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Un tome 2 dans la même veine que le premier : récit classique (l’histoire d’une semi-elfe et des difficultés qu’elle a pu rencontrer de sa prime jeunesse à son âge adulte, en passant par son intégration à une compagnie de mercenaires) et graphismes très soignés, aux belles ambiances.
L’histoire est maîtrisée narrativement, même si les récitatifs sont encore une fois très nombreux, beaucoup de textes qui alourdissent parfois la lecture.
Mais le récit est suffisamment intéressant pour nous accrocher jusqu’au bout. Rien de révolutionnaire, mais une nouvelle fois une belle détente.
Nouvelle série concept de fantasy de la part du duo Istin/Jarry, ce « Empires » sent le réchauffé, tant au niveau des graphismes que du scénario (du sous-Mondes d’Aquilon dans les deux cas).
Mais, passé une intro un peu lourdingue (Jarry retrouve ses travers des premiers tomes de Nains, où le récitatif était très présent, trop à mon goût), on plonge petit à petit dans cet univers plus antiquisant que médiéviste, plus sombre que celui des Mondes d’Aquilon, et sans les multiples races chères à Tolkien : ici, des Humains et quelques races venues des profondeurs, à peine évoquées.
Et force est de constater que la maîtrise narrative de Nicolas Jarry est toujours là, on creuse de plus en plus profondément, le récit se densifie, les enjeux se renforcent, les décors se font plus grandioses au fur et à mesure.
Et on termine l’album avec une seule envie, connaître la suite. C’est donc au final un bon album, à la construction classique mais totalement maitrîsée, qui offre un divertissement qualitatif pour tous les fans de fantasy, en particulier les aficionados des Mondes d’Aquilon (dont je fais partie).
Bonne pioche.