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Cet album présente une petite suite de planches qui raconte la mission de notre agent 212 qui vise à protéger, le président du Costariodecablanca, en visite officielle. Le problème est que des tueurs aux ordres des opposants du régime, essayent de buter le président mais l’agent 212 est toujours devant lui. Il prend sa douche et dort avec lui. Ils se retrouveront tous à l’asile. Le scénario prend du volume en même temps que l’agent 212.
Arthur provoque un accident en bloquant des véhicules qui roulent à une vitesse excessive. Il est ridicule lorsqu’il se rend compte qu’il est au milieu d’une course automobile. Raoul Cauvin prouve encore via cet album qu’il est le roi du gag. Le dessin de Kox apporte beaucoup à l’humour de l’album.
Il est toujours agréable de (re)lire ce premier tome qui fait les présentations. On découvre, non seulement, Arthur Delfouille, mais aussi son ami Albert et son chef, le commissaire Raoul Lebrun. Ce policier rondouillard et naïf a gagné sa place au royaume du 9ième art.
A la recherche du trésor d’Atahualpa. Cette fois, Bartoll nous plonge entre le Pérou du 16ième siècle et le site Machu Pichu de nos jour. Le passage d’une époque à l’autre apporte un rythme intéressant au scénario. Le rencontre avec la jolie archéologue Zoé Bernstein, élève de Rafaello, est une avancée positive dans l’intrigue. Les dessins offrent un intérêt surtout dans la réalisation de la forêt péruvienne, du site de Machu Pichu ou des costumes des conquistadores dans le chapitre historique.
Le scénario oscille entre trafic d’art et secte satanique. L’agence enquête chez les adorateurs du dieu Pazuzu suite au vol d’une statuette au musée de Bagdad. L’intérêt du scénario relève aussi de la complexité du personnage de Katia. Les dessins de Legrain sont très bon surtout en ce qui concerne l’ambiance de Bagdad.
Le scénario prend en haleine dès le début. Bon, encore des détectives, oui, mais cette fois, ils sont spécialisés dans l’Art. Le scénario de Bartoll traite d’un thème, un peu oublié, le vol des œuvres d’art par les Nazis pendant la guerre. Le dessin de Legrain est irréprochable. On y croit.
Après trois ans d’attente, Edith revient dans un scénario qui traite d’un sujet délicat: la spoliation du bien des juifs pendant la guerre. On s’amuse de l’apparition d’un personnage « Bad Boy », un petit voleur des bas quartiers de Paris, surnommé le « beau Denis ».
Cet album est le plus « policier » de toute la série. L’actrice Thelma tue son partenaire sur scène car on a remplacé les balles à blanc par de vraies balles. Victor accepte de reprendre le rôle maudit.
Le scénario nous plonge dans la folie du monde théâtral et dans la dictature des metteurs en scène.
Edith doit aider les services secrets français dans une sombre affaire de prise d’otage. Le scénario traite de deux problèmes de l’époque. La guerre d’Algérie (Victor tente de se faire réformer) et l’occupation française à Berlin. Le dessin est vraiment intéressant car on découvre des quartiers de Berlin détruits d’après guerre.
Edith enquête aux usines Renault suite au vol de documents importants. Cet album nous plonge dans le milieu ouvrier et syndicaliste. La France des années 50 est bien restituée tant au niveau des décors que des costumes.
Cet album se veut la suite de « La trace Pale ». Edith Hardy se rend à Moscou pour négocier la récupération de tableaux volés. Le scénario est bien ficelé même si il y a des longueurs. L’intérêt de l’album vient aussi de la rencontre de l’agent de la CIA, Jones, amant d’Edith. Les dessins de la Russie soviétiques sont bons et précis.
Edith enquête sur la disparition du chimiste Antoine Dubreuil kidnappé par les Russes. Edith Hardy infiltre les espions russes. Le scénario prend du relief et confronte l’héroïne aux milieu communistes très puissants après guerre. Le dessin rend Edith de plus en plus sexy.
Le scénario nous plonge dans Paris, en 1955, où la jolie veuve, Edith Hardy a fondé une agence de détectives privés. Cette histoire aux élans féminins car on y traite de la conditions de la femme après guerre, on y parle du vol d’une formule de parfum.
L’intérêt scénaristique vient aussi de la rencontre du jeune Victor, seul collaborateur d’Edith. Le dessin de Christin peut paraître « vieux jeu » mais l’atmosphère fifties est au rendez-vous.
Michael Rogers rencontre Elie Fenella Goodman, une riche héritière. Contre l’avis de sa famille, Ellie épouse Michael Rogers. Peu après le mariage, Ellie décède dans de drôle de circonstances. Ce n'est pas le plus connu des romans mais il est parfait pour être adapté en B.D. Le dessin des sentiments, très forts dans cette histoire, apporte un plus. C'est un des meilleurs tomes de la série.
Le 7 mai 1915, alors que le célèbre paquebot, le Lusitania, coule au large de l'Irlande, un inconnu remet, discrètement, un document secret à une jeune femme... Le scénario est difficilement adaptable en B.D. Il y a trop de personnage, trop de rebondissement, on s'y perd un peu. Le dessin de Londres d'après guerre n'est pas toujours crédible.
Il n'est pas évident de marcher sur les traces d'un aussi grand roman. Le scénario de Rivière est très bien résumé en 47 planches. Le dessin nous plonge à merveille dans l'Egypte coloniale du début du 20ième siècle.
Il n'est pas évident de marcher sur les pas d'un aussi grand roman mais le scénario est très bien mené, bien résumé. On suit l'intrigue sans problème. Le dessin est irréprochable. Le décor de la villa isolée nous plonge dans une ambiance pesante et sombre malgré la lumière. Cet album est une réussite.
Monsieur Ratchett est assassiné, dans sa cabine, de 12 coups de couteau. Hercule Poirot mène l’enquête. Il est agréable de relire un des plus célèbres romans policiers du monde en B.D.
Jacques Tardi revient après 9 ans moins convainquant que jamais. Le scénario est confus. on ne fait aucun lien avec les albums précédent. Il aurait mieux valu laisser Adèle dans son sommeil artificiel. Décevant.
Avec Le Mystère des profondeurs, Tardi reste fidèle à son thème ésotérisme et créatures fantastiques. Il a cependant choisi une autre époque le Paris des années folles. On peut note de nombreuses références au cinéma d'épouvante de cette époque.
C'est un album un peu parodique que nous propose ici Jacques Tardi. Le scénario arbore un humour qu'on a pas l'habitude de voir dans la série. Il paraît que les monstres ont été dessinés par d'autres dessinateurs, amis de Jacques Tardi.
Le scénario n’est pas aussi décousu que dans l'album précédent. . L'intrique est prenante, d’où viennent ces monstrueuses tentacules ? Un bon album avec, comme toujours chez Tardi, un soupçon de mauvais goût et d'anarchie.
Tardi n'a pas voulu plonger son héroïne dans le conflit mondial. Cet album reprend le Paris de 1918. Le scénario est un peu plus confus. On ne retrouve pas le lien avec les premiers albums. Le dessin reste bon mais là aussi, on ne reconnaît pas bien les lieux traversés.
Adèle Blanc-Sec voit la momie égyptienne qui « ornait » son salon prendre vie. Elle apprend que les momies du Louvre ont pris vie aussi. Tardi nous baigne, une fois encore, dans une aventure fantastique dans le Paris d'avant guerre. Le dessin est surprenant du Muséum d'Histoire Naturelle au Père-Lachaise en passant par les catacombes, on se balade dans Paris de planche en planche.
Paris, 1912. Adèle Blanc-Sec, est conviée à une soirée scientifique qui a pour but : ramener à la vie un pithécanthrope... rien ne se passe comme l'avaient prévu ces savants. A travers cet album, Jacques Tardi critique les dérives scientifiques actuelles. Le dessin est toujours aussi original que le scénario.
Paris, 1911. Adèle Blanc-Sec accepte d'accompagner le détective Simon Flageolet dans sa quête d'une statuette représentant le démon assyrien Pazuzu. Le scénario qui fait appel aux phénomènes ésotériques, est toujours bien ficelé et original. Dans le dessin, on reconnaît divers quartiers de Paris et on y baigne dans une atmosphère obscure et pesante. On y croit à fond.
Jacques Tardi nous offre un premier album très original. Adèle vit à Paris vers 1911 et elle est confrontée à des phénomènes paranormaux. Au muséum d'histoire naturelle, un oeuf préhistorique éclot pour libérer un ptérodactyle qui s'élance dans la capitale. Il va s'ensuivre une série d'agressions particulièrement violentes qui finissent par alarmer les esprits. Les personnes qui voient le monstre meurent les unes après les autres. Le scénario de Tardi est peu convenant. Adèle ne respecte pas les règles de notre société. Par exemple, elle a un amant peu recommandable, un dénommé, Lucien Ripol, un cambrioleur recherché.
Gregg persiste dans un Achille Talon plus littéraire dans le gag. Par exemple, Achille essaye, par un long discours, de remettre un cambrioleur sur le droit chemin. Pendant ce temps, ses complices pillent la maison. Achille fait pétition contre une enseigne qui indique « S-X-hop » mais il s agit de Saxophone. Jeux de mots, calembours, contrepèteries, tout y est.
Achille Talon est engagé comme figurant dans un film historique. Il en est mais il se rende compte que son rôle est celui du bébé dans la scène de l escalier du Cuirassier Potemkine. Cet album est marquant car la série prend un tournant plus culturel avec des références cinématographiques ou littéraires.
Pour embêter son coloriste, au fort accent flamand, Achille Talon se déguise en arlequin mais la planche sera publiée en noir et blanc. Gregg signe, ici, son « plus belge » album dans lequel on retrouve quelques références au pays d origine de l’auteur. Il nous offre également quelques beaux gags liés aux difficultés de création de B.D.
Gregg présente dans cet album un Achille Talon éloquent et prolixe. Le directeur du journal demande à Achille de rédiger un article sur les problèmes cardiaques. Il en est tellement excité qu'il fait un infarctus. Le coté enfantin du personnage se révèle encore lorsque Achille donne un cours à Lefuneste sur le cinéma d auteur mais il ne lui projette que des films pour enfants tel que Le chaperon rouge. Le dessin devient plus précis.
Gregg essaye dans cet album de nous montrer un personnage plus touchant voire enfantin. Par exemple, il accompagne un enfant perdu devant chez lui. Après avoir ramené le gamin, Achille se rend compte qu il est perdu à son tour. Achille offre une bague de fiançailles à la marquise qui lui dit, devant son amie Perfydie, qu elle ne mérite pas un tel cadeau. Achille reprend la bague et il va la revendre.
Achille se souvient de ses vacances avec son cousin Attila, tyrannique et violent , qui n’a jamais cessé de le martyriser. Depuis, chaque année , il plait à Achille de faire un petit détour par la prison municipale pour saluer son cousin. Dans cet album, Greg nous plonge dans l enfance de son personnage. On découvre, ainsi, sa maman aux allures décontractées issues du « Power Flower »
Greg peaufine le caractère de son personnage. Il nous présente un Achille Talon, cette fois, colérique. Battu au golf, Achille reste très fairplay mais dès qu il se retrouve seul, il devient fou de rage. Sous influence de l alcool, il lance des tomates à la tête de Lefuneste mais en il touche la marquise Virgule de Guillemet.
Dans ce deuxième album, on rencontre Alambic, le père déjanté de notre héros. Greg nous propose un animal de compagnie pour Achille Talon pour faire comme les autres personnages de bandes dessinées mais finalement, il restera seul. On va découvrir, dans cet album, un Achille Talon encore plus naïf, plus « à côté de la plaque ».
Le premier album d’une série mythique dans lequel on découvre les personnages récurrents tels que le vantard Major Lafrime, la vieille fiancée dite marquise Virgule de Guillemets et le voisin insupportable, Hilarion Lefuneste. On appréciera le genre de gag où Achille tente d hypnotiser son voisin mais, au vu de ses échecs, il finit par l assommer avec le manuel d hypnose.
Alix se trouve dans la ville de Suse en Afghanistan à la recherche du trésor d Alexandre le Grand. C est un véritable album d aventure que nous offre la scénariste Géraldine Ranouille illustré admirablement par les dessins de Marc Jailloux.
Césarion a été kidnappé. Voilà le scénario de ce sixième chapitre en Egypte, signé Corteggiani.
Alix comprend très vite que Césarion, drogué, est aux mains du grand-prêtre Néfrérou. Le dessin de Marco Venanzi est irréprochable dans le détail et la véracité de la ville d Alexandrie.
Michel Lafon, via son scénario, nous ramène les adorateurs du Dieu Moloch ( L Ile maudite, Le tombeau étrusque). Un homme meurt assassiné dans les bras d’Alix en ayant juste eu le temps de dire: « César, Danger, Baal ». Alix part pour Rome pour prévenir César.
César a signé un testament qu il a remis au temple des vestales. Les ennemis de César sont prêts à tout pour récupérer ce testament. Alix apprend que ce serait lui le digne héritier de César. Ce premier album, après le décès de Jacques Martin, signé Marco Venazzo, est une réussite.
Jacques Martin nous emmène pour la cinquième fois en Egypte. Alix est envoyé en mission diplomatique chez Cléopâtre qui a des ennuis avec son frère. L intérêt historique émane de la relation difficile entre Cléopâtre et Ptolémée. Coup de chapeau à Christophe Simon pour le phare d Alexandrie particulièrement réussi.
Le scénario traite des difficultés de s intégrer au sein d une autre civilisation. César offre une villa en Espagne à Alix pour le remercier de ses services. Alix se rend compte qu il n’est pas le bien venu. Des rebelles, menés par Tarago, surnommé l Ibère, veulent expulser les Romains de la péninsule. Les paysages espagnols sous le coup de crayon de Christophe Simon sont splendides.
Maingoval élabore un scénario plein de nostalgie. En Syrie, Alix se remémore le début de ses aventures. C est à Khorsabad que tout commencé. On est amusé de retrouver Arbacès, l ennemi d Alix. Christophe Simon, maintenant au dessin, remonte le niveau de la série.
Jacques Martin nous ramène au coeur de Rome. Il y avait longtemps. Alix est accusé de meurtre et il se retrouve dans les arènes. Le scénario est digne de B.D policière à la Ric Hochet. Moralès offre un dessin statique mais il offre aussi une multitude de détails intéressants.
Décidément, Jacques Martin aime l’Egypte. Il nous y emmène pour la quatrième fois. Il y traite le thème du mariage forcé. Le Prince Djerkao d Assouan offre à Cléopâtre une fortune pour qu elle marie Enak à sa fille. Alix l escorte son ami à contrecoeur. Morales a le mérite de tenter quelques dessins de la faune africaine. Les couleurs sont splendides.
L île d Icarios est assiégée par des corinthiens dirigés par Arbacès, le vieil ennemi d Alix. Arbacès utilise le mythe d Icare pour enjouer ses troupes. Jacques Matin revisite le thème d Icare et du danger de toujours en vouloir plus. Le dessin de Morales est parfois statique.
Changement de dessinateur à partir de cet album. Rafael Morales prend bien la relève et donne, même, plus de sentiments aux personnages. Jacques Martin, au scénario, traite du thème de la faiblesse des hommes face aux plaisirs comme le jeu, l alcool. Galva promu général oublie son rôle militaire contre les barbares pour traîner et profiter de ses avantages d officier. Alix devra le ramener sur le droit chemin.
Pour la troisième fois, Jacques Martin nous replonge dans l Egypte antique à la cour de Ptolémée XIII et de sa soeur Cléopâtre. Les dialogues sont longs et parfois inutiles. L intérêt historique est absent. Le dessinateur Moralès apporte au dessin une lumière qui sauve l album.
Pour apprécier cet album, il faut, d abord, lire « Le dernier Spartiate ». On retrouve Héraklion, l héritier grec, pris à parti par des descendants des Troyens. Jacques Martin nous rejoue ici la scène plus mythique des batailles antiques celle du « cheval de Troie ». Sur ce coup là, la véracité historique n est pas vraiment au rendez-vous.
Jacques Martin aborde le thème de la trahison et du pardon. Pompée, pour de nuire à César, fait évader Vercingétorix et demande de l aide d Alix qui, contre toute attente, accepte. Vercingétorix trouve sa femme mariée avec un autre avec un enfant dont elle ment quant à la paternité. C est un scénario troublant et intéressant.
Jacques Martin nous emmène cette fois en Chine, à la cour de l’empereur Han Tsi où prince héritier, Lou Kien, est gravement malade. Jacques Martin traite, ici, un sujet très délicat: la mort d’un enfant mais il le fait avec sobriété. Avec la Chine, il nous offre un autre panel de costumes et de paysages qu on a pas l’habitude de voir dans cette série.
Cet album se veut, un peu, la suite de «La tiare d Oribal ». Alix revient à Babylone où il découvre horrifié la tête de son ami Oribal. Alix recherche les assassins. Le dessin est bon et on s’amuse à retrouver le détail la tour de Babel, le port d’Ostie.
Jacques Martin nous plonge à Athènes. Les dessins de l’acropole, entre autre, sont superbes. Le scénario fait référence aux magouilles des grosses entreprises à travers la machination d’une grande fabrique de vases, le Protonéion. Tout y est corruption, assassinat, spoliation et mensonges. C’est amusant de retrouver les problèmes de notre société actuelle dans le monde antique.
Alix est en mission en Inde. Il y découvre une île volcanique où le sacrifice humain a toujours cours. Alix entre en conflit avec le sorcier pour avoir sauvé la petite Malua. Le scénario est un peu proche de celui de « L Ile maudite ». Les dessins de l irruption volcanique sont irréprochables mais on regrette un goût de déjà vu.
Jacques Martin nous emmène à Carthage et, une fois n est pas coutume, le scénario aborde un élément fantastique via l Orichalque (pierre énergétique de l Atlantide). La matière radioactive est un thème qui revient chez J. Martin (Le Dieu sauvage) et le fait que les Carthaginois menacent Rome d une attaque atomique n est pas sans rappeler la guerre froide en cours au moment de la création de l’album.
Bien entendu, on ne pouvait pas créer une série sur la Rome antique sans parler du plus célèbre des gladiateurs et comme la série se veut réaliste et que Spartacus est déjà mort, on parle de Spartaculus, son fils. Sera-t-il le symbole d une nouvelle révolte? Le scenario est un peu trop basique, aux rebondissements trop prévisibles. Le dessin sauve un peu la mise.
Jacques Martin nous plonge cette fois en Nubie car le héros de l album est Enak. On apprend qu il est un descendant des Menkharâ, une puissante famille égyptienne. L intérêt du scénario vient de la première querelle entre Alix et Enak et du dilemme d Alix qui, malgré la torture, refuse de trahir Rome. Comme toujours, les dessins de l Egypte antique (Saqqarah) sont historiés et précis.
Jacques Martin aborde dans ce tome le problème de l argent qui corrompt tout. Le Consul de Thrace demande à Alix de diriger une légion constituée de gaulois couverts d or pour avoir brillamment combattu pour Rome. Alix devra calmer les ambitions d Iorix afin d éviter le drame. Le dessin est intéressant en ce qui concerne l architecture des villes gauloises.
Jacques Martin nous plonge en Lybie dans une cité dédiée à Apollon où trône une étrange statue lumineuse du dieu de la beauté. Jacques Martin suit, ici, le thème cher aux années 70: les radiations atomiques et leur méfait. On retiendra un dessin remarquable quant du désert libyen.
Jacques Martin nous offre un travail remarquable quant aux dessins des tombes étrusques de Tarquini (Toscane). Les ombres, la lumière, les couleurs, tout y est. Le scénario nous ramène à la secte de Moloch (L’Ile maudite) et à l amitié d Alix pour Lydia, la sœur d’Octave.
Jacques Martin transforme Alix en esclave et précepteur d Héraklion, fils de la dernière reine spartiate. Une fois encore, Alix est partagé entre aider le jeune grec attendrissant ou détruire cette civilisation ennemie de Rome. Les dessins des costumes et armes de l’armée de la Grèce antique sont irréprochables.
Le scénario est basé sur une relation historique allant de 390 avant J-C (épée de Bremmus) à 52 avant J-C (guerre entre Pompée et César). Jacques Martin plonge Alix dans le dilemme psychologique rester fidèle à César ou rejoindre Kildéric et les Gaulois. On notera l apparition du loup et du légionnaire Galva, amis d Alix (personnages récurrents). Le dessin des Alpes enneigées est un pur bonheur.
Sans doute un des meilleurs albums de la série. A Pompéi, des dignitaires romains sont agressés par un homme déguisé et muni d une griffe empoisonnée. Alix doit trouver l’antidote et comprend que l affaire est liée à une histoire de vengeance. Le scénario est bien ficelé et rythmé. Les dessins de Rome en 52 avant J-C sont détaillée à la perfection. A lire.
Alix doit escorter le prince Oribal jusqu à Zur Bakal, la capitale de l Assyrie. Oribal devra être coiffé d une tiare en or afin d être sacré et reconnu nouveau roi. Le scénario apporte un élément original et rare chez J. Martin avec cette tiare magique qui peut rendre fou. La véracité du dessin des sites historiques de l actuel Irak-Iran reste stupéfiante.
Le scénario est intéressant par sa trame et sa véracité: Arbacès retient prisonnier sur une île volcanique, vouée au culte du Dieu Moloch (historique), le savant Lydas afin qu?il révèle le secret du feu grégeois (historique). Sur cette île maudite, Alix découvre une civilisation égyptienne qui se cache dans une grotte souterraine pour survivre. Le dessin est soigné surtout en ce qui concerne les effets d irruption volcanique, de raz de marée. Histoire et action sont au rendez-vous.
Il faut lire cet album comme une relique. Premier tome d'une série mythique, crée en 1956 par Jacques Martin. Ici, l aventure d'Alix commence en 53 avant Jésus-Christ dans la ville de Khorsabad, située en actuel Irak. La ville de Khorsabad vient d?être prise par Marsalla, un officier romain sans scrupules. Parmi les survivants, Alix, un jeune esclave gaulois, manque, par maladresse, de tuer Marsala . Il est vendu comme esclave à Arbacès. Arbacès est un marchand grec malhonnête et cruel. Heureusement, Alix sera acheté par le gouverneur de l île de Rhodes, Honorius Galla Graccus. Le gouverneur le considère, très vite, comme son fils. Jules César lui proposera, plus tard, un poste diplomatique. Alix devient , ainsi, un représentant diplomatique officiel de Rome, aux ordres de César. Il connaîtra diverses missions à travers le monde antique...
Le scénario est classique et efficace. En 52 avant Jésus-Christ, Jules César a reçu un sphinx en or avec un message révélant que des romains d Alexandrie disparaissent mystérieusement. Alix part enquêter et s infiltre dans le temple d Efaoud où s organise une mystérieuse secte. L intérêt majeur du scénario vient de la première rencontre entre Alix et le jeune égyptien Enak et l intérêt du dessin émane de la précision des sites égyptiens.
Le scénario est assez rythmé. Il y a de bon rebondissements et des course-poursuites époustouflantes autour du poignard d'or qui rappelle, un peu, le scénario du "Le Sceptre d'Ottokar"d'Hergé... L'intérêt du dessin relève de l'illustration, assez précise, des grands sites de Jordanie: Pétra, le désert de Wadi Rum, les ruines de Jerash...
C'est l'album le plus psychologique de la série. Il fait appel au thème de la télépathie, des relations entre frère jumeaux.. Il fait aussi appel au sentiments humains et on voit, ainsi, de bons retournements de situations et des voltes faces chez certains personnages. Les dessins sont bons et les variations de couleurs suivent les pays. On voyage beaucoup dans cet album: Proche Orient, Los Angeles, Zambie...
C'est un des meilleurs albums de la série. Le scénario nous rappelle des grands films comme "Le prisonnier", "The Island"... Le thème de la prison dorée, de l'évasion impossible et de la course poursuite effrénée, nous tient en haleine. Contrairement au autres tomes, ici, les couleurs fortes se marient bien avec la lumière des îles du Pacifique. On y croit plus que jamais.
On en sait plus maintenant sur ce que sont les anges et sur la hiérarchie de la Winguard. L'intérêt du dessin se trouve surtout dans les poursuites de voitures au coeur de Los Angeles, la nuit et de la violence des gangs bien rendue. Darius est un bon album de la série.
Fouad est un album clef de la série. Le scénario prend un tournent et nous plonge dans la violence de la prise d'otage, du complot international et de l'ennemi omniprésent. On est pris dans un tourbillon scénaristique qui nous tient en haleine jusqu'au bout où on ne sait plus qui est qui... Le dessin reste bon mais je regrette un peu ces couleurs trop fortes plus de sobriété aurait été bien venue.
Le rythme n'est pas toujours soutenu mais l'intrigue est bonne et le fait de pouvoir lire les albums dans un autre aléatoire est assez amusant. Ce démarrage dramatique pour Camille qui perd tout en quelques planches donne envie d'en savoir plus. Le dessin peut dérouter car il y a un petit coté "manga" dans le visage des personnages...
Le rythme n'est pas toujours soutenu mais l'intrigue est bonne et le fait de pouvoir lire les albums dans un autre aléatoire est assez amusant. Ce démarrage dramatique pour Camille qui perd tout en quelques planches donne envie d'en savoir plus. Le dessin peut dérouter car il y a un petit coté "manga" dans le visage des personnages...
Grâce au télé-porteur temporel de Barabas, Vandersteen nous plonge dans la Gaules antique. L'humour est plus au rendez-vous que les véracités historiques. J'ai eu un petit coup de coeur pour la nymphe rondouillette amoureuse de Jérôme. Le dessin est particulièrement soigné dans les scènes de combat entre Gaulois et Romains.
Cet album est d'un intérêt primordial car il raconte la première rencontre entre Bob et Bobette. On découvre, ainsi, qu'il n'est pas son frère mais un habitant de l'île magique d'Amphoria où le Moyen-âge a toujours cours. On découvre, également, le professeur Barabas pour la première fois. Le dessin est soigné en ce qui concerne les décors liés au château fort.
Ce tome a été choisi comme premier album en couleur en 1967. Le scénario de Vandersteen est bien ficelé. Il s'agit du thème éternelle de la lutte du bien et du mal avec, bien entendu, les forces du mal du côté de l'argent. Lambique veut devenir riche mais il doit, pour cela, vendre son coeur à Nathan et Jézabel, des suppôts du diable... L'intérêt de dessin se trouve dans l'ambiance très sixties de l'album avec des voitures d'époques, des hippies aux vêtements fleuris... Nostalgie quand tu nous tiens!
Le troisième tome est une autre merveille. Au plus le doute de Watson s'approfondit et au plus le dessin de Cecil s'assombrit. On garde une qualité hors du commun. Il y a un travail historique remarquable quant aux décors, aux costumes et aux diverses ambiances propres à l'époque victorienne.
Un graphisme exceptionnel, un scénario en béton armé. Brunschwig nous plonge dans l'univers de la famille Holmes avant la naissance de Sherlock. Watson, quant à lui, essaye de retrouver les gens qui ont connu son ami. Tout ce qu'il pensait concernant Sherlock s'effondre... Il y a des liens du sang qu'il vaudrait mieux effacer. Par contre, il y a des BD à ne pas rater.
Voilà ce que j'appelle un rebondissement! Les scénaristes auraient pu tomber dans une, déjà trop nombreuses, trame mettant en scène des Zombies et bien non. Le scénario nous amène au cœur de l'apocalypse selon saint Jean, ce chapitre biblique où les morts côtoient les vivants. Certains sont les bien venus mais pas tous!
On retrouve avec plaisir notre équipe hétéroclite de navigateurs aux portes de la mort. On s'y retrouve, dans un scénario pourtant confus, dans les symboles classique de la mort: lumière éclatante, anges, vision des moments forts de sa vie et un cimetière... Oui, un cimetière céleste... On pourrait se croire dans la "machine à voyager dans le temps" d'H.G Wells. Tiens... H.G. Wells? Ici? Oui...
Quel thème! Un voyage aux frontières de la mort en rendant le tout crédible via la physique quantique. Après lecture, on ne peut s'empêcher d'aller voir plus loin quant à la signification de "Tachyon", "intrication"... Voilà un bon scénario qui oscille entre science et ésotérisme. Le scénario rappelle, un peu, le film " Brainstorm" (1984). Le dessin de Ponzio est très bon mais l'utilisation de l'image de synthèse donne un côté "roman photo" qui peut déranger. Une "Expérience Mort" à ne pas manquer.
Le sergent Chesterfield signe, sur un malentendu, un contrat pour une mission suicide derrière les lignes ennemies... Ce n'est pas le meilleur album de la série. Il y a quelques incohérences historiques mais l'humour est au rendez-vous. Les deux acolytes mexicains, Pedro et José, apportent un plus au scénario. En ce qui concerne le dessin, on remarquera un effort dans la réalisation des locomotives d'époque et du chemin de fer.
Ca y est! On y est! C'est la guerre! Le sergent Chesterfield et le caporal Blutch quittent Fort Bow pour intégrer le 22e de cavalerie du capitaine Stark de l'armée du général Grant. L'intérêt scénaristique de l'album relève de la découverte du capitaine Stark (personnage récurrent de la série) ainsi que l'origine et la raison de sa folie. On notera un effort tout particulier dans le dessin pour rendre crédible la puissance de l'artillerie sudiste (canons, munitions, dégâts occasionnés...). Un grand classique.
Quel plaisir de (re)lire l'album où tout à commencé. En 1860, la guerre de secession n'a pas encore éclaté et les ennemis sont les Indiens. Le scénario de Cauvin est simple et efficace: Le sergent Chesterfield et le Caporal Blutch doivent escorter un chariot de munitions qui doit passer par le territoire indien. Action et humour sont au rendez-vous. Le dessin, emprunt de nostalgie, de Salvérus nous plonge carrément en Arizona. On reconnaît le site de Monument Valley. Tout un voyage!
Une ambiance de plus en plus pesante, une atmosphère à rendre malade tout claustrophobe empreinte d'hôtel dans lequel les personnages les plus dangereux ne sont pas les zombies, de longs couloirs étroits interminables, de chambre frigorifique fermée à double tour. C'est essoufflés qu'on arrive à la dernière planche et là... non! C'est paaaaaas fini! Qui sont ces démons qui rodent autour de l'hôtel et quels sont ceux qui tourmentent tellement Mandy? Y a pas à dire quand le scénario rejoint le dessin, on y est dans le neuvième art. A lire.
Une histoire de Zombies affamés... Encore! Mais très vite, on se retrouve plongé au coeur de l'intrigue, on se retrouve dans la peau de Lizbeth, de Leland ou de John... On ne peut s'empêcher de frissonner à chaque planches, à savoir qui se fera bouffer ou pas. Je ne peux pas dire que le scénario d'Istin soit original mais ça tient la route et les dessins de Bonetti sont irréprochables. "Tentez l'expérience".