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Balade en brocante et, hop, quelques albums achetés à quelques euros et me voici avec un "Julie Wood", spin of dans les années 70 de la série Michel Vaillant.
Bon, ici, rien n'est bon. Julie Wood qui est logiquement le personnage principal est inexistante. Inexistante comme le Jeannot, qui, à part Julie Wood, ne dessine rien d'autres. Oui, cela se voit sur les visages, les corps, les paysages et les engins si différents de la plume de Graton. L'histoire est tout aussi insignifiante. Les cases sont immenses pour étirer l'histoire, racontée en voix off, pour atteindre les 46 planches nécessaires. Et l'histoire, en plus, n'a aucun enjeu et même n'a ni corps, ni tête.
Reste l'ambiance grise, orageuse, sombre qui est joliment drapée. Il y a là une certaine idée du moment autour du circuit de Daytona qui rend la lecture nostalgique et surannée. Nostalgique aussi de lire un album d'une maison d'édition qui n'existe plus.
Bref, malgré un vide certain, la mélancolie nous prend. même les pages jaunes ont cette odeur si caractéristique du temps qui passe...Sympa
Balade en brocante et, hop, quelques albums achetés à quelques euros et me voici avec un "Julie Wood", spin of dans les années 70 de la série Michel Vaillant.
Bon, ici, rien n'est bon. Julie Wood qui est logiquement le personnage principal est inexistante. Inexistante comme le Jeannot, qui, à part Julie Wood, ne dessine rien d'autres. Oui, cela se voit sur les visages, les corps, les paysages et les engins si différents de la plume de Graton. L'histoire est tout aussi insignifiante. Les cases sont immenses pour étirer l'histoire, racontée en voix off, pour atteindre les 46 planches nécessaires. Et l'histoire, en plus, n'a aucun enjeu et même n'a ni corps, ni tête.
Reste l'ambiance grise, orageuse, sombre qui est joliment drapée. Il y a là une certaine idée du moment autour du circuit de Daytona qui rend la lecture nostalgique et surannée. Nostalgique aussi de lire un album d'une maison d'édition qui n'existe plus.
Bref, malgré un vide certain, la mélancolie nous prend. même les pages jaunes ont cette odeur si caractéristique du temps qui passe...Sympa
Balade en brocante et, hop, quelques albums achetés à quelques euros et me voici avec un "Julie Wood", spin of dans les années 70 de la série Michel Vaillant.
Bon, ici, rien n'est bon. Julie Wood qui est logiquement le personnage principal est inexistante. Inexistante comme le Jeannot, qui, à part Julie Wood, ne dessine rien d'autres. Oui, cela se voit sur les visages, les corps, les paysages et les engins si différents de la plume de Graton. L'histoire est tout aussi insignifiante. Les cases sont immenses pour étirer l'histoire, racontée en voix off, pour atteindre les 46 planches nécessaires. Et l'histoire, en plus, n'a aucun enjeu et même n'a ni corps, ni tête.
Reste l'ambiance grise, orageuse, sombre qui est joliment drapée. Il y a là une certaine idée du moment autour du circuit de Daytona qui rend la lecture nostalgique et surannée. Nostalgique aussi de lire un album d'une maison d'édition qui n'existe plus.
Bref, malgré un vide certain, la mélancolie nous prend. même les pages jaunes ont cette odeur si caractéristique du temps qui passe...Sympa
Si l'intrigue est vraiment minimaliste et se résume à quelques scènes de courses et à une improbable bagarre de motard, l'étude des personnages (à part Julie of course) est quant à elle carrément inexistante !
Pourtant cela ravive un certain plaisir de lecture à ceux, comme moi, pour qui Julie évoque des souvenirs de jeunes lecteurs !
Le plus faible épisode de la série : Histoire et personnages manquent singulièrement d'épaisseur. Il a bien un début d'intrigue mais cela tombe à plat ...
Pas époustouflant, mais se laisse lire malgré tout par les nostalgiques dont je fais indéniablement partie.
Je ne sais pas ce qu'elle vaut, julie, en cuisine et repassage, mais en conduite de moto elle est épatante !
Et les garçons, d'abord, ce sont tous des machos et des gros lourdauds.
Pourtant, je pense qu'elle en pince pour l'un d'eux ! Je vais vérifier dans les albums à suivre. Je vous tiens au courant !
Bien sûr, je ne suis pas objectif ... cette BD et quelques autres ont bercé mon enfance.
Il n'empêche que cela se relit bien ... Julie est toute blonde et toute fraîche, c'est une battante et elle jure en anglais !
Tiens, je vais essayer de compléter la série en chinant aux puces