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Je ne suis pas convaincu par le dessin d'Albert dans cette série. Les scénarios n'ont rien d'extraordinaires non plus.
Série assez peu convaincante ; les dessins destinés à un jeune public sont bâclés et tout juste acceptable ; ils desservent des scénarios enfantins mais adaptés au public visé, mêlant aventure, exploration archéalogique et civilisations perdues (à la manière d'Indiana Jones, mais pour un pubvlic vraiment très jeune, genre 8-10 ans).
Dessin désagréable et pseudo-philosophie ; scénario inexistant. Rarement je me serai autant ennuyé qu'en parcourant cette série.
J'ai un penchant pour la BD animalière (surtout quand elle est débarrassée de tout anthropomorphisme, ce qui n'est pas le cas ici). Encore faut-il que ce soit agréable. Dans cette série de trois tomes, nous avons affaire à un scénario mêlant post-apocalyptisme et quête d'une terre promise, rabâché et d'une prévisibilité affligeante, digne d'un film d'horreur de série B, à des rebondissements en cascade (tout aurait pu tenir dans une centaine de pages), à des invraisemblances dignes des "Animaux du bois des Quat'Sous" (des renards amis de souris ? sérieusement ?), à des cases en ambiances monochromatiques ; et à un dessin (surtout dans les arrières-plans mais pas seulement), comment dire, flou ? imprécis ? gouacheux ? et à des dialogues indigestes. La question de fond est finalement : à qui est destinée un telle BD ?
On continue dans la dégringolade de cette série, de plus en plus barbante. L'auteur de sait pas s'arrêter. Pour ma part je n'ai conservé que les deux premiers excellents tomes. Si vraiment on est addict et qu'on a rien d'autre à faire, on peut aller jusqu'au tome 6, mais dépasser cette limite c'est perdre des neurones inutilement.
Cette adaptation de "1984" transposé dans "Le meilleur des mondes" ne présente à mes yeux aucun intérêt. Les textes sont niais, les dessins médiocres, l'univers science-fictif rabâché.
Il y a juste un point où le scénariste a vu juste : il y a une erreur fondamentale dans le "1984" d'Orwell : un état dictatorial ne s’appuierait pas sur une interdiction des relations sexuelles mais sur leur banalisation et leur stérilisation. Du coup, Rodolphe a également tout faut : puisque son univers corrige l'erreur d'Orwell, il aurait fallu inverser la relation transgressive avec Clara : dans un univers où la sexualité est banalisée, la transgression n'est pas dans plus de sexualité mais dans une relation platonique. Le seul fait que Clara ne soit pas un robot mais un humain ne suffit pas à donner à la transgression reprise sans grande imagination par Rodolphe la force qu'Orwell insère dans son roman.
Ce premier tome inaugure une série de très belle facture ; le dessin de Lepage est splendide ; chaque case mérite qu'on s'y attarde. Les personnages font preuve d'une belle introspection et les scénarios sont tous puissants à l'exception du cinquième tome qui tombe brusquement dans la mièvrerie (peut-être est-ce une raison pour laquelle la série s'est arrêtée ?).
Si le dessin est toujours aussi superbe, le scénario de ce dernier tome est très en retrait. Névé est une série qui mêle avec bonheur paysages grandioses et introspection, mais là, on tombe dans brusquement dans la mièvrerie la plus totale. Dommage.
Assez moyennement convaincu par cette série au dessin statique, aux bulles verbeuses et aux intrigues passables.
Si c'est pour en faire ce genre d'album, alors effectivement, il est plus que temps de mettre à mort Spirou ... mais, par pitié, mettez à mort aussi Fantasio et Séccotine, qu'on n'en parle plus !
Bref, je vais laisser à Dupuis une chance de se rattraper avec la suite de cet album (qui sait ? une bonne surprise peut toujours arriver), mais je serai très exigeant : il faudra pas moins qu'un album exceptionnel pour racheter ce lamentable tome 56.
La BD a des qualités mais le scénario est très délayé. Tout ça aurait pu tenir dans une superbe BD bien serrée de 54 pages.
Pas du tout convaincu par la simplification du scénario opérée par Rodolphe, et encore moins par l'utilisation de lapins anthropomorphiques.
Je voulais voir pourquoi cette série est si mal cotée. Maintenant j'ai compris. Malgré son titre, la série décrit très peu chaque artiste. Les artistes sont quasiment réduits au rôle de prétextes contextuels pour des histoires assez peu palpitantes vaguement rattachées à l'une ou l'autre de leurs œuvres. La notice bibliographique de 8 page en fin de chaque album est assez intéressante, mais ne suffit pas à effacer l'impression que la lecture d'une bonne page encyclopédique sur chacun de ces articles aurait été plus profitable et t out aussi agréable à parcourir.
C'est une de ces séries qui démarre fort mais dont le scénario dans le genre Da Vinci Code s'étiole et se désagrège lamentablement d'album en album. Qui plus est, on en apprend finalement très peu sur la technique de fonte des cloches. Dommage, le dessin est agréable (hormi les visages peut-être)
Série statique, verbeuse, inutilement longue (tout aurait pu tenir en soixante pages). Le dessin est tout juste acceptable.
La série est très inégale ; le premier tome est très quelconque ; ça s'améliore ensuite un peu avant de décliner de nouveau. Dans cette série, la mayonnaise humour enfantin + sujets graves ne prend pas.
Il y a un côté charmant dans cette série plutôt juvénile, mais le mélange des genre entre surnaturel et thriller n'est pas parfaitement réussit. Bon sans plus (note 2,5)
L'histoire est lente, le dessin statique, le trait lourd, la colorisation passable, et il faut attendre le troisième tome pour avoir un peu d'action et, au total une intrigue vite oubliée.
Série fort imaginative, mais surtout interminable. Il faut croire que je suis insensible aux charmes du space-opéra a rebondissement, surtout lorsqu'il est aussi verbeux.
Très déçu par cette série, dont le scénario navigue à vue. La colorisation renforce l'inesthétisme de la série, sombre et laide.
Le premier tome de cette série est une réussite magistrale. La richesse du graphisme parvient à suppléer l'absence de couleurs, et à rendre une Egypte pharaonique sinon réelle, du moins conforme à l'idée exotique que l'on s'en fait. J'ai été beaucoup moins satisfait par le second tome, à cause du scénario beaucoup plus statique, à cause d'un dénouement bâclé sur les dernières pages, et à cause des poncifs sur les hébreux, qui réduisent la série à une mauvaise blague ésotérique dans le genre Da Vinci Code. Franchement, les talents de conteurs et de dessinateur de Baranko, entrevus dans le premiers tome, méritaient mieux que ce préchi-précha douteux et faiblard. Je suis déçu à la mesure de l'excitation qu'avait produit en moi le premier tome.
Résumé des quatres tomes de la série, heureusement arrêtée : une poignée de récits médiocres en bandes dessinées d'une demi-douzaine de pages chacune, introduites chacune par une page de baratin de bistro vaguement pseudo-philosophique. On vous aura prévenu.
C'est vraiment dommage d'avoir dénaturé à ce point "La nuit des Temps" de Barjavel, un des meilleurs romans de science-fiction. Là où Barjavel incluait subtilement mais efficacement la dimension écolo dans la trame même du récit science-fictif, Gauckler nous assène la chose à coups de massue jusqu'au vomissement. Malheureusement, le romantisme poignant du roman de Barjavel est la grande victime de cette trahison. En matière d'adaptation, il faut se poser la question : l'adaptation apporte-t-elle une plus-value par rapport à la chose adaptée ? Ici la réponse est non, et de loin.
Le dessin est acceptable, la recherche historique et documentaire fouillée. Mais tout cela est gâché par un scénario à rebondissements et trop invraisemblable vraiment lassant, passé les deux ou trois premiers tomes.
Les dessins architecturaux méticuleux de cette série ne compensent pas un scénario et ésotérique ennuyeux, accompagné d'une pseudo philosophe du même acabit.
L'intérêt principal de la série réside dans son dessin et sa colorisation, fort réussis. Pour le scénario, par contre, il ne faut pas être trop exigeant, ou avoir fumé pas mal de moquette.
Quel dommage que cette excellente série a été abandonnée ! Le seul reproche que l'on peut lui faire, c'est qu'il est parfois un peu difficile de s'y retrouver sur un plan géographique ; une petite carte bien introduite de temps à autre aurait parfait le plaisir de cette lecture.
Scénarios troués comme un gruyère, va-et-vients incessant et sans intérêt antre la terre ferme et le Neptune, et un submersible qui passe les trois quarts de la série à clapoter en avarie à la surface... N'importe quoi.
Cette série a été fort heureusement abandonnée. De rebondissements improbables en affaires de cœurs sans intérêt, elle avait perdue toute saveur.
Les adaptations en BD d’œuvres littéraires n'ont d"intérêt que si elles donnent envie de lire l’œuvre dont elles sont l'adaptation. Ici, ce n'est pas le cas. Correct, sans plus.
Je trouve cette série complètement surcotée. Les dessins sont statiques ; les intrigues banales (des nazis ? franchement ?) ; et il faut attendre le tome 3 pour avoir quelque chose d'un peu amusant et ça se passe cette fois ... ailleurs qu'à Hollywood. C'était bien la peine ...
Je n'ai pu aller au bout de cet album que par curiosité littéraire, n'ayant jamais lu le roman qu'il adapte. L'adaptation elle-même est assez médiocre ; le dessin est désagréable.
Série assez médiocre tant au niveau du dessin, bâclé, de la colorisation, terne, que du scénario, assez convenu et mélangeant inutilement deux approches contradictoires, l'une naturaliste et l'autre fantastique.
Il n'y a vraiment aucun plaisir à lire cette série niaise qui n'a aucun charme comparé à la nouvelle de Saint Exupéry. C'est une récupération commerciale éhontée.
J'ai trouvé cette série beaucoup trop lente ; beaucoup trop bavarde. La montagne est finalement presque un personnage secondaire tellement l'enquête est développée. Raccourcir tout ça d'une bonne moitié aurait été une bonne idée.
Seuls les deux premiers tome de cette série semi-mythologique sont intéressants. Les deux derniers tomes, qui mêlent histoire et mythologie, ne valent pas le détour.
Cette série de 31 tomes possède d'indéniables qualités, au rangs desquelles une inventivité remarquable, un esprit facétieux, une rare unité entre le dessin et le scénario. Elle plaira à tout amateur de space-opera.
Elle possède également d'indéniables défauts, parmi lesquels une navigation "à vue" (engendrant d'inévitables rebondissement de type "Deus ex machina" assez grossiers à avaler, et de grosses inégalités de qualité scénaristiques d'un album à l'autre), des longueurs (on sent fréquemment un besoin de remplissage sur certains albums au scénario anémique), et des culs-de-sac et incohérences scénaristiques.
Plus embêtant, la série, débutée en 1975, dans la foulée de mai 68, est traversée de bout en bout par un érotisme tantôt latent, tantôt explicite, qui frise la pédophilie (un des protagoniste est un enfant quasiment éternellement pré-pubère de 13 ans).
Dans l'ensemble c'est une série très originale qu'il convient de regarder avec un esprit très critique en tenant compte du contexte culturel de l'époque. Il est assez gênant que les auteurs aient maintenu cette ligne directrice de bout en bout, quand on sait que le dernier album est sorti en 2003.
La série n'a quasiment rien d'historique ; c'est une succession de récits principalement ésotériques (les Templiers, la cabale, le catharisme, le golem, le Temple de Salamon, l'Arche d'Alliance, etc.), situés dans une période historique (le temps des cathédrales et des croisades contre les Albigeois et en Terre Sainte). Le support historique est vraiment très secondaire, quasi anecdotique ; les scénarios sont essentiellement bâtis autour des composantes ésotériques. Pour amateurs du genre uniquement.
Jim a un réel talent de dessinateur (quoi qu'on puisse regretter le caractère un peu statique de son trait). Son problème, c'est ses scénarios d'une grande vanité. Suivre les affres d'une jeunesse européenne bourgeoise dans ses découvertes du kama sutra et ses maux de cœurs, bof, bof ...
Après deux premiers tomes médiocres mais acceptables, la série va en se dégradant rapidement jusqu'au vomissement. Scénario sans queue ni tête, avec des trous béants, dessin moche, dialogues passables,... Épargnez-vous cette horreur.
Avis très mitigé sur cette série.
Le dessin de Jacamon est superbe. Ce dessinateur maîtrise tout : personnages, paysages naturels et urbains, cadrages ...
Le scénario de Matz, en revanche laisse à désirer : passé le premier tome, c'est la répétition ad nauseam, les commentaires pseudo-philosophiques à deux balles (sans mauvais jeu de mot ...), verbeux, le registre cynique monolithique (ça va, on a compris, le tueur n'a ni foi ni loi), les flash-back prévisibles, ...
Un verre, ça va ; trois verres ...
Guy Delisle n'échappe pas à l'écueil qui guette ce genre d'exercice bédégraphique : la répétition et l'insignifiance. On se lasse. Un sourire en passant ici ou là, oui, mais fatiguant sur quatre tomes.
Cette série de trois tomes a le mérite de s'intéresser à une face cachée de la "Belle Epoque" et de sa fascination pour les terres exotiques : l'exploitation mercantile et parfois morbide de cette fascination. Cependant la série n'échappe pas à quelques écueils :
- des couleurs trop sombres - n'y a-t-il jamais de soleil, ni en Océanie, ni en Europe, ni aux Amériques ? et une ligne "claire" tant appuyée qu'elle participe elle-même à cette noirceur inutile.
- quelques longueurs. La série aurait probablement pu tenir sur deux tomes.
Ça reste dans l'ensemble un bon essai méritoire.
Parfois la vulgarisation abêti plus qu'elle n'élève. C'est le cas ici : les gags n'ont aucun intérêt, et parfois peu de rapport avec la petite notice archéologique en bas de page, qui elle-même ne dépasse rarement la taille d'une phrase. Il y a bien mieux dans le 9e art pour donner aux enfants le goût de l’Égypte ancienne.
Très déçu apr cette série :
- il y a au moins un album de trop, voir deux, dans cette série, qui aurait gagné à être compactée.
- le héros de l'histoire, c'est le vieux Caire. Pour le reste, nous voyageons finalement très peu, et il nous est donné de contempler très peu des splendeurs de l'Egypte antique.
- le scénario n'est guère qu'une succession de rebondissements assez prévisible, avec un final qui se veut grandiose mais qui est tout au plus grandiloquent, et qui se poursuit inutilement par une véritable finale encore plus décevante. Si l'auteur a voulu ouvrir des pistes pour une suite, nous ne pouvons que l'en dissuader.
Que dire ? Les deux premiers tomes de cette série sont très bons, les deux derniers très décevant. Au final, on reste avec goût très prononcé d'insatisfaction et de bâclé. Occupe inutilement mon étagère.
Une série qui se lit rapidement, bien enlevée, sans temps morts, au dessin stylé et agréable. Mon seul reproche est que cela manque parfois un peu de cartes géographiques. Si on n'est pas Alsacien on a un peu de mal à se repérer dans l'avancement de la ligne. Un défaut mineur eut égard aux qualité de l'ensemble.
Pas du tout convaincu par cette série mal définie : à la fois trop enfantine et trop adulte, de sorte que personne n'y trouve son compte. Si vous n'aimez pas Ricochet, vous aimerez encore moins Aldo Rémy, qui en concentre les défauts sans en conserver les qualités.
La réalisation artistique est sympa mais l'histoire d'un intérêt limité se termine qui polus est en queue de poisson. . Si la BD est une fidèle image du roman, on comprend aisément pourquoi ce dernier a été oublié ...
Le premier tome n'est pas forcément le meilleur de la série ; il faut planter le décor. Mais l'ensemble de la série est une réussite, avec un bon équilibre entre histoire familial et histoire nationale. Ça aurait même pu être une réussite totale si l'auteur s'était un peu moins attardé sur des histoires de mœurs éculées et d'un intérêt limité.
Cette série m'a laissé dubitatif. La reconstitution de l'antiquité romaine déclinante est superbe de détails mais à force de vouloir rassembler tant d'évènements historiques dans une même trame (vaguement ésotérique), le scénario perd tout intérêt, et nous-même tout plaisir.
Cette série de spin-off d'Asterix ne présente qu'un intérêt très limité. La verve et les trouvailles linguistiques de la série Astérix sont ici réduits au plus strict minimum (probablement par ce qu'elle s'adresse à un public plus jeune, supposé ignare culturellement). Reste une succession d'aventures assez peu passionnantes. Gentillet, comme l'écrit un autre lecteur. On pourrait dire banal. Ça passerait s'il n'y avait pas de concurrence, mais il existe des séries bien plus passionnante pour les enfants.
Qu'est-ce qu'on s'ennuie ! 90 % des planches n'ont aucun humour. Et peut-on parler de portraits sociologiques en huit cases ?
Bon que dire sur cette série de trois tomes ? C'est une chronique de vie quotidienne ; ça n'est déjà pas un sujet palpitant en soi. Les dessins sont passables et les textes creux. Jean-Paul Nishi découvre la lune (comment changer les couches de bébé, comment les africaines ajoutent des tresses à leurs cheveux, ....). Grand bien lui fasse, mais un tome aurait été largement suffisant. Les pages les plus intéressantes sont celles, finalement rares, où il est question de choc culturel entre les habitudes japonaises et les manières françaises. Il y avait là un potentiel totalement sous-exploité et noyée dans une océan de banalités. Impossible d'aller jusqu'au bout du 3e tome ; c'est d'un rébarbatif parfait.
De belles histoires morales, sensibles, respectueuses, crédibles, avec une héroïne courageuse, généreuse mais pas infaillible.
Erik67 a bien résumé la chose : caricaturale, peu crédible et énervante. Je n'ai pas réussi à lire jusqu'au bout.
Il est vrai qu'il est difficile de réduire un ouvrage gargantuesque dans une cinquantaine de pages ; mais là on est vraiment dans une version anémique de l’ouvre de Rabelais. Les dossiers entre les chapitres et en fin d'ouvrage ne compensent pas la maigreur de la chose ; on reste sur sa faim ... Je n'ai pas été non plus convaincu par le style rond de Jean-Luc Loyer.
Bon album mais pas totalement convaincu par le découpage parfois un peu abrupte, ni par le style et la colorisation monotone malgré l'emploi de couleurs vives. Ile st vrai que l'original était déjà très foncé.
L'intégrale, avec son troisième tome inédit, relève considérablement l'intérêt de la série. L’Égypte grecque est merveilleusement illustrée, surtout en ce qui concerne l'architecture. Les visages sont un peu indifférenciés mais cela ne nuit que marginalement au plaisir de la lecture. Une série susceptible d'éveiller la curiosité de jeunes adolescents pour l’Égypte ancienne.
L'album de trop. Autant les trois premiers tomes, ceux de 1957 à 1959 sont passionnants, autant l'album 4 (et sa suite) sont ennuyeux.
La série complète (au moins jusqu'au tome 10 publié à ce jour) possède la caractéristique de présenter un dessin et un univers chatoyants, en l'absence quasi totale de scénario. C'est un régal pour les yeux mais une torture pour l'esprit. L'histoire n'a ni queue ni tête ; c'est une succession d'aventures d'un intérêt quasi nul dans un espace-temps sans explication. Très insatisfaisant.
Rien de bien palpitant dans cette série ; c'est une suite de gags et de rebondissements dont ion se lasse assez vite ; l'histoire est maigre et les personnages aussi.
Le dessin est réussi, le découpage aussi. Chaque case est une petite œuvre d'art ; le crayonné reste constant tout au long des cinq tomes. Mais je n'ai pas été convaincu par cette série, qui mélange une approche scénaristique enfantine et des sous-entendus graveleux. A qui se destine cette série, trop adultes pour les enfants et trop enfantine pour les adultes ?
je ne suis pas fan de la sur-exploitation du flash-back qu'opère cette série, qui plus est à la fois trop enfantine et trop mature. Quel est le public visé ?
Le dessin est chouette, l'histoire est correcte, le texte tendre. Mais je n'ai pas pris plaisir à cette lecture. Je n'apprécie pas ce mélange de carnets, de BD,d e recettes, ...
Pas convaincu par cette série au scénario verbeux et d'une banalité ennuyeuse. Les dessins sont corrects.
j'ai bien aimé cette série de 9 tome, adaptée aux enfants* par la simplicité et la morale accessible de chacune des histoires. Chaque tome retranscrit avec subtilité l'aire culturelle correspondante, sans pour autant tomber dans le caricatural : chaque histoire reste peu ou prou universelle, mais teintée culturellement. A ce titre, on regrettera que le tome 2 (contes arabes) comporte des interludes inutiles sur la culture et la religion musulmane : les autres tomes abordent chacun une culture propre sans qu'il soit nécessaire de recourir à des explications, ce qui est la caractéristique attendues des contes bien choisis et bien retranscrit. Défaut mineur pour une série globalement intéressante.
* la série vise la tranche d'âge 6-12 ans, même si les adultes ouverts aux cultures du monde y trouverons plaisir.
Un scénario éculé ; des comportements absurdes ; une logique foireuse (Hitler effectuant un test de bombe A en Pologne sans que ça se sache ? Sérieusement ???), une vendetta anti-monothéiste personnelle du scénariste sans aucun intérêt, etc.)
Il est plus que temps d'arrêter cette série qui ne m'a jamais convaincue au niveau des scénarios, du découpage et des dessins. Avec Marlowe on tombe dans le risible ; les personnages n'ont aucun intérêt , ils sont presque indifférenciées sur plan plan visuel, les comportements sont totalement absurdes (une constante de l'ensemble de la série qui se place sur un faux registre hard-fiction). Je n'irai pas plus loin.
Je note l'ensemble de la série de trois tome, qui démarre sur un ton enjoué et comique mais tourne malheureusement peu à peu, tome après tome, au fantastique tandis que l'humour bon enfant autour du clergé se tarit.
De mon point de vue seul le premier tome mérite attention, à titre de curiosité.
La série (jusqu'au Tome 3) est superbe sur le plan graphique, et le sujet historique intéressant, mais le plaisir est gâché par la tonalité érotique et obscène de l'ensemble. D'un scénario semi-historique incluant des affaires de mœurs on bascule progressivement dans une histoire de mœurs dans un vague contexte historique. Très franchement, ce voyeurisme sur les dérèglements hormonaux de la haute noblesse embourgeoisée me laisse de marbre ...
La série très bien démarrée va en s'épuisant tout en restant amusante jusqu'au tome 5, puis se désagrège rapidement, mais là, c'est l'album de trop. Il était temps que la série se termine.
Scénario d'une grande banalité ; personnages ne suscitant aucun attachement ; fin prévisible ; dessin quelconque ; cases verbeuses. Je n'ai tiré aucun plaisir à la lecture de ce triptyque qui promet plus qu'il n'offre.
Je commente l'ensemble de la série de trois tomes. Parcourir le XXe siècle à travers quelques personnages d'une famille, dans une approche didactique pour des collégiens/lycéens, est intéressante en soi, mais le dessin n'est pas attirant, et le parti-pris idéologique (gauchisant) dans les choix scénaristiques quelque peu gênant. On a l'impression de lire une version BD des manuels scolaires dans la version officiels estampillée Education nationale, avec tout ce que cela signifie de subtile (et parfois moins subtile) propagande idéologiques. Je n'ai pas accroché.
wokes et non-binaires non-racisés, passez votre chemin : vous risquez de ne pas trouver cela drôle du tout. Pour les autres, foncez !
Je n'ai éprouvé aucun plaisir à la lecture des cette série ; les histoires sont plates, le dessin statique et imprécis, les personnages ne provoquent aucun attachement. Reste le côté documentaire, c'est peu et insuffisant. Il y a de très bons romans sur la période, bien meilleurs que cette série. 2.5
Un scénario très enfantin, très linéaire, sans grand intérêt. Un curiosité historique, sans plus, pour les fans de Bob de Moore.
Les dessins sont superbes à défaut d'êrte inventifs, mais le scénrio, comment dire ... absent ? abscons ? absurde ?
Rubine est une très bonne série, au dessin chaleureux, à l'héroïne attachante, et surtout aux excellents scenarii policiers modernes et crédibles (sauyf bien sûr la propension de l'héroïne à passer à travers les balles, mais ça, c'est inhérent au genre). Pour grands ados.
Une collection de dessins d'Atalante par des dessinateurs de BD contemporains. Ça ne porte pas à conséquences et c'est agréable à regarder.
C'est l'album de trop (et à juste raison, donc, le dernier). Autant la série des cinq premiers tome est fraîche, amusante, bon-enfant, autant la changement de style graphique et la niaiserie du scénario (devrais-je dire la morosité du scénario ?) de ce sixième tome le rendent indigeste.
Je me prononce sur la série (trois premiers tomes). L'environnement historique est intéressant et rendu de manière crédible. Les auteurs prennent soin de nous avertir qu'il s'agit d'une pure fiction dans un contexte historique. Le gros défaut de la série c'est la qualité lamentable du dessin. les batailles aériennes sont aussi d'un intérêt limité, du fait du manque de lisibilité des actions. On peut allègrement passer la série.
Rien de déplaisant ; dessins et ambiances toujours aussi réussis. Mais un tantinet en retrait sur le scenario ; on a un peu de mal à s'attacher à quiconque. Si c'est une ode des auteurs à Jack London, c'est raté : le personnage n'attire aucune sympathie.
L'histoire se tient ; l'environnement historique et géographique est rendu de manière crédible et séduisante ; le dessin est superbe. Plaisant divertissement.
Je me prononce sur la série jusqu'au sixième tome. Sam est une jeune fille dégourdie, qui aime la mécanique automobile, mais qui a un tempérament rêveur : elle passe facilement de la réalité au rêve, et cela la met dans des situations cocasses. C'est frais, bien dessiné, original et bon enfant. Mais cet aller-retour constant du réel au fantastique finit par être répétitif, ennuyeux, et rend les scénarios quelque peu indigeste. Pour l'ensemble de la série, un 2,5/5 sans plus.
Je n'ai pas été emballé par cette série ; la mise en couleur et le dessin manquent de contraste et de précision à mon goût, surtout les visages. C'est aussi inutilement verbeux. Le point fort de la série, c'est la reconstitution assez crédible de l'époque, malgré un certain anachronisme féministe dans les scenarii. Agréable mais sans plus.
Je me prononce sur la série complète qui n'est pas entièrement satisfaisante. Du bon côté, le dessin est net, précis, clair, le scénario compréhensible, l'effort documentaire fructueux, l'époque rendue avec crédibilité - et les vieilles bagnoles, ah, ça vaut le détour rien que pour les vieilles bagnoles. Mais, du mauvais coté, qu'est-ce que c'est répétitif ! Répétitif d'une page à l'autre (enquête, poursuite, enquête, poursuite, enquête, poursuite, rebondissement, poursuite, ... ad nauseam), et répétitif d'une BD à l'autre avec des scénarii très semblables. En bref, on peut lire le premier tome, le dernier, et avoir ainsi pigé le sens de la série sans passer par le reste. Pour amateur de vieille bagnoles seulement ; les autres se lasseront très vite.
Je me prononce sur la série, pour laquelle j'éprouve un double mouvement d'attraction et de répulsion. Attraction d'abord, pour une série qui penche vers la hard-fiction mais sans tomber dans le naturalisme (c'est-à-dire en conservant un souffle épique même si cela nécessite ici ou là quelques transgressions à la raison ou même à la logique interne de certains récits, comme par exemple dans le premier tome, La Terre vagabonde, où une société présentée comme aseptisée de tous sentiments accouche ex-nihilo de sentiments révolutionnaires). Répulsion pour la propagande marxiste, scientiste, athéiste, totalitariste et nationaliste éhontée qui transpire constamment et à grosse gouttes. Ça finit par être indigeste et cela dégrade vertement le plaisir de la série.
Sans intérêt. Il faut arrêter cette série prometteuse sur le plan historique mais qui s'enlise dans des incohérences, des longueurs, des sauts de scénario incessants et incompréhensibles. Ça se lit vite, mais sans aucun plaisir.
Il y a un charme certain dans cette série mais son problème principal est qu'elle est trop enfantine pour des adultes et trop mature pour des enfants.
Après deux excellents albums, la série a commencé à dévisser avec le tome 3. Mais ce tome 7, c'est vraiment du pur travail alimentaire ; je n'y ai trouvé aucun plaisir . Il aurait fallu arrêter la série bien plu tôt, mais je doute que l'éditeur tarisse un filon juteux. DOmmage.
Je n'adhère pas du tout à ce parti pris d'utiliser des tons sépia dès qu'on parle de préhistoire. Les météorologues sont formels : au sortir des périodes glacières, le temps était plus anticyclonique, donc moins pluvieux et plus bleu qu'en période de réchauffement climatique. Quant à penser que la vie était plus triste à cette période qu'à la période actuelle, c'est également très discutable.