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Très bonne idée de départ (comme plus tard, "Vercingétorix"). Mais quel album sombre! Enfin, ça se laisse bien lire.
J'ai hésité entre 3 et 4 étoiles mais le scénario est tout de même très bien construit, les dessins de Carthage excellents et on est content de savoir ce que devient Brutus et d'avoir une piste sur l"origine de l'orichalque. L'usage qu'en fera Mangin dans "Alix Senator" deviendra du grand n'importe quoi mais là, ça passe bien. Très intéressant. L'archétype de l'amoureuse transie est bien là, en clin d'oeil à Flaubert.
Pas mal et original même si c'est tiré par les cheveux. On voyage loin, sans d'ailleurs qu'on ne sache trop où ces satanés Phéniciens ont réussi à arriver et pourquoi Alix et Enak se retrouvent là. Une fille de plus dans la collection des amoureuse transies d'Alix. Mais pour une fois, elle survit.
Album moyen car inégal. Comme souvent, ça démarre très bien et je trouve le personnage de Numa Sadulus finalement plutôt attachant. Mais l'histoire d'Archeloüs n'est pas crédible, ni la fin. A vouloir trop finir comme une tragédie grecque, la conclusion se révèle faiblarde. A trop abuser du retour de personnage d'épisode précédent aussi. Mais enfin, un bon suspense et un bon rythme, encore dans le "grand" Jacques Martin
Album moyen, et quelle tristesse de voir la dégringolade d'Oribal, si attachant dans "La tiare d'Oribal" ! Ce n'est d'ailleurs guère crédible. L'idée d'introduire Adroclès, en revanche, est bonne, le personnage ne manque pas d'intérêt. Le parcours vers l'Orient jusqu'à Babylone est également distrayant. Et le scenario est quand même plus musclé que dans les albums suivants.
Album moyen même s'il reste nettement au dessus de plusieurs qui suivront. On voyage, les dessins sont beaux, il y a du suspense et des coups de théâtre. C'est intéressant de découvrir cette Chine antique mais, comme souvent, c'est globalement triste et un peu sans relief.
L'idée de départ était excellente et on aurait pu avoir un nouveau magnifique "Légions perdues". Mais ça s'enlise. Donc "correct, sans plus", c'est exactement ça. En plus, J. Martin était encore là, ils auraient quand même pu dessiner un Vercingétorix un minimum ressemblant avec celui aux cheveux noirs du "Sphinx d'or". Pour moi, un 2e tournant de baisse de qualité s'opère après 'L'empereur de Chine". Je n'aurais jamais mis seulement 2 étoiles à un album précédent. Il y aura donc quelques pépites d'albums excellents ou au moins bons, mais trop de "moyens" comme celui-ci, et certains carrément nuls.
Nul, atroce, les personnages sont la plupart laids moralement. Pourtant, ça faisait plaisir de retrouver enfin Héraklion et j'aime bien le personnage d'Adroclès. J'ai mis une étoile car "Le fleuve de Jade" a été encore pire. Un seul point rigolo dans cette histoire hyper violente : c'est la première fois qu'une belle fille célibataire ne s'entiche pas d'Alix. Il faut croire qu'elle pense que c'est trop risqué de courir 2 lièvres à la fois.
Excellent album après plusieurs moyens, voire nul ("Le cheval de Troie"). On retrouve avec plaisir Qaa et Senoris - pas pour son plaisir à lui, il est vrai, c'est triste. Et puis, c'est la première relation amoureuse explicite d'Alix, non ? Perd-il sa virginité avec la belle Cléopâtre, qui est ici plutôt touchante ?
Oui, "quelconque", c'est bien le mot. Le début était pourtant bon et la destination exotique. Mais l'histoire tourne court, c'est aussi froid que le climat et, surtout, ces "barbares" sont finalement sans relief.
Vraiment un des plus mauvais. Comment J. Martin a pu commettre une histoire aussi indigente ? Qui peut croire à cette pièce de théâtre des pirates ? On en a ras-le-bol de voir Arbacès ressurgir, ça fait réchauffer (tant qu'à faire, il valait mieux capitaliser sur Adroclès, plus ambigüe et plus intéressant). Et montrer le zizi d'Arbacès et les seins de Julia (Enak a bien raison !) ne suffit pas à rendre intéressant un navet. La pauvre, d'ailleurs, ne soutient pas la comparaison avec d'autres qui font du rentre-dedans à Alix: Adrea ou Saïs étaient d'une autre classe... Et même Archeloa le faisait avec plus de brio. Le seul intérêt qui m'a fait mettre une étoile, c'est justement de revoir Archeloa et Numa. Si ce dernier ressort dans "Alix Senator", on aimerait bien en savoir plus sur ce que devient Archeloa.
Franchement excellent, dessins au top pour de l’heroic fantasy, et un scénario bien maîtrisé avec son lot de traîtrises et de rebondissements. Dommage que ça s’arrête là en France !
Autant j’adore le dessin de Munuera, autant j’ai du mal avec cette série.
Déjà, j’ai mis du temps à me faire à ce que les histoires soient des anthologies, je pensais trouver une évolution et on se retrouve dans une sorte de Les Robots d’Asimov mais en moins subtil ou intelligent.
Après quoi, ben le tome plaît ou non selon le thème…
Et là, la fille qui tombe amoureuse d’un robot… J’y arrive pas.
Le machin en ferraille a tout ce qu’il faut de froid et neutre pour ne pas attirer la sympathie depuis deux tomes, donc là, ben je comprends pas que cette fille flashe sur ce truc…
Alors c’est moi qui ne suis pas ouvert, c’est le scénariste qui a essayé de convaincre sans y parvenir, je ne sais pas, mais je n’ai pas marché aux prémices de l’histoire.
Donc pour entrer dedans, peau de balle…
J’ai donc regardé ça, entre mal à l’aise de ce truc bizarre (mais je respecte, tous les fantasmes sont dans la nature tant qu’ils ne font pas de mal à autrui, qu’elle teste l’inventivité sexuelle du robot…) et inintérêt.
On se retrouve dans un Spirou et Fantasio à la manière de Franquin, autant pour le dessin que pour l’époque, l’aventure ou le propos.
Sauf que ça marche beaucoup moins bien.
Ayant lu celui-ci quasi en même temps que les Voleurs du Marsupilami, je n’y ai pas trouvé le même dynamisme, les personnages sont plus poussifs, pesants…
Il y a moins d’originalité dans les scènes, le râleur râle et rerâle ; Fantasio s’agite et se re-agite…
Et puis je n’ai pas réussi à m’accrocher à cette histoire un poil abracadabrante où Spirou et Fantasio se trouve mêlé à une pseudo révolution dont les tenants, les aboutissants et les à-côtés me sont passés bien au-dessus…
Pas kiffé outre mesure.
J’adore.
Voir les flashbacks de Dad, la naissance des filles, leur relation et caractère déjà présent petites, c’est très sympa.
Alors ça n’éclaire pas grand-chose sur les personnages mais c’est super agréable, comme si on nous montrait l’album photo d’enfance d’un ami.
Nob a super bien réussi la transition pour dessiner les personnages plus jeunes et ça change des thèmes contemporains habituels.
Après le père ou les filles seules, il nous offre un autre angle bienvenu.
Cool cool cool.
20 tomes…
Que dire de plus au vingtième qu’on n’a pas déjà dit puisque c’est toujours la même chose…
On lit le petit Spirou comme on se raconte des blagues de Toto, c’est un univers, on retrouve les mêmes trames et chutes, les mêmes personnages…
C’est plus pour se replonger dans l’ambiance qu’on lit un nouveau tome, retrouver des « gens connus » qui, au lieu de tomber à droite vont tomber à gauche ou inversement…
Un peu moins de variation dans les profs, peut-être, ou je rêve…
Bref, ça se lit.
J’ai eu un peu de mal à entrer dedans.
Parce que bon, les deux premiers tomes nous montraient comment des enfants sans pouvoir voulaient devenir super héros, c’était rigolo.
Et là… Ben ça commence un peu pareil, avec une cérémonie en plus, mais globalement, c’est encore la même chose.
Après quoi, l’aventure commence vraiment dans cet autre monde, ce monsieur hyper lent et rapide, le drame…
Et ça devient prenant.
Et au final, le tome est plutôt pas mal.
Plus intéressant, celui-ci, parce que moins anecdotique.
Il y a un message derrière avec cette célébrité adolescente qui a dû mal à vivre les obligations à côté…
On est moins dans les blagues simplistes du premier tome pour parler de sujet plus importants, l’anorexie, l’engagement avec l’autre, le père qui voit une tirelire en sa fille…
Bon, je trouve que les Nombrils, sur les derniers tomes, sont arrivés à des sujets aussi forts avec plus de réussite dans le dosage humour/sensibilité mais ce tome, bien que finalement assez banal, reste meilleur que les précédents et gagne sur la comparaison.
Bon, j’ai pas pris le temps de comparer le premier et second tome, mais les dessins ont changé et pas en bien à mon goût.
J’aimais bien ceux de la fête foraine, je n’aime pas ceux-là, plus flous, plus grossiers, moins lisibles.
La première histoire avait le mérite de la découverte, ce côté perdu de Bertillon qui était balloté de droite à gauche entre plein de personnage originaux…
On a le même ballotement ici, sans que ça ait la surprise de la découverte, avec des personnages un peu moins originaux et un Bertillon qui subit plus qu’autre chose.
Les scènes d’action finales perdent en lisibilité avec les dessins et si c’est dynamique et renvoie par pirouette magique au premier tome, j’ai regardé ça avec beaucoup de distance avec ce Bertillon déprimé et mollement actif…
Pas convaincu
Quel dynamisme dans la narration !
C’est très visuel, ça va super vite, ça bouge, on a presque l’impression que les personnages bougent !
Si l’histoire est un peu naïve et gentillette, elle se suit bien et ne tombe pas dans la facilité des trucs qui s’arrangent miraculeusement.
Bon, le Marsu est bien gentil parce que par la suite, il se serait sorti de tout ça bien plus rapidement mais l’aventure et l’humour sont là !
Un tome assez agréable.
On retrouve l’art de Trondheim de rendre sympa la banalité du quotidien (particulièrement dans la soirée qui s’organise, on amène le vin, on se présente, on discute…) grâce à des dialogues souvent pertinent.
Le coup de la voiture cassée est, comme toujours chez l’auteur, simple mais suffisamment décalé pour être intéressante et partir dans des excès qui fonctionnent bien…
Le coup des auras est assez amusant et bien traité, avec une conclusion plutôt cohérente et pas mal, même si j’ai eu l’impression de revoir les fantômes de Ralph Azam…
L’épisode est amusant mais assez banal.
L’idée est sympa en soi et quelques moments sont utiles, comme le vol avec le mec et son marteau-piqueur qui ne s’entend plus, mais la détermination outrée du producteur devient ridicule à la fin, c’est un peu dommage.
La seconde est gentillette.
Distrayant mais sans plus.
Il y a une différence entre le tome 1 et le tome 4 au niveau de l'encrage plus soutenu ici, qui doit être lié, j'imagine, à un réglage à l'impression. J'avais trouvé que la couleur empiétait sur le trait dans le premier tome. Bref c'est un détail... peut-être les rééditions corrigeront cet effet.
Encore un très bon album qui clôt une série rondement menée. On n'a qu'une envie, c'est que Mermoz se fasse franchement dégommer, ce putain de salopard ! Je pense qu'il aurait été intéressant d'intensifier le côté dramatique en supprimant des personnages importants mais les auteurs ont chois ici le happy-end. Personnellement, je trouve çà fort d'oser cela en BD ou en film. Mais ce n'est pas vraiment le ton de cette BD, finalement assez léger, malgré quelques rudes passages. Les dialogues de Loisel sont quand même savoureux ! J'adore les dernières phrases de Mermoz :-)
Je me serais passé de la mère mourante, l'adoption de la petite et peut-être même du duo d'infirmières en définitive...
J'aime bien quand çà va à l'essentiel !
Encore un album mené tambour battant ! On perd un peu les visages de Max et Corinne en regard du tome 1. Parfois on tomberait presque dans un côté cartoon dans les expressions des personnages. Il n'en reste pas moins de très jolies planches surtout dans les dernières pages plus émouvantes.
Un duo d'auteurs qui fonctionne vraiment bien !
pareil je n'attendais rien et c'est un super album avec un scenar en béton et un dessin à tomber mais par contre c'est une histoire finie donc je vois pas pourquoi 1/2
Très bon album mené tambour battant. Dessins et couleurs au top ainsi que le grand format de la BD.
Nordlys pourrait être l’appellation d'un meuble IKEA norvégien mais cela ne sera pas vraiment le cas en l'espèce.
Il s'agit en fait de la suite et fin de la « Saga de Pelle » et plus précisément du titre « Snaergard » que je viens d'aviser hier. On va en effet suivre notre jeune héros qui parcours les fjords dans l'espoir de tuer le sorcier Adriel dont les Dieux réclament la tête en échange de la vie sauve pour un proche. Sorciers, guerriers redoutables et dieux vont s'affronter dans le bruit et la fureur...
Le graphisme de ce diptyque est toujours aussi soigné dans une prestation sans faute. Je le trouve parfaitement adapté à cet univers médiéval fantastique et à cet hiver froid et oppressant. Il y a certes de la couleur mais rarement des couleurs chaudes et c'est plutôt une utilisation à bon escient dans un magnifique jeu d'ombre et de lumière.
Certes, il y a de belles scènes d'action mais il y a également une part réservée à l'introspection. C'est une histoire assez sombre mais qui laisse place à l'espoir et surtout à l'amour.
L’album en dégradé de noir et blanc des aventures du détective privé parisien, Nestor Burma : "Du rififi à Menilmontant" (2024-Casterman) d’après une du romancier du Noir, Léon Malet, et la fin du cycle Burma du dessinateur Tardi ( 20 ans de travail) , nous plonge dans le Paris d’après-guerre (énorme documentation pour les décors parisiens, ici, le 20ème arrondissement ).
Un Paris de l’argot où l’on apprend que le Ménilmontant est un quartier populaire et d’ouvriers au début du 20ème siècle.
C’est ainsi que le Paris de Malet et Tardi est le Paris des bistrots et des pt’ts blancs, des sandwiches, où l’on pouvait encore téléphoner dans les cafés.
Ce sont des galeries de Portraits en dessins (Pennac) et des plans larges en perspective sur les rues, les quartiers et les monuments de l’arrondissement.
C’est la rencontre du maître du roman noir avec sa verve littéraire et transgressive et celle de l’humaniste dessinateur.
À lire !!!!
Un album qui se veut ambitieux mais m'a fait l'effet d'un pétard mouillé... Tout à fait recommandable mais vite oublié.
Du polar solide et glauque à souhait. Incroyablement efficace et prenant, une lecture qui colle à la rétine une fois le livre fermé. Du très bon.
Un sublime polar servi par un noir et blanc généreux. La mise en scène un poil brouillonne (les pages à lire dans des sens différents par exemple) nuisent un peu au plaisir de lecture et coute sa dernière étoile à mon avis.
Encore un tome d'une extrême intelligence écrit par Mathieu, mais ce tome est beaucoup plus philosophique que les autres.
Si les questions existentielles/dimensionnelles/temporelles ont toujours fait partie des Julius Corentin, celui-ci ressemble encore plus à un traité de philosophie que les autres. Et c'est, comme d'habitude, magnifiquement bien écrit. Par contre, je peux comprendre que certains trouveront ce tome assez lourd, comparé aux autres. Bien sûr, les surprises avec "l'objet-livre" sont toujours bien présentes.
Si vous avez envie de vous pencher sur la question de l'infini... ou du fini, c'est selon... Mathieu prouve encore qu'il lui reste plus d'un tour dans son sac... qui est peut-être inifiment grand?
Tout est dans la note. Essentiel même je dirais. Merci à Hippolyte de nous permettre de nous identifier et de lettre en lumière cette situation...
L'histoire suit son cours, alors que l'on pensait que l'affaire presque pliée au tome précédent.
Les auteurs ont trouvé une astuce pour prolonger l'aventure en utilisant des éléments scénaristiques des premièrs épisodes de Lanfeust odyssey.
Arleston réussi même le tour de force de réunir l'équipe emblématique de cet univers.
Malgré quelques facilités scénaristiques voire quelques invraisemblances, l'auteur réussi à recoller un maximum à ce qui a fait le succès de Lanfeust. Les clins d'œil graphiques, l'humour, l'aventure, le monde en danger, ... tous les ingrédients sont réunis pour donner aux fans une expérience Lanfeust de Troy bis.
Par certains aspects, on pourra reprocher un manque d'originalité. Probablement qu'Arleston garde ses meilleurs cartouches pour d'autres projets.
Les excellents dessins de Tarquin restent un plaisir pour les amateurs. L'évolution graphique (physique) de Lanfeust est remarquable.
Cela aurait pût être le tome conclusif de cette "saison", mais les auteurs ont décidé de prolonger le plaisir.
Un peu moins pétillant et moins surprenant que l'épisode précédent, cet album reste très agréable.
Les graphismes de Tarquin, toujours au niveau, avec son côté incisif, épique et comique ravira tous le fans de la première heure (dont je fais partie).
Ne tournons pas autour du pot, l'excellente colorisation constitue 90 % du charme de cette série. Pour le reste, elle n'est prétexte qu'à des dialogues interminables et de grandes violences gratuites. Aucun personnage n'attire la sympathie.
fan de B&M, j'ai été agréablement surpris par cet album !
On est clairement à un meilleur niveau que certains parus précédemment et qui étaient décevant.
Ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais on est dans l'ambiance, et l'histoire se tient. Certains critiqueront le côté éternel d'Olrik, mais moi j'ai bien. Que serait Zoro sans le sergent Garcia ? Certains couple héro/antagoniste sont le coeur même de série.
remarque: Le format à l'italienne est particulièrement agréable ! la taille un rien plus grande des cases donne un peu d'air et facilité la lecture je trouve. Un format vraiment sympa !
Je m'en suis débarrassé tellement il est nul. On a touché le fond avec les hommes-lézards. Quel gâchis!
Un soulagement après des albums moyens, mauvais, voire nul comme "Le fleuve de Jade". L'intrigue est bonne, les dessins aussi, on a beaucoup de rebondissements, même si c'est trop alambiqué. Julia bien plus touchante que dans l'album ou elle apparait. Le mariage lui aurait mis du plomb dans la tête ? Un bon cru.
Evidemment, il y a matière à critiquer de voir Alix en satyre poursuivre Enak déguisé en fille. C'est de très mauvais goût. Mais enfin, pour une fois, Alix déclare sa flamme, et même fait du rentre-dedans, à une fille. Est-ce un effet d'avoir été pris en main par Cléopâtre dans un album précédent ? Quand je disais que c'était Lidia qui avait la bonne technique pour "chopper" Alix. Hourra!
Après le plutôt réussi, "Roma Roma", c'est mauvais. Le recyclage d'Arbacès en satrape, ça marchait dans "La tiare d'Oribal", mais là, teint en brun et que personne ne reconnait, c'est n'importe quoi. La 1e partie à la cour du roi parthe est pourtant très bonne avec Surena (le minimum, cependant, aurait été de le faire ressemblant au Surena d' "Alix l'intrépide". La figure du déserteur est aussi intéressante. Mais c'est tout. La recherche de la soeur d'Alix qui s'enlise complètement est une autre déception. Ah si, un point rigolo : pour une fois, une jolie fille en pince pour Enak plutôt qu'Alix.
Album moyen, je ne trouve pas le graphisme très réussi. L'histoire est assez plate et qu'Alix s'installe dans une villa n'est pas crédible. Mais bon, après d'autres épisodes vraiment ratés, ça se laisse lire
Très bon album, un soulagement après plusieurs médiocres, tant au point de vue de l'histoire que du dessin. C'est vrai que le complot est tiré par les cheveux mais on se laisse prendre. Avec grand plaisir. L'Egypte inspire décidemment J. Martin.
Bien sûr, c'est le premier, alors on lui pardonne ses péchés de jeunesse. Le dessin est encore rudimentaire, les copier-coller de "Ben Hur" trop flagrants et le travestissement d'Arbacès... Un peu ridicule. Mais l'histoire est bien et, encore une fois, la série commence en fanfare.
Brocante de Noël 2020....Dans un étal, diantre!, Un Goossens que je ne connaissais pas!!!! J'adore Goossens. Je lisais Fluide Glacial pour, quasiment, que lui ou presque...parce que Gotlib, Binet, Blutch, Boucq, Coyote, Chauzy, Edika, Foester, Franquin, Gimenez, Tronchet c'était pas mal aussi..
De cet album, la blague de 4ème de couverture est hilarante. Celle de la couverture est incroyable de pince sans rire graveleux. Bref Tout y est pour me régaler.
Alors je me plonge dans l'album, les commissures de lèvres déjà au plus haut et patatras....je comprends pas.
Je ne ris pas. Pire je ne saisis pas les chutes. Pire encore, je ne pige pas ou veut nous mener l'auteur. Et pourtant je le lis et le relis, chaque année à Noel, pour tenter de percer le mystère : La scène sur la plage...la fille est morte ou est-ce un baiser pédophile que Gary Grant (Malko) lui donne ? Les deux peut être mais pourquoiiiii? Pourquoi faire un cinéma d'extrême gauche bulgare avec gros plans pour finir avec une pierre en liège pour suicide? Pourquoi ça finit en cerclage tellurique l'histoire des Mormonts? Et celui du régionalisme qui se clôture en travelling arrières, en dialogues illisibles sur un décor....vide. ?
Goossens va tellement loin dans le non sens que j'en perds à chaque fois la direction. .
Non, c'est impossible. Je persiste à croire que l'auteur nous a laisser des indices. Et alors, là, le mystère de la vie me sera alors révélé!
C'est pourquoi désormais, je fais bruler des cierges à l'église, mosquée ou synagogue (j'ai besoin de l'aide de tout le monde, je vous jure) puis je me remets à lire l'album.
Je fais cela à chaque noël. Car un jour, c'est sur, je comprendrais enfin ou voulait nous amener Daniel Goossens dans cet album. Et à ce moment là, je saurais si dieu existe ou pas .
Une couverture bien satirique à souhait, un concept de départ alléchant, des dessins aux couleurs vivantes, de l'ironie, de l'absurdité, beaucoup de cynisme et un message politique de gauche cherchant à bousculer la lutte des classes: c'est à peu près tout ça 'Billionaire Island'.
N'étant pas fan de comics, je n'en lis que très rarement mais il m'arrive d'en essayer un voire deux soit pour la couverture, soit pour le scénario. Ce comics avait pourtant de très bons atouts pour me plaire: concept prometteur, critique du capitalisme exacerbé, dénonciation des attitudes et dérives de riches…
Et pourtant, j'en ressors mitigé pour plusieurs raisons, nous sommes dans la caricature et le manichéisme extrême: les riches sont très riches et pourris jusqu'à la moëlle, les pauvres sont très pauvres et gentils. La subtilité et la nuance seront malheureusement aux abonnés absentes.
Au fur et à mesure de la lecture, certaines célébrités "déchues" et/ou controversées vont se faire tacler: Kévin Spacey, Gérard Depardieu, Steven Seagal et bien sûr Donald Trump. Etrangement, il n'y a pas mention ou présence d'un Epstein, Léonardo Di Caprio, Tom Hanks, Bill Clinton ou encore Hunter Biden, le fils pédophile de Joe Biden dans la liste des riches de cet ouvrage, qui tiennent de beaux discours sur l'écologie tout en prenant un jet/yacht privé et/ou qui s'adonnent à des plaisirs sordides.
La déception continuera de plus belle avec une fin en mode "happy end" et surtout, la mort du méchant principal qui est peu spectaculaire et par conséquent anecdotique.
Toute la dénonciation exprimée n'est au final aussi futile qu'inoffensive car l'effondrement arrivera et les mêmes reprendront le pouvoir et l'argent au détriment des autres. L'Histoire se répète en boucle et ce n'est pas en dénonçant des personnalités sur lesquelles tout le monde crache que cela rend une œuvre subversive ou anticonformiste. Non, loin de là.
Rares sont les BD dont le lieu d'action est la Norvège et encore moins au XIIIème siècle en plein Moyen-Age !
Un jeune seigneur Viking renonce à sa fortune et à son rang car il n'est pas toujours facile d'être le fils d'un seigneur de guerre assez cruel qui veut perpétuer sa dynastie. Il va essayer de donner un autre sens à sa vie. On va le suivre dans une véritable aventure viking sur fond de quête nous entraînant assez loin jusqu'à côtoyer le monde de la magie.
Les mythes nordiques m'ont toujours attiré et celui-ci sur un mode plus réaliste apporte un souffle épique. Outre la quête de la vérité et de la rédemption, il y a des accents shakespeariens sur fond de tragédie familiale.
J'ai bien aimé le dessin de Vincent Wagner avec des couleurs assez belles qui font souvent défaut dans la collection « Mosquito » et son noir et blanc traditionnel. Cela change un peu. Il faut savoir qu'il s'agit là de la réédition d'un album originellement paru aux Editions Du Long Bec qui ont cessé définitivement leurs activités.
Sur le fond, il s'agit d'un récit assez passionnant à suivre car l'intrigue est prenante avec ses multiples rebondissements entre les trahisons et les malédictions. Par ailleurs, la mise en page est assez réussie pour bien suivre cette aventure sur un mode totalement médiéval.
Quand le fond et la forme se rejoignent dans la qualité, c'est évidemment une saga nordique à vous recommander. A l'origine, c'était plutôt destiné à la jeunesse mais tout le monde peut la lire.
L’album de comics "DC Univers Rebirth Superman "( Urban Comics-2018) de Peter J. Tomasi, scénariste, et Patrick Gleason , dessinateur, nous conte que depuis l’événement "Flaspoint" , Superman est mort pour mieux revenir dans "Renaissance". Dans un autre univers, un autre Superman est marié à Lois, a un fils, Jon, et un super-vilain puéril et fou a pris l’identité du journaliste Clark Kent.
Celui-ci voulant effacer les souvenirs de la vie de Jon, va échouer et permettre aux deux Superman de fusionner et mettre en avant le nouveau costume de Superman renaissance avec les souvenirs de l’autre.
C’est le "DC Universe Rebirth".
À lire pour tous les fans, comme moi, du couple Lane/Kent.
Légèrement meilleur que le précédent, mais ça demeure somme toute assez simpliste avec malgré tout une intrigue surexpliquée aux lecteurs. Bien sûr, les situations insensées sont aussi bien présentes. Ça demeure toutefois divertissant quand on se met en tête que c'est une BD de 1954.
Je me lance enfin dans Johan et Pirlouit. Enfant, cette série ne m'intéressait pas du tout. Il était temps que je la lise. Mais il paraîtrait qu'il faut attendre jusqu'au 7e album pour que ça devienne bon... Ouf, ça va être long!
Tout a été dit sur ce premier tome. C'est une histoire de son époque. L'intérêt aujourd'hui demeure purement historique.
Sinon, j'ai appris dans l'intégrale l'origine du nom de plume de Peyo, qui diffère un peu de celle racontée sur ce site. Un jeune cousin de Pierrot incapable de prononcer ses 'r' prononçait toujours "Pie-yo"... qu'il a décidé de changer en Peyo, tout simplement. Pierre -> Pierrot -> Pieyo -> Peyo. Aussi, son nom de famille, Culliford, lui avait déjà rendu la vie dure à l'école (pour des raisons évidentes), alors il préférait un surnom tiré de son prénom.
Voilà!
5 petites histoires axées sur des personnes aux troubles pathologiques qui évoluent dans des univers fantastiques. Très peu d'intérêt car très peu de développement. La deuxième histoire m'a fait penser à une histoire de Julius Corentin mais en moins bon. La troisième était probablement la meilleure car elle met en scène une véritable intrigue (résolution de meurtre). La dernière est la plus étrange; l'idée est bonne mais trop courte. Bof.
Deux histoires aux graphismes particuliers que j'aime bien. Mais les histoires sont toutes les deux bizarres -- faciles à suivre, mais sans explications pour nous situer dans l'univers des récits. Le résultat est qu'on a l'impression de ne pas trop comprendre le but ou le sens second des histoires.
La première histoire est la meilleure et présente une sorte de maison vivante qui capture ses visiteurs dans une sorte de distorsion spatio-temporelle sans que ses visiteurs ne semblent s'en rendre compte. La deuxième présente un bébé qui a été élevé par des monstres étranges.
Euh, un exercice de style, je crois.
L'idée d'une enquête policière est bonne. Le graphisme n'est pas terrible et l'histoire pas très cohérente, même si elle est très rythmée. Le personnage d'Octave prend du relief. Bref, moyen mais on est content que la relève soit prise après la mort de J. Martin. Un point subsidiaire à noter, cependant : la promesse d'Alix à Aurelia laisse perplexe. Les vestales finissaient leur sacerdoce à 40 ans. Elle a l'air d'avoir plus ou moins l'âge d'Alix. Or, celui-ci a 50 ans dans "Alix Senator". Comment raccrocher les wagons ? Et quid de Lidia dans l'affaire ?
Ma première impression n'était pas très bonne. Faire une intrigue incompréhensible ne fait pas d'une histoire un chef d'oeuvre comme "Le grand sommeil". Car, si on comprend (plus ou moins) les motivations du grand-prêtre, dans le fond, quelle est la stratégie de Cléopâtre dans ce montage abracabrantesque ? Le graphisme n'est pas à la hauteur. La coiffure en queue de cheval de Cléopâtre ne lui va pas du tout, même si c'est plus proche de la réalité historique car elle était grecque. Mais alors, tant qu'à la coiffer à la grecque, il faut lui faire le teient plus clair ! (d'ailleurs, elle ne portera plus cette coiffure par la suite, les lecteurs ont du se plaindre...) Et puis, plaquer dans la bouche de Cléopâtre une réplique de Simon de Monfort pendant la croisade contre les Albigeois 14 siècles plus tard, ce n'est pas sérieux. Et montrer les seins de Cléopâtre pour un oui ou pour un nom, ce n'est pas sérieux du tout du tout dans une BD quand même jeunesse... Comme dirait Enak (cf. sa remarque sur Julia dans "La chute d'Icare").
Mais, à la relecture, les sentiments contradictoires de Cléopâtre sont décrits avec finesse et on retrouve avec plaisir cette ambiance égyptienne qui est le cadre de très bons albums ("Le Sphinx d'or", "Le prince du Nil", "O Alexandrie", "Les démons du Pharos"). On est aussi content de savoir d'où sort Isadora. Et on est donc content pour Enak...
Le début est excellent et le dessin de bonne qualité. Les personnages d'Asham et de Lucterius sont attachants. Mais c'est vrai que ça tourne un peu court quand ils arrivent en Bactriane.
Le côté intrigue politique est pas mal et le dessin de qualité. Mais l'histoire est un peu trop alambiquée (les pirates au grand coeur, pas crédible). Et puis le début est redondant avec "La dernière conquête". Le principal intérêt : l'apparition de Cicéron et Tullia.
Ca démarrait très bien et le dessin est fidèle mais franchement, qui peut croire à une histoire aussi inepte ? Le principal intérêt est de savoir ce que devient Tullia.
J'hésite à l'acheter. Cette géante est grotesque et j'espère qu'elle sera abandonnée dans les prochains épisodes après "Le dieu sans nom". Quelques bonnes idées et du suspense intéressant après le sacrifice du taureau qui ouvre l'histoire. Mais le graphisme n'est pas fidèle à J. Martin
Nul. J'ai refusé de l'acheter. Cette géante est grotesque et j'espère qu'elle sera abandonnée dans les prochains épisodes.
Bof. Le dessin n'est pas top et Mangin pas convaincante. Quelques bonnes idées mais d'autres trop farfelues (les billes de feu !). C'est toujours mieux que le catastrophique "Antre du Minotaure" d'"Alix Senator"
C'est vrai, le graphisme n'est pas terrible mais c'est une très bonne histoire, tout comme "Les démons du Pharos", après plusieurs épisodes médiocres. Je trouve certains commentaires sévères. C'est original, dépaysant, bien mené. Et puis, c'est le dernier de J. Martin.
Je trouve cet album excellent, tant dans le dessin que le scenario et la sévérité des certains commentateurs étonnante. Retrouver des personnages du topissime "Dernier spartiate" est réjouissant. J'ai toujours estimé dommage qu'Héraklion ne soit pas davantage mis en valeur dans les différents épisodes. En plus, cette incursion en Algérie-Tunisie vraiment réjouissante. C'est beau.
Vraiment un excellent album. Bréda et Jailloux sont fidèles à J. Martin, tant dans le dessin que le scenario. Les dessins de montagnes sont superbes, tout comme celui d'Ithaque dans "Le bouclier d'Achille". Les personnages ont un vrai relief. Pour la première fois, il y a un jeune premier qui est vraiment aussi séduisant qu'Alix et c'est lui qui est bien parti pour emporter le morceau avec la jolie fille. Etonnant, non ?
Album nul, avec tous les poncifs à la mode, très loin de la liberté d'esprit de Jacques Martin. J'ai refusé de l'acheter. Ces Amazones sont caricaturales, tout comme Carbo. Et comme le disent d'autres commentateurs, la révolte finale sans représailles des légionnaires romains est sans queue ni tête.
Le plus grave me semble de montrer dans une BD jeunesse Enak s'acoquiner avec une bande de débauchés bisexuels pour soi-disant faire plus "vraiment romain", puis de le voir participer à ce qui n'est ni plus ni moins qu'une descente machiste pour aller violer des filles.
Je ne comprends pas qu'on laisse Mangin sur cette série alors que d'autres auteurs sont bien meilleurs.
Un seul point un peu amusant : aucune des 3 jolies filles n'en pince vraiment pour Alix. Il baisse de forme...
Cet album est topissime, cela faisait longtemps qu'il n'y en avait pas eu d'aussi bon. Bien sûr, le méchant de service est fatiguant d'être toujours là. Mais l'éditeur devrait capitaliser sur ces auteurs, plutôt que sur les autres équipes Mangin, Venanzi etc. Le dessin est très fidèle à J. Martin, entre des albums qui ne le sont pas du tout. L'image d'Ithaque au début, par exemple, est superbe. Le personnage d'Oratis permet de renouer avec les heures glorieuses d'un des meilleurs albums de la série, si ce n'est le meilleur (Bien sûr, l'histoire de cet épisode-ci étant censée se passer avant, il est incohérent qu'Oratis n'ait pas repris ensuite contact avec Héraklion dans "Par delà le Styx". Les scénaristes devraient cesser de faire des allers-retours dans la chronologie). C'est amusant de voir Oratis ne pas imiter sa soeur et rester de marbre face à Alix, tandis qu'il y a du suspense sur le fait de savoir si Enak a vraiment ses chances ou non avec la plus jeune. Parce que "Nous avons apprécié votre compagnie", ça casse !
A suivre, donc, en espérant que les bons auteurs de cet épisode capitaliseront sur le personnage d'Oratis et les autres.
Donner une suite au "Prince du Nil" était une bonne idée, c'est pourquoi j'ai quand même mis 3/5. Mais l'histoire est presque un copier-coller de "L'ombre de Sarapis" (Cléopâtre devenant de plus en plus retorse à chaque fois). Le dessin n'est pas terrible, les larmes font faux (comme dans "L'ombre de Sarapis") et franchement, Mangin n'est pas à la hauteur, tout comme dans ses "Alix Senator" qui deviennent de plus en plus ésoterico-délirants après les 4 premiers albums qui étaient pourtant très bons. Pourquoi ne pas capitaliser sur Jailloux, Breda ou Seiter ? Leurs albums sont nettement meilleurs.
"Centaurus" présente une approche qui fait largement penser à un univers parallèle aux "Mondes d'Aldébaran". Des événements étranges se déroulent à bord du vaisseau-monde qui est censé transporter une poignée de terriens sélectionnés vers une planète habitable appelé "Vera" qui nécessite 400 ans pour s'y rendre, car notre planète bleue est dévastée. Le défi est de taille et les situations s'enchainent de surprise en surprise, c'est bien foutu. Ce type de narration de fil en aiguille est habituel chez Leo dans sa façon de raconter, je ne suis donc pas surpris. Là aussi, il existe un bestiaire bien particulier sur cette nouvelle exoplanète.
Concernant le dessin de Janjetov, il est moins qualitatif, c'est même lui qui m'a refroidie dès le premier tome avec le choix de représenter les rides d'une même épaisseur de ligne claire que les contours des personnages mais aussi des hachures assez horribles pour les ombrages dans le T1. Heureusement, ces défauts sont corrigés dans les tomes suivants. Dans l'ensemble, le dessin manque de vie, l'expressivité des personnages reste très figée, la mise en couleur est froide et numérique, malgré le trait de Janjetov qui se débrouille très bien dans la perspective et le mouvement.
Une série intéressante pour les fans du style de Leo ("Les Monde d'Aldébaran") ou même Leo/Rodolphe ("Kenya", "Namibia", etc) par un scénario bien agencé.
Toujours du grand JM Arnon avec toujours de belles trouvailles scénaristiques, de beaux dessins, un nouvel éditeur qui amène au travail sur les couleurs
Toujours du grand JM Arnon avec toujours de belles trouvailles scénaristiques, de beaux dessins, un toujours un bon travail des couleurs
Toujours du grand JM Arnon avec toujours de beaux dessins, un bon travail des couleurs et de nouvelles et bien grandes héroïnes
Du grand JM Arnon avec toujours de beaux dessins et une belle histoire et un beau et bon travail des couleurs
Cet album #4 rassemble des travaux déjà publiés dans les Échos des savanes ou Étranges aventures
Certaines histoires ont été recolorisées.
Il s'agit de cinq histoires d'Alice Darc sorcière a qui il arrive des aventures toujours teintées d’érotisme.
Six nouvelles histoires avec toujours de beaux dessins de JM Arnon même si les couleurs font parfois perde le détail du dessin
Bof, beauf...
Si la précédente BD de Pierre George et Jean-Yves Viollier, Manzana et Patxaran, à la ligne claire « linge basque » et à l'humour poil à gratter, avait su réconcilier Bascoï et Parigots, celle-ci laisse perplexe.
L'idée de faire une BD sur Bayonne, avec l'appui des institutions locales, n'est pas une mauvaise idée en soi. Cela permet d'avoir de la documentation, des photographies... Sur lesquelles s'appuyer.
Mais, contrairement à leurs précédentes BD - qui m'avaient fait un peu sourire - là je dois avouer que c'est loupé. C'est long et ennuyeux. Exemples de cette morosité ambiante : l'interminable chasse au trésor sur le thème de l'histoire de la ville, la lourdeur de Gorka et de ses références sexistes, les manifestations basques qui le perturbent ou encore la caricature acerbe de la librairie Elkar - pourtant très sympathique - symptomatique du désintérêt des nouveaux habitants pour la culture et la langue basque.
Mais ne jetons pas l'eau de la Nive avec la BD, cela reste un beau guide touristique, pour tous ceux qui ne connaissent pas la ville ou qui souhaiteraient s'y installer... Car le vrai trésor, pour le maire EtxePagaille, ce n'est pas Bayonne mais l'argent des touristes.
Autrement, inutile d'acheter cette BD, vous économiserez 18 euros ;)
Sokal est parti; il laisse cette oeuvre onirique, scénarisée pour le cinéma et devenue BD par la force de l'impossibilité financière et grâce à l'amitié indéfectible de Schuiten; Le dessin est beau, il faut s'y perdre et se laisser emporter par cette fable qui conte la force de l'espoir et de la beauté face à la haine ressassée et la rapacité de l'humanité qui laisse la nature exsangue. Magnifique !
mon avis est pour les 2 tomes
j'ai franchement adoré cette série que j'ai dévoré
l'humour noir est vraiment à mon gout avec une impertinence jubilatoire
il s'agit donc de l'histoire d'un tueur qui se cache sous des habits de prêtre pour échapper à la colère de son patron
il profite de sa fausse identité pour arrondir nettement les deniers du culte et vivre loin de la rigueur d'une vie de prêtre
les dessins de Sylvain Vallée sont vraiment idéales voir indispensables pour cette histoire avec des tronches toutes plus hilarantes les unes que les autres
bref, des albums à garder précieusement et à lire et relire sans modération
Un album plutôt réussi, avec une bonne histoire et une petite intrigue intéressante.
Il y a quelques planches qui m’ont bien plu, avec des cases plus grandes, qui donnent vraiment une bonne ambiance à cette aventure.
Il y a des lectures qui marquent. Le Voleur d’Amour en est certainement une. Le titre intrigant, imprimé en lettres dorées sur la couverture toilée fait déjà de ce livre imposant un splendide objet qui attire le regard.
Yannick Corboz adapte un récit de Richard Malka (avocat, romancier et scénariste de bandes dessinées dont l’Ordre de Cicéron et de Section Financière) qui nous emmène dans les pas d’Adrian, un jeune vénitien du 18ème siècle, dont la vie se déroule… sur plusieurs siècles. En effet, frappé d’une malédiction due aux circonstances de sa conception, le jeune homme va se révéler, à l’occasion de son premier baiser, être un Voleur d’Amour. Il dispose d’une sorte de pouvoir vampirique, de prolonger une éternelle jeunesse et de développer des capacités physiques hors du commun, par un simple baiser. Mais, ce faisant, il détrousse sa victime de ses sentiments d’amour (on peut penser aux Détraqueurs de Harry Potter, même si la comparaison se limite à cela), ce qui n’est pas sans conséquences.
La vie d’Adrian à travers les siècles et les continents nous permet de voyager avec lui, à travers ses succès, mais aussi ses malheurs, car « vivre longtemps, c’est accumuler les tragédies ». L’expression des états d’âmes, des idées noires d’Adrian est saisissante et le lecteur se prend à se demander ce qu’il ferait d’un tel pouvoir à la fois merveilleux et horrifique. L’intrigue rappelle la grande littérature ou le grand cinéma du genre, entre Entretien avec un Vampire et Only Lovers Left Alive, teintés de Dorian Gray.
Les tableaux – car chaque case en est un – de Yannick Corboz (L’assassin qu’Elle Mérite, Les Rivières du Passé) nous permettent de suivre ce récit d’allers et retours dans le temps (du 18ème siècle à nos jours) et l’espace (Venise, Byzance, New York, Paris, les plaines du Kenya, …) de manière magistrale. La beauté du dessin, à travers le choix des couleurs et une grande finesse, crée des ambiances immersives, passant de la lumière à la fange, de l’amour sans limite aux guerres aveugles et meurtrières.
Un chef d’œuvre d’un grand artiste du Neuvième Art.
@JB_B.D
A la suite de leur rencontre avec des pirates, Bug et Sagawa partent en direction du marais des nuisibles afin à la recherche d'un trésor qui pourrait changer beaucoup de choses, tout en étant poursuivi par le matriarcat politico-religieux en place.
Ce deuxième opus est indéniablement un pur plaisir, les auteurs ont mis la barre plus haute avec plus d'enjeux, plus de développement de personnages, de nouveaux personnages et un souffle épique palpable.
L'intrigue se complexifie et l'univers est davantage développé. Cela emprunte aussi bien aux films de pirate qu'au chambara, en passant par l'univers des contes.
Bravo aux auteurs, c'est pour l'instant un sans-faute. Vivement la suite.
Superbe final pour cette grande fresque épique !
Le travail de Ferrandez fait acte de mémoire : tout est remarquable, tant au niveau graphique qu'historique. L'ambiance de l'époque est fidèlement retranscrite en s'appuyant sur les unes des journaux d'époque. On assiste à la lente agonie de la présence française en Algérie sur fond de violences inter et intracommunautaires. Même si c'était un combat à contresens de l'histoire, on ne peut que comprendre la détresse vécue par ces pieds-noirs d'Algérie qui ont tout perdu (et je ne parle pas seulement des biens matériels) du jour au lendemain...
Bruno Brazil et ses acolytes du commando Caiman vont semer le trouble entre deux gangs mafieux rivaux à Sacramento.
Un scénario bien fignolé et des dessins superbes. On plonge dans cette ambiance mafieuse des années 70. Le décor est bien planté, les détails sont présents, les magnifiques cylindrées américaines.
C’est un album fort bien soigné, je le recommande vivement.
L'histoire est bâclée pour que la fin de l'histoire tienne en 1 tome.
Est-ce le dernier de la série ?
En tout cas, j'ai eu l'impression de lire des scènes les unes à la suite de l'autre avec peu de liant entre elles... De plus certaines scènes sont mal réalisées / vraiment pas top ou peu compréhensibles...
Un nouvel album décevant pour cette série.
indispensable pour tout collectionneur de BD.
L'unique défaut, l'absence de lien avec le marché d'internet...
Certains tomes introuvables ne sont pas côtés (ex la Tour Sombre) et à l'inverse certains tomes classiques ont des côtés trop élevées (ex Blueberry, Spirou, Barbe-Rouge) sauf état ultra neuf... et encore.
Mais il est difficile de suivre le marché qui est sans cesse en mouvement. Je pense quand même qu'ils devraient revoir les côtes de certains classiques...
On voit bien la différence avec les côtes Bédéthèque.
J’ai été bluffé par le scénario d’Urban, Luc Brunschwig réussi à créer un univers SF ultra crédible mais aussi très détaillé grâce au dessin de Roberto Ricci, avec des rebondissements aussi fracassants que mémorables. Malgré les illusions c’est un regards sur un futur où il ne fait pas bon vivre et qui prouve que chacun peu se laisser berner facilement. Un très grand moment de Bande Dessinée. On ne peut également s’empêcher d’y voir constamment un ouvrage référence pour l’adaptation d’un film.
Pour la nostalgie c'est parfait, on retrouve avec plaisir notre héros et ses complices, le dessin est bon par contre le scénario est très moyen, la réalisation trop classique.
Ça se lit tout de même, mais on est loin du travail réalisé pour Goldorak par Bajram/Dorison/Cossu/Sentenac
On peut dire que nos deux incontournables auteurs savent y faire ! (certains pourraient en prendre de la graine...) Quand tu frémis, quand tu pleures, quand tu rugis, à la lecture d'une BD, tu peux te dire que le travail est bien fait... C'est vraiment intense.
Chapeau bas.
J'ai pensé à une vengeance plus basique (qui m'aurait bien plu finalement vu la situation) type le film "Impitoyable" ou autre, mais ce n'est pas si simple et Jodorowsky aime les scénarios plus alambiqués. Quelques incohérences ou effets inutiles autour du coffre-fort, c'est vrai... Peut-être, un peu plus simple, plus court et encore plus enragé aurait été réellement percutant et inoubliable. Il n'en reste pas moins un excellent album.
Quant à Mr Boucq, il ne perd jamais l'aisance de son trait et de sa composition... Jeunes auteurs, voici un maître dont on peut s'inspirer !!!
Énième série sur un thème particulier, toujours chez Bamboo. Certaines fonctionnent et passent plutôt bien (Profs, Pompiers,…), d’autres moins.
Celle-ci se lit mais les gags sont très moyen. Ce n’est pas une grande réussite en soit. Mais il y a pire dans le genre.
Un excellente biographie, très bien documentée.
C'est l'histoire d'un homme, Eadweard Muybridge, mais c'est également l'histoire de la photographie et du cinéma qui nous est relatée.
Une lecture très plaisante avec une belle documentation.
Très bon album dans lequel on retrouve plus ou moins les mêmes codes que lors du premier volume tant au niveau de l'écriture que du dessin. Des chapitres sont orientés sur le passé de certains des personnages et sont bien intégrés avec les chapitres plus orientés sur la trame principale ; on en apprend plus sur les protagonistes sans que cela fasse trop lourd ou trop bavard, c'est plutôt réussi. On peut également souligner la mise en page qui est vraiment bonne.
Bref, c'est excellent.
Ce n'est pas Twin Peaks mais Nine Peaks ! Nous voilà encore embarqués dans un manga de baston où un lycéen Gaku (16 ans) est le héros. Il faut dire qu'il s'est déjà forgé une réputation de dur à cuire qui attire toute la délinquance du coin.
Voilà qu'il vient de perdre son père âgé de seulement 38 ans dans un accident de la circulation alors que ce dernier menait une vie tranquille de restaurateur. Le fils se rend compte que son père a compté pour beaucoup de personnes dans cette ville moyenne du Japon.
Il ne trouve rien de mieux qu'à parti à la pêche le soir des funérailles où il n'a pas laissé place à une quelconque émotion pour la perte de son seul parent. Survient alors un événement fantastique comme par magie. Il va se retrouver mêler dans une guerre des gangs qu'il va gérer avec son père rajeuni de 22 ans. On comprend alors que le fils a fait un bon dans le passé pour s'apercevoir que le père donneur de leçon était lui aussi le roi de la baston.
Il est dommage que la psychologie soit si primaire dans ce manga avec des réflexions et des comportements qui ne volent pas très hauts. Mais bon, au niveau du divertissement, cela assure quand même assez bien et c'est ce qui compte le plus souvent. Bref, ce titre pourra plaire surtout aux plus jeunes pour leur faire comprendre que leur père a été comme eux durant leur jeunesse en faisant les mêmes conneries.
Juste encore un mot pour indiquer également que le look « Amadéus » de notre héros, véritable tête à claques, ne le rend pas très crédible dans son rôle de bagarreur hors pair.
Si vous aimé les bastons entre racailles mais également les voyages dans le temps, ce manga est fait pour vous ! Sinon, vous pouvez toujours passer votre chemin.
Quand la petite histoire familiale rencontre la grande histoire nationale d'un pays proche: le Portugal.
Qui connait encore Salazar le dictateur portugais? Qui sait que les Portugais ont immigré en masse notamment vers la France, qu'ils y étaient mal accueillis, car trop différents?
Cette histoire intemporelle nous est ici racontée avec sensibilité à travers les récits de proches de l'autrice. Ainsi à travers plusieurs témoignages parfois douloureux et toujours sensibles, elle nous raconte, la nécessité de l'exil, la difficulté de l'intégration, l'oubli du passé, la recherche des origines.
Les limites de l'exercice sont: le graphisme naïf qui ne permet au lecteur de faire corps avec le récit et l'aspect un peu trop descriptif de la narration qui n'apporte pas de profondeur aux thèmes de l'immigration, de la difficulté de l'intégration ou autre...
Autrice à suivre sur la durée.
Le dessin bien sur, le scénario aussi, même si il a vieilli et enchantera moins les jeunes d'aujourd'hui (je pense). Il faut se laisser porter par l'histoire et prendre les rebondissements et gags quand ils se présentent. Spip, le marsupilami, Fantasio nous dérident à tour de pages.
Une belle BD publicitaire comme je pensais qu’on n’en faisait plus de nos jours … mais faire de manière originale !
Une lecture simple sur des sujets difficiles : Meurtre, suicide, pédocriminalité, pauvreté, maladie, enquête, justice... Très peu de joie de vivre dans ce manga.
Dessin de bonne facture et explicite qui réussit l'exploit de ne pas faire tomber ce thriller dans un voyeurisme primaire.
3,5/5
J'ai bien apprécié cet album. L'histoire est intéressante, sans temps mort. L'enquête se déroule sur un bon rythme.
Le côté fantastique est très léger, ce qui m'a plu.
Le dessin est très bien également.
Un bon album en somme.
Si l'avis d'addrr n'est fondé que sur l'intégrale, je le comprends et 3 étoiles sont encore trop.
@ minot a amplement raison ! Il me semble à moi aussi inconcevable de lire "Saint-Elme" en noir et blanc. La couleur est un élément fondamental de la série, si ce n'en est l'élément principal. Je me demande encore comment Delcourt a pu commettre cette version pasteurisée.
A tous ceux qui voudrait découvrir "Saint-Elme", ne vous laissez pas avoir et choisissez les albums !
Série quand même bien surcôtée… pas désagréable, évidement, très plaisante à lire même, mais de là à crier au génie … Lehman a fait mieux ! Quand à Peeters c’est un sans faute propre (trop) ?
Un premier album à l’ambiance incroyable, créée en grande partie par le graphisme de F. T. Linhart, dont l’épure léchée démontre une grande maitrise. Sa ligne claire et précise, ses décors minimalistes très efficaces, son travail soigné sur la lumière, sa palette de gris-bleu parsemé d’éléments rouge-orangé, donnent au dessin un impact maximum.
De surcroit, les planches en gaufrier de 6 cases offrent une lisibilité parfaite.
Enfin, le format à l’italienne parachève l’ensemble en servant idéalement la narration.
Le récit prend la forme d’une enquête sur le modèle du « whodunit », menée par un inspecteur d’assurances âpre et taciturne, au sein d’un minuscule village isolé du nord de la Suède. Un homicide sordide y a été commis et chaque habitant peut y avoir joué un rôle. Le meurtre semble toutefois insoluble et des choses étranges commencent à se produire… Le mystère s’épaissit peu à peu, dans des paysages enneigés qui renforcent encore cette atmosphère de mystère et de suspicion.
Les personnages sont tous très bien caractérisés et, chose très rare, chacun possède une profondeur psychologique bien exploitée.
La résolution de l’énigme peut diviser, mais elle a le mérite d’être aboutie et cohérente.
L’espagnol F. T. Linhart a donc réussi avec « Röd i snön » un étonnant polar à l’esthétique limpide, à l’architecture complexe et à la dimension humaine poignante. C'est superbe !
Un album à découvrir d’urgence et un auteur à suivre.
4,5/5
On retrouve notre reporter dans une affaire assez classique. Kidnappings, filatures et rebondissements divers sont de la partie dans cette nouvelle enquête.
Decorum séduit tout d'abord par son aspect esthéthique : Esquisse, ulra-réaliste, aquarelle, noir et blanc, couleur, sépia, fait main et numérique, tous les styles y passent, parfois sur une même page .
Côté scénario, le premier tome à de quoi déconcerter mais cela est une habitude avec Hickman dont l'utilisation du vocabulaire et de la syntaxe est toujours particulière . De plus qu'ici, c'est inutilement complexe car l'histoire privilégie finalement l'action, et la morale est simple à comprendre.
De bonnes idées (notemment sur la cohabitation de l'IA et l'organique), drôle et nerveux , Decorum m'a surpris d'abord puis s'est dévoilé en bon comics de science-fiction orienté action avec des personnages tout à fait attachants.
Après 'Bertille & Bertille' et '13h17 dans la vie de Jonathan Lassiter' qui semblaient correspondre à deux one-shots séparés, voici un troisième opus effectuant la liaison entre les deux précédents et apportant une conclusion à l'ensemble.
Visuellement, il n'y a rien à ajouter de plus que ce je n'ai déjà écrit sur les deux volets précédents: ambiance rétro immersive, trognes mémorables, humour et réparties bien senties, nuances de noir et blanc de toute beauté, jeu sur la couleur rouge: le résultat est toujours un régal pour les yeux.
Scénaristiquement parlant, autant j'étais très heureux de retrouver les personnages principaux de chaque opus, autant ce dernier album me laisse un léger goût d'inachevé, voire de légère déception.
En effet, l'aspect fantastique lié à cette étrange boule rouge va finalement bien servir les héros en mauvaise posture et finir d'éliminer les nuisibles un peu trop facilement; même la conclusion m'a laissé de marbre et ne m'a pas marqué outre mesure.
L'ensemble reste agréable à lire mais je pense personnellement ne rester uniquement que sur les deux albums précédents et les considérer comme des 'one-shots' dissociés. Je vais "oublier" ce volume et le revendre sans trop de regrets.
J'ai autant dévoré le premier tome que j'ai vomi le second tellement c'est gore avec ces scènes de crimes à n'en plus finir.
Certes le fait divers historique dont est tiré l'album n'est pas reluisant mais était-il nécessaire d'aller si loin dans la manière d'exprimer la violence? Et de rajouter du mélo, inutile vu de moi, à la fin?
A éviter pour les personnes (trp) sensibles. Je dois en faire partie...