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Alors oui, vous allez me dire, c'est facile, voire même, c'est louche.
Il a financé la Bd sur Sandawe et il vient nous dire qu'il aime. En plus, quand on voit son avatar, on se dit que c'est de plus en plus louche.
C'est bien Bones qui m'a dessiné mon avatar. Ca fait partie de ces petites choses qui ne se passent que sur Sandawe. Parce que Bones, je ne le connais que virtuellement.
Et sa bd est un vrai régal , à condition de ne pas se tromper dans ses attentes. Déjà, ici, il est classé dans le genre '' guerre'', ce qui est une erreur car c'est du vrai, du bon '' Fantastique''. Les fans de Lovecraft vont en baver de plaisir. La guerre de 14-18 n'est ici qu'un prétexte. Cohérent avec le scénario, mais un prétexte qui nous emmène, au détour de planches riches en détails historiquement vrais, dans l' inconnu des origines de l'humanité.
Du déjà vu, me direz vous. Certes. Mais l'atout majeur de cette série, c'est ce dessin, anguleux mais lisible, noir ( très noir) mais lumineux. Bref du pas formaté, mais accessible et compréhensible. Les analogies à Mignola ou Franck Miller ont souvent été évoquées, entre édinautes. Le séquençage est excellent et permet de maintenir la tension ( et l'attention) du début à la fin.
Cette fin, qui se prête à plusieurs interprétations possibles, nous laisse dans l'attente impatiente de la suite.
En bonus, vous pourrez télécharger ( gratuitement) ou faire imprimer via Amazon ( pour un prix pas trop dérisoire, hélas) le synopsis de l'album avec l'intégrale des planches en Noir et blanc, qui sont du pur bonheur.
Un seul petit bémol : des bulles en allemand non traduites qui gênent un peu, car elles sont importantes pour la compréhension immédiate de la lecture. Mais bon, on ne peut pas faire un sans faute du premier coup.
C'est bien simple, je n'ai pas pu aller au delà de la dixième planche. Il aurai fallu que je relise le 1 pour me remettre dans l'histoire, mais ça a été au dessus de mes forces.
Le dessin ne s'est absolument pas amélioré et il n'est même plus moyen, il est carrément ultra daté et mauvais. Et bien sur en décalage complet avec une couverture moderne et propre, comme pour le premier tome.
Je serai bien en peine de vous parler du scénario qui est parait il très bien. Je ne lis pas que de la bd et j'aime les mots, mais quand je sors des romans, c'est aussi pour apprécier le graphisme, qui reste quand même l'âme du 9 ème art, Non ?
Un bon premier tome ( de Savoie), même si on ne voit pas encore beaucoup de mages. A se demander si il ne s'agit pas d'une histoire de faux mages.
C'est vrai qu'on n'éclate pas forcément de rire à toutes les pages mais l'ensemble est bien rafraichissant.
La tête des cornebiques mortes de trouille est tordante et la fée Pompette est gironde.
Le fromage de cornebique est parti pour concurrencer le poisson d'Ordralfabétix.
Un album magnifique.
Tout un pan de notre histoire que j'ignorais complètement.
La guerre de sept ans est un échec pour la France et penser qu'on a "abandonné " une bonne partie des états unis et du canada d'aujourd'hui aux anglais est absolument fascinant.
Notre capitaine perdu, complètement intégré, aimé et respecté des peuples indiens est contraint de céder le fort qu'il commande aux anglais, afin d'obéir à son roi.
Dessin magnifique de Jacques Terpant, paysages majestueux, couleurs flamboyantes.
Une vraie réussite qui ferait aimer l'histoire de France aux plus récalcitrants.
J'avais été déçu par le premier cycle, mais le thème du second me semblait de nature à susciter l'intérêt.
Malheureusement, je n'y ai toujours pas trouvé mon bonheur.
Se concentrer sur le scénario est quasiment impossible, tant tout est alambiqué, compliqué à suivre et au final bien peu intéressant
Ce sentiment est certainement accentué par le graphisme. Le coté photo réaliste est réellement fatigant. On est plus proche du roman photo que de la bd, avec tous les défauts du genre : Pas de rythme dans le dessin, tout est posé et semble figé, avec parfois des expressions de visages qui ne correspondent ni au texte ni à l'ambiance de la séquence.
Encore un bon coup de marketing d'auteurs à succès. Ca va finir par se voir.
Une bonne Bd, que ce premier tome de Gaultier de Châlus.
Tout est fait pour s'immerger dans le moyen âge. Le scénario tourne habilement autour des croyances de l'époque, ainsi que les valeurs du héros fatigué qui va essayer, en souvenir d'un passé douloureux, de reprendre le cours de sa vie.
Le dessin et la couleur sont aussi en phase avec l'époque.
Pas d'encrage, donc. Les cases en peinture directe sont souvent autant de souvenirs de gravures que l'on trouvait dans nos livres d'histoire, à l'école. Cette Bd aurait pu avoir été dessinée en 1380. C'est très loin du formatage qui prévaut de nos jours, et l'album mérite d'être découvert.
Bonne surprise.
Beaucoup de bruit autour de cet album, mais au final rien de transcendant
Le scénario de ce premier tome met en place la série et il faut faire un vrai effort pour suivre les aventures de Victor.
Mais la plus grande déception vient du dessin, et surtout de cette très grande différence de précision entre la couverture et le contenu de l'album qui est graphiquement moyen.
Les planches de 14, 15 ou 16 cases auraient supporté un format plus grand. Attendons la suite.
La fin du triptyque. Superbe. Une grande réussite que cette série qui ne semble pas avoir rencontré le succès commercial.
Il faut dire que ça ne se lit pas comme un Spirou.
Le scénario est tout simplement éblouissant, noir et froid, terrifiant. Un monde totalitaire qui maintient un état de guerre permanent pour contrôler le peuple. Manipulations, propagande, trahisons, exécutions sommaires sans aucune vraie justification, si ce n'est empêcher toute velléité de révolte.
Le dessin et la colorisation sont à couper le souffle. Ce tome trois est moins "pyrotechnique " que les deux précédents, mais de fait on est aussi plus dans la prise de conscience du "héros" que dans les tripatouillages ultra-violents du pouvoir du Weltraum.
Un de mes indispensables.
Et la tristesse de voir un dessinateur de cette trempe jeter l'éponge.( voir News )
Fans de Ric Hochet, fuyez !!!
Il fallait oser reprendre cette série emblématique. J'en étais le premier tourneboulé. Le scénario peut passer pour malin, les stéréotypes du héros de Tibet et Duchâteau sont tournés en dérision et même le commissaire Bourdon a un passé trouble.
Ca aurait pu faire sourire si ça ne passait plutôt pour de la méchanceté pure.
Et que dire du dessin. Qu'est devenu le trait clair et précis de Tibet ? Sur le dernier quart des aventures de Ric, il était devenu plus mécanique, presque caricatural mais reconnaissable entre mille. Van Liemt nous fait un brouillon de Ric, ou on s'est trompé à l'impression, et c'est le storyboard qu'on a publié.
Au lieu de vouloir à tout prix tuer le père, il eut été plus judicieux de nous servir un bel album de Ric Hochet, dans la tradition. Celui là est une honte graphique.
Je ne connaissais pas du tout big k avant que l'intégrale ne soit proposée en financement participatif sur Sandawe et que je décide de participer à ce financement.
L'occasion de dire encore une fois que Sandawe n'est pas une maison d'édition bas de gamme dans laquelle on ne trouve que des projets recalés chez d'autres éditeurs. En l'occurrence, le changement de politique éditoriale de Casterman avait mis un terme à la série après le tome 2 et Sandawe à permis à cette histoire de trouver sa conclusion.
Et l'histoire est toute en intelligence. Le scénario tout d'abord, est un vrai régal. Fabian Ptoma a su trouver le ton qui permet d'avoir de la compréhension pour le protagoniste principal. Comment avoir de l'empathie pour un tueur froid, sans aucun état d'âme, à priori sans morale , doublé d'un vrai psychopathe qui prend un réel plaisir à torturer et à tuer ?
Pas vraiment possible, mais le scénariste, grâce a ses flashs back judicieux, nous permet de comprendre comment K en est arrivé là. Et de constater que le tueur est aussi une victime, qui a aussi des valeurs et sa propre morale. Sa mauvaise conscience toujours à côté de lui dans les moments importants, il va pourtant mener à bien ses contrats et en parallèle ses propres combats.
Le graphisme et la couleur sont à l'unisson du scénario. On est immergé totalement dans les seventies. L'extrême violence n'est pas amplifiée par des effets inutiles. Pas de "bruitage" sur les coups de feu, explosions et autres passages à tabac. On voit se dérouler les scènes choc comme dans un film au ralenti. Et il faut bien le dire, malgré toute l'horreur du propos, c'est beau.
Ni une apologie de la violence, ni un portrait policé de tueur à gages , une Bd crue et lucide sur ce que la société peut produire de pire. A lire absolument.
Et oui, la bd sort dans une semaine, mais si vous venez sur Sandawe, vous aurez parfois, pas toujours mais parfois, le privilège de recevoir vos albums en avant première.
Shelter's lot, Maine, USA.
Ca commence comme un roman de Stephen King, et ça continue comme un roman de Stephen King, et du pas mauvais.
Une bonne inspiration, donc, du coté du scénario, avec une montée en tension constante et une violence tant psychologique que physique.
Le tout est servi par un dessin plus qu'intéressant, parfois très précis , parfois plus brut ( les personnages éloignés souvent stylisés ), mais avec une colorisation fantastique qui vous plonge complètement dans ce récit horrifique dont seule la fin est un peu frustrante. Une bonne surprise.
Clairement déçu par cet album. Si le scénario est dans la continuité des deux précédents, avec ce mélange d'action et d'humour, le dessin, lui, n'est franchement plus au niveau des débuts. Les personnages, notamment Terryona, qui était d'une sensualité à tomber par terre dans les tomes 1et 2, sont tout juste reconnaissables. Les planches semblent être encrées au Velléda. J'ai vérifié plusieurs fois sur la couverture que c'était bien Alliel, le dessinateur. Les " nègres" en Bd, ça existe ?
Le seul lot de consolation de l'affaire, c'est que la conclusion a le mérite d'exister. Mais à quel prix ?
Une très bonne entrée en matière que ce tome 1 des Anges visiteurs. J'y ai mis quelques euros sur Sandawe, et ma foi, je trouve que le résultat est plus que positif.
Le scénario développe plusieurs axes qui trouveront leur conclusion dans le tome 2, déjà quasi financé et annoncé pour le début de 2016. Dans quel but Eva était elle , ainsi que d'autres éléments vivants au premiers temps du monde, conservés dans un environnement vraisemblablement extra terrestre ? Ont-ils été '' oubliés'' là ou étaient ils destinés à être réveillés et à jouer un rôle majeur dans l'évolution du monde ?
Le dessin, qui varie légèrement en fonction des environnements, est bien maitrisé, quoique encore perfectible pour ce qui concerne les véhicules. Il est vrai que le dessinateur des '' Aphrodites'' est plutôt doué pour les expressions corporelles.
Une bd qui mérite de figurer sur nos étagères.
On n'est pas obligé d'aimer le Blues pour apprécier cet album, mais ça aide.
La vie tumultueuse et météorique de Robert Johnson, en noir et blanc.
Et quel noir !! le noir de la misère et arrières cours de bars sordides , le noir des âmes, mais un noir sublime de texture de Mezzo, avec des illustrations pleine page fantastiques.
Cerise sur le gâteau. Les chansons ( traduites et illustrées à la mine de plomb ? en fin d'album )
L'intégrale est chère ( très), mais c'est toujours mieux que chercher tous les tomes en Eo quand on a loupé le début de la série, ce qui est mon cas.
De plus, je ne regrette pas, tant cette série est haletante. C'est un travail absolument superbe. Tous les gouts sont dans la nature, mais j'avoue que je comprends mal qu'on trouve le dessin de Sylvain Vallée moyen.
En ce qui me concerne, je le trouve somptueux. Et il est servi par un découpage de l'histoire aux petits oignons.
Après, tout dépend comment on aborde la série.
Sans juger le personnage principal ( abject salaud ou héros qui fait tout pour sauver sa famille ? ) , on est pris par l'histoire ( la petite comme la grande) et on a vite l'impression d'être devant un spectacle sur grand écran. J'ai eu a du mal à lâcher ( pourtant l'intégrale est lourde ).
Quand on a fini de lire et qu'on pose le bouquin, on regarde autour de soi et on met du temps à revenir s'ancrer dans la réalité.
Bref, pour moi, c'est du tout bon.
J'ai financé cet album sur Sandawe.
C'est même le premier sur lequel j'ai mis quelques euros.
Il a été longtemps attendu. L'avantage de suivre un projet depuis (presque) sa genèse, c'est qu'on voit mieux le but et les éventuelles adaptations faites au cours du temps pour arriver à ce but.
Je dirais que cet album souffre de son temps de financement, trop long, qui a obligé les auteurs à le traiter comme un One shot, alors qu'il aurait été plus judicieux de commencer cette série par un diptyque, tant la trame principale de ce tome et la présentation de tous les personnages auraient mérité moins de raccourcis. Ceci n'est pas de la faute des auteurs et les voies du financement participatif étant impénétrables, ils ont du s'adapter.
Du coup, le scénario a un potentiel qui n'est pas vraiment mis en valeur ici. Ce sera certainement corrigé dans le prochain tome.
Mais la correction principale devra essentiellement se faire sur la colorisation, qui est bien trop "pesante" et nuit gravement à la qualité du dessin, qui sans être toujours égal , est parfaitement adapté à ce type d'histoire. Ceux qui auront la possibilité de lire l'album avec le dossier complémentaire pourront voir tout ce que la couleur fait perdre à la force du graphisme de Danilo.
( et ceux qui n'ont pas cette chance, ils peuvent aller faire un tour sur Sandawe ).
Au final un album qui laisse une impression mitigée, et qui laissera les vrais amateurs du genre sur leur faim.
Le tome 2, annoncé, devra faire décoller la série.
ATTENTION : J'ai aidé au financement de cet album. Comme beaucoup d'édinautes, je l'ai reçu une semaine avant sa sortie officielle et je l'ai lu. Ceci est donc un véritable avis après une double lecture, album en mains.
Tout d'abord, et ça a son importance, cet album était prévu comme un One shot. La suite est pourtant annoncée. Il est d'ailleurs référencé ici comme un tome 1.
Le format un peu plus petit que le 22x30 classique, passé la surprise, ne nuit pas à la lecture. Je dirais même qu'il lui va plutôt bien. Le graphisme d'Alex Talamba, dessinateur roumain, est plaisant et sert parfaitement le récit. Plus " frais" que ce qu'il avait produit sur Sidi Bouzid Kids. Idem pour les couleurs.
Coté scénario, on part sur une intrigue classique (quatre jeunes partent en vacances dans un coin paumé et pas franchement hospitalier, de prime abord ). Ca sent la série Gore et on s'attend à du sang, avec le monstre planqué à la cave.
Et bien pas du tout, et c'est bien là que le bât blesse. On sent bien que l'auteur aurait pu suivre plusieurs pistes ( le tourisme dans un pays de misère, la sorcière qui retient nos jeunes gens malgré eux, La tension entre les différents protagonistes, voire la parano pure qui finit en bain de sang ) et en fait aucune et toutes sont suivies. Ca amène quelques facilités dans le scénario, mais aussi quelques incohérences et surtout de l'incompréhension. Tout est abordé, mais rien n'est vraiment développé. Qu'est ce qui est du domaine de la réalité ou du cauchemar ?
Et bien, pour vous dire la vérité, à la fin de mes lectures, je n'en sais rien.
En tant que One shot, cet album serait considéré comme moyen. Si c'est un premier tome et que la suite nous éclaire sur les tenants et les aboutissants, alors il est possible que ça devienne une vraie histoire.
Mise à jour 23.04.2015 @AxelD cette page n'étant pas le forum, ton avis positif était bienvenu. Pour ce qui est de mes précautions, elles tiennent au fait que mon avis est fait une semaine avant la sortie en librairie de l'album. Il était donc effectivement utile de faire la précision.
Quel ennui !!
La série aurait tout aussi bien pu se terminer au tome 4, tant il ne passe rien ici.
Le dessin reste globalement correct, mais tout ce qui aurait mérité un traitement plus approfondi, notamment ce qui tourne autour de la secte des fils d'Ezéchiel est bouclé en trois cases avec un Jones qui refuse de jouer son rôle.
Le tome 1 de la troisième saison à plutôt intérêt à être bon, tant les fans de Léo sont désabusés par ce second cycle.
Quel talent !!!
Le tome1 était une telle surprise que ça semblait difficile de faire aussi bien sur le tome 2.
Le récit est donc différent. Celui là est plus nostalgique, plus triste que le premier, avec, parsemés par çi par là des grands moments de fou rire. La baguette, bien sûr, mais aussi les requins du XVIème, Jean Chi qui se lache ,le canon à moutons, la hackeuse cacochyme, l'assemblée générale Holderen et plein d'autres choses
Et au milieu ce pauvre Pierrot et ses souvenirs de jeunesse qui lui remontent à la gueule.
Dommage que la dernière partie ( le spectacle de marionnettes) soit plus " consensuelle", plus "bateau".
On se prend à les aimer, ces vieux cons grincheux. Pourvu qu'ils ne meurent pas trop tôt de vieillesse. Pas avant le tome 3.
L'auteur nous a dit : Ce n'est pas du manga.
Comme je l'ai lu jusqu'au bout, je confirme, ce n'est pas du manga.
Alors qu'est ce que c'est ? Un peu de tout : un petit peu de manga quand même, un peu de western, de la Sf, de la bd franco belge indé et engagée sur des thèmes forts (écologie, connerie humaine, exercice du pouvoir).
Pour être clair, je l'aurais peut être ouvert chez le libraire ( à condition qu'il n'ait pas été rangé avec les mangas), car la couverture est très réussie et capte l'attention. En feuilletant rapidement, je l'aurais reposée dans le rayon.
Et donc je peux dire sans rougir : Gloire à Sandawe. Parce que ce bouquin est tout ce que je recherche dans une BD (ou un roman). Une vraie histoire qui a du sens, portée par un dessin (sauf pour un roman) qui sert cette histoire. Le dessin n'est pas celui qui a mes préférences esthétiques habituelles, mais il est " habité" par l'histoire. Les personnages ont de vraies gueules, des caractères marqués. Rien n'est insipide et tout est fluide et compréhensible.
Quand au format, je ne crois pas qu'il eut été possible de trouver plus judicieux.
Un vrai bon moment de lecture Bd. Je m'en vais vite participer au financement du tome 2, car je ne regrette pas d'avoir financé celui ci.
En fan du travail de Freddy Martin (Après la guerre, Serpenters), je me suis tout de suite jeté sur cet album, et je n'ai pas été déçu. Freddy à un très grand talent.
Le scénario tient bien la route et on est vite pris par l'histoire, angoissante à souhait. Rapidement, en voyant évoluer ce journaliste Londonien dans une reconstitution de château allemand au beau milieu du Japon d'aujourd'hui, on se sent prisonnier comme lui, d'autant plus que les prénoms des protagonistes, (Jonathan, Mina, Lucy) l'histoire elle même ( un professeur spécialisé dans les recherches sur le sang) nous rappelle furieusement une autre histoire de sang, dans un château des Carpates, sans pour autant vampiriser (Ah ! Ah ! ) le récit.
L'enquète qui devrait suivre promet d'être haletante.
Une seule angoisse : Freddy Martin à toujours eu du mal à terminer les projets commencés. Alors s'il te plaît, Freddy, tu nous la termines, cette histoire là.
Voila une série bien ancienne, et comme c'est souvent le cas pour des séries de 70 albums et plus, on a l'impression que les auteurs tournent en rond ( normal sur des circuits). Quelle n'a pas été ma surprise de voir arriver ce Michel Vaillant,saison deux ?
Collectionneur dans l'âme, j'achète dans un moment de pulsion incontrôlable. Bien sûr, j'ai des doutes sur la qualité du produit.
MAIS : c'est réellement une surprise très agréable. Le dessin est supérieur aux albums précédents, moins figés mais gardant ce qui a fait la série ( les VROAAP, VROAAP). L'histoire elle même est fidèle aux origines, mais avec enfin de la modernité. Michel à des soucis avec son fils, avec son père et on le devine, avec sa femme. Bref un homme moderne dans le monde d'aujourd'hui. Cela fait des années que je n'ai pas attendu avec autant d'impatience le tome suivant de Michel Vaillant, et ça fait du bien.
Une couverture alléchante, un éditeur peu connu sur ce créneau ; Assez intriguant pour aller voir. On tombe sur une histoire classique d'héroïc fantasy mâtinée de SF.
Comme souvent dans un tome 1, on reste sur notre faim, car il faut bien présenter les personnages. Au final, on garde surtout une impression de déjà-vu, avec un mix, genre cross-over entre les Naufragés d'Ythaq, Slhoka et les Fôrets d'Opale. Bref, ça ressemble aux éditions Soleil mais ça n'en est pas.
Et c'est bien normal, car le découpage est bizarre, comme si on avait coupé des scènes au montage. Le graphisme, sans être exceptionnel, est acceptable.
Le gros point noir, c'est le lettrage: il manque souvent des mots, ce qui rend certaines phrases assez peu compréhensibles,et en plus, il y a des fautes d'orthographe.
Tout ça fait un peu bâclé, non ? J'attends le tome 2, mais sans grande impatience..........
Le thème du vampire a tellement été exploité que j'ai hésité à lire cet album.
Ce qui m'a fait sauter le pas, c'est la signature de Stephen King. Etant un inconditionnel du King, j'étais curieux de voir comment et pourquoi ( car il dit toujours pourquoi ) il s'était lancé dans cette aventure avec Snyder.
Et bien je n'ai pas été déçu. Marre du vampire romantique qui finit par être le gentil de l'histoire. Le vampire américain est méchant, très méchant, d'autant plus qu'il est bien plus libre que son cousin des Balkans, puisqu'il ne craint pas la lumière du jour. Il fait le mal car c'est sa nature et même si un humain bon reste fondamentalement bon transformé en vampire amèricain, ça saigne gore sur des dessins au format comics très modernes et parfois très impressionnants de Rafa Albuquerque. Un excellent renouveau du vampire.