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Pour le T6 et T7, il ne s'agit pas vraiment d'un second cycle, mais d'histoires annexes dans le monde d'Horologium. Et si le T6 est très bien amené au niveau de l’enquête, le T7 est clairement plus médiocre. A l'instar du T1 à T5 et de leurs irrégularités. Je regrette également les fins rapides et bâclé (terminées sur une seule planche pour les deux tomes) sans transition. L'arrivée des deux coloristes pour la réalisation du T6 et T7 amène un vrai plus à l'esprit et à l'univers.
Le T1 à T5 présentent à eux seuls le monde original "Holorogium", où les hommes ne connaissent plus les émotions, dans un monde mécanisé et froid. L'histoire est proposé avec beaucoup d'idées farfelues et plaisantes. Le dessin, bien que très atypique manque en peu de vivacité et de détails, les couleurs sont également assez tranchés et mériterait un peu plus d'unicité. Coté scénario, il y a des hauts et des bas, avec un T1 accrocheur et très prometteur, il faut attendre d'arriver au T4 (voir meme le T5) pour que le rythme devienne plus soutenu, avec un final au T5 très bien amené et qui ferme superbement le cycle de Horologium. Un rythme irrégulier qui pâtit sur l’œuvre générale de Fabrice Lebeault.
Excellent début de série, un univers complexe et bien construit, très original esthétiquement et fascinant. Des personnages intéressants dont le dessin manque un peu de fluidité mais très attachants. Critique de la religion technique et du mécanicisme à la Descartes, avec en fond un problème d'énergie et de mouvement perpétuel très actuels, que l'on découvre au fil des albums de la série. Une de mes bd préférées
Le dessin n'est absolument pas le point fort de cette Bd, c'est le moins qu'on puisse dire. Il reste figé et les couleurs sont vraiment ternes.
Je n'ai pas été fasciné par la soi disante beauté de l'architecture et des machines.
C'est vrai que je viens de lire De Cape et de Crocs et que la comparaison ne souffre d'aucune photo. Si seulement les personnages étaient attachants ! Cependant, c'est loin d'être le cas...
Il est vrai que l'univers à la fois bureaucratique et mécanique ainsi décrit est très singulier et mérite toute notre attention. Le scénario se veut complexe en opposant la société civile au pouvoir religieux mais en réalité il réside plus en une course permanente. Les explications données par les personnages pour expliquer leur ralliement ou leur trahison ne sont pas très convaincants.
Horologiom demeure néanmoins une série iconoclaste qui mérite d'être au moins une fois lue.
Comme le dit si bien "minot" rien de transcendant dans cet album. Je n'y vois même pas de parallèle avec les œuvres citées. C'est original certes tant pour les dessins que pour les couleurs utilisées, ce qui fait d'une bande dessinée un œuvre originale, mais je n'ai vraiment pas apprécié cet album, je l'ai trouvé mou, sans grand intérêt, il y aurait certes un peu de 1984 mais bon c'est étrangement rythmé. On dirait également qu'au niveau du dessin les auteurs cherchaient un peu de Nef des Fous sans réussite. Je suis un peu déçu. J'ai le tome 2, 3 et 4 et je n'ai même pas envie de les lire...
Pas mal du tout ! Le dessin est très classe et le scénario de cette enquête policière est bien fichu. Une lecture prenante, pour peu que l'on adhère à l'univers particulier d'HOROLOGIOM.
Dans cette dictature plusieurs factions tentent d’arriver ou de rester au pouvoir. La police religieuse espionne le moindre de vos gestes et de vos paroles. Quand soudain, Mariulo, personne sans clef, déboule à Horologiom. Toute la ville est tourneboulée. Quoi, impossible de remonter cette personne ? La remettre dans le droit chemin ! Inadmissible. Dessins superbes et histoire originale.
Le final est vraiment inattendu et remet totalement en question la vision que l'on pouvait se faire du monde d'HOROLOGIOM. Cette fin très originale m'a beaucoup plu et ce dernier album clot la série de jolie manière.
Le moins bon de la série pour moi. Un épisode décevant avec un scénario qui traîne en longueur (tout tourne autour de cette histoire de Requinqueur), même si on est content d'en savoir un peu plus sur le héros de la série, avec une partie de son passé révélée.
Episode correct, où les différents protagonistes jouent au chat et à la souris. Alliances, complots, trahisons sont au programme de cet album, qui brouille fortement les pistes sur la valeur des personnages. Un épisode très bien mené, qui de plus se termine de belle manière.
Décidemment, j'ai toujours autant de mal à accrocher complètement à cette série ! Pourtant il y a pas mal d'éléments iintéressants :
- le dessin, après un petit temps d'adaptation, est particulier mais on s'y fait (les couleurs sont top);
- l'univers, bien que très largement inspiré d'Orwell ou Huxley, est très plaisant (architecture démente, robots étonnants ...);
- il y a du suspense, un peu de mystère, un soupçon d'humour ...
Malheureusement, la lecture n'est pas toujours simple et il est facile de se perdre dans le scénario, entre les divers clans formés, les noms des différents engins, les motivations obscures des principaux personnages, etc.
Cet album est un thriller policier sous forme de « one-shot » se déroulant dans l’univers d’HOROLOGIOM. Le scénario est assez confus et l’enquête menée par les personnages de ce récit est ainsi assez ennuyante à suivre. Rien de bien convaincant pour moi, si ce n’est le dessin d’une belle précision.
Quelque part entre « Le meilleur des mondes », « Brazil », « 1984 » et « Le roi et l’oiseau », voici HOROLOGIOM ! Dans une cité imaginaire où toute la vie sociale et religieuse est régie par les lois de la mécanique, ayant pour résultat une déshumanisation complète de ses habitants, un être humain extérieur à la cité fait irruption, mettant ainsi en péril l’ordre et les fondements de la société d‘HOROLOGIOM. Ce premier tome n’est guère transcendant: un scénario convenu, un univers peu original, un rythme poussif, des personnages caricaturaux … bref rien de très exaltant. Quant au dessin, si le style tout en rigidité et en précision colle bien avec le thème de cette série, j’avoue qu’il ne me séduit pas plus que ça. Bref, la série démarre mollement.
Un univers froid et mécanique, et le grain de sable dans la machine. Un dessin parfait, des couleurs chatoyantes dans un univers morne, et bien sûr un récit hors pair. Une œuvre, tout simplement.
Quel dessinateur de génie ! Et excellent scénariste ! Chaque case est un régal d'inventivité. Les couleurs sont magnifiques. Bref, un chef d'oeuvre.
C'est avec plaisir que je retrouve le monde d'Horologiom étant un absolu fan du "premier cycle"
L'histoire se pase avant le premier cycle.
Un polar tres tres bien ficelé qui laisse clairement ouverture à une suite.
Les couleurs sont quand à elle un peu plus ternes que dans le cycle précédent.
A lire
Vivement le T7
PS : Même si ce T6 peut se lire sans avoir lu les 5 précédents, il est, à mon avis, plus judicieux de lire le premier cycle pour mieux s'imprégner de l'univers
SUBLIME. le monde de cette BD est fabuleux: fun, "rétro futuriste", ambiance société totalement controlée style communisme des grands jours. Les dessins magnifiques et qui vont très bien avec l'ambiance et le style. C'EST DU BEAU BOULOT. A voir et avoir absolument.
lu seulement les 2 premier tomes, est je suis absolument séduit, la société decrite, le dessins , les couleurs, les personnages, bref l'ensemble est exvcellent , et trés coherent...
Bref, un pur moment de poesie, de rêve, et d'évasion vers un monde imaginaire..... J'espere avoir la suite rapidement et qu'elle soit du même accabit.....
Tout a déjà été dit, mais il fallait absolument relevé la moyenne ! C'est un pur
chez d'œuvre fin, poétique et complètement original. Et le scénario est aussi
superbe que le dessin. A lire sans hésitation.
je doit dire que la série m'a laissé perplexe. En effet, si la beauté des dessins m'a vraiment enthousiasmé, le scénario m'a laissé sur ma faim, j'ai toujours eu l'impression que l'auteur n'allait pas assez loin et l'histoire m'a paru par moment ennuyeuse. Dommage car l'idée de départ était géniale.
Méconnue, Horologiom est pourtant une série de grande qualité.
Imaginée par Fabrice Lebeault (scénariste et dessinateur), l'histoire se déroule dans la ville d'Horologiom, une ville coupée du reste du monde et soumise à une religion fondée sur les lois de la mécanique et qui exclut tout sentiment humain !
Originale, étonnante et donc captivante : tels sont les qualificatifs qui me viennent à l'esprit pour parler de cette série.
Non seulement l'auteur a fait preuve d'une grande créativité dans les personnages (pittoresques) et les robots (surprenants) qui peuplent Horologium ainsi que dans l'architecture (étrange) de la ville mais de plus le scénario est bien rythmé, propice aux rebondissements et surtout cohérent : On sent bien que l'auteur sait où il va dès le tome 1.
Il y a même une petite touche d'humour qui n'est pas désagréable avec le personnage de Manach' (le robot "remonteur") qui apparait au tome 2.
Juste un petit bémol : le dénouement final décevra peut-être même si personnellement je l'ai trouvé plutôt pas mal.
Une réussite incontestable.
Décidément, Delcourt possède un grand nombre d'auteurs talentueux et ne sombre pas dans la facilite.
Horologiom fait partie de ces bd qui, sans être exceptionnelles, sont particulièrement originales et permettent une très agréable lecture.
Lebeault nous dépeint ici un monde contrôlé par la mécanique. Tous les habitants de la ville d'Horologiom possèdent une clef et ont besoin d'être régulièrement remontés au risque d'être considérés hors-la-loi par les dictateurs au pouvoir. Et voilà t'y pas qu'un bonhomme venu d'on ne sait où débarque et qu'à la grande surprise de tout le monde, il n'a aucune clef...
Sur les 5 tomes, Lebeault maîtrise bien son scenario. Il sait ou il va, réussi très souvent à surprendre le lecteur et nous mène tout droit vers une fin plutôt inattendue qui ne restera peut-être pas mon meilleur souvenir de la série.
Côté dessin, Lebeault a du bien s'éclater ! Il a inventé une ville, avec des machines et des bâtiments totalement nouveaux. Rien que cette imagination débordante permet d'avoir un dessin intéressant. D'un autre côté, il y a régulièrement des imperfections dans les humains, des disproportions, des positions étranges. C'est un peu déstabilisant mais on fini par s'y faire. Enfin, un des gros points positifs est la mise en couleur particulièrement réussie qui a elle seule permet d'oublier ces imperfections.
Une bonne petite série qui a réussi à ne pas s'éterniser et a tenir en 5 tomes.
Ah, Horologiom!Quel bonheur!
Acheté au hasard (le coffret était fermé et je n'en avais jamais entendu parler...fou, avez-vous dit?), rien que l'illustration du coffret est a tomber raide.
Les dessins de Lebeault sont absolument merveilleux et conviennent a merveille pour décrire ce monde regle comme une horloge et ne laissant aucune place au sentiment.
Le monde décrit est merveilleusement effrayant et nous revele ce dont pourraient etre capables certains dirigeants sans foi ni loi. Le dernier album plein de reboudissements nous montre un denouement assez inattendu.
Cette série est donc un petit bijou qui devrait trouver sa place dans toute bonne Bedetheque qui se respecte. Alors a quand une nouvelle serie de Lebeault? Et comment fera-t-il mieux?