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D’accord, c’est rigolo.
Le ton est léger, les personnages farfelus et le dessin montre parfaitement l’excès de leurs réactions.
Quelques idées plutôt bien trouvées…
Mais dans l’ensemble, ça tourne assez vite en rond…
Le format du gag en 4 cases finit par limiter le propos et il n’est pas rare de retrouver des mêmes idées ou trames pour arriver à la chute, des redondances dans le propos.
C’est amusant mais je me suis lassé un peu à partir de la moitié.
J’avoue qu’il y a un poil d’originalité dans le propos avec un sujet jamais abordé, cette maison robot…
J’avoue aussi avoir parfois ri face à l’incongruité des situations, les dialogues…
Le dessin, là aussi moins classiques que ce qu’on trouve en BD franco-belge est sympa et sert bien le propos.
Mais on reste assez coincé, avec ce robot…
Et une petite routine s’installe déjà au bout d’un tome.
Il va falloir pas mal d’ingéniosité pour traiter longtemps le thème puisque, aller sur d’autres planètes, ça nous éloigne de l’incongruité de base et rester coincé dans le robot va vite tourner en rond…
En attendant, un premier tome sympa.
Dernier tome de Cauvin…
S’il n’aura pas renoué avec l’humour doux mais cynique des débuts, il aura offert un joli dernier tome, plein de tendresse et de bons sentiments.
Il y a de l’humour, c’est vrai, mais on reconnaît la patte et il n’y a pas beaucoup de surprises.
On assiste plus à une succession de petits sketchs sur la trame de la recherche d’Arabesque.
C’est gentil mais pas aussi prenant qu’antan…
Et si les dessins sont toujours sympas, on voit quelques maladresses ici et là…
Dernier tome pas mal, salut à l’auteur d’origine !
Bon, c’est charmant.
Les dessins sont agréables et les tons pastels servent bien l’histoire.
Le mystère de ce tome est cependant moins palpitant que celui du premier, le lieu permet des décors réussis mais moins étonnants et dépaysants que le premier…
Bref, j’ai moins aimé.
L’histoire, encore une fois, est charmante, mais le premier tome était accessible à tous ; là, la tranche d’âge qui prendra plaisir à ce tome me paraît plus jeune.
L’ensemble est sympathique mais un peu gentillet.
Bon, je ne suis pas fan.
Déjà, les avions, ça ne m’intéresse pas, mais les deux ou trois histoires qui se mêlent, Black Squaw qui conduit Scarface, les gamins qui tentent de protéger l’avion et la femme, sa jeunesse… J’avoue, ça ne m’a pas palpité.
Ça manque de je ne sais quoi, de suspense, de profondeur…
J’ai lu l’ensemble en peinant un peu parce que je ne trouvais pas l’intérêt. Bien dessiné et réalisé mais pas mon kiff.
Je ne sais pas pourquoi, bien que ça soit toujours inventif, je trouve que ça perd un peu en intérêt…
Les histoires semblent parfois s’allonger sur une idée, on a moins de vivacité chez imbattable qui, certes, a toujours ses pouvoirs, mais en use avec plus de lenteur et parcimonie…
Au début, en une planche, il se passait plein de choses ; maintenant, il en faut parfois trois ou quatre pour qu’imbattable commence à utiliser son pouvoir.
D’accord, ça met les autres en avant, le monde s’étoffe… Mais c’est plus lent.
Toujours bien sympa tout de même.
Toujours aussi drôle et inventif, l’auteur continue à jouer avec les cases et les codes standards de la bande dessinées pour surprendre.
On entre toutefois en terrain connu – le premier tome avait posé les bases que l’on suit simplement.
Moins de surprises mais un côté toujours réjouissant à suivre.
Pas forcément facile de trouver une nouvelle critique à faire sur une série qui recycle plus ou moins les blagues.
Les sujets ne sont jamais réellement les mêmes, certes, mais la structure de chaque gag suit toujours le même schéma.
Les personnages ne varient pas.
Les thèmes non plus.
Une fois qu’on a lu 41 tomes, on a l’impression d’avoir déjà lu le 42ème…
Un jour sans fin, quoi.
Qui ne fait même plus vraiment sourire, au final…
Métro, boulot, dodo… Ben femmes en blanc, lecture, fermer le tome… Point.
Bon, c’est redondant, à force, mais moi, ça m’amuse toujours un peu, Nelson…
Je n’éclate jamais de rire mais c’est comme du Droopy, du Garfield, du strip en 3 cases… Sujet, développement, chute.
Jamais réellement hilarant, souvent répétitif et prévisible, mais jamais désagréable non plus…
Distrayant, quoi.
Dire qu’on d’épuise est un euphémisme…
Non seulement on a perdu l’humour du début, mais – outre qu’on tourne super en rond – on entre dans une routine pédagogique parfois, pour nous expliquer les maladies, et surtout, dans la narration.
La base de chaque petite histoire est sempiternellement la même, posant un sujet, répétant plusieurs exemples pour arriver à une chute prévisible…
Laborieux.
Ouais, ouais, ouais…
C’est pas que ce soit mal fait.
C’est qu’après deux tomes, l’intérêt tombe un poil…
Déjà, la seconde guerre, c’est pas mon sujet de prédilection. Mais là, oui, c’est super bien retranscrit, mais comme dans les 200 précédentes pages…
L’action est globalement la même, que ce soit Spirou ou un belge lambda c’est la même chose, on cherche toujours de la nourriture, on se cache toujours, rien de nouveau…
Si, allez, la fin et peut-être le sabotage de train, mais c’est noyé dans le tout.
Alors pour quelqu'un que le sujet passionne, ça doit être excellent ; mais quand on n’est pas intéressé par le thème, bof bof bof…
Je suis devenu fan accro à Louca !
Cette série a le don de se renouveler sans cesse, tout en restant dans le thème du sport et en réussissant à rester lisible.
Après le foot, les divers sports, on arrive aux jeux vidéos…
Et si ça peut paraître statique dans l’idée, c’est bourré d’invention dans les graphismes et les situations, les dessins restent super expressifs, les dialogues drôles et bien illustrés…
Bref, j’ai passé un excellent moment en compagnie de Louca.
Tellement de productions de nos jours qu’il faut accrocher le lecteur !
Là, c’est mignon, globalement, dans l’histoire, mais pas de véritable suspense, de terribles dangers…
Ça se suit gentiment…
Alors oui, c’est bien dessiné, l’histoire est cohérente, la fin est satisfaisante… Mais dans un an ou deux, je ne me rappellerai plus que du pitch et du sentiment général que c’était douillet à lire, pas plus…
Mouais, je sais pas…
En soi, ça n’est pas désagréable, des dessins qui passent bien, un excellent jeu de couleurs…
Après, les personnages ou l’histoire, ne m’ont pas surpris… Entre Harmony et Seuls, voire Mort et Déterré, pour les premiers qui me viennent à l’esprit, on a déjà des bandes de jeunes qui doivent s’en sortir seuls, des zombis, des pouvoirs…
Du coup, ça n’est pas désagréable, certes, mais ça manque d’originalité pour être parfaitement emballant.
Que dire de plus par rapport aux tomes précédents ? Rien…
Des gags en une page, pas franchement drôles sans être déplaisants…
Pas de paroles, ça se lit super vite, à la limite du survol, en tirant sur la corde de la « bêtise finale » qui, puisqu’on s’y attend, a plus de mal à surprendre…
A voir sur la suite.
Il y a plein de bonnes choses ici. Le dessin est excellent, sombre mais souple, accrocheur.
L’ambiance est parfaitement rendue, les « zombis » sont aussi effrayant que cette brume qui se lève le soir.
Les personnages sont bien définis, avec un caractère bien à eux…
Le tout est assez mystérieux, sur le pourquoi, ce qui va se passer, plein de choses…
Malgré tout, l’ensemble n’est pas totalement novateur. Les clans de jeune (Seuls), la recherche de nourriture (toutes les histoires de zombi), le super-pouvoir du gamin (Harmony), etc.
Le tout est sympa à lire mais j’attends des surprises pour me dire que ça apporte un vent de fraîcheur au genre.
J’aime toujours la douceur que met Nob dans ses histoires, tout en restant dynamique, drôle, intéressant…
Comme les personnages grandissent (très peu), les histoires varient de tome en tome et c’est toujours un plaisir rafraîchissant que de retrouver tout le monde.
Certes, pas de grandes aventures, rebondissements, histoires qui prennent aux tripes, mais toujours une joie sereine à la lecture des tomes. Celui-ci est aussi sympa que les autres.
On the road again.
Les auteurs ont beau ajouter ici et là quelques nouveaux personnages régulièrement, les trames restent globalement toujours identiques…
On se doute toujours que la solution va ramener le problème au début ou que Cédric va se faire avoir et la chute se voit venir à des kilomètres.
C’est d’ailleurs dommage qu’on ne voit plus beaucoup le père ou le couple de parents… Parce que si nouveau personnage il y a, ça n’apporte pas de surprises particulières, ça ne fait que déplacer les anecdotes dans un autre cadre…
Routinier.
And let’s go again, c’est parti.
On a des trucs en cours, on a du jeu vidéo, le père qui veut être cool, Kid et son pote…
Bref, ce qui fait le succès de la série depuis le début, qui se répète ad vitam eternam et qui, pourtant, fonctionne.
Midam semble rester un grand gamin qui s’amuse avec son personnage et, comme un gamin, on s’amuse avec lui à ressasser les mêmes histoires mais on s’en fiche, c’est cool, ça fait du bien parce que c’est toujours rigolo même si on l’a fait ou vu cent fois…
Et c’est donc un bon moment.
J’aime bien Kid Paddle.
Les idées toujours légèrement décalées, déjantées, originales, tordues…
J’aime le trait rond et dynamique à la fois, les petits détails ici et là, les expressions.
J’aime l’inventivité qui permet de ressasser les mêmes histoires en les renouvelant à chaque fois…
Ça reste varié, drôle ; ce n’est certes pas impérissable ou précisément mémorable, on se souvient d’une ambiance, mais ça reste bien sympa.
Le monde de Kid Paddle, comme l’enfance, tourne en boucle.
Ecole, famille, loisirs…
Et dans le même ordre d’idées, Kid vit sa vie en boucle.
On assiste quasi aux mêmes scène depuis 14 tomes, Kid ne prend pas une ride et ne s’offusque pas de vivre toujours les mêmes aventures.
Au contraire, il le fait avec une vivacité qu’on retrouve dans le trait, les dialogues, la narration…
Et du coup, ça fait aussi plaisir de le retrouver qu’un membre de la famille qu’on aime bien et qu’on voit de temps en temps.
Efficace.
Au 19ème tome, il n’y a plus grand-chose à dire sur une série qui n’évolue pas…
On a l’impression d’être coincé dans la même histoire sans fin…
Et pourtant, ça marche, comme les épisodes de Sitcom bien construit…
L’histoire en une page est toujours efficace par des dessins expressifs qui évitent les dialogues.
Il y a toujours une idée plus ou moins tordue – qui est plus ou moins drôle et réussie…
Mais comme les blagues de Toto, y’a jamais de quoi exploser de rire, ça ne fait pas de mal pour autant et, parfois, il y a une idée qui sort du lot…
Ça passe, quoi…
Etonnement, je me suis un peu moins intéressé à ce tome…
Pourtant, il y a la même qualité narrative que dans le premier, les dessins sont toujours excellents.
Mais si Enigma est un sujet qui m’intéresse, les nazis, beaucoup moins…
Comme l’histoire mise majoritairement sur l’action par rapport à eux et les savants prisonniers, je suis moins rentré dedans. Et si c’était le fameux produit qui avait été au centre de l’histoire, je pense que ça m’aurait beaucoup plus intéressé.
Mais la qualité reste là !
L’auteur réussit, là encore, à donner un côté très vivant à ses aventures. Les scènes s’enchaînent et sont traitées avec dynamisme, mouvement, humour et efficacité. On ne s’ennuie jamais un instant parce que c’est développé juste ce qu’il faut pour être ni frustrant ni trop long… Et avec ces challenges, ça permet de voir diverses activités sans se répéter… Toujours frais.
Bon, ok, c’est amusant parce que délirant, racontant de façon pseudo sérieuse une histoire n’importe quoi.
Drôle d’y mêler des personnalités politiques existantes dans des situations improbables…
Sorti de là, ça reste du Mathieu Sapin – le dessin lui est propre est marrant à regarder mais c’est pas dessus qu’on va passer des heures à s’esbaudir devant les détails.
Et l’histoire, toute délirante soit-elle, est comme une bonne grosse blague : on a rigolé et on passe à autre chose…
Sympa mais pas mémorable.
Bon, j’ai pas marché.
Je ne comprends pas bien le principe de faire une BD à l’ancienne quand la BD a évolué pour justement ne plus être à l’ancienne.
On a donc l’impression de lire un vieux truc – de ce côté-là, c’est très réussi mais ce n’est pas vraiment ce qui me branche.
Comme il n’y a pas de rebondissements majeurs ou surprenants, ça m’a un peu glissé dessus…
Je ne sais trop que penser…
D’un côté, je suis fan de Munuera et il a réussi cette reprise haut la main, on retrouve à la fois les Tuniques de Lampil et le style du dessinateur.
Mais l’ensemble est plus réaliste, moins « bon enfant » que la série d’origine…
Alors oui, celle-ci tournait en rond mais Cauvin avait quand même le sens de la situation loufoque qu’on ne retrouve pas ici, le dialogue amusant qui est plus sérieux ici…
En soi, c’est plutôt sympa mais la marche est grande avec la série d’origine et je n’ai pas totalement eu l’impression de retrouver les héros habituels.
Mais ça reste bien fichu quand même.
Bon, c’est sympa mais je me lasse…
Même si on a de l’enfance, un autre méchant ou je ne sais quoi, j’ai un peu l’impression de voir toujours la même chose, même si ça se développe ou qu’il y a des combats du Bien et du Mal…
Sans plus.
Ça a un petit charme rétro – dans lequel on n’a pas apporté de narration particulièrement contemporaine, dommage…
C’est sympa de voir l’évolution de Mademoiselle J mais, comme dans le premier tome, c’est assez plan-plan… Pas de véritable suspense, pas d’enquête de fou avec des révélations majeures…
Même les grands drames ne sont pas totalement impressionnant…
L’album se laisse lire mais ne décolle jamais totalement…
Ayé, je suis dans la phase pour ce genre de série, où je ne me souviens plus de tout, je mélange les complots, les gens…
Donc je ne sais plus qui exactement retient qui et recherche Harmony, ni réellement pourquoi et qui avec elle, pourrait faire je ne sais plus quoi…
Pourtant, l’album va vite et est plaisant à suivre grâce au dessin efficace, plein de mouvement et d’action, la narration fluide avec des idées sympas et de l’humour…
Dommage qu’on parte encore dans une « complot » gigantesque…
Encore un très bon tome : l’histoire se suit sans temps mort, les dessins sont toujours superbes… Pourtant, il y a un peu moins de surprises que dans les précédents tomes… L’action est toujours au rendez-vous, c’est vif, dynamique, il y a bien un rebondissement, un nouveau venu… Mais la fuite, les gamins séquestrés, les bagarres… On l’a déjà abordé dans les deux premiers tomes et si la qualité est toujours là, l’étonnement, un peu moins – ce qui n’empêche pas d’apprécier pleinement ce volume.
Peut-être un peu classique dans le propos (les gentils nenfants avec des pouvoirs face aux gros méchants pas beaux) mais le tout est écrit avec intelligence, sans ménagement, en allant au bout des idées. Pour ma part, j'adore les dessins, plus froids que dans le premier, montrant un beau travail sur les ambiances. Le tout est très plaisant à suivre et donne vraiment envie d'en savoir plus. Réussi.
"C'est frais, c'est mystérieux, c'est prenant.
Les dessins illustrent magnifiquement une histoire qui non seulement tient l'album mais semble prometteuse pour la suite !
Certes, l'intro ultra mystérieuse ne sert pas à grand-chose, on l'a rapidement oubliée et on aurait pu s'en passer...
Certes, le coup de l'amnésique, c'est vu et revu.
Mais tout est bien amené, en douceur, et retient vraiment l'intérêt."
Je veux bien admettre qu’on suit assez agréablement ces enfants. Mais sans plus quand même.
Le dessin ne m’attire pas plus que ça et l’ensemble est quand même hyper naïf…
On vient à bout de règles et lois ancestrales juste en demandant gentiment ? Hop, le monde est désormais tout beau…
Un peu simpliste…
Mais bon, comme on se demande quand même au fil du tome où est passé cette prof de musique, on tourne les pages sans trop de déplaisir – c’est juste cette bonhomie simpliste finale qui n’est pas à la hauteur à mon goût…
"Un épisode que j’ai trouvé plus léger et amusant avec cette inversion et l’incursion des autres dans notre monde.
On apprend deux ou trois trucs en plus, pas forcément intéressant, mais l’aventure se suit plutôt bien, avec pas mal d’humour."
J’aime toujours autant et je suis allé relire les 5 premiers tomes pour voir la raison qui me faisait moins accrocher à ce tome…
D’abord, dans les premiers, on avait des petites histoires indépendantes, des sortes de sketchs sur 4 à 6 pages, qui traitait d’un thème en délirant avant de passer à un autre.
Là, si on a des histoires courtes, elles s’enchaînent pour faire une histoire générale et ça marche moins bien. On n’a pas l’aventure d’un Astérix, par exemple, et c’est moins intéressant sur l’ensemble.
Et puis s’il y a toujours autant de gag un peu partout, voire plus qu’avant, ils semblent plus mécaniques qu’avant. Même s’il y a bien une foule de détails partout, on dirait que ce n’est plus un délire « oh et si je mettais ça ici, hihi, c’est rigolo » mais « ok, il y a une place là, il me faut un gag, qu’est-ce que je pourrais trouver ? ».
Bref, l’ensemble est sympa mais fait plus sourire que les premiers où je riais franchement.
On dirait que Maester cherche quoi faire de sa sœur ; si le dessin et l'humour sont toujours présents, les histoires sont moins solides (jusqu'au combat final manga-matrix, très joli mais qui rend perplexe...)
Un poil répétitif sur la fin de l'album - ça reste très drôle mais ce n'est pas le plus efficace de la série.
Maester arrive à une maturation parfaite du personnage avec de bonnes histoires et énormément d'humour dans chaque case ! Excellent.
Plus précis dans les histoires que le premier tome, toujours aussi déjanté et plein de détails hilarants, très bon !
Les débuts de soeur Marie-Thérèse. C'est drôle mais c'est encore un peu fouillis dans les histoires et le dessin (principalement par rapport à ce que l'auteur fera après). Mais c'est un incontournable pour découvrir cette soeur frappadingue !
J’ai toujours autant de mal à m’intéresser à Olive… Son monde fonctionne un peu mieux dans ce second tome, maintenant qu’on est habitué… Sa recherche de l’astronaute sans indice offre un peu d’intérêt… Sa copine est un poil charmante et le passé d’Olive attire vaguement mon attention…
Mais globalement, je lis ça pour passer le temps, sans motivation particulière…
On n’arrête pas le jeu.
C’est comme un plaisir coupable : 18 tomes que c’est la même chose et qu’on connaît la fin de la page…
Et pourtant, ça marche ! Plus ou moins inspiré ou bien trouvé, mais une efficacité dans les histoires muettes !
Prenez les mêmes, secouez, recommencez…
Une impression de déjà-vu ? Normal…
Mais toujours efficace.
Ok, il faut reconnaître que ça tourne peut-être en rond, les gags sont à la fois originaux et déjà vus, c'est la base, mais il reste des petites surprises et toujours beaucoup de plaisir à suivre ce Game Over avec ces dessins ronds efficaces et expressifs.
J’aime toujours Jacques Louis.
Il parle du quotidien, mais il le fait bien, avec humour, subtilité, poésie, intimité…
Aucune surprise, rien de novateur, mais c’est sympa et mignon de suivre cette famille.
Dessin simple, couleur simple, histoire simple…
Plaisir simple.
Mouais, bon, j’ai pas super accroché.
Un brin d’aventure qu’on étale sur tout l’album, un Fantasio insupportable, un Spirou qui regarde tout mais agit peu…
Ajoutons à ça un dessin rigide qui marche avec l’ambiance mais qui ne m’a pas plu outre mesure…
Du coup, je me suis ennuyé.
J’ai moins accroché à cet épisode qui est moins un épisode de Raowl, qui suit et subit, qu’un opus à la gloire de cette version de peau d’âne.
Alors ça reste rigolo par certaines scènes et inventivité, on a une fin bien construite révélant tout, mais on nous a tellement présenté un héros invincible dans le premier tome que dans celui-ci, ça marche moins tant il fait peu.
Brillantissime, encore une fois, le second meilleur tome de Tabary seul à mon goût, après l’enfance d’Iznogoud.
Blindé d’idée qui se croisent, de la paye de Dilat au type du miroir en passant par le garde sourd-muet, le cadeau à offrir au Calife ou celui de la guilde des magiciens…
C’est drôle, ça n’arrête pas, c’est vif, inventif, c’est nickel.
Le précédent tome était prometteur ; j’ai beaucoup moins accroché à cette suite. D’une part, c’est assez bavard. Ensuite, on n’en apprend pas beaucoup sur ce qui me semble intéressant, moi (cette petite fille, entre autres).
Certes, on en apprend sur le passé du Janitor et son frère mais c’est très anecdotique sur l’ensemble, comme un téléfilm de l’après-midi.
Et puis les chasseurs de nazi, ça me branche pas plus que ça…
Pas super accroché à ce tome.
Bien aimé cette suite, on part ailleurs, dans un mystère plus vaste.
L’ambiance autour du prêtre et ses oiseaux, le vieux sur son bateau, le jumeau…
Bon, évidemment la résolution du message secret par le Janitor est un peu rapide mais c’est sympa de le suivre dans cette aventure prometteuse.
J’avoue, la première fois, j’ai lâché après quelques pages. J’ai eu tort.
Il faut dire que le langage est super particulier. Entre une sorte de croisement entre les expressions créoles et de l’imagé populaire sans que ça soit totalement ça.
Finalement, à la seconde tentative, j’ai trouvé ça drôle, brillant, irrésistible dans certaines formulations.
L’histoire est très sympa à suivre, ni trop longue, ni trop courte.
Un poil onirique à mon goût mais avec une certaine poésie agréable…
Un tome bien sympathique.
L’ensemble reste très bédé belge, ça court, ça discute, c’est expressif et rien de réellement grave ne semble vouloir arriver…
Mais c’est très bien fait.
Il y a du dynamisme, du suspense…
Et surtout, de nouvelles révélations étonnantes et très sympas !
Très agréable.
Je ne comprends pas ce qui m’empêche de trouver ce tome excellent…
Les dessins sont jolis, bien faits, soignés…
L’histoire se tient bien, a un sens, un but…
Et pourtant, je n’ai pas été emballé.
Peut-être un côté trop linéaire, qui ne pose pas réellement de problème à Synn mais suit une trame dont on ne déroge pas.
Ça donne un petit côté lisse, il y a ça, puis ça, puis ça… Un empilement de scènes très chouettes à suivre mais sans danger, sans relief, sans rien qui prenne réellement aux tripes…
C’est joli, bien fait, mais c’est tout – ce qui est déjà pas mal !
S’il est presque plus bavard que le premier (ou au moins autant), j’ai préféré ce second tome.
Explication et action se mêlent de façon assez fluide, il y a du mystère, une excellente idée avec cette réunion, une bonne explication finale avec une chouette présentation des pouvoirs de renseignement du Vatican, du mystère avec cette petite fille…
Les dessins restent très efficaces…
Bref, très bien.
Joli premier tome.
La première partie est pleine d’action, c’est super bien fait et prenant.
La seconde est peut-être un peu plus bavarde… Alors évidemment, elle pose les bases de l’histoire mais ça casse un peu le rythme, dommage.
Cela dit, l’excellent dessin de Bouck, classique ici, s’accommode très bien des deux cas !
J’adore ce style de dessin, entre le réalisme et la caricature, rond, vivant, burlesque… Il convient parfaitement pour cette histoire et ce personnage loufoque, plein de malléabilité, de couleurs, de détails…
L’auteur est capable de tout, les décors de montagne, les forêts humides, la ville, les foules comme les lieux secrets… Visuellement très beau.
Scénaristiquement très bien, même si…
La première partie, je l’ai trouvé sympa mais bien trop longue. En plus, les road trip, j’accroche pas, on peut aligner les situations à l’infini sans conséquence réelle, comme des petits sketch, et on traverse la forêt, et la rivière, et la montagne, et on rencontre un vieux, une femme, un noble, etc.
La seconde, en revanche, je l’ai trouvé jubilatoire parce qu’elle met en éclairage la première partie d’une autre façon ; c’est bien fait et ça excuse la longueur.
La troisième est globalement très bonne mais je ne sais pas, un peu rapide par rapport aux deux premiers tiers, un peu redondante avec l’idée d’avant même si c’est autre chose…
Bon, ce sont des détails : dans l’ensemble, c’est une excellente BD !
Fluctuant ces histoires de 7 où il faut absolument caser 7 personnages semblables.
7 athlètes ici, une trame de fond intéressante avec ces Jeux, ce voyage…
Les personnages sont bien campés, c’est bien dessiné…
Pourtant, j’ai moyennement accroché avec l’histoire.
Globalement, elle reste assez classique et n’apporte pas beaucoup de surprises alors que la relation entre chacun était prometteuse mais rapidement mise en retrait.
Et puis j’ai trouvé que le sport de chacun tombait bien, un peu comme si on avait cherché 7 sports et ce qu’on pouvait en faire dans un combat, pour que l’ensemble colle, mais ça fait trop « fait exprès »…
Pas totalement convaincu.
J’étais bien parti, c’était exotique, mystérieux, prometteur…
Et puis j’avoue, je ne suis pas fan d’Histoire et encore moins à ce qui touche à la seconde guerre.
Du coup, quand cette curieuse rencontre a plus basculé dans les évènements guerriers et mondiaux, j’ai un petit peu décroché.
Narration et dessins ont beau être bien fait, je me suis détaché de l’histoire…
Je ne savais pas trop à quoi m’attendre avec ce tome puisque j’ai quitté la série XIII sans m’intéresser aux dérivés.
Tombé sur cet opus, je m’attendais vaguement à quelque chose de complexe et tortueux…
Pas du tout !
C’est une histoire claire, cohérente, simple à suivre et à comprendre, qui révèle tout ce qu’elle a à dire à la dernière page.
Alors certes, on peut avoir envie de lire le suivant pour savoir ce qu’il adviendra mais le tome se suffit à lui-même et ça fait du bien !
Des dessins sobres, dans la ligne de la série principale… Sympa.
Un tome qui change des précédents puisqu’il n’y a cette fois pas d’apocalypse…
Quelque chose de plus intérieur, de plus psychologique avec l’évolution intime de ce robot.
Dessins clairs qui cadrent bien avec l’histoire…
On ne sait pas bien où nous mène celle-ci pour une bonne partie de l’opus, jusqu’au final, convaincant mais qui manque peut-être un peu d’éclat pour prendre aux tripes…
Globalement bien aimé ce tome, les révélations qui arrivent au fur et à mesure, l’importance prenante de l’histoire…
Les dessins sont bons aussi, surtout les décors apocalyptiques, même si j’ai parfois eu du mal à m’y retrouver dans les personnages ou clairement visualiser ce que faisaient les monstres…
L’histoire aussi a eu parfois l’art de me perturber, j’ai pas bien compris pourquoi ces humains finissaient ainsi et qui exactement avait fait quoi ou pourquoi…
Un poil plus de limpidité aurait été nécessaire pour moi mais dans l’ensemble, j’ai passé un agréable moment.
Amusant mais étrange.
Ok, cette BD est délirante et les dessins vont bien avec. Les gens trop gentils, les clowns méchants, toutes les réactions sont drôles car absurdes.
La ligne directe de cette BD est le décalage et ça marche très bien. C’est du Monthy Python en BD, du n’importe quoi mais avec sa logique propre.
Et l’histoire fonctionne donc très bien d’un bout à l’autre, avec une vraie trame, une vraie fin…
Mais c’est tellement décalé que c’est comme aller visiter un pays aux mœurs différentes. Si on comprend l’ensemble, parfois, avec ma logique carrée, j’étais un poil décontenancé tant c’est n’importe quoi tout en restant cohérent…
Bref, sympa mais déconcertant.
J’ai moins accroché que le premier.
L’histoire de base est intéressante et, comme le plaît à le rappeler Ulysse, pleine d’ironies diverses et variées. Et c’est principalement en cela qu’elle est intéressante, par toutes ces choses décalées qui se produisent.
Mais j’ai moins adhéré aux dessins, jolis mais plus « simplifiés », « lisses ».
Et puis l’histoire est moins claire que le premier opus – ou en tout cas, m’a donné cette impression.
Le premier posait ses problèmes et passait le tome à y répondre. Là, on a une situation, puis on découvre un truc, puis un truc qui change le truc qui avait modifié la première situation… Bref, j’avais l’impression (même si tout est cohérent), qu’on nous sortait coup à coup des histoires du chapeau.
Enfin, si tout est bien fait et très sympa, il y a comme dans le dessin, une sorte de naïveté globale.
Agréable mais le danger de ces anthologies est que l’on compare. J’ai comparé et préféré le premier… donc moins aimé celui-ci, du coup…
J’avoue avoir un peu ramé dans la première partie.
Pourtant, j’adore le duo Hermann et Yves H.
Mais ce côté espionnage était à la fois trop touffu pour que je m’immerge dedans et trop cliché pour que je m’intéresse.
Connaissant le duo, j’ai perduré et j’ai bien fait.
Les révélations et explications qui arrivent ensuite donnent tout son sens à l’histoire et l’ensemble se révèle une excellente surprise (parce que j’ai ramé au début, sinon, le duo est toujours très bon…).
Dommage qu’il m’ait fallu un peu de temps pour m’immerger mais je suis pas fan d’espionnage ; heureusement que ça dérive ensuite jusqu’à un excellent final !
Le dessin cadre super bien à l’histoire, même s’il est un peu simpliste, grossier, facile.
Cela n’empêche pas de se plonger dans l’histoire qui, malgré une ou deux ellipse moins bien menée dans le début (le rapport de cet homme avec la femme, le fils, tout le monde à la séance de spiritisme…), se révèle très agréable à suivre.
Parce qu’il y a de l’originalité et, surtout, beaucoup de cynisme noir dans les dialogues qui tombent super bien.
Une fin qui marche bien et un épilogue qui m’a bien fait marrer…
Excellent moment.
J’ai pas grand-chose à dire parce que pour moi, il y a tout – sauf peut-être un petit frisson…
Les dessins sont magnifiquement soignés, le mouvement est présent dans quasi chaque case, on est dans le la bonne SF digne de K. Dick, avec une histoire non seulement parfaitement construite, mais pleine de surprises parfaitement disséminées. Un scénario fort, de superbe dessin, une fin surprenante…
Tout nickel.
Excellent !
Cette histoire longue présentée comme petites histoires d’une ou deux pages qui permettent de suivre l’ensemble sous divers points de vue, est excellente.
Un dessin minimaliste qui se suffit à lui-même et un absurde logique parfait, qui tourne en dérision les travers de notre société, les discours politiques ou aseptisés des journalistes, les remarques bêtes des gens ignorants…
Très drôle et cohérent dans son ensemble, excellent moment.
La BD à lire quand on n’a rien à faire pendant un quart d’heure.
Les gags prêtent à sourire, mais légèrement.
Rien de notable, ça s’enchaîne comme les tomes précédents.
Léger mais pas inoubliable.
Après Dent d’Ours, voici Black Squaw.
Concrètement, si le sujet est différent, j’ai eu l’impression de voir un peu la même chose… On a des avions, les mêmes traits pour les personnages qui, même s’ils sont autres à une autre époque, donne l’impression d’être encore dans Dent d’Ours…
Et puis on ne peut pas dire que je me passionne pour le sujet. Comme c’est un tome de présentation, il n’y a pas encore beaucoup d’action, de tension, on pose juste les personnages…
Et dans l’ensemble, si c’est bien fait, j’ai moyennement accroché.
Un sujet intéressant et bien traité, avec une légèreté du trait qui nous emporte bien dans l’histoire.
C’est joli, c’est sympa à suivre…
Un petit côté didactique, derrière, tout de même, qu’on comprenne bien le sujet et ce qu’il en découle, l’avant, l’après, avec également des ficelles qu’on voit venir à l’avance.
Dommage parce que ça fait plus documentaire que BD autour d’un thème mais ça reste agréable.
Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris tous les tenants et aboutissants…
Enfin, globalement si, j’ai tout compris, sauf peut-être le lien entre l’homme qui vient et l’homme qui est venu… Je vois mal comment un type en croisant un autre accepte de faire la moitié de la Terre pour porter une lettre, parce que visiblement, ils ne se connaissent pas…
La relation de cet homme qui arrive et cette fille est aussi super brusque. D’un coup, paf ? Bon, soit…
Dommage parce que la narration est bonne, envoûtante.
Le dessin est simple (trop à mon goût au début mais je me suis laissé emporter).
L’idée de base avec cette rencontre brève sur la route des dames entre les femmes et le camion et belle, comme le poème de cigarettes…
Bref, c’est une histoire assez poignante mais avec un final un peu en queue de poisson, même s’il est très joli et satisfaisant.
Comme beaucoup de ces histoires de Super-Héros actuels, sortant des franchises Marvel ou DC, je trouve en général que ça commence bien mais que ça part toujours en sucette pour finir en eau de boudin.
On n'y coupe pas.
Départ intéressant que cette société où les super-héros ont des agents et vivent de sponsor, nominations comme aux oscars, problématique de sortir avec une personne normale, prédiction, gros méchant qui veut détruire ultra...
Et puis ça vire assez rapidement n'importe quoi, pas de suivi, ça part ailleurs, ce qui est posé ne sert à rien...
Comme en plus, les dessins sont simplistes, voire maladroits parfois tellement ils paraissent vite fait, on ne peut pas se raccrocher à ça...
Donc, intérêt pendant 100 pages, déception pendant les autres...
Dessin simple mais efficace, cette histoire de robot n'a peut-être rien de révolutionnaire mais exploite parfaitement tout ce qu'elle utilise.
Le hasard développe une histoire drôle et cynique, qui retombe sur ses pattes parfaitement, dans un dénouement noir et amusant.
Le tout est bien développé avec l'interrogatoire du robot qui raconte l'histoire et les lois de la robotiques sont non seulement respectées mais parfaitement triturées pour en faire quelque chose d'amusant, original dans le classicisme et plaisant.
Je ne m'attendais pas à passer un si bon moment ; agréable suprise.
Amusant, noir, cynique mais un peu gamin...
N'est pas Coluche ou Desproges qui veut, dit l'intro. C'est vrai.
Ici, on a de l'humour noir, cinglant, voire violent, mais parfois, souvent, un peu gratuit, un peu facile...
Coluche, c'était cash, Desproges, c'était subtil... Là, ça manque de subtilité, c'est un peu facile, comme un gamin qui veut choquer... Même Gaspard Proust était plus subtil dans son approche...
ça se lit, quoi...
Des gags en une planche et, généralement, quatre bandes, qui ont généralement une bonne chute, acide, acerbe, surprenante ; souvent réussie, quoi.
Les dessins sont sympas.
Et la petite trame de fond, chez l'éditeur, est amusante.
L'ensemble permet de passer un bon moment - ce n'est pas impérissable mais c'est très sympa.
Très joli travail à quatre mains (avec le petit making of en bonus à la fin).
Super bonne idée que de suivre deux filles sur deux pages, avec chacune leur style de dessin qui correspond parfaitement à leur personnage.
Le rapprochement est super crédible et bien mené, la vie des deux filles est à la fois réaliste et intéressant et on s'attache à elles, prenant plaisir à les suivre.
Un joli mélange quand elles se rencontrent jusqu'à une fin (peut-être un peu happy-end) mais très sympa.
Bref, une réussite.
Bon, ben j’ai peiné.
Je ne suis pas fan, a priori, de fantasy ou autre conte moyen-âgeo-baroques.
Celui-ci n’a rien eu pour m’emballer.
Déjà, il y a 50 000 noms à rallonge de lieux, personnages et autres.
Et puis c’est assez bavard pour une histoire classique qui traîne au fil des pages sans réelle surprise.
Bref, j’ai ramé à suivre qui était qui et l’ensemble classique ne m’a pas réellement intéressé – pas plus que des dessins qui ne m’ont pas happé l’œil.
Déception.
Un tome agréable bien que surprenant.
L’histoire se tient sur tout l’album. Fini pour ce coup, les gags en une planche qui tombent à plat – même si ici, on a tout de même un gag en bas de chaque page.
Idée de base simple, on veut traverser la terre et on rencontre des personnages au centre.
Tout est parfaitement exploité, de l’idée à la construction, de l’avancée à la rencontre…
Cela dit, on reste (voir on s’enfonce encore plus) dans les histoires pour (très) jeunes. Les bêbêtes du centre de la Terre sont joufflues sympathique, le gros monstre est mignon et tout le monde est gentil avec un problèmounet qui se résout le plus aisément du monde.
Donc, si ça n’est pas impérissable, ça reste charmant, on sourit parfois, ça s’enchaîne bien et c’est rafraîchissant car particulièrement improbable et éloigné du monde habituel de Léonard…
Quelques gags qui ne vont pas chercher super loin et n’ont pas de chute particulièrement surprenant (le guide des bonnes manière, les pubs, de prévention ou pour des produits, la cuite, Diogène, l’insomnie), quelques autres tellement improbables que ça frise le nawak (nan mais le métro ou le jeu vidéo avec des extraterrestres, quoi…).
Et pourtant, ils fonctionnent, ces gags, parce que c’est plein de vie, de dynamisme et d’inventivité, dans les réveils du disciple comme ses blessures ou ses punitions. Raoul en arrière-plan est rigolo, la souris ne se borne pas à recoudre…
Comme il y a quelques autres gags d’un absurde réjouissant (« les hommes préfèrent les ondes », « le canon de sauvetage » ou « la photo qu’on pille »), ça donne un album frais et amusant.
Anecdotique mais drôle.
Ok, la confrontation de deux mondes opposés, c’est un truc déjà vu et revu mais efficace quand c’est bien fait.
Et là, c’est bien fait.
Rien de révolutionnaire dans le citadin qui se retrouve vivre à la campagne, mais les gags en demi-planche, ça donne du dynamisme, ça se suit bien, c’est souvent efficace dans la chute…
De l’installation, la découverte des lieux, des gens, les amis qui viennent, il y a matière à s’amuser.
Et on passe un bon moment, même si ça ne restera pas impérissable.
Mitigé positif mais mitigé.
Parce que les histoires en une page, bon, ça n’est pas intéressant (mais ça a toujours été).
Les histoires en 2, 3 ou 4 pages, souvent, on a comme d’habitude, une bonne base, un développement sympa qui tombe à plat sur la chute.
Pourtant, on a quelques histoires longues (L’appeau des hôtes, Tout va mal, L’oubli or not l’oubli, un Nain posteur) qui sont très sympas et qui auraient même mérité un développement sur un album complet ! Je vois bien Léonard se dépatouiller avec des hôtes destructeurs, comme là, inventant sur tout un album de quoi les dégager ; un disciple devenu beau et intelligent qui dépasse le maître ; un Léonard amnésique et incapable d’inventer ; un type chargé de surveiller les débordements de Léonard qui ne pourrait plus travailler…
Sauf que voilà, on n’a que 5 ou 6 pages à chaque fois (je ne parle même pas de la première histoire où la télé traverse l’écran, tellement exagéré dans le modernisme qu’elle n’est même plus drôle).
Et j’ai l’impression (ce n’est qu’une impression) que De Groot se laisse aller au service minimum : il a de bonnes idées, c’est sympa, mais il n’exploite pas, ne développe pas, et on se retrouve avec un truc sympa mais qui aurait pu être bien meilleur.
Mais bon, ça reste distrayant.
Assez mitigé sur celui-là…
Léonard se suit et se ressemble depuis 45 albums, mais on le sait et si on continue, c’est parce qu’on s’en satisfait.
Pourtant, là, malgré le sentiment d’une trame sur le sommeil (avec l’insomnie, deux histoires de rêves), l’ensemble m’a déçu.
Les gags en une page ne fonctionnent quasi jamais – c’est plat, sans intérêt, sans surprise, on cherche le gag en arrivant à la dernière case.
Des histoires longues qui marchent bien d’habitude et qui là, si elles commencent bien, avec de bonnes idées, finissent en queue de poisson, dans la banalité ou une chute qui tombe dont ne sait où…
Impression globale : De Groot écrit machinalement, sans se prendre la tête et aller plus loin que la première idée qui lui vient…
Captain Biceps, c’est comme un centre aéré.
Ça revient régulièrement, c’est pas super ce qu’on y trouve mais on se laisse porter avec plaisir tout de même, content de retrouver de vieux copains pour un moment…
Quand c’est fini, on est content d’avoir passé ce moment mais on est tout aussi ravi de passer à autre chose.
Même chose que les tomes précédents, exactement, le même genre de gags, sans rien de nouveau…
Pas désagréable mais pas indispensable.
Plusieurs histoires longues (le tour de France, le déshydratateur, le sondage, le néon) qui sont pas forcément originales ou fatigantes (Léonard qui invente le tour, la parade publicitaire, le dopage, l’interview… ça fait beaucoup…) mais qui permettent de se laisser aller dans l’histoire et passer un bon moment parce que si Léonard reste répétitif, il reste sympa aussi.
Pas emballé.
Les histoires en une page sont assez classiques ou basiques.
Il y a bien des histoires en plusieurs pages avec des bonnes idées de base mais l’ensemble est assez poussif. Pas totalement laborieux mais pas loin, donnant le sentiment que bon, il faut faire une histoire, on a une idée, allez, on la développe mais ça manque de conviction même si tout y est…
J’ai ramé.
Pas que ça soit mauvais mais ça a pris un tournant que je n’attendais pas…
Au début, on ne va pas avec des animaux d’une autre espèce, c’est contre nature, tout ça, symbolisme de l’homosexualité chez nous, je trouvais ça très sympa.
Un petit côté futuriste dans ce monde qui force à trouver une personne qui nous convienne avant ses 25 ans, l’héroïne qui n’y arrive pas, les amis, tout ça, j’étais à fond.
Après quoi, on bascule dans le thriller.
Moi, j’étais parti sur une critique de la société. Le virage m’a moyennement emballé, parti qu’on était dans tout autre chose, abandonnant totalement cette idée de critique.
Quand j’ai enfin réussi à m’y mettre, nouvelle épingle à cheveu, on bascule dans du shamanisme de pouvoirs surnaturels, tout ça… Et je crois que j’ai jamais réussi à entrer dedans… Il m’a fallu un mois pour finir le tome quand j’avais avalé le début assez rapidement…
Cela étant, c’est superbement dessiné, dynamique, de chouettes personnages et décors, des couleurs qui vont bien… Mais l’histoire, j’ai pas réussi.
Peut-être plus sage dans la trame.
Astérix et Obélix vont sauver le barde et deviennent gladiateur pour cela. Une histoire assez linéaire et sans réel danger où tout s’enchaîne avec facilité et sans surprise.
Cela dit, s’il n’y a pas d’esbrouffe dans le retournement de situation ou l’originalité, c’est plein de scènes cocasses et délirante sur le duo qui découvre la ville, les bains, les jeux…
Des situations décalées avec ces gladiateurs qui préfèrent les charades…
Et de nombreux personnages sympa, de Plaintcontrix à Epidemaïs en passant
J’ai passé un bon moment, avec ce tome.
Certes, les 7 ou 8 histoires en une page ne m’ont pas convaincu. La chute est souvent banale, peu surprenante.
Mais l’opus entrecoupe les longues et courtes histoires. Et les longues m’ont bien amusé.
Outre que l’auteur prend le temps de s’installer et qu’on n’a pas un coup de tromblon machinal qui vient de nulle part en 8 cases, on est plutôt parti sur du gros délire ici !
« Le génie des grandeurs » avec un Raoul géant était amusant, « Viens poupoulpe » ou « Issue des gouttes » étaient bien décalés, « Y’a un lézard », classique mais efficace, « Pas nette la planète », totalement délirant…
Bref, j’ai trouvé ces histoires longues sympas et rafraîchissantes pour du Léonard !
J’ai trouvé ça poussif.
Pas mauvais mais redondant de tout ce qui a déjà été fait.
L’impression de manger une 41ème tarte aux pommes d’affilée : c’est pas mauvais mais bourratif.
Je ne sais pas trop pourquoi j’y trouve moins d’intérêt, les gags sont toujours de qualité…
Mais le tromblon toutes les 20 cases, j’en peux plus…
Pourtant, je pense qu’il y a encore matière puisque deux histoires longues (« self-contrôle » et « un bruit qui court ») prennent le temps de développer leur thème avec originalité et humour.
J'ai plutôt bien aimé ce tome.
Léonard a été répétitif dès le début : on sait qu'il va y avoir une invention contemporaine et que disciple va exploser, c'est toujours pareil.
Mais il y a pas mal de fraîcheur dans ce tome 49.
Zidrou a gardé l'esprit mais apporté du dynamisme (j’ai pas lu le premier tome qu’il a scénarisé) et les titres ont des calembours encore meilleurs...
J'ai pas super accroché avec l’idée des militaires mais ça passe plutôt bien et c’est sympa que ça ponctue le tome plutôt que n’être que la première histoire.
Et quelques gags m'ont même arraché plus qu'un sourire (le char wash, le blabla char, Basile qui apporte ce qu'on lui demande en serveur...)
Bon moment.
Un très bon tome.
L’idée de départ est bonne, la trame est sympa…
On suit deux parties : Astérix, Obélix et Panoramix dans la forêt avec des décors magnifiques et des angles très sympa ; la partie dans le village, pleine d’humour et de cadrage « nouveaux » (me souvenait même pas être allé une fois dans la hutte du barde ou l’avoir vue du dessous).
Le dessin est vif, dynamique, plein de détails humoristiques.
Le scénario est bon avec de bons jeux de mots et un gag répétitif dont aurait été capable Goscinny avec le romain qui imite le pigeon…
Il y a bien quelques cases qui sont d’un intérêt moindre, mais très peu et si on n’en est qu’à ça…
Quand on voit les derniers opus d’Uderzo seul, je ne comprends même pas qu’on puisse bouder son plaisir avec ce renouveau plein de souffle !
Plus classique, celui-ci.
Il y a bien, comme toujours, des idées, mais rien de super novateur ou surprenant.
On ne peut pas non plus dire qu’il soit mauvais, il y a toujours des répliques ou situations amusantes…
Mais c’est comme un énième repas de famille, on est content de se retrouver sans rien avoir à se dire de nouveau…
Distrayant, sans plus.
Un tome enlevé qui permet de bien accrocher.
Enfin, au moins à celui-là…
Parce que pour l’histoire générale, des clans dans les limbes avec des super-pouvoirs qui arrivent de plus en plus, je me perds un peu dans la logique…
Mais si j’adhère moyennement à l’ensemble, j’ai bien aimé la vivacité de ces jeux, l’évasion…
Sympa.
Si les chutes sont un peu faciles, prévisibles, faibles, ce sont souvent des histoires en 4 pages ou plus qui permettent d'installer les situations avec humour et d'en profiter...
Du coup, je me suis bien amusé mais si la fin des histoires n'est pas surprenante...
Alors oui, c’est bien de parler écologie mais ça marche moyen, je trouve, ces avertissements humoristiques ; on a le cul entre deux chaises, entre le drôle et le pédagogique…
Plusieurs gags que j’ai trouvé assez facile, une longue histoire avec Raoul qui voyage dans des aéroports de nos jours, ne reculons devant aucun anachronisme nawak, histoire très répétitive et un peu longue…
Bref, un album un peu en dessous…
Voilà longtemps que je n’avais pas lu de Léonard.
Je suis tombé sur celui-là par hasard et force est de constater qu’au tome 37, je retrouve le souvenir que j’avais des premiers tomes, avec les mêmes avantages et inconvénients.
C’est toujours aussi réjouissant, dans les dessins comme l’inventivité, les titres amusants et les histoires à la fois déjantées et tordues
Mais c’est aussi un peu toujours répétitif sur la base des histoires…
Cela dit, ça emplit son office de bonne distraction !
J’ai beaucoup aimé celui-là.
Si j’ai assez vite capté les astuces finales, ça ne fait rien : il y a la verve de Greg, les phrases ciselées et que je trouve hilarantes de précision sémantique, les réparties qui tombent bien avec subtilité…
Ce qui ne gâche rien pour une aventure de Talon, c’est qu’Achille participe activement au lieu de suivre ; c’est vraiment lui qui fait tout et c’est réjouissant.
Avec des scènes exagérées très drôles, de l’inventivité et une ambiance joyeuse. Très bon.
Un tome sympa, plutôt centré sur Terry et le Maître des couteaux. L'action est amusante mais n'avance pas à grand-chose dans l'histoire... Celle-ci n'avance d'ailleurs que peu puisque tout le monde est séparé et chaque partie n'apporte pas beaucoup de révélations... L'ensemble reste léger et sympathique.
On finit presque au point où on a commencé… Distrayant mais c’est tout.
Il n'y a pas à dire : Vehlmann a le sens de la narration ! Si je me suis retrouvé un peu perdu au début, ayant eu le temps d'oublier ce qui s'était passé dans les tomes précédents, l'histoire nous happe tout de même. C'est bourré d'action, de tension, les personnages existent et les mystères se développent... C’est assez haletant même s’il serait assez sympa de commencer à fournir des réponses plutôt qu’amener un nouveau personnage à chaque fois, un passif (t’as le maître-fou qui débarque d’un coup avec un contentieux avec l’autre dont j’ai déjà oublié le prénom) qui rend l’ensemble vachement compliqué pour pas grand-chose…