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Les quelques planches dessinées par Buscema affadissent complètement le reste du bouquin dû à Barry Smith.
Enfin, on allait vraiment pénétrer de plein pied dans le mythe le vrai. Mais depuis septembre 2005, plus rien.
Les amateurs ou les impatients n'ont pas manqué de se retourner vers la réédition américaine assurée par Dark Comics.
Même recette que les précédents avec des histoires qui globalement fonctionnent mieux. A noter que deux épisodes sont dessinés par Gil Kane.
Incontestablement du mieux par rapport au 1er volume. Thomas tire ieux parti du monde hyperboréen, le dessin de Barry Smith est davantage assuré.
Mais vis à vis de ce que fera Buscema (je sais, j'insiste !) on est loin du compte.
Le problème de cet album est qu'il ne peut empêcher de faire la comparaison avec les histoires dessinées par John Buscema.
Non pas que Barry Windsor Smith soit un mauvais dessinateur, loin de là, mais il n'est quand même pas à la hauteur de Big John.
Quant au scénario, on dira poliment que Roy Thomas en peaufinera de bien meilleurs par la suite, qu'il fait là son apprentissage et que le tout est une bonne idée de publier les histoires de Conan en français dans l'ordre où elles étaient parues Outre-Atlantique.
Ça y est voyant sans doute que les courbes de vente du comics plongeaient, les éditeurs ont décidé de faire une tour à Pellucidar. Mais c'est tellement bien fait et tellement crédible qu'on se croirait sur la planète de Peter Pan, avec con coin aux Pirates, aux Peaux-Rouges, etc.
Mieux on a l'impression d'être à Disneyland.
Les lecteurs américains ont mis les pouces; nous aussi.
Tarzan méritait mieux que cela et les lecteurs aussi.
Le 2ème tome offre le même lanque d'imagination que le premier. Tout juste notera-t-on à la fin la présence d'Abdulharazad, un adversaire à la hauteur de Tarzan.
Allier le mythe de Tarzan à la puissance du pinceau de John Buscema , en voilà une bonne idée. Surtout quand la plume est tenue par Roy Thomas.
Oui mais voilà, les deux premières aventures (c'est un recueil du comics américain) sont affligeantes de médiocrité (je ne parle évidemment pas du dessin) puisqu'on a droit à un Tarzan qui se mesure à un lion ou un gorille ... oh surpise !
"L'autel du Dieu Ardent" est déjà plus conforme à ce que l'on attendait mais la suite retombe dans le manque d'originalité totale. On aurait aimé que Buscema nous entraîne dans le monde de Pal U Don, Pellucidar ou Ophir.
Niente ou presque.
Comme disent nos amis shakespeariens : Much ado about nothing
Lefran exhume quelques courtes histoires parues dans Pilote. A vrai dire, elles ne fonctionnent pas toutes très bien.
Reprise de vieilles bandes parues en N&B dans Pilote. Une Madeleine pour les anciens, un agréable divertissement pour les autres; encore que l'irruption des Jurassic Park ait rendu tout cela un peu plat.
L'histoire d'un mégalo frappadingue qui veut revivre sous le temps des romains ... avec quelques aménagements bien sûr. Mais pour Bob Morane l'ère des empereurs est terminée.
En vérité assez peu palpitant. Une pièce de collection sûrement mais d'un intérêt diffus quant à l'histoire.
Les inconditionnels de Bob Morane apprécieront, les autres sur un sujet similaire préféreront Tiger Joe.
Ue bande d'une qualité honnête. D'une manière générale plus lâge du lecteur descend plus l'intérêt grandit.
Cette histoire de satellite dans la jungle amazonienne a été vue, revue et rerevue. Comme les autres aventures de Morane direz-vous ? Oui, mais les autres ont souvent (pas toujours) un petit quelque chose de plus absent ici.
Cette fois-ci, ce sont les 7 cités de Cibola qui sont visées par nos deux héros, lesquels vont servir de chevaliers servants à une jeune et jolie jeune fille. Vous avez dit surprise ?
Cela étant l'album est bien plaisant.
Un mystérieux indiens qui appelle les crotales à la rescousse, voilà qui est fascinant. Sinon comme d'habitude notre ami Bob va secourir une jeune et jolie femme, ici une princesse navajo.
L'un des meilleurs Bob Morane, sinon le meilleur, que cette histoire de voyage dans le temps.
Les puristes objecteront que Gérald Forton nous offre des costumes de fantaisie puisque rien ou si peu ne disitngue les soldats de Charlemagne de ceux de la guerre de 100 ans.
Balayons cela d'un revers de main et savourons un plaisir enfantin avec le tour de force de faire du début une fin et de la fin un début.
Signalons que les pages reprises dans l'album sont tirées de celles parues dans l'hebdomadaire "Femmes d'Aujourdhui". Or pour atteindre les 44 planches "réglementaires" un certain nombre de strips ont purement et simplement été éliminés.
Suite directe de l'album "No Pasaran". Ce qui faisait le suspens des premiers albums était basé sur les ressorts du monde de l'espionnage, des trahisons et des double-jeu.
Ici le suspens est lié à la guerre, d'où la petite marque de retrait par rapport aux volumes précédents.
Un album très intéressant mais moins intrigant que le premier.
En règle générale, les scénariste ont, me semble-t-il, toujours du mal avec leurs histoires de conjurations. C'est souvent la montagne accouchant d'une souris. N'en reste pas moins un excellent album tout de même.
Pour qui apprécie le steampunk cet album est une référence. Il faut dire que le dessin d'Antonio Parras n'a jamais été aussi somptueux. Comme le fait remarquer avec justesse Altobar, le graphisme tire vers Jean Giraud.
Ce Londres qui n'a jamais existé est simplement sublime, plein d'inventivité avec en prime une histoire de serial killer à la Jack l'Eventreur.
Les aventures de Fridman remontent lentement le temps puisque nous sommes en Espagne durant l'été. La guerre civile est à son climax mais jette en fait ses derniers feux.
A la demande d'une amie, Max part en Espagne à la recherche de Guido avec lequel il s'était quelque peu brouillé. Ce sera pour le lecteur de découvrir une Barcelone oppressante et en ruine.
Nous sommes fin 1938 à Istanbul. Le NKVD, l'ancêtre du KGB, a décidé de faire le ménage. Le hasard fait rencontrer Max Fridman et la ravissante Magda Witzman. Très vite Max s'aperçoit qu'il n'est pas en sécurité. Mais les choses seront plus compliquées que prévu.
Superbe et subtil thriller dans lequel les services secrets français et plus généralement démocratiques se font balader par les services secrets nazis.
Un ton désabusé, désespéré, devant la menace imminente et inéluctable de la deuxième guerre mondiale.
Tewfik, jeune musulman égyptien, et Briska, jeune copte, s'aiment. Ils fuient travers la Méditéannée. Le hasard leur fait encontrer un célèbre diamantaire, un peu agent secret à ses heures.
Un peu complexe et sans trop de ressort dramatique.
Excellent thriller d'espionnage qui par son ambiance tire vers le "3ème homme", "Berlin Express", "Voyage au pays de la peur" et "M. Arkadin". Secouez très fort, mélangez et vous obtenez cette histoire de vengeance qui se déroule à la toute fin de la 2ème guerre mondiale.
Pas très crédible toutefois dans son résultat. On doute qu'un groupe limité de personnes soit en mesure de faire ainsi basculer un pays.
Perpétuel fugitif, Alex pensait pouvoir refaire sa vie à Newton. Mais le destin en décide autrement. Le tueur abat ses cibles comme un métronomes. Il s'agit pour sûr de faire place nette. N'est-il pas temps d'essayer de sauver ceux qui ne se savent pas encore menacés ?
Aussi palpitant que le premier, aussi crédible (on voit quand même mal un espion perdre du temps à maquiller ses victimes); mais après tout qu'importe puisque le plaisir est là.
Nous sommes au début des années 60 et Alex, celui que l'on croît être un agent soviétique dormant est obligé de fuir avec son fils. Un mystérieux tueur -le clown- qui grime ses victimes en clowns est à ses trousses.
Alex tente de remonter la filière de tous les agents dormants qui sont siutés aux abords de la mythiques route 66, celle qui part (partait en fait puisqu'elle n'existe plus !) de Chicago pour aboutir à LA.
Au tarif d'un album par état, c'est donc dans un cycle de 8 volumes que nous venons d'entrer.
Le drame qui couvait dans le premier volume explose ici. Comme c'est un tantinet téléphoné, on reste en peu en retrait par rapport au premier album. Mais le tout est délectable.
Anaïs accompagne son officier de mari dans sa nouvelle affectation de Montdauphin, citadelle perdue du fonds des Alpes.
Pour Anaïs, c'est un retour à l'enfance puisqu'elle y a passé plusieurs années alors que son père en était commandant.
Mais l'atmosphère est lourde très lourde.
Et ce n'est pas l'assassinat de soldats qui va calmer la situation.
Kid se retrouve être l'esclave d'un riche propriétaire mais Chick Bill tient à verifier de visu le soi disant nouveau bonheur de son ami. Une histoire complémentaire de 14 planches complète l'album.
Voilà qu'un corbeau sévit à Wood City, ce qui ne manque pas de perturber notre petite ville. Cépage habituel, ni un grand cru, ni un mauvais.
Histoire de 30 pages accompagnée de "Duel sanglant et sans Kid Ordinn".
Nos amis filent en Europe, en Grande Biture, soutenir Schnot-le-Bel qui vient de se faire renverser. Pour cela, ils laissent même le poste de shériff à une femme (jolie de surcroît). Après un périple maritime, les voilà bientôt en Grande Biture.
Là, il sont confrontés à un régime qui ressemble à s'y méprendre avec celui des nazis (hormis le décalage historique de rigueur).
Bonne idée mais traitement pas complètement à la hauteur des ambitions.
Une petite histoire de 30 planches datant de 1960 accompagnée de deux mini histoires. Pas mal mais sans plus.
De nouvelles élections de shériff sont en cours. Kid bénéficie de bien curieux agents électoraux qui espère bien profiter de sa mansuétude par la suite.
Vieille histoire (1959!) de 30 planches accompagnées de 2 petites histoires complémentaires : "L'impôt-cible" et "Le policier d'élite"
Un quatuor de bandits essaient d'empêcher que leurs bobines arrivent sur les affiches de recherches destinées à Wood City. Pas inoubliable.
Alors qu'ils prennent un bain dans un étang, Kod Ordinn et Dog Bull se font voler leurs vêtements par deux déserteurs. Du coup, ce sont eux qui passent pour avoir déserté. Cette histoire de 30 plaches date en fait de 1963 et est complétée par une mini-histoire de 1982, "Une religieuse pour Kid Ordinn"
Nouvelle pépite dans les aventures de Dog Bull et Kid Ordinn. En fait, ces deux là sont vraiment les héros de la série, Chick Bill et Petit Caniche, trop lisses et trop parfaits ne sont que des faire-valoir dont le seul mérite -mais il n'est pas moindre- est remettre les choses d'aplomb à la fin de l'album.
Une suite de gags et de jeux de mots qui s'enchaînent de la première à la dernière planche. Kid Ordinn et Dog Bull dans une forme olympique. A lire d'urgence si l'on apprécie les à-peu-près et qu'on veut chasser ses idées noires.
KId se met au violon, tandis que son double -tueur à gages- mériterait d'y aller (au violon). Bref, vous devinez aisément les quiproquos et pataquès qui peuvent s'ensuivrent.
Alors que le village est saisi d'une chasse au fantôme voilà apparapitre une curieuse bonne femme femme qui double ses phrases. Fatmah, puisque c'est d'elle dont il s'agit a également des voyances.
Et qui plus est des voyances qui réussissent; surtout quand il s'agit de catastrophes.
Autodérision du dessinateur ?
Toujours est-il que ce pauvre Kid va être pris dans une machination infernale. Mais est-elle si infernale que cela ?
Dog Bull, Kid Ordinn et Cie doivent apprendre des rudiments d'éducation à une jeune femme qui a passé son enfance chez "les indiens sauvages".
Comme professeurs, on peut trouver bien sûr plus efficaces mais sans doute aussi moins drôles.
Tout est donc prétexte à montrer que certaines de nos politesses ne sont que des habitudes souvent vides de sens.
Suite de l'album précédent avec là encore une suite de gags ou d'incompréhension comme le fameux "grand-mère" qui est la clé de l'énigme.
Bref, un excellent moment.
Un procédé permet de voyager dans le temps grâce au sommeil. Mais attention, mourir dans son sommeil revient à mourir dans la vraie vie.
Et voilà nos amis qui reviennent au temps des mousquetaires pour éclaircir une sombre affaire d'héritage.
Somptueux !
La sécheresse devient une réalité quotidienne pour la petite ville de Wood-City, pour ne pas dire une plaie. D'autant que des bandits empêchent tout approvisionnement et revendre le verre au prix de l'or.
Une révolution vient d'avoir lieu dans une principauté indienne. La présence de nos amis -accidentelle- s'impose. Malheureusement les hindous sont d'une crauté sans égale et notre brave Kid va avoir la tête broyée par un majestueux éléphant blanc. Mais l'adjoint de notre shériff préféré est resté très joueur.
Voilà un exemple qui illustre assez bien la teneur de cette aventure.
Loin d'être le meilleur de la série.
Un cru moyen. Il en faut aussi pour pouvoir relativiser et apprécier les productions plus résussies.
Il se passe de curieuses choses dans le volcan mexicain du Patratomac. Suffisantes en tout cas pour que nos amis y fassent un tour.
Aventures trépidantes, dialogues merveilleux (je crois me souvenir mais j'ai sans doute tort que Goscinny a collaboré). Un livre à lire toutes affaires cessantes.
Western assez traditionnel; agrémenté ici et là des fantaisies bulliennes et ordinesques. Mais fondamentalement rien de grandiose.
Voilà que Kid déprime. Pour lui remonter le moral, ses amis lui font croire qu'il est le meilleur dans bien des domaines. ET voilà que cela marche (à peu près). Sauf que les hors-la-loi n'ont qu'une idée: se débarasser d'un pareil shériff adjoint.
La découverte d'un bouddha de jade amène nos amis sur les rives africaines à la recherche d'une armée mongole qui disparut dans une bataille contre les Romains.
L'esprit de Tarzan et le comique d'Astérix. Un mélange détonnant !
Un bandit est capable de se grimer comme bon lui semble. Ce Frégoli de la gâchette suffit à faire un album assez moyen, loin des productions habituelles de nos héros de Wood-City.
Dog Bull est d'origine corse, c'est en fait un Bullonaparte et ceci nous vaut un déplacement vers l'île d'amour. Aussi plaisant que les albums précédents
A force d'acheter des boîtes de savon, qu'il n'a pas vraiment utilisé (le savon !), Kid a gangné une crosière pour Honolulu. Les voilà partis sans savoir que le typhon du siècle menace.
Il va donc leur falloir vivre la vie de Robinson.
UN automate sème l'interrogation dans Wood-City, vrai machine ou sperchercherie et si supercherie, pourquoi ?
Ou quand Frankenstein dérive vers les oeuvres d'art.
Dog Bull est d'origine corse, c'est en fait un Bullonaparte et ceci nous vaut un déplacement vers l'île d'amour. Aussi plaisant que les albums précédents
A force d'acheter des boîtes de savon, qu'il n'a pas vraiment utilisé (le savon !), Kid a gangné une crosière pour Honolulu. Les voilà partis sans savoir que le typhon du siècle menace.
Il va donc leur falloir vivre la vie de Robinson.
Il s'agit de mini-histoires de 7 ou 9 planches, sauf une "le combat du siècle" qui en fait 22 et "l'otage ingrat", "schnot le bel à wood city", "le gras, le gros et l'inutile", "moi, instruit", "la mouche", "le plus grand, le plus fort, ...", "feu, kid ordinn", "une religieuse pour Kid Ordinn", "un duel sanglant sans Kid Ordinn", "l'escroc et le nigaud", " Dog Bull le Grand"et "Chantage à la clé" qui en font 14.
En fait ces planches de commandes étaient destinées à completer nombre d'histoires de 30 planches, datant des années 60, et permettant ainsi de faire un album "réglementaire" de 44 planches.
Un message secret a été caché dans une pipe et voilà qu'un bandit masqué cherche à se l'approprier. En fait après bien des tatonnements notre équipe devra faire route vers l'Amazonie où réside un fabuleux butin de pipes en or.
Alors qu'ils sont en visite chez les Blackfeet, Kid est atteint de somnambulisme. Il s'avère que la grotte dans laquelle il se rend est non seulement encombrée d'od humains mais surtout gorgée de pétrole.
Assez sympa.
Kid vient d'hériter de son papa. L'héritage se compose du puits n°27 à Marraccas et ce qui prouve la légitimité de Kid à l'éhritage est une immense étoile qui barre son dos.
Voilà donc la fine équipe partie pour Marracas où les moeurs sont quelques peu peu viriles. Avec bientôt en toile de fond, cet angoissante question : Kid est-il bien l'héritier légitime ?
Kid vient d'acquéir pour trois fois rien une propriété en Ecosse, le loch Harlocktay. Malheureusement, une fois rendus sur place, nos amis s'aperçoivent qu'il ne s'agit guère plus qu'ne maigre corniche donnant sur un à-pic.
Bonheur supplémentaire, un monstre hante les rives du lac. A moins, bien sûr, qu'il ne s'agisse d'une supercherie.
(une malencontreuse erreur de manip me fait continuer le texte ici).
En fait, disais-je, nous sommes encore dans une série d'aventures dans laquelle l'humour tient sa place. Alors que dans quelques albums il s'agira d'une série humoristique qui a comme prétexte, toute la nuance est là, une base d'aventures.
C'est dans ces premiers épisodes de Chick Bill que Tibet fait ses classes. Les épisodes qu'il propose, dont celui-ci, ne sont certes pas mauvais mais ne bénéficient pas encore du dléire qui sera la règle commune des albums en matière de (mauvais) jeux mots.
En fa
KId Ordinn a un sosie, l'un des révolutionnaies du Parasolos. Le pays connaît bien sûr de graves troubles; le quiprpoquo aidant voici la fine équipe de Wood City dans ce pays de cigares et de révolutions.
Plaisant mas pas encore à la maturité qui sera la sienne bientôt.
Premier album de Chick Bill dans lequel les personnages ont encore des traits d'animaux. Mais ce on ne touche pas là à la grâce de Chlorophylle. Pas très réussi en fait.
Western asse traditionnel; agrémenté ici et là des fantaisies bulliennes et ordinesques. Mais fondamentalement rien de grandiose.
Un bandit est capable de se grimer comme bon lui semble. Ce Frégoli de la gâchette suffit à faire un album assez moyen, loin des productions habituelles de nos héros de Wood-City.
Loin d'être le meilleur de la série.
Un cru moyen. Il en faut aussi pour pouvoir relativiser et apprécier les productions plus résussies.
Une révolution vient d'avoir lieu dans une principauté indienne. La présence de nos amis -accidentelle- s'impose. Malheureusement les hindous sont d'une crauté sans égale et notre brave Kid va avoir la tête broyée par un majestueux éléphant blanc. Mais l'adjoint de notre shériff préféré est resté très joueur.
Voilà un exemple qui illustre assez bien la teneur de cette aventure.
Il se passe de curieuses choses dans le volcan mexicain du Patratomac. Suffisantes en tout cas pour que nos amis y fassent un tour.
Aventures trépidantes, dialogues merveilleux (je crois me souvenir mais j'ai sans doute tort que Goscinny a collaboré). Un livre à lire toutes affaires cessantes.
Nouvelle pépite dans les aventures de Dog Bull et Kid Ordinn. En fait, ces deux là sont vraiment les héros de la série, Chick Bill et Petit Caniche, trop lisses et trop parfaits ne sont que des faire-valoir dont le seul mérite -mais il n'est pas moindre- est remettre les choses d'aplomb à la fin de l'album.
Une suite de gags et de jeux de mots qui s'enchaînent de la première à la dernière planche. Kid Ordinn et Dog Bull dans une forme olympique. A lire d'urgence si l'on apprécie les à-peu-près et qu'on veut chasser ses idées noires.
Autodérision du dessinateur ?
Toujours est-il que ce pauvre Kid va être pris dans une machination infernale. Mais est-elle si infernale que cela ?
KId se met au violon, tandis que son double -tueur à gages- mériterait d'y aller (au violon). Bref, vous devinez aisément les quiproquos et pataquès qui peuvent s'ensuivrent.
Suite de l'album précédent avec là encore une suite de gags ou d'incompréhension comme le fameux "grand-mère" qui est la clé de l'énigme.
Bref, un excellent moment.
Un procédé permet de voyager dans le temps grâce au sommeil. Mais attention, mourir dans son sommeil revient à mourir dans la vraie vie.
Et voilà nos amis qui reviennent au temps des mousquetaires pour éclaircir une sombre affaire d'héritage.
Somptueux !
Bien que le protocole de Kyoto n'ait pas encore eu lieu, la sécheresse devient une réalité quotidienne pour la petite ville. D'autant que des bandits empêchent tout approvisionnement.
Dog Bull, Kid Ordinn et Cie doivent apprendre des rudiments d'éducation à une jeune femme qui a passé son enfance chez "les indiens sauvages".
Comme professeurs, on peut trouver bien sûr plus efficaces mais sans doute aussi moins drôles.
Tout est donc prétexte à montrer que certaines de nos politesses ne sont que des habitudes souvent vides de sens.
Une partie de la vie du fameux Gaston Fébus, comte de Foix.
Cela fourmille d'anecdotes vraies mais cela ne fait pas véritablement une BD tant il s'agit d'une suite de saynètes.
En faire une vraie BD aurait nécessité plusieurs albums tant il y a de choses à raconter dans cette aventure. La puissance du dessin de Huescar mérite toutefois qu'on jette un oeil à cette BD déjà ancienne.
Belle adaptation du roman de Fenimore Cooper. La puissance du dessin de Brocal sert merveilleusement bien cette bande d'aventures.
Pour ceux qui ne connaissent pas les aventures de Tiger Joe, c'est un volume à posséder.
Deux reproches toutefois :
1/ pas d'appareil critique
2/ absence de 2 courtes histoires de quelques planches parues dans les années 50 et jamais rééditées depuis.
Un regret la promesse d'un tome 2 avec des aventures inédites (Safari vers l'interdit/ Menace sur le Gopal / Le tigre au dent de sabre / Les requins de Djaccao / La loi du cobra / Le dragon de feu / Safari pour espions).
On était en droit de penser qu'on allait savoir d'où Joe tirait son surnom. Mais l'album n'est bien sûr jamais paru. Il y a même de grandes chances que les histoires n'aient jamais été écrites.
Ce brave monsieur Mouton qui accompagne depuis deux albums nos amis aimerit bien rentrer chez lui.
Mais jusqu'à présent son safari a été désastreux ! Il a bien participé à des aventures qui rempliront sa vie mais n'a toujours pas tué de bongos ! Or, ce brave gagnant de la loterie nationale a promis à sa douce et tendre Pharaïlde un manteau en bongo.
Mais de nouvelles aventures les attendent, en l'occurence de méchants blancs qui terrorisent des villages pour les pousser à la révolte. Pour quelles raisons ?
Du coup ce brave Mouton retournera en métropole sans les fameuses peaux de bongos !
Partis à la recherche de Sheila Keeler, nos amis sont en fait sur la piste du fameux cimetière des éléphants. Et cela attise évidemment les convoitises.
Moins endiablé que le premier album, qui du coup mériterait presque de passer du "très bon" au "à lire absolument", cet album ci se dévore avec un plaisir consommé, surtout quand on le lit au 2ème degré !
Paru à l'origine dans le supplément hebdomadaire d'un quoitidien belge, voilà un personnage qui fera sourire.
On est franchement dans l'ambiance des films de série B de Hollywood où tout est possible.
A commencer par le nom du héros : Tiger Joe !
Or l'action se situe en Afrique et qu'il n'y a pas de tigre en Afrique ! A part aux zoos évidemment.
La jeune et ravissante Sheila Keeler se rend dans ce coin perdu de la jungle pour y retrouver son père qui a disparu.
Cela vous rappelle "les mines du roi Salomon" avec Stewart Granger et Deborah Kerr (soyons charitables ne parlons pas des versions précédantes et surtout suivantes) ?
C'est tout à fait cela !
De l'aventure comme on l'aime. Assez linéaire mais fort plaisante.
Jacobs reprend le thème de Giy l'Eclair/Flash Gordon, série qu'il avait dessinée durant l'occupation par manque de matériel américain (nous étions alors en guerre) puis obligé d'abandonner sur la pression des autorités d'occupation.
Ce plagiat ou presque est intéressant. Si l'histoire est plaisante, elle marque surtout la maturation qui va aboutir à la création de Blake & Mortimer.
Le dessin est plaisant et rend les filles belles. Le scénario est un vague prétexte. A lire sans plus.
De la SF très déshabillée, aux scénariis assez originaux (il s'agit de plusieurs petites histoires !) et aux dessins tout à fait approprié aux narrations proposées.
Paru assez tardivemnt, cet album reprend en fait la fin de l'histoire du "Roi des 7 mers".
En effet, le format de 44 pages avait amené les éditions Dargaud a tronqué la fin des deux premières histoires qui faisaient en tout environ 120 planches. Ce sont donc plus de 30 planches inédites qui parurent en 1981 soit, grosso modo, 20 ans après leur parution dans Pilote.
Pour complèter cet album, on y adjoignit deux courtes aventures qui avaient été publiées à la fin des années 60 dans le trimestriel Super Pocket Pilote.
Barbe-Rouge a bel et bien été pardonné. En échange, il ne doit plus se livrer à des actes de piraterie.
Sauf que les autorités royales sont inquiètes car plusieurs navires ont été pillés par des navires pirates qui arboraient le drapeu personnel de Barbe-Rouge.
Celui-ci a-t-il rompu son serment, ou quelqu'un profite-t-il de la situation ?
Eric va mener son enquête.
Le siège de la Martinique par les Anglais se poursuit. La seule solution serait de convaincre Barbe-Rouge de venir avec ses navires pour balayer l'Anglais. Un pardon royal lui serait alors accordé pour toutes ses fautes passées.
Oui, mais comment le contacter ? Eric doit donc reprendre la barre, tenter de forcer le blocus, semer ses poursuivants et enfin persuader son père.
Mission délicate, sinon impossible.
Eric est mandaté par la couronne de France pour aller secourir la Martinique. Pour cela il faut franchir un double blocus angalis. Le premier pour quitter la Nouvelle-Orléans, le second pour atteindre Fort Royal (l'ancien nom de Fort de France).
Eric relève le gant mais son équipage recèle un dangereux espion, saboteur à ses heures
Stark Le Noir compte bien profiter du fait qu'Eric et son père son désormais des proscrits pour s'emparer du trésor du fameux pirate.
Pour cela, il cingle vers la Floride et par un hasard malencontreux fait prisonniers nos héros. Tout est désormais perdu. Vraiment ?
Un bonheur de BD d'aventures.
Les puissances des Caraïbes ont décidé d'en finir une fois pour toutes avec Barbe-Rouge. Eric a vent de l'affaire et décide de voler au secours de son père. Pour cela, il a besoin de l'aide des Frères de la Côte, mais un certain Stark le Noir entend profiter de la situation.
Les chances de survie du père et du fils sont donc infimes.
Ça bondit, ça pétarade, cela rappelle les meilleurs films avec Eroll Flynn.
Il va de soit que Barbe-Rouge ne peut supporter l'idée de voir son fils pendu, il a donc organisé une visite surprise qui elle aussi se termine mal. Pourtant dans cette suite au "piège espagnol", père et fils vont montrer qu'ils ont de la ressource.
Une superbe BD d'aventures à lire, relire et rerelire.
Après avoir sauvé une noble espagnole, Eric est obligé de faire relâche dans un port ennemi. Malheureusement un détail va le perdre. Les Espagnols montent une machination qui va leur permettre de prendre sans coup férir Eric et son équipage. Désormais la mort les attend.
Suite et fin de la quête du trésor de Morgan avec comme point d'orgue, le fameux passage du Cap Horn. Trahi, Barbe-Rouge montrera qu'il a vraiment plus d'un tour dans son sac.
Une superbe histoire. Les 2 tomes sont sans doute les meilleurs, dans une série qui compte pourtant d'excellents albums.
Barbe-Rouge, au hasard d'une tempête est mis sur le chemin du trésor de Morgan. Mais l'équipage est peu sûr. C'est pourquoi Triple-Patte conseille au capitaine de poursuivre leur idée de raid sur les colonies espagnoles.
Celui-ci achevé, il sera toujours temps de relacher dans un port et de recruter un équipage fiable.
Mais le second du capitaine, Moralès, a vent de l'affaire et prépare un tour de cochon à son patron.
Suite du premier album (les histoires de Barbe Rouge faisaient alors 62 pages et étaient donc scindées en 2 albums pour des problèmes de pagination de 44/46 planches).
C'est bien, cela se laisse lire. La montée en puissance est pour bientôt.
Première aventure du démon des Caraïbes, cet album est une classique histoire de pirates dans laquelle ni Charlier, ni Hubinon n'ont encore pris la mesure de leurs personnages. C'est plaisant mais sans plus.
Un premier album peut toujours être raté, le 2àme est davantage révélateur. S'il y a du mieux, ce mieux reste malgré tout assez inconsistant. Dommage, dommage !