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Bruno Brazil et ses acolytes du commando Caiman vont semer le trouble entre deux gangs mafieux rivaux à Sacramento.
Un scénario bien fignolé et des dessins superbes. On plonge dans cette ambiance mafieuse des années 70. Le décor est bien planté, les détails sont présents, les magnifiques cylindrées américaines.
C’est un album fort bien soigné, je le recommande vivement.
Énième série sur un thème particulier, toujours chez Bamboo. Certaines fonctionnent et passent plutôt bien (Profs, Pompiers,…), d’autres moins.
Celle-ci se lit mais les gags sont très moyen. Ce n’est pas une grande réussite en soit. Mais il y a pire dans le genre.
On retrouve notre reporter dans une affaire assez classique. Kidnappings, filatures et rebondissements divers sont de la partie dans cette nouvelle enquête.
Les avis sont partagés sur cet album.
Les dessins d’Hermann sont toujours très bons mais il est vrai que comparé à ses premiers albums, il y a maintenant quelques imperfections. Cela ne gache pas spécialement l’histoire qui, pour ma part est correcte, sans renouveler le genre.
Bref, on a été habitué à beaucoup mieux pour cette série mais cet opus reste bon, sans être vraiment indispensable.
Il y a du monde qui court derrière les 3 petits singes. Et il n’en restera pas des masses à la fin.
Un scénario simple et efficace pour une aventure assez classique.
Pas mal du tout ce far west à la Vance.
Ringo travaille pour la Wells fargo et est chargé d’escorter une diligence remplie d’or. Aidé de quelques soldats, il va faire face à pas mal d’embûches car le butin est bien évidemment convoité par de nombreuses personnes.
L’histoire, bien qu’assez basique, tient bien la route, les dessins de Vance font leur boulot. Cette série n’a franchement rien n’a envier à Blueberry ou autre Comanche. Je recommande vivement.
Toujours sympa à relire. Trouvé cet album il y a peu, à l’époque c’était dans Fluide Glacial que je suivais les péripéties de Kevin, ses parents et toute la bande de motards du club.
De bonnes petites histoires, mention spéciale pour les dessins de Coyote qui sont juste incroyablement beaux et détaillés.
Pas mauvais comme album mais scénario un peu trop simpliste à mon goût. Je ne jugerai pas outre mesure car je ne connais pas spécialement les autres albums de la série. Ce sera donc un 2/5 mais d’autres apprécieront peut-être plus que moi.
Dans certaines séries, il y a des albums qu’il faut vraiment posséder - ou au moins avoir lu une fois. Pour Valérian, c’est typiquement le cas avec l’Ambassadeur des ombres, cet album est franchement excellent.
Rendez-vous sur Point central, construction artificielle et lieu-dit de l’espace où se mélangent et se côtoient d’innombrables races..
Ce sera donc le point de départ de cet opus qui met en avant Laureline, à la recherche de Valerian et l’ambassadeur, qui viennent d’être kidnappés. Et pour obtenir des renseignements, elle dispose d’un atout majeur, un grognon, petite bestiole capable de reproduire à volonté des tas de petits objets de valeur.
Les différentes races croisées sur son chemin ont toutes des particularités qui vont permettre à Laureline d’avancer dans sa quête.
Bref, un album fichtrement bien foutu, à lire impérativement.
Rien d’exceptionnel pour cet album de Weinberg.
Une histoire banale de plongeurs surnommés les barracudas, en quête d’un trésor enfoui.
Ça se lit rapidement mais ça s’oubliera vite aussi.
Alors que Steve et Julie disputent ensemble le rallye du Portugal, Michel doit retrouver des copies volées de plans de la nouvelle vaillante. Pour ce faire il doit également se rendre à Lisbonne.
Sans entrer dans les détails, l’intrigue est très faible, on devine rapidement l’issue de cette histoire.
Un tome un peu mou, mais qui reste correct.
Dans l’ensemble, ça se laisse lire. Même si le scénario est un peu tiré par les cheveux, le dessin de Hulet remonte bien le niveau. Sans quoi, la note baisserait d’un cran.
Encore un album réussi. Superbes dessins de Hermann et excellent scénario, tel un roman policier, melé de sa dose d’aventure.
Un Bernard Prince comme on les aime qui sort un peu des sentiers battus dans cette histoire bien ficelée par notre duo.
Objectivement, Bernard Prince est une excellente série. Les albums du duo Hermann/Greg sont juste formidables.
Dans la fournaise des damnés, Bernard Prince et le Cormoran (aidés de plusieurs autres bateaux) partent au secours de personnes piégées par les flammes. Entre Bernard qui décide de traverser le brasier d’un côté pour prévenir les sinistrés, et quelques bateaux pris dans les remous, le pari ne va pas être chose facile.
Il n’y a rien à redire sur ce tome, c’est bien scenarisé, les dessins sont sublimes, l’histoire est rythmée. À lire absolument.
Toute bibliothèque bd se doit d’avoir au minimum un album du Vieux Nick.
Remacle maitrise parfaitement son sujet, le dessin est nickel et c’est une avalanche de petits gags tout au long des albums.
Les mutinés ne déroge pas à la règle, c’est vif, plein d’humour, on ne se lasse pas une seule seconde. Je recommande vivement.
Il aura fallut plus de 15 ans pour le retour de cette série menée initialement par le duo Dany/Van Hamme.
Personnellement, j’ai trouvé que Jytéry s’en sort plutôt pas mal, les dessins sont bons et collent bien à l’histoire et aux personnages. Niveau scénario c’est assez basique mais l’ensemble fonctionne plutôt bien.
Simple et efficace, un très bon album pour une série qui ne déçoit guère.
Un plaisir de lecture avec ce petit polar rural.
Album très intéressant et intemporel, les catastrophes évoquées sont décrites sur quelques pages et nous relatent des faits plus ou moins connus.
Des moments d’histoire a lire/découvrir absolument.
La bataille d’Angleterre ou un peu d’histoire en bande dessinée.
On y apprend des choses intéressantes, entre autre les différents types d’avion utilisés par la RAF ou l’armée allemande par exemple.
Le dessin est beau et donne un beau rendu des batailles.
Merlin est maintenant sous l’emprise d’Ahès et doit se soumettre à l’épreuve du Cromm-cruach. Pendant ce temps, le père Blaise est toujours à sa recherche afin de lui venir en aide.
À vrai dire, ce troisième tome est fort centré sur le personnage de Blaise, son histoire, son passé. Le reste passe un peu au second plan mais l’ensemble continue à plutôt bien fonctionner. Et ce toujours avec de très belles planches, les dessins restant un des points forts de la série.
Le jeune Merlin grandit et ses pouvoirs également. Sujet à certains rêves, il va aussi découvrir qui l’a créé et d’où il vient.
L’histoire continue et ça ne perd pas de son charme tant au niveau des dessins qui restent vraiment sublimes qu’au niveau de l’évolution du personnage. Le scénario reste assez simple et basique mais au final, c’est efficace et la lecture se poursuit sans problème.
Petit test de me lancer dans la lecture de ce premier tome, sans trop d’enthousiasme.
Le scénario, bien qu’assez classique, donne bien le ton. Il est fort bien maintenu par un dessin extrêmement réussi et joliment coloré.
C’est un bon départ, ça se lit très facilement, sans prise de tête.
À voir si la suite tient aussi bien la route.
C’est un album sans beaucoup de sens, certains tomes précédents étaient bien mieux construits.
Ici, Duchateau a voulu amener un côté science-fiction dans une histoire mélangeant des tas de trucs. Yalek et Poket sont envoyés en Transylvanie (avec petit rappel à Dracula oblige), vont rejoindre un château où un professeur/savant a mis au point un robot sous forme de viking, muni d’une incroyable force. La suite est du même acabit, même pas certain que Duchateau savait exactement ce qu’il voulait raconter en fait. Très bof, quoi.
Beau démarrage pour ce Donjon Potron-Minet qui raconte l’histoire du jeune et naïf Hyacinthe, celui-là même qui se proclamera comme La chemise de La nuit, le justicier masqué.
C’est frais et amusant, le dessin colle parfaitement à l’histoire et aux personnages, c’est du tout bon, à lire sans modération.
Deuxième et dernier opus des aventures de notre ami Bonaventure.
On y retrouve certains personnages du premier tome, notamment nos deux brigands forains.
C’est dynamique, ponctué de petits gags sympa, c’est la vieille école bd humour des années 70-80. Les dessins de Mittei sont bons, on y retrouve parfois des petits détails intéressants comme pouvait aussi le faire Franquin.
Bref, un très chouette album que j’invite à lire (ou relire) autant que le premier.
Reding et le sport, c’est une affaire qui roule. Sur fond de court de tennis, croisé avec l’apparition de Vincent Larcher, voilà une histoire haletante qui ne vous lache pas jusqu’à la dernière page. Un vrai petit polar où l’on a hâte de savoir comment tout cela va se terminer. Suspense jusqu’au bout, un album très bien réalisé.
Il est bon cet album, un très bon moment de lecture. Les dessins sont top, le scénario un peu simple (comme souvent dans cette série) ne gâche pas la qualité de cet opus.
Tounga et sa horde doivent fuir leur territoire suite à des éruptions volcaniques et de fortes secousses. La horde se fond dans d’épaisses chutes de neige et Ohama, la compagne de notre héros, disparaît dans le chaos neigeux. Tounga part donc à sa recherche et va affronter de nombreux dangers.
Quand le Paris-Dakar portait bien son nom.
L’album est principalement centré sur la présence de Julie Wood et sa rencontre avec Steve.
Une Julie malmenée pendant la course par un adversaire qui va lui mettre, si l’on peut dire, des bâtons dans les roues.
Deux histoires assez simplistes mais qui fonctionnent.
L’élimination de deux cartels dans NY pour la première, un trafic d’êtres humains pour la suivante.
Le tout dans une ambiance américaine bien années 70s qui rappelle un peu les séries télé d’époque.
Petite série que je ne connaissais pas, je suis tombé par hasard sur cet album.
Les cousins Anne et Peter, accompagné du chien Fido, partent à la recherche d’un trésor suite à la découverte d’un parchemin. Mais ils ne sont pas les seuls à fouiller le château où se trouve le supposé trésor, le neveu du comte propriétaire des lieux, est également sur le coup.
C’est bon enfant, pour un public jeune, le type de bd et d’histoire assez typique des années 70-80. Mais c’est plutôt plaisant.
Je ne suis généralement pas trop difficile dans la bd d’humour mais ici, il n’y a rien de bon. Dessins, gags, c’est nullissime.
Je n’ai pas pu aller jusqu’au bout. Il n’y a eu qu’un tome, on comprend mieux.
Pas envie de dire que c’est mauvais mais on est tellement habitué aux dessins de Lambil que la lecture en est troublante.
C’était totalement évitable. Je ne recommande pas.
40 ans plus tard, on est dans le super super rétro. Toujours des histoires courtes, avec des anciens auteurs comme Jacobs, Cuvelier,… Un bon moment dans le passé.
L’histoire n’est pas extraordinaire, Reding nous a habitué à de meilleurs albums. Scénario un peu trop simpliste, manque de dynamisme.
Les albums du début, avec Eric au Barca, sont beaucoup plus rythmés je trouve.
Malgré ce petit écart, cela reste néanmoins une excellente série.
Et pourquoi pas? L’idée est sympa, on passe un bon petit moment de lecture. Humour décalé, mention spéciale pour le chien, allemand de surcroît, ça m’a bien fait rire.
Nous retrouvons notre héros aux USA, en Arizona. Celui-ci va aider un acteur en perdition, Rock Diamond, en participant avec lui à des courses publicitaires.
Malheureusement, Diamond est la cible d’une secte qui tente de l’éliminer. Alain va alors tenter de déjouer les pièges.
Pas fou-fou comme album, se laisse lire, sans casser trois pattes à un canard.
Quand la série s’essouffle, ça se ressent. Il y a des hauts et des bas dans les albums des Tuniques bleues. Ici, on est clairement dans une mauvaise passe.
Le scénario est un peu faiblard, ça manque de punch. L’humour, bien que présent, est moyennement maîtrisé. L’acharnement de Blutch vers l’officier supérieur est lassant à la longue.
Au final, c’est vite lu et ça s’oubliera très rapidement. Dommage car il y avait certainement matière pour mieux faire.
En parallèle du foot et de son célèbre Eric Castel, Reding nous emmène sur les courts de tennis avec Chris Larzac.
Malheureusement, ce premier et unique album nous laisse un peu sur notre faim. C’est dommage car c’était plutôt plaisant. On aurait vraiment souhaité connaître un dénouement à l’histoire de Larzac et son ami birman.
Rien à dire de plus que les précédents commentaires, du très bon Tillieux, un petit polar sympathique à découvrir absolument.
Sympa cette petite escapade au Vietnam.
Steve est victime d’un attentat et doit absolument se cacher pour échapper à ses poursuivants.
Michel part bien entendu à sa rescousse mais aussi Julie Wood - toujours chouette de la retrouver dans la série - aidée par une jeune fille locale prénommée Jade.
Ce n’est pas l’album du siècle mais il se laisse lire, les dessins des différents modèles auto de cet opus sont très bons, belle panoplie de voitures.
Encore un chouette album qui sort des circuits. Direction le Rallye raid Dakar - Le Caire. Une course dans la brousse, le désert. Et bien entendu, des gens malintentionnés sur le parcours. Il rappelle un peu « Dans l’enfer du Safari ».
Lecture agréable, sans prise de tête.
Dans la lignée des tomes précédents. Pour une fois le Kid ne suit pas à distance et accompagne directement Trevor dans sa nouvelle mission. Partir à la rencontre du Coyote Noir, qui détrousse l’or récolté dans les mines de Wolfgang Abomideus.
Dessins toujours au top, histoire simple et efficace pour passer un bon moment de lecture.
Une première approche plutôt intéressante, le scénario est relativement simple et malgré de bons ingrédients, l’histoire reste assez linéaire.
Curieux de lire les suivants pour voir si les personnages évoluent dans le bon sens et que l’ensemble soit un peu plus percutant.
Bon, j’ai vite lu (c’est un grand mot) les deux premiers tomes et force est de constater que quand on veut faire dans le grossier et la vulgarité, tout le monde n’a pas le talent d’un Reiser ou un Vuillemin.
Bref, quelques crobards/planches mis à part, c’est répétitif à souhait et sans grand intérêt.
Alain est sujet a de terribles cauchemars. Ceux-ci sont provoqués par un « mage » qui utilise ses pouvoirs pour tenter de l’éliminer. Un peu tordu comme scénario mais l’histoire n’est pas trop mal.
Les dessins sont bons, mention spéciale pour les bolides américains de cet opus, un plaisir pour les yeux, avec de jolis détails.
Un bon album, pour une série, parfois trop peu connue du public.
Trevor, qui travaille pour l’agence Pinkerton, est envoyé en mission afin de protéger un cheptel et mener a bien son enquête. Comme dans chaque album, son frère «le Kid » va le suivre discrètement et l’aider à mener a bien sa mission.
Le dessin est très bon et rappelle bien entendu Lucky Luke, l’humour est omniprésent, visuellement ou dans les textes, c’est une lecture plutôt plaisante et divertissante, qui mérite qu’on s’y attarde.
Godard, c’est l’art de raconter et faire vivre une histoire, tout en y mêlant un soupçon de tendresse et des pointes d’humour.
C’est un excellent album, à lire sans hésitation.
Un classique qui reste indémodable.
Cet album a beau avoir près de 60 ans, ça se lit toujours avec plaisir.
Un album a mettre entre toutes les mains, petits et grands.
Personnellement j’ai apprécié ce premier tome. Certes, ce n’est pas l’album du siècle mais j’ai trouvé que cette enquête dans une ambiance fête foraine était intéressante même si l’histoire est assez linéaire.
Le lieutenant est un personnage maladroit mais sympathique.
Le dessin est un peu simple mais en aucun cas dérangeant, ça colle plutôt bien à ce type d’histoire. Il mérite d’être lu.
Ca se veut drôle mais en fait, ça ne l’est pas. Les gags sont téléphonés, c’est affligeant de bêtise.
Dommage, le thème pouvait être mieux exploité.
Al est envoyé pour escorter un convoi pour un maharadjah en pleine jungle. S’en suit un enlèvement et une disparition du convoi. Brock part à la rescousse. Poursuites de camions, assassins faisant partie d’une secte,…bref. Ça se lit mais ce n’est certainement pas le meilleur de la série.
C’est une bd qui se lit tranquillement, d’une traite.
Ça ne renouvelle pas le genre mais la panoplie de personnages est intéressante ainsi que les différents traits de caractère de chacun. L’humour est léger, le dessin est simple mais efficace.
Une lecture intéressante et délassante.
Pas de souvenir d’avoir lu du Norbert et Kari dans ma jeunesse, contrairement à Martin Milan, du même auteur, Godard.
Le duo est embarqué dans une épopée un peu rocambolesque, sur une île où est détenu un ancien dictateur. Norbert va faire face à un fameux tas d’olibrius en tout genre: terroristes, braconniers, soldats,… dans une aventure plutôt réussie et plaisante à lire.
Hâte de m’en procurer d’autres de cette série.
Tragédie familiale, trahison, assassinats,…il y a de tout dans ce tome.
Mais je retiens surtout le dessin, les décors de la vieille Allemagne, ainsi que les paysages, les vêtements et armoiries, vraiment du beau travail. Pas déçu d’avoir parcouru cette histoire, en prenant plaisir à admirer les petits détails. Un bon moment de lecture.
Le retour de Crunchblott dans cet épisode bien mené par Saive.
Scénario assez classique, simple mais efficace.
Ce n’est pas la meilleure reprise de Macherot, le style est un peu trop brut et moderne, ça gâche un peu l’image du personnage et le monde animalier de Macherot.
L’histoire reste toutefois plaisante, c’est gentillet.
Série éphémère, on y retrouve deux journalistes envoyés dans les archipels d’Océanie pour enquêter sur des monstres (crabes) géants qui y provoquent la panique.
Ce second volet est la suite (et fin) directe de l’Archipel de l’Epouvante. Direction une île mystérieuse où y sévit un savant fou, ancien nazi.
Pas besoin d’avoir lu le premier tome pour attaquer celui-ci, des explications succinctes permettent de vite comprendre. C’est un peu du déjà-vu, on peut penser à du Bob Morane ou du Yalek. Le dessin n’est pas mauvais et ça se lit facilement. La série s’est arrêtée après par manque de succès à l’époque.
Le reporter se lance seul à la rescousse d’otages d’un Airbus par des pirates, c’est un peu too much quand on y pense.
Néanmoins l’histoire est plutôt bien ficelée et le scénario suit bien son cours. On ne s’ennuie pas dans cette aventure.
Les dessins sont très bons et la lecture est plaisante.
C’est de l’humour barré, ça part dans tous les sens. De l’origine de l’homme à Blanche-neige, en passant part Alerte à Malibu.
Un délire bien appréciable, qui reste un One shot pour le coup. Dommage, on en aurait bien repris une petite part.
Suite et fin de l’aventure.
Ce second tome est aussi plaisant que son prédécesseur, l’humour est toujours bien présent et fonctionne à merveille.
Dommage qu’il n’y ait pas de suite, cette série s’est arrêtée un peu trop rapidement.
Un héros un peu niais, accompagné de deux jeunes demoiselles, part à la recherche du grand-père de ces dernières. Le vieil homme est le shaman du village qui vient d’être détruit par un roi barbare.
Beaucoup rappelle le monde de Troy. Le compagnon du jeune homme, les jolies filles, les dialogues….
Malgré cela, ce premier tome est plaisant et l’humour n’est pas inintéressant. Les jeux de mots avec les noms des protagonistes sont amusants.
Les dessins sont plutôt pas mal également.
Suite de l’épopée au prochain épisode…
Un petit plongeon dans l’univers nippon, avec une bonne dose d’humour. C’est bon enfant et ça se lit d’une traite. Dommage qu’il n’y ait eu que ce tome 1, on ne connaîtra probablement jamais la suite de cette aventure.
6 histoires courtes, passant en revue différents sport moteur: F2, moto sur glace, motonautique,… un bon album reprenant divers récits édités à l’époque dans le journal tintin.
Racheté pour une bouchée de pain, j’ai redécouvert ce personnage gentillet et sympathique qu’est Bonaventure.
J’en avais gardé un vague souvenir de lecture de quand j’étais jeune, probablement dans les revues Tintin a l’époque.
C’est gentil et amusant, sans prise de tête, l’idée de base est chouette et amène son petit lot de gags.
J'étais un peu dubitatif avec cette adaptation. C’était sans compter le talent de Tebo pour nous pondre une aventure ma foi, fort sympa.
C’est drôle et décalé et on passe un bon moment de lecture.
Série dérivée de l’élève Ducobu, l’instit Latouche n’est pas en reste.
Les aventures du bonhomme au tablier gris fonctionnent plutôt bien.
Ce premier tome où Latouche se retrouve seul face à toutes ses collègues de sexe opposé. Pas évident.
C’est drôle et sympathique, du tout bon Dany et Greg.
Dommage que le second tome n’ait pu voir le jour.
J’ai pris plaisir à lire les 4 premiers tomes de cette série.
Le dessin de Jytéry est top dans le style et les gags au fil des albums restent sympas.
Une série amusante et ludique à la fois, on apprend des petites anecdotes et chaque album est également agrémenté d’un petit dossier à la fin.
Je rejoins les avis précédents, les histoires courtes présentes dans ce tome sont juste magnifiques. C’est fin, poétique, on est pris dans la lecture de ces récits.
On est loin d’une aventure classique. Et c’est très bien comme ça.
Retrouvé pour un euro symbolique en vide grenier, toujours un plaisir de replonger dans un de ces recueils.
Du beau monde et de la bd sympa, on en redemande.
En général, je ne suis pas du genre à être difficile pour ce qui est des bd d’humour.
A vouloir en faire trop, on se lasse. Autant les pompiers ou les gendarmes sont des séries qui fonctionnent, autant les autres se sont arrêtées, à mon avis, faute d’engouement.
Les postiers, je n’esquisse même pas un sourire, tant c’est plat. Il n’y a rien qui remonte le niveau. Après chaque « gag », on se dit, le suivant va être drôle. Mais non, en fait.
Les dessins sont loins d’être top. Pourtant on ne cherche pas l’excellence dans ce type de bd. Mais là où Achdé par exemple, réussi, d’autres n’y sont pas du tout.
Je ne chercherai pas les deux autres tomes, c’est certain.
Une idée de départ qui se base sur une actualité, malheureusement réelle. On est malgré cela vite pris dans cette aventure, mêlée d'un chouette trait d'humour.
Un album fort bien travaillé - même si ce genre de dessin n'est pas dans mon style - une belle réussite dans son genre.
Personnellement, je le recommande.