Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 25/11/2024 à 15:51:52 en 0.0431 sec
Bizu cherche le signe d'Ys pour mettre fin aux sortilèges qui menacent la forêt de Brocéliante.
Gentille histoire, gentils dessins, c'est de la bd enfantine qui se laisse lire mais ne révolutionne pas le genre.
Un scénario typique de Jacques Martin, Arno est à Bonaparte ce qu'est Alix à Jules César ! Un jeune musicien de Venise devient intime de Bonaparte et déjoue les complots ourdis contre lui.
Scénario dense, aventures un peu tiré par les cheveux mais prenantes sur un fond historique bien rendu, avec le Juillard du début des 7 vies au dessin, voilà une série intéressante qui n'a peut-être pas eu le succès qu'elle aurait mérité.
Suite des premières aventures d'Aria qui se ballade de village en village en mettant son nez là où on lui demande rien pour lutter contre l'injustice et les méchants.
Les dessins n'ont pas encore atteint leur maturité et pour l'instant le destin d'Aria est encore obscur, mais c'est le début d'une série qui promet.
Martin est partie à Paris sous prétexte de ses études et vit au milieu des réfugiés allemands, il a retrouvé Katarina mais n'arrive toujours pas avancer dans sa relation avec elle.
Toujours cette ambiance aigre douce d'avant guerre en arrière plan des soucis de la vie quotidienne, on est toujours pris par cette histoire qui n'est pas très gai mais qu'on imagine être représentative de la vie de l'époque. En tout cas on a envie de lire la suite.
Chronique de la vie en Allemagne juste avant la 2ème guerre mondiale, l'ambiance est très bien rendu. Les amours contrariés du personnage principal nous touche même si on aimerait que l'histoire avance un peu plus vite.
Les dessins se Beuriot sont intéressants et illustrent bien l'histoire une fois qu'on est habitué.
La vie de Catherine à Barcelone, chronique douce amère d'une femme qui cherche à donner un sens à sa vie en regardant vivre les autres. Le très beau graphisme de Goetzinger magnifie cette tranche de vie qui pourrait être le scénario d'un film d'Aldomovar.
Le réveil d'un ptérodactyle sème l'émoi d
Histoire farfelue et tarabiscoté, dessins particuliers, malgré tout cela a un charme
désuet auquel on se laisse prendre.
La fin du cycle, Cothias se fait plaisir et nous fait plaisir avec une fin humoristique et invraisemblable, mais est-ce la réalité ou un rêve.
On est dans la chimère et l'irréalité, bien loin de la noirceur de la fin des 7 vies de l'épervier, mais cela transcende toute la série, et révèle ce qu'elle est, un conte philosophique qui remet en cause les idées reçues.
Et c'est tellement bien dessiné !
Alors qu'Ariane semble trouver la paix chez ses amis indiens après moulte péripéties, elle est rattrapé par son passé et son père.
Cet album marque le renversement de la série qui de très noir laisse entrevoir une fin heureuse.
C'est quand même un super scénario, qui se lit avec intensité et plaisir, toujours avec les dessins somptueux de Juillard.
Cet album est une pure merveille. Juillard est au sommet de son art, ses dessins du nouveau monde sont superbes, les décors et les paysages magnifiques.
Et que dire du scénario qui peut presque se lire comme un one-shot : Ariane retrouve son père dans le nouveau monde et tout ne se passe pas comme elle l'a espéré.
Beaucoup de thèmes sont abordés dans cet album, les rapports de filiation, les rapports homme-femme, nouveau et ancien monde, sur un fonds historique passionnant, et sans manichéisme.
Réellement un chef d'oeuvre de la bande dessinée.
Au secours d'un bateau qui risque d'être pris dans les glaces, avec trafiquants de drogue très méchants en prime, Bernard Prince et Jordan vont tout sauver comme d'habitude (sans Djinn malheureusement)
Un très bon Bernard Prince, haletant de bout en bout, on ne s'ennuie pas une minute et on le lit d'une traite.
Dessins de Hermann parfait, Greg au sommet de sa forme, de l'aventure classique des grandes années Tintin, pas de réflexion, pas de sexe (il n'y a pas une seule femme dans cet album, il n'y a que des hommes, des vrais !), de la distraction pure de bonne qualité.
Un peu moins fort que le premier et pas toujours très compréhensible, les états d'âme de Catherine nous émeuvent quelquefois mais ce qui lui arrive est un peu incohérent. Les dessins ont un style séduisant mais pas toujours aboutis, album intéressant mais qui laisse un souvenir mitigé.
Le non sens et l'humour de Martin Veyron servi par un dessin réaliste font que l'on rit souvent à la lecture de ces histoires sans queue ni tête qui brocardent les travers de notre société à travers l'apologie d'un looser qui plait au femme.
Là tout se détraque à la poursuite de la photo d'une femme qui rend dingue tous ceux qui la regarde, et même dieu et le diable s'en mêlent.
Ariane a la vie dure et nous voilà replongé dans la vie du XVIIe siècle et ses intrigues, avec un des personnages toujours aussi fort, à la poursuite de ce qui n'est peut-être qu'une chimère.
Avoir donné une suite aux 7 vies de l'épervier enlève peut-être un peu de force au premier cycle mais Cothias sait relancer l'intérêt et les dessins de Juillard ont encore gagnés en maturité, ce qui ne semblait pas pourtant être possible.
Une suite donc à la hauteur de l'original.
Dernier acte, drame final ? Tout semble terminé dans la noirceur la plus absolue car pour Cothias les histoires se terminent forcément mal.
Mais on sait qu'en fait l'histoire n'est pas fini et qu'il y aura de nouveaux rebondissement dans le cycle "Plume aux vents".
Et que toutes les séries parallèles enrichiront le mythe de façon plutôt convaincante.
Cela amoindrit un petit peu la force de la série mère telle que lu à l'époque quand on pensait la fin définitive, mais cela n'en reste pas moins un sommet de la bande dessinée historique.
Le destin s'accomplit, le Roi devient roi, Ariane devient adulte, et le drame se joue.
C'est le tome le plus tragique, le plus fort de la série avec toujours la perfection des dessins et des descriptions de l'époque.
Album de transition pour tirer les conséquences des rebondissements du n° précédent, qui va changer profondément la vie des protagonistes.
Toujours passionant.
Le drame se noue, le destin implacable impose ses vues et entraine le premier basculement de cette série dont la force du scénario ne se dément pas sur un fonds historique réaliste et grace à des dessins parfaits.
Aria fait ses preuves de chef de guerre grace à la ruse.
Des dessins déjà précis, une histoire sans surprise aujourd'hui, le début d'une grande série qui prendra plus d'épaisseur par la suite.
La renaissance à la vie grace à l'art et à l'amour d'un jeune soldat traumatisé par la guerre. C'est naïf et poétique, mais les dessins d'Eric Stalner magnifient tout et on se laisse entrainer dans ce conte rural où l'amour triomphe de la mort.
C'est beau d'y croire !
Déjà en 1977 on pouvait brocarder férocement les écologistes !
Le parti pris d'un pseudo-chien forniqueur et sans scrupule qui met la panique dans une réserve d'animaux en voie de disparition est drôle. Cela se lit vite, les dessins sont style dessin de presse, et toutes les scenettes sont inégalement réussies, mais c'est globalement amusant.
Mais Claire Bretecher a fait beaucoup mieux !
La genèse d'une série classique, le dessin n'est pas encore stabilisé mais est emblématique de la ligne claire et le scénario de ce seul album suffirait à faire une série de 15 titres aujourd'hui.
Cela a un peu vieilli mais reste que les rebondissements improbables accrochent le lecteur qui passe un bon moment de lecture.
A lire donc pour parfaire sa culture BD.
Toujours sympathique, mais l'histoire est un poins prenante. Un bon moment de lecture sans plus.
Une bd Okapi sympathique qui plait aux jeunes (voir commentaire ci-dessus), les dessins sont lisibles sans plus, l'histoire de l'adolescent confronté à ses contradictions est intéressante, même si les sujets ne sont qu'effleurés.
Les éléments implacables du destin se mettent en place, toujours la perfection du dessin et la minutie de la description de l'époque, même si la vérité historique n'et pas complète, la petite histoire est toujours passionante. Et nous faisons la connaissance de Germain Grandpin qui va tenir une place primordiale dans la suite.
Seul au village sous la menace du glacier, il va découvrir l'amour malgré les gendarmes ! Une fin un peu à l'eau de rose, mais toute la découverte du mystère du grand hôtel et la fuite devant les gendarmes est magnifique.
De la poésie à la Cosey, une belle histoire à la frontière de la féérie, à lire absolument.
Cosey sait très bien rendre l'atmosphère contemplative de la montagne, et ce premier épisode installe bien le mystère de cette région menacée par le glacier.
La jeunesse de Louis XIII et d'Ariane se poursuivent en parallèle, l'apprentissage est rude mais l'épervier veille.
Dessins parfait, histoire réaliste ancrée dans son siècle, la suite d'une oeuvre !
Un dessin original, une chronique désabusée sur la vie qui ne va pas comme on l'a imaginé à 17 ans sous forme de flash-back habilement construit, soit une bd intéressante qui se lit avec intérêt.
On sent le propos inspiré par la vie de l'auteur lui-même qui imagine sa crise de la quarantaine 20 ans avant, est-ce que ça suffira pour l'exorciser ?
C'est quand même une histoire d'intello branché, on espère qu'avec le talent qu'il a Pomès pourra raconter d'autres histoires réalistes, un peu d'humour serait également le bienvenue.
Un auteur à découvrir et à suivre.
Le début d'une saga culte. Tous les personnages sont mis en place, et les dessins sont déjà très aboutis, rendant très bien l'ambiance de l'époque.
La petite histoire a rendez-vous avec la grande, l'envol est donné, laissez-vous saisir !
Encore un très bon album de Léo qui lance Kim dans la conquête d'une nouvelle planète. Ce premier épisode se lit d'une traite et déjà on attend la suite avec impatiente.
Léo sait introduire de nouveaux mystères sur ces mondes étranges si loin de nous et pourtant si proches.
C'est tout son génie, faire une histoire de science-fiction mais avec des héros tout à fait humain, aux sentiments très proches des nôtres, donc on peut y croire pleinement.
Oui, à lire absolument.
C'est tout ce que j'aime, du rêve, de l'histoire, de l'amour, de la beauté qui surpasse la violence. Les Charles sont vraiment des auteurs géniaux qui font que j'aime la BD, chaque vignette est une oeuvre d'art, et le scénario est très bien ficelé, on se retrouve très bien entre les différentes époques et les différentes nationalités.
A suivre donc, ne passez pas à côté.
Manichéen, violent et irréaliste même si on imagine que le fonds est vrai.
Ca se laisse lire, mais cela manque vraiment d'humanité, même les méchants en ont !
C'est très bien dessiné, mais l'histoire est vraiment enfantine avec des personnages sans consistance. Iznogoud qui veut être calife à la place du calife est dix fois plus drôle dans l'absurde. Il y a des débuts d'intrigues qui suscitent l'intérêt, mais l'histoire n'avance pas et on reste sur sa faim. Peut-être réservé aux enfants ?
Chronique très bien racontée du séjour en Corée du Nord d'un directeur de dessin animé qui au passage nous fait découvrir une face cachée de la mondialisation.
L'humour fait passer la tristesse à pleurer de la vie là-bas, et nous en apprend bien plus que bien des reportages journalistiques.
Ah la valeur subversive du crayon !
A découvrir absolument.
Michel Janvier reprend efficacement le dessin de Chabbert, et le scénario emmène le Dr Monge à Paris à la rencontre de son passé et le lance dans des aventures improbables.
Cela se laisse lire sans tout à fait le charme des premiers opus. Mais il faut attendre d'avoir la fin de l'histoire pour se faire une opinion définitive.
Bonne histoire, dessin sympa même si pas toujours parfait, de la bonne aventure sur un fonds historique qui n'est pas au niveau des originaux mais qui se laisse lire.
Une héroïne dans la veine de Natacha avec acolyte gaffeur et râleur, histoire abracadabrante mais marrante, lecture de distraction sans prétention malgré quelques allusions politiques sur la politique chinoise.
Beaucoup d'émotions dans ces histoires courtes mais toutes réussies. Quel talent pour savoir traduire les sentiments intimes par le dessin et peu de mots ! Pas le meilleur de Taniguchi, mais très bon.
On retrouve le gout et le style de Taniguchi pour les choses simples, le bonheur de la contemplation et l'observation de la nature dans la ville.
Pas de sentiment fort dans cet opus, juste le plaisir de déambuler, il faut le talent de Taniguchi pour que cela passe.
Que c'est noir et désespéré ! A ne pas lire un jour de déprime ! Mais cette histoire de train qui fonce vers nulle part pourrait bien être l'allégorie de notre bonne vieille terre qui fonce dans l'univers pour finir inéxorablement consumé dans le soleil, en attendant les hommes l'exploitent à outrance en laissant dans les wagons de queue les 3/4 de l'humanité.
Je l'avais lu il y a 20 ans, ça n'a rien perdu de sa force, et je ne savais pas que ça avait eu une suite.
Un élément incontournable de la culture bd, la collection "à suivre" avait de la gueule !
Les dessins de Michel Faure sont quelquefois inégaux mais certaines vignettes sont sublimes, notamment le visage de l'héroïne est magnifique. Le dessin est pour beaucoup dans cette histoire digne de Makyo, tourmentée et tragique.
Une trilogie de qualité, de très beaux albums à avoir dans sa bibliothèque car on y reviendra toujours avec plaisir.
Egal à lui-même, Largo continue à se jeter la tête la première dans les pires ennuis. Les histoires se ressemblent toujours un peu et le scénario est assez prévisible, mais ça se lit toujours avec plaisir. Mais que c'est désagréable de devoir attendre la suite !
Un grand classique qui mélange western, mystique indienne et aventures.
Par contre, je trouve curieux la vision de la femme que je trouve assez misogyne, elle passe de la mijaurée sans cervelle à la putain assumée, j'aurais bien aimé en discuter avec Laurence Harlé.
De la très grande bd, dessins superbes, histoire toujours aussi noire, pas la plus originale de la série, mais un bon moment de lecture.
Sujet difficile abordé avec pudeur, l'anorexie n'est qu'effleurée, mais ce livre ne prétend pas résoudre le problème.
Pas le meilleur, mais on peut s'y retrouver dans le style elliptique de Tito.
La chronique de Léga est trop sévère, il n'est pas dit qu'Elsa est anorexique.
Mais je comprend qu'on puisse finir par se lasser par le style de Tito.
Classique de la bd d'humour, on finit forcément par s'esclaffer devant cet humour absurde et ces dessins délirants.
Mais c'est vrai que c'est à lire à petite dose car l'humour répétitif risque de lasser, et c'était beaucoup mieux formaté pour une lecture hebdomadaire dans journal Pilote (mâtin quel journal!)
Une bonne bd classique de la grande époque du journal Tintin.
Tout y est, ligne claire, aventures, avec un fonds historique intéressant.
Une série qui fait partie de le base culturelle de la bd franco-belge.
Très bonne fin pour cette série qui représente tout ce que j'aime, un scénario historique bien documenté avec des destins particuliers romanesques, un dessin réaliste et lisible, et un cycle complet avec un début et une fin, sans tirer sur le filon jusqu'à épuisement.
Le destin d'Héléna nous aura passionné jusqu'au bout.
C'est tendre et frais, bien dessiné et fleur bleu, ça continue à me plaire.
J'aime bien le dessin naïf de Tito qui va bien à ses histoires.
Et puis les bons sentiments, ça fait du bien de temps en temps, et c'est pas si fréquent.
A lire donc.
Sans être un grand fan, on s'habitue au style de Béhé. Giroud exploite le filon du décalogue, mais ce deuxième tome mélange intrigue policière et révélation religieuse, sans véritable nouveauté, si ce n'est de remettre en cause l'épilogue de décalogue.
Ca se laisse lire, mais ce n'est pas indispensable.
Quelle splendeur, ces dessins, on dirait des aquarelles, de vraies oeuvres d'art à chaque case.
Et le scénario ne faiblit pas, on retrouve tous les thèmes chers à Hermann, mais on ne s'en lasse pas, et cette histoire est captivante de bout en bout avec cette fin délicieusement immorale comme il les aime.
Vraiment un must de le bd.
L'histoire est de plus en plus invraisemblable et difficile à suivre mais grace aux desins de Goepfert, on reste pris.
Pour ceux qui ne connaissent pas la série, impossible de prendre en route, mais si vous avez le temps de vous y mettre, vous vous préparez des heures de lecture passionnante !
Pour qui aime les romans historiques (c'est mon cas) c'est un régal. Le dessin est arrivé à maturité (même si on a quelquefois du mal à s'y retrouver entre les personnages qui ont tous des trognes pas possibles !), et on se ballade avec plaisir dans les arcanes de la petite et grande histoire où personne n'est tout beau.
Le troisième tome est-il moins bon ou meilleur que les deux premiers ? Les avis divergent là aussi.
Bref plus on est proche de l'âge de l'héroïne, plus on aime.
Donc reprise du message précédent, je ne me suis pas ennuyé en le lisant, et le deuxième tome est aussi bon que le premier.
Moi, le père j'aurais mis à lire, ma fille de 17 ans pas mal, mais celle de 13 à lire absolument ! En tout cas je l'ai beaucoup entendu rire pendant sa lecture ! Donc je suis son avis, d'autant que je ne me suispa
J'ai beaucoup aimé la ballade sur Marcade, la suite un peu moins.
J'adore toujours les dessins de Bourgeon, mais n'étant pas un grand fan de science-fiction, je préfèrerai toujours les passagers du vent qui ont quand même plus de profondeur au niveau du scénario.
Cependant, c'est une très bonne série qu'il faudra juger quand le cycle sera achevé, car on se demande comment les auteurs vont boucler toutes les portes qu'ils ont ouvertes.
Chronique ouvrière et reconstitution historique avec les dessins réalistes de Davodeau, voilà un bon bouquin d'histoire qui relate fidèlement ce qu'était la mystique ouvrière d'après guerre.
Mais ce qui rend ce livre indispensable, c'est le dossier qui lui est joint et qui raconte une histoire encore plus palpitante que la bd elle-même, et lui donne tout son sens.
On est plongé au coeur de la création, et en même temps, on en découvre beaucoup plus sur les protagonistes de l'histoire, jusqu'à la photo du grand père de l'auteur au centre des évènements racontés qui donne une couleur mystique à tout le récit.
Je cherche en vain ce qui empêcherais de mettre la note maximum à cette histoire très forte merveilleusement dessinée, chaque case étant une oeuvre d'art.
Peut-être la couverture du tome 2, ou la fin un peu idéalisée.
Mais les actions et les sentiments nous saisissent, et le scénario donne également à réfléchir sur la condition humaine.
Ca fait longtemps qu'une bd ne m'avait pas ému comme celle-là.
Indispensable en tout cas.
L'ambiance des colonies très bien retracée par les images de Raives, une chronique de la vie comme elle était dans cette Afrique que les blancs n'ont pas réussis à apprivoiser, que ce soit du point de vue politique ou personnel.
Des idées pas forcément très originales, mais bien mises en valeur sans manichéisme, un bon moment de lecture qui nous donne également matière à réfléchir.
Oui, une bd peut émouvoir sur un sujet qui ne sera jamais assez traité, et qui montre que l'enfance loin d'être l'âge de l'innocence peut être l'âge de la bêtise et du conformisme.
Voilà deux jeunes auteurs qui méritent d'être encouragés, car sans suivre la mode qui nous envoie toujours dans un futur improbable ils traitent avec sensibilité les ombres de notre passé, cela nous permettra-t-il de ne pas commettre ces erreurs dans l'avenir ?
A faire lire absolument à tous les jeunes d'aujourd'hui.(mais aux vieux aussi !)
Dessinateur talentueux même si les scènes de combat sont un peu confuse, on ne sait plus qui est qui et où !
Scénario palpitant dans le premier tome un peu plus attendu dans le second.
Une bonne bd, un talent prometteur, on suivra surement la suite, mais pas un must, le scénario distrayant manquant un peu de profondeur.
Aria reste une bonne série qui n'évolue pas beaucoup mais qu'on retrouve toujours avec plaisir, bien qu'un album par an cela fasse beaucoup, j'avais raté celui d'avant sans que ça me manque beaucoup, mais je vais le racheter maintenant.
Des séries pour enfant de qualité, il n'y en a pas tant que ça, et je suis content qu'Aria continue pour que je ne rentre pas bredouille pour mes enfants qui me reprochent souvent de ne rien prendre pour eux.
Et Aria a beaucoup embellie, la maturité lui va bien.
Miralles toujours au top, dessin très beau très accessible, très envoutant. L'histoire de Jean Dufaux est bien mené et captivante. Mais comme toujours l'atmosphère est pesante, l'amour jamais pur et le bonheur inaccessible ! Comme dans ses autres séries, Jean Dufaux a tendance a me donner le bourdon.
Mais c'est pas si mal puisque j'y reviens toujours.
Les scénarios de Raymond Maric sont très intéressants, bien ancré dans l'histoire et pas du tout conformiste.
Cette histoire des destins croisés de deux jeunes gens, l'un arriviste et l'autre de bonne famille est prenante et remet en cause les idées reçues.
Le dénouement paradoxal conclut l'histoire de façon surprenante et donne envie d'une suite.
Les dessins de Baron Brumaire repris par Chouin pour ce dernier tome sont d'accès un peu difficile, mais passe grâce à une bonne histoire.
Cette série avait très bien commencé, jolis dessins et histoire prometteuse avec des personnages attachants. Mais voilà, une bonne partie disparait prématurément et d'autres apparaissent à tel point qu'on ne sait plus très bien qui est qui.
Bref la conclusion m'a un peu déçu.
Scénario intéressant pour cette série méconnue qui n'était pas si mal, toujours sur le thème d'après la guerre, mais bactériologique cette fois, ce qui donne des mutants et pose le problème de la différence.
Ce deuxième tome sur l'évolution d'un ado qui découvre sa vrai nature est touchant.
Beau dessin dans ces albums découverts à l'occasion du déstockage Glénat. J'espère que l'on retrouvera Sicomoro dans d'autres séries.
L'histoire est typique de Makyo, on part de la réalité pour glisser vers l'étrange et l'inquiétant. Ca se laisse lire et ne mérite pas cette abandon par Glénat.
Sympa cette intégrale qui réunit la première saison. J'étais passé à côté de cette série et grace à mon libraire, j'ai pu me rattraper pour pas tellement cher.
Le scénario est palpitant, plein de rebondissements et de personnages attachants. Le dessin est très attrayant. Le petit format est maniable, mais n'est-ce pas au dépend de la mise en valeur graphique ?
J'espère ne pas attendre les 40 de Delcourt pour avoir l'intégral de la saison 2 dans le même format !
Michel Pierret s'en tire bien en se retrouvant seul aux manettes. Les dessins sont agréables et le scénario un peu convenu se lit bien.
C'est vraiment une bonne série, presque mieux que la Croix de Cazenac qui est beaucoup plus compliquée et ésotérique.
Là c'est de la bonne intrigue mi-espionnage mi-chronique sociale bien ancrée dans son siècle. J'aime bien les dessins des frères Stalner, et je trouve dommage qu'ils se soient séparés. les dessins d'Eric seul sont un tout petit peu moins bien.
Bonne action de Derib qui essaye de montrer sans trop moraliser les dangers de la prostitution. C'est une oeuvre engagée comme Jo du même auteur sur le sida.
Deux albums à avoir dans sa bibliothèque si on a des enfants pour leur apprendre les réalités de la vie.
Et c'est bien entendu superbement dessiné et mis en page.
Histoire prometteuse, jolis dessins, mais on attend la suite pour se faire une opinion définitive.
Où on retrouve avec plaisir les héros du cahier bleu, André Juillard en rectifiant la fin surement pour nous prouver que l'amour fini toujours par triompher.
Mais en fait, c'est l'histoire d'un autre couple qui nous est contée. Toujours autant cette confusion des sentiments qui rend ses personnages si forts, mais une partie policière un peu violente qui peut plaire à ceux qui trouvaient que le cahier bleu manquait d'actions. Personnellement je trouve que ça rend le récit moins crédible.
Cela n'en reste pas moins une superbe BD, avec de superbes dessins (Ah les femmes de Juillard), à lire absolument.
J'ai hésité à mettre la note maximale, car c'est réellement une superbe BD, histoire et dessins au top, et cette relecture m'a vraiment touché. Je l'avais surement lu trop vite la première fois et n'avait pas alors mis la note maximum. Comme quoi il faut être disponible pour lire une BD, avoir le temps de rentrer dans l'ambiance et de se laisser porter. On est aux antipodes de la BD d'action, c'est la preuve que les sentiments peuvent être aussi violents.
C'est toujours aussi sympa de retrouver Yoko Tsuno, les histoires sont toujours aussi compliquées mais les bons sentiments et l'amitié qui finissent toujours par triompher, ça fait du bien de temps en temps !
Je suis assez mitigé après la lecture de l'intégrale du grand pouvoir. J'ai passé un bon moment de lecture, sans me lasser ce qui peut être le cas quand on lit une grande histoire d'un coup. Les dessins de Rosinski sont toujours très agréables à suivre. Mais je ne suis pas un grand fan des hobbits et des monstres, et l'histoire tout en étant plaisante n'est pas d'une folle originalité, Van Hamme revisitant un certain nombre de mythes.
Mais cette histoire a le mérite d'être un cycle complet qui se termine de façon non conventionnelle. Donc une très bonne bd qui mérite sa place dans la bibliothèque des amateurs.
Après avoir lu les 2 et 3, on m'a offert le 1 pour Noël, ce qui fait une première saison complète et très intéressante, bonne histoire bien sombre et très bons dessins d'Arnoux, quel dommage qu'il préfère scénariser ! Vais-je craquer pour la suite ?
Dessin ligne claire classique, scénario classique, comment ça se fait que le charme n'agisse pas ?
Je n'ai trouvé aucun intérêt à lire cette album, beaucoup de mal à le finir.
Désolé Briel !
Toujours le charme discret de ces aventures western qui ne se renouvellent pas beaucoup mais qu'on suit toujours avec plaisir, grace aux dessins précis d'Ersel et à l'humanité de personnages attachants dont on aime bien suivre l'itinéraire.
C'est comme une vieille famille, on y revient toujours, donc à bientôt.
Eric Stalner dessine toujours aussi bien et les intrigues de Pierre Boisserie sont toujours assez tordues pour nous entrainer dans son sillage, cette fois-ci en Egypte en version originale pas toujours sous-titré.
Notre héros poursuit son initiation et n'atteint toujours pas la quiétude, il devra donc affronter de nouvelles aventures que nous attendons avec impatiente.
Très bel album, histoire envoutante et sensuelle à l'érotisme maitrisé jamais vulgaire, on est pris par la quête du personnage dont on partage le trouble et l'attirance, alors la fin déçoit un peu car pas vraiment convaincante.
Mais on le relira avec plaisir.
Pardon, les dessins de Michel Blanc-Dumont progressent ... je n'ai pas réussi à corriger
Jonathan Cartland est un peu le Louis la Guigne du western (même si chronologiquement il est arrivé avant !). Il lui arrive en effet bien des malheurs dont il se tire toujours et il repart avec courage malgré tout, ses amours se révélant toujours impossible (mais n'est-ce pas la fatalité de tout héros qui se respecte). Les dessins de Laurence Harlé pogresse à chaque tome pour atteindre la plénitude que l'on retrouvera dans ses séries ultérieure (la jeunesse de Blueberry notamment).
Une bonne série donc qui mérite de rester dans les classiques.
Thorgal a-t-il enfin trouvé la quiétude auprès des siens ? On l'espère pour lui et pour nous ! Car même cette dernière aventure n'apporte rien d'original à la saga en faisant force rappel des anciennes aventures, ce qui a pour seul mérite de nous inciter à les relire. Mais les dessins ne fléchissent pas. Bravo à Van Hamme de savoir s'arrêter, il va falloir que Yves Sente fasse fort pour nous inciter à repiquer au truc !
L'histoire compliquée s'éclaire un peu, on comprend mieux qui tire les ficelles mais on ne voit pas où ça peut aller donc on attend la suite. L'idée de la prise du pouvoir en virtuel est séduisante et bien traitée. De l'humour, du charme et des questionnements sur l'avenir possible du monde dominé par le web dans une mise en image plaisante donne une série à suivre.
Les stryges nous tiennent toujours, pas moyen de leur échapper, nous voulons savoir qui va gagner. Ce tome se laisse lire avec plaisir car on nous résume habilement la
Pour l'instant le scénario tient ses promesses, on est dans la fin de la guerre d'Espagne, et si on est du côté des républicains, il y a plus de victimes que de héros dans leurs rangs. Quel que soit le côté, la guerre et l'idéologie sont toujours sales pour Giordano, et on ne peut pas lui donner tord. Si Max n'a plus d'illusions, il est toujours porté par sa fidélité et sa peur, et à la chance d'être toujours accompagnée de jolis femmes. Alors on lui restera fidèle nous aussi.
C'est un peu du sous XIII, mais ça se laisse lire, même si c'est vraiment trop invraisemblable. Et le changement de dessinateur n'est pas trop gênant. Mais ça prouve bien que ce n'est pas une grande oeuvre originale, mais un travail à la commande de bons faiseurs.
Brice Goepfert a tellement bien réussi à nous faire oublier François Dermaut qu'on a du mal à relire les anciens albums qui nous semblent ne pas être l'original. Mais si j'aime bien l'atmosphère des histoires de Daniel Bardet, les aventures de ses héros deviennent de moins en moins vraisemblables, car ils se tirent des pires embuches grâce à des circonstances pas très réalistes. Cependant on a toujours envie de savoir ce qui va leur arriver et on attend donc la suite. Mais il faudrait qu'ils s'arrêtent avant que le filon ne s'épuise.
On est pris dans l'histoire, donc c'est une bonne histoire, de l'espionnage bien foutu et même si effectivement le fonds historique est connu et déjà traité, on a pleins de questions pas résolus qui nous font attendre le 3 avec impatience.
Le dessin est agréable et les couleurs sympa.
Pourvu que le trois soit à la hauteur !
Dessin très intéressant, histoire très étrange, cet album d'auteurs argentins est très original. La culture peut-elle être unanime ? Le consensus est-il possible ou même souhaitable ? Quand on connait un peu l'histoire de l'Argentine qui sort juste de la faillite, on comprend mieux le pessimisme des auteurs.
L'originalité de cet album et la qualité du graphisme mérite sa présence dans votre bibliothèque mais lisez le un jour où votre esprit est disponible.
Pour qui aime la SF, première opus d'une série qui pose des bases intéressantes même si ce n'est pas d'une originalité totale.
Le scénario est solide, le dessin maitrisé, les couleurs ne sont pas attirantes mais une fois qu'on est rentré donne une atmosphère.
A suivre.
Toujours pleins de bons sentiments mais moins bon que le précédent. Pas le meilleur Yakari.
Dessin difficile d'abord, scénario complexe, voilà une série qui demande de l'attention. Il faut s'accrocher pour se rappeler qui est qui et ce qu'il fait dans l'histoire car on suit plusieurs trajectoires en parallèle sans savoir tout de suite ce qui les rapprochent. Mais si on fait l'effort de rentrer dans l'histoire, on se laisse prendre car l'intrigue est très bien foutu, les personnages ont des caractères fouillés et ne sont pas manichéens. Les méchants sont aussi gentils, les coupables ne le sont pas tant que ça et le héros s'est peut-être planté. En plus, ça ne condamne pas les politiques qui sont montrés avec leur bons et mauvais côtés de façon réaliste. Bref de la très bonne bd.
Pas mal mais ça aurait pu s'arrêter, comment peut-il arriver à quelqu'un autant de catastrophe et rester aussi serein ?!
9a se lit un peu trop vite.
Le dessin est très bien, digne de Peyo, l'histoire débute bien, l'intrigue est plus moderne, mais la suite est conventionnelle et déçoit un peu. Mais c'est fidèle à l'original et les enfants le liront volontiers.
Toujours plein de fraicheur, cela fait du bien dans ce monde de brutes ! Même si c'est une bd pour enfant, ça se lit (c'est vrai très vite) avec plaisir, et ce tome est plutôt réussi. C'est rare une série avec autant de numéro qu'on retrouve toujours avec autant de bonheur !
On arrête pas une équipe qui gagne. La série est égale à elle-même, se laisse toujours lire avec amusement même s'il n'y a rien de révolutionnaire malgré un déplacement exotique qui permet d'enrichir le bestiaire. Ce qu'il y a d'amusant dans cette série, c'est qu'elle plaie aux enfants mais qu'elle comprend des calembours réservés aux adultes.
Mais les auteurs auront-ils le courage de trouver une fin avant épuisement ?