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On en ressort un peu échevelé; un one shot qui se démarque par son originalité, son côté très sombre et le malaise qui en découle. La poésie est omniprésente malgré le ton inhumain. Les couleurs délavées sont sublimes pour une anticipation très dérangeante...
Une histoire casse-tête qui change des autres chroniques de l'auteur.À éviter pour ceux qui détestent les fins ouvertes ne bouclant pas l'histoire. À chacun d'imaginer ce qui s'est passé...Je n'ai pas détesté ni adoré...
La seule différence de cette histoire de superhéros est la construction du personnage...Vite lu;vite digéré! On passe au suivant!
Les deux premiers tomes s'en tirent pas si mal; le troisième est un ramassis de clichés, d'action mille fois déja vue...
Mais chapeau pour l'indécence envers le traitement réservé aux animaux...
Quel dommage que depuis 2002, la suite soit toujours en attente...
Un poétique, un dessin simple mais efficace. Qui est Julien? Qui est Liam? Aurons-nous un jour la chance de connaître le dénouement?
Un scénario original qui tisse sa toile pour prendre l'insecte que nous sommes au coeur de son histoire. J'ai adoré; maintenant j'ose espérer que je pourrai un jour connaître la fin...
Le père des Green Manor nous amène ici un one shot d'anticipation dont la qualité et l'originalité du scénario ne peut laisser froid. Pas de fil blanc dans le scénario et une fin ouverte qui permet au lecteur de décider lui-même de ce qu'il adviendra du futur.
Un pur moment de bonheur!
Pour le moment, j'aimerais y poster une note plus haute car le potentiel est très présent. Sauf qu'après trois albums on commence seulement à découvrir ce qu'il en retourne. L'amorce est longue, trop longue. Mais on n'y perd aucunement intérêt. J'ai hâte de lire le tome 4, qui, selon la critique promet de corriger la lacune du manque d'éléments permettant de mettre en place quelques pièces du puzzle.
Donc, pour le moment, rien qui ne sort des sentiers battus, mais un intérêt qui demeure et une hâte de voir où les auteurs veulent en venir.
On s'y marre bien avec cette grenouille qui rêve de devenir humain et qui coup fait, garde la naïveté du batracien... Un beau moment à passer à rigoler. À mourir de rire lorsque la grenouille devenu prince s'adresse au roi en le traitant de gros caractériel!
Et plus jamais, on ne confondra la grenouille comme étant la femelle du crapaud!
Cette série a le défaut de présenter des albums très inégaux.
"Le Dieu qui souffre" met en place les personnages ou plutôt le personnage du professeur Ariane, avec qui on cheminera sur plusieurs décades.
Les albums semblent indépendants à première vue puisqu'ils traitent tous de thèmes différents. Il y a cependant un fil copnducteur;la volonté du professeur Ariane à comprendre l'irrationnel sur Terre. Serait-il un élu? Choisi par qui et pourquoi?
Au cours des 4 albums, plusieurs années passent et le scientifique se rapproche toujours un peu plus de son but, but inconnu même de lui.
Le deuxième album est le plus fort et mériterait une note de 8.5, tellement j'ai apprécié l'originalité du scénario. On ne peut malheureusement pas en dire autant du tome un et du troisième qui s'essouflent très rapidement.
Une série en dents de scie qui ne passera pas à l'histoire.
Il faut lire le dossier Veuve Blanche à la fin de la bd pour essayer de comprendre ce qui s'y passe parce qu'il est évident que le lecteur peut avoir l'impression de s'être fait complètement floué lorsqu'il tourne la dernière page.
Tout se déroule bien jusque là et on attend un dénouement qui n'arrive pas...ou qui complique l'exercice puisque rien n'est résolu. Du moins en apparence.
En lisant le dossier, j'ai compris où l'artiste voulait en venir. Je présume qu'il s'est fait plaisir avant de penser au plaisir du lecteur. Prenez cet album comme un exercie de style plus que comme un polar car il ne suit en rien les codes réguliers.
Cette édition de luxe est un must que tout bédéphile devrait posséder. Elle ne paie pas de mine à première vue; le dessin étant monochrome et au fusain, medium rarement utilisé en bd.
Cependant, après quelques pages, on se laisse prendre par l'histoire et tout le reste devient secondaire.
Sanderson étant magicien, on y apprend quelques trucs de magie. La beauté du scénario demeure cependant dans l'analyse plus poussée qu'on peut faire une fois la dernière page tournée. D'ailleurs, la fin nous réserve un boum que même le magicien lui-même n'aurait pu prévoir.
Pour ceux qui aiment la différence et aller plus haut que le premier niveau...
Le mélange western-ésotérisme est définitivement original. Beaucoup de personnages qui apparaissent en même temps; technique de Nury/Dorison qu'il faut parfois apprivoiser. Le premier tome est supérieur au deuxième. L'équilibre entre les deux en fait cependant un bon moment à passer et pour une rare fois, le premier cycle se termine près deux albums. Le dessin est recherché et les planches magistrales.
Je croyais que nous avions affaire ici à 6 tomes alors qu'il n'en est rien. Les tomes de Fog viennent par deux.
Il est vrai que le dessin est assez rustre mais accomode très bien le Londres victorien. Les couleurs délavées également.
Je suis curieuse de lire les quatre autres tomes. Comme quoi, il n'y a pas seulement Sherlock qui peut enquêter et livrer de bonnes histoires...
Assez conventionnelle comme bd excepté le fait que ce tome situe l'action à Montréal, ville dans laquelle je vis. Le chauvinisme l'emporte alors sur la raison et j'ai bien aimé. Rien qui ne passera à l'histoire mais une bonne demi-heure de divertissement.
Il est très difficile de reconnaître les personnages; le premier tome sert à placer l'intrigue et les personnages mais est en même temps très complexe. On verra dans le tome suivant mais au risque de me faire tirer des tomates, je n'appuie pas les autres critiques dithyrambiques, je demeure neutre en attendant la suite...
Tout a été dit; le tome 2 a été fait en 1999. En 2005, peut-on espérer encore une suite?
Émotion, émotion et émotion. Une bd qui brille par les sensations qu'elle procure. Une vrai montagne russe. Chapeau!
Dumontheuil a un univers très...LSD! Ce n'est vraiment pas un artiste qui pourra plaire à la majorité car ses histoires assez déjantées, demeurent tout ce qu'il y a de plus éclatées.
Ici, si ce n'était de la fin étrange, j'aurais poussé un peu plus la note. Pour ceux qui aiment lire des trucs originaux, farfelus, mais qui passent quand même un message sociétaire.
"Qui a tué l'idiot?" demeure pour moi sa meilleure oeuvre.
Tout le reste est à venir et j'attends impatiemment la suite.
Dans une société où SIDA rime avec mort, voici un roman graphique qui fait réfléchir.
Lorsqu'il apprend qu'il est porteur du VIH, notre héros doit faire face à la musique. Un peu cliché (père qui n'accepte pas l'homosexualité de son fiston, amoureux qui s'éloigne, morts d'amis sidéens ici et là), cette bd n'en demeure pas moins réaliste dans son contexte.
L'émotion y est intense; j'ai eu de la difficulté à la terminer sans broncher car la fin y est triste et belle, noire et radieuse...Il y a toujours de la vie dans la mort et le message passe même s'il semble parfois souligné au trait noir.
Pour ceux qui aiment lire des bd différentes à l'occasion et qui se préoccupent de la différenciation sociale.
Pourquoi est-ce que Xavier Dorison n'a-t-il pas participé au scénario du deuxième tome?
Pourquoi est-ce que le deuxième tome est sorti en 2003 et depuis, que dalle?
Tant de pourquoi pour une bd qui n'a ni l'intérêt, ni l'action de Sanctuaire. Pourtant, j'aimerais bien que le troisième tome pointe son nez pour voir que le héros va réaliser son destin de prophète, que la terre sera sauvée et que je pourrai passer à autre chose...
Et c'est reparti pour un autre tour! Après le triangle secret, on recommence à nouveau une série qui pose des pistes mais qui ne donne réponses qu'en petites miettes. Assez soutenu et complexe, on évolue et retrouve la saga où elle terminait dans le tome 7 du Triangle Secret.
Cependant, seul bémol, on aura à attendre jusqu'en 2007 pour avoir le dénouement final et ça, c'est s'ils décident pas de pousser le bouchon encore un peu plus. Toute bonne chose a une fin mais dans le cas présent, on ne semble jamais l'atteindre.
Va-t-il oui ou non ressusciter pour de bon le Christ qu'on en finisse et passe à autre chose?
On demeure cependant. tels de bons et loyaux franc-maçons, fidèles à la série!
On retrouve le côté humour et sensible de Marjane avec ce deuxième opus après la merveilleuse série Persepolis. Oui, il est vrai que si on ne connait pas et qu'on en a pas entendu parlé ou vanter le mérite, l'album ne laisse aucunement présager du bonheur qu'il contient.
Le dessin est naïf mais comme dans Persepolis. tellement percutant.
Un autre one shot pour adulte qui mérite le détour. Du grand art à l'Iranienne!
Trop de personnages, une complexité mal définie et finalement, tout ça pour ça? La trame de base n'est pas mauvaise en soi; un professeur du British Museum vole une stèle qui paraîtrait-il est une porte vers un vaisseau extra-terrestre. Ça débloque cependant en cours de route. Contentez-vous de regarder Raël à la télé...
Un peu ambigüe face à ces deux albums. Je trouve qu'il y a trop de personnages secondaires et que cela fige un peu l'histoire dans une complexité non-nécessaire. On se laisse cependant entraîner après le premier tome et on a réellement envie de savoir ce qui lie Flee(Volunteer) aux vampires. J'espère qu'on aura plus de gras autour de l'os lors de la sortie des tomes subséquents sinon je crois que mon intérêt ira malheureusement en décroissant.
Un bon début pour une série qui promet. Rien de trop mais assez qui donne envie de continuer et d'aller découvrir ce qui se cache vraiment dans la zone 85. Un bon suspense pour ce genre d'album. On attend le troisième avec impatience!
Je n'aime pas être aussi sévère sur une bd mais cette fois-ci, la déception l'emporte. Avec un titre aussi accrocheur, on s'attend à quelque chose de mystérieux, d'énigmatique. Là se trouve le coeur du problème; cet album renferme quelques histoires totalement dénuées d'intérêt. Le dessin est solide; sûrement à la plume et à l'encre. Le reste? On s'en tape la coquille comme dans l'an quarante de connaître un ami-prétendant-on-ne-sait-trop de Lovecraft, on en a rien à cirer de savoir qu'Agatha Christie a eu un épisode d'amnésie et tutti quanti. Soporifique au max! Quelle déception!
Deux polonais revoient les codes de bd et se paient le titre de meilleur album au concours Arte-Glénat. On comprend pourquoi!
Otto vit avec son rat Watson dans une boutique de chapelier désuète mais se promène avec un sac de papier sur la tête. Il nourrit son rat de camembert et laisse celui-ci utiliser sa brosse à dent. Otto mènera une enquête et on découvre que Watson, lui est aussi nécessaire que Dupont et Dupond font la paire.
Jouissif, intelligent; on est loin de la Bd fade et convenue. Chapeau les polonais!
Dès la première histoire le ton est donné. Il n'est pas facile de lire un album des Chroniques absurdes au complet en un seul jet. L'émotivité et l'agressivité suscitées par ces histoires se doit d'être suivi de quelque chose de plus léger. Prado ne perd aucunement la touche dans ce deuxième album.
Pas aussi frappant que le premier puisque l'effet de surprise est chose du passé. Cependant, on s'y marre et on a hâte au troisième.
Pas le meilleur des Larcenet mais comment pourrait-on comparer les chef d'oeuvres que sont le Combat Ordinaire et Le retour à la terre? Cependant, on y retrouve tout l'univers Larcenet et son trait de crayon magique. Il maintient ses dogmes de création peut importe sur quoi il travaille. À remarquer: les ellipses du passé sont toujours en gris-kaki, les crises d'angoisse en rouge, les deux bras en l'air pour la joie...Son trait fin et naïf fait toute sa force. Encore un coup réussi!
À tous ceux qui adorent l'originalité, vous ne pouvez passer à côté de cette petite merveille. On rêve d'avoir un tel chat pour nous protéger. Les planches sont vraiment chouettes, le scénario cohérent. Tout baigne dans l'huile pour le plus grand plaisir des bdphiles. Bravo!
Un chat qui réussit là où l'âme humaine peut parfois échouer. Pour tous les amoureux des petites bêtes à quatre pattes qui font miaou! Sympathique.
La rusticité de l'image correspond peut-être à l'époque; le scénario est dans la première partie incohérent en partie. Peut-être parce que les personnages ont semblablement les mêmes traits qu'il est parfois difficile de les démêler. Lorsqu'on entend les mots sorcellerie, alchimiste et énigme on s'attend souvent à plus que ça. Rien pour renouveler le style; courez plutôt lire "Le troisième testament" pour bédéphiles férus d'énigme du Moyen-Âge.
J'avais très hâte de lire ce one shot; je suis cependant un peu demeurée sur mon appétit, surtout après la lecture de la critique de Chronique BD Gest. Le graphisme de Bezian sauve la mise. J'adore les visages angulaires et l'esthétisme monochrome des couleurs. Là où je décroche, c'est le scénario qui me fait penser à un film de Von Trier. Un bd qui plaira à ceux qui aiment l'underground au premier degré. La finesse manque et il est vrai que plusieurs questions demeurent sans réponse. Une déception pour ma part mais qui vaut quand même le coup d'oeil pour se forger sa propre idée...
Le scénario est trop simplet; les planches sont cependant agréables à regarder. Un album qui ne passera malheureusement pas à l'histoire. Avec le potentiel que dégage la maison Winchester, on aura pu aller beaucoup, beaucoup plus loin. Dommage!
Étant une fana des oeuvres de Larcenet, je l'avoue, mon jugement est souvent pour ne pas dire tout le temps biaisé.
On retrouve ici l'émotion qu'il sait si bien dessiner par un seul trait. On retrouve son angoisse existentielle comme dans tous ses albums. Et svp, si vous rencontrez Van Gogh, n'allez surtout pas lui dire que ses tournesols sont trop jaunes...
Les passe-murailles ont le don de pouvoir aller espionner ce qui se passe chez le voisin; petites saynètes courtes. Léger et manquant de constance, on verra avec le deuxième album si les choses se placeront.
Vehlmann est un des deux cerveaux que l'on retrouve derrière les très délicieux Green Manor. Ici, on crie au loup sur une étrange île et peut-être qu'on a pas tout à fait tort.
Je préfère me délecter des Green Manor mais quand on apprécie un artiste, il fait bon de le voir se diversifier.
Plusieurs suspects, plusieurs mobiles...Un Agatha Christie au pays des sorcières et du vaudou. Vite lu, vite remisé.
Pas le meilleur mais à chaque fois je me bidonne d'un tel plaisir que je serais folle de m'en passer... Le croquis qui représente une descente de police m'a fait hurler de rire. Chapeau à la famille Vouvray!
La fin du deuxième tome m'a laissé pantoise; le premier tome était excellent. Une belle montée, un suspense qui captive. Malheureusement, un essouflement dans la deuxième partie et un revirement dramatique trop soulevé m'a fait décrocher. Moi qui aime habituellement les romans graphiques adultes...Pour ce genre d'histoire, le meilleur à ce jour est Le voyage en Italie...C'était pourtant bien parti. On voit cependant le talent qui pointe son nez...
Pas le meilleur des trois mais dans la lignée. La différence? De petites nouvelles au lieu d'une histoire complète. Mais encore la même sensibilité, le même humour et surtout, la même intelligence. Ne ratez pas les dernières pages, une surprise de taille vous y attend!
Aussi perfide que le premier, aussi original! Un must! À quand le troisième?
E-X-C-E-L-L-E-N-T! Pour l'humour noir, british et pour toutes ces courtes nouvelles qui mènent au meurtre, sans trop de fioritures...À offrir à celui qui adore les romans policiers, les Sherlock et pourquoi pas, les bouquins d'aliéniste...
On dirait que " La Matrice" a été calquée sur ce scénario. Qui est venu avant? L'oeuf ou la poule? Dangereusement inquiétant! À lire absolument!
Une belle histoire qui malheureusement, une fois terminée, ne laissera pas de soubresaut dans la mémoire. Vite lue, vite refermée et...vite autre chose! Mais, pas méchant, pas méchant du tout. Un bel essai!
Un mélange de I spit on your grave et de Eyes wide shut. J'ai deviné le punch au tiers du livre, alors pour l'originalité on repassera. Les dessins semblent faits au pastel; peut-être la seule distinction d'une bd à l'encre.
La qualité du dessin est grandiose;le scénario complètement déjanté. Un univers qui fait penser à un long trip de LSD...Pour ceux qui aiment l'absurde et la différence. À oublier pour les conservateurs ou les pensées cartésiennes-rigides...
Guy Delisle m'avait fortement impressionnée avec Shenzen; suivi de la lecture des Inspecteur Moroni, nous pouvions constater sa diversité. Pyongyang démontre en un tour de force magistral la vie "robotique" des Coréens du Nord. Hallucinant, ce roman graphique nous plonge au coeur d'une chaîne industrielle qui ne fabrique non pas des casseroles ou des bidules, mais des humains qui ont tous la même dissertation, le même manque de liberté et qui, cerise sur le sundae, n'en ont aucune conscience. Du grand art qui permet de divertir et de cultiver par la même occasion. À offrir à celui qui rêve de territoire orientaux...
Le propos, même s'il est simple nous rappellera nos premiers balbutiments amoureux. Un magnifique roman graphique; les dessins sont magistraux. Peu de dessinateurs travaillent encore à la plume et c'est tout à l'honneur de l'artiste. Et je crois que ce sont les plus beaus dessins de femme que j'ai vus de toute ma vie.
Laissez-vous bercer par Thompson et retombez à l'adolescence pour revivre en parallèle les émotions de votre premier amour...Chapeau!
J'y étais allée avec un bon 8/10 après la lecture du premier tome; les quatre tomes étant maintenant chose du passé, j'ose attribuer la note parfaite à l'ensemble de l'oeuvre. La qualité de la narration est sans faute; le propos est aussi dur et cruel que celui de MAUS. Pour nous simples occidentaux, comment pouvons-nous comprendre le mode de vie de celles qui peuvent être embarquées sur la rue par les contrôles pour le seule crime de porter du rouge à lèvre, d'avoir une mèche qui sort du voile, au pis, de se promener en compagnie d'un homme sans être marié? C'est incompréhensible! Au-delà de l'horreur d'un pays étouffé par la religion et la morale, Satrapi nous révèle qu'il existe des gens qui seront toujours plus forts que la menace, la vengeance et l'intimidation. Bravo mille fois à une fille hors du commun!
C'est à ni rien comprendre...Duchâteau scénarise une pléthore de BD détectives/enquêtes cool telles que les Sherlock Holmes, Rouletabille, Ric Hochet, etc. Cependant, autant il tire bien son épingle du jeu avec les autres, autant "Le Serpent Jaune" est de catégorie si mauvaise, que ce fut presqu'une torture de la terminer. Le scénario part dans tous les sens, l'histoire est un ramassis de personnages bidon qui apparaissent d'on ne sait où et qui n'amènent rien à la trame; bref, on y cherche un fil conducteur qui ne vient jamais. Je ne sais pas ce qui s'est passé lors de la fabrication de cet album; je ne sais pas si la série Wallace est aussi mauvaise que le premier tome et croyez-moi, je n'ai aucune envie d'aller le vérifier...Un navet comme je n'avais jamais lu dans le domaine de la BD et comme je n'espère, ne jamais plus retrouver. Et paf le chien!
Une Bd culturelle qui en plus de faire passer un beau moment, inculque des notions de l'histoire de l'Iran. Le propos est parfois lourd; cependant l'intelligence de l'auteur permet d'adoucir la vision sombre qu'elle révèle en parsemant ici et là quelques touches d'humour qui font mouche à chaque fois. Je crois qu'on peut qualifier cette oeuvre de réussie...
Qu'est-ce que je me suis marré! Pourquoi est-ce toujours les albums qui ne nous inspirent pas qui deviennent de véritables coup de coeur?
Il ne faut pas se fier à l'allure western spaghetti, ni aux dessins un peu carrés. Un amour absurde délicieux qui se compare à l'humour des Nini Patalo. Vitement les autres albums. À donner à ceux qui aiment être surpris par autre chose que des albums commerciaux...
Il y a quelque chose dans cette bd qui m'a accrochée et qui en même temps, m'a agressée.
La quête philosophique intérieure du personnage m'a bien plue; peut-être parce que j'en suis aux mêmes questionnements. Cependant, la longueur de la trame, la monotonie de certaines planches et surtout le peu d'intérêt que représentait pour moi la recherche de Kalo lui fait perdre un point ou deux. C'est loin d'être mauvais; mais attention ce n'est pas une BD pour n'importe qui. C'est une tranche de vie sans début, sans fin et somme toute sans grande action. Pour le dépressif dans la trentaine qui recherche un alter ego se questionnant sur la qualité et le sens de la vie...
Moroni est de retour; encore plus truculent que le premier. On trouve ça sot mais on ne peut s'empêcher de s'en délecter.
Moroni? Bête à manger de l'avoine. Plus con que lui, tu meurs... Au début, on ne sait pas trop où ça mène et puis, nous voici bien embarqué dans cette histoire où cet imbécile de première rêve de devenir l'émule d'un grand enquêteur; disons Colombo! Le problème c'est qu'il n'y pige que dalle, le pauvre.
Guy Delisle nous revient ici après Shenzen et Pyongyang avec une histoire à nous faire marrer. Le dessin est simpliste, un peu en angle; il faut le lire pour savoir si on adopte. Dans le fond, soit on aime, soit on déteste. Moi je me marre et j'achète.
Le trait est très rond, très bd série jeunesse; cependant pour qui est fan de Sherlock, l'intérêt demeure du début à la fin. Toutes les bd d'enquête, que ce soit Sherlock, Rouletabille ou autres sont basées sur les oeuvres originales. Elles comportent donc beaucoup de texte, ce qui étouffe légèrement les planches. Cependant, comme il est nécessaire de condenser parfois un roman en une cinquantaine de pages bd, on pardonne aisément. Avec une bonne enquête de Sherlock et de son fidèle complice Watsdon, qui pourrait s'ennuyer? À lire et relire à toutes les années.
Je l'ai lu il n'y a qu'une semaine déja et j'ai oublié deux des quatre histoires. J'adore Cosey, surtout si on songe à l'inoubliable UN VOYAGE EN ITALIE. Cet album-ci respecte le monde intrinsèque à l'auteur sans être sa meilleure oeuvre.
Cosey nous propose ici la quintessence de son art. Un One shot adulte qui mérite une note parfaite. Si on était au cinoche, ce scénario se retrouverait sûrement à la course aux Oscars; tout y est, irréprochable. Émotion, détresse, remords, flasback, folie, twist ending et finalement rédemption en bout de course. Un grand album avec de magnifiques couleurs vives; juste pour laisser une empreinte un peu plus longtemps...
Contrairement aux autres Monsieur Jean celui-ci est composé de petites histoires courtes. Nous y retrouvons les personnages propres à la série; Félix et sa grande gueule se mérite un emention d'honneur. Le titre du volume est tiré de sa théorie sur le célibat et comme on le sait, Félix a toujours le bon argument...Délicieux!
Le mystère de la chambre jaune est "le" chef d'oeuvre de Gaston Leroux. Transposé en images, il se lit bien et permet de mieux décortiquer toute la complexité de l'intrigue. La série Rouletabille se retrouve souvent dans les rayons jeunesse des libriairies mais conviennent parfaitement aux adultes que nous sommes en manque d'aventures, de mystère et de relent d'Indiana-Jones hybridé à Tintin. Les tomes ne sont toutefois pas d'intérêt égal mais ils n'en demeurent pas moins un petit plus à avoir dans sa biblio pour qui aime se prendre à l'occasion pour un Sherlock d'occasion. Rafraîchissant!
N'ayant lu que le troisième tome, quoique les deux autres y sont racontés brièvement, je me suis demandé dans quelle galère je m'étais embarquée. C'est un peu tout et rien, ça part de tous les bords mais on en garde quand même un plaisir. Le scénario final m'a rappellé le film" THE GAME". La fin un peu tordue est ce qui, quant à moi, a insufflé un peu d'originalité. Pas assez cependant pour me donner le goût de lire les deux premiers tomes.
Pas la meilleure mouture Benacquista. On y retrouve cependant la magie propre à l'auteur qui opère à chaque projet qu'il mène à terme. Certaines questions demeurent sans réponse dont celle qui m'a le plus turlupiné: Eugène est-il méchant au point de tuer une personne, volontairement je veux dire. Sinon, qu'est-il advenu de l'homme? Peut-être clair pour certain, mais pour moi j'ai gardé un doute...Je ne vous en dis pas plus, faites-vous votre propre idée!
Je m'attendais à beaucoup plus de la part de celui qui a créé le chef-d'oeuvre "MAUS". J'ai été déçue par cet album qui émet la vision angoissée de Spiegelman sur les événements du 11/09. C'est un peu n'importe quoi; il en profite pour passer en douce ses théories,ses rapprochements, ses peurs de l'État Bush.(Ce qui en soit est compréhensible). LES TOURS MORTES est un album cartonné du début à la fin qui ne se vend pas à petit prix. J'ai eu l'impression de m'être faite avoir un tantinet. Le fait que seulement la moitié de l'album se rapporte au 11/09 est un point négatif. Non pas que la deuxième moitié n'est pas originale, cependant, on ne veut pas des vieilles planches bd lorsqu'on achète ce livre, on veut la vision du dessinateur sur le 11/09. Ce que malheureusement, on n'obtient qu'à moitié...
Si les événements du 11/09 vous tiennent vraiment à coeur, jetez plutôt un coup d'oeil sur "MARDI, 11 septembre" qui est une BD plus complète concernant ce qui s'est passé cette journée-là, et cette fois-ci, à petit prix...
On ne sait pas trop où ça mène jusqu'à la moitié du livre. Le scénario est original par le fait que l'histoire se trouve être racontés par les trois protagonistes à la fois. Au début, ça craint et puis on s'y habitue. On cherche où Moynot veut nous attirer. Ses personnages sont retors, tordus, un peu comme le scénario. On referme la dernière page en se demandant quelle sorte d'expérience on vient de vivre. Inclassable mais bien sympa finalement!
Il est rare qu'une Bd puisse nous transporter autant. Ici, l'auteur par de courtes nouvelles nous fait voyager au coeur de la race humaine et de ses coutumes étranges: solitude, accomodation, rancoeur, incompréhension, chagrin et rédemption...
Une Bd qui se dévore en une seule soirée, mais qui prendra beaucoup plus de temps pour être oubliée. À défaut de paraître trop émotive, mon regard s'est embrouillé lors de l'acte final de la dernière nouvelle. Du grand art par un génie qui a bien compris les travers de ce que nous appelons humanité.
J'avais lu la critique précédente et c'est remplie d'attente que j'ouvris l'album. Je fus un peu déçue. Le scénario est original mais manque un peu de tonus. Le personnage de l'héroïne demeure froid et ne nous permet pas de nous associer à ce qu'elle vit. Et que dire de la fin? Elle m'a laissée pantoise...
Seulement à feuilleter l'album, on est saisit par la quintessence du dessin. De l'aquarelle en bd. Saisissant et remplit d'émotion, on navigue en boucle de temps allant du passé au présent sans savoir où l'auteur veut nous amener. J'ai été désolée d'avoir lu une critique avant la lecture de la bd qui me dévoilait le punch final. L'effet surprise est tombé à l'eau mais je comprends pourquoi cet album se retrouve cette année en compétition pour le titre de meilleur scénario au Festival d'Angoulême. Le dessin est tellement choc qu'une nomination pour meilleur album aurait eu également sa place. Pour ceux qui aiment les BD adultes gorgée de sentiments humains...
Pour qui ne connait pas l'univers de Tonino Benaquista; l'outremangeur est un bon début. Ce n'est pas sa meilleure oeuvre mais la bd vaut le détour. J'ai préféré de loin "La boîte noire" mais comme je suis vendue 100% à cet auteur, tout ce qu'il fait me paraît bon. L'outremangeur se lit d'un seul trait comme on lirait une nouvelle en attendant le punch final. Cette histoire a été portée au grand écran en 2003 avec Eric Cantona dans le rôle du commissaire Séléna. À ne pas manquer pour découvrir l'univers Benaquista...
Tout ce que touche Manu Larcenet semble se transformer en or. L'album Les entremondes ne fait pas exception. On reconnaît le style des frères Larcenet et leur façon si unique de raconter des histoires. En s'attaquant ainsi au racisme, ils prennent une tangente différente de ce à quoi ils nous ont habitués, surtout Manu. C'est réfléchi et délirant. Vite, que je me tape le deuxième...
Larcenet is a genius! Je l'ai découvert dans Le retour à la terre qui ressemble assez au Combat ordinaire. Peut-être plus mature mais bon. Ce genre de Bd me chavire à toutes les fois. J'adore! C'est rigolo et touchant à la fois. Larcenet malgré son style de dessin naïf, sait créer des trames qui ne peuvent laisser froid. On oublie le trait de crayon pour se concentrer sur l'essentiel: le scénario. Et à chaque fois, le personnage du chat risque de voler la vedette. Une BD à offrir à ceux que l'on aime...
Absolument puissant et insolent. On s'attend à un truc plutôt rigolo, on tombe dans une critique sociale qui décoiffe à plein. Chronique d'une société débauchée par l'individualisme, la violence, la honte, et surtout, grand dieu, le laxisme. Les couleurs sont magnifiques, on dirait un mélange d'encre et d'aquarelle. Une BD à avoir absolument dans sa bibliothèque. Pour qui aime être surpris. Attention, ne conviendra cependant pas à tous...À offrir à l'intello qui n'a de cesse de pleurnicher sur l'absurdité de la vie humaine.
Sûrement un des meilleurs de la série. Je trouve que celle-ci n'est pas toujours égale. Certains albums, comme Inventaire avant travaux m'a fait décroché avant la fin, tellement je trouvais que ça partait de tous les bords. Cependant, celui-ci a toutes les caractéristiques d'une BD coup de coeur. Émotion, rire; on se rattache souvent au personnage et à son clan. À lire en ordre également sinon on perd l'importance des personnages puisque els bd se suivent.
Coup de coeur puissant!
Pour ne pas oublier ce qui s'est déroulé le 11 septembre. On revit l'action de cette terrible journée en direct avec l'auteur; l'angoisse de ne pas savoir, la peur, l'impuissance devant la force du cauchemar. Et l'après 11 septembre. L'auteur et sa famille ont passé trois mois sans domicile, à vivre ici et là au gré de la gentillesse d'autrui. Rempli d'émotion, on voudra le relire de temps en temps pour se remémorer.
"En tant que père,l'un de vos premiers devoirs est de protéger vos enfants, et ce 11 septembre, cela m'était devenu totalement impossible..."
La collection est un must pour tout fanatique des Editions EC Comics, surtout qu'elle vient d'être rééditée en français et peut être achetée pour les plus mordus dans un emballage cartonné. Lorsqu'on lit les dix albums, on se rend compte que plusieurs thèmes revienent souvent: les zombies, les vengeances d'outre-tombe, les malédictions...Cependant, on prend tellement de plaisir à les lire qu'on oublie la faiblesse de deviner parfois à l'avance l'issue des l'histoires. BD qu'on va relire et relire lorsque les années passeront. Le coffet quoique dispendieux est un incontournable pour qui aime avoir peur. L'enfant en vous sera de retour pour quelques heures, surtout la nuit! Bravo!
Un BD vite lue, vite digérée. Les dessins sont moyens mais quelques anecdotes demeurent dans le rigolo. La tante Henriette devait définitivement être un personnage...
Une trilogie pas bête mais pas exceptionnelle. Rien qui ne réinvente la roue. Les dessins représentent pas mal plus à des aquarelles ou à des encres. L'art dans sa différence rend originale cette bd sans pour autant insuffler de l'audace. La fin de la trilogie laisse un tantinet pantois. Pas de grosse surprise mais une réflexion sur la vie, la perdition et...la malchance d'être né sous une mauvaise étoile. Ne fera pas parti de ma bibliothèque; le lire une seule fois convient.
La meilleure de la série. Les dessins sont très pointus, sans beaucoup de rondeurs, mais l'intérêt suscité par les histoires font bien tenir la route. Les trois premiers tomes de la série sont disponibles en intégrale. pourquoi s'en passer, si on est un fan de Sherlock. Élémentaire mon cher Watson!
J'ai acheté cette bd il y a au moins dix ans; je me la retape annuellement avec autant de rigolade. Supervers pépèreman est sûrement le personnage le plus craquant. Dorénavant, on ne peut plus voir les vieux cochons que de la manière de Gotlib. Pour se bidonner...
On voit que l'auteur a tenté, par cette oeuvre, d'exorciser la mort de son frangin ainsi que les événements du onze septembre.
Le dessin est correct sans plus. Ça se lit en 15 minutes et se digère aussi vite. J'aurais aimé garder une impression plus intense de cette bd. Malheureusement, l'émotion n'était pas au rendez-vous.
Vite lue; vite digérée. Rien en commun avec la série des Paul. J'aime cependant bien les planches ou le chat est présent; ça colle à la réalité...
On ne sera pas porté à prendre le livre si on ne nous a pas parlé. La couverture semble si simple et monotone. Cependant...lorsqu'on ouvre les premières pages et que l'on commence à lire, c'est l'explosion. Intelligent, drôle, les dessins simplistes nous font rire. À trouver la fois où Paul trouve une couleuvre dans son sac de couchage. J'ai photocopié cette scène et la garde sur mon bureau car elle me fait sourire à toutes les fois où me yeux se posent dessus.
Il est bien de les lire en ordre puisqu'ils sont chronologiques. Je considère le deuxième comme étant les meilleur. Mon copain boude tout le temps mes choix pour finir par me les subtiliser et les lire sans que je ne sois capable de les lui retirer. La série des Paul n'a pas fait exception. Un grand bonheur dans des pages noires et blanches à petit prix. Pourquoi s'en passer? À offrir en cadeau à un Montréalais puisque c'est à Montréal que se déroule l'aventure.
Comment peut-on réussir à faire autant avec si peu? J'en suis toute retournée..Une simplicité qui fait rire aux larmes. Le personnage de Manu est tellement expressif, qu'on en jouit à chaque planche ou presque. Le chat, personnage intégrale est à mourir. Un petite couple comme n'importe lequel petit couple, mais demandez-moi pas pourquoi, ça fonctionne à 200%. Je veux un monsieur Henri comme voisin. Absolument! J'ai terminé le deuxième tome et j'ai dormi avec lui dans le lit. Je ne pouvais pas croire que c'était déja terminé...Au moins, je m'en vais de ce pas acheter "Le combat ordianire". Ça met un baume sur le fait qu'il n'y a pas trois albums...
Comment peut-on réussir à faire autant avec si peu? J'en suis toute retournée..Une simplicité qui fait rire aux larmes. Le personnage de Manu est tellement expressif, qu'on en jouit à chaque planche ou presque. Le chat, personnage intégrale est à mourir. Un petite couple comme n'importe lequel petit couple, mais demandez-moi pas pourquoi, ça fonctionne à 200%. Je veux un monsieur Henri comme voisin. Absolument! J'ai terminé le deuxième tome et j'ai dormi avec lui dans le lit. Je ne pouvais pas croire que c'était déja terminé...Au moins, je m'en vais de ce pas acheter "Le combat ordianire". Ça met un baume sur le fait qu'il n'y a pas trois albums...
Une excellente critique sociale dissiminée au-travers de cette histoire burlesque. Présentées en saynètes, les histoires se suivent cependant. Tout le monde devrait-il avoir un zombie à la maison? À vous de le décider!
À remarquer dans les premières pages, le papy a un sapin odorant autour du cou pour l'empêcher de sentir...Rigolo et songé! À quand le prochain?
Un roman graphique qui fait réfléchir; qui amène à une quête personnelle philosophique sur le sens de la vie, de l'attachement, de l'amour et de la maladie. Et oui, comme FLCORRE a mentionné:"avec la fille aux plus beaux yeux bleus en noir et blanc"...de la BD française.
Un chef-d'ouvre en douceur. Le personnage se retrouve dans un milieu inconnu, culture tout à fait différente. On ne peut rester insensible à la légèreté du coup de crayon mais qui signifie tellement. Une BD épurée comme peut l'être la Chine. Pas de grosses émotions, sinon de légers sourires qui emplissent le coeur comme une bonne soupe chaude lors d'hiver froid. À donner en cadeau à un intello qui a tout. Rigolo et divertissant!
A-B-S-O-L-U-M-E-N-T indispensable! Un coup de coeur tout à fait renversant; il y a longtemps que j'avais ri comme cela à gorge déployée. Tout à fait absurde, rigolo, je vis une dépression pendant l'attente d'un tome trois. À lire en ordre parce qu'il y a beaucoup de personnages qui apparaissent au fur et à mesure des aventures. À donner en cadeau, on vous remerciera!
On se laisse séduire tel un premier rendez-vous. On oublie la légèreté du dessin pour se rendre à l'essentiel. Un grand graphique qui serre le coeur tout en douceur. On l'a tellement aimé, mon copain et moi qu'on s'est empressé de l'offrir...À posséder absolument!