la suite et rien...
Aujourd'hui je me procure ce 1er tome de Final incal et Ho surpirse, c'est le même scénario à quelque nuance prêt...
Jodo m'a fait rêver dans le passé, mais il commence vraiment à nous prendre pour des c.... Depuis quelques années, il est clair qu'il est en manque d'inspiration et il nous recuit ses chef d'oeuvre (cf Le monde d' Alef Thau)...
Déçu et dégouté.
Tout de même un ppint positif: Les dessins et la couleur de Landrönn qui apporte une vrai renouveau dans ce "remake"...
Les années 80 de Jodo me manque...
Dans cette série, je dirais que se sont les trois premiers tomes qui sont les meilleurs.
Tout d'abord je trouve que l'histoire est bien mieux, plus construite, il y a un plus je ne sais quoi qui fait que je les préfére. surement parce que l'on fait la connaissance de pas mal de personnages clés pour la mission, que Cailletau n'a pas pris soins de faire suivre dans les suivants, sauf pour Honey.
que dire a par: chef d'oeuvre! pas tout a fait mais bon...
sensationnal spiderman: episode qui retrace le parcours de spiderman! du tout debut a la toute fin... note 7/10
amazing spiderman: numéro qui montre un spiderman un peu depassé! et trés violent! mais les dessins ne sont pas a la hauteur... note 6/10
friendly spiderman: super episode avec un spiderman DETRUIT!!!! trés bon numéro note 7/10
thunderbolts: episodes violent mais sans plus... note 6/10
Quand je suis allé à ma librairie, j'ai decouvert avec curiosité cette BD.
En l'ouvrant, quel horreur, le dessin est très moche, mais se n'est pas cela qui m'a le plus marqué.
C'est le fait qu'un homme puisse se jeter par dessus une voiture et en suite se jeter par terrre à plat ventre, rien d'étrange me diriez vous, sauf que l'homme en question est tout nu, et sans égratinures se qui est complétement impossible, penssez vous, cela doit faire assez mal là ou je pense.
Sans parler d'autres "exploits" suréalistes vraiment mauvais.
A vraiment éviter.
Autant L'espace d'un soir étant excellent, autant j'ai été extrêmement décue par cet album. Il ne tient pas du tout le niveau de L'espace d'un soir.
L'idée de départ, jouant sur un désaccord entre le narrateur et le personnage principal pour aller vers des questions existentielles sur le rôle du destin et celui du libre-arbitre, est bonne. Par contre, le traitement est répétitif dans la forme, sans être drôle, et l'histoire un peu vide, et paraît ainsi superficielle.
Quel dommage!
Un point cependant positif sur le dessin, qui est toujours aussi adapté au contexte et séduit.
L'espace d'un soir est vraiment une bonne BD:
découpage très original servant un scénario à lectures multiples tout aussi original. Le dessin est très adapté, les couleurs sympa...
bref, merci pour cet album!! Je ne connaissais pas ce duo d'auteurs avant, eh bien c'est super!
Bonjour,
Mon avis sur la série est très négatif: ok, beltran maîtrise bien le dessin qui parfois est réellement impressionnant (et souvent trop simplifé à mon goût).
Mais le scénario....... grossier (aucune finesse), classique, attendu. Ca n'en est même pas drôle.
Bref, à éviter. D'autres séries de Jodorowski, plus anciennes, sont incomparativement mieux.
C'était il y a ...des années.
Je découvrais le monde de la BD avec ces petit-formats qu'on trouvait facilement chez les vendeurs de journaux.
Ouais petit format: facile à mettre dans mes poches, j'avais des culottes courtes.
Histoires courtes sur 4 cases facile à comprendre même pour un môme comme moi qui rêvait à plein de chose sauf au sujet principal...
Pif. Tu es mon héros et si il n'en reste qu'un, tu resteras toujours le seul dans mon coeur. C'est dit.
Ha ha haa, nostalgie quand tu nous tiens...
Deuxième volet de la saga Quantrill.
Là encore maints épisodes de l'album sont authentiques, enfin presque, dans la mesure où Charlier arrange un peu l'ordonnancement des choses.
Chronologiquement cet album raconte aussi le deuxième amour de Blueberry. Après Harriett, la petite fiancée de Mike Donovan, voici Nugget. Une sudiste elle aussi. Mais elle connaîtra le même sort que la précédente.
Belle histoire, remarquablement documentée. Du grand art.
Colin Wilson remplace désormais Gir au dessin; c'est en fait une fausse bonne idée. Bonne idée dans la mesure où le dessin de Wilson fait partie de "l'école" giraldienne, mauvaise dans la mesure où l'on est alors tenté de faire des comparaisons.
Quoiqu'il en soit Charlier part de véritables faits historiques avec des personnages non moins réels pour tisser une trame dont il a le secret.
Muté au Missouri, à la frontière du Kansas, Blueberry est chargé par le colonel Totten, personne on ne peu plus réel, d'aller traquer un hors-la-loi sanguinaire qui pour couvrir ses méfaits se fait passer pour un rebelle sudiste. Là encore le personnage de Quantrill est authentique.
Bref, voilà notre Mike parti à la recherche de Quantrill et ses hommes, plus de 400, dans les monts Ozark.
Excellente BD dans laquelle Wilson s'en tire plutôt bien.
Fin des aventures signées Charlier/Gir sur la jeunesse de Blueberry. Dans l'album suivant, conçu comme une entité et non pas comme une addition d'histoires qui se suivent, c'est Wilson qui sera aux pinceaux.
Les deux premières histoires de ce "Cavalier Bleu" se déroulent pendant la guerre de Sécession et expliquent comment et surtout pourquoi le général Dodge, un Nordiste pourtant, lui casse le nez.
La dernière histoire, n'a rien à avoir avec la Jeunesse de Blueberry puisqu'elle se passe après sa mutation à Fort Navajo. Elle n'a d'ailleurs pas grand intérêt.
En 1967, Dargaud lance une nouvelle revue trimestrielle, Super Pocket Pilote, qui comme son nom l'indique était au format de poche. On y retrouve dans cette revue les héros de l'hebdomadaire mais dans de courtes histoires complètes (alors que celle de l'hebdo sont à suivre).
La première histoire de Blueberry, Tonerre dans la Sierra, est une histoire assez quelconque dans laquelle Mike poursuit des hors la loi.
La seconde livraison est une préquelle, elle parle de Blueberry quand il s'appelait encore Mike Steve Donovan.
Les 3 premières histoires reprises dans le tome 1 se suivent chronologiquement mais sont en fait indépendantes.
Celles de ce deuxième tome sont reliées entre elles. La première histoire est d'ailleurs la suite directe de la dernière du précédent volume. Ainsi Charlier conçoit désormais la jeunesse de Blueberry comme un véritable cycle et non plus comme une kyrielle d'histoires indépendantes.
En lançant Blueberry dans Pilote, Charlier avait opté pour le côté "mauvais garçon", joueur, buveur, tricheur, menteur. Ce qui était assez gonflé pour l'époque qui avait plutôt l'habitude d'offrir des héros assez lisses.
Mais il avait fait de son héros un Sudiste parti se battre avec les Nordistes, ce qui était positif.
Dans cet album-ci il récidive en la matière. Il fait de Blueberry un jeune Sudiste esclavagiste et borné que seuls les évènements vont faire progressivement changer d'avis.
C'est noir.
Un noir et blanc traduisant bien l'ambiance de cette intégrale. Oui tout est noir, l'histoire d'une apprentie sorcière chez son oncle Aloysieus Crumrin découvrant un nouveau cadre à ses tourments de jeune fille....
Elle apprendra très vite le bon maléfice pour survivre dans ce petit monde pas très tranquille du mystère de la nuit.
C'est beau, les monstres de Ted Naifeh sont magnifiquement dessinés. Ils sont attachants, même les méchants.
Une intégrale magnifiquement dessinée qui nous emportent facilement dans le coté obscure de la nuit.
A lire, si vous voulez rencontrer le monstre de vos cauchemars d'enfance....
Marseille, Un groupe de jeunes aimant faire la Teuf et vivant de petits bizness illégaux, va tomber dans un règlement de compte qui va vite les dépasser; Cette bd dont le scenario n' est peut-être pas très original, nous montre une jeunesse de notre temps, ainsi que le milieu malsain et violent des "mafieux". L'histoire est tout à fait realiste , Les dessins sont magnifiques et le story board très bien réalisé. Bravo !!!!!!
Curieux album dont l'histoire n'est pas très originale mais qui est intéressante, dont les dessins sont assez moyens mais prenants et dont les couleurs sont tout à fait quelconques.
Pourtant cette histoire d'adorateurs de Kali qui se baladent à Londres dans les années 30 pour récupérer des statuettes sacrées se lit sans trop de déplaisir.
A l'arrivée une fin qui n'en est pas une car elle appelait inévitablement une suite qui évidemment n'est jamais sortie.
Autre petit détail, le logo d'Infogrammes sur la 4ème de couv'. Une adaptation BD d'un jeu ou l'inverse ?
Et ben dis donc, apparement je suis un des rare à ne pas avoir aprécier cet album, le dessin est assez correct, d'accords la dessus, en revanche niveau scénario, mettre en scéne des animaux à la place des hommes est une bonne chose, mais hélas je n'acroche pas du tout à l'histoire.
Tant pis, je passe mon chemin.
Globalement dans l'enssemble une série sympathique qui se laisse lire ou un jeune homme, situé à Paris, lui arrive plusieurs péripéties.
Le plus marrant est qu'il se prénome comme moi, et son physique est proche du mien sur certains points.
La seule chose différente, est le solex qu'il se trimbale partout ou il vas.
Diptyque d'espionnage et de vacances grecques. Un trio d'amis tiennent un hôtel à Rhodes : apéro et farniente. Christian s'est fait larguer, Nicos est plus doué pour la sieste que pour bosser, heureusement que la brave Ponette fait tourner la baraque. En parallèle au Tibet, un bonze s'échappe d'un monastère sous surveillance chinoise; il a une mission à accomplir... Le moine débarque à Rhodes et s'installe à l'hôtel de nos nouveaux amis, il émet le souhait de rencontrer l'ex de Christian... Dans l'ombre, les services secrets chinois et anglais surveillent la situation.
L'histoire sans être très originale est bien pensée (je ne raconte pas la chute), c'est plutôt sa construction qui donne à l'ensemble une drôle d'impression. Boisset a décidé de laisser le lecteur dans le mystère et amène son récit par petits morceaux (alternance entre un Tibet ultra-violent et Rhodes la sereine, le yin et le yang quoi) mais trop de mystère tue le mystère. Je me suis un peu perdu en conjectures au milieu de tous ces éléments éparses. Les personnages ne nous aide pas beaucoup car ils ne sortent pas vraiment des rôles dont on les a affublés (le comique, l'angoissé et la brave Ponette). Résultat à partir de la moitié du second tome on a droit à une liste de révélations nécessaire pour boucler l'histoire. Et encore, je suis resté sur ma fin, il reste beaucoup de questions sans réponses : pourquoi Rhodes (l'île elle-même ne joue aucun rôle, l'histoire aurait pû se passe n'importe où ailleurs), pourquoi les service secret anglais, quid de l'ex et qu'arrive-t-il aux chinois ?
Heureusement, il y a le dessin de Béhé, j'aime beaucoup Béhé :wink:. Cet auteur a su développer un langage graphique très personnel très beau et très efficace : mise en page recherchée et un trait nerveux toujours très lisible. Le tout est associé à une très belle mise en couleur.
Cette BD me fait penser à ces bandes-annonces de films alléchantes remplies d'action, de belles images et de répliques cinglantes... ça fait envie mais à la fin on se retrouve déçu par le film en entier. Tous les éléments d'une bonne histoire sont présents mais petit à petit le projet s'enlise. Reste le dessin de Béhé...
histoire 3/10, dessin 8/10
Suite à l'arrestation de ses amis masculins et au décès, réel cette fois, de son père Augustin prend possession de la demeure familiale pour y installer un phalanstère.
Progressivement les amis reviennent mais le quotidien, les rivalités amoureuses, la débine et la flemmardise de certains auront raison de cette belle idée communautaire.
Devant cet échec Augustin décide de retenter l'aventure en Argentine mais cela sera dans un dernier arrachement.
Fin d'un rêve ou début d'une nouvelle utopie ?
Moins d'action et plus de désenchantement dans cet ultime volet d'une bien belle trilogie. Du coup l'album m'a paru un peu moins solide que les deux premiers.
Aimé Grandjean a été condamné à mort pour l'attentat du café Richez. Augustin ne pense qu'à venger son compagnon. Si le premier attentat se termine en pantalonnade, le second provoque mort d'homme.
Mais la police veille et pourrait bien opérer un gigantesque coup de filet.
Deuxième volet de cette trilogie avec un tempo toujours aussi soutenu.
Fils d'un grand bourgeois de province, Augustin se dispute avec son père et le tue. Il part se cacher à Paris et devient ami avec des ouvriers comme il l'est devenu lui-même.
Très vite les discussions roulent sur l'anarchie et la réappropriation du capital (le vol !) et au delà, il y a la tentation des attentats...
Superbe album situé dans le Paris des années 1890. Sans être génial le scénario se lit bien et les dessins sont sympathiques même si là encore on a pu voir mieux.
En tout cas l'ensemble est très agréable.
C'est beau. C'est magnifique. C'est sublime.
Avec un scénario en béton qui nous emporte dans les landes des Monts d'Arrée et sur les bords de la baie de Douarnenez à la rencontre des génies des lieux.
Oui chef d’œuvre, car cette BD nous plonge au plus profond des mythes. Réveillant en nous la curiosité des enfants face aux grandes histoires de l'humanité... Deschamps et Auclair savent passionner les lecteurs.
Oui chef d’œuvre, grâce à ce dessin apaisant calme serein, d'un trait précis collant parfaitement au scénario.
Oui, chef d’œuvre rien que pour la force de cet album d'être capable de ne pas s'oublier. Lu et relu, il est toujours présent dans un coin de ma mémoire, se rappelant à lui lors d'une actualité traitant des minorités bafouées...
Nombreux bretons sont restés très sensibles à cette histoire magique. D'ailleurs bretons ou pas c'est une simple histoire universelle nous racontant l'aventure des faibles devant un monde de brute avançant sans se retourner.
Une tragédie à lire et à relire.
C'est ma tante qui ma fait découvrir cette série, lorsqu'elle sel'est procuré.
Je dois dire que d'une part les dessins de Tome qi me rapelle Spirou et Fantasio, a été plutot agréable a retrouver içi.
Niveau scénario, j'ai trouvé bien le fait que dans les trois tomes il y a une sorte de suite parrallèle, plutot réussis.
Un bon polar.
Bon ben, là je dois avouer que j'ai été plutot conquis par se manga, c'est d'ailleurs, le seul, pour le moment, que j'ai pu apprécier corectement.
Le desssin est très bien fait, et l'histoire est captivante.
Pour moi ça restera le manga par exellence, et dieu sait que je n'en suis pas fan en général.
Une rare série que j'ai apprécié et surtout que j'ai lu en presque intégralité.
L'inconvénient c'est qu'il n'y a aucune fin.
Sinon, l'histoire est assez bien, des elfes qui doivent vivrent dans un monde peuplé d'hommes, de trolls et autes elfes volants, et dont ils vont devoir soit cohabiter ou esseyer de se faire entendre.
Le dessin est plutot simpas aussi.
C'est le genre de récit que j'apprécie : Julie, qui est en prison, se raconte et nous explique son parcours pour en arriver à son procès.
On ne sait pas si c'est l'histoire qu'elle raconte lors du procès ou si elle évoque ses souvenirs lorsqu'elle est dans sa cellule, mais peu importe, l'alternance entre le présent et le passé est bien dosée, le dessin de Grenson convient parfaitement et même si on est rassasié par sa lecture, ce tome 1 nous laisse dans l'attente d'un second volet prometteur.
7 guerrières sont choisies pour protéger un prince lors d'un périple qui doit le sauver et lui permettre de perpétuer sa lignée.
Histoire classique, comme la plupart des albums de la série mais le dessin n'arrive pas à mettre en valeur et à remonter le ton de celle-ci.
La révélation finale reste très prévisible et n'a rien de fracassant.
Mike a franchi le Rio Grande et se trouve donc au Mexique qui est en pleine guerre civile également.
La précieuse mitrailleuse est donc désormais convoitée par les sudistes, les juaristes, les Français (eh oui n'oublions pas notre expédition mexicaine, Camerone c'était là-bas) et bien sûr les nordistes.
Tout ceci rend l'histoire sinon un peu embrouillée, du moins un peu pataude car tout le monde trahit tout le monde.
La conclusion finale est plutôt sympa.
A noter que Snake, le grand méchant, fait inévitablement penser au héros de comics Jonah Hex.
Gatling, l'inventeur de la mitrailleuse (les Français appelaient cela à l'époque un canon à balles) a été capturé par les sudistes. Cette arme révolutionnaire pourrait bien inverser le cours de la guerre (nous sommes en 1864).
Blueberry et ses acolytes sont chargés de récupérer le savant et s'enfoncent dans le sud texan ...
Un bon petit album sous forme de diptyque qui se laisse lire plaisamment.
Trois petites histoires en N&B situées dans le Finistère. Les différentes époques ne sont pas précisées, mais les costumes des gardes mobiles de la 3ème histoire sont ceux des années 20/30, les deux premières se déroulant vraisemblablement à la fin du 19ème siècle.
Une pure réussite que ces trois nouvelles qui auraient pu être écrites par Maupassant s'il avait été breton.
Ce livre regroupe des strips ayant pour thème principal ou secondaire l'Amérique, et le spectre est large. Ce qui frappe au fil de la lecture, c'est la liberté totale de l'auteur. Ce qu'il veut dessiner est dessiné, ce qu'il veut dire est dit. Aucun tabou, aucune retenue n'émanent des dessins et des textes. Et l'on retrouve toujours le "misanthrope Crumb", le bougon, celui qui n'aime rien ou comme il le dit si bien "pas grand chose" dans le monde moderne. bref, une très bonne lecture en somme.
Une variation inspirée du film de John Boorman, La forêt d'émeraude. Mais autant ce film était enthousiasmant autant cet album ne vole pas haut.
L'esprit boy scout, c'est bien gentil, dénoncer les abus de notre société actuelle, c'est bien aussi mais je n'ai pas besoin de Jacques Martin pour être informé.
J'attends de ce grand auteur qu'il me mitonne des aventures comme il a su autrefois en faire. Qu'il distille un message en plus c'est bien mais ce n'est pas là que je l'attends.
Moyen quand même grâce aux dessins de Simon malgré une couverture d'un ridicule achevé (le penseur de Rodin en pleine jungle, et puis quoi encore !)
C'est un des meilleurs de la série avec ça suite.
Déjà le dessin de Janry est jolie, et ensuite j'ai bien aimé cette histoire de Spirou et Fantasio.
C'est l'inverse des premiers lançé par Franquin dont j'ai un peu moins aimé, sinon la série globalement est plutot pas mal, sauf depuis que Tome et Janry ont arrétés la série.
C'est bien de vouloir faire part de certaines histoires des pays du moyent orient dont on ne connait pas ou peu les contes et autres comme l'indique l'auteur, mais cela n'empéche pas que les dessins ne me plaisent pas, ils n'attirent pas l'oeil donc se n'est pas terrible, bien sur se n'est que mon point de vue.
Ben dit donc quel est cette nouvelle série que Corbeyran nous offre là?
Es ce une rigolade?
Apparement non, le dessin est vraiment loupé, le personnage principal fait peur à voire tellement il est raté.
J'ai jeté un coup d'oeil au second tome, c'est vraie il est un peut mieux réussit, mais il aurait mieux valut que se soit des le premier.
Un nouveau dessinateur qui change -un peu- le style de Lefranc. Pour un coup d'essai ce n'est pas mal mais à mon avis un ton en dessous de Chaillet.
Cette fois-ci nous avons droit à un séjour au Cambodge puisque Lefranc est mandaté par une richissime femme d'affaires, Barbara Trelaunay, pour recherché son fils disparu dans la jungle.
Au global pas de quoi s'enthousiasmer mais pas de quoi non plus crier haro sur le baudet.
Dernier album de Lefranc dessiné par Chaillet et c'est bien dommage tant sa qualité de dessin collait remarquablement à cet univers.
Le scénar est un peu tarabiscoté puisqu'on voit Axel Borg barboter le Spirit of Saint Louis, le fameux avion de Lindbergh.
Par dessus le marché nous avons droit à une histoire de mini bombe atomique.
On ne compte plus le nombre d'albums de cette série où nous avons droit à des menaces atomiques.
Il faudrait quand même un jour changer de registre !
C'est une histoire très interressante, ou une jeune personne Leia se rend dans une basse en Antarctique pour permettre de surveiller le réchaufement de la planéte.
Un beau sujet que nous explique içi Corbeyran, meme si réel, malheureusement.
Le dessin quant à lui est assez réussit et j'adore les passages ou l'on voit les icebergs.
J'ai était étonné de la différence de dessin, car la série mère Imago Mundi n'est vraiment pas réussit.
Ca a le goût comique, la saveur du léger et la futilité d'un artiste maudit.
Que neni, camarades.
Ici Larcenet nous raconte la guerre avec comme héros Van Gogh de son prénom Vincent. Je pensais rire grace à cette BD en me moquant de tout (C'est hélas la mode... ) et là, paf je ris jaune voir jaune vomi.
Très beau moment de lecture sur la débilité de la guerre. Avec un moment poétique avec les engoulevents... Ouais c'est bizarre ce rapport guerre/poésie mais... lisez vous ne serez pas déçu.
Etonnant, voir poétiquement perturbant...
A lire jusqu'à plus soif.
Une histoire de Grand Prix trafiqué. Cela nous vaut de voir de belles voitures, c'est déjà ça. Comme cela se passe en Italie, les paysages et décors sont réussis (merci M. Chaillet !).
Ce qui est navrant c'est le scénario, très convenu, n'est pas Michel Vaillant (celui de la grande époque bien sûr !) qui veut.
C'est donc assez poussif et pour une histoire de voitures de sport avouez que c'est ballot !
Nouvelle rencontre entre Borg et Lefranc sur un mode écolo gnangnan. Les gentils sont très gentils et les méchants sont très méchants et surtout sans scrupule.
Martin surfe sur ce qui est déjà à l'époque dans l'air du temps : les méfaits de la pollution.
Mais les bons sentiments ne font pas nécessairement une bonne histoire même quand elle est servie par d'excellents dessins.
Le temps des lumières de Gordon et Harrison
Un graphisme halluciné pour un scénario de folie... une virée en enfer ! C'est vraiment du très bon, un des meilleurs albums que j'ai lus depuis un moment.
Un must à lire absolument pour qui aime la SF infernale... d'autant que c'est carrément cynique !!!!
Le père de JacQues Martin était aviateur à l'époque où voler était encore un exploit et une aventure. C'était également un métier fort dangereux et son père y perdra d'ailleurs la vie.
Poursuivant l'approche des chromos Tintin et des voyages d'Alix, Martin propose les voyages de Lefranc, lesquels voyages se focalisent en fait sur les débuts de l'aviation (on a même droit à Icare).
Un album de références historiquers fort intéressant mais pas une bande dessinée.
Un album totalement ridicule que même les dessins de Chaillet ne peuvent sauver du naufrage.
Seuls les purs fans de Martin pourront y trouver leur compte; mais ni les amateurs de BD d'aventures, ni ceux de SF n'y retrouveront leurs petits.
L'un des albums les plus faibles de la série, sinon le plus faible !
En situant son histoire dans la république fictive du San Larco, Martin lorgne bien sûr du côté de Monaco, place financière off shore aux relents parfois sulfureux. On ne peut donc pas reprocher à Martin de ne pas coller, voire d'anticiper sur la réalité, ni de manquer de documentation.
Toutefois, il se passe pour Lefranc la même chose que pour Alix. Ce qui les histoires gagnent en véracité, elles le perdent en adrénaline.
C'est dommage, autant plus que le dessin de Chaillet est une fois encore parfait.
Un très bon album mystérieux à souhait dans lequel Lefranc part à la recherche de son père disparu bien des années auparavant.
Comment ne pas voir dans cette aventure la propre histoire de Jacques Martin qui a perdu son père almors qu'il était encore enfant.
Cet aspect ajoute un plus incontestable à un album qui avait déjà pas d'atouts dans son jeu.
Faire de Lefranc une sorte de Rambo qui vole au secours de Jeanjean retenu comme otage est d'un ridicule achevé.
Lorsque Geluck dessine son Chat en tutu, cela nous fait rire. Imaginer Lefranc en battle dress nous ferait plutôt pleurer.
Seul le métiers des auteurs (scénariste + dessinateur) est en mesure d'élever cet album à la moyenne.
Gilles Chaillet s'est incontestablement approprié le style Martin. Ses dessins sont grandioses et ses couleurs magnifiques.
Martin a décidé de faire de Lefranc un héros aux présence régulière; c'est a priori une bonne nouvelle.
Il opte pour la grande aventure ce qui nous permet de retrouver Axel Borg.
Pour autant le génie des premiers épisodes est absent. Notre grand scénariste "fait le métier". C'est déjà pas mal !
C'est Gilles Chaillet, un des collaborateurs de Martin qui reprend les dessins dans cette affaire. A noter que cet épisode n'est sorti que dans le Tintin français (pourquoi ?).
A maints égards, cette histoire basée sur une catastrophe nucléaire (réduite mais tout de même !) fait penser au roman de Robert Merle, Malevil, sorti en 1972.
Intéressant certes mais sans explication aucune. Un album hors norme dans la saga des Lefranc.
C'est en 1970 que Martin publie avec son compère Bob de Moor des studios Hergé cette aventure dans Tintin.
A la différence des précédentes, cette histoire autour d'un barrage en construction se veut plus intimiste, écologiste avant l'heure.
Si le suspense initial est excellent, la fin est en peu plus décevante dans la mesure où Lefranc connaissait habituellement des aventures un peu plus trépidantes.
Troisième péptite de la saga Lefranc.
Abandonné pendant 4 ans au profit d'Alix et de ses travaux pour le studio Hergé, Martin retrouve Lefranc.
Le dessin est extraordinaire et nous vaut des paysages italiens de toute beauté. L'histoire, très classique et très formelle, est remarquablement sturcturée. Tout ceci nous donne un grand moment de bonheur.
Publiée dans Tintin en 1959, soit 6 ans après la "Grande Menace", cette aventure de Lefranc marque un certain nombre d'avancées.
Le dessin d'abord. Tout en restant dans le registre de la ligne claire, Martin s'est débarassé de la gangue tintinesque et offre un dessin plus réaliste.
L'histoire ensuite. Cette aventure basée sur une formule qui permet de se passer du pétrole et qui du coup provoquerait bien des malheurs ferait aujourd'hui l'effet inverse.
On se souviendra longtemps de ces paysages bretons pris dans la tempête et dans le feu. Un excellent album d'un auteur mature.
Alsacien d'origine, Jacques Martin a souvent expliqué que la visite de la ligne Maginot quelques années après la fin de la 2nde Guerre Mondiale lui vait inspiré ce qui est aujourd'hui devenu un classique de la BD franco-belge.
Cette BD a bien sûr un peu vieilli, la présence de Jeanjean notamment frise un peu le ridicule, mais l'argument de Martin reste solide et sa structure narrative quasi parfaite.
Charly passe avec ses parents des vacances en Egypte. Mais à la différence des autres touristes, il rencontre les personnages qui ont autrefois peuplé ces lieux.
Enfin au départ, une personne Sani à qui il est arrivé quelques malheurs.
Du solide, du plaisant. Une série qu'on aime à retrouver. On n'ira pas non plus jusqu'à parler de chef d'oeuvre, loin de là. Mais cette saga fait partie des bonnes BD francophones, agréable bien que sans génie.
Charly est un ado et est en âge d'avoir ses premiers frissons amoureux. Mais vu le passé et les pouvoirs de Charly, on devine bien que son premier amour ne peut pas être une fille ordinaire. Déajà par son prénom : Ange !
La série trouve sa vitesse de croisière. Les histoires sont plaisantes, pas exceptionnelles mais solides et attachantes. Une série mature à qui il ne faut plus grand chose pour monter encore d'un cran.
L'action se déroule de nos jours à Cracovie et pourtant Charlie revoit les malheurs passés de la ville, des violences nazies aux ravages mongols. Il voit même des événements qui n'ont jamais encore existé. S'agit-il d'un avertissement ?
Une histoire assez classique, sinon convenue mais plaisante et qui passe facilement la rampe grâce à une indéniable qualité de dessin et un impeccable sens des couleurs.
Lou approche de l'adolescence, et le monde devient gris, gris, et les pastels enchanteurs de Julien Neel se teintent de violets et de marrons, et le monde enchanté de l'enfance a été remplacé par une amas de carcasses qui rouillent sous la pluie : l'amour ne semble jamais pouvoir advenir, l'amitié paraît un leurre, les parents les plus compréhensifs deviennent aussi révoltants que les autres. Banalités ? Evidences ? Certes, mais dans une série pour petites filles de 10-12 ans, pas anodin du tout ! Le troisième tome de la vie compliquée de Lou est le plus beau à date, qui semble complètement délaisser l'humour pour un spleen persistant, sans pour autant rien perdre de sa légèreté. Et si Julien Neel, en toute discrétion, était en train de construire l'une de ces BDs parfaitement en phase de son époque, en tout cas l'une de celles qui aident à comprendre le monde, à se comprendre et à grandir ? Dommage que je n'ai plus l'âge...
Au cours d'un voyage en Bretagne, Charly, qui a grandi, est en mesure de voir les évènements du passé.
Il s'agit en l'occurence d'un dramatique accident qui a fait plusieurs victimes, des jeunes pour la plupart. L'enquête patine et les habitants du village suspectent un gitan qui demeure dans le coin. Pendant ce temps, Amélie, l'une des rares rescapées de l'accident ne pense qu'à se tuer.
Intrigant et plutôt bien fait ... mais toujours sans explications.
Dernier volet de ce second cycle.
Force est de reconnaître qu'on ne comprend pas tout à l'histoire et que cela ne dérangerait pas, bien au contraire, si nous avions droit à quelques explications.
Reste que c'est plutôt pas mal fait, même si encore une fois dessins et couleurs soutiennent l'oeuvre à bout de bras.
Il s'avère que le tueur est un ancien plongeur de combat dont le coeur s'est arrêté de battre lors d'une mission un peu particulière.
C'est justement celle du sous-marin soviétique; dans l'île où le père de Charly a trouvé la mort.
Et voici que désormais le tueur sent que Charly est à Bruxelles et que c'est bien lui son but ultime.
Nous nageons en plein fantastique de bon aloi.
Un meurtrier assassine des familles entières aux Pays-Bas et chaque soir Charly est confronté à des fantômes qui l'accusent de les avoir tués.
Sa mère Catherine pense à des cauchemars, mais elle finit par se rendre compte que son fils fait allusion aux meurtres du serial killer avant que ceux ci ne se réalisent.
Or il semble bien que le prochain crima aura lieu à Bruxelles ....
Excellent album.
Apparement beaucoups de gens adore cette série et son dessin.
Pour ma part, je dirais tout d'abord que le dessin est très mal fait, encore pire que se que fait Moebius allias Giraud dans Blueberry.
Quant à l'histoire elle ne donne vraiment l'envie de continuer l'histoire.
Je comprend que des personnes puissent aimer, mais pour moi ça me reste en travers de la gorge.
Et bin, cet album je l'ai lu à ma médiathéque, et fort heureusement, car j'ai voulu faire mon curieux pour voire de quoi il s'agissait, et vraiment c'est du très mauvais.
D'une part, Albino qui explique son parcours de jeunesse est vraiment recopier sur la caste des métabaron, ensuite l'histoire de ses personnages est nul et pour finir le dessin est d'une laideur.
Jodorowski aime apparement écrire des histoires assez biscornues et très extravagantes qui ne me plaisent pas.
C'est la première série que je lisait de Jodorowski à ma bibliothéque.
Les dessins sont assez corrects mais pas génials, par contre point de vu du scénario c'est pas du tout se que j'aime.
Déjà des androides qui racontent les aventures de la caste c'est assez ennuyeux, mais en plus je trouve que Jodorowski y ne vas par quatres chemins, en faisant à une des filles de s'arracher les yeux, et j'en passse, et puis l'ambiance ne me plait pas.
trés bon episode. mais qui constitue une sorte de prologue pour ce qui va se passer. 2 camps adverses. 2 raison. moi je suis plûtot pour hulk mais iron man est vraiment debordé! pauvre tony stark... sinon il n'est pas trop indispensables mais agréables a lire!
un petit rappel: une equipe secrete qui regroupe tony strak, dr strange...
ont decidé de regler une bonne fois pour toute le probleme hulk! il decide de l'expedier sur une planéte deserte! erreur de calcul: hulk echoue sur une planete en pleine guerre! hulk devient gladiateur, rebelle, puis roi! il rencontre une femme, qui est enceinte de lui mais le vaisseau explose qui detruit pratiquement toute la planete! sa femme en même temps! hulk decide de se venger...
superbe episodes pas indispensables mais super!
histoire trés emouvante avec 2 histoire ou on voit le retour d'eddie brock qui tente d'assasiner tante may. la fin d'une epoque avec la derniere confrontation
jameson/peter/spiderman/. Et un peu de violence et de sang avec un super episodes des thunderbolts! petite erreur: cela fait environ 6 numéros que l'on tourne en rond! en esperant que dans le numéro 100 il vont se rattraaper...
GENIAL!!!! Voilà en un seul mot ce qu'on peut dire de cette série complexe, melant aventure, sciences ( oui, je sais, ça s'appelle science-fiction...), des dessins à couper le souffle (voir les anneaux de saturne), et des personnage à la personnalité affirmée, dont on découvre le profil au fur et à mesure des tomes. Cette série et à mon avis une des meilleures de science-fiction, ce qui en fait un incontournable.
Dénouement de ce premier cycle. On comprend enfin les enchaînements des différents albums, ce qui ne rendra pas ce premier cycle inoubliable pour autant.
Reste que cet album se lit très agréablement, qu'une fois admis le postulat de départ il est plein d'action et que les décors sont somptueux. Il serait intéressant de voir Magda dans une série un peu plus ambitieuse et surtout beaucoup mieux ficelée.
Le jouet qu'on croyait cassé à la fin du premier album refait surface car les militaires s'y intéressent de très près.
Ils vont d'ailleurs tout faire pour remettre la main dessus car le vaisseau du capitaine Foudre a décidé de repartir près de son petit maître.
Une BD pas très bien adaptée, trop violente pour les enfants, trop lisse pour les adultes.
Charly est avec ses parents dans une île frisonne. Le temps est à l'orage et la moitié de l'île est plus ou moins fermée à cause d'un sous-marin soviétique dans les parages (on en saura plus dans l'album n°4).
Les éléments vont se déchaîner, tempête, animaux énormes, au risque de voir disparaître, Patrick, le père de l'enfant.
Le scénario est un peu meilleur mais c'est surtout l'atmosphère (donc les dessins qui retiennent notre attention).
Un gamin, Charly, se voit offrir un jouet, un vaisseau spatial. Ce jouet va devenir "vivant" et se comporter comme un ange gardien - garde du corps.
Quoi de plus ?
Rien de plus !
Un scénario assez faible donc, à rebours des dessins -superbes- et des couleurs -parfaites. Pour autant cela serait dommage de ne pas entrer dans cette série qui finit -avec le temps- par être attachante.
Cette fin souriante et un non sens que la préface ne légitime ni n'explique réellement. Fallait-il nous faire ingurgiter plus de 300 pages pour nous faire croire que la mort était repue et que tout allait bien dans le meilleur des mondes ?
Dommage parce que cette série, notamment dans les deux derniers albums dégageait un parfum du roman feuilleton du 19ème siècle à la Eugène Sue.
Dufaux a sans doute voulu trop bien faire et en a fait trop. Qui trop embrasse, mal étreint !
Cette safa jette ses derniers feux tout autant que Paris brûle. Ainsi donc comme on pouvait s'en douter depuis la première planche de la série, c'est la mort l'héroïne de l'histoire.
Bon d'accord, mais pourquoi faut-il qu'elle choisisse des jeunes femmes ?
Mis à part l'attrait esthétique (et dans une BD ce n'est pas rien), quel est le pourquoi, quel est le comment ?
Ne serait-il pas plus profitable pour la mort de passer un pacte avec un jeune homme qui deviendrait un futur chef de guerre, vrai tortionnaire et dictateur sanglant ?
Si l'album reste de qualité, on conviendra que l'argument initial de Dufaux est faible.
5/10 : en réalité 9/10 pour le dessin et 2/10 pour le scénario.
Une série que j'ai découverte avec cette intégrale : le dessin est très plaisant, idem pour les couleurs.
L'histoire, par contre, est plutôt pénible à suivre : beaucoup de personnages, de retour en arrière, d'intrigues se recoupant plus ou moins les unes avec les autres. Bref, le tout est assez indigeste. De plus, les auteurs semblent hésiter entre une présentation documentaire de l'Inde et l'intrigue de la série. Dommage que l'histoire ne soit pas à la hauteur du dessin. Je préfère (en tous cas pour l'instant !) "war and dreams"
Maintenir une qualité de haut niveau tout au long d'une série qui se suit est une gageure. Ni "les 7 vies de l'épervier", ni a fortiori "XIII" n'y sont parvenus. Ce n'est donc pas anormal qu'il en aille de même por ces "voleurs d'empires". A force de faire monter progressivement la pression, tout en nuance et en lenteur, Dufaux risquait de lasser. C'est presque le cas de cet album qui aurait mérité d'être davantage ramassé. On ressasse depuis deux, trois albums, les mêmes secrets et thèmes et cela commence à suffir.
On sent bien que tout ces méandres ne sont qu'un prétexte pour nous parler des débuts de ce 2ème siège de Paris, mais tout de même, on n'y trouve pas tout à fait notre compte.
Tintin doit étre la série de BD la plus connue et la plus traduite au monde.
Pour moi c'est par celui-ci que j'ai commencé à connaitre et à lire la série.
C'est une bonne histoire, ou le jeune reporter découvre l'Amérique pour sa première fois.
Une série sympathique que tous les ages peuvent se permettre de lire.
Je ne pourrais dire si le 3 est plus ou moins quelque chose que les autres puisque j'ai relu les 2 premiers avant de le lire et qu'il n'y a pas vraiment de ruptures entre les différents tomes.
Moi ce que j'aime dans cette série c'est le personnage d'Ombeline: une figure extraordinairement attachante: elle a beau se prendre des grands coup de claque dans la g..., elle s'obstine à la fidélité en amour pour sa mère défunte, à sa fidélité en amitié aussi, à aimer malgré eux les autres qui ne l'aiment pas ou plus, et à le prouver par ses actes: c'est pas une fille, c'est un coeur à l'état pur, merveilleusement mis en valeur par ce rose fushia qui au cours de sa traversée des trois albums dans cet univers sombre et glauque, au fur et à mesure de ses deuils, passe au rouge orangé un peu terni...
J'aime aussi ce vieux rêve de voler, même s'il est porté par un personnage sans scrupule qui revendique le but d'en tirer profit, l'attachement aux oiseaux transmis à la petiote m'est sympathique.
C'est une histoire tout à fait originale, pleine de vitalité et de sensibilté! Pas facile de faire évoluer la personnalité d'un héros en fonction des épreuves qu'il traverse ...
... et les dessins sont magnifiques!
Une superbe série ou l'on voit un agent de la CIA Floyd Witman, qui se fait trehir par ses alliés avec qui il faisaient des arrengements pour faire gagner beaucoup d'argent à la CIA.
Les flashs backs sont bien maitrisés.
Le dessin de Labiano lui est bien, et conviend parfaitement à l'histoire.
Petit à petit on en sait un peut plus sur ces fameux "voleurs d'empires". Pour autant si l'histoire est toujours aussi plaisante à suivre son déroulement se fait à un train de sénateur. Du couip, le dessin prend encore plus d'importance et soutient cette sage qui est incontestablement une réussite.
Amateurs d'actions, passez votre chemin. Si en revanche une histoire de près de 400 pages, au lent cheminenement, ne vous fait pas peur, vous venez de frapper à la bonne porte.
Dufaux nous tisse décidément une lente et longue saga où chaque nouvel album ne fait progresser que d'un cran l'histoire. Mais il soigne l'ambiance et sait rendre son monde attachant. L'histoire se contente d'être intrigante mais pas passionnante.
En revanche les dessins de Jamar sont superbes. Depuis plusieurs albums, il reprend illustrations ou peintures d'époque, notamment les combats, pour les remettre à sa pâte. C'est somptueux ! A star is born.
Les Prussiens occupent désormais le pensionnat cela ne c'est pas fait sans dégâts puisque le jardinier s'est fait abattre. Nicolas qui fait preuve d'insoumission se retrouve enfermé dans la chapelle, ce qui ne l'empêche pas de recevoir secrètement Madeleine et d'être également aimé par Anaïs (l'heureux homme, elles sont toutes deux fort belles !).
Pendant ce temps l'inconnue pensionnaire de la chambre 27 continue son manège de mort.
Bien fait et agréable à suivre. A lire très certainement et bravo pour les dessins de Jamar. Une belle série.
Nous sommes dans les semaines qui précèdent la guerre de 70. La mort confie un pouvoir à une jeune femme que nous ne verrons que de dos lors de tout cet album. Cette jeune femme est la pensionnaire de la chambre 27 d'un collège pour jeunes gens de la bourgeoisie et de l'aristocratie française d'alors.
Il n'est pas anodin de souligner que Dufaux situe ce pensionnat tout près de l'actuel campus d'HEC.
Bref, il va se passer des choses dans ce pensionnat et des pas reluisantes...
Un album d'introduction intéressant au dessin remarquable mais pas le chef d'oeuvre (à mon avis) claironné.
Et voilà le dernier album qui se termine d'une bien bonne façon.
Tout d'abords, on en apprend plus sur l'enfance de Clara et de l'endroit ou elle a passé une partie de sa jeunesse avec deux autres filles.
Le Sang de Lune qui avait pris Mathias décide aloors de le faire éliminer par un boucher, qui lui a rencontrer une ancienne amie de CLara, Lise, s'est elle qui doit faire la mauvaise chose.
Une très belle série.
Après que Mathias fut enlevé, Clara se sent contrainte d'aller dans l'asile de fous pour pouvoir prouver qu'elle n'est pas une des leur, les Sang de Lune.
Mais voilà, dans un asile, il y a des malades mentaux et surtout un de la lignée, Sang-Délire qui est à deux doigts d'en finir avec la jeune fille, heureusement pour elle ses proches lui viennent en aide à temps.
Dans ce quatrième album, Clara est retourné dans son village natal, auprès de sa famille.
Entre temps, elle acouche d'un jeune gaçon, Mathias.
Seulement les Sang de Lune ne l'entendent pas de la meme façon que la jeune mère et veulent prendre l'enfant en tant que leur héritier.
C'est alors qu'un procés se produit, pour connaitre la véritée.
Pour Clara la partie va etre plus dure cette fois.
Tout d'abords, elle va devoir trouver Ludovic, apellé aussi Sang Désir car il obtiend toujours se qu'il veut des femmes mais de la façon la plus honnéte.
L'homme aidé par son serviteur Carcancoix, fait des magouilles pour se permettre de gagner aux courses de chevaux.
Clara va devoire utiliser des choses que les Sang de lune haissent.
Dans ce deuxième volet, on retrouve notre chère Clara de Leyrac qui a pour mission, cette fois, de s'approcher du jeune Arcombe qui est surnomé Sang- Marelle.
Ce petit garçon se trouve dans un penssionnat ou il terrorise ses compagnons.
De plus Clara qui se fait passer pour une institutrice pour pouvoir mieu s'aprocher du garçon, retrouve Carcancoix, mais en tant que directeur du pensionnat cette fois-ci.
La réputation de Tonton laisse nettement à désirer question cuisine.
Aussi l'idée de faire un stage dans un grand restaurant lillois est elle une bonne idée. Sauf qu'il s'agit d'une recette au sang.
Du coup Léo et Marlène partent faire un petit tour dans les Flandres.
Les Russes depuis la lointaine époque des Tsars ont toujours aimé la côte méditérannéenne. N'est-il pas normal alors qu'un ancien officier du KGB, un peu mafieux sur les bords vienne dans notre belle Provence.
Ce qui est un peu moins normal c'est qu'il soit enlevé !
Et ce qu'il l'est encore moins c'est que ce soit par 2 Tartares à cheval.
Arleston en profite pour aboder le trafic nucléaire, si rémunérateur mais tant dangereux pour notre sécurité.
Une excellente adaptation du polar de Jean-Patrick Manchette. L'ambiance
qu'a mis Tardi dans ses planches est délectable et les personnages de
Manchette sont des plus réussit (ah, ce duo de tueurs...). L'histoire en elle-
même n'est pas vraiment le point fort de l'album mais la manière dont le récit
se déroule est bien maîtrisé, le trait de Tardi colle parfaitement à l'ensemble,
et le ton à la fois sombre, sarcastique, désabusé et second degré de l'histoire
font de cette album une vraie réussite.
Une juge italienne vient enquêter sur la Côte d'Azur. Sa vie est menacée et ce sont donc Marlène (et Léo) qui sont chargés de la portéger. Mais qui dit Léo dit aussi Tonton.
Drôle et dynamique mais que j'ai trouvé un poilu moins bien que les précédents. Ne me demandez pas pourquoi, je serais bien en mal de vous donner de bonnes explications. C'est juste une impression.
Ce tome est plus centre sur le fil rouge conducteur, à savoir la disparition de la femme de Lincoln. Une piste interessante, qui debouche sur certaines révélations. Ca se lit d'un trait, sans decrocher, c'est bien mené avec une belle mise en page dans de beaux décors, et un final qui surprend! On en redemande! Une excellente serie.
A nouveau, ce tome est original grace a une trame qui se deroule sur une plateforme petroliere en Alaska. On retouve les ingredients du permier tome, avec une enquete qui trouve réponse a la fin du tome. Concernant les causes de la disparition de sa femme, une partie se devoile, mais le lecteur demeure encore un peu dans le flou. Tres bon dessin, mise en page tres bonne avec une belle double page. A recommander.
Première incursion "régionale" de Léo. Le choix de Lyon est judicieux d'autant qu'il s'agit de récupérer un exemplaire du 16ème siècle de la Kabbale, livre ayant appartenu à de grands alchimistes.
Tonton va évidemment provoquer quelques incongruités dans dans le monde feutré de la grande bourgeoisie lyonnaise.
Une nouvelle réussite.
D'accord avec les autres avis, il s'agit là d'une série originale qui m'a séduit d'entrée de jeu. Le lieu de l'ation est peu commun (Anchorage et environs) et à cote de l'enquete qui ne dure que ce tome, il y a le mystere autour de la disparition de sa femme qui, lui, ne trouve pas encore toutes les réponses. Une serie agreable, et le dessin est tres bon, avec une belle mise en page. A recommander.