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Il n’y a plus la verve d’antan, le cynisme ou l’aventure qui avance.
C’est devenu assez répétitif d’un album à l’autre, voire même au sein d’un même album.
Et pourtant, le ton reste quand même plaisant, les dessins toujours agréables quand on les suit depuis longtemps, et au final, si ça n’apporte quasi rien à la série, ça reste agréable.
L’histoire se tient plutôt bien et j’ai apprécié certaines formulations.
Mais j’ai eu un souci entre l’histoire, plutôt solide, d’enquête polar, le dessin presque enfantin et le ton un poil léger.
Lapinot a, par exemple, ce trait simpliste, mais le ton reste cynique et adulte.
Là, j’ai l’impression de lire une BD pour enfant avec un ton pour adulte et j’ai eu un peu de mal à m’adapter à ce décalage – et n’y suis pas vraiment parvenu, d’ailleurs…
Mais l’ensemble est assez solide pour être agréable.
J’ai bien aimé cette intégrale.
L’histoire est à la fois simple et à la fois riche. Le destin de Julie, de son adolescence à son procès. Tout pourrait paraître anecdotique, on se borne à suivre sa vie… Et pourtant, tout est parfaitement logique ; ses choix sont parfaitement décidés en fonction de ce qu’elle a vécu jusque là.
Et si tout est assez banal – la vie d’une fille de petit bourg, ses amours, ses espoirs et ses échecs… - c’est superbement bien raconté.
Flash back et présent se mêlent avec pertinence pour nous entraîner dans sa vie.
Et j’ai beaucoup aimé les dessins ainsi que la qualité du trait dans le visage de Julie que l’on reconnaît aux différentes périodes de sa vie sans qu’elle soit la même puisque ce sont des âges différents…
Pas époustouflant à cause de l’histoire simple, qui manque de drame, mais très chouette tout de même.
Définitivement, Télémaque, j’accroche pas. C’est fouillis, ça barre dans tous les sens, ça se veut drôle sans l’être, ça chercher à faire de la mythologie sans en faire…
Et puis y’a 15 histoires en même temps, je n’arrive pas à entrer dedans.
On dépasse clairement l’érotisme pour tomber dans la pornographie avec cet ouvrage-là.
Et si, pourtant, tout est cru, dans le langage comme dans les images carrément explicites, ça ne paraît jamais vulgaires. Parce que tous les personnages sont souriants et consentant, prennent plaisir à ce qu’ils font.
Pas de viol, de flagellation, de torture comme souvent dans les livres de ce genre. Du plaisir partagé…
Des dessins (particulièrement) crus, à deux, à trois, à plus, dans tous les sens et toutes les positions, qui pourront certainement choquer certain(e)s parmi les plus prudes… Moi, le seul truc qui m’ait vraiment gêné, ce sont (étonnamment), les yeux et les bouches parfois tordues. Le reste est d’une précision réalisto-caricaturale et d’une vivacité parfaite.
Ajoutons à cela que les histoires (car il y a des histoires, même si la dernière ne m’a pas convaincue) sont pleines d’humour et de dialogues amusants…
Une BD d’un genre qui ne convient pas à tout le monde mais que je trouve réussie dans le style.
C’est la première phrase du préambule : « Voici une bande dessinée tout à fait sympathique ».
Et ça dit tout.
Oui, c’est une BD tout à fait sympathique. Elle ne sera pas impérissable, elle n’est pas hallucinante dans l’histoire, pas emplie de rebondissement machiavélique auxquels on ne s’attend pas…
Non, c’est sympathique.
L’histoire a un petit côté redondant – dès le début, on sait qu’il va y avoir 7 défis et que si l’un est perdu, tout est perdu. On sait donc qu’on va en voir 7, peu de chance d’appeler un livre comme ça si on ne voit pas les 7 défis. Si les défis changent, le principe reste le même et on voit à peu près 7 fois la même chose différemment (le défi, la réflexion, la mise en place, le déroulement, la conclusion).
En plus, certaines résolutions sont assez peu crédibles ou tirées par les cheveux…
Mais voilà, il y a de l’action, les dialogues sont assez bons, le dessin est particulièrement vivant et réussi…
Donc ça en fait une BD tout à fait sympathique.
Et qui intéressera les amateurs de recette ou d’Histoire culinaire puisque la base est vraie et diverses recettes sont données en fin d’ouvrage…
Evidemment, les dessins sont très jolis.
Jodorowski excelle lui aussi dans ses textes, son écriture envoûtante, très imagée.
Mais.
J’ai carrément lâché. Très rapidement.
Entre le fantasme onirique, le délire psychologique, j’ai totalement perdu le fil dès le début.
Certes, je crois qu’il n’y en a pas vraiment – ou il m’a échappé.
J’ai trouvé que ça ressemblait à de l’écriture automatique, un lâcher prise sur les mots…
C’est joli, dans le texte comme dans l’illustration. Mais alors, je ne suis absolument pas entré dans le trip…
Je ne sais pas…
Globalement, c’est convaincant, on a une histoire, parfaitement mise en image, qui fonctionne bien, qui avance logiquement et de façon efficace et prenante.
Ça fonctionne à plein mais j’aurais voulu plus encore…
Une fin qui continue, des éléments en plus sur ce type, peut-être sur ce qu’il avait dans son coffre, pourquoi il était comme ça…
Très convaincant mais trop court.
Ecrit en 1991, lu en 2019…
Forcément, ça a un peu vieilli…
C’est très naïf, limite moralisateur et très unilatéral.
Mais en même temps, c’est vachement bien de voir une BD qui offre des mises en garde, qui ait ce discours naïf du bien vivre ensemble et de faire attention.
C’est bien dessiné, narré de façon convaincante derrière la naïveté qu’on peut voir presque 30 ans après…
Et c’est finalement chouette.
C’est dit dans l’intro : Manchette cherchait à transcender par l’écriture une histoire sans intérêt intrinsèque.
Ça résume parfaitement l’ensemble de l’histoire. Ça n’a pas d’intérêt réel. On suit les tribulations d’un type qui pourrait aussi bien s’arrêter dans un bar que sur le banc d’un parc, prendre le bus ou essayer un jean dans une boutique…
Certes, il se passe des choses mais il y a un ton froid dans la narration, détaché, qui nous laisse regarder ça comme une vache regarde passer un train. Il y a du mouvement, de l’action, une évolution, mais ça ne touche pas réellement…
Alors d’accord, dans le ton, s’installe une certaine torpeur, nonchalance, par ce côté descriptif, qui marche plutôt bien dans une narration distanciée.
Et les dessins sont excellents pour nous plonger dans l’ambiance.
Mais globalement, il ne se passe quand même pas grand-chose…
Bon…
Au moins les dessins ne sont pas mauvais…
L’histoire tiendrait sur un timbre-poste s’il y avait une histoire. Mais la prison n’est qu’un prétexte à des scènes débridées répétitives et des questionnements redondants de la part de la jeune fille…
Oublions toute sensualité ou plaisir partagé, on oscille entre des mecs plus que bourrins et des filles serviles pour qui le plaisir ne compte pas…
Au final, il n’y a pas beaucoup à frétiller dans l’ensemble – même si les dessins sont bons, les situations ne sont pas hyper excitantes…
Je me suis totalement laisser emporter par ce livre (comme avec « ces jours qui disparaissent », je dois avoir un truc avec les disparitions…).
Mais voilà, il y a tout dans ce livre : le sujet est original, le traitement est bon, l’avancée est logique, tant dans la disparition petit à petit que dans l’installation chez Léonie…
Chaque personnage secondaire a sa vie, de la copine psy aux parents, existe pleinement.
Outre la trame principale qui est prenante et belle comme du Roméo et Juliette, il y a celle de la mère, celle de ce père qu’il ne connaît pas…
Tout se déroule avec une belle logique, on s’attache à Max, on a de la peine pour lui…
Le dessin est simple comme l’histoire mais aussi efficace qu’elle. J’ai adoré ces dessins précis et souple, à la fois pastel et pourtant tellement habillés par leur couleur…
Bref, je me suis laisser envoûter par ce récit.
Un livre qui traite des premières fois.
Plutôt réussi, Sibylline fait dans la sobriété du propos. Et, comme elle l’explique à la fin, elle voulait rappeler que « le cul, c’est beau et que les excès de certains sont pour d’autres une normalité tendre ».
C’est réussi.
Pour les dessins, c’est varié, ça plaît, ça plaît moins.
Mais le résultat est joli : variété, tendresse, excitation et ouverture d’esprit.
Première fois : histoire qui paraît anecdotique et banale, de prime abord, mais se révèle tendre et surprenante. Pas fan du dessin qui se prête finalement bien à l’histoire tout de même.
Sex-Shop : entre l’histoire érotique (pour l’excitation sans histoire) et l’histoire rassurante sur un premier achat de vibromasseur… Là encore, pas fan du dessin même s’il est expressif ce qu’il faut.
Fantasme : histoire « amusante » qui fait le job. Dessins sommaires mais efficaces
1+1 : j’ai moins marché sur celle-là… D’un côté, l’interrogation ne va pas assez loin, le questionnement n’est pas assez développé sur le thème « première fois ». A la fois, trop développé si ça se veut seulement érotique mais les scènes d’amour font un peu catalogue de positions… En revanche, si j’ai eu un peu de mal avec le texte sans bulle, j’ai adoré le dessin, expressif et fouillé.
2+1 : encore une histoire positive pour « dédramatiser », rendre normal quelque chose qui peut paraître tabou… Très joliment réalisé, dans le dessin comme dans le texte.
Nulle : perturbé par le système de narration, au début, une poupée qui pense… Mais finalement, intéressant quant à la vision de l’amour et ce qu’il ne faut pas faire…
Club : J’adore le dessin, efficace en quelques traits. L’histoire m’interpelle moins, ne m’a pas semblée méga existante ni particulièrement réjouissante pour la fille, pas positivement convaincante…
Soumission : pas accroché, au dessin que j’ai trouvé un peu trop approximatif à mon goût, ni à l’histoire qui ne m’a pas touché ou convaincu
Sodomie : les dessins sont superbes ; le scénario aborde le thème de façon originale ; c’est à la fois sexuel et à la fois plein de tendresse pour l’autre… Joli.
X-Rated : alors là, pour le coup, je suis dépassé comme une poule devant un couteau…
J’adore le côté blasé et décontracté du héros. J’adore les dessins secs aux traits droits mais dynamiques, vivants. J’adore ce coloriage vieillot avec des petits points partout. J’adore l’ambiance qui se dégage. J’adore les personnages, à la fois caricaturaux et précis, réalistes et exagérés.
Bon, à côté, la trame de l’histoire est assez classique et le final sonne un peu comme un Deus Ex Machina abracadabra…
Mais globalement, j’ai passé un bon moment.
J’ai adoré.
L’histoire est simple mais bonne et se suit avec plaisir.
L’idée est originale et attrayante.
Mais surtout, les dessins m’ont emporté ! Précis, détaillés, fouillés. Un joli travail sur les couleurs, du dynamisme, des cadrages originaux, de l’expressivité…
Très chouette.
J’avoue, j’ai un peu peiné au début. On est dans le présent, le passé, ici et là…
Il m’a fallu un peu de temps pour me mettre dans l’ambiance.
Mais rapidement, je me suis laissé guider avec volupté jusqu’à la fin.
L’histoire est bien posée même si j’aurais qu’elle dure plus longtemps tant nombre d’interrogations restent en suspens.
Les dialogues sont nets, précis, ciselés.
Mais surtout, le dessin est magnifique, tranchant, dynamique, percutant, emballant.
Bref, j’ai aimé.
J’ai adoré le dessin.
Magnifique, dans le décor, les expressions ou le mouvement. C’est net, vif, plein de détails…
L’histoire n’est pas mauvaise, même si un peu moins envoûtante… D’accord, ces choses qui viennent, dont il faut se protéger, c’est mystérieux. Mais ça le reste et on a donc majoritairement un « road movie » où des choses se passent sur le chemin…
Mais c’est tellement bien réalisé et dessiné que ça reste réjouissant.
J’étais à fond, au début. Un western, cool, souvent j’aime bien ça, l’ambiance, les tensions, tout ça…
Et puis je n’ai pas été pris à la hauteur de mes espérances.
Le dessin est totalement conventionnel. Pas d’originalité particulière, qui accroche le regard, pas de paysages majestueux qu’on n’aurait pas déjà vu. Même les personnages sont communs et déjà-vus. L’impression de tomber sur une BD de fin 70…
Le scénario n’est pas plus prenant. Assez lourd, conventionnel, convenu… Pas de suspense, un braquage comme il y en a déjà eu plein, des relations comme on en a déjà vu des paquets…
Bref, un tome qui frise le poussiéreux à force d’être classique…
Pas méga emballé.
Là, on pourra dire que j’ai peiné.
Ok, j’ai pas lu les tomes précédents, je me suis replongé directement dans celui-ci. Mais ça n’aurait pas changé grand-chose.
C’est bavard, répétitif, plein de scènes qui sont longues, peu utiles, pleine de textes qui ne sert pas à grand-chose…
Bien sûr, le tout avance – on peut presque se demander comment vu que chacun ne fait qu’une chose (Thorgal veut sauver son fils, celui-ci veut avoir le feu écarlate, très linéaire et redondant). Mais c’est laborieux.
Les dessins sont plutôt jolis mais j’ai eu du mal avec l’histoire. On serait presque plus dans de la peinture, une fresque, et j’ai eu du mal à le coller sur une narration BD…
Alors au départ, j’étais à fond sur les deux anges qu’il fallait sauver, voyage dans le temps, paradoxe temporel à éviter, tout ça.
Et puis d’un coup, j’ai dû zapper une info, on part sur carrément autre chose… Et quand bien même il y aurait un lien, un des enfants qui aurait grandi sans que je le lise, ça n’empêche, on a deux choses totalement différentes…
Alors je ne sais pas si ça s’explique dans le tome précédent ou suivant mais moi, ça m’a perdu. D’autant qu’aucune des deux histoires n’est réellement trancendante…
Pas enthousiaste.
Toujours vif et prenant, léger mais intéressant, nous voici dans une histoire encore plus palpitante puisque c’est la dernière du Royaume !
Dès lors, Féroumont lâche tout, va à fond, on a des mystères, du suspens, des morts probables, des invasions, des résolutions de nombreuses interrogations…
C’est pas forcément l’album qui va révolutionner la décennie mais c’est agréable à suivre.
J’avoue, j’ai trouvé le début un peu poussif.
Pas que ça soit mal fait, on a une histoire qui se pose comme ça a pu être le cas avec l’Hispanie ou d’autres album. Quelques traits d’humour…
Et puis j’ai trouvé intéressant l’élargissement du village avec la venue des enfants…
Mais c’est vraiment vers le milieu que ça démarre à fond, qu’on part dans l’action, le rebondissement, les rencontres qui ne devraient pas se faire et se révèlent cocasses…
L’ensemble n’est pas forcément le plus inventif au monde mais on y retrouve l’humour propre à la série et quelques petits clins d’œil à notre monde actuel. Très agréable.
Bon, tout ça est assez facile…
D’accord, c’est visuel majoritairement… Il y a un côté stylisé caricatural qui fonctionne sans être palpitant, c’est coloré…
Mais l’ensemble reste assez simpliste et j’ai à peine souri à chaque gag…
A lire en passant.
J’ai fait pareil que le héros, à force, j’ai lâché prise…
Alors ça se suit, comme toujours, mais j’ai perdu l’entrain et la passion du début.
C’est dommage parce qu’il y a toujours des réflexions drôles, d’un cynisme parfait, sur la critique du pouvoir, sur la différence…
Mais pas assez pour que j’accroche.
Quelque part, je suis content que ça se termine…
Moins accroché que le premier tome…
Certes, c’est toujours aussi cruellement réaliste…
Mais c’est aussi assez peu différent du premier tome. Pareil en un glissement vers le pire qu’on n’atteint pas encore, une sorte d’entre-deux qui s’étire lentement sans donner diverses réponses qu’on attend…
C’est très bien fait, je ne dis pas, mais comme les histoires de Seconde Guerre, c’est pas mon truc, je m’ennuie un peu…
Encore et toujours, de la triche, puisque j’adore Munuera.
Les dessins sont toujours réjouissants, plein de dynamisme, de vie, d’humour…
Les caricatures sont sympas et c’est un plaisir à feuilleter.
Pour ce qui est de l’histoire, ça manque un poil de suspense. De l’envergure, on en a, ça n’hésite devant rien. Mais ça pète tellement de partout que bon, on se contente de suivre comme dans un grand huit sans s’attacher aux détails.
Sympa mais (trop) léger.
En général, je suis moyennement emballé par cette série.
Pourtant, cette fois, j’ai été agréablement surpris – parce que, peut-être, paradoxalement, on voit très peu le Marsu ?
L’histoire diffère des éternelles redites dans la brousse, on est ailleurs, il y a de nouveaux personnages, de nouvelles situations…
Et cette fois, j’ai trouvé de l’humour tout du long, dans les dialogues comme dans les détails…
Alors ça ne restera pas un chef-d’œuvre impérissable mais c’est bien sympa.
C’est rafraîchissant…
Un album qui n’hésite pas à aller jusqu’au bout, à être bien lourd, mais comme c’est volontaire et bien fait, ça en devient agréablement drôle.
Bon, certes, les dessins ont une petite tendance simpliste – ce qui fait que les pleines pages ne fonctionnent pas totalement, j’ai eu une petite impression de remplissage…
Le coup de Raowl qui se transforme en éternuant a un petit côté déjà vu, entre Shrek et Benoît Brisefer…
Mais l’ensemble reste sympathiquement distrayant.
Second tome de Zorglub, sans continuité réelle avec le premier puisqu’on oublie quasiment Zandra et ses sentiments du premier tome pour découvrir un nouveau personnage, Zédric.
Scènes cocasses, toujours beaucoup d’humour…
Et puis le trait dynamique de Munuera dont je ne me lasse jamais !
Il y a de la "triche" : je suis fan de Munuera. Du coup, dès le départ, j'adorais cette BD, dès la première case. J'aime l'humour, la vivacité du trait, le dynamisme de l'action, les plans, l'humour, les couleurs, les surprises, ce qu'il a fait de Zorglub, Zandra, etc... Donc je valide tout avec grand plaisir !
Alors c’est très bien fait.
Les dessins sont superbes et particulièrement vivants. On suit Zoé, on est totalement avec elle.
Très peu de mots et pourtant, l’histoire se déroule avec intelligence, profondeur, on comprend tout.
C’est très bien fait.
Reste le final qui m’a un poil déçu – on s’attend à des tas de choses et, finalement, on a un truc à la fois triste, sans réelle morale, abrupt qui me fait conclure que l’album est très bien mais j’aurais aimé quelque chose de plus fort à la fin…
Agréable.
Ok, le sujet est original de suivre la petite mort comme personnage.
Ça permet, parfois, souvent, un humoir noir et décalé, agréable à la lecture.
Mais ça reste de l’humour strip : ça marche ou non, pas tout le temps…
Le personnage est original mais l’ensemble ne l’est finalement pas tant que ça, restant dans le genre.
Sympa à découvrir mais c’est tout.
L’histoire se suit avec plaisir, bien construite, claire, plutôt intéressante.
Les dessins de Tardi, noir, cadrent parfaitement au propos.
Mais ce polar a un côté froid, dénué de sentiment, que ce soit dans la narration comme dans le caractère du personnage principal.
C’est donc moins facile d’avoir de la compassion ou de l’intérêt. On suit ce qui se passe mais ça se borne à ça.
Les albums se suivent et se ressemblent.
Aucune originalité particulière, toujours le même humour, efficace si on aime, de petits sketchs en trois (ou quatre) cases.
Comme j’aime assez le dynamisme, que ça va vite, qu’il n’y a pas besoin de réfléchir, j’ai trouvé ça distrayant.
C’est très bon, ce tome !!!
Chaque personnage principal (et même secondaire mais plus diffus) a son caractère bien construit et une évolution logique.
L’intrigue est claire et se suit avec plaisir, cheminant tranquillement mais avec précision dans la narration, par petits détails essentiels pour nous montrer l’évolution.
Le dessin cadre bien avec l’histoire et m’a plutôt plu – même si d’habitude j’aime bien les traits plus fins…
Un bon moment.
Bien aimé cette histoire.
D’abord, ce petit « voyage temporel » est bien sympa.
Ensuite, l’histoire est peut-être linéaire mais cohérente : une action amène une conséquence qui amène à la suite.
Bien écrit, fluide, c’est agréable à lire.
Intrigant : tout est plutôt bien fait mais je n’ai pas été pris.
Ça manque un poil d’âme, de passion…
C’est parfaitement dessiné, l’histoire se tient (mais reste un peu « facile » : s’il y a des embûches, ça ne paraît jamais insurmontable ou difficile).
Agréable mais sans plus.
Je trouve les dessins superbes.
Cette majestuosité, ce mouvement, les bâtiments, les visages, les mains, les cadrages. Je suis fan.
L’histoire n’est pas mal non plus et on prend plaisir à suivre Blackwood.
Mais il y a un côté « fade », « lisse », car rien n’est vraiment dramatique.
Personne n’a vraiment mal (celui qui a mal semble plus en colère qu’autre chose), ça n’est jamais vraiment dur de combattre ou d’obtenir une faveur ou trouver quelque chose.
Même les deux cases où une fille est dessinée nue, on s’arrange pour qu’il n’y ait pas de téton.
Ça manque de relief, de véracité pour être pleinement satisfaisant.
On ne peut pas dire que je sois déçu mais je ne suis pas totalement satisfait…
On s’attendait pour la conclusion à quelque chose qui prenne beaucoup d’ampleur mais tous les protagonistes auquel on s’attache depuis le début sont assez poussifs et subissent plus qu’ils n’agissent.
S’i y a une surprise dans tome qui m’a bien plu, je n’ai pas été totalement convaincu par la fin, satisfaisante mais manquant d’éclat.
Et les dessins restent encore assez figés – la scène finale, j’ai mis un temps avant de les reconnaître, d’ailleurs…
Bref, sympa mais sans plus.
Si c’est la suite du premier tome, c’est plutôt différent du premier.
Moins d’action, plus de réflexion, moins léger, plus sérieux…
Un revirement sympa dans le genre qui développe le monde créé même s’il reste des creux (moi, je veux bien qu’on crée l’homme de demain avec un jeu mais qu’on m’explique comment…).
Un poil moins palpitant que le premier, avec des dessins toujours un peu rigide, mais sympa tout de même.
J’ai beaucoup apprécié ce tome.
D’abord parce que j’avais lu une autre BD dans le genre il n’y a pas très longtemps (Zentak, Tome 1 : La passe des Argonautes) qui était particulièrement confus.
Là, c’est tout à faire clair, c’est prenant, mystérieux, plein de suspense…
Des personnages certes un peu caricaturaux mais une histoire dans laquelle on peut se plonger avec plaisir.
Un petit bémol pour les dessins que j’ai trouvé assez figé, tant dans la position corporelle des personnages que dans l’expressivité des visages.
Ça se suit.
Je ne saurais dire pourquoi, mais ça ne m’a pas autant emballé que le premier diptyque.
Bien sûr, on a notre lot de découvertes, de rebondissements, d’humour.
Mais je ne suis pas tenu en haleine : je suis ça avec plaisir mais sans crainte pour les protagonistes quand, dans le premier diptyque, je sentais plus l’angoisse et l’urgence…
Très agréable néanmoins.
Toujours ce trait propice à la fin des années 20, c’est à la fois réaliste, à la fois dur, comme l’époque.
On se laisse prendre à l’histoire mais plus difficilement que dans le premier tome.
Parce qu’on suit la bande de gamin, certes, mais également des brigands, d’autres, qui sont en lien les uns avec les autres, ou pas, un curé, deux clochards…
Plus confus à suivre pour moi. Toujours sympa mais moins accrocheur.
Toujours magnifiquement dessiné, ce diptyque part dans une résolution exactement telle que décrite dans le titre.
Ça tourne vaudeville. Humour léger. Voire risible.
Je trouve que ça ne cadre pas très bien avec le style proposé depuis le début.
Et chez les vampires.
Alors comme moi, bon, les vampires, ça ne me branche pas vraiment, je me suis un peu ennuyé dans cet opus, malgré la qualité graphique…
On garde l’idée d’enquête mystérieuse sur ton humoristique.
Celle-ci arrive tranquillement, petit à petit, laissant le temps de faire une jolie transition avec le diptyque précédent.
On nous place tout pour la résolution dans le prochain album mais c’est très bien fait et on suit avec plaisir.
Côté dessin, changement de dessinateur, il y a forcément des différences.
Difficile de passer après la qualité de Jacques Lamontagne et pourtant, Emmanuel Despujol s’en sort très bien.
Forcément, il adapte les personnages à son trait et il m’a fallu quelques pages pour m’habituer. J’ai trouvé ce trait moins fin, moins empli de détails que le dessinateur précédent. Pourtant, j’ai trouvé les expressions des personnages plus réussie, plus vivantes…
Les scènes d’ensemble restent somptueuses et, une fois le délai d’adaptation passé, j’ai savouré l’album.
Alors qu’il semblait y avoir tout pour me plaire dans cette BD, je n’ai pas réussi à suivre.
Ok, c’est correctement dessiné, bien colorié.
Mais rien n’est clair.
La trame principale, par exemple :
« des barrettes de mémoire, disons « intéressantes » qui doivent rapidement changer de main selon un groupe d’investisseur, mais sans publicité et donc pas de guerre économique, dans une opération grise (donc bien payée), ce qui est interdit, les barrettes étant stockées dans une pièce blanche mais sans qu’on puisse les pomper via le cyberspace car elles sont activées aléatoirement »
Si toi aussi tu n’as rien compris, ne va pas plus loin, ce sont les dialogues de trois cases des pages 2 et 3…
Car le problème de ce monde plutôt réussi visuellement, c’est qu’il y a trop de mots ou de choses qui sont naturelles aux personnages mais qui me sont largement passées au-dessus.
Dommage, ça avait l’air sympa.
Plus on avance dans les tomes et moins j’y trouve mon compte…
On continue à s’enfoncer dans des histoires politiques qui perdent en légèreté par rapport au premier tome.
C’est donc moins clair à suivre et j’ai trouvé ça moins agréable.
Grand-Rivière se conduit plus comme un con dégoûté dans ce tome alors qu’il était Charles Bronson au début, le sauveur sans peur.
Ce qui rend encore les choses plus compliquée pour lire ce livre 18 ans après sa publication, c’est qu’on essaye de retrouver les accusations à peine masquée de l’époque, avec la ville de Vitriol, un type, Tergem, membre du T.N.T., parti raciste…
De moins en moins sympa à suivre.
Une très bonne BD. Certes, l'histoire est un peu simplette, la résolution vaguement tirée par les cheveux pour la facilité abracadabra j'ai trouvé mais les dessins sont superbes tant dans le soin apporté aux décors qu'à l'expression des personnages, les dialogues sont bien ciselés et les situations originales... C'est donc un ouvrage qui se lit avec plaisir.
C’est plutôt bien fait.
Alors certes, je ne me suis pas attaché outre mesure à ces gamins ou ces gangsters ni à ce qui pouvaient leur arriver.
Mais la reconstitution de l’époque est bonne, les dessins sont accrocheurs, frais, vifs…
Ça se lit très agréablement.
Moins accroché que le premier tome.
Le propos est déjà un peu vu dans le premier, donc moins de surprise, que ce soit sur les manières de A.D. comme sur celles du T.N.T. Qui plus est, les scènes s’allongent souvent un peu sans réelle information pour pouvoir faire un autre tome derrière. Enfin, beaucoup de personnages nouveaux parlent entre eux de choses qu’ils connaissent et qui doivent rester secrètes – les demi-mots nous excluent donc d’une totale compréhension de l’histoire qui rend celle-ci moins agréable à suivre.
Excellent tome.
Le dessin est toujours impeccable, que ce soit dans les décors ou les expressions des visages, l’histoire est bonne et donne toutes les réponses attendues.
L’apprentissage du don est un peu rapide, peut-être, mais aucun temps morts, de bons dialogues, du rythme, rien à jeter.
Très sympa.
Y'a un moment où ça n'est plus possible... J'ai terminé ce tome parce que je m'étais enquillé les deux premiers, autant aller au bout... Mais les dessins restent super rigides et peu agréables à suivre, l'histoire s'empâte autour d'une seule bonne idée qui dure trois pages, les personnages ne sont pas approfondi, on se fiche globalement de ce qui peut arriver... J'ai total décroché...
L'histoire se développe un peu (sans que l'on comprenne réellement les tenants et aboutissants : c'est quoi ces infos et surtout, qui est le chef de qui parce qu'on final, on se demande si ce n'est pas le chef des méchants qui dirige les gentils...).
Bon, à partir de la moitié, l'histoire se développe avec un peu d'action et d'humour ; c'est pas mal fait mais ça reste un peu naïf...
Et surtout, les dessins toujours figés ne donnent pas vraiment ce sentiment de mouvement et parfois, j'ai dû relire une case pour m'apercevoir que ce que je prenais pour un mec était une fille, malgré les cheveux bleu identifiables...
Ok, ça se laisse lire : c'est loin d'être ultra addictif mais au moins, il n'y a rien qui donne réellement envie de fermer le bouquin.
Pourtant, une fois celui-ci terminé, on peut conclure que l'histoire est assez caricaturale (ouh, les gros méchants, ouh les gentils gentils, etc.)...
Certaines situations (le nouveau flic qui a pris la place de l'ancien, la fille qui se rebelle contre papa...) sont plutôt classiques et archi-revues...
Tout est assez banal mais le pire reste dans les dessins. Sérieusement, je ne suis pas dessinateur, je ne peux pas jeter la pierre, mais là, ça paraît flou et imprécis, on dirait un gamin qui sait bien dessiner ou un bon dessinateur qui n'a pas fini sa rééducation... C'est rigide, parfois disproportionné... Si c'est un effet de style, je ne marche pas du tout.
A lire si on n'a rien d'autre à faire...
Il y a pas mal de scènes qui sont assez simples, qui s’étirent sans suspenses ou surprises, pour des banalités. La fouille de la ruelle, deux pages pour s’y rendre, l’inspection d’une salle où on n’apprend rien…
Et pourtant, on suit avec plaisir parce que c’est bien fait.
On se plonge doucement dans l’histoire, on ne loupe rien…
Les dialogues sont ciselés.
Et puis les dessins sont excellents !
Si les visages, malgré leur expressivité, me paraissent un peu figés, les vues d’ensemble, les cadrages, les détails sont somptueux !
Un poil de mystère, des personnages bien campés (peut-être un poil caricaturaux) et on se délecte de l’ouvrage.
Perso, j’aime bien les dessins de Coutelis, à la fois soignés et un peu « crade ». Un truc qui accroche l’œil en restant lisible.
Le scénario est un vrai polar, dans le ton et l’enquête. On dirait ces vieux films français des années 70, politiques, engagés. Avec un ton cynique qui correspond parfaitement à l’ensemble.
L’ensemble se marie bien, ton, histoire et dessin.
Avec quelques scènes d’ouverture à la Charles Bronson pour poser le personnage.
Très bon premier tome.
C’est bien fait, certes, mais pas super palpitant…
Alors oui, ça commence fort avec des petites phrases assassines sur les présidents…
Il y a aussi une évolution intéressante du côté du personnage secondaire, Bernardi…
Mais d’une part, les dessins ont beau être de qualité, ils ont un petit côté lisse qui ne colle pas avec l’effroi qu’ils veulent inspirer.
Et puis l’histoire… Je sais pas, il me manque quelque chose aussi : il n’y a pas de suspense, pas de vrai danger. Le personnage principal est trop solide pour qu’on craigne quelque chose pour lui.
Donc sympa mais je n’ai pas réussi à m’immerger totalement.
Trondheim disait : « Mamma mia est parti comme un défi. Serais-je capable de créer une série grand public un peu bête et facile pour Spirou ? Et en fait, non. J’ai tout de suite complexifié les choses et fait des gags avec trop de tendresse ».
Alors non, que Trondheim se rassure.
Il n’y a pas « trop » de tendresse et on n’est pas loin du « un peu bête » en étant carrément dans le facile.
Les personnages n’ont qu’un caractère exacerbé, les gags sont redondants et basiques.
Ce n’est pas déplaisant, certes, mais ça n’a rien d’original ou d’inventif – j’ai l’impression de voir Dad en moins bien…
Dernier tome pour les psys.
Dommage : de Cauvin, c’est une des séries à gags dont je me lasse le moins – principalement grâce à l’excellent dessin de Bédu…
La retraite est un peu faible pour le psy et aurait mérité, je sais pas, une histoire plus longue, plus éclatante…
Mais ça reste sympa.
J’adore les dessins de Boucq.
Cette granulosité dans les personnages, cette précision des décors, ces visages particuliers, « déformé » mais réaliste, ses angles, ses détails…
Je suis fan.
Pour le scénario, j’ai peut-être regretté une ou deux choses…
Le manque de suspense, par exemple (puisque l’homme raconte son enfance, il n’y a pas à s’inquiéter, il s’en sortira…). Le toutélié final… Le don de Little Tulip sous-exploité dans l’histoire au présent (on sait qu’il a un donc et il ne s’en sert quasi pas…).
La partie dans le passé est donc largement plus prenante.
Mais l’ensemble reste très agréable à lire, entre dureté et poésie.
Joli one shot !
J’adore.
L’humour délirant, absurde, décalé m’éclate ; le dessin caricatural, plein de détail, exagéré m’éclate.
Bref, je passe un bon moment avec Walter Appleduck – plus encore qu’avec le Z comme Don Diego…
Raffraîchissant.
Sympathique.
Bien sûr, rien de novateur mais l’ensemble est sympathiquement fait. Les personnages ont un caractère propre qui fonctionne bien, les histoires sont simples mais fonctionnent bien, les dessins sont tendance basique mais clair et ça fonctionne, les couleurs douces fonctionnent…
Bref, tout fonctionne.
Un poil gentillet, peut-être, il n’y a pas l’humour d’un Lucky Luke, il n’y a pas de réel suspense… Juste sympathique.
Les albums se suivent et se ressemblent : en lisant Nelson, on sait exactement ce qu’on va trouver (comme dans tous ces strips publiés dans des journaux, de Garfield à Snoopy…).
Pas de surprise, donc, ça continue dans la même veine, le même humour, le même genre de gag.
Si on aime, on continuera à aimer et inversement…
Ça passe.
Bon, voilà quoi…
Aucune évolution chez les personnages qui continuent leurs sempiternelles blagues, comme coincés à jamais dans la même période de temps, l’histoire se répétant sans cesse…
Pas désagréable parce que ça reste vif, péchu, inventif même si ça reste la même chose…
A un moment, il n’y a plus rien à dire sur les albums de Cédric…
Tous les gags ont été faits, ce ne sont que des redites…
Alors certes, ça reste toujours plaisant par le trait vif, les dialogues péchus, les petites vannes, on passe un moment sympa, mais c’est un album parmi les autres…
Autant j’avais du mal dans le premier tome, autant j’en ai encore eu plus cette fois-ci.
Les personnages se démultiplient, on rajoute de la guerre entre plein de monde, des héros qui s’ajoutent à l’équipe, avec des liens de parentés en veux-tu, en voilà…
Les péripéties se multiplient, elle aussi, mais passent à toute allure : plutôt que développer chaque aventure, on les enquille avec quelques pages chacune.
Cela à donné, à mes yeux, un ensemble surchargé, peu lisible (parce que les cadrages des pages suivent l’idée de poudre aux yeux avec surcharge).
Bref, ce fut laborieux.
J’accroche définitivement pas à Kid Toussaint.
Ses héros excessifs, ici, avec Télémaque, plein de potentiels mais toujours débiles.
De l’action toujours tape-à-l’œil mais je ne marche pas…
Quant à l’histoire, la quête du père, réutilisation de la mythologie sous un nouvel œil, bof, ça m’a pas super intéressé…
Bref, je n’ai pas réussi à entrer dedans.
Une BD qui aurait pu faire mieux.
Les dessins un peu raide, schématisés, simplistes, finissent par passer, avec les couleurs pastels. Ça donne une ambiance réussie – même si je regrettais un manque de détails, trop de « lisse » au début.
L’histoire n’est pas mauvais mais ça donne le sentiment qu’elle s’étire, qu’elle est très diluée…
Parce qu’au final, on n’apprend strictement rien dans cet album… On pose les bases (oh là là, Lya cherche la vérité), on développe la base (bon, Lya cherche la vérité), on dilue la base (Lya cherche toujours la vérité) et voilà.
Pas de réel suspense, de surprise, de rebondissement, d’avancée majeure, de vrai danger…
Mignon mais j’aurais voulu plus.
Bon…
Les dessins sont pas mauvais mais rien d’original…
L’histoire se suit mais rien d’original…
Les personnages se tiennent (le gros chef un peu simplet, la gamine débrouillarde, la vieille shaman intelligente, la femme jalouse ou nunuche) mais rien d’original…
Bref, ça se lit, mais rien de novateur…
Déçu…
Je ne sais pas trop à quoi je m’attendais mais j’adore ces histoires de « Et si » avec un changement d’Histoire.
Pourtant, ici, rapidement, ça sert de prétexte.
J’ai eu l’impression de voir une histoire de science-fiction (qui se tient, la question n’est pas là) mais le « Et si » de départ ne lui est absolument pas utile.
J’ai eu beau tenté de m’y accrocher, rien n’y a fait.
Et si, finalement, les Russes avaient continué leurs recherches ? Et si, dans un monde futur, les deux grandes puissances étaient sur la Lune ?
L’histoire aurait été la même…
L’histoire est assez classique, simple et ne tient pas part du postulat de départ outre mesure, dommage.
Ajouté à cela que j’ai eu un peu de mal avec les visages figés, je ressors déçu.
J’ai adoré cette histoire.
Un mélange d’aventure à la Spirou et de réalité historique. C’est drôle, fin, intéressant.
La part belle est faite des deux côtés : la partie historique comme l’aventure. C’est vif, ciselé dans les dialogues, bien construit dans la narration, un peu de sentiments…
Et puis j’ai vraiment adoré les dessins, vivants et précis.
Très chouette.
Plutôt mitigé.
Peut-être à tort, mais l’impression qui se dégage est qu’on aurait eu un excellent album avec Goscinny quand on en a un juste correct ici.
D’abord, j’ai moyennement compris l’intérêt de mêler deux histoires à fort potentiel en une moyenne. Montrer les parents d’Astérix et Obélix, c’est sympa.
Amener une fausse Falbala, c’est sympa.
Mélanger les deux, c’est ne pas développer chaque histoire.
Les parents sont assez fadasses avec les pères en prison et les mères juste un poil lourdes.
La fausse Falbala, ça tourne en rond et la rencontre avec la vraie ne tient pas ses promesses…
L’impression d’un album plein de bonnes idées mais que chacune n’est pas exploitée à son maximum. Et au final, ben bof, quoi…
J’adore Ric Hochet.
Zidrou en a fait une magnifique reprise, en gardant l’esprit tout en le modernisant.
Là encore, on a du mystère, quelque chose qu’on ne comprend pas mais qui finit par s’éclairer, notre paquet de trois suspects…
Un petit regret malgré tout dans toute cette intelligence et cet humour : l’utilisation anecdotique du nyctalope… Il aurait pu être pleinement utilisé ou totalement oublié pour être remplacé par un autre personnage… Là, on est dans un entre-deux un poil insatisfaisant…
Pour le reste, c’est dynamique, futé, drôle… Réussi.
Bon, c’est comme la saga Millénium, avant que ça soit Millenium Saga…
Un complot secret politico glauque.
Une enquête underground.
Et vas-y, roule, avec des scènes de tensions, de poursuite, de doute, de complication…
Toujours des méchants très méchants, une Lisbeth à vif, un Blomkvist à fond dans ses enquêtes avec un gros soupçons de naïveté…
Bref, comme avant.
Bien tenu mais un peu compliqué pour ce que c’est à mon goût.
On pourra dire que j’ai peiné.
J’ai rarement mis autant de mois à finir une bande dessinée !! Je suis tenace mais que ce fut dur.
Rien, hélas, ne m’a intéressé dans cet ouvrage.
Pas plus l’enquête, simpliste, que le personnage insipide de Vincent (pas de la faute des auteurs mais le type irréprochable et aseptisé ne fait pas un bon héros…).
Aucun intérêt pour moi dans le côté religieux ou reconstitution d’époque.
Et le dessin ne m’a pas du tout accroché – je l’ai trouvé maladroit, approximatif, raide.
Bref, j’avais hâte que ça finisse – mais je ne sais pas abandonner une BD…
Je ne suis pas bien sûr de savoir quand est-ce que le scénario a été écrit. 1947 environ, si j’ai bien suivi.
Mais ça se sent.
Walthéry a beau mettre du dynamisme dans son dessin, des touches contemporaines avec Natacha qui lit les mémoires, ça fait très daté, tout ça…
Du scénario d’antan, avec de l’aventure ultra-basique et poussive, des rebondissements dus au hasard et au coup de bol…
Je suis allé jusqu’au bout parce que j’avais commencé mais je n’y ai pas trouvé grand intérêt…
Ok, un truc un peu délirant – dont je n’ai pas suivi les prémisses avec le chanteur, ses clips et que sais-je.
Se basant sur l’histoire en elle-même, je dirais qu’on surfe entre classique et originalité classique…
Classique parce que ce gamin qui souffre de l’absence de sa mère, que les autres chahutent et qui veut exister, tralala, c’est du vu et archi revu.
Originalité classique parce que le coup des boîtes, le voyage entre deux mondes, ça a un petit côté original… Mais avec un côté déjà vu – le copain (chien) grincheux, la petite vieille qui ne se laisse pas faire, etc.
De l’humour qui passe mais déjà vu.
Alors ok, ça fait clin d’œil à Retour vers le Futur, la DeLorean. Mais le personnage de Kid Noize fait aussi petit frère de Marty McFly, Ferris Buller et autres.
Au final, c’est dynamique, on suit bien, assez prenant, mais pas novateur.
C’est pas mal du tout…
Le dessin a un petit côté Alice au Pays des Merveilles, plein d’inventivité…
Les dialogues sont souvent vifs, avec des petites répliques drôles ici et là.
Le monde créé est intéressant et plein d’imaginaire avec ces bêtes temporelles, ce pôle Nord disparu, etc.
Après, c’est un album à lire avec les autres, je pense, parce que si tout est plutôt réussi, on a tout de même du mal à comprendre les tenants et aboutissants de l’ensemble…
Qu’est-ce devenu le père en ouverture et à quoi bon raconter cette intro ? Quel rapport entre les différents protagonistes (du militaire à la jeune femme ?).
Bref, où est-ce qu’on veut en venir ???
On n’aura pas de réponse à la fin du tome mais une belle interrogation…
De bonnes bases mais pas totalement solides, ça aurait été sympa quelque chose qui soit plus connecté dans son ensemble…
Bon…
On retrouve les personnages de San Antonio, on retrouve le phrasé de San Antonio, on retrouve le délire et les aventures extravagantes avec de bonnes astuces…
Le dessin n’est pas si mauvais : rond, caricatural, il convient assez bien à Béru ou Marie-Marie… Mais le côté plus réaliste de San-Antonio, s’il lui convient aussi, donne un mélange un peu étrange.
Et puis qu’est-ce que c’est bavard !
C’est ultra chargé, il y en a partout ! C’en est presque fatigant…
Ajouté à ça le côté plus enfantin que donne le fils, Patrice, à l’œuvre du père, Frédéric Dard, et on obtient quelque chose qui fonctionne mais sans donner pleine satisfaction.
Ça ressemble à du San-A. mais ça n’est pas du San-A.…
Hop, thème de base, le loup. Créez des petites choses amusantes en une page autour de ça.
Donc, ça y va.
Petites références aux contes de Perrault, à la Fontaine, les loups de toutes les fables…
Petits délires autour de ce loup, comme un exercice de style.
C’est souvent amusant mais juste de quoi faire sourire, pas de quoi s’esclaffer.
Les dessins restent du F’Murr : vif, rapide, esquissé, presque brouillon mais efficace.
Distrayant sans être mémorable.
Eh ! Bien non…
Oui, le dessin est joli, dynamique. Les traits essentiels sont posés, vif, pour créer un visage, un mouvement, un décor, c’est sympa.
Les couleurs sont vives, plaisantes au regard.
Bon, ça donne un petit côté BD jeunesse pas désagréable à voir mais auquel je n’ai pas trop adhéré pour l’histoire.
Ces enfants qui courent à droite à gauche entre blague facile et petites préoccupations, ça ne m’a pas intéressé Je suis allé au bout pour voir mais sans motivation.
Pas convaincu.
Une BD assez étonnante puisqu’elle ne m’a pas plus à la lecture mais que j’ai finalement trouvée très bonne…
Il faut dire qu’elle aborde un paquet de trucs qui ne m’intéressent pas.
Les années 30, la Russie et son tsar ; la guerre ; une partie rêve et onirisme…
Bref, j’avançais en me disant que bof, rha des soldats, rha un mystère russe qu’un tsar veut taire, naaaaaan, un truc pas réel mais si mais non, pfffff…
Mais en fait, une fois l’album terminé, je me suis rendu compte que j’avais eu tort.
Tout s’imbrique parfaitement pour faire une histoire originale et intéressante où chaque protagoniste, chaque action, a sa place…
Des dessins efficaces, froids comme la Russie en hiver mais en totale adéquation avec l’histoire.
Bien cool, finalement, aucun regret de l’avoir lu !
Album étonnant mais plein de qualités…
Le dessin est assez simpliste, gentillet, en opposition avec ce qu’on lit. Peut-être que quelque chose de plus réaliste aurait donné quelque chose de plus immergeant, envoûtant…
Comme les couleurs, assez simple, basiques, qui donne un peu de légèreté, finalement, de distance avec le propos.
Parce que celui-ci est ce qu’il y a de plus étonnant.
Non pas la situation de base (une enfant enlevée) mais le traitement de cette Appoline… Dérangeant, qu’on n’a pas l’habitude de voir dans ce monde politiquement correct, mais pourtant, super bien traité, jusqu’au bout.
C’est ça qui donne tout son intérêt au récit, sa façon d’aller au bout de l’idée de base sans vouloir jouer au bien-pensant.
Du coup, ce côté classique, dans le policier, le kidnappeur, etc. passe très bien.
Les cadrages sont variés et sympas.
Peut-être que plus réaliste aurait été étouffant, finalement…
Ma note, un peu sévère, vient du fait que je ne suis pas concerné par la phrase suivante...
Un livre qui est intéressant si on s’intéresse un peu à l’Histoire – et en particulier, celle de Sacco et Vanzetti.
Parce que cette BD, bien que dialoguée entre deux personnes, raconte l’histoire de ces deux hommes de façon quasi documentaire…
Alors oui, le ton est plutôt léger dans la narration, mais présenté de façon on ne peut plus factuelle. Ce qui s’est passé, ce qui est arrivé, point ou presque.
Les couleurs sont idéales pour nous plonger dans l’époque, le découpage est bon.
Ça manque un peu de passion si on veut suivre une histoire, une aventure… Mais pour se renseigner sur ce qui s’est passé, c’est une très bonne source.
Il faut avouer qu’avec le temps, la série n’est plus seulement répétitive.
Elle devient en plus, presque didactique, occultant tout ce qui pouvait en faire l’humour.
Les pages défilent comme celle d’un journal local sur des patelins dont on se fiche…
Le tome 40 aurait peut-être dû porter comme titre « essoufflé »…
Cet opus ou le précédent, c’est la même chose.
Peut-être un peu plus répétitif que celui d’avant, moins de surprises.
Mais un côté hypnotique dans ces petits clins d’œil en 4 cases, uniquement bleutées, qui montre le regard acéré de l’auteur sur les chats.
Strictement rien qui sorte du quotidien mais c’est ça qui happe, la parfaite reproduction de celui-ci.
Je ne sais pas…
Il y a quelque chose d’envoûtant dans ces strips en 4 cases à l’unique couleur bleue…
Toujours simpliste mais bien vu, l’essentiel dans l’épure.
Rien de révolutionnaire mais un œil aguerri posé sur la relation avec un chat, avec toujours un soupçon d’humour fin.
On repart sur une trame plus complète que des gags en une planche uniquement.
Mais la trame est moins solide que d’autres par le passé. Il n’y a pas trop de suspense dans l’histoire du groupe et à part les révélations finales, ça n’est pas super intéressant.
L’histoire de Vicky se développe peu…
C’est donc surtout Jenny qui opère un grand changement et se révèle la plus intéressante.
Mais elle est parfois perdue dans des gags d’intérêt moindre – à mon goût.
Sympa mais pas aussi pertinent qu’avant.
On avait un premier tome sympathique, original, varié... On aura un second à l'opposé : répétitif, manquant d'idée, lassant... Les gags se ressemblent beaucoup, les Evil Minion ne sont pas drôles pour un rond et au bout d'un moment, j'en venais presque à tourner les pages machinalement tant ça ne présente que peu d'intérêt...
Des gags en une planche, uniquement visuels. C'est drôle, sans prétention, parfois un peu répétitif mais comme ça reste joyeux et légèrement décalé, ça fait du bien. Une lecture rapide qui donne le sourire.
Voilà voilà…
Des gags en une planche, qui misent sur l’absurdité, le burlesque et le ridicule…
C’est amusant. Au mieux, on peut en sourire.
Mais c’est comme une blague de Toto, ça amuse deux seconde et puis on passe à autre chose…
Ce tome ne va pas plus loin que le précédent mais on s’est attaché aux personnages, on les connaît mieux… Ou l’auteur devient un poil plus précis.
Ça marche un peu mieux dans l’ensemble – ça reste de l’humour facile mais qui percute plus souvent que dans le premier tome.
Amusant.
Quelques traits d’humour qui font mouche – peu nombreux, toutefois.
BD dans l’air du temps, des historiettes en trois cases avec une chute remettant en cause ce qui a été dit précédemment, principalement, le tout formant une petite histoire qui ne va pas loin. Sur le thème du moment : couple et robot…
Distrayant pour passer le temps.
Une vague trame sur une relation suivie parcourt ce tome…
Ce n’est pas forcément le plus intéressant puisqu’on reste surtout sur des gags en une page et ce sont les idées développées sur ces pages uniques qui sont drôles – la trame de base n’est qu’un prétexte à faire ces gags.
Mais ça marche.
Je trouve épatant qu’au cinquième tome, on garde cette fraîcheur du quotidien sans cesse renouvelé, cette inventivité dans la banalité de la vie de tous les jours.
C’est tendre, c’est drôle, jamais méchant mais toujours bien vu.
Très sympa.
Pour qui suit les sorties des tuniques bleues année après année, un nouveau tome, c’est toujours le plaisir de retrouver Blutch et Chesterfield en train de se disputer dans des situations improbables.
Force est de reconnaître, avec objectivité, que ce nouveau tome fonctionne.
Mais aussi qu’il tourne sur des ficelles usées et réutilisées depuis des dizaines d’années.
Rien de vraiment neuf, pas de véritable surprise, aucune grande émotion.
Mais la machine est suffisamment bien rodée pour que l’on passe un moment agréable en retrouvant ses héros.
Nostalgie, quand tu nous tiens et nous fais tout pardonner…
Mitigé sur cet album.
D’un côté, il est toujours agréable à lire et le thème de l’entreprise qui exploite est bon.
D’un autre, on reste dans une aventure tout public où la critique de l’entreprise n’est qu’un prétexte sans être traité à fond.
Avec peu de surprises par rapport aux tomes précédents.
Mais ça passe…
Dans la lignée du précédent.
Les dessins ne changent pas, ils restent ronds, agréables et dynamiques.
Les épreuves de Louca pour créer une nouvelle équipe se poursuivent et ça permet, encore et toujours, beaucoup d’humour et de légèreté.
Petit bémol, peut-être, même si on a une jolie révélation à la fin, c’est que ça n’avance pas vite, tout ça… Mode manga, on prend le temps de développer et c’est très bien. Mais on aimerait en avoir plus…
Les albums de Nelson se suivent et se ressemblent.
C’est donc toujours gentiment rigolo, très légèrement irrévérencieux, potache.
Distrayant.
Je dois être trop vieux pour cette bande dessinée.
Les errances de la petite fille d’un monde à l’autre pour résoudre un problème qui ne la concerne pas et pour laquelle elle se borne souvent à suivre, ça ne m’a pas intéressé.
J’adhère pas beaucoup plus au dessin.
Pas pour moi…
Trondheim a l’art de rendre vivant des créatures et des histoires, sans mot.
C’est aussi le cas ici.
Cela dit, certaines sont sympas à suivre, d’autres moins intéressantes…
Et si j’ai deviné un lien ici ou là, malgré une chronologie peu évidente, je n’ai pas réussi à tout remettre dans l’ordre.
Ça s’apparente à des « histoires de toto » mise bout à bout et qui ferait comme une grande histoire.
Parfois scato ou gore, c’est amusant mais pas mémorable.