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Le 2ème cycle est clairement moins moins que le premier (je l'ai d'ailleurs renvendu). Mais quelle dégringolade que cette suite !!!
Inintéressant au possible, il ne s'y passe rien, on tourne en rond. Je ne dirai pas "à jeter" (car c'est pas bien), mais "à ne pas acheter", clairement. Histoire de faire prendre conscience au scénariste que les dégâts ont atteint un seuil critique, et que ça suffit !!
Je suis mitigé. C'est ultra beau, la mise en scène est dynamique, la mise en page somptueuse, les nombreuses références sont rigolotes, mais il y a quelque chose qui me chagrine dans l'histoire : c'est too much, un peu trop dense et il manque l'effet waouh dans l'histoire qui rende le truc vraiment passionnant. En fait, l'histoire ne commence réellement que vers la fin, avec plein de zones d'ombres à éclaircir. C'est un premier tome introductif, certes bien amené, mais qui me frustre plus qu'autre chose.
Et clairement, ce premier tome" ne se suffit pas du tout à lui-même, il amène clairement une suite (il y a un explicite "Acte I" sur la couverture et un énorme "à suivre" à la fin).
En l'état, je ne l'achète pas à cause de ce manque de liant dans l'histoire et ce côté trop frustrant. Mais j'en recommande la lecture (3,5/5).
Pas mal du tout. Etonnant et beau. C'est toutefois un peu trop verbeux par moment, ce qui nuit un peu à la fluidité de la lecture.
J’avais adoré le premier tome de ces nouvelles aventures.
Le deuxieme baissait d’un cran avec une narration moins fluide.
Ce troisième volet est beaucoup moins bien construit, avec notamment des scènes sui tombent comme un cheveu sur la soupe. On perd l’originalité (à part Nadine qui se promène à demi nue) et on se croirait de retour au niveau des derniers tomes de la série mère (de moyenne ou médiocre facture). Je n’achèterai donc pas ce troisième tome, ni les suivants.
C’est crétin, original (et un peu rigolo)
J’aime bien les trucs de zombies, même si l’overdose arrive petit à petit. J’ai découvert cette série BD une fois achevée. C’est scénarisé comme un film, le découpage est original, mais les tomes sont en dents de scie : moyen au début et a la fin, un peu mieux vers le milieu.
Le dessin est chiadé, mais je n’apprécie pas ces grosses têtes et ces faciès déformés et plutôt moches.
Au final, c’est à découvrir, mais ça s’arrête là.
Quelle maestria dans la narration, quelle mise en scène, quel dessin !! Et quelle sensibilité !
L'histoire est à la fois simple et originale, rigolote et traiter de problèmes sociaux très actuels. C'est très très malin.
Je ne connaissais pas cette auteure américaine, et je suis plus que séduit. Ce gros pavé ne se lâche pas une fois commencé.
C'est immédiatement devenu mon plus gros coup de coeur de cette année 2018 pour l'instant.
L'histoire est plutôt bien racontée, mais elle reste classique de bout en bout, avec zéro surprise dedans. La colorisation est aussi très déroutante.
Une lecture sympa, sans plus, qui m'a au final assez déçu (mais je n'ai jamais accroché à ce que fait Zep).
Cette BD n'apporte pas grand chose au style western, mais l'histoire reste bien ficelée et le dessin de Swolfs (connu depuis quelques décennies pour son héros Durango) est à son paroxysme. On est loin de ma série préférée dans le genre, Comanche, mais ça se laisse lire sans déplaisir. Sympathique, mais pas enthousiasmé plus que ça par ce premier tome.
Un dessin très moyen (passe-partout et sans aucune originalité), une histoire sans queue ni tête, foutraque, inintéressante au possible. À fuir absolument !!!!!
Il se fait descendre par les aficionados de Spirou, mais moi j'ai trouvé ça très frais et rigolo. Ça fait du bien au milieu des trop nombreux ratages (et trop sérieux albums) de la série "Le Spirou de...".
Comme souvent avec les livres primés (pas toujours, mais souvent), j'ai été bien déçu : l'histoire est tout juste passable, jamais passionnante, et le dessin est très très très moyen (je ne l'avais pas aimé sur le Singe de Hartlepool, mais la lecture était passé grâce au scénario de Lupano).
Heureusement qu'il y a les quelques dernières pages pour redonner un (petit) peu d'intérêt au tout.
Bref, je ne recommande pas ce livre.
J'ai apprécié ma lecture. J'ai lu ce gros pavé en 2 fois : l'excellente narration y est pour beaucoup. L'intrigue aussi, malgré une fin un peu trop rapide (et qui aurait mérité quelques éclaircissements et/ou précisions). Mais, car il y a un "mais" qui justifie ma note, c'est un album que je ne relirai jamais. Pour cette raison, je peux le conseiller en lecture, mais pas en achat.
C'est plutôt beau et bien raconté. En revanche, l'intrigue est ultra bateau et on voit venir la fin dès le premier tiers de l'histoire.
Au final, pas emballé plus que ça.
Je n'ai lu que le premier tome pour l'instant, mais ça m'a fait penser (un peu) à du shonen très très basique, dans la veine de Naruto (mais ce dernier est vraiment plus prenant. Je ne me fais toujours pas au dessin de l'auteur, qui ne va pas du tout avec le style de la BD. Je lirai la suite par curiosité, mais pour l'instant, je ne comprends absolument pas l'emballement autour de ce titre.
C'est un "parpaing" comme le dit très bien Lupano dans son excellentissime préface.
Et ces deux pavés sont parfaitement manipulables (au contraire de ce que j'ai pu lire ici et là)... si vous la lisez sur une table, ou sur vos genoux dans le canapé. Ce n'est clairement pas un livre qu'on lit dans son lit le soir, en voulant à tout prix le tenir dans une main, ou à deux mains au dessus de sa tête (on risque clairement de s'assumer s'il glisse).
J'ai juste eu un tout petit peu peur lors de la préface de Lupano où les pages semblaient un peu trop transparentes de par leur finesse, mais il n'en est rien pour les planches couleur.
Un très beau coffret à offrir à ceux qui aiment Achille Talon, voire encore plus à ceux qui ne le connaissent pas bien.
Le soucis d'un ouvrage comme celui-ci, c'est qu'on connait déjà beaucoup de choses qui y sont racontées, tellement on a vu de reportages et d'interviewes au cours des derniers mois. Je me suis donc quand même pas mal ennuyé.
Je suis loin d'avoir éprouvé la fraicheur que j'ai ressentie lors de ma lecture des ouvrages biographiques de Guy Delisle, par exemple (dans lesquels j'ai appris bien plus de choses - et la narration y était aussi meilleure à mon goût).
Tant qu'on est dans la narration, je l'ai trouvée très factuelle, très simple, pas vraiment prenante. Comme un documentaire trop lisse, en fait. Heureusement qu'il y a un peu d'humour, et c'est ce qui a fait que je n'ai pas abandonné la lecture (même si j'avoue avoir survolé pas mal de pages dans la 2ème moitié du livre).
Au final, c'est sympathique, sans plus, et totalement dispensable si vous vous êtes un tant soit peu tenu au courant du voyage dans l'espace de Thomas Pesquet.
Un chouette dessin, une histoire à la fois très (trop) dense et où il ne se passe finalement pas grand chose (trop d'éléments restant mystérieux). Je l'ai lu, je l'ai dans l'ensemble apprécié, mais pas au point de l'acheter. En revanche, ce premier tome m'a donné envie de lire le roman originel.
J'ai lu pour l'instant que les trois premiers chapitres de la "saison 2" : c'est le même principe narratif que pour la saison 1 (plusieurs histoires de 15 ou 20 pages).
Le dessin est encore plus moche que celui de la première saison, que je n'aimais déjà pas, mais que l'excellente narration arrivait à faire oublier...
La première trilogie a une vraie vision d'un futur ultra pessimiste, là où ce nouveau tome se contente d'exacerber les peurs du jour (c'est juste ancré dans le réel avec une grosse exagération ici et là - ho les vilains gros sabots -, les histoires 4, 5 et 6 dérivant bien trop dans l'excès et la facilité à mon goût).
On en revient toujours à la même conclusion : les reprises purement mercantiles sont rarement bonnes (et celle-ci est AMHA simplement justifiée par le climat politique et social actuel), et le Van Hamme de la grande époque est encore et toujours inégalé. Et Desberg reste un scénariste dont je cherche toujours une histoire bien racontée (et pas seulement un bon pitch).
Un très bon tome, meilleur à mes yeux que les deux précédents. L'unité graphique est conservée, malgré un 4ème dessinateur, et je retrouve dans cet avant-quête tout ce qui a fait le succès de la série mère. Chapeau aux auteurs, mais quel dommage que le rythme de parution soit si lent.
Malgré un dessin "à la Sfar" que je n'aime pas du tout, l'histoire est plutôt bien construire et suffisamment étonnante pour plaire à un public adolescent, public pour qui elle a été écrite.
Ma fille de 14 ans a bien apprécié cette BD, que ce soit au niveau de l'histoire ou du dessin (oui, ce type de dessin aux personnage étirés, au trait pas toujours fini, au dessin un peu brouillon plaît aux jeunes...).
Il ne se passe finalement pas grand chose dans ce premier tome. Les dessins sont jolis même si je regrette le manque de précision sur certaines cases ou illustrations pleines pages (qui font un peu brouillon parfois).
Cela reste une BD (très) sympathique, mais qui ne révolutionne rien du tout dans l’univers de Batman.
Un titre d'album bien choisi et prémonitoire...
L'auteur était en hibernation depuis longtemps, et malgré tout le blabla introduction en première page où il s'explique un peu sur son absence, le résultat de son retour sur papier n'est au mieux que très médiocre.
On est très très loin de ces chefs d'oeuvre que sont "L'épée de cristal" et "Perdita Queen".
Malheureusement, il n'y a pas que le scénario plat et ennuyeux qui pêche, l'humour est aussi au ras des pâquerettes et le dessin est également bien moins bon qu'avant :
. les yeux sont encore plus grands et étirés qu'avant,
. les personnages, féminins notamment, ont des profils simiesques exagérés,
. chaque apparition de femme n'est qu'un prétexte à la montrer en petite tenue ou avec des poses suggestives et/ou lascives.
C'est juste très ennuyeux au bout de quelques pages.
Et je ne parlerai pas de la belle faute grammaticale en page 46 avec "elle a l'air sereine".
Une déception de plus à l'actif de l'auteur, en ce qui me concerne.
Zut, car j'ai vraiment envie de retrouver tout ce qui faisait le charme de ses BD il y a plus de 20 ans.
Ce 37ème tome souffre des mêmes défauts que le numéro 36 : trop de jeux de mots tout le temps, une intrigue hachée avec de trop nombreuses ellipses, et encore plus verbeux. Bref, ce n'est qu'une très pâle copie de l'oeuvre originale, avec tout le côté attachant de cette dernière en moins.
Je n'ai en revanche toujours rien à redire sur le dessin qui reste vraiment très agréable.
Ha, j'oubliais : la carte de la Gaule n'est même plus présente en début d'album. Tout se perd...
Histoires "abracadabrantesques" sans grand intérêt, avec trop de fantastique, trop de trop de choses.
Le livre de trop ?
Rendez-nous Tome & Janry !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Du Lupano pur jus. Moi qui m'ennuie toujours un peu à la lecture des Valérian de la série mère, j'ai ri comme un gamin pendant toute la durée de l'album. C'es fun, bien raconté, décalé, avec plein de références à l'actualité (peut-être un peu trop d'ailleurs). Et le dessin est vraiment beau. Depuis la réussite du premier tome de Larcenet il y a 5 ou 6 ans, j'attendais un nouvel opus de la même trempe et je ne suis pas du tout déçu !
Après un premier tome tout juste moyen qui avait un peu attisé ma curiosité, j'ai malheureusement été un peu déçu par ce deuxième tome qui finit en eau de boudin. Tout ça pour ça !?
Un peu trop vulgaire, trop de scènes voyeuristes pour satisfaire les mâles (mais inutiles pour l'intrigue). Heureusement qu'il y a le dessin de Marine, parce que le scénario est plus que quelconques (et ça se confirme dans le tome 2, malgré la petite surprise de fin de cycle). Tout ça pour ça, me suis-je dit...
Un dessin de plus en plus passable (c'est le même qu'il y a 25 ans, avec de plus en plus d'erreur de proportions et des visages trop changeants). Concernant l'histoire, elle est relativement classique pour un Yoko Tsuno, a des airs de déjà vu, reste plutôt simple et sans surprise.
Le temps des meilleurs Yoko est vraiment très lointain.
Mon avis est exactement le même que pour le tome 1, que je copie/colle :
"C'est vraiment très bien.
Je regrette juste que l'auteur soit si grossier dans les bulles : c'est inutile, et un peu plus de finesse n'eut pas été un luxe. Ma note a été descendue d'une étoile juste pour ça.
À croire que les scénaristes ne savent plus parler autrement qu'avec des gros mots, histoire de se mettre à la auteurs des ados incultes..."
C'est vraiment très bien.
Je regrette juste que l'auteur soit si grossier dans les bulles : c'est inutile, et un peu plus de finesse n'eut pas été un luxe. Ma note a été descendue d'une étoile juste pour ça.
À croire que les scénaristes ne savent plus parler autrement qu'avec des gros mots, histoire de se mettre à la auteurs des ados incultes...
Mais que c'est niais... !
Pas réaliste pour un sou (alors que c'est ce que veut l'auteur), trop voyeuriste (surtout au vu de l'âge des protagonistes), et parfois un peu trop près de la frontière de la pornographie - entre enfants qui plus est (c'est vraiment à la limite du malsain, je trouve).
Et j'ai détesté cette façon de faire passer les jeunes filles pour des filles faciles, toujours prêtes à ouvrir les cuisses (ou la bouche). Zéro pointé.
Reste un dessin plutôt agréable, même si certains visages sont totalement ratés (les deux dernières vignettes sont totalement ratées, par exemple).
J'hésite réellement entre "Sans intérêt" et "Correct sans plus".
C'est une BD pour les djeunzs, avec des couleurs partout, un humour ado, un dessin très japonisant (je préférais même celui de la reprise de Spirou par le dessinateur à cet album). L'histoire n'a finalement pas grand intérêt : les amours adolescentes sont traitées de manière très futiles (et elle le sont en plus réellement dans cet album). L'aventure en elle-même n'a pas d'intérêt.
On lit, on oublie aussitôt.
J'ai découvert cette BD après avoir lu "Le grand méchant renard". C'est toujours excellent, mais je trouve cette histoire encore plus plus déjantée un tout petit peu trop longue. La fin tarde à venir et la scène en camion est de trop. Mais sinon, c'est une valeur on ne peut plus sûre.
Avec "Un bébé à livrer", il s'agit selon moi de la meilleure œuvre de l'auteur.
Simplement parce que c'est super drôle, très cartoonesque (fans de Tex Avery et Calvin et Hobbes, vous vous régalerez), que les expressions du renard me rappellent furieusement celles de Scrat (l'écureuil idiot de "L'âge de glace"), que je me suis esclaffé plein de fois, que ça s'adresse à un large public (meilleur album jeunesse à Angoulême en 2015).
Alors, oui, ce n'est pas super original (on pense à plein de références en lisant ce livre), mais c'est ultra bien fichu.
En un mot : GÉNIAL !!
Honnêtement, l'album est bon.
Mais je le trouve en dessous des autres.
Histoire de retomber sur ses pieds, historiquement parlant, l'histoire ne pouvait se finir autrement, mais il en résulte un album moins fun, un poil plus convenu (avec quelques moments brillants quand même, hein...).
Je regrette un peu le côté vraiment déjanté des albums précédents, et suis donc un peu déçu (même si ça reste très bon).
Après un troisième tome qui m'avait vraiment déçu (et m'a fait revendre la série), j'ai lu ce 4ème tome, qui remonte le niveau. On commence à avoir quelques explications, toute issues de révélations plus glauques les unes que les autres, et plus gores également. Je suis curieux de lire la fin de la saga, même si ce 4ème tome n'est pas suffisant pour me faire racheter toute la série.
C'est du Lupano, mais pour les enfants.
Que pour les enfants ? Principalement, mais pas que.
L'histoire est racontée de manière très simple mais aussi très fine, sur un ton plutôt humoristique, avec une morale elle aussi simple pour les jeunes enfants (mais pas simpliste).
C'est mignon, bien raconté, avec plusieurs niveaux de lecture.
En revanche, faut-il posséder cette BD, sachant que si elle s'adresse à un public jeune (8-10 ans, je dirais), je ne vois pas ce dernier lire et relire cette BD. Et pour le coup, le contenu est aussi un peu "juste" pour les adultes.
En voyant cette série pour la première fois sur les étals, j'ai juste vu une nouvelle série avec une nénette avec un flingue à la main. Je l'ai lu pour voir si on arrivait encore à faire du neuf avec du vieux : en fait, non, on n'y arrive plus du tout. C'est globalement pas très bon, y compris pour les dessins, trop figés et inexpressifs (c'est la mode depuis quelques années dans les BD de série B et Z). Maintenant que je sais qui en est la Cordialement,-scénariste, je ne sais pas s'il y a eu de la pub ou pas pour cette série (j'ai juste aperçu un sticker "20 minutes" sur la couverture, qui est plus là pour faire fuir l'amateur de BD soit dit en passant - je crois même que j'ai souri en le voyant). Bref, peu importe qui a écrit cette BD, qui l'a dessiné, qu'ils soient hommes ou femmes : ça reste médiocre et ultra convenu.
2 ou 3 anecdotes m'ont fait rire, mais le reste est très très plat.
On est loin des petites tranches de vie de Delisle ou Trondheim.
Tout aussi fou que le premier tome, hilarant la plupart du temps, une suite formidable qui ne s'arrête que trop tôt.
Z comme Don Diego est de loin mon œuvre préférée de Fabcaro (que je trouve très moyen sur les autres BD qu'il a écrites).
Ce grand one shot fait vraiment plaisir à lire : j'y ai retrouvé ce qui faisait la force narrative du Troisième testament. Une grande aventure avec la religion pour toile de fond, de l'Aventure et des personnages charismatiques.
Accessoirement, c'est aussi le meilleur scénario de Dorison depuis bien longtemps.
Je ne suis pas fan de Joe Bar. J'aime bien, c'est rigolo, mais sans plus. J'ai donc abordé cette BD avec un léger a priori. Et là, ce fut le choc : c'est noir, très stylé, avec des gueules, de l'humour, de la sensualité. C'est vraiment tip top. Vivement la suite et fin de cette micro série.
Après 2 tomes qui m'avaient vraiment emballé, je trouve cet ultime opus bien inférieur : un dessin un peu moins bon, une intrigue qui va plus vite, trop vite (j'aurais aimé une bonne dizaine de pages supplémentaires, au moins, pour développer certaines parties de l'histoire). La fin est aussi un peu gnangnan, ce qui tranche avec la globalité de l'intrigue.
Un troisième tome qui clôt une série ultra classique, assez jolie, mais au final totalement dispensable.
On est très très très très loin d'une série comme Zombies (de Peru), beaucoup plus en nuances.
J'avais envie d'aimer, vraiment.
Un dessin un peu vieillot comme je les aime, une aventure à la Indiana Jones, cela semblait prometteur.
Et au final, cette aventure est un peu plate, elle ne décolle jamais vraiment, et je suis resté sur ma faim. Reste le dessin plutôt bien fichu.
Mais POURQUOI ???
Le premier opus (des mêmes auteurs) était difficile à lire à cause du jargon utilisé, et je n'avais rien trouvé de palpitant à l'intrigue. Ce deuxième (et dernier, ouf) tome fut encore plus galère pour moi à finir : argot encore plus présent, intrigue qui part dans tous les sens, sans réel liant. Pour le coup, j'ai même accélérer la cadence de lecture dans le dernier quart, en sautant des cases.
25 pages pour que ça démarre enfin...
Ce troisième opus est clairement en dessous du niveau des 2 premiers :
. il est bien plus verbeux (alors que le scénario est finalement assez simple) ;
. le texte dans les bulles est très casse-pied à lire : les césures partout donnent l'impression que ça a été fait à la va-cite, sans grosse relecture ;
. le dessin est plutôt sympa, mais les persos lointains sont grossièrement esquissés, les persos changent de visage de temps en temps (notamment le personnage principal masculin), les japonais ont une physionomie quand même bien balèze (et semblent plutôt grands...). Bref, plein de petits détails que je n'ai pas remarqué dans les tomes précédents. Même la couverture de Sophia Cholet est un peu bâclée.
Au final, je pense qu'Olivier Peru devrait un peu ralentir la cadence sur tous ses scénarios de BD et de livres en parallèle pour un peu plus de qualité - je trouve que la baisse est clairement sensible sur l'ensemble de son oeuvre depuis au moins un an (syndrome que je retrouve chez d'autres auteurs à la côte qui surproductionnent - Dorison, Sente, etc.).
Excellent moment de lecture : c'est le LL le plus drôle que j'ai pu lire jusqu'à présent, et de loin. Du non-sens à chaque page, ou presque, et quelques moments d'hilarité. Vraiment super !!
Et pour une fois, j'apprécie le changement de format entre les tomes. En espérant qu'il en sera de même pour les suivants.
Un dessin très curieux (notamment sur les visages parfois difficilement différenciables - les décors sont quant à eux impressionnants), et une histoire somme toute assez classique au milieu, entourée de 2 histoires courtes plutôt nébuleuses.
Difficile dans ces conditions de comprendre que cette BD se trouve en compétition pour le prix du public au festival d'Angoulême 2017.
On sent clairement que le bouquin fait office de thérapie pour cette personne touchée au plus près par ces évènements tragiques. Malheureusement, pour le lecteur que je suis, tout tombe un peu à plat (à part quelques planches ici et là). C'est au final une BD trop intimiste, où pas grand chose ne me parle. Au delà de l'ennui que j'ai eu à la lecture, je comprends le besoin d'écrire ou de dessiner pour faire sortir tout ce qu'on a sur le coeur. De là à l'éditer...
Sept tordus s'amusent à tuer et manger des jeunes filles (première page du ivre), jusqu'à rencontrer une Rambo féminine qui ne va pas se laisser faire. La trame est ultra classique, et seules les vices des uns et des autres empêchent de sombrer dans l'ennui. Bof.
Je n'ai jamais aimé Blake et Mortimer, mais je connais plein de personnes autour de moi (plus toutes jeunes, certes) qui aiment cette série. Alors j'essaye toujours de comprendre... et je suis toujours déçu. Cette année ne fait pas exception : cela reste imbitable pour moi, avec en plus le fait que j'ai carrément abandonné la lecture au bout du premier tiers tellement l'intrigue et la narration étaient inintéressants. Je n'ai en revanche rien à redire au dessin de Juillard que j'adore toujours autant.
Un tome où strictement rien n'avance dans l'histoire. J'abandonne donc la série à la fin du second cycle,(chose que j'aurais déjà dû faire dès la fin du premier cycle : j'ai fait confiance au scénariste et je n'aurais pas dû...
À vouloir trop faire comme Gotlib, l'auteur en fait vraiment... trop. Dommage. La lecture reste sympathique, mais cela m'a plutôt donné envie de relire l'oeuvre du maître.
C'est bourrin.
Un peu trop bourrin.
Ça change d'une adaptation bisounours, certes, mais n'empêche que c'est un peu too much.
Bel objet, beau dessin, ambiance un peu dark bien trouvée (mais qui ne correspond pas vraiment à mes yeux à Mickey) et histoire curieuse, qui essaye de faire le parallèle avec l'actualité, mais qui finalement est un gros fourre-tout. Impression très mitigée au final et futur achat annulé.
Après un premier tome qui démarrait fort et un deuxième en demi-teinte, le troisième est clairement sur la pente descendante : des gros mots à toutes les pages ou presque, de l'humour pour plaire aux ados et une histoire qui n'avance réellement que dans le dernier quart. On est très loin de Universal War One. Rien à redire en revanche sur le dessin, c'est toujours aussi beau (et c'est ce qui fait remonter la note).
Plus politisé que le premier tome, plus ancré aussi dans l'Histoire, ce 2ème opus est passionnant. Il est aussi bien plus verbeux. Je ne regrette qu'une seule chose : que l'éditeur n'ait pas été fichu de conserver le même format de livre. Celui-ci fait presque un centimètre de plus de hauteur. Les éditeurs sont vraiment de vraies girouettes (à moins que ce ne soient tout simplement des incapables).
Je n'ai pas lu les précédant tomes de la reprise de Lucky Luke, que ce soient ceux scénarisés par Laurent Gerra ou autres. J'ai donc entamé ma lecture sans a priori.
Force est de constater que cela n'a strictement rien d'extraordinaire. A peine amusant de temps à autres, souvent très mou, et une forte impression de déjà vu à peu prés tout le temps.
Le dessin est très chouette, mais l'histoire n'a que peu d'intérêt.
Bref, une BD totalement anecdotique.
Il était temps que le cycle s'arrête. Malgré le changement de scénariste, c'est clairement du grand n'importe quoi.
Lecture sympa, quelques sourires ici et là, mais cette aventure sans queue ni tête (où tout n'est que prétexte à se moquer des dérives politiques sécuritaires) en fait quand même trop. J'en ai même zappé quelques cases sur la fin.
Il s'agit du titre le plus glauque du duo père/fils. Quelle noirceur !!!
J'aime vraiment beaucoup ce one-shot dans l'univers de Jeremiah (on voit d'ailleurs les silhouettes de Jeremiah et Kurdy page 2, sur le fond d'une des cases).
Le dessin et la colorisation sont toujours aussi magnifiques.
Bravo !!!
Cette série est toujours très sympa à lire. Reste que les histoires de tous ces personnages secondaires sont finalement assez vaines, n'apportent pas de nouvel éclairage à la série mère. Ce sont simplement des anecdotes, agréables à lire, mais dispensables.
Narration trop décousue, histoires trop inégales.
Je n'ai même pas lu la fin.
Je crois que je n'aimerai jamais que "Quai d'Orsay", du même auteur.
Incroyable, mais peu passionnant.
J'aime beaucoup les BD de Guy Delisle, surtout ses chroniques de voyage en Asie et au Moyen-Orient. C'était avec une impatience certaine que j'attendais ce gros pavé. Mais, si l'histoire est incroyable, si on sent que l'otage Christophe André en a bavé, j'ai trouvé la narration lente, trop lente. C'est en parfaite adéquation avec le thème, certes, mais au final, j'ai parfois sauté quelques pages, vu qu'il ne se passe pas grand chose (beaucoup de journées de l'otage étant à peu de choses près similaires). Bref, c'est pas mal, mais je ne l'achèterai pas.
Il n'y a malheureusement pas grand chose à sauver dans ce premier opus : les dessin ne sont pas à la hauteur (Dodson ne sait pas dessiner de la BD, alors que ses illustrations sont souvent majestueuses), le scénario n'est guère intéressant. Aucune envie de me plonger dans le deuxième tome. On est très très très loin des meilleurs scénarios de X. Dorison.
J'abandonne la série suite à la lecture de ce tome : rythme et découpage sont trop similaires à d'autres séries de l'auteur (oui, je sais, c'est sa marque de fabrique, mais j'ai trop souvent l'impression de lire la même chose), et les mystères très mystérieux sont également trop proches d'autres séries dans leur introduction et révélation (Bunker, Prométhée, Sanctuaire, entre autres).
L'attrait de cette narration hors norme n'est plus là, et à force de lire les mêmes schémas narratifs, il est temps pour moi de passer à autre chose.
Après§s l'avoir lu il y a de nombreuses années, j'ai tenté une relecture qui m'a un peu déçue : le côté facho de l'auteur ressort un peu trop, et l'histoire n'apporte finalement pas grand chose à l'univers de Batman. Sympa, sans plus.
Le meilleur des one shots parus à l'heure actuelle. Il est certes un peu fourre-tout, mais le rythme trépidant est bien dosé, et par certains côtés ça me rappelle l'ambiance de l'époque Tome & Janry. Plutôt cool !!!
Cette série aurait pu (dû ?) s'arrêter au tome 2.
Si ce 3ème album est correct, il reste très en deçà des précédents, simplement car il n'apporte rien d'extraordinaire à l'histoire. On lit, et puis on oubli. C'est un peu dommage, et j'ai l'impression que la (sur)production actuelle du scénariste rend ses dernières créations, tous genres confondus, moins prenantes et agréables à lire qu'il y a quelques années.
Et blablabla, et blablabla, bla blabla bla.
Soporifique, inintéressant. Tout se qui faisait le sel de cette série semble avoir bel et bel disparu.
Découverte de cette série "à succès". Ce premier tome pose les personnages qui vont, je suppose, être développés sur les tomes suivants, en se concentrant sur "Marie", la veuve qui tient le magasin général. Certaines scènes sont assez sensibles, mais il manque de la truculence dans la brochettes des persos, ce qui a rendu ma lecture pas vraiment passionnante. Peut-être le tir sera-t-il corrigé dans les tomes suivants ?
Moi qui sortait tout juste de ma relecture de Peter Pan, du même scénariste, la différence est énorme.
La meilleure adaptation/version/vision de Peter Pan qu'il m'ait été donné de lire. Passionnant de bout en bout. C'est l'oeuvre de Loisel la plus aboutie à mes yeux, avec La quête de l'oiseau du temps.
La jeunesse de Thorgal 'était le seul "Spin-off" de la série Throgal qui tenait encore la route. Et ce tome 4 ultra quelconque, digne des moins bons épisodes de la série mère (c'est dire), est arrivé. Le recueil qui m'a finalement fait revendre tous les tomes des "Mondes de Thorgal". Marre, marre, marre.
Longue et verbeuse, l'introduction de ce "polar" légèrement fantastique m'a ennuyé. Il faut dire que le dessin grossier (et pas vraiment beau) n'aide pas à pleinement rentrer dans l'histoire. Enfin, il y a trop de thèmes divers abordés en même temps : le tout manque un peu de liant et ça n'aide pas vraiment le lecteur à rentrer dans l'histoire, même sur 60 pages. Dommage...
La meilleure œuvre de Sente que j'ai pu lire, encore aujourd'hui. De très loin.
Les dessins de Rosinski à la peinture sont quant à eux vraiment extraordinaires, ce qui nous plonge encore plus dans l'ambiance.
Un must.
Un tome dans la veine du premier opus, en un peu meilleur sur tous les points (excepté le dessin, toujours bon) : histoire un peu plus originale, humour un peu plus présent, narration un peu plus originale. J'ai bien aimé.
Le dessin de M. Bonhomme est efficace, à défaut d'être original. On est exactement dans la même ambiance que dans le récent "L'homme qui tua Lucky Luke". La narration est curieuse (avec quelques allers et retours dans le temps), mais ça passe plutôt bien. Je n'ai en revanche absolument pas retrouver le style farfelu de L. Trondheim (mais c'est tant mieux, je n'en suis guère fan). Un premier tome sympathique pour ce western (très) classique - un peu trop d'ailleurs.
Après un deuxième tome décevant (surtout suite aux promesses du 1er opus), ce dernier volet ne remonte pas le niveau. Perso peu intéressants, violence gratuite et glauque qui n'apporte rien. Ça se laisse lire, mais on oubliera très vite cette série.
Cela fait des années que j'entends parler de cette série que je m'y suis enfin plongé. Malheureusement, ce premier tome ne me donne pas vraiment envie de continuer : les dessins sont vraiment rebutants, et l'histoire en elle-même part un peu trop dans tous les sens (ce qui fait que le fil rouge qui donne son nom à l'histoire est bien trop dilué, et que les autres aventures à côté sont souvent plutôt insignifiantes). On est dans le même registre que les Persepolis, L'arabe du futur et autres récits autobiographiques, mais la narration de cette Ascension du Haut Mal est vraiment trop brouillonne pour moi en comparaison.
Comme le tome 2, on est loin de la réussite du premier opus. Ce troisième volume est excessivement verbeux (ce n'est pas toujours pertinent, d'autant plus que ça "hache" l'aventure). Il y a quelques trouvailles sympathiques (le téléphérique, le combat contre le dragon), le dessin est très bon, mais c'est l'ennui qui domine de bout en bout.
J'aime bien Lucky Luke, sans être un grand fan : je possède a peu près toutes les intégrales, et je juge la série très inégale dans l'ensemble. J'ai donc lu ce one shot, sans avoir été conquis jusqu'à présent par les BD de son auteur, M. Bonhomme. Hé bien, c'est clairement ce qui se fait de mieux dans les Lucky Luke. Il n'y a (presque) pas d'humour, l'histoire est assez sombre tout en restant dans les ressorts classiques du western, le héros est charismatique sans trop en faire. Bref, c'est très bien raconté, les dessins sont plutôt beaux et la colorisation old school est un bien bel hommage aux colorisation d'antan souvent mal faites (sauf que là, c'est justement bien fait).
Après un tome 1 remarquable, on ouvre ce deuxième tome en espérant éprouver les mêmes sensations. Et c'est bel et bien le cas. La narration est magistrale, le dessin toujours aussi précis et beau. Je ne connaissais que très peu ce vilain, je n'ai jamais été fan de Tif et Tondu, mais cette courte série est absolument géniale. Vivement le troisième et dernier tome.
C'est le tome qui m'a fait revendre la série. Scénario finalement plutôt fourre-tout, qui part dans trop de sens. Il n'y a plus le punch des 2 premiers tomes, ça polit un peu. Bref, déçu.
Un dessin tout juste correct (pas toujours bien fini à mes yeux), et une histoire relativement banal pour ce premier tome qui ne m'a pas donné envie de découvrir la suite.
Ma fille n'a absolument pas accroché non plus.
La colorisation informatique passable, le dessin trop scolaire et statique, et la narration redonnent finalement encore plus envie de relire la percutante histoire de Conan Doyle.
On sent la bonne volonté du scénariste, mais à vouloir caser à tout prix des jeux de mots (parfois tarabiscotés, trop souvent pas très drôles) à toutes les pages, l'intrigue passe au second plan, en plus de n'être pas très accrocheuse.
Le tome 35 était juste passable, mais à vouloir trop en faire, ce tome 36 est finalement en dessous.
Rien à redire sur le dessin qui imite plutôt bien celui d'Uderzo, en moins pur tout de même (avec un léger côté trash supplémentaire).
Une lecture ennuyeuse, pas vraiment nulle, mais ce scénario, à vouloir trop en faire, me fait encore plus regretter Goscinny.
Le 2/5 tient compte du dessin qui fait remonter la note.
Cette suite sur la descendance de Blanco est un tome dans la droite lignée de la première série, partagée entre action et émotions. On y retrouve toujours les mêmes politiciens, le même programme militaire, et deux chiens aux capacités exceptionnelles au lieu d'un seul. Un course poursuite spectaculaire, toujours aussi haletante. Une œuvre énorme, tout simplement.
Ce nouveau cycle me conforte dans l'idée que Taniguchi a un talent fou, et pas uniquement pour les histoires intimistes, loin de là. Ce manga d'action très violent, centré sur la nature, en est le parangon.
Blanco est une formidable ode à la nature et au règne animal.
Presque tout donne envie à la lecture du premier tome : une histoire à la fois sombre et intrigante, un dessin curieux mais pêchu. Puis vient le 2ème et dernier opus, où ça part un peu en live : beaucoup moins d'intérêt pour l'histoire, de l'action non stop (ou presque) qui fait traîner en longueur, et malgré un fin non conventionnelle (mais trop vite amenée et finalement peu intéressante), je me suis quand même pas mal ennuyé.
J'en avais entendu tellement de bien, que j'ai finalement été plutôt déçu. Une fois de plus, j'en ai attendu beaucoup trop.
Dans ce one shot, on suit les tribulations d'un petit vieux qui se laisse balader entre l'Afrique et l'Europe. Histoire pas vraiment touchante, intrigue un peu fourre-tout, c'est un des livres que j'ai le moins apprécié de l'auteur.
En fait, ce n'est pas une BD.
Par curiosité, et quand je ne les connais pas déjà, je lis les quelques titres BD primés à Angoulême. Et s'ils me plaisent, je les achète (c'est rare).
"Cher pays de notre enfance" est donc le prix du public... et c'est un livre que je n'ai pas fini, le refermant un peu avant la moitié. En fait, pour moi, ce n'est tout simplement pas de la BD. L'histoire raconté est intéressante, prenante, mais c'est un roman déguisé où les dessins ne sont là que pour faire passer l'ouvrage pour de la BD : on ne les regarde même plus, passées les quelques premières pages. En fait, ils ne sont là que pour indiquer qui parle (comme un "et Bidule dit alors", "puis Machine répliqua" dans les livres non dessinés). Ils ne servent en rien l'histoire, ils ne sont que des raccourcis narratifs.
Bref, j'ai l'impression d'être pris pour un couillon, dans le sens où on me fait croire que je ne suis pas capable de lire un livre sans image et donc on rajoute artificiellement des images pour m'accrocher. Pour le coup, ça a eu exactement l'effet inverse : j'aurai préféré lire un livre non dessiné sur ce thème, plutôt qu'une fausse bande dessinée.
Je ne le finirai donc pas sous ce format.
J'ai globalement pris un peu de plaisir sur la série, même si elle est très inégale.
Mais ce 5ème tome bâcle finalement la fin de l'histoire. Et c'est sans compter les dessins des personnages qui se dégradent au fil des pages, notamment au niveau des visages (au contraire des décors qui restent globalement très très bons). Et puis c'est quoi ces filles dénudées en plein milieu du tome et qui n'apportent rien ? Pourquoi ce voyeurisme de bas étage pour une histoire qui se veut un peu intello (mais qui finalement n'y arrive vraiment jamais) ?????
Tome 1 : 5/10 - mou et nébuleux, mais annonce un 2ème tome plus prometteur
Tome 2 : 6/10 - un peu mieux, mais pas encore vraiment convaincant.
Tome 3 : 7/10 - le meilleur tome de la série, plutôt très bien
Tome 4 : 6/10 - baisse de régime et des explications plus ou moins farfelues font leur apparition
Tome 5 : 5/10 - une fin tarabiscoté qui laisse le fond en suspens. Décevant.
Après un premier tome prometteur, puis un second plus verbeux et confus, l'histoire de finit dans un dernier opus "armageddonesque" guère passionnant, ultra verbeux (pour noyer le poisson derrière un jargon pseudo scientifique) et qui n'apporte que peu de réponses à toutes les questions soulevées dans le premier tome.
Une tendance qui, j'ai l'impression, se généralise sur un peu trop de séries signées Christophe Bec depuis quelques années, et qui commence à me saouler.
Une suite de "L'île au trésor", centrée sur son personnage le plus emblématique : le pirate Long John Silver. Une histoire très sombre, magnifiquement illustrée. C'est également l'une des meilleures créations de son scénariste Xavier Dorison (avec son formidable "Troisième testament").
Je conseille très fortement cette intégrale à la place des 4 tomes unitaires (que j'ai revendus pour posséder ce bel objet). Le carnets de croquis (d'une quarantaine de pages) du dessinateur et les hommages d'autres dessinateurs sont juste magnifiques.
Si vous aimez :
- les beaux dessins
- l'ésotérisme
- l'Histoire
- les uchronies
- les sources de la médecine moderne
- Léonard de Vinci
- les histoires un peu compliquées
- les histoires vraiment originales
- les fins un tout petit peu décevantes
La licorne est faite pour vous.
Quelle déception après avoir lu Vinland Saga du même auteur. Certes Planètes est plus ancien, mais la narration est décousue, les personnages peu attachants, l'intrigue SF peu palpipante (car aucune réponse n'est apportée aux problèmes décrits).
Vraiment déçu au final.
Sur fond historique, Vinland Saga nous raconte les aventures d'un jeune danois (viking) qui cherche à venger la mort de son père.
La narration est brillante, le dessin d'une force incroyable, l'histoire est pleine de surprises (_vraiment_ inattendues), la très grande violence de l'époque semble bien rendue, elle contexte historique (l'auteur semble avoir fait moult recherches) rend l'Histoire passionnante.
J'ai de plus rarement vu une évolution de personnage aussi fouillée, aussi étonnante.
"Géniale" semble être le meilleur qualificatif que je puisse donner à cette série.
Hébé... tout ça pour ça ?
Un démarrage un peu longuet, une intrigue pas palpitante et finalement sans grande surprise dès qu'on voit les appareils de haute-technologie débouler avec leurs gros sabot (c'est d'ailleurs à partir de ce moment là que l'intérêt se dissipe presque totalement)).
Et puis, c'est quoi cette manie de vouloir surfer à tout prix sur l'actualité terroriste ?? La peur, j'en ai assez tous les jours dans les médias écrits et télévisés, pas la peine de ressortir encore et toujours les mêmes choses dans des oeuvres destinées à simplement divertir.
Le dessin est correct (sans plus, notamment à cause de cet encrage bien trop prononcé) et passe-partout, mais les visages sans expression ne permettent pas de nous y attacher.
Je ne connais que très peu le Bob Morane originel, mais pour le coup j'ai bien envie de m'y pencher sérieusement, histoire d'oublier cette série B présentée comme une "reprise".
Un excellent nouveau départ pour ce deuxième cycle. Les persos ont grandi, l'idée du flashback... Je regrette juste un poil la colorisation qui est moins pressante que pour les tomes 0 à 3.
Zombies reste toujours la série de référence sur le sujet (avec Walking Dead, certes, mais beaucoup plus constant que ce dernier).
Oh my god....
Que je bois du vin et que je suis transporté dans de jolies prairies ou montagnes où de gentils petits oiseaux qui gazouillent, ou alors j'entends de belles musiques... Mon dieu... après deux bouteilles, je veux bien, mais juste un verre...
J'ai abandonné après un tome...
Le dessin reste quant à lui très réussi, mais ne sauve pas ce "truc".