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Un huis clos sympathique pour un Tex qui se retrouve tout seul à défendre un ami, dont les histoires et la vie sont interessants et racontent un pan d’histoire assez méconnu.
Déjà, un album des Breccia, je passe rarement sur coté. Alors un Tex … grands dessins, avec des planches chatoyantes, au service d’un scénario simple mais efficace.
J’avais d’ailleurs lu peu de Tex côté Navajo, c’était donc très intéressant à lire.
Et la fameuse Lilyth est d’ailleurs apparue …
Un Tex sympathique mais moins abouti que d’autres que j’ai lu récemment. Les dessins notamment pêchent pas mal, pas au niveau du reste des productions.
Une histoire de Tex (en couleur) courte, mais dense et intense. La fin est excellente par ailleurs.
Je suis fan de Tex sous toutes ses formes :D
Un « autre Tex » comme ils disent en Italie, c’est à dire un Tex qui flirte vers le fantastique, l’horreur, parfois la SF. Et ici, quel récit prenant, un super cross-over avec le mythe du Dr Frankenstein. Savoureux
Que j’aime Tex, quelle découverte encore que ce magnifique album très bien dessiné et à l’histoire qui prend bien son temps pour se développer harmonieusement.
Un album de Tex en solo, plutôt jeune, visuellement magnifique, surtout pour les décors et paysages. L’histoire est simple et sans surprise, mais côté tempo et flashbacks, tout est extrêmement bien maîtrisé.
Je préfère toujours les récits de Tex au long cours, bien développés, complexes, souvent en N&B, comme les « Special Tex », mais des bons petits récits dynamiques comme celui-ci sont aussi les bienvenus.
Avis pour la série :
Ces 3 albums sont éminemment sympathiques. En effet, ces « pastiches » de Blake & Mortimer ou de Sherlock Holmes et du Dr Watson sont complètement déjantés, gores, irrévérencieux, détestables, crades, stupides, bêtes et méchants… le tout, sous un vernis d’élégance à l’anglaise, de flegme et de nonchalance.
Les albums sont constitués d’histoires courtes (quelques planches, pas plus), qui ont un petit côté redondant parfois, sans être gênant. La chute est souvent très gore ou glauque, et les histoires sont souvent résolues par un de nos héros de manière involontaire (mais efficace).
C’est de la lecture détente, sans vouloir nous vendre autre chose que ce que c’est.
J’aime tous ces mélanges de genre, donc je suis la cible, et ça marche plutôt bien, je suis client et je continuerais cette série tant qu’elle continuera.
Un très, très bon dyptique, très original et atypique.
Le thème d’un « casse du siècle » est récurrent dans la fiction, mais le lieu et l’époque sont pour le coup des idées géniales.
Le ton, l’humour, les péripéties sont bien trouvées et font mouche.
Les dessins sont le seul petit bémol que je pourrais trouver, car ils sont très adaptés au côté comique et casse du récit, mais je l’ai trouvé moins heureux sur le côté spectaculaire qu’il y a dans les affrontements armés et les scènes grandioses.
La fin est particulièrement tragique et impressionnante
Une bonne histoire originale et empreinte « d’horreur cosmique » pour Conan, ça ne se refuse pas ! Plaisant, également pour les dessins qui sont sensationnels, sans être un chef d’œuvre non plus.
Une série (ou partie de série) que j’aurais dû lire il y a longtemps, tant c’était bien.
L’album inclus « 120, rue de la Gare » qui est, notamment, un chef d’œuvre, tant l’histoire et son adaptation sont complexes, riches, etc.
C’est un bel écrin à ces 4 aventures que je suis ravi d’avoir pu acquérir.
Pas le meilleur Burma par Tardi, mais l’album est tout de même très plaisant à lire, et les atmosphères sont toujours là.
Dans la lignée des 2 premiers albums de Burma par Tardi, tout y est : les ambiances, les décors, les personnages fouillés, l’enquête a l’ancienne … du haut niveau !
Que cette période de Valiant est décevante. Les récits semblent ambitieux de prime abord, mais sont trop courts et pas suffisamment maîtrisés pour avoir l’impact des chefs d’œuvre d’il y a 10 ans.
Je mets 3/5 car ce récit en particulier vaut la moyenne, mais généralement les dernières sorties ne valent pas ça.
Cet album était visuellement plaisant et avait au moins le mérite d’avoir un méchant intéressant.
Bon et copieux album, qui m’a permis de découvrir la vie d’une femme hors norme et par trop méconnue.
Édifiant. Je ne pensais pas que cette lecture allait autant me captiver. C’est beau, rythmé, le côté dramatique est parfaitement dosé
Beaucoup trop bavard et introspectif, dommage, car l’histoire en elle-même est assez sympa.
Comme souvent avec Valiant, les graphismes sont soignés et attractifs, les artistes choisis sont plutôt bons. Ici c’est le cas, même si je préférais les anciens dessinateurs et scénaristes, partis depuis ailleurs (notamment chez Bad Idea).
Autant je trouve les comics Doctor Mirage attirants sur le papier, autant je les trouve laborieux à lire. Côté narration, rythme ou scénario, c’est pas génial.
Par et pour des amoureux des livres, et tout ce qu’ils peuvent offrir. Un bijou
Un peu comme « Un jour sans fin », version BD, tout aussi touchant et juste. Un régal, une réussite brillante et addictive
C’est punchy, dynamique, et ça repose sur une idée brillante. Le hic, c’est que c’est assez brouillon niveau dessins par moments et qu’on a du mal à savoir ce qu’il se passe
Pauvre Bloodshot, que t’a donc fait Valiant ces dernières années ? Cette série est vraiment indigne de toi … :/
Les chapitres se suivent sans queue ni tête, ni cohérence, aucune vision à long terme, c’est un peu pitoyable.
J’espère que l’univers Valiant va repartir sur de bonnes bases, parce que les temps derniers étaient durs.
La meilleure BD policière « old school » que j’ai pu lire. Il y a tout dedans : les odeurs, les ambiances, les dégaines, les rengaines … et L’intrigue. Excellent travail. Culte
Pour complétiste ou archi-fan de Conan comme moi. Les histoires sont sympas, 2 sortent du lot, mais le tout ne casse pas 3 pattes à un canard.
Je comprends le concept de ce type de mini-série (faire du fric - heu non, inviter des artistes amis à donner leur vision d’un héros), mais c’est rarement génial.
Ici, c’est le cas. Distrayant mais sans plus
Je comprends aisément que cet album soit entouré d’une aura, si ce n’est culte, en tout cas flatteuse. C’est poisseux comme il se doit, les ambiances sont dingues, … belle réussite
Integrale lue aujourd’hui et j’ai bien apprécié, je suis d’une manière générale assez client de C. Bec (sauf quelques titres, entre autres Inexistences, qui m’avait un peu déçu via certains chapitres).
Par contre, vu que beaucoup de points sont quand même assez confus (voir « bâclés »), et vu qu’il y a eu un remontage par les auteurs pour améliorer la compréhension, je n’ose imaginer le « bordel » que ça devait être pour lire et comprendre les 5 tomes unitaires.
La série aurait été canon avec quelques dizaines de pages de plus, je pense, pour clarifier ou développer certains points vite résolus/mal expliqués (c’est assez ironique a dire qu’une série de C. Bec était pour une fois trop courte :D - mème si je ne suis pas trop gêné par certaines rallonges habituellement).
En bref, très belle découverte quand même, bel univers très intriguant et prenant, dessins agréables et adaptés, parfois impressionnants. :-D
Je ne nie pas les qualités évidentes de cet album, je ne suis juste pas sensible à ce genre de récit.
J’ai trouvé le thème et les dénonciations voilées un peu vains, je n’ai pas tout compris peut être ; pour les dessins, je ne suis pas fan de Duchazeau du tout.
[SPOILER SPOILER]
Je n’ai pas compris non plus pourquoi la fin était différente de ce qui était annoncé par la voyante, alors que tout le reste avait été respecté.
J’ai lu les nouvelles de Conan (et le Roman) où il est roi, une tripotée d’adaptations aussi …
Mais là, c’est bluffant. Il y a une raison toute simple, et elle a pour nom Tomás Giorello.
Cet homme est un génie du dessin, et il excelle particulièrement dans les univers fantasy (autre coup de cœur pour son récent « L’Oeil d’Odinn »).
De A à Z, la lecture est époustouflante de maîtrise graphique. Que Conan soit jeune roi ou vieux roi, il est badass, crédible, exaltant. Le décors sont spectaculaires, les personnages ont des faciès très travaillés (et des postures très étudiées), … quand aux ambiances, elles sont DINGUES. L’artiste maîtrise les lumières et les ombres comme rarement j’ai vu un auteur le faire.
Côté narration, j’ai trouvé cette façon d’amener le récit (par le biais du scribe et de Conan qui conte) relativement peu originale mais diablement efficace. C’est aussi très respectueux de l’œuvre de Howard, et crée un lien solide entre les différents récits présents dans cette intégrale. Très intelligemment fait par Truman.
Pour finir, parlons de l’ouvrage en lui-même, physiquement. Il est massif, mais c’est un superbe écrin doté de dorures et d’une reliure solide.
Le grand GRAND format met le dessin de Giorello à l’honneur, permettant au lecteur de se régaler. C’est un choix parfait de Panini qui évite l’écueil habituel des omnibus, au format restreint. J’adore et j’espère qu’ils referont d’autres ouvrages sur Conan dans ce format. Chapeau à eux aussi !
En bref : achetez et régalez vous, miam :P
Un pitch de départ accrocheur et admirablement transformé en une lecture excellente ! Après lecture, on se pose fatalement la question : « est moi, qu’aurais-je demandé ? »
J’hésite entre 4 et 5/5, mais bon, c’est du quasi-parfait …
Ça sent la ligne claire à plein nez, l’aventure et l’absurde, l’humour, et les références/hommages ne sont pas toujours faciles à trouver.
Atypique et décalé ! (Jusque dans la forme avec ce trou en première de couverture)
Blast, c’est de la BD comique, en comparaison ! Grosse mandale dans ma gu***, grosse lecture, exigeante et qui reste en tête (certains dialogues/images marquent).
C’est rare qu’autant d’attente pour un album soit à ce point justifiée, on ne peut pas sortir déçu (ni indemne) de la lecture.
Ouch, que c’est fouillé, que c’est travaillé tout ça ! Gros gros travail des scénaristes sur cette trilogie, vraiment. Excellente uchronie !
Une histoire de pirates plus originale que la moyenne, assez basique somme toute, mais bien réalisée.
Pour tout fan d’uchronies comme moi, cet album est un must, un indispensable, un ouvrage à lire évidemment.
Les scenarii sont très, très intelligents. On s’amuse tout du long à chercher les détails qu’ont mis les auteurs dans les histoires pour placer personnages historiques ou décors connus de manière uchroniques.
Je découvre la série par lui, et je vais continuer, tiens !
J’ai trouvé que le scénario, qui semblait sur le papier si prévisible, ne l’est en fait pas tant que ça : on garde l’idée des voyages spatiaux au long court, mais on la travestit, on la déforme et on joue avec.
Par contre, la fin c’est n’imp’, pas crédible pour un sou.
Dessins « comics » agréables et bien adaptés.
Excellente BD d’anticipation et de « post-apo », avenir crédible et assez terrifiant, rudement bien développé et réfléchi, le tout bien dessiné. Que demande le peuple ?
Un album étonnant par sa sincérité et son côté touchant. Ce n’est pas parfait, pas vraiment surprenant non plus, mais c’est très bien fait et beau.
Une saga viking pleine de bruit et de fureur, qui commence de manière plutôt convenue pour finir en apothéose tragique.
Ça monte en puissance de manière extrêmement satisfaisante au fur et à mesure des pages, en suivant une tension croissante autour de notre héros et de ce qui se trame contre lui.
On sent que Dufaux voyait plus grand que ces 3 albums, qu’il a dû précipiter certaines trames scenaristiques pour boucler le tout dans le 3e et dernier tome. Et c’est dommage, car tout y était de qualité : l’histoire, évidemment, les personnages, très bien dépeints et attachants (avec des méchants de qualité), et les dessins, forts agréables et soignés.
Belle lecture !
BD intéressante et correctement exécutée, mais qui manque cruellement d’envergure. On sent qu’il y a de la matière et c’est dommage de se cantonner à servir de la soupe classique.
Les dessins sont ce qu’il y a de mieux dans l’album, vraiment jolis, bien adaptés à de la SF.
De la très bonne SF en BD comme je les aime : c’est intriguant, ça fourmille de bonnes idées, c’est beau … et ici, ça appelle une suite ! Hâte
C’est un B&M sans être un B&M. On en a les codes, mais pas toute l’essence. L’histoire est simple et plaisante, les dessins sont juste simples …C’est un B&M sans être un B&M. On en a les codes, mais pas toute l’essence. L’histoire est simple et plaisante, les dessins sont juste simples …
B&W a vraiment du flair pour nous dégotter d’excellentes et dépaysantes histoires de Tex ! Très bel ouvrage, beau travail à tous les niveaux.
J’adore ces récits de va-et-vient dans le temps. Celui-ci (je parle des 2 albums lus à la suite) est particulièrement bon, très prenant et intellectuellement stimulant.
Néanmoins, il a 2 « points faibles » :
- des graphismes moyens, même s’ils évoluent en bien dans le second opus. Je ne peux pas en vouloir à l’auteur, qui se débrouille pas mal pour un néophyte arrivé sur le tard, et qui a mine de rien une sacrée imagination (bien déployée dans le côté « anticipation » du 2e album). Son point fort est dans les paysages grandioses, et non dans les personnages.
- un côté un peu « vain » de ces voyages dans le temps. Concrètement, qu’en font-ils ? Franchement, rien. A part s’emmêler les pinceaux et faire des gaffes de temps en temps …
Pour accentuer cet effet « vain », je peux citer le résumé du deuxième album (en 4e de couverture ou sur internet), complètement mensonger, mais qui est censé être le leitmotiv de l’équipe (attention spoiler par après) :
« Aller dans le futur avec un double de soi-même, voilà une chose bien ardue. Une étrange machine à voyager dans le temps reprend du service, il s'agit cette fois de sauver la planète de la désertification. »
[SPOILER]
C’est faux, complètement faux : les voyageuses du temps vont aller gratter de l’argent à un milliardaire intelligent et BG pour faire réparer leur machine, et qu’il devienne leur mécène. Et c’est lui, tout seul comme un grand et sans aucun rapport avec elles, qui sauve la planète de la désertification. Elles n’y sont pour rien et arrivent même après que ce soit déjà entamé !
[/SPOILER]
J’ai beaucoup plus parlé du deuxième album que du premier car c’est lui qui ouvre enfin les vannes des voyages intéressants.
Le premier était pas mal dans le style plus atypique du « est-ce vraiment du voyage dans le temps, ou est-ce de l’esbroufe » ? On parle de voyage, oui, mais notre héroïne et ses compagnons laissent planer le doute tout au long de l’album, et ce côté ambigu de récit temporel avait aussi son charme (Charme rompu au deuxième album qui met lui les pieds plus franchement dans le plat).
J’ai mine de rien franchement envie de lire la suite, mais j’ai peur qu’elle arrive dans pas mal d’années, vu le rythme de l’auteur ! (Récit entamé en 2004, mais premier album paru en … 2014. Et le second album est paru en 2022. Albums certes copieux en pagination, mais on va devoir s’accrocher avant de voir le 3e paraître).
Un hommage vibrant à la SF des années 50/60, tout en ambiguïté et en sensibilité. C’est une période que j’adore vraiment lire.
C’et album est attachant, et il est très sincère, mais non dénué de légers défauts.
Bonne lecture tout de même !
Un des plus beaux Mano à mano en western que j’ai pu lire, un méchant à la hauteur de Tex Willer ! Bel album, encore une fois
J’hésiterais entre 3 et 4/5, mais finalement la Jodo’s Touch marche toujours bien sur moi.
C’est une série où notre Franco-Chilien préféré use et abuse de ses marottes favorites, et finit par nous faire du grand WTF dans le dernier album.
La période où se déroule la série est intéressante et j’ai bien aimé la façon dont il détourne des événements historiques connus pour que ça colle avec son scénario et son microcosme crée.
Côté dessins, sans surprise, Jérémy fait un travail remarquable, c’est très beau.
Au final c’est une série estampillée Jodo, avec ses force et ses faiblesses, toujours les mêmes. Et le monsieur sait toujours se faire accompagner d’un sacré dessinateur.
Pour les fans, c’est un grand oui. Pour les autres, prudence.
Je n’ai pas réussi à rentrer dans cette histoire décousue et sans saveur, personnages fades… format étrange, fin et épilogue incompréhensibles.
Restent les graphismes, agréables, qui sauvent le tout.
Lecture laborieuse
Quelle superbe découverte ! Un petit peu déçu des graphismes très particuliers (quoiqu’adaptés), mais côté scénario, développement et chute, c’est parfait !
Une série de Jodorowsky, c’est toujours pour moi un régal par anticipation !
Ses scenarii sont clivants, très clivants. Beaucoup adorent, beaucoup détestent, et moi, j’adore son style.
Ici, on est dans du Jodo pur jus : trahisons, mensonges, manipulations, gore, passages malsains/malaisants/glauques, personnages attachants et répugnants … tout y est !
Et dans Sang Royal, à chaque album, la magie opère, mais dans des styles et des ficelles à chaque fois différentes. C’est du tout bon.
Autre point fort : les graphismes. Ils sont sensationnels, ni plus, ni moins. Très léchés, dynamiques, ce sont de vraies peintures qu’il convient de décortiquer et regarder plusieurs fois tellement c’est beau. L’aspect médiéval-Fantasy de l’album est vraiment mis en avant de manière idéale, idéalisée même.
Dommage que nous n’ayons pas plus de productions de cet artiste en France, car il est vraiment très bon.
Je ne mets pas 5/5 car il y a quelques petites facilités scénaristiques par moments, ainsi que quelques petits points mal expliqués ou étranges dans le comportements de personnages, mais ce n’est pas loin de la perfection.
C’est drôle, c’est fin, les dialogues et la plupart des scènes sont succulentes et truculentes… et c’est bien dessiné. Du grand art !
Je deviens un gros fan de Tex, avec ses dessins N&B magnifiques (qui que soient les dessinateurs) et ses scénarios fouillés. Ici, c’est du très grand western, très intense et haletant !
Shiga est vraiment le boss pour ce genre de récit complètement barré, original et haletant à la fois. Et puis, quelle imagination et quel sens du détail !
Une série courte de SF, intelligente et maîtrisée, bien que sans surprise. Les inspirations et hommages sont là et bien faits.
Quelle belle surprise ! Quelle belle lecture ! Voilà un beau scénario bien troussé dans une superbe ambiance et avec des personnages très soignés. Chapeau !
Un peu surcoté quand même. C’était bien, c’était beau, mais pas extraordinaire non plus. Bonne lecture.
Woah ! Cette BD « chorale » réussit à être intimiste et démesurée dans ses propos. De plus, elle est visionnaire en évoquant une pandémie et ses effets (réalisés!) un peu avant le COVID !!
BD ? Inclassable. Mais prenante comme un bon policier, étonnante car révélatrice de beaucoup de choses sombres, et surtout très réussie. Chapeau
Vrai coup de cœur pour cet album et cette histoire fichetrement bien troussée. Le scénario est accrocheur, la traque pas facile, le dénouement étonnant.
Ça y est, je suis accroc à Tex.
Toutes les histoires sont bonnes, c’est généralement l’avantage des anthologies. J’ai fait le plein de fun, de gore et de foutage de g. sur les USA ^_^
Une forme à la hauteur du fond. Comme d’hab’, les dessins de Corben sont stratosphériques, libres et osés, cette fois ci au service de son imaginaire et non d’une adaptation. Du grand art
Mon premier Clowes, car à force de voir la Hype, ça donne envie. C’était génial ! Directement mon thème favori, le voyage dans le temps, mais traité de manière originale et décalée.
Une superbe série SF courte, à lire d’une traite.
Ça brasse beaucoup de thématiques à la mode ou connues en SF, mais c’est assez bien traité pour ne pas faire ennuyeux ou bateau.
On ne s’ennuie pas une seconde, c’est assez crédible par ailleurs, et les personnages sont très intéressants.
Les dessins sont bien adaptés à de la SF, c’est à souligner, et ils sont beaux. Certaines couleurs peuvent déstabiliser mais c’est un parti pris interessant.
La fin est particulièrement amère et cynique, et ça, j’aime beaucoup !
Je suis en net désaccord avec l’avis précédent, ça arrive et c’est le but de ce genre de communauté que nous formons.
(et attention au petit spoil qui est fait en deuxième ligne du précédent avis).
Pour moi, ça commence bien et … ça finit bien ! Certes, de manière très déstabilisante et inattendue, mais au fond ça donne une dimension supplémentaire au récit, plus mystique et énigmatique. Si ça s’était fini de manière traditionnelle, peut être aurais-je été un peu déçu par cette simplicité.
Côté dessin et rythme, c’est impeccable de A à Z. J’adore déjà depuis quelques temps la patte de Bones, ce côté horrifique bien dosé et maîtrisé, avec une narration efficace.
Très belle découverte, bonne lecture, je suis ravi :D
Avis pour la série, lue au travers des 2 intégrales : waouh !
Ce n’est clairement pas mon type de lecture habituel. Je suis généralement un grand fan de SF, Fantasy ou Horreur. L’imaginaire … l’inconcevable, l’incroyable. Et là, c’est tout le contraire. C’est intimiste, une grande histoire faite de petites histoires, avec des sentiments, beaucoup de sentiments. J’ai été embarqué malgré moi par le charme fou de cette histoire d’amour contrariée.
Ça a remué pas mal de choses en moi, m’a rappelé des souvenirs, ma jeunesse, m’a laissé songeur sur l’avenir aussi. En bref, j’ai été conquis de manière étonnante mais pas inintéressante du tout.
Bravo à l’auteur, qui a su tisser une trame imparable, qu’on a envie de dévorer d’un coup tellement c’est bien ficelé et beau.
Je découvre Tex avec cette aventure western/fantastique et … j’adore ! Les personnages sont sympas et dans cet album les dessins sont tout simplement somptueux (format qualitatif aussi).
On ne va pas chipoter et tourner autour du pot : Richard Corben est un génie du dessin.
J’ai lu les 2 volumes et non l’intégrale, il me manque donc 3 courts récits récents. Néanmoins je peux affirmer que c’est magnifique à lire.
Le dessin de Corben est à nulle autre pareille. Il est unique ! Ses couleurs aussi. Il est inégalable dans l’aspect des textures, des ambiances, des lumières et des ombres. Ses corps et ses visages sont spéciaux mais attirants aussi, envoûtants.
Il a mis ses talents au service de courts récits inégaux dans l’intérêt du scénario mais toujours plaisants. Certains sont de très très haut niveau !
Excellentes lectures consacrées à un artiste hors norme et dont je continue à découvrir les chefs-d’œuvre.
C’est vraiment très rare qu’un BD me surprenne autant à la fin. Personne ne peut s’attendre à ça ! Chapeau, pourquoi pas au fond ? Récit maîtrisé, visuellement et au scénario.
Si vous ne voulez pas être trop spoilé, ne lisez pas trop la fin de l’avis précédent ! Erik, Voyons ! ^^
Avis pour l’ensemble de la série :
C’est à tous points de vue excellent ! C’est aussi plaisant à lire, et à y revenir, car ce sont des dizaines d’histoires courtes que l’on peut intercaler entre d’autres lectures (pour éviter l’effet de désintérêt et de répétition).
La claque graphique est réelle, du début à la fin. Ce monde dépeint est criant de réalisme, on se croit vraiment avec notre héros dans l’Amérique du Sud juste conquise par les espagnols. C’est beau et sale à la fois, plein de mystères, on sent la jungle et les montagnes terrifiantes et magnifiques à la fois. Les visages sont limite caricaturaux, tout en étant soignés et affolants de réalisme. Du Breccia quoi !
L’ensemble des 3 albums montre le changement d’orientation scénaristique : au début nous sommes plutôt dans le concret et l’aventure, Alvar Mayor servant de guide à des aventuriers et explorateurs en quête de richesses ou merveilles. Les histoires ont des constructions assez semblables de manière générale, et se finissent soit mal soit de manière inattendue. Il y a beaucoup d’ironie ou de philosophie dans ces histoires, on se moque énormément de l’être humain en général.
Plus on avance dans les albums et plus l’aspect onirique et philosophique prend le pas, avec l’ironie qui se fait plus mordante.
Les histoires parlent d’avantage des rêves, de choses absurdes ou fantasmées, et c’est à ce moment là pour moi que ça devient un poil moins intéressant. Le titre du 3e album est du coup parfaitement choisi (la réalité des songes).
Les trois titres sont parfaits pour montrer cette évolution de ton :
- les cités légendaires (1) : on est plus dans la quête de ces cités censées être en or, avec trésor ou fontaines de jouvence, etc.
- l’origine des mythes (2) : on est toujours dans les recherches précédentes mais on bascule lentement dans l’onirisme
Et pour finir avec le 3e album on est clairement dans le songe, la rêverie.
En bref : excellentes lectures, dessins N&B méticuleux et soignés, ambiances incroyables, personnages bien décrits (qu’ils soient attachants ou répugnants, ils sont toujours bien campés), planches époustouflantes au niveau des découvertes d’Alvar Mayor, et quelques belles réflexion sur la bêtise et la noirceur humaine (ou parfois, la beauté). Pas mal de dénonciation aussi de ces conquêtes et brutalités espagnoles envers les autochtones.
Je ne peux que vivement conseiller cette lecture :)
Pire BD de tous les temps, RIEN ne va. C’est moche, absurde, pas drôle, il y a des erreurs de débutant dans la narration et les phylactères …
MAIS … je suis quand même curieux de lire le tome 2, voir s’il y a une amélioration.
Belle collection pour découvrir Gil Jourdan et quelques autres héros de Tillieux - ainsi que pour voir leurs filiations et points communs
Alors, après l’avoir reçu hier et lu dans la foulée aujourd’hui :
- déjà, c’est pas épais : 46 planches et 10 de « dossier » (très soft)
- ça se lit HYPER vite : j’ai dû mettre 15/20 min en prenant mon temps (forcément, du format à l’italienne de 46 planches, avec seulement 3 à 8 cases sur 2 bandes par planche, ça va vite)
- les dessins sont intéressants, on voit bien le mélange des 2 styles, même si évidemment on sent plus la patte de Taymans. Toutefois, rien de foufou, c’est agréable, c’est tout.
- côté scénario, c’est très très léger, plutôt caricatural, sans réelle surprise, avec peu de saveur. J’avoue être déçu, vu tout le tintouin, je pensais que ça allait avoir plus de gueule que ça.
- Spoiler:
je n’avais pas lu « l’aventure » sinon je l’aurais su, mais Sophia Stromboli n’est en rien l’héroïne de l’album : elle en est même totalement absente, c’est décevant. Y compris à la fin, où l’on pense que c’est son heure de gloire, c’est le médecin/infirmier et sa copine qui lui sauvent la vie.
J’ai pris un plaisir immense à découvrir cette œuvre, notamment par le biais d’une grosse mandale visuelle (Giorello est vraiment un top dessinateur mondial).
Le scénario n’est pas en reste, et je trouve que les auteurs ont mine de rien effectué un gros travail de recherches et de restitution historique (sagas et légendes). Le point de vue et la narration sont assez originaux également.
Je dois ajouter que « l’objet » en lui-même est fort beau, c’est un album grand format pour du comics. On dirait un gros one shot FB en fait, tel les Thorgal Saga par exemple. Excellent boulot de Bliss pour mettre en avant cette œuvre.
Ces comics Bad Idea chez Bliss sont à suivre !
Excellente histoire avec un fond de scénario qui ressemble énormément à l’album de Gil Jourdan « les 3 tâches »
J’ai été pris par cet album et ce scénario à tiroirs. Une sorte d’Usual Suspect à la sauce Bd franco-belge ! Lecture agréable visuellement aussi. Belle réussite
Voilà un diptyque (qui aurait pu être un gros one shot) qui me paraît immensément mésestimé et méconnu.
Au connaît le coup de crayon de Paul Teng : il fait ici un travail de restitution historique et architectural d’une qualité absolument dingue !
Les planches sont somptueuses, des décors aux ambiances, en passant par les personnages et leur vêtements.
On s’y croit, dans cette Rome du XVIe siècle bourrée d’intrigues.
Côté scénario, j’ai aussi été bluffé : les 2 périodes se chevauchent et se complètent à merveilles. D’un côté, on suit le fiston Scorel qui découvre un pan secret de la vie de son père, sous fond de réformes et révoltes religieuses aux futurs Pays-Bas. De l’autre, on a Scorel père, qui entre au service d’un nouveau pape à Rome, avant d’enquêter sur la mort de ce dernier.
Sans en faire des tonnes, on apprend mine de rien énormément de choses sur la géopolitique de l’époque et les grands courants qui vont traverser l’Europe.
C’est très bien ficelé, très très beau, que demande le peuple ?
Beau diptyque que voilà, en vérité.
Il y a du Lovecraft, du Verne, du Poe, des éléments piqués à droite à gauche à la culture occulte du monde ..:
C’est diablement beau, M. Dumas que j’adore nous campe de formidables planches dantesques et cyclopéennes (j’avais déjà pu voir son talent pour ces paysages dans l’excellent série Allan Mac Bride), des nautilus rutilants et magnifiques, des monstres crédibles, etc.
Côté scénario on ne s’ennuie pas un seul instant, car le dyptique suffit a peine à tout caser. La mise en place du tome 1 est bien faite et après, tout s’enchaîne.
Le mélange des références fonctionne hyper bien, chapeau au scénariste.
Je ne peux que recommander cette lecture
Avis pour l’ensemble de la série :
Je renâclais à lire Gil Jourdan. Ça semblait trop mythique, trop Intouchable, et surtout trop éloigné de mes goûts.
Je pensais que ça allait avoir un goût de vieillot en bouche.
Je me trompais.
Pour faire court : ça a non seulement gardé son charme d’antan, mais c’est intemporel.
L’humour, les personnages, les ambiances et la plupart des scénarios sont très soignés.
Cet album en particulier (la voiture immergée) vaut bien ses 5 étoiles. C’est un chef d’œuvre, un bijou.
Les dessins sont agréables à voir, y compris ceux de Gos, et on se plonge volontiers dans les décors et clins d’œils disséminés un peu partout. Un peu comme Franquin, en somme.
Les meilleurs albums, pour moi, sont dans les 10 premiers et surtout ceux situés en France, à l’exception du Chinois à 2 roues : passé cet album, la série passe de série exceptionnelle à série plaisante, et c’est dommage.
Ce qui faisait le charme et la magie des débuts s’est estompé, tout en restant fort correct.
Je prendrais plaisir à en relire plusieurs dans quelques années, et je ne peux pas dire ça de tous les albums parus à cette époque.
Il y avait trop de hyper autour de cet album, et j’ai longtemps procrastiné (entendez par là « lu autre chose ») avant de m’y mettre, pas peur d’être déçu. Le pitch ne me parlait absolument pas d’ailleurs.
Force est de constater que c’est un bon, un très bon album.
Le rythme est excellent, l’héroïne bien campée (on aime ou on aime pas, mais elle est réussie), le climax est intéressant. Le scénario est bon mais je n’ai eu aucune surprise finale, c’était assez attendu en ce qui me concernait.
Il n’empêche que j’ai pris bien du plaisir à suivre les déambulations barcelonaises de l’enquêtrice en herbe !
Avis sur la série :
Fans de dessins Fantasy des années 80, bienvenue chez Cargal !
C’est détaillé/fouilli, classe, clinquant, baroque, dans l’excès et la démesure, assez démentiel à voir.
Les couleurs sont parfois à vomir, parfois magiques.
L’histoire est parfois difficile à suivre, mais au fond, tout se déroule plutôt vite et sans temps mort.
Les albums sont tous différents les uns des autres :
- 1 : dessins époustouflants mais trop chargés, couleurs à ch***, scénario qui part dans tous les sens, héros principal de la série (Cargal) invisible
- 2 : dessins tout pareils, meilleures couleurs, et scénario plus maîtrisé (avec un héros plus visible)
- 3 : dessins épurés, agréables en étant toujours beaux, couleurs moins bonnes, scénario qui s’éloigne un peu de la quête principale du héros. Mon album préféré, j’ai aimé la narration, son cheminement et sa fin
4 : dessins un poil en deçà de d’habitude, moins exubérants et flamboyants, couleurs un peu meilleures, mais scénario bien ficelé pour finir le cycle. Quelques facilités pour y arriver et aussi grâce à une pagination plus importante. Ça sentait la fin de la série pour se le permettre ?
Un cinquième tome était annoncé, mais jamais paru. Le principal est que la fin du tome 4 soit assez satisfaisante et finisse une sorte de cycle.
Avec tout ça, j’ai bien apprécié cette série, qui quelque part pouvait être un peu précurseur de la hype Fantasy qui allait sévir une petite décennie plus tard.
Série hyper prenante pour la partie ancienne et plaisante aussi pour la récente, même si ça part un peu en sucette sur la fin.
Les dessins sont assez formidables et, bien que ce soit assez redondant niveau affrontement Wampus/Sten, ça a toujours été un plaisir de voir leur nouveau lieu de joute.
C’est du grand art, intriguant, attirant, mystérieux, sans temps mort. il reste qq points encore flous à la fin, mais j’aime beaucoup cette histoire étonnante.
Thorgal Saga continue sur sa belle lancée d’avec « Adieu Aaricia ».
Ici, le scénario est assez basique, et plutôt connu : Thorgal est en bateau, Thorgal a des ennuis, et Thorgal, pour sauver un des siens, va en change se battre contre son grès contre de nouveaux ennemis (qui ne sont pas toujours de vrais méchants, au fond). Voilà voilà, sur le papier, du traditionnel, du sûr, et ce n’était pas emballant.
Mais contre toute attente, ça fonctionne.
Pourquoi ?
Parce que les auteurs ont saisi ce qu’était Thorgal (la série), son essence, sa quintessence même.
Là, on a du pur jus, que ce soir au graphisme, dans les interactions de Thorgal avec les autres personnages, ou dans ses choix.
Graphiquement, c’est chouette, très chouette. Le trait de Corent Rouge correspond très bien à cet univers. Couleurs, ambiances, découpage, tout est dans la droite lignée des meilleurs albums de Thorgal. Je ne peux pas faire meilleur compliment que comparer à Rosinski.
Au scénario, on l’a dit, c’est « simple », mais sans bavure. Finalement, cette rencontre de Thorgal avec une énième peuplade exotique fonctionne bien, les personnages secondaires sont tous de très grande qualité, le rythme est intense et sans temps mort, les dialogues sonnent comme du Van Hamme : là aussi je ne pouvais faire plus beau compliment. On a même droit en fait à une utilisation maligne d’une énième légende viking pour parachever le scénario, c’est intelligemment fait.
Bref, si tous les Thorgal Saga ressemblent a ces 2 premiers opus, on va se régaler !
Il ne faut pas oublier aussi un point important, pour mettre en perspective ces réussites : la série mère est moins qualitative, mais leurs auteurs n’ont pas carte blanche pour faire ce qu’ils veulent. Je suis sûr que sans la limitation en nombre de planches, on aurait droit a de meilleurs albums. Dans Thorgal Saga, les auteurs peuvent se permettre le luxe d’avoir une seule case … en double planche. Juste pour exploser nos rétines. Et ça marche …
Bien que ce soit du Tillieux, c’est vraiment affligeant de nullité. Humour pas drôle, scenarii incongrus et inintéressants… je me suis forcé à finir
Des histoires inégales mais tout de même de grande qualité. Ça me donne envie de lire plus de Junji Ito !
Beeeeen, c’est quoi cette petite moyenne ? On a un film de SF de très bon niveau devant nous. Heu, une BD, pardon. Tous les ingrédients sont là!
Je persiste, je signe : décors et scènes époustouflantes, vaisseaux soignés, etc.
Scénario accrocheur et intriguant, un peu pompé sur la compagnie …. Noire (romans de Glenn Cook), mais ça passe bien en version dans l’espace.
Non, vraiment, si tout ce qui chagrine sont les visages, alors c’est pas grand chose.
J’espère des suites, c’est en tout cas ouvert à la fin.
Ça se lit vite ! Blague à part, c’est un pari réussi pour l’auteur : avec peu, on peut transmettre beaucoup. Touchant, mais pas incroyable non plus.
Quelle belle surprise ! L’aspect 3D est vraiment très, très réussi.
L’histoire est assez convenue, le fond n’est clairement pas l’atout numéro 1. Mais la forme est géniale
Dieu, que c’est beau. Cette période de Jeronaton compte parmi les plus beaux dessins de l’histoire de la BD (si si si, oui Monsieur). Côté histoire, c’est perché, et là aussi c’est du Jeronaton pur jus (sauf la première des 3 récits, qui est plus classique).
Attention, chef d’œuvre. J’ai rarement lu une BD de SF aussi foisonnante de bonnes idées et en même temps aussi propice à l’introspection.
C’est vraiment moyen moyen tout ça. Roku a du potentiel comme personnage mais aurait mérité un bien meilleur traitement que ça
Un album de Faith qui a de bonnes idées mais est trop court pour bien les developper, dommage. Dessins agréables
Belle inventivité sur un thème pourtant éculé, un bon « prétexte » à de bonnes mini histoires qui ne sont pas sans rappeler SOS Bonheur (même le titre est proche)
Excellent album, que je n’ai acheté que grâce à son bon résultat dans la catégorie « meilleur scénario » aux BDGest’Arts. Je vais faire court : c’est mérité
Je ne mets pas 5/5 car ce n’est pas mon style de lecture habituelle, je n’ai pas de coup de cœur particulier, c’est c’est rudement bien ficelé, au cordeau comme on dit.
Excellents dessins, mises en scènes et cadrages réussis. Histoire intéressante sur bien des points mais très, très mal bouclée. On retrouve avec plaisir des héros d’autres albums, tout est réuni, mais … Quel dommage, les ingrédients étaient bons pourtant, mais la recette a foiré.
Belle série que voilà, qui est très bonne et aurait pu être excellente, voir démente, en faisant une seule chose : prendre son temps …
Punaise, ça va trop vite ! Il y a trop de raccourcis, trop de résolutions faciles style Deus Ex Machina, surtout dans le deuxième album.
Pourquoi ? Les auteurs étaient ils obligés de faire en 2 albums ?
C’est dommage, ça coule la fluidité du récit. J’ai pris énormément de plaisir à la lecture, car les thèmes employés, s’ils sont assez peu originaux, sont toujours prenants quand ils sont bien mis en place. Nazis, Vikings, ésotérisme, tout ça fonctionne très bien.
Quand aux dessins, ils sont sublimes, sincèrement. C’est du mi-Gibrat mi-Delaby, dans l’idée, c’est très agréable à lire.
En bref : très bien mais aurait pu être génial.
Avis sur l’ensemble de la série, découverte sur le tard et lue d’une traite : WAOUH.
J’ai vraiment loupé quelque chose dans ma jeunesse… pas grave, j’ai bien rattrapé et pris du plaisir ces dernières semaines.
Alors : c’est vraiment du tout bon !
Déjà, la base, ce sont les excellents scenarii, qui sont en pleine veine médiévale-fantasy, à tendance un peu Dark/gothique, voir apocalyptique. Nous avons souvent un gros méchant (ou un groupe de vilains) qui veut mettre la main sur un artefact magique surpuissant pour dominer/détruire le monde.
Ces antagonistes, qui sont récurrents et bien travaillés, travaillent des fois ensemble ou s’affrontent.
Ce qui est intéressant également, c’est que parfois des méchants deviennent gentils ou inversement, les alliances se font et se défont au gré des circonstances.
Les histoires ne sont jamais très compliquées mais peuvent s’étaler en cycles, pour mieux développer les intrigues et rebondissements.
Les héros bénéficient souvent de chance mais triomphent quand même la plupart du temps grâce à … leur ruse. Hé oui ! Ce n’est pas bas du front à la Conan, on arrête la menace d’un coup d’épée bien placé (même si Percevan se défend bien, il l’emporte rarement grâce à la force).
Les résolutions sont bien trouvées, Percevan ou Kervin se montrant tout simplement plus malins, prenant les méchants à leur propre jeu. Ça, j’ai beaucoup aimé aussi.
Nos méchants sont bien détaillés mais le panthéon des personnages, d’une manière générale, est de grande qualité. Nos 2 héros font une paire exceptionnelle, Percevan étant le parangon du héros classique, sans peur et sans reproche, la pointe d’esprit et d’humour en plus. Kervin prend quand à lui beaucoup de place très vite dans le duo et sauve les miches de son ami plus d’une fois. Lui n’est pas sans peur mais reste d’une fidélité inébranlable à Percevan, malgré leurs désaccords fréquents (celui-ci court systématiquement au secours de n’importe qui et n’importe quoi, parfois pour son malheur, sans écouter Kervin). Ce dernier tient le rôle de sidekick comique dans la série, avec Guymli le petit compagnon animalier (qui, sur plusieurs albums, se montre d’une importance capitale, c’est à souligner).
Pour finir, les autres personnages sont souvent ambivalents, gentils ou méchants selon les moments, le pouvoir pouvant déstabiliser les caractères et penchants (hormis les proches de Percevan comme messire Guillaume et les domestiques).
Côté dessin, maintenant : LE gros point fort de la série. C’est beau et dément, somptueux ! Luguy a un trait unique, difficile à qualifier : c’est à la fois hyper détaillé pour les décors, très franco-belge (école de Marcinelle) niveau personnages et faciès, et le tout est d’inspiration celtique/bretonne.
Certaines planches sont somptueuses et fourmillent de détails, avec des clin d’œils ou des surprises savoureux en arrière plan. Souvent, on voit Kervin faire des bêtises avec Guymli, c’est très drôle. Quand il y a profusion de personnages dans une case, il n’est pas rare d’en voir certains faire des choses assez incongrues ou marrantes.
Les scènes de batailles sont excellentes et bien rythmées, fluides et limpides.
Néanmoins, le must, ce sont les scènes apocalyptiques, souvent vers la fin des albums, quand les forces maléfiques se déchaînent et que le dénouement final approche. Les ambiances sont dingues, les dessins d’une audace folle, les couleurs sublimes. On a des vortex, des Tourbillons, des maelströms qui explosent dans les planches et subjuguent le lecteur.
D’une manière générale, les ambiances sont dingues. Les scènes de mauvais temps, de pluie, de fournaise, etc. Sont remarquables de réalisme.
Le trait a évolué au fil des décennies mais reste encore aujourd’hui très digne.
C’est un must, un incontournable de la fantasy dans la BD FB, au même titre que la quête de l’oiseau du temps, Lanfeust, Donjon, etc. On est plus dans du médiéval fantasy, c’est tout.
Je trouve injuste que cette série soit par trop méconnue, elle mérite plus de visibilité. Personnellement je suis passé à côté pendant 2 décennies parce que je n’ai jamais vu les albums exposés dans les librairies où j’allais, contrairement aux séries citées précédemment, malgré des dates de sorties que je vois correspondre aux moments où j’allais déjà fréquemment acheter des BD…
Si j’ai un cycle à proposer à quelqu’un qui souhaite découvrir la série sans tout acheter, la crème de la crème est le cycle de Malicorne, le seul à avoir eu droit à une intégrale. On est là au sommet narratif et visuel de la série.
Un Must, vous dis-je.
Quand on a vit ou qu’on a vécu, ou qu’on craint de vivre la situation de notre héros, l’histoire prend un tournant radicalement différent ; il devient peut être même dangereux de la lire, car elle refait monter en mémoire des souvenirs pas toujours agréables. C’est mon cas.
L’histoire est touchante et quelque part crédible.
J’ai eu ma petite larme vers la fin, c’était beau et triste à la fois.
Œuvre majeure du genre sur le deuil.
Une série qui mélange savamment plusieurs types d’horreurs, pour notre plus bonheur ! (Tueur en série, viols, monstres, mystère en villes reculée, schizophrénie, maison des horreurs, etc.).
C’est très réussi, très accrocheur et prenant, ça se lit d’une traite !
Impossible à noter comme œuvre.
D’ailleurs, je n’étais pas prêt à la lire : c’est de loin ce que j’ai pu lire ou voir de plus glauque et malsain de ma vie, et ça m’a fracassé le moral.
Génie ? Folie ? Nullité abyssale ?
Aucune idée. J’y réfléchirais à 2 fois la prochaine fois que je veux lire un album de Josh Simmons sur l’horreur.
Un hors série sympathique, qui montre le travail colossal du dessinateur, ici Philippe Luguy. Je suis très fan de ses dessins sur la série Percevan,
gros point fort.
Nous avons ici en plus un court récit préparatoire au prochain album et j’aurais été déçu de ne pas le lire avant.
Néanmoins je vais nuancer ma note, car ce n’est en rien indispensable, fort court et cher pour ce que c’est, et que c’est à réserver aux vrais fans de Percevan.