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Grosse déception à partir de cette album. Si jusque là le sujet de la série était l’Égypte, ses réalisations, ses constructions, sa mythologie, son histoire, avec des débordement sur le pourtour méditerranéen, ce qui n'est pas du tout abscons, ici on bascule sur une amourette banale qui, j'en ai bien peur, va nous escorter jusqu'à la fin et nous emmener sans trop d'inventivité vers la sortie. Par la petite porte.
Laissez moi deviner. Au dernier album, on va voir Papyrus se réveiller en petit pêcheur qui se rend compte avoir rêvé des aventures extraordinaires ? Ne bougez pas, je me divulgâche ça vite fait... Hé bien oui. C'est tout à fait ça.
Pour moi tout simplement le meilleur album de la série. On y apprend grosso-modo l'état des connaissances et hypothèses en 1989 sur la taille, l'acheminement et l’érection d'une obélisque avec les moyens de l'antiquité. Le tout avec une histoire pleine de péripéties pour garder le jeune lecteur accroché jusqu'au bout, et sans une once de magie.
Comme quoi, le réel aussi peut être haletant et mystérieux. Pas besoin de dieux, prêtres, sorciers, et pas besoin de théories farfelues sur des petits homme verts qui auraient soufflé aux égyptiens le mode d'emploi pour monter leurs gros Lego de pierres. Un vrai bijou de vulgarisation !
Évidemment, depuis, la science avance, l'égyptologie a fait des progrès. Une édition avec des annexes mettant les choses au clair serait une bonne idée.
D'accord avec yannzeman...
La coupe de cheveux de Théti-Chéri est pour le moins saugrenue...
Mais à part ça, je ne sais pas comment elle se retrouve dans le navire phénicien !
J'ai dû raté quelque chose dans le scénario...
Le cross-over qui révolutionna DC, mais un peu le mode du Comics aussi. Cette version française est un "Must have"! La version cartonnée
peut paraître plus seyante, mais cette premier édition dans l'hexagone est un vrai bout de paradis perdu!
30ème album, et cela commence à se ressentir. Pas tant sur l'inspiration de l'auteur, mais sur sa capacité graphique à représenter ses personnages.
Si Papyrus se maintien pas trop mal, ce n'est pas le cas de Théti-Chéri, qui a perdu de sa beauté avec les années. sa chevelure, si belle autrefois, n'est plus que l'ombre d'elle-même.
Les décors sont toujours là, l'histoire est intéressante et une fois encore la nouvelle relation Papyrus/Théti-Chéri ne gène en rien. La violence ne nous est pas épargnée par l'auteur (et Théti-Chéri prend cher, une fois encore).
Un bon album, dans la 2ème partie du classement des meilleurs Papyrus.
Evidemment, cela se voit dès la couverture, la main de l'auteur a perdu de sa dextérité et de son assurance. Le trait est moins joli.
Surtout, Théti-Chéri est nettement moins belle qu'à ses débuts.
Sa coiffure, surtout, se dégrade ; ses beaux cheveux raides ont laissé place à des cheveux filasses, moins réussis. Son diadème, moins présent, manque cruellement par moment.
Néanmoins, l'histoire est sympathique, et je regrette amèrement que De Gieter n'ait pas pris la décision plus tôt dans sa carrière de procéder au changement dans les relations entre Papyrus et Théti-Chéri.
Car leur nouvelle relation ne gène en rien les histoires racontées, et justifient pleinement les risques fous que les deux jeunes prennent depuis leur 1ère rencontre pour la sécurité de l'autre.
Ce qui ne change pas, en revanche, c'est l'incroyable violence des situations auxquelles l'un et/ou l'autre est confronté, dans chaque album. Sous couvert d'un graphisme chaleureux et tout public, et d'un saupoudrage d'humour, les albums de Papyrus sont remplis de scènes horribles, que personne ne souhaiterait vivre dans la réalité. De Gieter ne prenait pas ses lecteurs, même les plus jeunes, pour des idiots et n'édulcorait rien.
Un album très plaisant, au final, malgré ses quelques défauts, qu'un peu de nostalgie et un très grand respect pour De Gieter, font oublier sans problème.
Cet album est un tournant dans la série.
Il tient toutes ses promesses, entrevues en regardant la couverture.
La relation Papyrus/Théti-Chéri progresse brusquement, mais pour qui a lu le tout 1er tome de la série, ce n'est pas une surprise.
Mais surtout, au delà d'un dessin préservé, il y a beaucoup d'émotions dans cette histoire. Ce n'était plus arrivé depuis longtemps, et cette fois, le drame prend l'ascendant sur la comédie.
Je remarque aussi que cette série n'est pas si naïve que cela ; la violence est terrible, tout au long des aventures de Papyrus, comme dans les 1ers Tintin, ou le héros risquait vraiment sa peau à chaque album.
Un très bel album, que je recommande chaleureusement.
Ouf !
La série est revenu sur de bien meilleurs rails !
En revenant en Egypte, en retrouvant les décors d'Egypte, De Gieter retrouve de l'inspiration et une meilleure maitrise graphique des personnages (même si il lui arrive, au moins dans une case, de donner le visage de Papyrus à Théti-Chéri !).
Le scenario est prenant, assez flippant, et totalement dans l'esprit de la série. Papyrus est toujours aussi combattant, Théti-Chéri n'est pas en reste et j'ai dévoré cet album avec un plaisir non dissimulé.
La fin aurait pu être améliorée, elle semble un peu trop légère. Néanmoins, je reste sur une excellente impression, aussi bien graphique que scenaristique.
Pourvu que cela dure !
Il est temps que cette "odyssée de Papyrus" se termine.
Le voyage fut long et pénible à lire, avec un dessin très moyen, une Théti-Chéri méconnaissable et un scenario oubliable. A se demander si ces albums n'ont pas été confiés à des assistants...
La série a pris un très mauvais tournant, et j'espère qu'elle se reprendra par la suite.
(en vérité, je sais que de meilleurs albums vont suivre, car j'ai lu juste après le tome 27, qui est bon).
Encore sous le choc du tome précédent, totalement raté, j'ai bien du mal à évaluer celui-là.
Pas mauvais, pas génial, mais surtout, Théti-Chéri n'a pas encore retrouvé l'intégralité de son intégrité physique. Et du coup, l'album s'en ressent...
Aïe aïe aïe...
Ah l'erreur !
La sortie de route !
Le crime de lèse-majesté !
Oser ainsi défigurer Théti-Chéri, c'est inadmissible. Impardonnable. Passible de la peine capitale.
L'album n'est pas mauvais de chez mauvais, mais enfin, je n'ai pas réussi à passer outre la coupe de cheveu horrible.
Qu-est-ce qui est bien passé par la tête de De Gieter pour faire ça ????
Un album que je déconseille fortement à cause de cela.
Encore un bon album, très distrayant et pas trop didactique.
Le dessin reste de bonne facture, même si par moments, j'aimerais que Théti-Chéri grandisse un peu ou soit mieux dessinée. Ou que le méchant de service, et la transformation de ses sbires soient plus réussis.
Mais l'ensemble fait du bien ; un bon scénario au service d'un bon dessin. La colorisation a encore changé, revenant à quelque chose de plus classique (il n'y a plus de coloriste de mentionné, alors est-ce De Gieter qui assure lui-même les couleurs ?).
En tout cas, cet album, encore une fois, peut être lu en confiance, il plaira aux petits comme aux grands.
L'album préféré de mon fils.
Sachant cela, je redoutais sa lecture, avec le risque d'être déçu et de me rendre compte que mon fils a mauvais gout...
Mais il avait raison, le diable !
Très bon album !!!!
Sa lecture est fluide, alors que c'est une exploration étonnante et flippante d'une pyramide. Claustrophobes, s'abstenir.
Le dessin est parfait, les couleurs, nouvelles, modernisent le titre qui approche les 25 ans d'âge (excusez du peu).
Une très bonne surprise, et un album que je recommande chaudement.
Encore un bel album, où l'aventure prend le pas sur le didactique.
Les dessins demeurent de très bonne qualité, surtout les décors, mais aussi les personnages.
L'intrigue est.. intrigante !
Je me suis surpris, une fois encore, à me demander où tout cela allait me mener ; un subterfuge permet à De Gieter de rallonger un peu la sauce, mais c'est très distrayant, alors cela atteint quand même son but.
L'humour est présent, l'inquiétude pour nos héros aussi ; et l'émotion tient cette fois une très grande place. Papyrus ouvre son coeur, enfin (il était temps !).
Une vraie réussite pour un 20ème album.
Il semblerai que De Gieter avait décidé d'alterner les albums d'aventure/comédie avec ceux plus didactiques.
Ce tome 19 est un retour aux fondamentaux des 1ers albums, où l'aventure l'emporte sur le didactique, avec de la comédie plus que de l'émotion, et toujours un peu de frayeur devant cet ennemi qui semble innarrétable.
Et cela donne un petit côté frais à cette série, qui montre qu'elle peut se renouveler au bout de 19 albums. J'ai bien aimé !
Cet album là ne laissera pas un grand souvenirs.
Graphiquement, pas grand chose à redire, même si les petites imperfections du trait sont visibles. Mais les couleurs sont de bonne tenue et t'encrage ne souffre d'aucun défaut cette fois.
L'histoire qui nous est racontée, en revanche...
Cette fois encore, le didactisme l'emporte sur l'aventure, et ce ne sont pas les meilleurs albums, pour moi.
Surtout, cet album a un petit côté "Astérix" qui ne me plait pas trop ; des gags visuels un peu étonnants, dans cette série, me laissent dubitatif.
Ce n'est pas la cata, mais j'espère que les tomes suivants redresseront la barre, d'un bateau qui tangue un petit peu, cette fois.
Moins didactique que d'autres (disons que c'est fait plus chirurgicalement, pour ne pas avoir l'impression de lire un cours d'égyptologie), plus tourné vers l'aventure, cet album est de bonne facture.
Nos héros risquent leur vie, toujours sur une corde raide, et la galerie de personages s'agrandie.
c'est toujours très bien dosé, même si les dessins montrent quelques faiblesses par moment (certains visages, certains personnages vu de loin, certains décors ou parties de décors "oubliés" à l'encrage !).
En tout cas, mon enthousiasme pour cette redécouverte de cette série ne faiblit pas. Je comprend mieux pourquoi elle aura droit à 33 tomes, parce que arrivé à la moitié, c'est toujours aussi plaisant, savant mélange d'action, d'érudition, de charme, de fantastique, à mettre en confiance entre toutes les mains.
Album mineur dans la série, il contient de beaux passages (certaines visites, avec des décors superbes) mais aussi une histoire où Papyrus est, cette fois, un peu passif.
De Gieter fait preuve d'édution, et nous emmène avec lui dans cete Egypte du temps de sa splendeur ; cela donne de beaux dessins mais pas toujours les meileures histoires, quand le didactique l'emporte sur l'aventure.
Cette fois, point d'aventure, mais comme dans le tome 12, une histoire d'architectes. Quelques péripéties n'empêchent pas cet album d'être moins passionnant que les autres.
Ce qui le sauve d'une mauvaise note, c'est la présence de Théti-Chéri, et tout ce qu'elle apporte de charme et de piquant. Et le retour de la "famille" de personnages familiers.
Un sympathique moment de lecture, et c'est déjà pas mal.
Après un tome 12 extrèmement didactique, mais à qui il manquait le souffle de la grande aventure, ce tome 13 est une excellente surprise.
Nous retrouvons un Papyrus plus actif, subissant beaucoup moins les évènements, et contraint de lutter pour sa survie. L'absence de la galerie habituelle des personnages qui l'entourent y est sans doute pour quelque chose aussi.
Théti-Chéri, peu présente dans l'histoire, a pourtant une scène importante à jouer, et révèle quelque chose qui servira plus tard, si j'ai bien compris (je découvre ces albums parus après que je me sois arrêté de lire "le journal de Spirou").
Une très bonne surprise et un retour aux fondamentaux de la série avec une aventure plus légère et plus centrée sur Papyrus.
La couverture est ratée, mais Dieu merci, l'album est d'un autre niveau !
Le dessin est toujours impeccable mais je comprend que cet album soit moins bien noté que les précédents :
Il est trop didactique et ne laisse pas assez de place à l'aventure.
Indispensable pour apprendre comment étaient érigés les obélisques, il ne permet pas de donner à Papyrus et Théti-Chéri la place qu'ils occupent d'habitude.
Je trouve aussi qu'il y a beaucoup trop de personnages dans chaque case. C'est normal, il s'agt d'un chantier, mais cela nuit au récit et ne permet pas aux personnages principaux de donner toute la mesure de leur capacité à nous emporter avec eux.
De Gieter réussit quand même à tenir la cadence d'un album par an, pour une qualité irréprochable ; chapeau bas !
Un bon album, mais pas le meilleur de la série.
Encore un très bel album, même si l'histoire est assez surprenante par moments !
Je me demande bien ce qui pouvait parfois passer par la tête de ce fantastique auteur.
Une imagination débridée au service d'un dessin irréprochable.
Le charme opère toujours, pour une série que j'avais abandonné à la fin de l'adolescence, à l'album précédent, et que je retrouve avec plaisir une fois adulte "confirmé" et papa.
C'est toujours aussi didactique, flippant par moments, un peu violent même (pour une série tous publics), et dépaysante à souhait.
Cet album marque un tournant dans la série.
Jusqu'à présent, le bien triomphe toujours et tout finit bien. Mais dans le tome 9, à l'image de la couverture, très réussie, ce ne sera pas le cas.
De façon très audacieuse, De Gieter surprend tout son monde en proposant une histoire dramatique, qui ne s'imposait pas mais qui marque durablement le titre.
Graphiquement, cet album n'est pas en reste et figure parmi les sommets du genre ; les décors sont extrèmement fouillés, les personnages sont variés et parfaitement identifiables, la mise en scène est incroyable, certains angles de vue sont magistraux.
Les couleurs, c'est à souligner, ont très bien passé le test du temps.
On ne ressort pas indemne de cet album, qui parlera aux petits comme aux grands. De la virtuosité pour un titre qui devait paraitre à un rythme effréné dans le "journal de Spirou".
Encore un très bon album de Papyrus.
Une histoire originale, un contexte historique remarquablement exposé, des dessins au top.
Difficile de passer après un tome 7 graphiquement impressionnant, évidemment, mais enfin tout est réuni pour passer un excellent moment de lecture familial.
Papyrus est peut-être un peu moins déterminant, dans la résolution de l'histoire, mais enfin, c'est un détail.
De 7 à plus de 77 ans, tout le monde sera ravi de sa lecture.
Un des chefs d'oeuvre de cette série.
Si les tomes 4 et 5 conservent ma préférence, pour certaines scènes mémorables d'angoisse, ce tome 7 est un des sommets graphiques de la série.
Les quelques défauts relevés dans le tome précédent ne sont plus là ; les décors sont incroyables, les personnages bien campés et très bien exploités, et pour une fois, Papyrus est plus spectateur qu'acteur, du moins sur la dernière partie, la plus surprenante.
De Gieter nous avait pourtant habitué à un fantastique très riche, mais l'histoire, à partir de la double planche 20 et 21, est énorme et restera dans l'Histoire de la BD tous publics. On en prend plein les yeux. Un classique.
Cette 6ème aventure de Papyrus est un album en deux temps.
La première partie, la moins réussie, nous permet de découvrir un nouveau personnage (unijambiste) et curieusement, certains décors sont moins précis que d'habitude. Pas tous, heureusement.
Surtout, Théti-Chéri est totalement absente de cette première partie, et cela se fait sentir. Il manque quelque chose.
Mais quand elle apparait, comme par hasard, l'histoire décolle, les décors retrouvent de leur splendeur.
Album de transition pour la suite, sa lecture est cependant nécessaire et agréable.
C'était l'album qui m'avait le plus marqué quand je le lisais dans "le journal de Spirou" ; sa relecture, presque 40 ans après, n'a en rien changé les souvenirs que j'en avais.
Certaines BD vieillissent mal, nos souvenirs nous trahissent parfois, mais pas cet album, qui est toujours aussi génial.
Une scène, plus que les autres, m'avait marqué (celle du serpent lové sur Papyrus), et c'est encore le cas à la relecture ; simplement, ne plus avoir à attendre la semaine suivante pour lire la suite ne donne pas la mesure du supplice pour le jeune lecteur que j'étais à l'époque !
Je suis étonné, depuis que je relis cette série avec mes yeux d'adulte, par la cruauté des supplices promis à Papyrus ; l'enfant que j'étais n'était pas traumatisé !
Un très bel album, inventif, beau, à suspens, et émouvant.
Du très bel ouvrage, d'un des acteurs majeurs de la fin de l'age d'or de la BD jeunesse.
Ca y est, la série a atteint son rythme de croisière.
De Gieter a trouvé la formule magique, entre action, émotion, humour et contexte historique. Le tout avec un dessin qui est dans la plus pure tradition de l'école Marcinelle, avec des décors fouillés et une ambiance parfaitement rendue.
On tremble pour Papyrus et Théti-Chéri, on admire leur courage et leur détermination, tout en se laissant embarquer par l'histoire qui nous est contée.
Le jeune que j'étais quand je lisais ces histoires dans le journal de Spirou s'est souvenu de certains passages, qui ont imprimé ma mémoire, preuve que cette BD est à intégrer dans les classiques du genre de cette génération, à l'instar des "petits hommes" de Seron, de "Natacha" de Walthéry ou de "Yoko Tsuno" de Leloup.
Mon fils de 5 ans est scotché à ces BD, qu'il lit et relit sans cesse depuis quelques semaines, preuve que le talent n'a pas d'age et traverse les générations.
La sauce commence à prendre !
Le dessin est très proche, maintenant, de celui des meilleurs albums, Théti-Chéri en tête ; les décors sont impeccables et l'histoire est de mieux en mieux construite.
Les enfants comme les plus grands se régalent, en s'instruisant car l'album est truffé d'infos didactiques sur l'époque des pharaons, à l'instar d'un "Alix" de Martin.
Le dessin reste perfectible, mais le titre est lancé, et ne s’arrêtera plus.
Le filon est là, les personnages sont déjà attachants, Théti-Chéri est de plus en plus belle, et Papyrus déjà admirable. Le scénario m'a un peu perdu, mais je sais que les albums suivants sont géniaux alors je me suis accroché.
Comme dit ci-dessous, c'est un 1er album.
Le dessin n'est pas encore celui qui prévaudra plus tard, les personnages sont encore un peu petits, et dans un style un peu caricatural, mais les décors et le contexte historique montrent bien que la série est très prometteuse et annonce de bien belles choses.
Première aventure de Papyrus et de Théti-Chéri, la fille de pharaon. Les traits des personnages ne sont pas encore aboutis mais l'esprit est déjà là. Papyrus se sort de toutes les mésaventures avec beaucoup de courage.
Thèbe fête l'Opèt, le nouvel an égyptien. Malheureusement, la fête tourne à l'affrontement entre les partisans d'Amon-Ré, menés par le pharaon Merenptah et les partisans de Sekhmet, menés par Amemnès. L'intrigue, assez simpliste, n'est pas passionnante.
Le frère de Pharaon profite de son absence pour prendre le pouvoir. Il emprisonne la princesse Théti-Chéri et pourchasse Papyrus. Un album sympathique.
Papyrus et Théti se retrouvent dans les ruines d'Akhet-Aton, la capitale du pharaon maudit Akhenaton et de la reine Nefertiti. L'album est de bonne facture mais les situations sont parfois répétitives.
Impossible que De Gieter ait commis une telle atrocité ! Il a du discrètement passer le témoin à quelqu'un ! Scénario bâclé et surtout un dessin atroce , hésitant . Un humour lourd , primaire ... On ne rit pas , on attend quelque chose qui ne vient pas . De Gieter annonçait dans Spirou que c'était la dernière aventure de Papyrus. Triste fin .....
Mais que ce passe-t-il au pays d'Horus ? Après le traditionnel coup de gueule de Théti-Chéri et sur un fond de coup d'état, des scènes sorties de Pim Pam Poum : un Papyrus patraque, beaucoup de coups de pied au popotin, des batailles apparentées à des chicanes de cour d'école...
Ajoutez les encrages incertains, et on reste perplexe sur les propos de l'auteur.
Ah ! La chute de la dernière page explique tout. Nonobstant que le même artifice a été utilisé avec plus ou moins de bonheur par une kyrielle d'auteurs qui ne savaient pas comment conclure un album qui s'était par trop éparpillé...
Si vous avez grandi avec le Papyrus des premiers albums, on note 1/5 et on fait l'impasse pour gardez nos beaux souvenirs.
Si vous n'êtes pas exigeant, 2/5.
Malheureusement, c'est devenu très mauvais, l'intrigue est sans intérêt ni évolution, c'est du remplissage de case. Même les dessins sont devenus tout nazes, les démarches et les attitudes des personnages sont désespérantes de raideur, les perspectives sont ratées, les décors insignifiants, etc.
Papyrus, Astérix, même déchéance. Désolant.
Il est bien dommage de voir cette série sombrer de plus en plus dans la médiocrité, elle qui un temps était un gage indéniable de qualité. Certains dessinateurs vieillissent mal, et de Gieter est de ceux-là malheureusement.
Côté scénario, on est loin des grandes aventures épiques du passé. Ici on a droit à une histoire sans grande consistance, qu'on lit sans ennui, mais sans passion non plus. Vite lu et vite oublié.
Mais c,est au niveau du dessin où ça se gâte vraiment. Surtout au niveau des personnages. Ils sont souvent mal dessinés, les proportions sont fausses, et on y retrouve plein d'inconsistances navrantes.
Par exemple, le nain Pouin. Dans certaines cases il fait la moitié de la taille de Théti et Papyrus , alors qu'ailleurs il semble presque aussi grand qu'eux. À la longue, toutes ces erreurs finissent par agacer et gâcher le plaisir de la lecture. On s'attache plus a repérer les multiples gaffes graphiques du dessinateur qu'à porter attention au scénario....
Finalement, un album bien décevant. À réserver aux plus jeunes qui ne remarquerons peut-être pas tous ces défauts.
Dernier opus réussi d'une série qui promettait beaucoup depuis ses origines (j'exclus quand même la Pyramide Noire, bien raté avec une Théti ridicule aux yeux de shootée sans cervelle, qui annonçait finalement les albums plus que mitigés qui commencent avec l'Obélisque) à l'adolescent féru d'égyptologie, de magie, d'histoire, de fantastique et de beaux dessins que j'étais... les histoires étaient incroyables de recherche et de fantaisie avec toujours cette envie d'épater le lecteur par une imagination débridée, des créations scénaristiques inégalées par la suite (l'Egyptien Blanc, les 4 doigts du Dieu Lune, le Maître des 3 portes... quels chef d'oeuvres !), des dessins qui ont évolué avec le temps, qui ont mûri avec le corps de Théti femme enfant si belle avec ses bras de danseuse sacrée chargées de plumes à damner les Dieux Egyptiens... De Gieter aimait alors ses personnages et ses histoires... il n'était pas encore le marchand de saucisses antiques portant des noms sans invention comme l'Obélisque, le Labyrinthe, l'ïle Cyclope, l'Odyssée de Papyrus... il est à pleurer en fait ce jour où Papyrus s'est contenté d'être un Tintin aux pays des pharaons dans des décors aux couleurs criardes (depuis l'Obélisque).
En mémoire de ses 10 premiers albums qui ont fait date (du 1 au 9, pas le 10 berk et le 11 à la limite parce que c'est le premier que j'ai lu dans le journal de Spirou et que le dessin était encore respectueux du lecteur), je mets 9/10.
Que dire de cette bonne série,bin que il y a longtemps que j'aimerai la relire et pouvoir la continuer, étant donner que je l'ai connu à ma bibliothéque étant plus jeune.
Déja j'aime les histoire liés au pharaons et à l'Egypte, et ensuite les deux personnages sont sympathiques dans un contexte tout aussi sympathique.
Lucien De Gieter, égyptologue toujours aussi précis dans sa documentation et ses références pour la conception des aventures de Papyrus, met en veille le côté historique dans ce vingt-huitième album au profit d'une histoire où les sentiments des deux jeunes protagonistes prennent le premier plan, et offre à ses lecteurs une version légère et plus humoristique du célèbre classique Roméo et Juliette de William Shakespeare.
Dessiné et mis en couleurs tout aussi fidèlement que les albums précédents, ce nouveau tome permet à l'auteur de faire progresser son personnage fétiche vers un niveau de maturité qui lui permettra ensuite d'entamer de nouvelles possibilités jusqu'à présent inaccessibles. De plus, dans ce nouveau tome, l'auteur en profite pour présenter son dernier-né: Phoetus! Ce nouveau personnage, envoyé par Seth pour mettre des bâtons dans les roues de Papyrus et Théti Chéri, fait donc sa première apparition, et si l'on se fie à l'épilogue de Les Enfants d'Isis, cela ne sera pas la dernière fois qu'on le verra!
En bref, ce tome est un bel album au style classique et consiste en un pivot important dans l'évolution des personnages principaux de la série. Agréable à lire, il est recommandable pour tous les amateurs de bandes dessinées jeunesse.
C'est sûr que l'évolution de la relation Papyrus/Théti a de quoi surprendre. C'est ce qui fait le charme de cet album. Maintenant il n'y a plus qu'à espérer que ça ne va pas tourner en "Amour, Gloire et Beauté".
Cet album là est intéressant mais le dessin est un peu moins bien notamment en page 29 quand on voit Papyrus transpirer dommage
Cette série a pour particularité d'avoir droit à de la magie : une fois encore le surnaturel est au rendez-vous et elle permet d'en savoir un peu plus sur la mythologie Egyptienne. à recommander.