Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 03/12/2024 à 18:42:06 en 0.0572 sec
Au sortir de la grande guerre, une amitié insolite habite deux anciens combattants, le français Augustin Dagneau et l'allemand Noah Feuchtner. Ils enquêtent sur le pillage des champs de bataille. L'intrigue est intéressante mais les dessins manquent de profondeur.
Denis est musicien et le succès pourrait enfin frapper à sa porte. Pourtant un mauvais rêve le hante . Dieter et Emmanuel Moynot signent polar désabusé. Les dessins sont sombres, gris avec quelques tâches bordeaux, comme l'intrigue.
Wayne Redlake apprend que son ami et associé Dudley Barnes a été assassiné. Il veut le venger. Western mexicain violent et désabusé.
Une mine d'or peu rentable et un braquage de train au programme de ce western signé Olivier Vatine. L'histoire est classique mais les dessins sont efficaces.
Intégrale de la saga des Feux d'Askell comprenant les trois premiers tomes et les premières planches du quatrième volume inachevé. L'intrigue d'Arleston est rythmée et prenante. Les dessins de Mourier sont réussis. L'ensemble est parfois un peu lourd mais la lecture est plaisante.
La troupe d'aventuriers hétéroclites vogue vers l'archipel de Brazonte pour participer à un concours de spectacles mais une tempête survient. Dernier tome de cette série interrompue. Arleston montre tout son talent avec un intrigue rythmée et plaisante.
Fin du premier diptyque. Nos héros doivent se faire enlever le parasite qui les oblige à boire du slah tous les jours. Une troupe de héros hétéroclites, de l'aventure et du rythme pour un album sympathique.
Cybil, danseuse érotique, Dao X’ian, mercenaire, Brumaire, voleur et lanceur de couteaux, Keresquin, poète et Title, mousse se retrouvent réunis par le plus grand des hasards. Cet équipage hétéroclite est poursuivi par les prêtres articuleurs. Le premier épisode de cette saga fantasy est plaisant avec un scénario vivant.
Clap de fin sur la saga des Steenfort. Jean Van Hamme dévoile quelques zones d'ombre avec de courts récits de quatre pages. Loin d'être indispensable mais plaisant.
La saga Steenfort des Maîtres de l'orge se termine avec l'histoire de François, Franck pour les américains. Accusé du meurtre de son beau-père, il croupit en prison depuis huit longues années. Cette histoire policière est bien menée par Jean Van Hamme mais si la résolution est un peu rapide.
Sixième et avant-dernier tome de cette saga consacrée à la bière. Nous sommes en 1973 à l'aube de la crise économique. Comme dans l'épisode précédent, la finance est encore au centre mais le ton est plus léger et romantique. Julienne est, comme son grand-père Noël, plus humaine que ses ancêtres.
Cinquième épisode des Maîtres de l'orge pendant la reconstruction après la guerre, un siècle après le début de la saga. La brasserie artisanale des débuts semble loin et le scénario lorgne sur les OPA de Largo Winch. Mais le plaisir est toujours là et la lecture plaisante !
Le quatrième épisode de la saga des maîtres de l'orge nous mène entre les deux guerres pendant la montée du fascisme. Une nouvelle fois, l'intrigue de Jean Van Hamme est très bien conçue et les dessins de Francis Vallès adhèrent parfaitement au projet. Une magnifique série.
Troisième épisode, à la fin de de la deuxième guerre mondiale. Margrit essaie de faire tourner la brasserie malgré la guerre pendant que son fils Adrien se bat sur le front. La bière passe au second plan dans ce volume tourné vers la guerre.
Deuxième épisode des Maîtres de l'orge, 32 ans après le premier. Charles est maintenant à la tête de la brasserie de Dorp. L'intrigue ne faiblit pas , à la fois instructive (sur le monde de la bière) et prenante. Les personnages sont haut en couleur.
Une série sur la bière à travers plusieurs générations de brasseurs. Premier épisode et coup de maître signé Jean Van Hamme. L'intrigue est intéressante et les personnages complexes.
Première partie du diptyque des sarcophages du 6e continent. L'intrigue se déroule en deux phases, en Inde quelques années plus tôt avec la rencontre entre Blake et Mortimer puis à Bruxelles en 1958 lors de l'exposition universelle. La mise en place est assez longue mais la lecture est plaisante.
A la mort de son père, un jeune homme essaie d'en savoir plus sur son passé. Son enquête le mène en Russie sur les traces d'une expédition soviétique dans l'océan arctique. Premier tome d'une trilogie. L'intrigue de Frank Giroud est classique mais l'expédition polaire est intéressante.
J'on est un esclave Chninkel mais U'n, le créateur du monde lui confie une mission impossible. Arrêter la guerre que se livrent les trois immortels. Très beau roman graphique en noir et blanc, signé par Rosinski et Van Hamme, les créateurs de Thorgal.
Johanne de Valcourt, qui pour survivre se faire passer pour Jeanne Dubois, est vendue comme esclave dans un bordel, au comptoir français de Mahé en Inde. Les ficelles scénaristiques sont parfois un peu grosses mais la lecture des aventures de Rani est toujours plaisante.
Jolanne de Valcourt, condamnée à mort, rencontre l'Ange noir et sa bande de brigands. Difficile de ne pas penser à Alexandre Dumas et à Angélique en lisant cette série. Le scénario et les dessins ne sont pas révolutionnaires mais le plaisir est bien là !
XVIIIe siècle. Une famille se déchire. Le marquis Charles de Valcourt a un héritier Philippe, vil et cupide, et une fille batarde, belle et fougueuse. Un premier tome très classique, tant au niveau du scénario que du dessin. Mais plaisant et efficace !
Dernier album des Éternels qui tentent de retrouver le jeune garçon et les diamants. Les dessins de Félix Meynet sont toujours très bons.
Un avion s'écrase dans une réserve indienne du Canada avec à son bord des diamants. Un enfant aurait survécu. Jay et Uma partent enquêter. Troisième et dernière aventure des Eternels. Le rythme est soutenu avec peu de dessins par page et beaucoup d'actions. L'intrigue est simple et plaisante.
Fin du diptyque sur le diamant rouge d'Abraham. La première partie avec le retour sur la guerre des six jours est passionnante mais la suite est banale et peu crédible.
Uma a maintenant pris la place de Mira au sein des Eternels. L'intrigue touche de près De Boer, le patron des Eternels et nous entraîne à Jérusalem. Le scénario de Yann, bien ficelé, est superbement mis en image par Félix Meynet.
Deux Mira pour le prix d'une dans ce deuxième épisode. Les dessins sont réussis, l'intrigue est intéressante mais un peu confuse par moment.
Uma est suicidaire et travaille pour la police scientifique. Chargée de reconstituer un visage, elle reconnait sa sœur disparue ! Un thriller intéressant dans le monde du diamant. Les dessins sont attrayants et modernes. L'intrigue laisse entrevoir pas mal de rebondissements pour la suite.
Dix ans après la fin du premier cycle, Kainzow et Boubé reprennent le flambeau pour une nouvelle épopée de courte durée. Ni l'intrigue ni les dessins ne convainquent vraiment. La lecture n'est pas désagréable mais cette nouvelle aventure n'apporte pas grand chose au mythe de Zorya.
Le cycle s'achève, Zorya va-t'elle réussir à reconstituer le pentacle ? Dernier volume de la série originale, avec une fin surprenante. Un album un ton en dessous des précédents.
Astérix et Obélix continuent leur tour des provinces romaines. Il existe toujours un petit village qui résiste à Jules César, même sans potion magique. L'histoire se répète une nouvelle fois mais c'est drôle ! Le fils de Soupalognon y Crouton est insupportable ! Olé !
La lutte entre Zorya et le néant s'accélère avec deux duels homériques dans ce volume. L'intrigue avance et le dénouement se prépare. Une très bonne série d'héroic-fantasy.
Zorya continue à rechercher les maîtres des cinq sens pour reconstituer le Pentacle. Encore un épisode dense avec de l'action et des rebondissements. Le néant est plus en retrait mais néanmoins décisif. Une très bonne série fantasy.
Après le maître de l'odorat, Zorya part à la recherche du maître de la vue. Mais le Néant rode. Les dessins de Crisse collent parfaitement à l'intrigue. Du pur divertissement !
L'Aneith, la gardienne du pentacle s'éteint. Zorya doit retrouver les maîtres des cinq sens pour reconstituer la structure du pentacle. Saga d'héroïc-fantasy phare de la fin du XXe siècle, efficace et plaisante.
Aria se retrouve embrigadée dans une secte dangereuse, le centre de Baohm. Michel Weyland ne s'éloigne guère de son intrigue favorite dans cet épisode mais la lecture reste plaisante.
Aria tente de délivrer Florineige, prisonnière de Xarxiar le Magnifique. La première partie est sympathique jusqu'à la rencontre avec les Xérènes et les Krylfes, même si leur description reste superficielle. La deuxième partie est trop facile, Aria ne rencontre pas la moindre difficulté sur sa route !
Aria découvre des lettres dans un coffret et part à la recherche de son propriétaire. Si la première partie de l'album est plutôt plaisante, l'intrigue s'essouffle assez vite. La fin parait presque grotesque.
Une série décidément inutile avec des gags très inégaux mais souvent vulgaires et pas vraiment drôles. Décevant.
Deuxième opus des aventures du jeune Lanfeust qui n'a pas encore découvert son pouvoir. Les situations prêtent souvent à sourire mais les gags sont assez inégaux et destinés à un public très jeune.
Comme de trop nombreux autres héros, Lanfeust de Troy a également droit à une série sur sa jeunesse. L'intérêt n'est pas évident et la réalisation médiocre.
Série de gags sur des profs de lycée plus déjantés les uns que les autres. C'est assez drôle dans l'ensemble mais assez inégal.
Tintin et le capitaine Haddock partent à la recherche de Tchang, porté disparu dans l'Himalaya. C'est toujours un plaisir de relire Tintin. Hergé maîtrise son art à la perfection, les dessins sont précis et clairs, l'intrigue mêle adroitement aventures et gags, sans temps morts.
Une nouvelle professeure d'histoire arrive au collège invisible avec pour ambition de reformer l'ordre des Chevaliers dragons. Ange trouve le moyen de relier cette série à son titre phare. Un album orienté jeunesse (humour et dessins moyens) mais qui se lit avec plaisir.
Duel de magie entre le collège Péquaure, invaincu et grandissime favori et le collège invisible. Un scénario classique mais efficace, des dessins pas toujours convaincants mais une lecture plaisante.
Corto Maltese et Raspoutine se lancent à la poursuite d'un train blindé rempli d'or. Mais ce trésor suscite bien des convoitises et les embuches ne manquent pas ! Corto avec son flegme coutumier enchaîne les aventures dans un superbe album haut en couleur !
Pendant la première guerre mondiale, quatre aventures africaines de Corto Maltese. C'est un toujours un plaisir de retrouver le gentilhomme de fortune le plus célèbre de la bande-dessinée. Un album parfaitement maîtrisé.
Six courtes histoires variées et intéressantes sur fond de Première mondiale. Un des meilleurs albums de Corto Maltese.
Le professeur Etrange amène ses élèves dans l'Atral où cohabitent rêves et cauchemars. Les dessins sont toujours moyens mais le scénario gagne en intensité. Ce troisième volume est pour le moment le meilleur de la série.
Le collège invisible est menacé de fermeture par un inspecteur zélé. Avis mitigé pour cette série. Les dessins sont approximatifs et le scénario mal maîtrisé. Mais l'environnement est sympathique et la lecture agréable.
Intégrale comprenant trois album. Buck Danny et ses amis testent différents prototypes, du FX-13 eu X-15. De bons dessins, des histoires très documentées mais des intrigues répétitives.
Buck Danny et ses amis doivent tester le FX-15 qui rencontre des problèmes. Les dessins sont très précis et le ton documentaire. L'intrigue trop artificielle passe vraiment au second plan.
Buck Danny et ses amis continuent de tester le prototype FX-13. Mais MacDougall, dont l'avion a été écarté, n'a pas dit son dernier mot et prépare sa revanche. L'intrigue est classique et la lecture agréable.
Un vieil homme insignifiant, ignoré presque méprisé par sa famille apprend qu'il va mourir d'un cancer. Mais l'impossible survient et il se transforme en cyborg. Hiroya Oku reprend les codes des super-héros mais chiro Inuyashiki n'est pas un adolescent et le propos devient tout de suite différent et intéressant.
Du combat sans temps morts du début à la fin. Les deux Saiyens sont de redoutables adversaires et les morts ne se comptent plus. La violence a pris le pas sur l'humour. L'intensité dramatique et les dessins sont bien maîtrisés par Akira Toriyama.
C'est reparti pour un tour, un adversaire toujours plus fort qui nécessite un nouvel entraînement. L'argument est le même que pour Superman, la puissance et la vitesse surréalistes viennent de la différence de gravité entre la planète d'origine et la Terre. C'est binaire et répétitif mais finalement assez jouissif !
Deuxième volume aussi enlevé que le premier. Le trio Jules Verne-Arthur Conan Doyle-Amelia Earhart fonctionne à merveille, l'intrigue est plaisante et les dessins très réussis.
Un peu de sang neuf avec l'arrivée d'un fils et d'un frère alien. Le schéma narratif reste le même avec des adversaires de plus en plus forts mais ces quelques nouveautés redonnent un peu de couleurs à une série qui s'enlisait.
Londres 1902. Le papier a disparu depuis deux siècles car tout ce qui est écrit prend vie. Malheureusement, le monde est en danger quand Black Fowl, esprit démoniaque, en prend possession. Pour le contrer, deux écrivains géniaux, Jules Verne et Arthur Conan Doyle et une belle aventurière, Amelia Earhart. Rémi Guérin créé une intrigue enlevée et prenante, joliment mise en dessin par Guillaume Lapeyre. Un très bon premier tome qui donne envie de lire la suite.
Deuxième album moins déjanté mais plus drôle, plus cohérent et plus réaliste, en un mot plus réussi.
Nouveau championnat du monde avec quelques nouveaux adversaires mais pas grand chose de neuf. La mise en scène des combats est toujours très bien réalisée mais la lassitude guète devant le manque de renouvellement de la série.
Série de gags signée Pica et Erroc sur les professeurs. Les planches sont assez inégales mais prêtent parfois à sourire.
Dans une dictature asiatique, un jeu morbide est régulièrement organisé. Les élèves d'une classe de 3e sont regroupés dans une île avec une consigne simple mais effrayante. Ils doivent s'entretuer jusqu'à ce qu'il n'en reste qu'un seul ! Adaptation dessinée par Masayuki Taguchi du roman de Koushun Takami. Les dessins sont réalistes et reflètent la violence du propos mais l'intrigue n'en reste pas moins intéressante et prenante.
Découvert par l'intermédiaire des adaptations cinématographiques. Très bon premier tome qui donne envie de continuer. Les dessins sont expressifs et réussis. L'intrigue est prenante sans excès de combats.
Astérix et Obélix continuent leur tour d'Europe et visitent cette fois la Corse pour observer comme d'habitude les coutumes et les méthodes locales anti-romaines. L'album est drôle sans être hilarant et le scénario manque cruellement de surprises. Bien évidemment la lecture reste quand même très plaisante.
Marcelino Truong et Claire Le Luhern adaptent le roman noir de James Lee Burke déjà adapté par Phil Joanou au cinéma en 1996 sous le titre Vengeance froide. Les dessins sont vraiment particuliers mais après un temps d'adaptation ils conviennent bien à la violence et la noirceur de la Louisiane. L'intrigue n'est pas facile à suivre et on ne se sent pas toujours concerné par cette histoire de vengeance.
Un moine et trois Yokai s'associent pour sauver le monde. Premier tome assez confus. Les dessins des combats sont maladroits voire incompréhensibles. Les quatre héros mal intentionnés apportent un décalage intéressant mais peu développé. Décevant.
Au XIXe siècle, Richard de la Ruquerie quitte sa Normandie natale pour s'engager dans la construction du chemin de fer transcontinental américain. L'intrigue est assez classique mais l'ouvrage se lit avec beaucoup de plaisir. Les dessins d'Elvire de Cock (merci pour la dédicace) sont magnifiques et respectent bien l'esprit d'aventure et le romantisme de l'époque.
Suite et fin du diptyque commencé avec Les 7 boules de cristal. Tintin et le capitaine Haddock sont au Pérou pour retrouver le professeur Tournesol enlevé par des indiens. Un album très dense où les aventures ne manquent pas. L'humour est un peu moins présent si ce n'est à travers les inénarrables Dupondt.
Première partie d'un des trois diptyques majeurs de Tintin. Les membres d'une expédition ethnographique se retrouvent plongés les uns après les autres dans un étrange état léthargique tendis que le professeur Tournesol est enlevé ! Un album très maîtrisé d'Hergé qui mêle aventure, exotisme, mystère et humour avec brio !
Buck Danny et ses fidèles compagnons sont affectés à une unité spéciale chargée d'évaluer des prototypes. Leur première mission consiste à pousser le X12 et FX13 dans des conditions extrêmes afin de valider une commande de l'armée. L'intrigue n'est guère passionnante et les personnages sont stéréotypés.
Riku est un jeune homme qui veut devenir pilote militaire comme son père et son grand-père avant lui. Son rêve est de rencontrer Tenjin, le dieu qui protège le ciel. Elève médiocre mais très instinctif, il intègre le groupe Charlie. L'intrigue est assez linéaire, sans véritable enjeu, et les personnages trop lisses. Les dessins sont plutôt réussis. Un premier tome, proposé dans le cadre de l'opération 48h bd 2018, plaisant mais pas tout à fait convainquant.
Après avoir battu l'école Tengen et ses naginatas, Gama affronte l'archer fou, le seul membre de l'école nakaïzumi. Comment affronter un arc à l'aide d'un katana ? Deuxième épisode, où il n'est question que de combats. Yosuke Nakamaru maintient l'intérêt du manga en variant les armes des guerriers. Les dessins sont agréables même si certaines situations ne sont pas claires.
Gama, jeune combattant de 14 ans, est invité à représenter l'école Ogame lors du grand tournoi d'Unabara. En cas de victoire, il permettrait à Naoyoshi Wasizu, vingt-huitième fils du suzerain, d'accéder au trône. L'intrigue n'est qu'un prétexte pour présenter un maximum de combats mais elle est bien trouvée. Les dessins sont simples mais efficaces. Un début plaisant mais qui manque d'originalité.
Après avoir repris les aventures de Spirou et Fantasio, Tome et Janry lancent Le Petit Spirou mais ce dernier est tellement différent de son alter ego adulte que ses aventures laissent de marbre. Les gags sont très inégaux mais prêtent souvent à sourire.
Le Pr Mortimer part aux Etats-Unis pour identifier un de ses lointains ancêtres, mystérieusement retrouvé deux siècles après sa disparition ! Jean Van Hamme signe un scénario de science-fiction intéressant et les dessins de Ted Benoit respectent parfaitement le cahier des charges.
Un tome dense avec au programme le combat titanesque entre Sangoku et Piccolo, la rencontre entre Sangoku et le Tout puissant puis les éliminatoires du championnat du monde. La deuxième partie est la plus intéressante, avec le retour avec le retour d'un peu de légèreté. A part ça, beaucoup de combats, bien mis en scène mais vite lassants. Akira Toriyama n'en finit plus de tuer et de ressusciter les personnages.
Piccolo cherche les dragonballs pour retrouver sa jeunesse. Sangoku veut consulter Maître Karine pour devenir encore plus fort. L'affrontement titanesque se prépare ! De moins en moins d'humour mais des combats délirants avec des adversaires toujours plus impressionnants. Si l'aspect répétitif est lassant, Akira Toriyama a l'art de ménager ses effets et d'intéresser ses lecteurs.
Fin rapide du championnat du monde avec un air de déjà vu puis changement radical et salutaire avec l'arrivée du démon Piccolo. Beaucoup de combats, des répétitions et presque plus d'humour. La lecture reste toutefois plaisante.
Troisième et dernier tome de la trilogie. Le préfet Charax recrute une troupe d'hommes au passé douteux (gladiateurs, esclaves, ...) pour une mission périlleuse, enlever la troublante Sémiramis pour faire chanter Vharam. Le dernier scénario de Gilles Chaillet est très bien dessiné par son ami Christian Gine.
Sixième chapitre coupé en deux parties. Dans la première, Eva, ravagée par sa haine et son amour pour Tenma, tente de le retrouver. Changement radical et salutaire de cap dans la deuxième partie, où le bon docteur laisse la place à des étudiants qui travaillent pour un mystérieux millionnaire. Si l'intrigue principale n'avance guère dans ce tome, l'histoire est toujours aussi passionnante et les dessins sont expressifs et précis.
Le monde d'Oscitan se relève d'une longue période de guerre. Obeyron est un maître inquisiteur. Aidé de l'elfe I'Jaren, il doit pacifier la forêt des Soupirs. Mais la mission sera un désastre. Les dessins, réalistes et expressifs, de Pierre-Denis Goux sont réussis. Le scénario d'Olivier Péru alterne de nombreux retours entre le passé et le présent. La vengeance est assez répétitive et l'intrigue révèle peu de surprises.
Troisième volume de la première trilogie et suite directe du deuxième tome, la Traversée quitte le monde sécurisant de la voie ferrée à la poursuite d'un signal radio mystérieux. D'autres humains ont-ils pu survivre ? La question du pouvoir reste au cœur de l'ouvrage, entre espoir et désespoir.
L'arpenteur est la suite du Transperceneige, 15 ans après le premier tome. Toujours en noir et blanc, les dessins sont à la hauteur. L'intrigue est prenante mais moins désespérée et abrupte.
Un train de 1001 voitures qui roule sans jamais s'arrêter, dernier bastion d'humanité dans un monde envahi par un froid glacière. Les dessins en noir et blanc sont très beaux, froids comme le monde décrit. L'histoire est très prenante. Adapté par le réalisateur coréen Bong Joon-Ho en 2012.
Luc Brunschwig et Olivier TaDuc s'attaquent à Jonathan Fly dans cet album qui éclaire les événements de la nuit du 3 août. Le scénario est bien ficelé et les dessins bien réalisés.
Yamato Akitsuki, jeune adolescent de 15 ans, quitte sa campagne pour vivre à Tokyo chez sa tante qui tient un bain public et une résidence pour jeunes filles. Premier tome pour découvrir les différents protagonistes. Le personnage de Suzuka reste le plus mystérieux. Les dessins sont très bons, l'intrigue avance en douceur avec quelques passages assez drôles.
Sangoku et ses amis participent au championnat du monde. Au programme des combats qui n'en finissent pas, moins d'humour et une série qui patine même la lecture reste plaisante.
Akira Toriyama termine en beauté l'arc de l'armée du ruban rouge avec la résurrection du père d'Upa. Et puis patatras ! Trois ans plus tard, le championnat des arts martiaux, avec des combats sans intérêt et des gags sans originalité. Dommage !
Pour trouver la septième dragon ball et ressusciter le père d'Upa, Sangoku et ses amis doivent affronter les guerriers de Mamie-voyante. Des dessins efficaces pour un tournoi privé décapant qui ne manque pas de surprises.
Huitième tome du célèbre manga avec au programme le titanesque combat entre Sangoku et le tueur Toapaïpaï. Ce dernier ne fait pas dans la dentelle et tue très facilement. Heureusement la violence est contrebalancée par un humour très présent.
Sangoku affronte l'armée du ruban rouge et en particulier le redoutable commandant Bleu. De l'action, et de l'humour et du grand n'importe quoi au programme de ce huitième tome. La chasse au trésor et aux dragon balls est ouverte !
Sangoku recherche le dragon ball de son grand-père mais l'armée de l'empire du ruban rouge se dresse sur son chemin. Le contraste entre la force de Sangoku et sa naïveté fait encore des miracles. Un album très drôle et efficace.
Fin du tournoi entre Sangoku et Jacky Choun puis retour à la chasse au dragon balls avec un nouvel ennemi, l'armée du ruban rouge. Quelques bonnes trouvailles pour clore enfin le tournoi et pas mal d'humour pour commencer l'arc suivant.
Naruto, Sasuke et Sakura devenus aspirants ninjas surmontent le test de le leur professeur Kakashi. Ils enchaînent les missions les tâches simples avant de se voir confier une mission plus intéressante : escorter escorter l’architecte Tazuna jusqu’à son chantier. Mais le danger guète ! L'équipe doit apprendre à travailler ensemble. Naruto pique moins de crise et commence à grandir (un peu) mais Sukura regarde les autres se battre en minaudant.
Sacham, le fils d'Aria déjà adolescent, part retrouver son père Tigron pour essayer de lui pardonner. Aria est en retrait dans ce vingt-deuxième album centré sur Sacham. Si la situation initiale propose une problématique intéressante, tout s'arrange bien trop facilement.
Aria attend un enfant de Tigron. Elle décide de rejoindre l'Arnolite mais le voyage ne se passe pas comme prévu. Michel Weyland troque son scénario standard pour un thriller plutôt réussi. Aria la guerrière indépendante laisse la place à une future mère vulnérable qui doit maintenant compter sur les autres.
Aria rencontre des amazones et affronte un tyran local, Sacristar. L'intrigue n'est guère originale et Michel Weland semble tourner en rond. Heureusement, l'arrivée de Tigron humanise Aria qui peut enfin surmonter son traumatisme et avancer.
Buntaro Mori est un adolescent solitaire. Arrivé dans un nouveau lycée, il escalade le bâtiment scolaire, sans préparation ni matériel, à la suite d'un défi. C'est la révélation ! Shin'ichi Sakamoto adapte le roman de Jiro Nitta. Les dessins sont superbes et l'intrigue bien menée même si les personnages manquent pour le moment de profondeur.
Quatrième opus sur la suite du tournoi pour devenir champion du monde des arts martiaux. C'est la phase finale, Yamcha, Krilin et Sangoku sont toujours en piste. Akira Toriyama signe un mange drôle et enlevé qui se lit d'une traite. Les mouvements des combattants sont particulièrement bien dessinés (ce qui est rare).