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La quête (initiatique?) de Corto Maltese et de ses amis d'Amérique du Sud
pour retrouver le royaume perdu de Mû.
Première chose à souligner : la très mauvaise qualité des dessins, qui sont
carrément baclés, même si cela est en harmonie avec la spontanéité du
scenario. Scenario qui laisse à désirer... À trop vouloir nous emmener dans la
monde des songes, Hugo Pratt rate ses effets et rend le fil du récit
insaisissable. Cela reste un avis personnel. "Mû", on aime ou on aime pas.
La Maison Dorée De Samarkand raconte le périple de Corto Maltese à travers
l'Asie orientale et mineure, le long de la route de la soie.
Un album très plaisant à lire où l'humour omniprésent et la spontanéité des
dialogues sont des plus, mais dont le scenario semble un peu baclé, surtout
pour une aventure de cette envergure. Les scènes où apparaît Raspoutine
sont des pures plaisirs, au meme titre que les divers rêves et étrangetés
semés dans le récit.
Ce récit est d'une très grande puissance romanesque, passant de la simple
aventure au drame humain, les relations entre les personnages et le
dévoilement progressif de leur personnalité étant très bien mis en scène.
L'intérêt principal de l'album tient dans son panel de personnages, dont le plus
intéressant semble être le Moine, mégalomane susceptible qui est en faite un
homme tourmenté et à moitié fou. Sans oublier Raspoutine, Pandora, Caïn,
Cranio, Tarao et Slütter, qui sont autant de personnages à la personnalité
profonde et attachante. Et Corto Maltese bien sûr.
Rêves et fables attendent Corto Maltese dans ce récit qui se déroule en
Suisse.
Un album très étrange étant donné qu'il s'agit d'un songe pendant la majeure
partie du récit. Les bizarreries du récit sont plaisantes et originales, mais le
côté envoûtant qu'Hugo Pratt a voulu donner à cette histoire n'est pas
réelement réussit.
Comme l'indique son titre, cette histoire se passe pendant la jeunesse de
Corto Maltese. Mais il n'y apparaît que comme un personnage secondaire, et
on parle de lui plus qu'on ne le voit dans cette Chine qui vient de sortir de la
guerre russo-japonaise.
Cette album m'a semblé assez baclé par Pratt, et les Raspoutine et Corto
Maltese jeunes déçoivent. En revanche, le personnage de Jack London est très
attachant.
La quête (initiatique?) de Corto Maltese et de ses amis d'Amérique du Sud
pour retrouver le royaume perdu de Mû.
Première chose à souligner : la très mauvaise qualité des dessins, qui sont
carrément baclés, même si cela est en harmonie avec la spontanéité du
scenario. Scenario qui laisse à désirer... À trop vouloir nous emmener dans la
monde des songes, Hugo Pratt rate ses effets et rend le fil du récit
insaisissable. Cela reste un avis personnel. "Mû", on aime ou on aime pas.
Toute l'action se passe à Buenos Aires, et Corto Maltese est un héros un peu
passif. Il se pose plus en spectateur qu'en acteur. L'ambiance, elle, est noire.
Proxos et macros de toutes nationalités d'Europe se massacrent sur fond de
Tango.
J'aime beaucoup cet album au charme unique, ressemblant par certains côtés
à "Fable de Venise" (l'action se passe dans une seule ville, il ne s'agit pas
d'une aventure, l'histoire est plutôt calme...) mais avec une saveure en plus,
une sorte de goût amer dût au calme et à la lenteur de certaines scènes, et
renforcé par la fin de l'album. L'ambiance sombre et glauque est des plus
prenantes.
La Maison Dorée De Samarkand raconte le périple de Corto Maltese à travers
l'Asie orientale et mineure, le long de la route de la soie.
Un album très plaisant à lire où l'humour omniprésent et la spontanéité des
dialogues sont des plus, mais dont le scenario semble un peu baclé, surtout
pour une aventure de cette envergure. Les scènes où apparaît Raspoutine
sont des pures plaisirs, au meme titre que les divers rêves et étrangetés
semés dans le récit.
C'est la troisième fois que Corto Maltese se rend à Venise, la deuxième que
son séjour nous est raconté. Ici, le héros maltais hère à travers les ruelles et
les cours de Venise, pas celle des cartes postales, mais la Venise des
mystères, la Venise des légendes, la Venise des cours cachés et des sociétés
secrètes... La Venise des fables...
Une belle histoire romantique et posée,différente de ce qui s'était vu dans les
précédents albums de la série. Il ne s'agit pas d'un album que j'apprécie
énormément, mais il est vrai qu'Hugo Pratt a signé avec "Fable de Venise" une
très belle bande dessinée.
Les Celtiques raconte le passage de Corto Maltese en Europe pendant la
Première Guerre Mondiale.
Trois chapitres m'ont particulièrement plus dans cet album : "Sous le Drapeau
de l'Argent", "Songe d'un Matin d'Hiver", et "Côtes de Nuits et Roses de
Picardie". Le premier des trois est un régal à lire pour sa légèreté et sa
drôlerie, la multiplication des personnages permettant une multitude
d'évènements simultanées. Le second brille par sa magie et son originalité,
nous portant au sein des mythes celtiques. C'est d'ailleurs un grand classique
de la série. Enfin, le dernier chapitre est une très grande réussite
scénaristique, avec une histoire qui m'a véritablement régalé.
Au cours des cinq histoires de cet album, c'est dans la forêt amazonienne que
l'on retrouve Corto Maltese. Ce sont principalement des histoires d'aventure
qui nous sont racontées ici. Des histoires que par ailleurs je trouve assez
ratées, à l'exception de la "Lagune des Beaux Songes", un très beau récit d'où
émane une envoûtante magie.
À travers une région dévastée par la guerre et la violence (l'Asie du nord-est),
Corto Maltese vit une aventure où s'entremêlent coups de feu et coups de
couteau et où des personnages atypiques font leur apparition, tous plus
extrêmes les uns que les autres, que ce soit dans la cruauté ou le romantisme
(il y a notammant le Baron Von Ungern-Stenberg, le plus étrange de tous en
plus d'être un personnage historique).
Un album grandiose, une aventure superbement racontée où la rudesse des
caractères va de paire avec celle des décors. La cruauté de l'homme et le
chaos de toute une région sont très bien retransmis. Selon moi, il s'agit là du
meilleur album de la série, et c'est incontestablement un grand classique du
9e Art.
Cet album réunissant six histoires d'une vingtaine de pages chacune raconte
les voyages de Corto Maltese à travers l'Amérique du Sud et les caraïbes. Il
s'agit d'un enchaînement d'histoires d'aventure où magie noire, vieilles cartes
au trésor et mystérieuses intrigues s'entremêlent.
L'album n'est pas désagréable à lire, mais du fait du manque de place, il y a
un surplus de texte à chaque case, ce qui devient parfois barbant.
Des histoires plaisantes dans les zones désertiques de l'est africain, des
aventures guerrières agréables à lire, et surtout Cush, un personnage
fascinant qui donne tout son intérêt à cet album.
Ce récit est d'une très grande puissance romanesque, passant de la simple
aventure au drame humain, les relations entre les personnages et le
dévoilement progressif de leur personnalité étant très bien mis en scène.
L'intérêt principal de l'album tient dans son panel de personnages, dont le plus
intéressant semble être le Moine, mégalomane susceptible qui est en faite un
homme tourmenté et à moitié fou. Sans oublier Raspoutine, Pandora, Caïn,
Cranio, Tarao et Slütter, qui sont autant de personnages à la personnalité
profonde et attachante. Et Corto Maltese bien sûr.
Tout le long de cet album, Jiro Taniguchi raconte chapitres après chapitres les
promenades d'un homme à travers les rues et les paysages de la banlieue
tranquille d'une ville de province japonaise. À chaque chapitre sa promenade,
et à chaque promenade sa particularité. Cet "Homme qui marche" prend le
temps d'observer ce qui se passe autour de lui et ne perd aucun des détails
qui l'entourent. Partageant ses découvertes avec sa femme, ce promeneur
semble se satisfaire de choses simples et vit dans un mélange de bonheur et
de douce mélancolie.
Taniguchi signe-là une très belle bande dessinée, un récit unique d'une rare
poésie. De par des cases la plupart du temps muettes, on apprécie encore
plus les magnifiques dessins du maître japonais, pleins de netteté et de
fraîcheur. Une douce mélancolie resort de ce livre, à lire posément pour
pouvoir pleinement en profiter.