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Après avoir lu Les trois cheveux blancs et Les Chasseurs de l'aube de Hausman que je n'ai pas beaucoup apprécié, je découvre "Le prince des écureuils". Et là, je me dis que c'est ce que j'ai lu de meilleur en ce qui concerne cet auteur. Le dessin est très convenable.
Ce conte un peu sombre nous interpelle sur la nature humaine. Cependant, il manque un peu de saveur. La narration occupe une place primordiale au dépend des personnages. On n'arrive pas à ressentir une émotion. Cela demeure un peu glacial. A lire pour découvrir mais pas à posséder.
Je ne connaissais pas Hausmann, j'ais vraiment aimé ce one shot.
Un écureuil qui par magie devient un humain, et comme beaucoup d'humain devient un véritable tyran envers les écureuils à cause de son passé dans la peau de l'animal.
Un conte noir, cruel et triste en meme temps, suivie par bon dessin, rien est à regretter.
Il aura fallu attendre quelques années pour revoir Hausman en BD, 6 ans depuis « les trois chevaux blanc ». C’est bien la seule chose qu’on pourrait reprocher à Hausman, c’est d’être trop rare. Pourtant on en redemande.
Encore servit par Yann, cette fable parfois cruelle nous fait réfléchir sur le thème de la vengeance. Encore une belle réussite pour ce duo qui marque désormais la superbe collection Aire Libre.
Une véritable fable de la fontaine parfaitement illustrée par Hausman présentant une analyse psychologique sur le sujet souvent tabou de la vengeance et de la cruauté: l'écureuil ne peut s'empêcher de vivre l'expérience de la vengeance dont il est possédé, et ce n'est qu'en constatant les effets de sa vengeance aveugle (la mort du "vieux gris" qui l'avait autrefois aidé) qu'il prend consceience de son erreur et se trouve libéré de ces noirs sentiments.
Le tout dans une ambiance fantastique où la gent humaine se transforme en écureuil, et vice et versa.
Une tragédie qui montre l'existence de si peu d'instants de bonheur, au début détruits par un monde cruel, puis à la fin très fugitif par l'ironie du destin
Le prince des écureuils est un conte qui se passe au Moyen-Age. Ce conte raconte l'aventue d'un écureil qui va devenir humain.
On a plus l'impression qu'Hausmann illustre le scénario de Yann tant les bulles sont rares : pratiquement toute la narration se fait sous forme de voix-off, et est illustrée par une case, généralement de toute beauté. Mais l'histoire de Yann est sombre, très sombre, les personnages d'Hausmann sont donc dessinés en conséquences : laids, l'air idiot souvent... l'écureuil va apprendre à grandir d'une des pires manières qui soit. Il n'est pas épargné par la laideur du tableau, il est rancunnier et profite de sa force pour se venger du temps où il était faible. Il se caractérise par sa lâcheté. Mais enfoui sous cette carapace se cache un coeur brisé qui a espoir d'aimer à nouveau. Conte cruel oui mais pas dénué d'un souffle d'optimisme et d'un humour caustique, presque méchant.
Une réussite, à la carapace dure mais au coeur tendre.
Ici, on est à mille lieues des gros héros musclés et balafrés qui fritent la gueule à tout le monde. C'est la poésie qui prime, renforcée par la narration particulièrement soignée de Yann qui utilise un langage médiéval. Il y a peu de dialogues, l'histoire est vraiment racontée par l'auteur, tel un véritable troubadour. Les illustrations de Hausman (car c'est bien de cela qu'il s'agit) sont merveilleuse et renforcent cette impression de se trouver dans un conte. Même si ce style particulier ne peut évidemment pas plaire à tout le monde. Mais attention ce n'est pas du tout enfantin! Au contraire c'est un conte noir, très noir!