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Toujours aussi dynamique que le précédent, cet album emporte lecteur dans sa spirale. À chaque album, la pression monte d'un cran, j'espère juste que la fin sera digne des faits décris dans ces albums.
VIte, la suite !
Une ambiance futuriste plutôt sympathique et prenante. La progression du scénario rappelle clairement certains jeux vidéos des années 90 mais reste agréable. Le dessin original assaisonne le tout.
À suivre !
On garde la même recette pour ce tome 3 qui s'adresse toujours à un large public. Lecture sympathique, reposante et fun.
Il devient difficile de critiquer chaque album car ils traitent de la même histoire, certes à un rythme différent, mais au global c'est pas mal.
Cet épisode est plutôt dynamique, le lecteur est agrippé dès le début pour l'emmener très vite à la fin de l'album. C'est cool. J'aime aussi la (fausse) rupture dans le cycle des évènements. Bien vu aussi, l'avoir inclus l'Arche des Kerguelen.
Plus rien à dire sur le dessin qui sert parfaitement la série.
Certes, certains diront que la progression de l'histoire stagne. Ce n'est pas tout à fait faux mais cet album n'en est pas moins plaisant.
Les catastrophes ne sont peut-être pas toutes liées aux tiers que l'on avait évoqué précédemment, car on en apprend un peu plus sur les agissements du gouvernement américain.
Bref, même si ça progresse un peu moins, ça se lit toujours aussi bien et c'est toujours aussi plaisant. Suite au prochain épisode.
Du fun en pagaille pour cette série ! C'est bien barré et bourré d'humour.
J'aimais déjà beaucoup le trait de Skottie Young mais le scénario est ici excellent et distille de l'humour tout au long des 5 chapitres. Ce premier TPB contient les 5 premiers épisodes qui forment le 1er cycle.
Une très bonne parodie de conte de fée.
La série a prit son rythme. L'épisode, qui est très bon, marque une bonne évolution dans l'histoire. On note l'angoisse croissante chez les personnages et l'ennemi semble désormais bien identifié.
Le scénario est excellent. On a presque l'impression de vivre ça en direct avec le dessin réaliste.
C'est une série un peu délicate au début mais très prenante, dès le 2ème tome. Je vais devenir accro !
Encore plus de rythme et d'intérêt dans ce Tome 3. L'histoire progresse et sur pas mal de pistes. Les protagonistes sont intéressants.
Je me suis fait aux dessins, du coup, c'est plaisant à lire.
Un album original à n'en pas douter. On se retrouve très vite plongé dans l'ambiance "1967" qui rappelle celle des films de cette époque qu'on a tous vu et c'est très agréable.
Les personnages sont bien élaborés et très en vogue par rapport à l'époque.
La narration est agréable et le dessin casse un peu les codes de la BD classique. Le rythme est pas mal et une fois qu'on a commencé, on ne lâche plus le bouquin.
Malgré tout, la fin de la 1ère partie est un peu laborieuse et je me suis un peu emmêlé les pinceaux.
On progresse dans l'histoire et l'intérêt grandi. L'auteur nous oriente maintenant vers le type de menace dont il est question mais le récit est toujours aussi dense, tant en détails techniques qu'en théories "IRL" complotistes.
On croise moins de personnages, ce qui rend les choses plus simples et plus fluides.
Le dessin dont je n'étais pas fan devient appréciable, c'est encore un plus.
Une très bonne lecture. Pourvu que la série garde son originalité.
Ami lecteur, accroche-toi car du courage il te faudra pour affronter ce premier tome.
L'auteur nous livre une cascade d'événements assortie d'une cascade de personnages. Tous ça est intéressant et semble poser les bases de l'histoire mais... whouahou, c'est dense ! Pour la densité, ça rappelle un peu le premier épisode de Game Of Thrones où les personnages apparaissent les uns après les autres et le spectateur se demande jusqu'où ça ira.
Bref, on peut pas encore parler d'histoire mais les phénomènes semblent intéressants et basés sur du réel. Wait and see, donc.
Pour le dessin, je ne suis pas fan de l'aspect photo mais je m'y habituerais et plus encore si l'histoire est bonne.
En route pour le Tome 2.
Un album original. On retrouve dans le scénario quelques points clés de Zidrou comme le passé, l'amour, la nostalgie mais cette histoire m'a moins touché.
Contrairement aux autres lecteurs ayant laissé un commentaire, je ne m'attendais pas à cette fin. Je pense, en fait, que la fin est plus subtile qu'elle n'y paraît. Ça reste une belle histoire.
Je ne suis pas sensible au dessin. En revanche, les couleurs expriment beaucoup de choses et c'est appréciable.
Ce n'est certainement pas le meilleur Zidrou, j'ai préféré de loin ceux réalisés avec Jordi Lafebre, mais si vous aimez ce genre de romans graphiques qui traitent des histoires passées, lisez-le. Il vous apportera ce que vous cherchez.
Même si ce n'est pas un must, cet album mérite ses 4 étoiles. C'est la 2ème bonne surprise de chez Jungle Comics après "Mystery Society".
L'histoire est bien ficelée et les personnages, assez travaillés. Le tout s'imbrique parfaitement. Le suspense est bien géré, jusqu'à la fin et on s'intéresse vraiment à suivre les aventure de Syd et des ses compagnons.
Pour les graphismes, c'est, pour moi, parfaitement réussi. Le style est original, assumé et évoque même le franco-belge.
Le côté indé de cet album est parfaitement maîtrisé. Du bon boulot.
Ce livre est plutôt original et rien qu'à ce titre, je ne regrette pas de l'avoir lu.
Alors, on va aborder tout de suite le dessin, qui, selon moi, n'est pas censé être le point fort de l'album. La simplicité affichée est un parti pris et sais se faire apprécier au fil de la lecture.
L'originalité de l'album réside dans le scénario et la force de l'album dans la narration et dans les personnages. On s'y attache très vite d'ailleurs. L'histoire se lit sans aucun temps mort jusqu'à la fin. Et là, à la fin, apparaîtra peut-être chez vous une petite frustration, rapport au devenir des personnages. Mais je respecte la fin voulu par l'auteur.
Au final, cet album se lit très bien et est à classer tout de suite au rayon du top 10 de l’année.
Zidrou et Lafebre : ces deux noms doivent normalement vous donner envie de lire cet album.
Première collaboration des deux auteurs à travers un album des plus poétiques et des plus touchants. On retrouve de l'originalité d'abord (car il fallait la trouver cette histoire, mine de rien) puis le côté dramatique de La Mondaine et le côté poétique des Beaux Étés (d'autres titres de ces auteurs)
Le dessin de Jordi Lafebre manque un peu de finesse mais tous les ingrédients de son talent sont là.
C'est un superbe travail tant scénaristique que graphique. Une très bonne lecture.
Une belle histoire avec un début, un milieu et une fin. Elle rappelle "Où le regard ne porte pas" par certains côtés.
Le tout est admirablement illustré et mis en scène par José Luis Munuera, dessinateur de talent. Certaines cases méritent d'être encadrées. Je suis aussi bluffé par l'expressivité des personnages. Ils sont tous très travaillés.
C'est un beau livre qui narre une belle histoire. Un must à n'en pas douter.
Entamer un nouveau cycle de plusieurs albums et susciter l'intérêt immédiat du lecteur n'est pas chose aisée, même pour Van Hamme. On part de loin, de très loin et il faut revenir dans le passé trouble de XIII. J'attends de lire la suite car l'histoire devra s'observer dans son ensemble.
Toujours aucun commentaire sur le dessin de Vance.
Très bon récit de SF qui, croyez-moi car je suis très critique en la matière, ne donne pas tant que ça dans le déjà vu.
Les personnages sont attachants et bien pensés et les rebondissements vont bon train jusqu'à la fin de ce 1er tome.
Le dessin façon aquarelle est une bonne trouvaille qui permet de se focaliser sur le cœur de cette histoire, à savoir les personnages et non les décors,
Très bon bouquin.
Clap de fin pour cette saga. Ce n'est certainement pas la meilleure fin pour cette série, mais chacun se fera son propre avis. Cette fin ouvre (et c'est précisément ce qu'on lui demande) une nouvelle période sur l'univers Marvel et annonce déjà la suite (Monsters Unleashed, Marvel Now!).
La symbolique c'est la disparition d'un membre éminent de l'univers Marvel et d'un autre personnage clé de cette histoire, mais nous n'en savons pas plus... M(arketing)ystère ;-)
Outre tous ces petits sujets, j'ai pris un vrai plaisir à lire cette histoire. Le dessin de David Marquez est un plus.
À vous d'apprécier désormais car la VF sort ces jours-ci.
Encore un très bon cru dont l'action et le scénario sont maîtrisés par Jean Van Hamme. C'est un très bon épisode, bien rythmé. Encore un coup de chapeau à William Vance pour le dessin qui ne dénote toujours pas malgré ses 25 ans. C'est un détail mais j'ai beaucoup apprécié la présence de la Dodge Viper dans l'album, qui n'était pas encore la légende que l'on connaît aujourd'hui.
Toujours aussi sympathique. C'est bourré d'action et de fun. C'est très agréable à lire. Le bouquin est un recueil de plusieurs petites histoires qui se succèdent sans liens entre elles.
Mention spéciale aux deux dernières histoires dessinées par Phil Noto et Tommy Yune.
L'édition est de qualité. C'est un bon bouquin.
So british, one more time ! Excellent album !
Les critiques sont sévères, il me semble. Nous avons ici à faire à une enquête, certes plus légère que la précédente mais ô combien plus "mystique". Cette histoire concernant William S. est très bien orchestrée, même si elle laisse peu de place au suspense. Les personnages sont toujours aussi agréables ainsi que les lieux visités.
Le dessin de Juillard est toujours aussi bon, les couleurs aussi.
To be or not to be a good adventure. That (not anymore) the question !
Un album sympathique qui vous fait découvrir le Wakanda, ses habitants et ses ennemis. Le scénario est un peu confus mais reste agréable et les dessins de John Romita Jr. sont eux-aussi agréables mêmes s'ils datent un peu.
Bonne lecture.
Il est toujours agréable de retrouver nos deux gentlemen so british. Les dessins sont toujours réussis dans leurs dernières aventures, qu'ils soient signés de Juillard, Benoît ou Aubin. Donc, le discriminant est uniquement la trame du scénario. J'ai beaucoup aimé toutes les "nouvelles aventures" de Blake et Mortimer excepté peut-être "L'Onde Septimus".
La trame de cet épisode le lie au "Secret de l'Espadon" et je trouve cet épisode réussi. Les détails s'imbriquent les uns dans les autres et tout ça, forme une belle histoire. J'ai retrouvé, à la fin de cet album, le même sentiment qu'en voyant la fin d'un Star Wars. Celui qui vous rappelle : tout est en place et le conflit est imminent. Le spectacle va commencer.
Bref, cet album est une réussite et un passage obligatoire pour tous les fans de Blake & Mortimer.
Un récit célèbre adapté en BD. L'histoire (inspirée de faits réels) met l'accent sur la recherche du vrai dans l'inconnu. Le parcours de Tocqueville est impressionnant, tout comme sa quête.
Les dessins sont magnifiques et illustrent à merveille les forêts nord-américaines.
Ce livre est un très bon moment de lecture, simple de surcroît. Ça fait du bien.
On retrouve dans cette BD un immense patchwork, et c'est fun et divertissant. La base, c'est un bon vieux film à papa façon Audiard mais avec plein d'ingrédients supplémentaires comme les années 90, la musique dance, la vache folle, le monde paysan, les coquets, des punchlines bien taclées. Ce serait presque les Tontons Flingueurs mais New Look (eh oui, on parlait pas 2.0 dans les 90's).
Le dessin est excellent. Des vraies gueules à chaque case, c'est franchement réussi. Le choix du noir et blanc est pas mal car on ne distingue pas l'époque dans laquelle se déroule l'action tout de suite. Tout les détails sont travaillés. Bravo.
Bref, c'est original et complètement barré donc allez-y, foncez !
Ce titre a fait un buzz du tonnerre lors de ça sortie, et ça continue... C'est donc naturellement que je m'y suis intéressé.
Bilan après lecture : il y a du bon et du moins bon, mais rien de transcendant. Pour le scénario, c'est original et bien construit. L'histoire est moderne et bien calée dans l'époque actuelle. C'est, à l'image des personnages, très rock. On retrouve dans les personnages un peu de toutes les rockstars ou popstars d'hier et d'aujourd'hui. Il y en a pour tout le monde ! De Bowie à Daft Punk !
Je trouve, hélas, qu'il manque un point de vue à cette histoire : on ne perçoit pas ce que pense les gens de cette histoire car elle est médiatisée. La télévision est omniprésente mais ses spectateurs muets. L'action est focalisée sur le groupe des personnages principaux mais elle a des impacts sur le monde entier. Et le lecteur ne perçoit rien ou presque des éventuelles réactions. C'est dommage...
Les graphismes sont propres, trop selon moi. Le dessin de McKelvie est très beau mais les accents "ligne claire" ne collent pas à cette histoire. Il manque peut-être une touche plus trash ou plus folle. Les couleurs sont hyper travaillées et peaufinent le contraste entre le paraître des rockstars et la trame plus profonde de l'histoire.
Au final, je ne remet pas en cause la qualité de cet album, mais plutôt tout le buzz que l'on a fait autour. C'est un album de qualité mais pas l'album de l'année non plus. Je me suis ennuyé, un peu. Je ne suis sûrement pas assez rock dans l'âme ;-)
Encore un bon épisode pour cette série, maintenant que les auteurs maîtrisent le dosage des ingrédients au gramme près.
Pour le scénario, c'est du Arleston arlestonien donc pas d'inquiétude. C'est dynamique, rythmé comme il faut et c'est toujours un plaisir de retrouver nos héros.
Côté dessin, en revanche, c'est bien la première fois que j'ai un commentaire à faire. Le dessin semble en effet moins peaufiné que d'habitude, dommage. On le comprend d'autan mieux lorsqu'on a lu le tome 1 de Sangre, des mêmes auteurs. Le dessin de Floch y est impeccable.
Cela donne malgré tout une aventure sympathique et je ne suis pas prêt de lâcher la série.
Après un ralenti, l'histoire reprend sa progression. On ne comprend qu'à moitié la vision d'Ulysses et on se demande quelle sera l'issue entre Miles et Steve. Le dessin est toujours impeccable. Il illustre les ressentis et sentiments des personnages à merveille. La fin sera sans nul doute décisive.
Un peu plus de qualité dans cet album.
Qualité du dessin d'abord, avec moins de dessinateurs (exception faite des invités du #25) que le tome précédent, ce qui donne plus de clarté. Stuart Immonen et Sara Pichelli font vraiment du bon boulot.
Qualité du scénario ensuite avec une suite à La Bataille de l'Atome, assez bien orchestrée. Un bon rythme associé au dynamisme du dessin fait de cet album probablement un des meilleurs de la série.
Enfin, constatant le lien quasi-permanents qui unit les 2 séries All-new X-Men et Uncanny X-Men assez différentes tant dans le dessin que dans ce qu'elles abordent, je regrette les choix de publication des arcs narratifs. Je fais référence à la fin de cet album, qui renvoie aux Tomes 4 & 5 de Uncanny X-Men. Au final, ça commence à faire beaucoup de séries qui ne se valent pas forcément et beaucoup de dépenses...
Notre héroïne continue d'avancer dans ce monde et de retrouver des connaissances passées. Cette histoire m'emmène là où je ne m'attendais pas. Elle reste pleine de suspens.
Le dessin de Capullo est toujours aussi cool.
J'adore Frank Pé, son dessin et son œuvre. Concernant cet album, j'ai un peu plus de réserve. Le dessin est toujours superbe mais les histoires successives déversent un flot mêlé de poésie et de discours écologiste exacerbé beaucoup trop présent selon moi.
Le meilleur album de Broussaille est, toujours selon moi, La Nuit du Chat qui distille une poésie très agréable tout au long de l'histoire. Ça rend l'album presque magique. C'est précisément cette magie et cet équilibre qui manque à Un Faune sur l'Épaule et c'est dommage.
Ça a l'aspect d'un James Bond, les couleurs d'un James Bond, la texture d'un James Bond et... c'est bien un James Bond !
Du côté des bons points, on a une histoire cohérente, originale qui ne ressasse pas de déjà vu, c'est pas mal. Mais nous avons ici un James Bond différent. Un James Bond que l'auteur a pensé plus brut avec sa cicatrice et avec peu de répartie. Celui-ci ressemble certainement un peu plus au 007 de Ian Fleming mais, selon moi, il manque cruellement de charisme et de charme. À tel point que les autres protagonistes (les méchants, notamment) semblent plus "présents" dans l'histoire.
L'histoire va vite. On a l'impression que les évènements se succèdent, sans transition. Le dessin fait très américain et une touche British aurait été la bienvenue, car partie intégrante de l'univers 007. Eh oui, dessiner un Range Rover, une Aston Martin un bien un drapeau anglais, ça ne suffit pas !
Côté mise en couleurs, c'est innovant mais ça nécessite peut être un poil plus de travail, certaines cases rendent vraiment bien quand d'autres ne sont pas terribles.
Bref, lisez ce comics sans (trop) penser aux films de l'agent 00, même si c'est un exercice délicat. Il est pensé et dessiné autrement, c'est bien. Mais j'ai un peu de mal à apprécier pleinement cet album auquel il manque quelque chose pour s'inscrire réellement dans la lignée 007.
Fin de cette première partie (eh oui !). Le chapitre 6 était dynamique et plein de surprise et bien le 7 l'est tout autant ! On y trouve quelques petites facilités scénaristiques mais ça ne gâche pas du tout la trame globale de cette histoire.
Encore un grand bravo à Stuart Immonen qui a fait un super bouleau. Nul doute que l'édition VF de cette histoire sera un succès. En attendant, je veille pour voir la suite !
Une jolie fin pour le meilleur cycle de la série Carmen McCallum.
Un coup de chapeau à Fred Duval pour la qualité de l'histoire et la complémentarité de son univers BD. Ce n'est, selon moi, pas le meilleur album de ce cycle mais il le conclut parfaitement bien. On reste dans du grand Cyberpunk, bravo. PacMan dans la série Carmen McCallum est certainement une des meilleures idées de Duval, car il est plus qu'ailleurs, à sa vraie place.
Un autre coup de chapeau à Emem qui a su s'approprier complètement l'univers de Carmen sur ce 5ème cycle.
Cette série est une des rares "pionnière" à ne pas avoir glissé sur le terrain de la simplicité et du marketing... Pourvu que ça dure !!!
Magique !
Une mise en scène de Spirou originale, réaliste et futuriste. Des personnages intéressants comme on les aime. Le dessin enchanteur de Frank Pé qui nous offre des cases et des fresques magnifiques. La précision du détail à chaque case est admirable.
Le scénario de Zidrou est bien élaboré et se fait apprécier bien que légèrement effacé derrière le dessin de Frank.
J'ai passé un merveilleux moment à lire cet album qui n'est pas prêt de quitter ma collection.
Un album de qualité qui, à lui tout seul, redonne leurs lettres de noblesse à nos 2 héros d'Outre-Quiévrain et fait oubliés les 5 catastrophes élaborées par Yoann et Vehlmann.
Avis plus que mitigé. Cette série, dite d'espionnage, manque cruellement de rythme (pour en avoir, il faut attendre le dernier chapitre). Le lecteur est perdu dès le début lorsqu'il n'est pas perdu en plein milieu d'un chapitre inutile (voir le chapitre dans le désert). Tout au long du livre, on rencontre des personnages creux et peu charismatiques. Le pourquoi du comment de cette série n'est pas expliqué (même à la fin du livre). Est-ce pour créer un peu d'émulation autour du personnage de Dick Grayson ?
Coté graphisme, Mikel Janín fait du bon travail mais son trait est trop sage et mal adapté à cette série.
Au final, le Tome 1 n'évoque en rien une série d'espionnage. Amateurs du genre, préférez Velvet ou Captain America - La Légende Vivante voire même Secret Avengers en Deluxe.
Cet épisode est celui du questionnement. Que voit-on ? Que cherche-t-on ? et Pourquoi ? sont des questions que se posent les protagonistes et les lecteurs que nous sommes n'avons pas (encore) de réponses. Depuis la sortie de cette série, c'est le premier numéro que je trouve un peu en deça des autres.
Un début d'histoire plus que prometteur. C'est on-ne-peut-plus prenant ! Du très grand Mark Millar en SF !
Le dessin de Greg Capullo est magnifique, les couleurs aussi.
J'espère que le numéro 2 sera du même niveau.
Enfin un peu de nouveautés dans l'univers d'Arleston ! Cette aventure nous sort des mondes d'Ythaq et de Troy avec brio.
Pour l'univers, c'est du classique. C'est de la Fantasy comme on aime. On retrouve la patte d'Arleston à travers le vocabulaire, les noms et... la chanson. Les personnages sont très fouillés, ils me semblent plus travaillés que dans les autres séries, c'est très appréciable. Sangre rumine sa vangeance tout au long de ce premier tome et c'est génial.
Malgré les spécificités géopolitiques et administratives, on intègre très vite ce monde de Cahagne.
Le dessin de Floch est parfait, on y retrouve des points communs avec Ythaq. Le contraste de monde de Cahagne, de ses couleurs avec la noirceur des faits accomplis et de la vengeance de Sangre est intéressante. Super travail graphique.
Bref, c'est une très bonne lecture alors foncez !
Des histoires se règlent et d'autres débutent. Sans être aussi intéressant que le tome précédant, ce tome 4 n'est pas mauvais pour autant.
Mais au final, j'ai du mal à me passionner pour le sort de Cyclope et de ses X-Men car ça manque d'entrain et d'une trame vraiment prenante. Je trouve l'autre série X-Men (All-new X-Men) plus intéressante, pas seulement pour le scénario mais surtout pour le dessin.
Uncanny X-Men est un peu plus sombre mais reste, selon moi, moyenne. Sauf, si vous êtes un fan invétéré des X-Men.
Je ne sais pas trop quoi dire de cet album... C'est encore une fois de la série-concept commerciale. L'histoire de ce tome 2, comme celle du tome 1 semble inspirée de plusieurs œuvres de SF dont 2 sont, selon moi, Nihourk et Cloud Atlas (dans sa partie futuriste)...
À quoi ça sert de copier les trames déjà vues et revues... À rien !
L'action manque de mordant, les ennemis de charisme, l'affrontement de corps. Bref tout ça est mou !
Côté graphique, ça sent aussi le déjà vu avec, malheureusement un manque d'originalité dans le dessin.
L'histoire précédente était, toujours selon moi, un peu plus sympa.
Hélas, j'en viens à me poser des questions sur la qualité générale de ce type de série dite "concept". On s'adresse à un lectorat en lui disant "Tu aimes les robots ? On va t'en donner ! Et avec un peu de chance, même quand il n'y en aura plus, il y en aura encore..." C'est produit très vite et écrit et dessiné par plusieurs auteurs pour aller plus vite. C'est bien au début, pour attirer le lecteur et puis ça décline. Et un jour, des zombies arrivent dans l'histoire car c'est "tendance". Ici, nous en sommes au tome 2 sur 4. Pour Elfes, dont la qualité est très variable d'un album à l'autre, il en a 15 alors que 5 étaient prévus à l'origine.
On veut de la qualité et de l'originalité ! On produit pas une BD comme on fabrique un paquet de clope, nom de &€^* !
Cet excellent album conclut le diptyque entamé avec le tome 6. C'est un des meilleurs albums de la série XIII que j'ai lu jusqu'à présent.
On y retrouve les personnages on-ne-peut mieux pensés du tome 6 dans la suite de cette aventure. Celle-ci nous présente une face profonde de l'Amérique avec ses bons et ses mauvais représentants.
Les personnages de Van Hamme sont forts et bien construits, les décors ont une place importante dans l'histoire et les dessins de Vance donnent aujourd'hui une jolie nostalgie à cette histoire.
Une très bonne lecture (avec le tome 6).
Il y a beaucoup plus d'action dans ce tome 3 ! L'ambiance est sympathique et le dessin de Philippe Gauckler l'est aussi.
Le cœur du scénario de se tome 3 est vraiment typé "espionnage". Et même si les dialogues et les références sont toujours denses, la lecture est agréable. La position des personnages semble plus claire que dans les tomes précédents.
Maintenant que ce cycle est fini et malgré la mention "série en 3 tomes" au dos, j'espère qu'il y aura un 4ème volet aux aventures de Viktor Koralovski...
Bendis développe ses personnages et cela donne beaucoup plus d'intérêt à la série que le Tome 2. On y découvre ainsi la vie de la nouvelle école Xavier et de ses occupants ainsi que plein d'interaction avec des personnages de l'univers Marvel. Mention spéciale aux 2 premiers chapitres, vraiment réussis.
Côté dessin, je ne suis toujours pas un grand fan du dessin de Bachalo mais j'ai trouvé que le premier chapitre avait un certain charme esthétique.
Un album beaucoup plus intéressant que le précédent, sans aucun doute.
Suite des aventures de Cyclope et ses questions existentielles. Le scénario de Bendis n'est pas terrible et l'action se porte plus sur Magie. Cela repousse gentiment le conflit à plus tard. Tout est lent et parfois inintéressant. Les protagonistes sont de (très) jeunes X-Men et ça manque un peu de brio.
Côté dessin, je ne me retrouve pas dans le style de Chris Bachalo. Tous les personnages ont l'air d'avoir entre 16 et 25 ans (même Dr. Strange et Cyclope...). Quant à Irving Frazer, je ne suis pas fan non plus.
Au final, le sujet est sérieux mais le dessin manque de finesse.
Les aventures de la famille Vaillant se poursuivent. J'ai dévoré cet album et la formule est toujours aussi bonne. Mais cette fois, il y a une particularité, certaines pages sont dessinées par Marc Bourgne seul et d'autre par Benjamin Bénéteau seul. Cela ne perturbe en rien la lecture de l'album.
Je trouve que la mise en scène est un peu différente des albums précédents, le sujet de fond de l'album aussi, donc c'est cohérent. L'intensité, à son paroxysme dans le Tome 4, est retombée d'un cran et ce, malgré un retour en compétition. Le scénario est plutôt osé et ça pimente un peu les aventures de notre pilote préféré. Du coup, cette trame scénaristique est périlleuse mais vraiment intéressante.
Je suis curieux de savoir quelle sera la suite et je suis déjà impatient.
J'aime les œuvres que réalise Zep qui sortent de ses habitudes. Celle-ci est vraiment réussie.
Une foule de sentiments parfaitement répartis entre une très belle histoire et un dessin magnifique et très expressif.
J'avais adoré "Une histoire d'hommes" mais cette histoire est encore plus riche, les personnages sont si réels et touchants.
Chef d'œuvre du genre à conseiller d'urgence !
La raison de cet achat tenait en 2 mots, ou plutôt 2 noms : Millar & Murphy.
Millar car ma dernière lecture de lui était Jupiter's Legacy et que ça m'a bluffé ! Erreur... Le scénario de ce bouquin est bien mais il va mille fois trop vite et au final, l'histoire n'apporte rien au lecteur. C'est un comics à l'image de certains blockbuster au cinéma : on les regarde en se demandant tout au long du film quand l'événement marquant va arriver et arrive la fin et l'assurance de ne plus revoir ce film. C'est simple : après la lecture de ce comics, le scénario et les personnages ne m'inspirent rien, hélas.
Côté dessin, c'est du Sean Murphy avec les codes de Sean Murphy (la DeTomaso héhé), c'est vraiment très bien dessiné mais selon moi le dessin des personnages principaux manque d'éclat. +1 pour le dessin, car il relève le niveau.
Comme l'auteur du commentaire précédent, je retiens la scène de fin du chapitre 1 à Samarkand mais aussi la visite temporelle de Corbin au début du Chapitre 2, et... c'est tout.
Amis lecteur, il existe plein d'autres bonnes BD à cette époque pour que tu ne te perde (trop longtemps) pas dans celle-ci ;-)
De Mark Millar, j'ai préféré Jupiter's Legacy et de Sean Murphy, Punk Rock Jesus, un Chef d'œuvre !
Un bon moment de lecture. L'action, au sens propre du terme, n'est pas le fort de cette BD mais on ne s'ennuie pas. Le sujet est sympathique et original. Il apporte une certaine fraîcheur, comme le dessin et les couleurs. Les décors sont aussi très travaillés.
Une bonne lecture sans prétention à recommander.
Rien de formidable dans ce récit. Il est un peu plus structuré que le Tome 1 et on y trouve un peu plus d'action. Le seul vrai intérêt est Cecilia Reyes, mais ce personnage est sous-exploité dans ce récit d'introduction.
Je zappe.
Mes souvenirs des X-Men des années 90 m'ont amené à lire cet album.
La première histoire est à oublier... "Les X-Men à Hong-Kong" n'a aucun intérêt ! Réintroduire des personnages dans des contextes bizarres c'est pas terrible, tout comme l'histoire et le dessin.
Seul le prologue à l'arc "Opération Tolérance Zéro" à la fin présente un peu d'intérêt. Allons voir la suite même si c'est pas gagné...
Album plutôt surprenant. Déroutant, même.
L'histoire commence de manière assez brute et le reste de l'histoire est assez dure aussi.
La longue descente du personnage principal est bien illustrée et le dessin contraste en permanence entre douceur apparente et brutalité intérieure.
Le livre est plutôt prenant et le lecteur est tenu en haleine. Il m'a été impossible d'arrêter avant la fin.
Au final, je ne peux pas recommander ce livre car je l'ai trouvé perturbant mais il est le fruit d'un travail conséquent, qu'on ne peut ignorer.
Pour les amateurs du genre.
Attention ! Super BD. C'est un bel objet comme dirait Pierre Bellemare. Belle édition !
L'histoire est vraiment originale et n'évoque, à ma connaissance, aucune autre œuvre de SF. Il faut un petit temps d'adaptation pour se plonger dedans, rapport à l'univers, au jargon et au contexte mais tout ça se fait très bien. Les personnages sont bien pensés et chacun à leur place. Ils sont plutôt attachants et de ce fait on s'accroche car le début est un peu lent. Puis, dans le dernier tiers du bouquin, le rythme s'accélère. C'est bien écrit. Les dialogues sont bons aussi.
Les différents personnages dans leurs faits et gestes et leurs dessins ne sont pas sans évoquer des personnages de série Soda aussi éditée chez Dupuis.
Le graphisme est sympa, avec des décors et détails plutôt anachroniques mais bien pensés.
À lire d'urgence rien que pour l'originalité !
Ça continue ! Belle façon de moderniser un personnage et son histoire.
Cette histoire est moderne et part sur des bases géopolitiques réalistes bien qu’assez dense, comme dans le 1er tome. Les auteurs les font évoluer en y ajoutant ce que seront, certainement, les problématiques de demain. Les liens entre les personnages sont intéressants et les personnages sont toujours attachants. Bob Morane, avec son petit côté Tony Stark, est assez charismatique. Point négatif, les deux premiers tomes ne sont qu'une introduction.
Coté graphisme, c'est toujours du tout bon. Les personnages et les décors sont bien traités et les couleurs sont un vrai plus pour l'ambiance.
Je recommande donc la lecture de ces deux premiers albums en attendant une suite.
[update] Il semble qu’aucune suite ne soit prévue, hélas. Ça change un peu les choses car si vous vous embarquez dans ces 2 albums, qui ne sont qu’un warm-up, vous aurez une réelle envie d’avoir une suite. Il semble que ça ne soit pas prévu...
Après un petit passage à vide, l'action est de retour dans la série. Côté dessin, la première partie de l'album semble dessiner rapidement mais tout rentre dans l'ordre très vite. Les images sont superbes mais la fin est proche.
La grosse castagne a commencé ! De plus en plus de héros entrent dans la danse et on ne sait toujours pas où tout ça va nous mener !
Le dessin de David Marquez est toujours parfait. Aucun reproche.
Et en plus, nous avons droit à cliffhanger encore balèze...
On dit que certaines séries n'avancent pas assez vite, mais ici, c'est tout le contraire !
Le scénario est intelligemment orchestré. On en apprend beaucoup sur l'héroïne. Rien à dire sur le rythme de l'album, ni sur l'histoire.
Côté dessin, Mathieu Reynès respecte, cette fois, le style du premier album sans bodybuilder les personnages qui ne l'étaient pas. Mais j'avoue préférer le style graphique d'Alter Ego.
C'est un bon album, digne suite du premier tome. Mais je ne trépigne pas d'impatience à lire le tome 3. On verra...
Un épisode de plus… et la fin de Châteaux Bordeaux s'éloigne encore. Ça sent le marketing à plein nez, c'est sûr, mais la série n'est pas mauvaise pour autant. L'histoire s'étale, et ce tome 7 est presque une histoire dans l'histoire. Le scénario n'est pas mauvais, le rythme de l'album non plus. Mais, ce qui me gêne, au final, c'est cette impression de ne pas savoir où nous en sommes dans la progression de l'histoire. Je ne suis même pas sûr qu'on ai franchi le milieu...
Pour les graphismes, Espé a gagné en finesse et en précision tant dans les visages que dans les décors.
Cette série est digne des sagas télévisées diffusées il y a quelques années. Les personnages sont attachants, c'est son point fort. Il faudra un jour penser à imaginer une fin. Car toutes les bonnes choses en ont une.
Excellente bande dessinée d'espionnage !
Le scénario monte en régime par rapport à la première partie, c'est très net. L'intrigue de cette seconde partie est complexe et mais vraiment bien écrite. L'action est présente tout au long de l'histoire avec une fin aux petits oignons. Les personnages sont bien pensés. Ils ont de la consistance et sont attachants. Silas est meilleur que jamais.
Le tout est servi par un dessin au top. Pierre Alary au dessin et Bruno Garcia aux couleurs, nous montrent une ambiance parfaitement assortie à l'époque et à l'intrigue. C'est beau !
Dire que j'ai attendu tant de temps avant de lire ce bouquin. Cette série est géniale et cet opus l'est aussi. Vivement la suite !
Outre le fait qu'on s'attache facilement aux personnages principaux, le scénario est bien structuré et plus dynamique que dans le tome 2.
Le dessinateur nous offre quelques jolies cases en plus de son trait toujours sympathique et la mise en couleurs est de qualité.
On peu donc affirmer que ce tome 3 est un bon cru !
Un second volume en deçà du premier.
Le scénario est, selon moi, moins brillant que celui du premier tome, même si, l'histoire n'est pas désagréable. L'histoire, bien sûr, n'apporte aucun élément clé par rapport aux films.
Le dessin Larroca est élégant, les couleurs vives. Elles apportent elles-aussi quelque chose au graphisme de cette histoire.
Le tout n'est pas aussi bon que le premier arc, mais pour ceux qui cherchent à prolonger encore et encore l'univers de Star Wars, c'est une bonne lecture.
Je tiens d'abord à préciser que je n'ai pas lu le livre de Barjavel.
En ce qui concerne l'histoire, c'est une introduction. On découvre ce que pourrait devenir notre monde. Et surtout, grâce aux personnages principaux, quels en seraient les travers. Cette première partie du scénario semble bien écrite. Je trouve qu'il y a, malgré tout, un petit manque de souplesse dans les dialogues, mais ça le fait.
Côté graphisme, les dessins sont jolis, les personnages expressifs, et les décors assez bien fait. Mais, je trouve que ce dessin et ces couleurs, ne sont pas vraiment adaptés pour décrire en un monde futuriste. Ceci n'est certainement que temporaire car l'époque et les lieux de l'histoire vont évoluer.
Ce premier tome me rappelle le premier tome de La Peur Géante, qui hélas, manquait de consistance.
Au final, j'ai un avis assez mitigé. Je pense que pour apprécier pleinement cette histoire et avoir un avis plus complet, j'ai besoin de lire les tomes suivants. Donc, rendez-vous au tome 2.
Cette histoire, bien écrite mais assez lisse nous conte la création de la Mystery Society, une agence ayant pour but de montrer la vérité. Les points positifs sont que cette histoire s'adresse à un public large, qu'on y trouve pas d'excès en tout genre. Par contre, les obstacles rencontrés par les protagonistes ne durent jamais bien longtemps un peu à la manière d'un James Bond des années 80. Le méchant, quant-à-lui, est hélas digne d'une cour de récréation, tant dans son dessin que dans son comportement. L'équipe, hétéroclite, évoque pour moi certains albums de Tintin, dans lesquels on trouve un Capitaine, un journaliste, un Professeur... Au final, on s'attache à cette équipe.
Le point négatif est que la série s'est arrêtée. Les perspectives de développement des personnages sont donc réduites à néant.
Pour le dessin, Fiona Staples réalise un bon travail. Le design des personnages est plutôt sympathique (le méchant mis à part) mais les décors sont en revanche assez pauvres.
Bref, c'est quand même pas mal et, avec un peu plus de consistance, ça aurait valu une étoile de plus.
Reprise de la lecture après une pause estivale et toujours autant de plaisir à lire cette série. Le dessin est toujours au top et le découpage est plutôt pas mal. Toujours autant d'action et toujours très bien distillée au fur et à mesure du chapitre. Bravo !
Et dire qu'il ne reste que 2 numéros...
On continue dans les rebondissements mais là, les choses prennent un peu plus d'ampleur. Le rythme est toujours là. Le lecteur qui lira tout d'une traire n'aura certainement pas le temps de se reposer... Suite au prochain épisode.
Nouveau rebondissement et une belle accélération de l'action dû à un moyen de transport pour le moins pratique. Les personnages gagnent en épaisseur. Cette série est excellente, la VF sera un succès à n'en point douter.
Un peu moins de références (quoi que...) dans ce numéro mais les enjeux se mettent en place et l'histoire suit son cours. Le rythme est vraiment bon, l'histoire et les dialogues sont écrits dans un anglais parfaitement accessible et les dessins de Stuart Immonen sont magnifiques.
Ce numéro est un peu déroutant car il concentre l'action sur un personnage. C'est bien un épilogue en ce sens mais le dessin d'Ivan Reis n'égale en rien celui de David Finch, hélas. Le découpage est lui aussi perfectible...
La qualité du dessin et du récit est toujours au rendez-vous. On trouve toujours autant d'action et le lecteur se trouve pile-poil au centre. Mais cette fin ressemble plus à un début avec le lot de questions qu'elle laisse en suspens...
Un petit temps de flottement après le cliffhanger du #3 (si on maîtrise pas complètement l'univers DC, il faut un petit temps de compréhension). Gotham se révèle et perturbe la ville et... Batman.
Voilà une série dont j'ai entendu parler il y a très longtemps et la voilà, désormais, qui fait le buzz en VF.
Les qualités de cette série sont indéniables : le dessin, les couleurs, l'ambiance... et une héroïne charismatique !
Tout le côté graphique est pour moi parfaitement réussi et maîtrisé. Le design des personnages résulte d'un long travail et ça se voit.
Ce qui me déçoit un peu plus, c'est le scénario. Il souffre de quelques longueurs. À cela, s'ajoutent un (trop ?) grand nombre de personnages et des dialogues fait de longues tirades dont certaines sont superflues. On peut noter un écart entre la consistance de l'héroïne et celle, plus légère des personnages secondaires.
Au final, je suis plus séduit par le graphisme que par l'histoire et le background. Malgré ça, ce bouquin est plutôt original parmi les comics du moment.
Une œuvre magistrale : Millar aborde l'apparition des super-héros et de leurs pouvoirs ainsi que leurs effets sur l'Histoire et leurs héritiers conjugués avec tous les problèmes que le monde rencontre actuellement.
Le scénario est réglé au millimètre. Pas de fausse note ni de temps mort. Les personnages sont très bien élaborés. On s'y attache, car au fond, ils nous ressemblent. Du très très bon travail d'écriture !
Côté graphique, je ne suis pas un grand fan de Quitely mais son dessin est très structuré et il apporte aux personnages beaucoup d'expressivité et d'émotions. Mention spéciale à la mise en couleur qui selon les situations crée un contraste avec les événements.
Un très très bon comics, à lire d'urgence !
Encore une fois, c'est du tout bon ! Je vais d'abord parler du dessin et de la mise en couleur qui sont excellents et qui donnent un univers et une ambiance incomparable à ce bouquin.
J'ai adoré la première histoire. Elle est originale, rythmée et bien écrite. Mais la seconde est bluffante ! C'est tout simplement la fondation de l'univers de Fox-Boy après sa "naissance" dans le Tome 1. Laurent (Lefeuvre, l'auteur) s'inspire de ses créations, de pleins de références aux comics pour raconter son histoire et créer un univers. C'est tellement original et simplement génial !
Donc, merci Laurent. Lisez ce Tome 2 et vivement le Tome 3 !
Une vraie réussite que cette série, qui s'apprécie que l'on soit jeune ou moins jeune.
L'histoire, bien que classique est sympathique. Elle est un gros clin d'œil à Tintin depuis le départ de l'expédition jusqu'à la découverte de la caverne avec tous les trésors.
Le dessin "ligne claire" illustre parfaitement cette histoire.
Une lecture fort sympathique.
Un très bon épisode de XIII ! Après la fin de cycle du tome 5, on en entame un nouveau. Tout le monde s'y retrouve car les protagonistes et les ennemis sont déjà connus,
Mention spéciale pour l'ambiance qui, malgré un dessin et des couleurs désormais typés "vintage" est parfaitement bien retranscrite. Un petit village reculé, la neige, le froid et des personnages bien développés. Je vais de ce pas lire la suite.
Un policier "régional" en BD, dont l'adaptation est signée par le presque spécialiste du genre : Éric Corbeyran.
Ça fait clairement dans le "déjà vu" et même très "marketing"... Comme si Delcourt voulait pénétrer un segment de marché dominé par Glénat avec ses BD policières vinicoles (signées Corbeyran, elles-aussi). Mais bref, c'est le monde de la BD d'aujourd'hui. C'est comme ça.
Objectivement, l'histoire est agréable, les dialogues assez plats et le dessin pas mauvais, même s'il manque un peu de finesse. Ça égale, un tome de Châteaux Bordeaux, sauf qu'ici les personnages principaux sont moins creusés.
Au final, cette histoire est bonne mais elle ne casse pas 3 pattes à un canard, comme on dit. Je lui préfère de loin la série Fanch Karadec qui est, selon moi, bien plus sympathique et plus "bonne franquette".
Bilan mitigé pour cet album.
Une réussite graphique incontestable car originale et travaillée. Cela amène une atmosphère décalée qui colle à l'histoire.
L'histoire, justement... C'est ce qui pêche selon moi car elle n'est pas exempte de reproches. L'histoire d'un personnage à travers les yeux d'un autre montre ici une succession d'évènements sans réel liant. La narration est originale mais il reste au final une impression d'être passé à côté de quelque chose. Comme la fin de certains films où si on est pas 100% attentif, on ne comprend pas tout ou pas tout ce qu'il faut comprendre. De plus, la fin laisse une impression de vite fait.
Bref, l'intérêt de cet album réside surtout dans son style graphique, pour son originalité et l'ambiance qu'il amène.
Qui sont Gotham et Gotham Girl ? Ce numéro à l'équilibre bien dosé nous apporte des réponses.
Toujours rien à dire sur le dessin, même si j'attends le retour de Mikel Janìn (auteur du numéro Rebirth #1, prélude au #1).
L'histoire continue sur sa lancée et garde les bon points présents dans le numéro 1.
Le dessin de David Finch est vraiment appréciable, les couleurs changent et apportent une atmosphère différente de celle des albums de Snyder et Capullo.
Il fallait du lourd après le run de Snyder et Capullo. C'est fait ! Ce numéro représente à lui seul une introduction dans ce nouvel arc narratif. Nouveau scénariste, nouveau dessinateur et nouvelle histoire. C'est très prometteur !
Sacrée histoire ! Cette dystopie est complètement atypique dans l'univers Marvel.
L'histoire, même si elle évoque la série Walking Dead pour l'ambiance, est parfaitement rythmée et réglée comme du papier à musique. Je n'ai trouvé aucune fausse note ni aucun temps mort. Par contre, l'histoire est assez trash et violente par rapport aux autres publications de chez Marvel. Elle s'adresse donc à un public majeur. Millar ne pouvant raconter cette histoire en la plaçant à Disneyland.
Côté graphisme, McNiven fait très bien le job. Les détails de son style servent parfaitement cette histoire.
Bref, il est évident que ce bouquin est une lecture obligatoire pour tous les fans de Marvel ou de Wolverine.
Pour mettre un bémol malgré tout, malgré ses qualités indéniables, je ne la place pas dans mon top 10 personnel dû essentiellement au style de Steve McNiven dont je ne raffole pas. Ça mérite amplement 4 étoiles malgré tout.
Malgré des évènements irréversibles, la pression continue à monter et les clans se forment suite au clash du numéro précédent. Excellent !
Le clash : un événement qui va marquer l'univers Marvel se déroule dans cet album. On garde le niveau de qualité du scénario et du dessin des numéros précédents, c'est du très bon Marvel !
L'histoire se poursuit à un rythme soutenu, la pression monte et les clans se divisent.
Le dessin est toujours au top.
L'histoire commence immédiatement, l'ambiance est impressionnante et sa retranscription graphique l'est tout autant. Le ton est donné par la disparition d'un des personnages de l'univers Marvel.
Le scénario de Bendis est prometteur et les dessins de Marquez magnifiques.
Un petite introduction à cet événement dans l'univers Marvel. On ne rentre pas encore dans l'histoire de Civil War II, ceci est un prélude. Le dessin de Coipel est vraiment bien (cocorico) mais n'égale pas la clareté du trait de David Marquez qui va dessiner la suite.
Mon jugement peut paraître sévère, mais ce crossover-là est loin d'être le meilleur de chez Marvel. Comme toujours, il s'agit de la lutte entre le bien et ceux qui le défendent contre le mal et ceux qui le font. L'histoire est assez bien résumée.
Les personnages sont souvent creux, les dialogues sont plats. Le méchant pourrait être plus méchant, ainsi que ses sbires d'ailleurs. Par contre, le lecteur intègre parfaitement l'ampleur mondiale de la catastrophe dépeinte dans l'histoire.
Côté dessins, Stuart Immonen est sur la voie de la "sagesse" qu'il atteindra avec la série All-new X-Men puis Star Wars. Son trait est encore perfectible mais il y a vraiment de belles images, bien travaillées.
Au final, je trouve que Fear Itself est un event plutôt creux et dans lequel, il ne se passe pas grand chose même si on y croise pas mal de personnages Marvel.
Voilà une belle transposition de l'univers Marvel en format western. Sur le même principe que 1602, on retrouve cette fois tout ce qui compose un western. Tous les ingrédients sont là.
Les personnages Marvel présents dans ce titre sont intelligemment adaptés à l'époque, sans fioriture. Le scénario est ni plus ni moins que la trame classique d'un western mais c'est bien réalisé.
Le trait plutôt brut (dans le bon sens du terme) de Nik Virella est parfaitement adapté au contexte et à l'histoire.
C'est original, bien pensé, bien écrit et bien dessiné.
Très bon complément à la série principale Secret Invasion. La première histoire est vraiment sympa. Elle met en scène Captain Britain, les héros anglais ainsi que les agents du MI13 et... les Skrulls ! Le dessin de Kirk est efficace sans faire de miracle et le scénario est sur la même ligne. C'est globalement le cas pour les 3 histoires d'ailleurs.
Mon coup de cœur est pour le dessin de Rafa Sandoval qui illustre l'histoire mettant en scène Hercule. Vraiment très très beau.
Enfin la délivrance, ça y est c'est la fin. Celle-ci, n'a que très peu d'intérêts. Marvel replace ses pions (ses personnages). Certains vont être délaissés et mis de côté, d'autres placés sur un piédestal en vue de l'event suivant, à savoir "All-new, all-different Marvel", qui contient de vraies pépites cette fois.
Les personnages Marvel (et pas les moins bons) entrent en scène, pour vaincre l'ennemi annoncé. C'est de la stratégie et du combat classique, façon Seigneur des Anneaux, mais la trame tourne et tourne encore autour de ce même personnage. L'apparition tardive de certains super-héros est presque comique.
Les dessins de Ribic sont vraiment bons.
On amorce la chute. L'histoire manque de corps et ne fait que tourner autour de la famille Richards et de Fatalis, c'est dommage. Les promesses des premiers numéros ne sont, pour moi, pas tenues.
On continue sur la bonne lancée, et l'histoire se met en place. Ce Battleworld évoque un monde médiéval, malgré tous les composants de l'univers Marvel.
Côté graphique, rien ne change, c'est toujours aussi bon.
Intéressant. L'histoire commence bien. La fin des deux univers Marvel, en voilà une idée intéressante ! Deux univers tellement différents et à la fois tellement semblables.
Ça laisse présager d'une belle histoire, sans trop faire d'annonce. Côté graphique, les dessins de Paul Renaud et Esad Ribic sont parfaits.
Un bel arc narratif signé Ed Brubaker ! Ayant déjà œuvré sur Captain America chez Marvel et Velvet chez Image Comics notamment, il maîtrise les codes et les ficelles des récits d’espionnage. Il signe ici un récit riche et d'une bonne qualité.
Steve Rogers rassemble une équipe secrète car le S.H.I.E.L.D. n'existe plus. Ce qui est plaisant c'est que chaque histoire a un but différent et s'enchaîne avec la suivante. Comme toujours chez Marvel, on y retrouve des méchants très méchants, des anciens méchants, des gentils et des... clones !
Au dessin, Mike Deodato Jr signe la majeure partie du récit et malgré un côté un peu statique et typé « jeu vidéo », il fait le job. À noter, l'ambiance est plutôt sombre et c'est bien pour du Marvel. Ça change un peu.
Bonne lecture.
Un BD très sympathique... pour les jeunes et les autres aussi.
Un scénario à la Hergé ou à la Dodier, plutôt actuel, avec une intrigue assez simple mais un bon rythme.
Un dessin très "ligne claire" pas dénué d'intérêt, qui me rappelle les BD que je lisais plus jeune.
Bref, il ne m'en faut pas plus pour apprécier ce genre de série. Sans nul doute, les plus jeunes apprécieront aussi.
Qu'on se le dise de suite, cet album ne synthétise pas le meilleur de Brian Michael Bendis et de Frank Cho mais n'est pas non plus une catastrophe,
Le scénario est une transition, il est classique sans point réellement marquant. Il fait suite à Civil War et annonce Secret Invasion. Il est clairement perfectible. La particularité, c'est qu'il met en scène des héros que l'on voit assez peu (Arès, Sentry notamment). Ceux-là ne sont pas les plus charismatiques non-plus. On y retrouve, comme l'indique le titre notre ami(e) Ultron qui, bien qu'il soit un des plus grands méchant de l'univers Marvel, n'est, encore une fois, pas sans failles.
Côté graphique, Frank Cho est aux commandes de la première partie et Mark Bagley, à la tête de la seconde. Le trait de Frank Cho est encore perfectible (la série date de 2007, et ses dessins ont évolué depuis) bien que déjà très joli et celui de Mark Bagley est ancré dans les années 90.
Bref, c'est bon sans être excellent. Si vous êtes fan de Frank Cho ou bien des aventures de Carol Danvers et de Janet Van Dyne, c'est fait pour vous.
Très bel album.
L'histoire s'inspire de la mythologie nordique sans trop le revendiquer. Elle laisse place, malgré tout, à une certaine forme d'originalité. L'histoire s'étalant sur plusieurs tomes, l'auteur ne livre pas tout dans ce 1er opus.
Côté graphique, certes les dessins semblent légèrement inspirés par Miyazaki mais ce n'est pas flagrant. La composition graphique des personnages, les cadrages et les décors sont magnifiques et révèlent un gros travail du dessinateur.
Cet album présente un bon équilibre entre ses inspirations oniriques, mythologiques et SF. La lecture de ce 1er tome est très agréable, reste à voir ce que donnera la suite.
Très bon album. Il sent bon les vacances et la nostalgie...
L'histoire est vraiment sympathique, les personnages aussi. Les clins d'œil qui jalonnent cet album sont parfaits et rappelleront un souvenir à chacun (Le sirop Typhon, les premier pas sur la Lune, le Tour de France, etc.)
Le dessin de Jordi Lafebre est toujours aussi joli et véhicule toujours autant de sentiments et d'émotions. Il en est de même pour les couleurs.
Bravo !