Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 21/11/2024 à 14:51:03 en 0.0305 sec
C'est pas mal.
Le dessin de Clarke passe très bien dans le monde réaliste (je ne connaissais que ses apparitions dans le monde comique avec "histoires à lunettes" et autres séries de fluide glacial). J'aurais cependant aimer savoir dans quelle ville cela se passait, c'est en Belgique mais on ne retrouve aucun décor permettant de situer les lieus.
Coté scénario c'est simple et très linéaire, c'est finalment peut-être plus une BD psychologique sur le manière dont Luna ressent les évènements qu'un polar...
Content d'avoir épinglé cet album dans ma bibliothèque.
Je n'ai pas pris le temps de relire les 14ers tomes avant de me plonger dans ce nouvel épisode:mal m'en a pris!
Je suis ressorti un peu perdu de ma lecture et n'ai pas réussi à tout recoller: pourtant à la fin du tome précédent tout était clair dans ma tête.
Je pense que c'est le défaut de cette série: tout se tient. Mais se défaut en fait sa force pour un lecteur qui veut donner de lui-même.
Les dessins sont magnifiques, comme toujours: c'est pourquoi je donne un"très bon"
Et c'est reparti pour une relecture de l'ensemble...
C'est à lire!
Dessins très propres. Mentions spéciales pour le personnage féminin et les descriptions de Bruxelles. Le découpage est classique, qqs effets servent correctement ler ythme de l'album.
Côté scénario c'est un Benjamin Gates belge durant la seconde guerre mondiale. On se laisse guider sans rien avoir à imaginer: tout est dit et on ne sollicite pas trop l'intelligence du lecteur.
Merci pour ce bon moment de lecture! Combien de tomes à venir?
Dessins: magnifiques jeux de couleur, dommage qu'Hermann ait du mal avec les visages féminins.
Scénario: très bonne idée de nous amener à cette époque au far-west. Je m'attendais à un western façon John Wayne, ici c'est plutot façon Barnaby. Un sentiment bizzare: c'est mou mais en même temps plein de petites scénettes traitées rapidement: si on suit sans problème, cela manque de lien.
Un peu déçu par ce tome de l'excellente collection Aire Libre.
des dessins un peu bizarres: entre ligne claire et quasimodo...
des ficelles scénaristiques grosses comme des chaines...
Une histoire à lire d'un trait pour faire passer un samedi froid et pluvieux...
Un petit dyptique sympathique.
Scénario agréable, un peu trop lisse et trop facile sur certains rebondissements.
Des dessins agréables, mais de vraies erreurs quand on passe à l'action.
deux exemples, les tueurs débranchent la prise pour attirer les héros dehors, mais finalement les méchants oublient de les tuer...
Notre héros se rend à l'hotel: une case avec une porte "normale", case suivante, la porte a doublé en largeur. Je vous laisse comprendre comment le héros se défait du yazuka (il a en fait une colonne vertébrale facon 360°)
Ca se lit, puis ca se range, mais je ne boude pas mon plaisir et part à la recherche du dernier dyptique.
J'ai profité de la sortie du "Jour du Mayflower" pour acheter cet album et ainsi collectionner un petit hors-série.
Je n'avais jamais franchi le pas de lire les XIII mystery: cet album m'a agréablement surpris.
Un scénario où j'avais cru deviner la fin, qui entremèle intelligement plein de références à l'univers de XIII; c'est bien construit et pour un coup d'essai, les craintes du scénariste en intro passent aux oubliettes: bravo.
Pour les dessins, c'est bien en place, Boucq s'adapte au découpage classique de la série.
Pour l'anecdote, j'ai découvert qu'Amos avait perdu son bras gauche grace à cet album,pour un fan de XIII, ca ne le fait pas...
C'est un one-shot: efficace, simple, agréable à lire.
Van Hamme est cependant en mode-automatique: le scénario est un peu trop facile, même si tout les ingrédients de la série sont là: camions, femmes, argent, trahision et exostime.
Denayer aurait pu passer un peu plus de temps sur la couverture, c'est l'un des seuls reproches côté dessin.
Lu et 25 minutes, par sur que j'y revienne de si tôt.
A cours d'idée dans mes achats, je fais pas mal de magasins d'occase et suis tombé sur cette série.
Le dessin de Boucq s'adapte mal aux scénes d'actions et j'ai trouvé qqs erreurs d'échelles sur les dessins des voitures.
Au dela de ça c'est tout bon, même si certaines cases pourraient être enrichies de détails.
Coté scénario, je n'avais rien lu de Sente. J'ai été agréablement surpris par le premier tome: choix du théme, mélange des genres. Le second tome est un peu plus tiré par les cheveux et copie qqs idées à 007.
Je lirais la suite sans bouder mon plaisir, même si il ne restera pas inoubliable.
Je ne pensais pas qu'Andreas pouvoit encore m'étonner: je me suis trompé...
les découpages sont à nouveau magnifique: je me suis extasié plusieurs minutes sur deux pages quasi blanche:aller jeter un coup d'oeil chez votre libraire, vous comprendrez pourquoi.
Coté histoire: c'est accessible si l'on connait l'univers d'Arq, on commence à recoller les morceaux et j'envisage pour la première fois une chute crédible à tout cet imbroglio.
Merci Monsieur Andreas pour ce grand moment de lecture.
C'est moyen.
La couverture du premier tome m'avait alléché et j'avais alors acheté l'album.
Côté scénario, un jeune sans le sous fait tout pour échapper à la mafia qui a tué son père richissisme. Dans le deuxième épisode, Milan doit réunir des fonds pour soigner son garde du corps. Qqs bonnes idées mais des raccourcis scénaristiques indignes:
Milan se fait aider d'une jeune avocate sans quel'on comprenne pourquoi, il entend aux portes deux fois de suite des bribes qui font basculer l'histoire et ensuite la course poursuite à pied ou un gentil tueur venu de nul part vient l'aider....
Cela manque de consistance.
Côté dessins, c'est propre, mais cela manque de détails si l'on compare aux séries contemporaines actuelles: dommage.
C'est moyen, mais je me laisserai par le dernier tome.
Retour aux affaires pour Cap: finis les albums intimistes et introspectifs depuis les Chinois. Les albums 10 à 14 ont cassé le rythme de l'intrigue principale, on pourrait presque ne pas les lire (mais il ne faut pas s'en priver à la vue de leur richesse graphique).
On reprend tous les personnages vus jusqu'au Passage (T.9) et l'histoire continue: Astor, Ash, l'ancienne équipe du Concept et autres puissances sont de nouveau réunis.
Coté scénario: des mondes parallèles, des puissance occultes, en fait du classique pour Andréas qui nous livre ici une bonne suite à la première partie du cycle.
Côté dessins: des immeubles, des plongées et contre plongéers qui servent le rythme, un sens du découpage hors-norme, en fait du classique pour Andréas.
Pour ceux qui ne connaissent pas: il faut commencer par le n°1, c'est le défaut de cette série ou tout s'enchaine et s'emboite...
Pour les amateurs: à lire.
Pour les fans: à acheter, ranger et garder précieusement, Andréas sera un jour considéré comme un génie de la bande-dessinée.
Peut-on être crtitique quand on est fan d'Andreas?
Scénario:
Je viens de relire les treize tomes d'affilée, j'ai ainsi pu recoller l'histoire qui peut paraitre confuse si l'on se limite à seul album de la série.
Tout se tient, il faudra attendre la fin pour tout dénouer.
On y retrouve les classiques d'Andréas: du fantastique (des vers et de la poussière), des détectives, mais pour la première fois un petit mélo familial qui se tient bien.
Tres plaisant à lire.
Dessin:
Pour cette troisième et dernière dérie de 6 numéros, changement de format, changement de couleurs (il n'y a en plus). Pour le style des découpages comme seul Andréas sait les réaliser, un noir et blanc bien différent de la carte à gratter des Cromwell Stone ou révélations posthumes: en fait un nouveau style de dessin.
En survolant l'album j'avais troué le noir et blanc trop "gras": mais en fait c'est voulu...
Tout est maitrisé, ça se lit, ça se regarde, on admire, etc.
Dur d'être critique quand on est fan...
J'avais acheté le tome 1 à sa sortie, et faute d'argent repoussé l'achat de cette suite à plus tard. J'ai retrouvé hier une édition originale: j'ai pu enfin compléter ma collection...
Car pour tout dire cela relève plus de la collectionite, que d'un réel engouement pour le scénario...
Pour résumer: y'a des zombies et on les tue (avec Black et Decker comme allié). Au second degré ca passe.
Coté dessin, c'est du Barjam: propre, bien cadré, plaisant.
J'ai hésité à donner un deux qui correspond à "pour amateur uniquement".
C'est simplement à lire, pas forcèment à acheter.
Ce n'est pas une BD c'est une expérience...
Le dessin est un peu déroutant mais on s'y fait: les effets de lumière sont magnifiques et permettent de conforter l'ambiance des trois récits.
Coté scénario: c'est moyen, les trois histoires sont simplettes.
La magie de cette BD réside dans le concept qui a lui seul vaut la lecture et relecture et rerelecture...
Très bons dessins, scénario moyen, concept déroutant...
Cela suffira-t-il a en faire un incontournable: j'en doute.
J'ai choisi de critique Rorschachcar pour moi c'est le super anti-héros par excellence: signe de fabrique de la série ou l'on humanise à outrance ceux qui nous gardent, et dans le cas de Rorschach on peut y voir une critique des méthodes inquisitoires des grandes nations d'outre atalantique. La violence est-elle le prix de notre liberté?
Mais qui nous garde de nos gardiens: belle métaphore portée tout au long des six albums par un scénario étourdissant mélangeant passé, présent et fiction avec une virtuosité hors norme.
Le découpage est classique, mais à plus y regarder de prés, plus réfléchi que cela ne le laisse croire.
La fin n'est pas exceptionelle et demeure pour moi le seul bémol de cette série annoncée par tous comme culte: je ne suis pas tout à fait d'accord, mais si elle n'avait pas eu ce qualificatif je ne l'aurais jamais achetée et cela aurait été fort dommage...
Je ne suis pas fan de la collection Soleil, mais j'avoue que mon libraire m'a bien conseillé: la plus grosse claque au niveau dessin depuis ma découverte d'Andréas...
Je les regarde et regarde sans m'en lasser (j'écris regarde car le scénario ne m'a pas emballé même si cela est prometteur (le 2nd album se lirait avant le premier?)).
Des dessins merveilleux, l'image du mur de la forteresse me fait rêver et l'on voit poindre tout ce que le dessinateur a pu ingurgiter comme heroic fantaisy dans sa jeunesse.
A exposer dans sa bibliothèque, et vu la quantité de travil nécessaire, il va falloir attendre longtemps avant le suivant...
Attiré par une belle couverture et un battage médiatique hors norme, je me suis fait avoir.
Si le dessin est bel et bien dans la ligne de certains comics (cela est flagrant sur les femmes dénudées qui ne manquent pas d'apparaitre), le scénario est tres décévant.
Les mines ressemblent à un entrepôt de supermarché, le conducteur du fenwick s'étant endormi laisse supposer une intrigue, de même que l'ours écrasé sur la route.
Une fois le livre achevé on se demande la raison d'être de ces premières blanches: nécessaires pour boucler le format imposé de 62 pages?
L'histoire d'amour est malheureusemnt classique, les flashbacks pauvres en explication, les femmes trop souvent nues et finalemnt une chute prévisible (sans rien dévoiler le détail de plusieurs vignettes le laisse supposer).
le crachat qui géle avant de tomber, alors que tous les marcheurs ne transpirent pas, a eu raison de ma patience.
Grosse déception.