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Bof, cette série est plaisante, mais seulement plaisante. C'est là son problème : il n'y a rien de franchement irritant, mais rien de franchement inoubliable. Mièvre et fade. Vite lu, vite oublié.
Un récit très classique avec un enquête policière autour de l'art sur chaque tome (T1 à T4). Les enquêtes restent trop linéaires. La relation entre nos deux protagonistes, Anthéa et Gregory, évolue au fil des tomes et c'est surement la partie la plus plaisante, Greg étant quelqu'un de drôle et fourbe, tandis que Anthéa est mystérieuse et indécise, il y a une belle construction autour des deux personnages. Le dessin dans le T1 signé Béhé n'est pas à la hauteur de mes attentes et gâche quelque peu l'impact du scénario, en plus des couleurs très fades. Heureusement, Danard et Pierre rattrape le dessin sur les tomes suivants (T2 à T4). Une série moyenne, mais qui se lit bien tout de même.
Pour l'amour de l'art est rempli de stéréotypes. C'est un fait indéniable. Cependant, la lecture est agréable et en fait une série plutôt sympathique avec son ton amusant. Le dessin signé Béhé est également très réussi avec des couleurs qui ne desservent pas l'histoire.
Nous avons l'association d'une bourgeoise et d'un petit voyou au coeur tendre dans le milieu de l'art où il se passe de vilaines choses. La morale sera toujours sauve. C'est très léger par moment. Cela fait quelquefois du bien pour se relâcher un peu. L'achat ne se justifie pas.
J’ai toujours du mal avec les enquêtes abracadabrantes et poussives. C’est le cas ici avec ce tome 3 qui démarrait bien mais la fin est un peu touffue et demande une certaine relecture. A part ça l’univers de l’intrigue est original (les coulisses et l’ambiance des théâtres) et il y a de bons moments « humoristiques/romantiques » entre les deux héros qui sont toujours sympathiques. On sent quand même que la série a pris un petit coup de vieux notamment lorsque l’auteur mentionne le mot « internet » suivit de son explication par un astérisque. Bref, ça m’a fait sourire. 2,5/5
Histoire assez légère pour ce tome 2 qui se situe toujours dans le milieu des objets d’arts. Cette fois-ci, nos deux héros seront confrontés innocemment à un anneau qui provoque bien des convoitises de la part de plusieurs camps. Ca reste sympas à lire, ça divertit mais rien de bien transcendant, on a fait mieux depuis. Béhé laisse la place à Danard concernant les dessins et ceux-ci sont plutôt agréables. Une série typique des années 90.
Pfff, quelle histoire!! C'est pas mauvais du tout, loin de là, mais c'est quand même un peu tiré par les cheveux! Sur ce, je félicite Le Tendre pour le montage de son intrigue, car mine de rien, il faut savoir les faire ces retournements de situations. Mais ce que j’ai le plus apprécié dans ce tome, c’est d’abord les personnages principaux, son ambiance parfois nostalgique me rappelant mes années d’étudiant (les rencontres, travaux scolaires) et ensuite les décors de la ville de Genève très bien restitué de la part du dessinateur Béhé. On s’y croirait presque surtout avec les dernières planches de fin qui sont très belles et encore une fois nostalgiques lorsque le héros s'en va. A découvrir en occasion.
Bof bof, ce tome 4 divertit sans problème mais l'histoire n'est pas des plus intéressantes. A moins d'être super naïf, mais je trouve que l'intrigue est franchement pas crédible sans compter les facilités scénaristiques qui concluent assez rapidement ce tome 4 sans grandes surprises. Bref, ça n’a pas beaucoup de saveur. Les dessins aux traits très fins sont pas mal et les couleurs plutôt jolies. A part ça, il n' y a pas grand-chose à retenir.
des dessins un peu bizarres: entre ligne claire et quasimodo...
des ficelles scénaristiques grosses comme des chaines...
Une histoire à lire d'un trait pour faire passer un samedi froid et pluvieux...
Deux étudiants en histoire de l'art (la bourgeoise friquée et le beau gosse bohème) doivent malgré eux réaliser une étude sur un tableau et se retrouvent mêlés à une affaire criminelle. Les péripéties de cette histoire sont bien menées, avec de l'humour et du charme, au final on passe un moment agréable.
Et même si je ne suis pas toujours convaincu par le dessin, l'ensemble est réussi.
A la Comédie Royale, intrigues pour évincer l'actrice, et faire engager la minette qui débute.
Ophélie, malgré la vive désapprobation de Papa, se lance sur les planches.
Mais que se passe-t-il vraiment en coulisse ?
Quelques rebondissements, un dessin clair.
La nostalgie à la Belge me semble-t-il.
Un polar entre la bourgeoise qui finalement apprécie (aussi) l'étudiant zonard. Un monde de requins friqués. Mais, à la fin, la morale est sauve, et le héros s'en va (en tramway.. c'est pas commun) vers de nouvelels aventures.
Une certaine nostalgie à la Suisse... à lire d'un trait !