Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 21/11/2024 à 13:51:46 en 0.0289 sec
ça ne raconte rien et ça raconte tout de nos vie. Qui ne se reconnait pas dans Paul me jette la première pierre. Bien entendu que c'est à lire!
C'est un peu dans le style Aspic, forcément mais sans le dénouement fantastique. J'ai aimé l'album mais c'est un peu trop classique... Trop Sherlock... Mais pour les amoureux du genre, je le conseille.
Comme ça m'a fait plaisir de le retrouver. Les gags sont bons et on trouve même quelques prises de positions dangereuses: "Le Dieu de Momo est cruel!"... Hum, fallait oser!
J'adore... Cette ambiance lourde, noire, morbide est digne de grands classsiques tel Blade Runner... N'hésitez pas.
Si vous vous demandez si ça vaut la peine de vous lancer dans cette série, je vous réponds, modestement, que j'adore. J'ai plongé dès la première planche et je n'en suis pas encore ressorti. Tout y est: scénario avec de réels rebondissements et un dessin original. Ne manquez pas ça surtout si vous aimez le genre d'ambiance à la "Blade Runner".
C'est vrai que c'est déroutant voire un peu irrespectueux par rapport à l'œuvre originale mais je me suis bien marré quand même. Je suis de ceux qui sont plutôt "pour".
J'ai 50 ans mais ça m'a fait du bien de retomber dans l'univers des ados. les amourettes, les frustrations, les gags clichés ados... Et pourquoi pas? Un dessin moderne qui rappelle le manga et un scénario léger et amusant. Faites comme moi... Oubliez votre âge et lisez cet album.
C'est un bon album. Un album qu'il faut lire pour ceux qui aime le genre western qui fait son grand retour. le scénario, sans grand rebondissement, tient bien la route. Le dessin de Kordey... ce n'est pas le style que je préfère mais il y a des vignettes que j'ai bien aimées. Total: J'ai passé un bon moment. Je ne regrette pas l'achat.
Des 4 albums, c'est celui que j'ai préféré. Si vous ne deviez en lire qu'un, je conseille celui là. Pour l'intrigue, pour le sentiment et pour le dessin de Viska.
J'ai accroché... Le dessin est satisfaisant et le scénario tient la route. Bon, c'est vrai qu'on reste dans le classique "vengeance western". Il faut aimer le genre. Moi, j'ai aimé et j'attends la suite. Si vous chercher un conseil: allez y!
Mon avis suit les autres mais moins critique. Le dessin est sans doute le point fort de l'album mais après, c'est vrai que le scénario... c'est un peu gros... On a du mal à imaginer Louis XVII en maître jedï ;-). Bon allez, j'attends la suite quand même.
J'ai aimé le roman, j'ai aimé le film (un peu moins) et maintenant, je peux dire que j'ai aimé la BD. Je me suis bien replongé dans cette ambiance lugubre de l'île du Docteur Moreau à travers un dessin satisfaisant et un scénario qui résume en 50 pages (aussi bien que possible) les moments forts du roman. Je l'ajoute avec plaisir à ma collection Wells.
Je n'ai pas la prétention de juger si c'est bon ou pas (d'autres s'en chargeront)... Je dis juste, à celui qui hésite d'acheter cet album, que j'ai aimé. Mais je dois bien avouer que le personnage de Jones est, de loin, mon personnage préféré dans la série. Le dessin est efficace et j'ai trouvé de la tendresse et de l'humour dans la "Little Jones"...
Je me rallie à l’ensemble des avis positifs mais je dois avouer que de tous les XIII Mystery, c'est celui qui m'a le moins emballé. Mais je conseille de le lire quand même hein!
J'ai rarement lu quelque chose d'aussi noir, d'aussi dérangeant... Mais c'est vraiment bon. Je le conseille mais à ne pas mettre entre toutes les mains!!!! C'est HARD!
J'ai rarement lu quelque chose d'aussi noir, d'aussi dérangeant... Mais c'est vraiment bon. Je le conseille mais à ne pas mettre entre toutes les mains!!!! C'est HARD!
Un bon résumé de l'oeuvre de Proust. J'y ai cru. je me suis vraiment retrouvé, un court instant, à l'ombre d'une fille en fleurs... Ca vaut vraiment la peine d'être lu.
L'intérêt émane surtout de la première apparition des Indiens Pieds Bleus (planche 8). On remarque aussi que les sabots de leurs chevaux sont bleus (Planche 16). On note la première confrontation avec la cavalerie en fin de récit (Planche 46).
C'est le premier album à traiter de faits historiques (le chemin de fer, le pétrole...). première collaboration avec Goscinny. On y voit aussi pour la première fois les Indiens via la tribu des "Pieds Jaunes" (planche 14). On retrouve pour la première fois depuis "Arizona" la vignette final avec la chanson "I'm a poor lonesome cowboy..."
l'intérêt pour moi est de retrouver un acteur qui a accompagné mon enfance à travers Phil Defer (Caricature de Jack Palance - Planche 22). Lucky Luke tue Phil Defer (Planche 36). Ce sont les derniers homicides avant l'arrivée de Goscinny.
L'album comprend une deuxième histoire courte: "Lucky Luke et Pilule.
C'est un album bien ficelé de 1955 où pour la première fois Lucky Luke est éparé de Jolly Jumper. Regardez les détails du village de Greenvalley avec ses malades (Planche 8).
C'est un album incontournable car apparaissent pour la première fois les frères Dalton (planche 3). Mais ce sont les vrais Dalton qui seront bel et bien arrêtés par Lucky Luke et pendus (Planche 36). Voilà pourquoi Goscinny plus tard devra les faire revivre via "les Cousins Dalton."
L'album comprend une deuxième histoire avec "Le retour des frères Dalton" où on retrouve le Sheriff poltron de Desperado-City (Planche 38) vu dans l'album Rodéo.
L'album comprend 2 histoires: "Nettoyage à Red City" et "Tumulte à Tumbleweed" de 1953. Morris ridiculise un peu son héros dans cet album: Lucky Luke en caleçon (Planche 3), apparition ridicule de Lucky Luke en sheriff vétu en rose (Planche 5). Lucky Luke abat Pat Poker d'une balle en pleine poitrine (Planche 18). C'est un fait très rare...
L'intérêt de l'album est la redécouverte de Lucky Luke à travers 3 vieilles histoires de 1952. Morris tout seul bien entendu;
"Le retour de Joe La-Gâchette", "Jours de Round-up" et "Le grand combat". On voit, pour la première fois, la célèbre ville de Nugget Gulch (Planche 18).
Indispensable de voir un Lucky Luke à peine reconnaissable, issu des premiers coups de crayons de Morris (C'est le Lucky Luke original de 1946). Notre héros n'est pas encore habillé en noir, jaune et rouge. On voit Lucky Luke apparaître pour la première fois à la planche 7. L'album comprend une autre histoire "Lucky Luke contre Cigarette César" de 1951.
Quel plaisir de redécouvrir ces vieux albums. Retrouvez à la première vignette (Planche 3) un Lucky Luke endormi avec un visage mal dégrossi mais déjà habillé en noir, jaune et rouge. Jolly Jumper est en arrière plan mais son nom n'apparaît qu'à la planche 7. L'album comprend une autre histoire: "Le sosie de Lucky Luke". Il y a un moyen de reconnaître Lucky Luke de Mad Jim. Une seule différence... Cherchez;
Je suis déçu. Roba me manque... Verron, aussi. Les gags sont un peu bof et le dessin (surtout au niveau des visages) n'est pas toujours ressemblant avec l'oeuvre originale. Mais c'est bien, quand même, de continuer à faire vivre les héros de mon enfance.
C'est très violent. C'est noir! C'est lugubre voire morbide... C'est bon.! C'est prenant! Le dessin est irréprochable et le scénario est bien ficelé. Je vais suivre. On est dans de la très bonne BD mais à ne pas mettre entre les mains de personnes sensibles ni des plus jeunes...
Je sais. Je sais. J'ai 5 ans de retard. Mais je me suis dis qu'à 50 ans, ce genre de BD n'était pas pour moi... Les mondes féériques peuplés d'Elfes c'est plutôt pour les ados. Et finalement, je me suis lancé dans l'aventure. Allez-y! Plongez! Rejoignez Turin ou Gal dans le monde des Elfes. J'avais oublié que les Elfes n'ont pas d'âge. Ils sont immortels.
Quel travail de recherche historique: David Crockett a bien été fusillé, Travis était bien le commandant du fort, Samuel Houston était bien le président du Texas et plus encore, Louis Rose, le Français a bel et bien existé... Tout y est. Tant le dessin que le scénario. C'est plus qu'une bd, c'est un document.
C'est fou. La recherche historique est implacable. Tout est vrai, tout est parfaitement à sa place. C'est plus qu'une bd, c'est un document.
Ben c'est bon mais j'avoue que j'ai été un peu dérouté par la violence... Explosion avec mutilation, balle dans la tête, torture... Euh... Je sais, il faut vivre avec son temps mais quand même. Si non, j'attends la suite.
Un bon moment de passé avec cet album. On y trouve une vingtaine de planches au thème "Les vacances à la montagne". Les gags sont originaux et efficaces.
Ce deuxième tome est digne du précédent. Le scénario amorcé dans "Le mangeur d'or" trouve ici un dénouement plein de rebondissements. Le dessin des canyons de l'Ouest américain est sensationnel. Super bon.
En Floride, les filles sont invitées à une réception chez le mystérieux Mr. Von Shade. On y parle d’un navire englouti, le Barracuda, qui cache un bien étrange secret. Le scénario n'est pas mauvis mais ça semble un peu vieillot.
Les Dames sont prisonnières dans le temple du Dieu Amok. Elles devront utiliser toutes leurs compétences et recourir aux forces surnaturelles pour s’en sortir vivantes...
A Marseille, un étudiant de la secte d’Amok remet un « Kriss », un objet maléfique à Laurence Tonkin. Laurence Tonkin en devient malade. Petit à petit, elle perd ses forces. Le Brelan de Dame part en Indonésie pour enquêter aux sources de la malédiction. Le scénario vire au fantastique mais bon...
Farida Tchopendoz, une jeune afghane, demande au Brelan de Dames de libérer le roi qui risque d’être exécuté par les autorités russes qui viennent d’envahir le pays. Un bon album avec un scénario au fait de l'actualité.
Cet album se veut la suite de "Safari dans l'enfer fer". La ville d’Amazonia est en panique face aux revendications des indiens Mousthikos. Le directeur de l’entreprise Mac Yavel fait appel un tueur à gages pour éliminer le brelan de dames…
Les trois Dames vont lutter contre des promoteurs immobiliers de la Mac Yavel qui défrichent la forêt amazonienne sans se soucier du village indien, des Mousthikos. Notre « Brelan de Dame » seront, comme toujours, du coté des opprimés… Simple, efficace et toujours d'actualité.
Jaimie Grisbee, Amanda Wenn, Laurence Tonkin, au service de l’Agence, Monsieur X, mènent une guerre contre les islamistes du Sabre Rouge qui tentent saboter le pétrolier, Liberty Jack, pour provoquer une marée noire sans précédent. Curieux de retrouver un sujet encore à la mode.
Un roman graphique de haute qualité. Will Eisner est bien l'inventeur du genre. Il traite du problème des mariages arrangés et des vies brisées qui en découlent.
Vasco est à la cour du grand Khan Toghan pour établir un accord commercial entre l'Italie et la Chine, sur le commerce des soieries. Cet album termine la saga chinoise de Vasco.
Dans cet album, Gilles Chaillet nous plonge dans le Tibet du 14e siècle où Vasco est confronté à la secte du Lotus Blanc. Les décors, les costumes sont magnifiques.
Vasco Baglioni et Van Loo sont à la cours du vizir Bâhrâm Ghör. L'intérêt de l'album relève sans doute de la beauté des dessins des villes orientales.
Vasco voyage à Jérusalem, au Saint-Sépulcre. Basileus Cantacuzène a été déchu de son trône. Sophie a été répudiée par son mari, Orkhan. Elle a été donnée à Ashraf, le jeune prince de la ville d'Ispahan.
Ce album se veut la suite du "Chemin de Montségur". Vasco est au château de Sicart le Diable. Il comprend que dans les fondations du château, se cachent les cathares qui ont survécus au massacre de Montségur.
Vasco arrive à Carcassonne car il a entendu que son père, Francesco Baglioni est condamné au buché pour hérésie cathare. Vasco vient en aide à son père. Cet album est important car on en apprend plus sur la famille de Vasco.
En avril 1355, Vasco et son oncle sont en route vers Venise où ils doivent apporter de l’argent au Doge. Chaillet rend à merveille Venise du 14e siècle au prise avec la peste.
Vasco est envoyé à Nuremberg pour enquêter sur la un prêt d’un Prince de Hohenzollern qui régente le château. Les dessins de l'Allemagne médiévale sont très bons.
Le scénario perd un peu en rythme. Ce n'est pas le meilleur album mais le dessin reste irréprochable.
Dans ce troisième album, Chaillet nous plonge dans le Byzance du 14ième siècle. C'est probablement un des albums les plus historiés.
Arrivé à Avignon, Vasco se sent menacé. Il va affronter surprend le gouverneur véreux Malatesta, la sorcière Locuste… Ce second album reste bon tant au niveau dessin que scénario.
A Sienne, en 1347, Vasco Baglioni va être d’acheminer l’or de son oncle jusqu'à Rome. Gilles Chaillet, élève de Jacques Martin, nous lance ici son personnage fétiche. Histoire et ligne claire: grandiose.
Balthazar s’étonne d’avoir mangé un être bleu. C’était un schtroumpf, lui dit Melchior. Il a peur de la réaction de Peyo. Voilà, l'humour de Raoul Cauvin est à son sommet avec une des séries les plus déjantées qu'il a créées.
Cet album clôture la série. On quitte la petite histoire des 4 hommes auxquels on a fini par s'attacher, on quitte aussi la grande Histoire de la seconde guerre. Un ouvrage brillant.
Le passage d'une époque à l'autre est une bonne idée mais ça peut lasser à la longue. Les dessins somptueux de JF Charles apportent beaucoup à la série.
La suite est toujours aussi prenante. Le scénario suit les grandes lignes historiques de la seconde guerre mondiale. Le dessin est irréprochable.
Maryse et Jean-François Charles est une équipe qui fonctionne bien. Le scénario n'est pas très original mais il est bien ficelé entre Histoire et romantisme. Les dessins sont très bons.
Le scénario traite de la genèse de Colossus: (le Russe de métal) ; Diablo (exploité dans un cirque) ; Emma Frost (perturbée mentalement et fondatrice d’une école de X-Men). Gambit (Le prince de voleurs). A ne pas manquer si on veut en savoir plus.
Les journalistes, Yalek et son ami Pocket sont contacté par leur ennemi, King z. qui leur propose un reportage exclusif sur l’arrivée des extra-terrestres sur terre. Yalek ne pas pas refuser car son patron, Captain, et son amie Sabrina sont retenus en otage…Une série qui a vieilli mais qui nous apporte un soupçon de nostalgie.
Intéressant de relire l'album où tout à commencé. Vic Vidéo et Pol Pitron, les premiers amis de Yoko vont rencontrer d'autres personnages clefs de la série: les Vinéens. Roger Leloup, collaborateur d'Hergé est, donc, un maître de la ligne claire.
Une famille composée du père Raymond, la mère, Isabelle et de trois enfants Juju, Nina et le bébé Antoine ne peuvent se passer de télé. Voilà tout est dit.
Agréable retour des personnages créés par saint-Ogan. Un scénario un tantinet loufoque mais avec une intrique policière qui tient la route. Pourquoi le voleur laisse-t-il une petite flaque d'eau derrière lui?
Cet album nous offre un très bon scénario et quelques vignettes de l'Ouest américain avec indiens sensas. A lire.
Le scénario est très bon. Blutch et Chesterfield en cow boy offre de bons gags. le dessin de l'Ouest américain avec les indiens est sensas.
Le thème abordé par le nouveau scénariste, Régis Hautière, est assez ambitieux: l’origine de la vie sur terre. Nao découvre en antarctique un métal étrange. De retour sur Aquablue, Nao demande aux scientifiques d’étudier ce métal qui prouverait que la vie sur terre vient d’Aquablue, des Atalans. Pour mieux profiter de l’intrigue, il est conseillé de relire le cinquième album « Projet Atalanta ». Le dessin de Reno apporte un plus.
Cet album se veut la suite de « Le baiser d’Arakh » mais il est plus science-fiction-action à travers la guerre entre deux empires, celui de de la reine Marachna et du dictateur, Salmir Nassül. Le thème abordé est aussi celui de l’amour qui vire à la vengeance puis au Suicide. Le dessin de Siro de cette planète « Egypte antique » est plus que correct.
Dans cet album , Cailleteau, nous plonge à travers la planète Tetlaan dans un monde proche de l’Egypte antique sur fond d’archéologie. Tout est au rendez-vous le sable, les scorpions au pied des pyramides. Le nouveau au challenge psychologique dans le scénario relève du problème de la fidélité. En effet, Nao a un fils, Ylo, avec Mi- Nuée mais il est amoureux de l’assistante de Pr Marelian, la jolie brune, Chiara Dellapierra. Il est vrai que ce n’est pas le meilleur album de la série mais il reste intéressant tant au niveau du scénario qu’au niveau du dessin.
Cet album se veut la suite de « fondation Aquablue ». Nao tente de sauver les Cynos, des hommes chiens, massacrés par des chasseurs sans scrupules. Le scénario prend à rebondissements intéressants et social lorsque le Nao adopte un petit Cynos et qu’il apprend, en même temps ,que Mi- Nuée est enceinte. Le thème est lancé.
Le scénario se veut écologiste. Cailleteau semble faire référence aux problèmes liés à la couche d’ozone. En effet, sur Aquablue, une sorte de trou noir, un voïvode, est en train de détruire une partie de l’univers. Doyle 1800 est une planète qui ressemble à la terre à l’époque préhistorique. Nao et son équipe vont tenter de sauver le plus d’espèces possible avant la destruction. Il en profite pour traiter du problème des braconniers et autres chasseurs illégaux. Le dessin des animaux préhistoriques est tout à fait spectaculaire.
La deuxième partie de cette histoire revient un peu plus à l’action. Le scénario traite surtout de la vengeance de Nao et de la chute du dictateur Cantor. On est amusé de retrouver Carlo et son vaisseau, le Stromboli chargé de pizzas intergalactiques. On notera au passage l’apparition de la chanteuse Vanessa Van Vestaal… les scènes d’action sont bien dessinées.
Cet album est un tournant dans le scénario car on change complètement de sujet. Cailleteau traite du danger des partis extrémistes (Néo-Croisés) qui refusent systématiquement le progrès en détruisant tous les robots. Le scénario renvoie aux premiers albums lorsque Nao retrouve l’ Etoile blanche, le vaisseau des parents de notre héros. Malgré un scénario un peu trop prévisible, l’album reste intéressant.
Le scénario s’ouvre un peu plus vers l’aventure. En effet, Nao rencontre une civilisation évoluée, au fond de l’océan, qui seraient les habitants de la fameuse Atlantide, les Atalans. Les dessins de Tota en ce qui concerne les créatures marines, les robots, les vaisseaux sont bien réalisés.
Le scénario revient sur les manipulations sans limite des entreprises. Le P.D.G. de la Texec, Walsh, atterrit sur Aquablue et ordonne aux légionnaires de massacrer les habitants d’Aquablue et fait assassiner toute personne susceptible de lui nuire. Le scénario traite aussi de l’esclavagisme que les entreprises riches appliquent aux peuples les plus pauvres (Mi- Nuée et son père, Melkeïok, sont rendus en esclavage par Morgenstern) et Thierry Cailleteau suggère aussi l’utilisation de la science à des fins peut avouable (Phlebs demande un scientifique véreux, le docteur Fershid, de créer un virus qui les détruirait lentement le peuple d’Aquablue).
Le scénario de cet album rappelle un peu les histoires de pirates (l’île au trésor). Le Mégophias est un vaisseau pirate, dirigé par Lochshore. Lochshore attaque tout ce qui peut lui rapporter de l’argent. De mèche avec Morgenstern, il n’hésite pas à piller Aquablue. Nao organise la résistance. Comme dans les classiques du genre, on trouve des personnages « mauvais » qui virent de comportement et deviennent bons comme Sven, de commandant sous-marin nucléaire Barracuda.
Le scénario reste très « action ». Melkeïok, le chef de la tribu, résiste comme il peut aux troupes de Morgenstern. L’élément nouveau est l’intervention de mère nature via un monstre marin (Uruk Uru) qui prêtent main forte aux autochtones... L’intrigue prend un peu de hauteur avec l’arrivée de Carlo, un livreur de pizzas intergalactiques, très sympathique.
Le scénario est intéressant mais il manque un peu d’originalité. On y trouve des points communs avec «Largo Winch » (le seul héritier d’une énorme entreprise est Wilfrid Morgenstern, bébé qui a survécu à un accident spatial), avec « Little Big Man » (Il prend le nom de Tumu-Nao et adopte le mode de vie des habitants d’Aquablue), avec « Ulysse 31 » (Cybot est un robot nourrice qui a élevé Nao et qui l’assiste tout au long de l’aventure). Le scénario n’est pas plus original quand il traite de l’ambition des grosses sociétés (la Texec qui engage des mercenaires sans scrupules). Cependant, il y a du rythme, il y a des rebondissements, on ne s’ennuie pas. Les dessins de ce monde océanique font qu’on y « plonge » littéralement dans Aquablue.
Le scénario est très classique: Félicia Book est à moitié vampire car sa mère avait été mordue juste avant de lui donner naissance. Elle jure de se venger en tuant le fautif, Skinner Sweet. Il s’agit de l’intrigue du combat entre le bien et le mal. On y mêle les Nazis (curieux) car au château de Vran, en Roumanie, le scientifique Pavel a trouvé le remède anti-Vampire (encore plus curieux) mais le domaine est aux mains des Nazis. Sang, explosion, action et super-héros, on y est. A lire, pour ceux qui aiment le genre.
On s’attendait à un dénouement mais il en est rien. Le scénario se complique encore. Le scénario traite de la possibilité de bloquer l’économie mondiale via les ordinateurs mais bon… s’il y a une fin, qu’on m’explique. L’intérêt de l’album est sans doute le dessin précis des villes du moyen-orient.
Le scénario s'attarde maintenant sur Nathan Burcley, mort mais dont l'esprit se trouve sur le net. Chris Lamquet traite, ici, le sujet à la mode: la vie éternelle via l'informatique et la transplantation de l'esprit dans un autre camp. Le scénario tourne autour d'une machine, le « Plot Quantum » qui, une fois encore, complique bien les choses. Les dessins restent bons et les effets de pixellisation et de 3D rendent l'ouvrage intéressant.
Chris Lamquet nous emmène dans cet album en Asie, à Cheung Poï, dans une famille pauvre où une petite fille sans nombril vient de naître. Le scénario démarre bien mais le tout est assez confus et difficile à suivre. De plus, pour donner une dimension psychologique à l’intrigue, Lamquet donne à Alvin Norge une vie de couple compliquée avec le lieutenant Chu car il la trompe avec Olga. Mais on garde en arrière de la trame le combat avec la secte de Mashram. C’est lourd.
Le scénario traité ici, parle du problème des sectes. L’épouse de Alvin est embrigadée dans la secte de Louisa Mashram. On y parle également du problème du clonage et des relations entre monde virtuel du monde réel. Les thèmes sont importants mais ils rendent le scénario un peu confus. Nous perdons malheureusement trop vite le fil conducteur. Le dessin reste irréprochable.
Chris Lamquet nous apporte un scénario moderne basé sur terroristes qui ont piraté la NASA, les banques, les panneaux publicitaires de New York. Il traite aussi d’un fait véridique: l’affaire Doherty un homme qui a accepté que son corps soit coupé en tranches pour le digitaliser afin de l’explorer virtuellement. On note aussi, la création d’un superbe personnage Biélorusse, Olga Rokouchenko, seuls alliée de notre héros Alvin Norge. Le new York futuriste n’est pas sans rappeler « Blade Runner ».
Bien ficelé. Tout y est: Trahison, complot, meurtres. le scénario de base traite des dossiers secrets. Le colonel Wagemüller propose de vendre aux U.S.A. une liste d’Américains impliqués dans des affaires louches. Alpha est sur le coup. Le crayon de Jigounov nous offre des décors moscovites sont bien détaillés.
Bien ficelé. Tout y est: Trahison, complot, meurtres. le scénario de base traite des dossiers secrets. Le colonel Wagemüller propose de vendre aux U.S.A. une liste d’Américains impliqués dans des affaires louches. Alpha est sur le coup. Le crayon de Jigounov nous offre des décors moscovites sont bien détaillés.
Cet album monte d'un cran dans la violence. Alpha et Asia sont confrontés aux terribles groupes mafieux russes telle que la famille Bogdanov. Meurtres, usurpation de pouvoir sont au rendez-vous. L'album et important car Alpha prend conscience qu'il n'est qu'un pion aux mains des forces de l'argent. Le dessin rend les scènes de violence avec une précision impressionnante.
Le scénario traite des problèmes liés à la chute du Mur de Berlin a engendré des frustrations. Julien Morgan, dit Alpha enquête chez les ex-nomenklaturas russes. L'originalité du scénario vient de l'histoire d'amour entre Alpha et la jolie Assia Donkova, épouse d'un ancien militaire véreux. Action, violence, complot, un cocktail explosif.
Dans cet album, nous partons vers les îles du pacifique. Mac Bride y rencontre la princesse Kahela, descendante de la reine Hatshepsout. Le scénario relate aussi l’invasion japonaise des îles du pacifique (véridique). Le dessin nous plonge irrémédiablement dans la flore et la faune océaniennes.
Un dessin "ligne clair", un scénario réaliste avec un soupçon de fantastique, on se croit dans une oeuvre d'Hergé. En 1935, en Egypte, l?archéologue Allan mac Bride découvre la tombe de la reine Hatshepsout Il y trouve des papyrus qui parlent d'un pays secret. Le dessin nous emmène dans les plus beaux sites égyptiens avec succès..
Cet album nous emmène en Arizona, étudier chez les Hopis. Allan y rencontre une indienne érudite, Polingaysi. On rencontre, aussi, Mangiacopra, un agent de la CIA, qui suit notre héros. Le scénario est bien ficelé et les dessins nous offrent de beaux paysages de l’Ouest américain.
Ce treizième album est très bon. Les gags s’enchainent. Arthur intervient chez une vieille dame morte mais juste atteinte de catalepsie, elle se relève. Arthur fait une attaque. L’agent 212 doit arrêter un clown qui fraude aux impôts. Tout le commissariat éclate de rire en voyant le clown au poignet d’Arthur.
Raoul Cauvin met à mal le professionnalisme d’Arthur. Pourtant, il jure à Albert qu’il est impartial. Il met, d’ailleurs, un procès à Louise, sa femme, devant son ami. Arthur restera 8 jours sans rentrer chez lui.
Dans cet album Cauvin donne un petit coté malicieux à Arthur. Par exemple il renseigne mal les supporters des « rouge et Blanc » pour qu’ils arrivent en retard au stade de foot. Arthur est supporter des « vert et blanc ». Les dessins de Kox sont toujours irréprochables.
L'album est digne des autres. Arthur est choisi par la B.S.R. pour filer un bandit. Il fait son travail remarquablement en se déguisant en taxi, en serveur? il se déguise même en prostituée. Le bandit est arrêté mais le commissaire fait un arrêt cardiaque quand il voit Arthur en pute.
Dans cet album, Arthur provoque quelques catastrophes comme lorsqu’il monte sur le skate board d’un gamin ou qu’il appelle la criminel pour un crucifix trouvé dans la neige. Le déguisement est également à l’honneur. On verra Arthur habillé en vieille Dame ou en mannequin pour arrêter des voleurs.
On trouvera de nombreuses références au cinéma dans cet album. Par exemple, Arthur et Albert voudraient vivre des aventures policières à la « Starsky et Hutch », Arthur lâche dans la forêt, un homme qui se prend pour Tarzan.
L'album traite des relations entre policiers, entre aide ou coups vaches. Par exemple, lors du bal de la police, les femmes s'ennuient tellement qu'elles trouvent toutes une excuse pour ne pas venir. Les policiers dansent entre eux. Un bon album égal aux autres.
La caricature est au rendez-vous dans cet album. On y découvre le chanteur Sony Halipay, une parodie de film d’horreur via une maison sur une faille sismique et une parodie du théâtre de vaudeville quand Madame Delfouille trouve son mari au lit avec un collègue.
Dans cet album, Cauvin accentue le caractère naïf de l’Agent 212. Par exemple, un prêtre en panne de voiture le soir de Noël, fait pousser sa voiture par des enfants déguisés en ange. Arthur qui assiste à la scène croit à un miracle. Un agent de police qui se veut de plus en plus naïf et sympathique.