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Tendresse et sensibilité dans cette histoire racontée dans une succession de tableaux ou historiettes qui, in fine, font une véritable tranche de vie.
Bel album où tout est très soigné; le scénario, la douceur du trait et des couleurs, une belle mise en page. Pas de sensiblerie car le ton léger permet de faire passer un message et une émotion vrais.
Vous voulez connaitre quelques épisodes de la guerre de Sécession? Notamment ce qui s'est passé au Kansas et Missouri? Les troupes régulières, irrégulières, la genèse des frères James, de leurs acolytes? Alors les deux BD "les démons du Missouri" et "Terreur sur le Kansas" sont faits pour vous.
Dans la vrai histoire, ils n'avaient pas Blueberry pour les sauver!
Mais j'ai été entraîné par un véritable souffle épique. Les pages se tournent très vite. Le tout est bien sur dû au scénario de Charlier mais aussi au dessin et la mise en page Wilson.
Tout est très soigné.
Blueberry pas encore lieutenant mais simple clairon, mais déjà seul contre tous. Plaisir évident à lire cet album. Charlier a le don de créer des seconds "rôles" qui apportent beaucoup d'épaisseur aux différents récits. Mais j'ai moins ressenti le souffle épique de l'histoire et j'ai trouvé certaines cases moins abouties.
Humour décalé qui pointe quelques inepties de notre monde. Salutaire et très plaisant. Dommage que certains gags fonctionnent moins bien (surtout pour les coachs en développement personnel ou les sans emploi dans les énergies renouvelables...)
Le monde d'Edena: un monde serein, beau, onirique.
Une première histoire; "réparations" où pour réparer un vaisseau spatial il faut d'abord réparer un souvenir enfantin.
La deuxième "sur l'étoile" qui donne son titre au livre nous transporte sur une planète ignorée et apaisée qui telle l'arche de Noé transporte la vie vers une autre destination. Tout cela avec un clin d’œil à Citroën, initialement il s'agissait d'une commande de la marque aux chevrons.
Style épuré, ligne claire. A découvrir absolument pour se laisser porter. Bravo Moëbius
Je ne me suis pas ennuyé à la lecture de ces deux tomes. Quelques informations glanées ici ou là lors de la lecture, mais peu d'intérêt à cette lecture. J'ai du mal à plaindre les nantis et la façon de raconter cette histoire est insipide, les personnages n'ont pas d'épaisseur et la mise en dessin n'apporte pas de relief.
Lucky Luke de la grande époque. Les dialogues et les dessins sont tellement ciselés que l'on ne capte pas tout en une seule lecture, loin s'en faut (du moins moi!).
C'est ce genre d'album qui a construit la légende Lucky Luke! Le plaisir transcende les générations de lecteurs.
Album un peu inférieur au Juge mais malgré tout succulent!
L'album est riche en allusions c'est une grande partie de son charme. La lutte pour le pouvoir, les élections, les villes champignons...
Ne pas oublier la caricature de Michel Simon.
Bref un bon moment.
Sympa à lire. Redécouvrir le traitement fait à la consommation d'alcool à cette époque (1955) est assez surprenant surtout pour de la littérature jeunesse.
Lucky Luke n'est pas encore ce héros imperturbable et détaché, il est faillible (il subit explosions et défaites) et aussi blesse avec son pistolet! (voir dernière histoire). Le personnage le plus présent est le docteur Doxey. Bref tout cela nous change de l'univers connu et réputé.
Le dessin de Morris est précis, agréable et ponctue très bien le récit même si Lucky Luke et Jolly Jumper n'ont pas leurs traits définitifs. Les scènes de villes sont particulièrement bien réussies.
Très beau livre. Comme le dit précédemment Hervé cela ressemble visuellement à un carnet de voyage, mais parfois retravaillé. C'est à dire que certaines images sont "achevées", par exemple complétées et mises en couleurs. Côté images chacun à le choix de dire ce qu'il aime le plus, et peut faire la comparaison entre croquis instantané noir et blanc et image couleurs plus aboutie. En complément le texte aussi est beau ce qui ne gâte rien. Doux, poétique, nostalgique.
L'édition soignée de D. Maghen est à noter.
Certes ce n'est pas une BD au sens puriste du terme, car point de bulle ni de case. Mais c'est bien plus qu'une histoire illustrée. Ne boudez pas votre plaisir lisez ce livre. Il en vaut le coup
"Toujours un peu plus loin": toujours aussi bien.
Très beau, somptueux lyrique et envoutant. Un grand Corto en cinq histoires.
Si vous n'avez que le tome 1, ne démarrez pas la lecture au début d'une période de confinement, les 2 autres tomes vont vous manquer cruellement. L'ensemble se dévore!
Le scénario est cynique à souhait, le dessin légèrement exagéré lui répond parfaitement et la mise en page nous fait tourner les pages.
Une très bonne série.
Très belle histoire qui raconte fort bien de l'intérieur l'aventure des sandinistes contre Somoza, dictateur soutenu par les USA.
L'histoire est celle d'un jeune séminariste peintre, Gabriel, fils de grande famille, qui fait le choix du peuple et s'engage dans la guérilla.
Amitiés, violences, renoncements dans un environnement oppressant, voilà les fils conducteurs de cette histoire. qui est très belle.
Pourquoi 3/5 et pas mieux? le dessin est beau, on ressent que E. Lepage est un peintre, mais l’œuvre picturale est écrasée par la (petite) taille des planches et cela m'a frustré. Du même auteur j'ai beaucoup plus accroché avec le Voyage d'Ulysse. Mais peut être suis-je un brin difficile!
C'est sur que certaines histoires de Sœur M. Thérèse sont mieux, mais j'ai quand même passé un excellent moment de lecture. Les histoires sont courtes et enlevées et le dessin toujours aussi expressif et riche (cherchez le détail pour aussi rigoler). J'ai bien aimé Jésus, comme quoi un avis fait pas l'autre.
Histoire antérieure à l'apparition de Corto Maltese qui montre que Hugo Pratt ne se résume pas à Corto. Histoire épique d'un condottière peu sympathique au début qui le devient petit à petit; qui trucide allègrement dans l'Italie du XVIème soumise aux guerres. Le système narratif est certes un peu daté mais cela participe aussi au charme de l'histoire.
Pour le dessin, je préfère Sgt Kirk qui date aussi de la première moitié de carrière de Pratt, mais on reconnait sans problème son style. Certaines images notamment celles de lansquenets sont remarquables, la mise en cases est régulièrement inventive et nous emportent dans le récit.
Le moins bien c'est la couverture.
Cependant, je pense qu'il ne faut découvrir Hugo Pratt par cette histoire!
Le siècle avait 61 ans et déjà Astérix pointait sous Oumpah- Pah!
Plusieurs ingrédients des recetes Astérix et Lucky Luke sont présents: le banquet, le calumet de la paix... On voit que beaucoup de choses étaient déjà en place et qu'il "suffisait" de liberté pour que tout explose dans l'aventure que l'on connait.
Ce premier Oumpah_Pah est certes moins débridé que la production future de Goscinny mais quand même on passe un excellent moment à lire cet album.
D'un point de vue du dessin, Uderzo est déjà au top et on reconnait bien son univers graphique. C'est supéfiant.
Lucien se met au vert et nous on rigole!
BD très agréable où dans une histoire Lucien visite son cousin et découvre la campagne et les gens! Cela pourrait être aussi Lucien sur une autre planète. Autre mention spéciale à l'histoire des "anti-Noël" très drôle!
Fan de Gai-Luron ou pas, lisez cet album. Du pur Gotlib. Merci Marcel!
Jubilatoire. Certes il y a du texte mais toute la verve de Gotlib s'y exprime. De même le dessin est riche, les bulles aussi et toujours cette maudite souris qui traîne dans les cases.
Toujours aussi bien.
L'humour de Goscinny, la virtuosité de Tabary. Toutes les histoires sont décalées et excellentes.
Supporte aisément la relecture pour comprendre plus de jeux de mots et de situations.
Ce livre contient deux récits de Stevenson. Le célèbre "lîle au trésor" et le moins connu au moins pour les lecteurs francophones "David Balfour". 2 histoires de pirates de marine de bons et de méchants et d'adolescents propulsés au rang de héros. Passionnant et palpitant, si on retourne un peu en enfance.
Mais que vaut se traitement BD fait par Hugo Pratt quand il séjournait en Argentine et repris en 1980 par les Humanoïdes?
Le trait est nerveux, la mise en case est très réussie (avec des cadrages quelques cadrages qui rendent bien compte de l’exiguïté des navires) et la mise en page aide à nous maintenir en haleine. En complément la mise en couleur qui favorise les jaunes orangés et marrons est très réussie.
Même si Hugo Pratt a par la suite progressé vers son univers graphique et imaginaire, ce livre est vraiment à découvrir. Il se dévore.
Le style de Berthet one est très personnel. Issu du graph, il nous raconte sur une page à chaque fois un épisode de sortie de prison. Toujours un peu décalée et humoristique, on prend un réel plaisir à lire cette BD, en plus ce qui ne gâte rien on fait une bonne œuvre en promouvant l'association MAKADAM.
Achetez-la et faites connaitre!
Pour les fans de Lewis Trondheim! Ubuesque et truculent. L'histoire improbable de Lapinot et Richard qui vont construire des temples de la laïcité en province sous la direction d'un personnage qui ressemble typiquement à ce qu'aurait pu incarner un J. P. Marielle au cinéma.
Peinture féroce (mais aussi attachante!) de notre société, par laquelle Lewis Trondheim caricature nos comportements individuel et collectifs. Ouf Lapinot n'est pas mort, il est vivant, reviendra-t-il pour notre plaisir?
Un peu déçu par cet album. Et pourtant je suis fan d'Hugo Pratt!
La mise en page est très académique, quasi exclusivement des 16 cases au format standard cela est aussi dû à l'absence d'envolée lyrique du récit et de ses personnages. C'est dommage car toutes les aquarelles mises en préambule de l'histoire sont somptueuses.
L'intérêt se trouve dans le récit de la naissance de Corto et cela crée ainsi du lien avec toute la saga.
Un livre pour les fans qui veulent compléter leur collection.
Quelle épopée dans cette Amérique britannique qui bascule sous la pression des colons dans le conflit avec les Indiens et la recherche d'indépendance!
Le souffle de l'histoire passe dans ce récit. Certes il y a des bons, mais aucun personnage n'est foncièrement mauvais. Chacun a sa logique, son histoire.
Dès la première page Hugo Pratt nous entraîne dans son récit qui nous étreint jusqu'à la fin.
Le dessin et la mise en planche sont somptueux. Même si on est habitué cela fait toujours autant plaisir.
A découvrir ou redécouvrir.... régulièrement.
Une des meilleures BD de 2019!
Tout est picaresque: le dessin est flamboyant et excessif, et en plus il est beau autant pour les personnages que pour les paysages, la mise en page rythme bien l'action et aide à entraîner le lecteur à tourner les pages, les couleurs souvent chaudes conviennent au récit, enfin le scénario est très riche en rebondissements, pour certains la fin (à découvrir) est de trop, mais pour moi elle rajoute une dimension au récit.
Une mention spéciale aussi à l'éditeur Delcourt dont le format d'album, même s'il pose problème dans une bibliothèque (!) car très grand, a le grand mérite de "dégager" l'histoire en créant de l'espace et des perspectives.
Ce fut un réel plaisir. Merci aux auteurs
L'histoire racontée est celle véridique de Aida invitée en France et qui se voit refuser son visa. Mais plus qu'une histoire il s'agit d'une digression sur le rapport Afrique Europe, sur les différences de niveaux de vies entre les hommes et l'attirance irrépressible de notre monde pour ceux dont l'avenir économique est incertain.
Le dessin très original, coloré porte un ton vif.
Chef d’œuvre. Le dessin est superbe, la mise en planche est remarquable et les histoires sont soit très bonnes soit excellentes (la deuxième des 4 histoires).
Mais ce qui fait le charme de Corto et de l'univers d'Hugo Pratt c'est cet entrelacs de références croisées à des mondes différents: la magie, le surnaturel, l'exotisme, la quête vaine (référence à Rimbault voire à Lawrence d'Arabie), la religion (ici l'Islam avec la référence aux sourates), la fin d'un monde (colonial), l'existence même de Corto (référence à sa jeunesse, à des personnages de 'la mer salée', Ann de la Jungle). Le lecteur est ainsi plongé dans un monde qui le promène et l'entraîne dans un monde très particulier proche du rêve éveillé. Merci
L'histoire est splendide. L'immersion dans un pays en guerre au sein d'une équipe d'humanitaires est une aventure unique, et riche. Le dévouement, le tragique, les relations humaines sont bien décrites et donnent beaucoup d'épaisseur au récit.
Mais malgré tout cela j'ai eu du mal avec l'objet BD. Je trouve le dessin froid la mise en page sans grand attrait. Ce sont les photos qui m'ont charmé et surtout le texte.
J'avais déjà lu ce livre il y a quelques années et n'avait pas accroché. Je viens de le relire; 'le Grand Prix attribué à Emmanuel Guibert' m'a décidé. Mais désolé, pour moi ce n'est pas un chef d’œuvre. Je suis d'autant plus déçu que l'exposition d'Emmanuel Guibert a Angoulême 2019 était somptueuse.
Cet album est à la confluence de plusieurs choses: l'univers de Delacroix, la prose emphatique de Dumas, la vénération de Catherine Meurisse pour la peinture de Delacroix et une distanciation espiègle apportée par la dessinatrice avec sa griffe personnelle. Cela en fait un album très beau qui nous permet de bien découvrir Delacroix, dandy royaliste, devenu icône de la République. L'interprétation graphique qu'en fait la dessinatrice est surprenante, très belle et certaines reproductions partielles faites m'ont totalement ravi.
C'est un très bon livre qui permet plusieurs niveaux de lecture et de satisfaction. Merci
J'ai été agréablement surpris par cet album qui est constitué de 7 histoires distinctes. On reconnait la patte de Goscinny et cet album s'inscrit dans cette veine, même si certaines histoires sont un peu en dessous. Mais pour ma part j'ai particulièrement apprécié les 2ème, 5ème, 6ème et 7ème.
Comme quoi il reste encore quelques pépites à découvrir.
Une des très bonnes BD de l'année 2019 récompensée par le prix ACBD.
Ugo Bienvenu imagine un monde numérique qui sature, un monde robotisé où l'homme a encore une place mais où les robots sont assez proches de nous!
Tout au long de l'album le parallèle avec HAL le robot de 2001 Odyssée de l'Espace est fait et malgré tout, le choix du scénario est de terminer sur une note d'espérance.
Le dessin est somptueux, le monde décrit est cohérent riche et glacial, proche et éloigné. Les dialogues sont soignés. Bref une belle œuvre.
Après Paiement Accepté qui était déjà très bien, Préférence Système confirme que l'univers d'Ugo Bienvenu mérite d'être suivi avec attention!
Originalité du scénario et du dessin. Pourquoi ne regarder que les œuvres connues dans les musées? Les œuvres connues ne cachent-elles pas une part de mystère surprenant et sont elles respectables?..
Discours décalé à travers de "petites œuvres" du musée du Louvre qui sont désespérées de ne pas accrocher le regard. Vision surprenante d'une Joconde en fauteuil roulant et lunette de soleil... Tout cela est charmant voir plus. En plus de ces messages il y a un vrai scénario qui réjouira petits et grands et permet une lecture à tout âge.
Ne pas évoquer le dessin qui allie avec bonheur classicisme et style BD serait une erreur car il est pour beaucoup dans le plaisir que l'on éprouve à lire cette BD.
Je lui souhaite une belle carrière.
Je ne suis certainement pas objectif, mais j'ai aimé. J'ai été très heureux de découvrir cet album et de retrouver à travers lui un vrai Astérix avec ce ton inimitable et ce dessin de Uderzo si bien fini. Cela nous change des dernières histoires parues. Bref un bon moment de plaisir sans prise de tête!
Du western, du vrai, du sanglant, du tatoué...
Rien à dire sur le dessin, la mise en page la couleur.
Mais pourquoi faire gore à ce point? Je pense qu'il y avait d'autres moyens pour montrer la sauvagerie de l'Ouest. Pourquoi le patron du saloon est en plus taxidermiste et adore avoir les mains dans les tripes du gibier?
Si je peux comprendre qu'on nous montre un univers clos oppressant à l'opposé des grands espaces pour casser le mythe et
nous plonger dans la sauvagerie. Je trouve que 2 "bons" (les héros) et tous les autres des "méchants", c'est un peu caricatural.
Néanmoins j'attends le tome 2 que j'achèterai.
Lire ce livre: un vrai plaisir! Le scénario et les dialogues sont savoureux au possible. Le dessin ainsi que la mise en planche donnent au récit une vitalité rare.
Preuve que c'est une BD hors norme, on peut la lire, la relire, la re-relire... on découvre toujours quelque chose de nouveau dans le récit ou le dessin.
Un pur joyau!
Je ne suis pas nécessairement fan de western et pourtant je suis fidèle à cette série. Le ton est original il décrit un autre ouest (le vrai!) avec des personnages moins stéréotypés et ayant plus d'épaisseurs. Le dessin est soigné.
Vivement le tome 4
Esprit Fluide Glacial es-tu là?
Oui je le suis.
Signé: le gendarme d'histoire géo!
A lire; on rigole bien!
Pourquoi les histoires que nous raconte Posy Simmonds sont-elles toujours surprenantes et malgré tout ancrées dans la réalité de notre monde? Elle nous fait côtoyer des gens dont on a l'impression qu'ils vivent à côté de nous. Le bon ne l'est pas totalement et on éprouve de l'empathie pour le rustre (ici la rustre, Cassandra).
La technique de narration avec des dessins, du texte et des bulles est unique et convient parfaitement au genre.
Delightful
Très belle histoire on en sort ému par le récit mais aussi par le graphisme qui ajoute à la mélancolie.
De plus le scénario est très bien construit avec de multiples aller-retours entre d'une part l'histoire de cet amour détruit et l'aventure du surf, mas aussi entre les différentes époques, les récits n'étant pas linéaires. Belle découverte.
Excellent album. Le scénario de P. Christin est (encore!) réaliste prenant innovant et aussi très ancré dans le présent et l'actualité. De plus j'ai apprécié le rythme de l'histoire et le renversement des rôles où seuls les pays arabes cherchent à trouver une solution dans cette négociation à plusieurs bandes. Le dessin de Juillard est toujours aussi somptueux, ainsi que la mise en page qui supporte bien l'alternance des temps forts et faibles du récit.
Y aura-t-il une suite?
Dommage, il manque ce recul sur quelques traits de la société qui faisait le charme de la plume de Goscinny et permettait à chaque relecture de découvrir de nouvelles choses toujours plus jouissives.
Ici la première lecture est plaisante mais pas grand chose de plus malgré tout le soin apporté à cet album tant dans le dessin que dans les jeux de mots, la recherche historique et les clichés qui font le lien avec l'univers tissé au fil des albums précédents.
So British!
très librement inspiré d'un club d'écrivains policiers anglais (dont Agatha Christie faisait partie), voilà une enquête policière décalée dans une île, avec des robots et bien sur des personnages haut en couleurs. Les réparties sont fines et drôles, l'histoire est sympa et le rythme alerte. Très agréablement moment en compagnie de ces personnages et de cette bande dessinée. Décidément Jean Harambat est un des auteurs les plus comiques du moment!
Attention au décrochage de mâchoire, et pour les incontinents aux fuites urinaires.
Album hilarant et "trash". Si vous croisez Jean-Marc Marque ce conseiller en solutions méfiez vous il est peut être accompagné des 7 nains, ou des 7 mercenaires voire des 7 samouraïs, aucun ne rigole, sauf vous.
Faites connaitre Nicolas Poupon aux déprimés. Succès garanti!
Dessin déroutant au premier abord et pourtant quelle belle bande dessinée qui nous conte l'histoire des impressionnistes à travers la recherche artistique de Swan, une jeune femme américaine!
On est immédiatement capté par la puissance narrative de Néjib qui pour raconter ses histoires prend toujours un point de vue très singulier.
Un bon Iznogoud. Avec Goscinny et Tabary toujours très facétieux. Les inconditionnels de la série se doivent de le lire. Jeux de mots loufoques et regard décalé sur la BD sont au programme.
Un moment de plaisir
Une BD qu'il faut avoir.
Tout y est: l'histoire qui s'ancre dans une réalité historique mais est totalement construite par H. Pratt, le dessin est fabuleux. Le trait est juste le noir et le blanc alternent merveilleusement, le cadrage des cases est toujours juste et souvent époustouflant.
En plus H. Pratt tisse des liens avec le reste de son œuvre (Corto).
Le sujet nous plonge dans ce Congo affreux où la violence est omniprésente et où les populations souffrent. Très bon sujet d'actualité.
Cette BD m'a fait penser aux histoires que je lisais dans les revues de BD des années 60/70 et leurs volontés éducatives et d'ouverture sur le monde. C'est du travail très soigné et pour tout public (7 à 77 ans!).
Très beau et vivement les autres tomes de l'histoire.
Le tome 1 était l'histoire du héros celui là est celui de son environnement.
Les dessins toujours très réussis mais aussi la mise en planches et la trame narrative.
La cruauté dans un monde idyllique!
L'opposition entre le paysage et les personnages et les propos tenus est salvateur dans notre époque touristique. Cela nous ramène à la réalité, même si le récit est une pure fiction.
Très beau travail de Jean-Denis Pendanx.
David prudhomme nous emmène dans un lieu et une époque peu connus; Athènes 1936 dans la communauté qui a vécu l'exode de Smyrne. Difficulté d'intégration d’immigrés et misère avec la création d'une culture populaire spécifique.
L'histoire m'a littéralement captée et de plus, l'album et ses dessins sont beaux et certaines planches sont exceptionnelles.
Histoire originale qui se passe dans la Chine maoïste. C'est rare et cela mérite d'être signalé. Le scénario est très singulier, il est tiré d'un livre chinois. C'est une bonne idée de l'adapter.
La couleur rouge est très présente et permet une homogénéité au récit et crée une ambiance.
L'histoire est très rythmée, la mise en page est agréable. Le dessin un peu caricatural et à plat sans effet de perspective est original.
Très beau livre. L'éditeur a soigné cet ouvrage.
J'ai eu du mal à entrer dans ce récit où un jeune un peu perdu se raccroche à la vie par l'aide d'un homme mûr qui lui rythme ses journées. Le récit n'est pas grave , il est même plutôt gai. Dans cette histoire il y a des personnages secondaires attachants...
Malgré tout cela et un dessin qui est bien adapté à l'histoire, je suis resté sur ma faim.
Cela manque de punch, de fantaisie, de rythme.
Quel bel ouvrage!
Le récit est puissant, implacable, dans l'histoire autobiographique d'un adolescent puis jeune adulte exalté et écorché vif fasciné par la montagne.
L'album est très beau. La montagne est lumineuse et sombre, la mise en page alterne judicieusement les différents plans et les moments de respiration du récit.
La narration est aussi une ode aux taiseux de la montagne car les dialogues sont limités au juste nécessaire ce qui confère à cet ouvrage une dramaturgie juste.
Malgré les drames j'ai reçu une belle leçon de vie.
Merci
Fan de Valerian, j'étais curieux de découvrir la transformation pensée par Larcenet. J'avoue que c'est globalement assez réussi. Tous les personnages mythiques y sont. Bien sur tous un peu triturés et caricaturés. Il y a un fond jubilatoire à certains moments de la BD.
Par ailleurs le dessin est réussi on est à la fois dans le monde de Valérian et c'est aussi différent.
Bref on passe un agréable moment à lire cet album, mais il faut connaitre Valérian par ailleurs pour profiter de cet exercice.
Que ceux qui travaillent trop et pensent s'y accomplir lisent ce livre. Le ton assez juste permet une prise de recul sur le monde actuel où on court après on ne sais pas quoi. Faut-il être sage comme Francès ou plutôt insouciante comme Vickie son amie? La quête du bonheur est difficile!
Même si le dessin est juste et soigné, il manque quand même quelque chose pour en faire un livre inoubliable. Mais on prend du plaisir à le lire.
A lire et posséder dans sa bibliothèque pour la lire et l'avoir sous le coude pour les moments de blues ou même de mélancolie. C'est beau, brillant, tendre. Catherine, un autre album comme cela s'il te plait.
16 histoires courtes et parfois très courtes. Certaines sont réellement jubilatoires, par exemple celle du patineur ou celle sur les jumeaux japonais... d'autres sont peut être un peu en dessous . Mais c'est aussi affaire de goût. Il faut dans tous les cas remarquer la capacité de l'auteur à imposer très rapidement ces microhistoires en quelques cases et donc à nous capter très rapidement. L'intérêt de l'album réside aussi dans la diversité des styles graphiques et des principes de narration, cela prouve pour ceux qui doutent qu'Etienne Davodeau est un auteur important.
Album jouissif comme souvent chez Florence Cestac.
Cette histoire au long cours qui part d'une recherche d'idéal post 68 jusqu'à la vie établie des années 2000 est menée tambour battant. Le ton est léger et souvent loufoque, surtout pas donneur de leçon. Même si in fine ce qui reste c'est l'amitié!
Un album qui m'a fait du bien et que les générations plus jeunes pourront découvrir avec plaisir, j'en suis sur.
Je n'ai pas lu le roman, mais je trouve la BD particulièrement réussie. Le dessin, la pagination, les textes créent une ambiance à la fois oppressante et noire à souhait. Peu de personnages sont bons et quasiment tous méritent d'y passer...
Le choix des couleurs brunes qui tranchent avec la beauté des dessins, des personnages, des plans et perspectives est une réussite.
Très beau livre au dessin très soigné, le scénario nous projette bien dans un autre monde proche et lointain. On y croit sans problème grâce à de petits détails qui sont semés au fil des pages et nous raccrochent à notre société.
J'ai passé un très agréable moment à lire cet album.
Pourquoi ce n'est pas mieux? Peut être parce qu'il manque un peu de distanciation. C'est un peu trop moralisateur. Il n'y a pas ce côté dérision (cf certain scénarios de Christin par exemple) qui marquent plus profondément et en font une œuvre plus marquante.
La descente en enfer d'un anabaptiste du XVIIe siècle. Récit passionnant qui alterne savamment l’introspection et le récit. Tout cela est inéluctable et terrifiant.Mais que c'est beau avec ces planches très soignées et certaines (marines ou portraits) qui évoquent très bien cette peinture flamande du XVIIème.
Un régal pour les yeux
Trois récits qui se renvoient les uns les autres. Tous empreint de cette atmosphère très particulière des fins de nuits blanches et de l'arrivée de l'aube avec la fin de l'errance. Les histoires fonctionnent très bien et le dessin d'Aude Samama tout en gouache crée une atmosphère sombre et lumineuse autour des personnages très beaux et sensuels.
Très bel album, qui se lit très aisément. Pas de prise de tête sur le scénario. Le dessin, la mise en page, l'harmonie des couleurs sont remarquables.
Album beau et envoutant. Il y a des pages où on respire, où on rêve, où l'esprit se laisse aller et divague.
Comment peut-on aimer dans un monde difficile fait de déracinements? Le scénario mélancolique nous interroge sur ce sujet avec deux histoires entremêlées, mais aussi à travers des lieux emblématiques Berlin, les Bouddhas de Bâmiyân (Afghanistan).
Exactitude historique apportée par la caution d'universitaire, mais aussi somptueuse histoire qui s'ancre dans un passé peu connu mêlant guerre de religions et grandes découvertes.
Le dessin tendre et juste accompagne parfaitement un texte très écrit et une mise en page très soignée.
A lire absolument
Le ton est à la fois proche de G. Depardieu, pas complaisant mais il nous le rend familier. Bref Mathieu Sapin a trouvé, je trouve, le bon positionnement narratif. Il se positionne lui en train d'accompagner G. Depardieu, c'est habile. Tout cela se lit très bien, j'ai passé un bon moment . C'est de la bande dessinée vrai graphisme, vraies annotations décalées.
Album à lire.
Livre issu d'une parution journalière sur Instagram. Histoire loufoque de Lapinot dans une ville surprenante où alternent univers contemporain habituel, monstres, ville envahie d'herbes folles...
On se demande tout au long de ces pages; mais où donc nous emmène-t-il? Bref l'imagination est au pouvoir et cela se dévore à pleine dents. "Sous les pavés les herbes folles..."
Toujours cet humour très décalé de Fabcaro. La vie de couple et ses incompréhensions, c'est réussi et grinçant à souhait. Seules quelques rares blagues sont moins réussies. C'est aussi une question de goût.
Le dessin très linéaire et la mise en page percutante participent à la réussite de l'album.
Album à posséder et lire sans modération
Album soigné, surtout par le dessin, la mise en page et le processus narratif.
On est pris par l'histoire même si le scénario est un peu alambiqué.
Comment décrire à la fois le coup de poing que l'on reçoit à sa lecture et cette douceur dans l'écriture. Tout est beau et très créatif, bien sur le concept, les dessins, les textes....
Pour ma part je ne l'ai pas dévoré mais plus dégusté et lu à petites doses en profitant pleinement de chaque page ou péripétie de ce roman qui nous immerge avec talent dans différents univers: celui d'une très jeune teenager dans le Chicago des années 60, dans l'univers parallèle d'une jeune juive en Allemagne.
A lire, relire et re relire!
Décidément, cet humour à la fois détaché et très ancré dans la réalité est salutaire. A relire avec plaisir en plus il y a plein de choses à découvrir dans les dessins.