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Scénario inepte. Peut satisfaire les lecteurs amateurs de batraciens et de paysages marécageux. Bob Morane a décidément le charisme d'un tonton Macoute et détient le statut du héros le plus machiste de toute la bande dessinée. Résolument has been.
Un beau western, classique et austère, des paysages à couper le souffle. Tous les ingrédients du genre sont présents.
Le dessin a la flamboyance de celui de Michel Blanc-Dumont, et la mise en couleurs est un modèle.
Le format 46 planches est un peu court, on en redemande, avec une intrigue et une narration plus poussées on pourrait faire la comparaison avec Mike S.
Pour moi le meilleur Lefranc, scénario et dessin très aboutis.
Cette série aurait gagné je pense à suivre cette ligne réaliste moins débridée que les élucubrations grand-guignolesques des projets mégalomanes d'Axel Borg.
Une mention spéciale pour Bob De Moor particulièrement brillant dans l'expression graphique de cette histoire.
Deux ingrédients indispensables à l'insolente réussite de cet album : les champignons et le marsupilami.
Indéniablement une pépite de l'âge d'or, à ranger à coté de La voiture immergée et Les rivaux de Painful Gulch.
J'adhère à la critique de Blackfrag, il m'a fallu une bonne dose d'abnégation objective pour arriver au bout de cette lecture pénible qui enfonce toutes les portes ouvertes sur le cosmos.
Cette saga en 4 opus est assez déroutante. Les deux premiers tomes sont très prometteurs, la suite et la fin sont assez décevantes. Le récit et la narration bien maîtrisés au départ perdent peu à peu leur fluidité. Les flashbacks, l'alternance des scènes, les personnages sont de plus en plus confus, cette belle histoire dérive dans les limbes d'un songe mal remémoré. Le dernier album est particulièrement abscons et nous laisse frustré. Dommage, ça aurait pu être une grande BD, le dessin de Rossi est admirable mais mal servi par le format réduit de cette intégrale et un glaçage papier inadapté au genre.
Le dessin de Gine est d'une rare élégance et donne toute sa mesure dans cette série maritime qui nous ouvre les grands espaces.
Certaines vignettes sont de purs tableaux, la mise en page est virtuose et le dessin donne corps à ce monde imaginaire.
Pour moi une des meilleures références DELCOURT.
Cet album est un véritable bijou.
André FRANQUIN a changé ma vie, il m'accompagne quotidiennement, et ce nouvel ouvrage vient compléter avec à propos le trésor graphique que nous laisse le grand homme.
Cet ouvrage est émotionnellement très fort.
Les reproductions des planches originales sont époustouflantes.
Le format rend justice à cette somme, témoin de l'abnégation laborieuse du plus grand d'entre tous.
Le tome 2 m'avait laissé sur ma faim mais celui-ci donne à ce triptyque une tout autre dimension.
Je ne vais pas vous spolier la fin, je dirais simplement : il a osé !
Óscar MARTIN est un dessinateur virtuose et son souffle narratif ne faiblit pas. Une des meilleures découvertes récentes.
Pour 4 euros vous pourrez vous faire une idée de cette proposition BD et c'est l'avantage de cette collection de 75 opus qui sera vôtre contre la modique somme de 946,00 €uros.
La qualité de reproduction en N&B est très inégale tout comme le dessin lui-même, le changement incessant de dessinateur ôte toute cohérence de style à cette série.
Elle permet de mesurer le fossé abyssal qui sépare la BD américaine du reste du monde. La preuve est faite, considérant ce genre de production, que la BD est aux Etats-Unis un art très mineur réservé aux enfants en bas âges et jetable.
Je m'arrête au numéro 1.
Cette belle série s'intéresse à une période très méconnue de l'histoire, la confrontation des tribus indigènes d'Amérique du nord avec les premiers conquistadors espagnols.
L'originalité du thème et du dessin, la rigueur apportée à ces récits, positionnent les Peaux Rouges d'Hans KRESSE très haut dans le panthéon de la bande dessinée.