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Bien mieux que le précédent, surtout grâce à Obélix qui prend une dimension supplémentaire dans cet album. C'est en effet dans "La serpe d'or" que le duo Astérix/Obélix prend réellement forme.
Humour décalé, dialogues savoureux, personnages comiques, action et bagarres bon enfant, ambiance policière ma foi bien sympathique ... la série démarre très fort !
Astérix et son univers sont mis en place de fort belle manière; la sauce prend immédiatement. Bien sûr le dessin d'Uderzo manque encore de maturité mais il est déjà expressif et humoristique en soit.
Bref, un premier album très réussi pour l'un des plus grands mythe de la BD !
Une histoire sans queue ni tête à laquelle je n'ai pas du tout accroché. Les personnages des extraterrestres sont sans envergure et les champignaciens sont absolument désagréables dans cet opus. Un album à oublier.
Un album raté de la part de Tome & Janry, et c'est assez rare pour le souligner !
Niveau dessin et couleurs, rien à redire, c'est toujours aussi plaisant. Hélas niveau scénario c'est plutôt faiblard. Traiter du sujet du racisme (un problème aussi grave que ridicule) à travers un album de Spirou, pourquoi pas ? Le problème, c'est que ce sujet est traité ici de façon très superficielle, et quand on connaît la qualité des auteurs, c'est dommage ! On sent effectivement que Tome & Janry n'ont pas voulu (ou pu ?) aller au bout de leurs idées, du coup on tourne un peu en rond dans cette histoire qui n'a pas vraiment de fil conducteur.
Bref, un album très en-deçà du talent des deux auteurs.
PS : à noter quand même le très hilarant gag du laitier en fin d'album !
Un dessin disproportionné manquant de subtilité (sur certaines cases, Spirou a des oreilles aussi larges que son visage tout entier !), des couleurs ternes, un humour poussif et une histoire à dormir debout, avec des personnages secondaires tout sauf attachants ... Yoann et Velhmann ne se montrent hélas pas plus inspirés que le duo Morvan / Munuera.
Spirou renaîtra-t-il un jour de ses cendres depuis le départ de Tome & Janry ?
Plutôt pas mal pour une reprise, surtout en comparaison des albums de Morvan et Muruena. L'histoire se lit agréablement et j'aime beaucoup le dessin de Yoann, même s'il est très éloigné de ce qu'il fait d'habitude sur ses propres séries (Toto l'ornithorynque notamment).
Un Spirou beaucoup trop "djeun's", qui tranche radicalement avec le précédent, celui de "Machine qui rêve" ! Des dialogues sans saveur, des personnages arrogants, des blagues qui ne font pas rire, une ambiance qui ne prête pas au rêve ... Morvan et Muruena se ratent complètement avec cet album de reprise du mythe Spirou.
Le seul Spirou potable du duo Morvan/Munuera. Dessins agréables et histoire qui tient la route, ambiance tropicale et un poil surréaliste appréciable, retour crédible de Zantafio ... pas mal du tout.
Nullissime ! Scénario incohérent où tout est misé sur l'action, ambiance manga totalement incongrue, aucune poésie ... à oublier au plus vite !
Un pari osé, Tome & Janry se lachant complètement dans cet album en donnant leur vision personnelle du personnage de Spirou et de l'univers qui gravite autour de lui, avant de passer définitivement la main.
J'avoue ne pas accrocher plus que ça à cet album, même si le scénario est excellent. Trop adulte, trop noir, pas vraiment dans l'esprit de la série, cet album est pourtant d'un certain côté un petit bijou qu'il faut avoir lu absolument.
Pour ma part, je n'ai pas accroché (si ce n'est, comme d'habitude, aux dessins fantastiques de Janry) , mais je reconnais que cet album vaut vraiment le détour.
Un Spirou plus adulte, plus que troublé (et on le comprend !) par la gent féminine. Le personnage de Luna ne manque ni de charme, ni de caractère.
Un bon épisode, avec un cocktail humour/action toujours aussi détonnant, même si le scénario ressemble quand même un peu trop à "Spirou à New-York".
Pas le meilleur de la période Tome & Janry malgré un dessin toujours aussi épatant (bien mis en valeur par de magnifiques couleurs). Vito est égal à lui-même, à la fois machiavélique et ridicule. Un album un peu dispensable, où il ne se passe pas grand chose de crucial. Spirou, Fantasio et Vito règlent leurs comptes sur un atoll perdu au milieu du Pacifique.
Le scénario est un peu monotone (il ne se passe pas grand chose au final) mais l'album est truffé de petits détails humoristiques qui le rendent très drôle. Janry assure toujours autant au dessin.
Le chef d'œuvre absolu de Tome & Janry. Une histoire d'amitié, sans méchant, où nos 2 héros se retrouvent confrontés l'un à l'autre dans un univers hallucinant, preuve de l'imagination débordante des deux auteurs.
Certains passages foutent vraiment les chocottes, et le sauvetage final de Spirou par Fantasio est très émouvant.
Une histoire captivante et sensationnelle (avec toujours quelques passages irrésistiblement drôles) et un dessin onirique proche de la perfection.
Tome & Janry dépassent grâce à cet album (et au précédent) le "maître" Franquin.
Album indispensable, un grand moment de BD ! Tome & Janry sont au sommet de leur art avec cet album enjoué, vif et dynamique, avec des rebondissements et de l'action à tout va et un humour décalé dont personnellement je me délecte.
Le dessin de Janry est au top et l'histoire est sans temps mort, avec une nouvelle fois des dialogues forts hilarants (sans parler des allusions à Tintin qui me font toujours autant rire).
Le final est dramatique et fait figure de bonne transition vers l'album suivant.
Tome & Janry s'offre un nouveau départ avec cet album de très belle facture. Dessin expressif, drôle et dynamique, ton décalé et très humoristique, un scénario résolument tourné vers l'action et surtout, apparition du "méchant" n°1 de la période Tome & Janry : Vito Cortizone, parrain mafieux cruel et terriblement poissard ! Un personnage haut en couleurs et un méchant d'envergure comme l'on n'en avait plus vu depuis Zorglub.
L'atmosphère new-yorkaise "à la Soda" est tout à fait savoureuse.
Beaucoup moins bon que le précédent; toutefois le dessin "moderne" de Janry passe très bien. L'ambiance un peu "Nouveau-Monde" de l'Australie est également bien rendue.
Très bonne entrée en matière du duo Tome & Janry ! Un album accrocheur, une ambiance un-tout-petit-peu-plus-sombre-que-d'habitude, le retour parfaitement bien géré du personnage de "la Murène", beaucoup d'action, et des touches d'humour irrésistibles et très présentes, qui seront l'une des marques de fabrique du duo d'auteurs, avec quelques dialogues savoureux et des clins d'oeil pleins de malices aux albums antérieurs (ex: la peluche du marsupilami dans la chambre de Spirou).
Très bon album !
Toujours les mêmes ingrédients : scénario qui tourne autour du même thème (la boîte noire), même dessins fadasses, mêmes méchants sans envergures. Tout ça devenait très lassant, il était temps que le massacre s'arrête.
Une histoire pas plus excitante que ça, des dessins que je trouve pour ma part très désagréables, et des méchants qui manquent quelque peu de personnalité.
Seul bon point dans cet album : le Fantajet (digne héritier du Fantacopter) qui me fascinait toujours lorsqu'enfant je lisais cette histoire.
Suite et fin du diptyque commencé dans "Kodo le tyran". Un bon album, avec pas mal de rebondissements.
Avant de passer la main, Fournier aura été au bout de ses idées en donnant une conscience politique à Spirou et en faisant de ce personnage un héros humaniste, tolérant et écolo.
Fournier continue de "politiser" Spirou en le confrontant à un régime dictatorial sans pitié, au cœur de la jungle asiatique.
L'album est bon et comporte des séquences mémorables, comme le voyage en avion de nos 2 héros pour rentrer au Catung ou l'attaque d'un convoi d'armes par les rebelles. Le personnage de Kodo est bien travaillé, à la fois grotesque et effrayant.
Un album sympa au final, qui aborde sans avoir l'air d'y toucher des thèmes assez graves (régimes dictatoriaux qui suppriment toutes formes de liberté chez les peuples soumis, trafic de drogue, corruption des pouvoirs politiques par la mafia, peine de mort, etc.).
Voilà LA BD-référence de Fournier. "L'Ankou" est sûrement l'album-phare de Fournier. L'ambiance "bretonnisante" y est pour beaucoup, et j'avoue que pour un méridional comme moi, le fait que l'action se déroule en terre bretonne donne presque à cette aventure un côté "exotique" !
L'autre élément important est assurément le côté anti-nucléaire engagé de Fournier qui est retranscrit dans les attitudes de Spirou. Que l'on partage ou pas les points de vue de l'auteur, reconnaissons lui au moins le mérite d'avoir su poser le débat sur l'utilité et les risques éventuels du nucléaire, débat qui est assez révélateur des préoccupations de la société de l'époque. Ainsi, Spirou devient un témoin des idées de son temps, en plus d'être le porte-parole de son dessinateur du moment.
Pour en revenir à l'album, j'ai bien aimé le personnage ambigu de l'Ankou ainsi que le cercle des magiciens où on retrouve avec plaisir Itoh Kata.
Bref, voici un album une nouvelle fois vraiment à part dans la série, avec un côté militant et une ambiance seventies que j'ai bien aimé.
Une histoire tirée par les cheveux avec ce gri-gri qui peut faire disparaître brutalement n'importe qui. C'est n'importe quoi, cela n'a aucun sens. Là où la plupart des gadgets de Spirou avaient une explication plausible (la plupart étant mis au point par le Comte de Champignac grâce à l'utilisation de divers champignons), ici il n'y a aucune explication rationnelle, on est dans le surnaturel le plus total. Pour ma part je trouve que ce manque de cohérence nuit à la lecture, et du coup, je n'ai jamais réussi à rentrer dans ce récit.
Pour moi, assurément la plus mauvaise histoire de Spirou en Afrique.
Titre assez loufoque pour un album qui ne m'a jamais convaincu - malgré le retour du Triangle (jamais 2 sans 3) et de Zantafio. Le personnage de Zorglub est mal exploité, les différentes scènes de l'histoire sont amenées de façon quelque peu grossière, tout ça s'enchaîne assez mal et le scénario en lui-même est très artificiel. Le côté tropical et exotique de l'album est néanmoins sympa; même si non, en temps que tel, je n'accroche pas plus que ça à cet album.
A noter quand même dans ce "Tora Torapa" l'ambiance gentillement écolo qui préfigure certaines idées et prises de position de Fournier et peut refléter d'un certain côté les préoccupations en vogue dans les années 70's.
Bon album encore une fois, avec le retour du Triangle, plus bête et ridicule que jamais. L'ambiance est assez farfelue, les personnages de Spip et Itoh Kata sont en grande forme, tout comme les "méchants" qui me font toujours bien rire quand je relis cet épisode.
Alors certes, Spirou et Fantasio paraissent relégués au second plan, mais cet album reste l'un de mes favoris : c'est grâce à lui qu'enfant j'ai découvert Spirou et Fantasio. Alors même si "L'abbaye truquée" est loin d'être l'un des meilleurs albums de la série, émotionnellement pour moi il compte beaucoup.
Bon album. Le titre est poétique à souhait et l'action ne baisse jamais d'un cran, le tout dans une ambiance bon enfant.
J'aime beaucoup l'organisation du Triangle - les principaux "méchants" de la période Fournier - qui se distinguent par leur bêtise et leur côté organisation mafieuse très hiérarchisée.
C'est avec plaisir que l'on fait connaissance avec le personnage haut en couleurs d'Itoh Kata et enfin, grâce à Fournier, Spip prend une vraie dimension et devient un personnage important à part entière; son côté râleur et froussard, ainsi que sa représentation graphique, le rendent terriblement attachant.
Fournier tente d'imposer sa patte sur la série. Pour l'instant, rien de très transcendant ni de très folichon. Histoire forcée, humour peu présent, personnages pas encore bien maîtrisés ... Fournier prend ses marques. Les albums suivants seront nettement meilleurs.
Un album que je n'ai pas du tout aimé, car trop axé sur le burlesque et le comique de situation, au détriment du scénario quasiment inexistant ici.
Le personnage de Zorglub bébé ne m'a pas plu du tout, je l'ai même trouvé carrément ridicule. Le personnage de Gaston quant à lui s'intègrant très mal dans l'univers de Spirou et Fantasio.
Bref, trop de gags tue le gag ! A oublier.
Probablement l'album le plus drôle de la période Franquin. Des situations abracadabrantesques, des personnages secondaires loufoques à souhait, une histoire très bien construite; le tout mis ensemble étant d'une drôlerie effarante.
Une BD indispensable, l'un des meilleurs de Franquin, même si la caricature du peuple allemand est un peu trop poussée avec quelques clichés un peu trop nombreux parfois.
Album qui n'a que très peu d'intérêt, le scénario étant largement repompé sur celui du "Repaire de la Murène".
Néanmoins les dessins restent de toute beauté.
La digne suite de "Z comme Zorglub", aussi bon que ce dernier. L'intrusion de Zantafio à la fin de l'album est un grand moment.
Franquin aura indiscutablement marqué la série avec ce diptyque du "Z".
L'un des plus grands chefs d'œuvre de Franquin, et même de l'histoire de la BD toute entière !
Un personnage de Zorglub haut en couleurs, des trouvailles géniales, une ambiance futuriste dont on se délecte, sur fond de tentative d'asservissement du monde ... le tout sans jamais perdre une once d'humour !
Du grand art. Chapeau bas !
Excellent album ! Action sur-vitaminée, décors de rêve, personnages en grande forme, suspens, humour décapant, le tout dans une ambiance militaire orientale très bien rendue, et qui personnellement me plaît beaucoup.
L'Aventure avec un grand A !
Un album vraiment à part dans la saga; tout le scénario étant basé sur le personnage du Marsupilami au détriment de Spirou et Fantasio qui sont quasiment absents.
Une histoire poétique et onirique qui nous fait découvrir les moeurs du Marsupilami, bien emmenée sous la forme d'un documentaire réalisé par Seccotine.
On sent à travers cet album que Franquin appréciait vraiment son personnage du Marsupilami.
L'histoire n'est pas des plus originales mais l'album se lit bien. Le titre sonne bien et Franquin est de plus en plus à l'aise au dessin, certaines de ses planches sont tout bonnement superbes.
Pas mal !
Album assez moyen, surtout en comparaison des trois qui l'ont précédés. Une histoire plutôt classique de gangsters et de braquage de banque; l'album se lit assez vite, mais le plaisir est quand même là.
Le scénario sans grande originalité n'est pas le point fort de cet album, qui vaut surtout le détour pour le dessin de Franquin qui sublime les scènes de vitesse (poursuites en voitures) et nous offre des décors forts appréciables.
Petit plus quand même : l'apparition de la Turbotraction n°2.
Encore un album de très très haut niveau, l'histoire est originale et super bien construite, avec une bonne dose de suspens, les inventions du comte nous régalent, le méchant John Héléna a beaucoup de charisme, et l'univers aquatique participe de belle manière à l'ambiance si particulière de cet album.
Un must, à lire absolument !
Pour moi, c'est l'un des plus grands chefs d'oeuvre de Franquin. J'ai été véritablement passioné par cette histoire où pour une fois, Spirou évolue dans un univers "réel" : pas de gadget, pas d'animal exotique (absence du Marsupilami), pas de super-méchant; non, juste des bandits "normaux" aux mauvaises intentions contre qui Spirou lutte d'égal à égal, en même temps qu'il doit trouver une solution pour réparer l'erreur judicière concernant son ami Fantasio.
Le ton policier de l'album est super bien rendu, j'ai été littéralement absorbé par cette aventure où bagarres, courses-poursuites, jeu de cache-cache s'enchaînent sur un bon rythme, sans que l'humour ne soit absent.
Le passage tragique avec la chute de Spirou depuis le haut de la falaise et sa perte de mémoire fout vraiment les jetons.
Magnifique album, mon préféré de la période Franquin !
Retours du Marsupilami et de Zantafio, dans un décor exotique et plaisant à souhait. L'ambiance de l'album n'est pas sans rappeler en effet "l'Oreille cassée". Beaucoup de plaisir à la lecture, avec des situations inattendues (Zantafio en dictateur), des retournements de situation, des passages drôles ... A coup sûr le meilleur album de Franquin parmi les 7 premiers !
Dernier point : l'invention du métamol, j'adore !
Encore un bon épisode, drôle, inventif, avec une histoire bien ficelée. Un album marquant, avec les premières apparitions dans la série de Seccotine et de la Turbotraction.
Les paysages et l'atmosphère africaines amènent une poésie certaine à l'histoire, et la résolution du mystère entourant le fameux microfilm est tout simplement géniale. Petit bémol cependant : les méchants manquent quelque peu de personnalité.
Bonne suite du Tome 4; une aventure amusante et rafraîchissante avec le personnage du Marsupilami en vedette.
Zantafio, le Marsupilami, le Fantacopter ... Franquin démontre toute l'étendue de son imagination à travers cet album qui restera dans les mémoires. Ce Tome 4 est pour moi le véritable lancement de la série, qui atteindra des sommets par la suite.
Album à lire coûte que coûte.
Cet album manque certes de maturité (notamment au niveau des dessins), mais il reste l'un des albums-phares de la série car il pose les bases de l'univers Spirou : village de Champignac, personnages du comte, du maire, etc.
L'ambiance campagnarde est très bien rendue et le personnage du gitan permet au jeune Franquin de donner une petite leçon de tolérance et de respect d'autrui aux jeunes (et moins jeunes) lecteurs (bien avant "Le rayon noir" de Tome & Janry); le thème du racisme n'étant pas des plus abordés dans les années 50's.
Bref, pas le meilleur de la série -loin de là - mais essentiel. Je l'ai bien aimé !