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La BD : Les aventures de "Spirou et Fantasio # 21 : Du glucose pour Noémie" (Dupuis) est la suite du Faiseur d’ or (Spirou et Fantasio # 20) par l’auteur ( Scénario et Dessins) Fournier qui a marqué Spirou dans les années 70, après le très grand Franquin.
Qui est Jean-Claude Fournier (né en 1943) ? Né à Paris, mais de culture bretonne, il se passionne pour le dessin et la scène dès l’enfance. Repéré par Franquin, il lui succède dans les années 70 sur la série Spirou, avec un trait semi-réaliste, alors que Franquin veut se consacrer à sa création ("Lagaffe").
De 1968 à 1980, Fournier (9 albums) apporte une sensibilité écologique à la série et entraînera même notre héros en Bretagne avec le personnage de "L’Ankou". Puis, désisté par les éditions Dupuis, il prend sous sa main, comme l’a fait Franquin, de jeunes auteurs.
Du glucose est une histoire trépidante à travers le monde de Spirou. En la lisant, vous découvrirez qui est Noémie ?
Une aventure de SPIROU & FANTASIO en Afrique assez courte (30 pages) mais très drôle et joliment dessinée. Franquin s'en donne à cœur joie sur le bestiaire de cet opus, qui est d'une grande diversité : éléphants rouges (!), fourmis voraces, hippopotames, Marsupilami (évidemment) et même plantes carnivores (!!). La caricature des peuplades indigènes est très amusante, les méchants jouent bien leurs rôles ... Pas le meilleur de la période Franquin, loin de là, mais tout de même agréable à lire.
L'album se termine par quelques gags en une planche sans prétention mettant en scène le Marsupilami. Rien de fou, mais là aussi c'est plutôt sympa à lire.
Ouais, j’ai pas foncièrement accroché à cette explication qui nous sort Spirou d’affaire, pof, bracadabra, dans une sorte de délire qui ne m’a pas convaincu, à la fois trop poussé et à la fois pas assez exploité à cause d’une répétition des scènes de sauvetages potentiels.
Suite à la fin osée de 'La mort de Spirou', j'étais curieux de connaître le dénouement de cette singulière histoire.
Le scénario lorgne du côté de Matrix et nous fait revivre une version très fantasmée teintée de fan-service des précédents épisodes de Spirou toute époque et reprise confondues. Il y a de bonnes idées et beaucoup de plaisir à la lecture grâce aux dessins de Schwartz.
Tout cela est malheureusement gâchée d'une part par ce final grandguignolesque avec le retour de Cyanure en mode mécha. Une version en mode Terminator m'aurait davantage fait adhéré à cette ressortie d'un méchant trop sous-exploité en son temps. D'autre part, cet insupportable effet de mode qui consiste à jouer à fond la carte de la nostalgie et de constamment faire des références au passé, comme si les auteurs et les maisons d'édition ne voulaient pas (plus) prendre de risque.
Cet album aurait pu être bien meilleur mais avec le recul, je dirai qu'il reste quand-même correct. Les derniers albums de cette série m'invitent à penser que Spirou et Fantasio doivent évoluer, comme l'on fait avec beaucoup de réussite Tome et Janry dans les années 90 (changement de design, évolution relationnelle entre les personnages, création de nouveaux méchants charismatiques).
Scénario bien peu original, trop décalqué sur Matrix et donc, comme l'a remarqué un critique précédent sur l'univers dick-ien. De plus, on fait intervenir Cyanure qui n'était pas l'épisode de l'ancienne époque le plus passionnant.
Mais c'est sauvé in-extremis par le dessin de Schwartz.
Mais quel gâchis ! Pourtant, le début était prometteur : SPIROU prisonnier d'une illusion qui l'enfermait dans ses aventures passées, Fantasio et Seccotine à la rescousse, retour du personnage de Cyanure qui faisait un méchant crédible ... ça partait bien. Et puis ... le dernier tiers de l'album est un vrai naufrage, avec en point d'orgue cette scène de carnage au château de Champignac qui est aussi horrible que ridicule (les scénaristes ont confondu Cyanure avec un adversaire de Goldorak ?).
Reste le dessin élégant de Schwartz, dont le côté vintage souligne néanmoins le fait que SPIROU est une série qui n'est peut-être pas adaptée au XXIème siècle (combien d'albums vraiment réussis depuis le retrait de Tome & Janry ?).
Cet album est comparable au dernier album de Jeremiah 41 par Hermann, aussi nul et sans intérêt !!!
L'histoire est très confuse et perd totalement son lecteur !
Reste le dessin de Schwartz qui est sublime !
Je n'ai pas terminé la lecture tellement c'est ennuyant.
Dupuis à bout de souffle !!!
Pas si dramatique que ce que je peux lire ici.
Le dessin est à la hauteur, le scénario un peu confus mais comme je suis amateur de Philip K Dick je n'ai pas pu m'empêcher de voir des clins d'œil à Ubik !
Le pari était osé et en partie réussi, les prochains albums seront sûrement intéressants
La plupart du temps c’est affligeant et le reste c’est passable. Trop de deus ex machina, en plus, pour faire avancer l’intrigue. Et je n’étais pas prêt pour les scènes finales … O_o
Quel sabordage complet de l’album précédent, prometteur.
Au fond, l’idée de base de cet album est plutôt bonne (un retour aux sources fantasmé), mais qu’est ce que c’est mal réalisé !
Hélas... si vous avez aimé La mort de Spirou, peut-être trouverez vous de quoi vous contenter dans celui-ci. Les dessins, comme dans La baie des cochons et La mort de Spirou, sont très bons. Le scénario, en revanche... Trois tomes que j'achète dès leur sortie et qui me tombent des mains à mi-parcours, malgré une pagination standard. Le pire étant que la fin de ce La mémoire du futur laisse augurer d'un 3ème tome du même tonneau...
Quel que soit l'intérêt de cette histoire, il reste choquant de constater qu'en 7 mois l'éditeur a décidé, pour deux cahiers de facture et de tirage similaires, d'augmenter le prix de 10 euros.
Le premier cahier était vendu 15,00 euros et le second 25,00 euros!!!
Contrairement au précédent qui m’avait modérément convaincu, on passe un pas pour entrer dans un excellent album qui a plutôt bien vieilli !
Une histoire longue à la trame simple – pour hériter, il faut réussir trois épreuves – mais riche et prenant.
Déjà, les trois épreuves sont très différentes et offre beaucoup de potentiel.
Créer une invention permet pas mal de délires humoristiques, de scènes cocasses et la découverte du fantacoptère.
La course automobile offre beaucoup d’action, de tension, de dynamismes et s’avère bien prenante malgré un support figé qui donne beaucoup de vitesse.
La recherche du Marsupilami nous emmène dans l’aventure avec la Palombie, le petit animal et là aussi pas mal d’humour dans l’aventure.
Bref, une histoire qui tient en haleine – où, contrairement aux Chapeaux Noirs, les historiettes ne sont pas indépendantes mais reliées par un fil rouge bienvenue – et la découverte du Marsu et Zantafio.
Un tome riche et sympa.
Si c'est pour en faire ce genre d'album, alors effectivement, il est plus que temps de mettre à mort Spirou ... mais, par pitié, mettez à mort aussi Fantasio et Séccotine, qu'on n'en parle plus !
Bref, je vais laisser à Dupuis une chance de se rattraper avec la suite de cet album (qui sait ? une bonne surprise peut toujours arriver), mais je serai très exigeant : il faudra pas moins qu'un album exceptionnel pour racheter ce lamentable tome 56.
Spirou et Fantasio, que de souvenirs d'enfance. Même si pour moi, les meilleurs albums commencent à partir de l'introduction de Zorglub. Le personnage m'a fait beaucoup rire et je trouve que les scénarios sont beaucoup plus construits et matures à partir du tome 15. Le dessin s'embellit aussi au cours des albums avec des cases beaucoup plus détaillées.
Spirou et Fantasio, c'est intemporel, et grâce à la créativité de ses auteurs, dont Franquin qui a créé les principaux personnages, je peux relire ces BD plusieurs fois sans vraiment m'en lasser.
Audacieux, tel est le mot.
Voila un scenario tout a fait surprenant et novateur dans l'univers de spirou et fantasio. Certes on est loin des meilleurs scenarii de Franquin, de ce foisonnement d'idees et de blagues qui etaient siennes. Mais cet album inespere, dynamique, coup de poing, avec un twist final, a le courage de faire sortir la serie de ses confortables sentiers battus, et ca marche!
Bravo aux auteurs de finir leurs apports a cette serie de si belle maniere.
Sûrement faut-il l’avoir lu pour sa culture générale mais c’est plutôt dispensable…
Les chapeaux noirs – 3,5
Ça a peut-être marché à l’époque mais là, on voit le truc venir de tellement loin que ça perd un peu en intérêt… Heureusement, il y a des scènes drôles, burlesques, qui rendent la lecture agréable néanmoins.
Comme une mouche au plafond - 3
Je reconnais l’inventivité et l’originalité de l’idée de base. Après, les personnages sont un peu caricaturaux et l’histoire un poil simpliste, dommage…
Spirou et les hommes-grenouilles – 2,5
J’ai pas totalement marché à celle-ci… Ok, il y a quelques passages amusants dans les répliques, surtout la vieille anglaise, mais l’ensemble est quand même assez enfantin et simpliste, surtout à l’arrivée des méchants…
Mystère à la frontière – 2,5
Ouais, bon, ça ne m’a pas beaucoup intéressé, cette histoire de contrebandier où tout le monde est hyper naïf… Encore une fois, on a le dynamisme dans le dessin et les personnages avec, pour le plus réussi, les scènes burlesques comme Spirou tentant de télécommander l’avion ou la poursuite en voiture finale. Mais c’est dommage que ce soit gâché par tellement de sentiments simplistes…
Bien aimé cette aventure.
Non seulement, on fait la découverte de Champignac, du comte et de tous les habitants, mais il y a un côté léger et réjouissant dans cette histoire.
Peu de mystère puisqu’on sait tous qui est le sorcier avant d’avoir ouvert le livre, mais une aventure qui se déroule avec dynamisme et logique.
S’il semble y avoir plusieurs histoires (les mystères à Champignac et qui est le sorcier, le X1 et les résultats sportifs, les gangsters), tout se lie plutôt bien et s’enchaîne de façon fluide, avec humour et entrain.
Allez, on va pas dire que c’est super moral à notre époque, ce dopage qui ne semble gêner personne, mais on s’en fiche : il y a beaucoup d’imagination dans les possibilités des champignons, un poil d’humanité autour du manouche et de bonnes scènes dans des dessins super dynamiques qui font qu’on ne voit pas les pages défiler.
Sympathiques débuts mais assez anecdotiques.
Spirou et les plans du robot – 2,5
Ce qui sauve l’histoire, à mon goût, c’est le dynamisme de la course poursuite qui en devient haletante, et l’humour disséminé ici et là, de la botte de foin au pêcheur qui revient avec un sanglier… Parce que niveau scénario, on est assez faible et pas très logique, avec un Spirou qui se dit « oh, un robot qui peut être dangereux, détruisons les plans », la police bien gentille et le coup sur la tête qui rend bête…
Spirou sur le ring – 3,5
Là, au moins, l’histoire est cohérente, logique, suivie… On lâche pas tellement c’est bien fait alors que l’enjeu est quand même assez faible, Spirou va-t-il perdre son combat de boxe contre Poildur ? L’intérêt n’est pas dans le suspense mais la tension et le dynamisme utilisés pour présenter toutes les idées avec beaucoup d’humour malgré un sujet banal qui n’offre pas beaucoup de rebondissement dans l’entraînement.
Spirou fait du cheval – 3,5
Joli délire très dynamique, sans rien de crédible mais bourré d’inventivité et d’humour bien cool.
Spirou chez les pygmées – 3,5
On dirait qu’il y a deux histoires distinctes dans celle-là… J’ai adoré la première, avec le léopard, histoire qui avance tranquillement avec une excellente utilisation exhaustive de tout ce qu’on peut faire avec ce gros chat, l’apprivoiser, la réaction des autres, surtout les concierges…
Et puis une seconde qui abandonne totalement la bestiole, plus colonialiste dans l’âme, très bavarde au début, qui prend du temps à s’installer mais a un final bien marrant. Un coup de mou au milieu pour la transition.
voila un allbum de spirou et fantasio que j'ai trouver dans un vide grenier en bon état et s'il vous plait en EO a 1 €
par contre histoire assez bizarre, 2 enfants avec des pouvoirs de levitation et bien plus encore
une statue de chien de fer qui prend vie, des robots vivants une courses poursuites avec la mafia japonaise ,ont se croirais dans TRANFORMERS et spirou qui a appris les arts martiaux en quelques pages ,heureusement qu'a l'époque de la sortie en 2006 je n'ais pas acheter cette album en boutique,j'ai eu du mal a suivre et comprendre cette aventure de SPIROU et FANTASIO
HO pardon j'ai oublier SPIP
La question n'est oas de savoir si cet album est le meilleur de T.&J., il l'est ! La question c'est de savoir si c'est le meilleur Spirou et Fantasio (ET Fantasio !) de tous les temps... Des fois, je me dis oui, d'autres que, quand même, Franquin ou Greg & Franquin...
Mais de toute façons, c'est le top. A lire, à relire et à garder sous son oreiller.
Excellent album que je ne connaissais pas. Histoire géniale, aucun temps mort, des gags à tout va et un Franquin visionnaire comme à son habitude qui, cette fois, invente le drone avant l'heure.
Que dire de cet album ? Une tentative de jouer avec la nostalgie de sexagénaires et plus avec un dessin de la fin des années quarante, de faire revivre des personnages de l'entourage de Lagaffe, de nous ressortir la zorglonde, la Murène, de bourrer le tout de références à notre monde contemporain (plus de pipe mais une cigarette électronique pour ce grand dadais de Fantasio, du végane, de la voiture électrique, etc). Un scénario bizarre ou il est possible d'entre dans une bulle d'illusion et d'y assommer des adversaires réels avec des livres fictifs.
Bouquet final avec le patron qui ne verse pas une larme sur la "mort" de Spirou, et annonce que Séccotine reprendra le rôle du fameux groom.
Bref, à se demander si le scénario n'a pas été écrit par un chatgpt en phase de test.
Plus qu'à trouver le Deus ex machina qui fera sortir Spirou des grands fonds...
Il est pas mal, ce tome…
Un petit côté à l’ancienne, mode Franquin…
Beaucoup d’imagination avec la cité sous-marine et les bulles de rêves virtuelles…
De l’humour, même si j’ai toujours trouvé Fantasio assez insupportable – au moins, on peut dire qu’ils ont réussi à le rendre tel que dans mes souvenirs…
Une histoire de grande ampleur, un drame final, Seccotine qui tombe bien et l’envie de lire la suite en espérant qu’elle sera à la hauteur !
Et ils tuerent le groom.....
L'annonce de la mort de Spirou dans les aventures de "Spirou et Fantasio" a été l'annonce majeur de l'année 2022 dans le monde de la BD.... peu rapportée dans les médias francais...à part RTL.
Spirou est né en 1938 (la même année qu un certain Superman) grace à Rob Vel.. le personnage eu son heure de gloire sous la plume de Franquin (l'inventeur du marsupilami ou encore gaston lagaffe).... puis Tome et Janry (qui inventèrent le petit spirou).
En ce numéro 56, l'éditeur Dupuis fait un sort très funeste à celui sans qui il ne serait pas... la mort.
L’histoire en elle même est bien faite, j ai adoré le découpage des dessins ... surtout à partir de la page 28 avec d un coté Spirou et Fantasio et de l'autre Spip... superbe idée... le scenario et le dessin ne sont pas à critiquer.... mais ... il tue le groom le plus célébrè de la bd.... le duo scénariste dessinateur arrive sur la série et tue le héro ... sic
Alors , effet d'annonce ? coup de pub ? on verra dans l'avenir.
Mais si l'on suit les annonces d'une série à venir sous le nom "Secotine et Fantasio"... cela sera sans moi. Y a qu à regarder les pages de fin ...
J'en ai marre de ces gens qui se disent modernes en tuant l'ancien et en remplaçant le hero par une heroine pour se dire moderne.
DC comics, Marvel Comics ont fait ce choix depuis des années, et le résultat est qu ils galèrent pour vendre leurs comics.
J'espere que c est juste un coup de pub .... car la série Secotine et Fantasio aura encore moins de lecteur que celle de Spirou et Fantasio... ce n'est pas les jeunes qui achetent mais les anciens.
MAIS (et c est le but de ce post) ce qui m'exaspere au plus haut point c'est aussi les articles de ces soit-disants journalistes qui recopient inlassablement le même avis sur le net.
Aucun de ces gens n'a lu Spirou avant, on plébiscite l'album car on tue Spirou et ... on introduit une heroine....
Et on rapporte que dans cet album Spirou est en phase avec la société... peut etre que ces dits-journalistes auraient pu lire les aventures anciennes du duo Spirou/Fantasio avant de raconter des niaiseries journalistes. Spirou a toujours été moderne dès les années 90 ...
Ce troisième album de Fournier est bien plus réussi que les deux précédents. Fournier trouve enfin son rythme, avec un récit qui a un bon tempo, et qui va croissant dans la fantaisie. Ce faisant, il trouve aussi "son" univers : plus fantasque, souvent absurde, parfois puéril.
Je suis d'accord avec ce que disent certaines critiques qui précèdent la mienne : on n'y retrouve plus le Spirou de Franquin, qui était plus déterminé, plus perspicace, et quelque part plus "intelligent", si le terme a du sens, que celui que commence à poser ici Fournier. Mais pourquoi pas : il faut juste y voir une nouvelle proposition, tant scénaristique que graphique, et on prend ou on laisse. Personnellement, cet album, dans son genre et son style, m'amuse et me paraît bien maîtrisé. Ce n'était pas le cas des deux précédents, et ce ne sera pas toujours le cas de ceux à suivre.
L'argument du 'Faiseur d'or' est intéressant, entre autres avec le lien établi avec Nicolas Flamel, un alchimiste qui a vraiment existé. Mais la manière dont le scénario est développé, avec un rythme mal maîtrisé et, surtout, un découpage parfois hasardeux, en fond une histoire plutôt décevante, qui ne "tient" pas comme tiennent celles de Franquin/Greg dans les albums précédents.
Scénario accrocheur, bonnes références, un dessin à la hauteur. J'ai aimé. On retrouve Spirou dans un centre de vacances sous-marin et... Je conseille de le lire.
Un premier album de reprise plutôt réussi pour les nouveaux dessinateur, scénaristes et coloristes de cette mythique série. Le scénario est bien dans le style de la série, c'est-à-dire assez extravagant, avec de l'action à foison et un certain humour finement dosé (content de voir que Fantasio se remet à faire des gaffes et des inventions foireuses !), et le dessin, bien que différent en styles de ceux des précédents dessinateurs, est lui aussi bien dans l'esprit de la série, simple, léger, très lisible et au final plutôt agréable, avec un petit côté rétro qui personnellement me convient bien (même si pour moi le meilleur dessinateur de la série reste à ce jour Janry).
Une bonne surprise au final, en attendant la suite (et la fin) de cette rocambolesque histoire dans le prochain album.
(PS : en réponse à "herve26" : SPIROU ET FANTASIO a toujours été une série contemporaine, et non une série figée dans le temps. Les albums dessinés dans les années 50 mettaient en scène nos héros dans des histoires se déroulant dans les années 50, ceux dessinés dans les années 60 se passaient dans les années 60, etc. Jusqu'aux albums actuels qui reflètent le monde des années 2020. Rien de choquant pour moi à ce niveau-là. Mais je comprends que l'on soit attaché aux épisodes des années 50-60 (surtout si l'on était enfant à cette époque-là et que c'est à ce moment-là qu'on a découvert la série, Franquin et nostalgie obligent !) et que l'on ait plus de mal avec les épisodes plus "modernes").
c'est bien, inventif, léger, amusant. le dernier Spirou remonte a 2016. Alors bon, merci! Mais ... il va faloir attendre un an pour avoir la fin de l'histoire.
Alors bon, un peu moins merci.
J'espère etre toujours vivant d'ici là!
Tout au long de l'album des ombres portées aberrantes, Spirou page 8, 6ème vignette, 1ère vignette page 11, le même Spirou, page 12, 1ère et deuxième vignette, un des deux pêcheurs, même page, 4ème vignette, le visage de Spirou, les ombres portées sur le visage de Spirou page 21, 4ème vignette et dernière vignette de la même page. Page 22 , les vignettes 5, 6 et 7 et j'arrête là, car c'est assez catastrophique comme cela. D'autre part le dessin de Schwartz est bâclé, inadmissible pour un dessinateur aussi talentueux. Le scénario abracadabrantesque est tout juste acceptable. Les couleurs sont magnifiques. Dommage....
Le côté marketing de Dupuis a bien fonctionné puisque j'ai cédé à la tentation d'acheter ce numéro 56 de Spirou, rien qu'en découvrant le titre de cet opus. Bien joué! En effet, j'avais abandonné la série depuis "Spirou à Tokyo", soit plus de 16 ans. J'avais été très déçu par la tournant pris par la série, ayant déjà été assez mitigé par les albums signés par Tome et Janry, nostalgique que je suis de Franquin, voire de Fournier ou des albums de Nic et Cauvin, qui finalement n'étaient pas si mal.
J'avoue que le nom de Schwartz était pour moi plutôt un gage de qualité, le considérant comme un héritier lointain de Chaland, qui avait lui aussi signé un Spirou , mais inachevé .
Avec cet opus, les auteurs nous offrent une suite un peu trop modernisée du"repère de la murène" et de "Spirou et les hommes bulles". J'ai été séduit par l'incipit mais vite décontenancé par le côté futuriste que je ne m'attendais pas à voir dans l'univers de "Spirou et Fantasio" :tablettes,turbotraction électrique,ordinateurs, bref je n'ai pas retrouvé les personnages de mon enfance. C'est peut-être mon côté vieux lecteur, mais je fini par croire que l'éditeur de Blake et Mortimer a eu entièrement raison de cantonner ses héros dans les années 50, pour ne pas perdre de leur superbe et de leur magie.
Le dessin de Schwartz est nullement mis en cause dans cet opus, au contraire, il contribue à un côté nostalgique, mais le scénario de m'a guère convaincu, malgré de belles trouvailles comme la similitude avec une page de "la vallée des bannis", un des meilleurs albums de la période Tome et Janry.
Bref, pour moi, il y a ici un côté résolument moderne qui nuit à la lecture que j'ai des "Spirou et Fantasio", sentiment que je n'avais pas ressenti avec "Spirou chez les Soviet", album que j'avais adoré.
J'achèterai tout de même la conclusion de cette histoire, rien que pour connaître la suite donnée aux aventures d'un des plus emblématiques personnages de la bd franco-belge.
Alors "la mort de Spirou", formidable coup de pub ou véritable tournant pour une série mythique, où Seccotine supplanterait notre célèbre groom?
Pour ma part, j'ai ma petite idée...
Résultat des courses dans le prochain album.
Avec cet album, Tome & Janry introduise un nouveau méchant original dans l'univers de Spirou: Cyanure ou la Marylin Monroe robotique hostile envers le genre humain.
Ce nouveau personnage tour à tour diabolique et manipulatrice est le gros point fort de cette nouvelle aventure. Pour le reste, les dialogues sont toujours aussi bien affûtés, l'humour bien dosé, le dessin au top.
Dommage que ce méchant n'est pas été réutilisé pour le reste de la série, il y avait un énorme potentiel avec Cyanure. Potentiel qui sera heureusement mieux exploité dans le dessin-animé produit dans les années 90.
Reprise de Spirou et Fantasio par deux jeunes auteurs au milieu des années 80, 'Virus' est un très bon démarrage pour Tome et Janry.
L'album ménage des moments d'humour à base de références, jeux de mots et autres gags que n'auraient par renié Franquin. L'histoire se tient et mélange aventure, dépaysement et thématiques plus modernes, ce qui sera une constante sur à peu près tous les autres albums de la série par ces auteurs.
Le scénario est pour moi le plus intéressant à souligner surtout si on le résume: nos héros partent en Antarctique trouver un vaccin remède face à un virus créé artificiellement en laboratoire comme arme par un puissant groupe pharmaceutique. Au regard de l'actualité d'il y a deux ans, la réalité a rejoint une fiction datant de 1984 !
Malheureusement, contrairement à la résolution du récit, Big Pharma et consorts n'ont pas (encore) été condamné, et le "vaccin miracle" censé tous nous sauver n'en est pas un…
Mon personnage préféré, étant le Marsupilami, Fait sa première apparition. Trés bon tome.
PS: A lire absolument
Une aventure distrayante de Spirou même s'il n'y a rien de transcendant. Les codes de la série sont respectés : bon équilibre entre l'action et l'humour, présence de gadgets fantaisistes en tout genre (les semelles PZO), petit délire science-fiction (la navette spatiale, la ceinture du grand froid), des méchants plus ridicules qu'effrayants ... Ca se lit bien. Seuls les dessins me chagrinent un peu. Il n'y a rien de catastrophique mais je ne suis pas trop fan du style (je préférais encore Fournier).
J'ai rarement lu une bande dessinée aussi nulle que celle-là ! ça n'a strictement plus rien à voir avec l'esprit de celles réalisées par Franquin
Dernier opus de la série Spirou et Fantasio, cette colère du marsupilami est un album réussi qui fournit (enfin !) une explication littéraire sur sa disparition de la série de la créature imaginée par Franquin. D'ailleurs tout l'univers de Franquin se retrouve dans cette aventure qui devrait ravir les fans de la série.
N'en déplaise aux grincheux qui ont perdu leur âme d'enfant, le tandem Vehlmann / Yoann livre un bon album et leur travail depuis leur reprise de la série avec l'album 51, redonne des belles couleurs au titre phare du journal de Spirou. Morvan et Munuera avaient trop dénaturé l'univers du Groom préféré des lecteurs de Bd en le transformant un peu trop en aventures de science fiction. Spirou n'est pas Navis même si j'apprécie Sillage de Morvan et Buchet.
J'aime beaucoup la plupart des hors-séries qui semblent désormais être la norme des aventures de Spirou mais j'attends la suite de la série, car Vehlmann et Yoan nous ont promis un cauchemar nazi qui se fait attendre !
Il y a des albums de la maturité. Celui là est l'album de la difficulté.
On sent, à sa lecture, que Franquin est en train de basculer. Son dessin se dégrade par moments, tirant vers ce qui fera son nouveau style façon "idées noires" et "Gaston" des années 70-80. Et si ce style sied à Gaston, il sied nettement moins à Spirou.
Pour autant, "QRN..." n'est pas "Panade à Champignac", et se laisse lire avec plaisir. Mais ce n'est pas le sommet de la carrière de Franquin, juste un honnète album, heureusement scénarisé par Greg.
C'est l'album de trop.
Avec l'histoire courte "Panade à Champignac", Franquin a sciemment détruit tout ce qu'il avait construit avant, et du dessin ou du scenario, je ne sais ce qui est le plus laid.
Il vaut mieux ne pas le lire, cet album constitué de 2 récits courts, même si le court récit "bravo les brothers" mérite la lecture, mais comme il est paru dans un album à part, autant vous épargner l'autre histoire, celle du titre, "panade à Champignac" qui est horrible à voir et à lire.
Bref, un album à fuir.
Cet album qui rassemble trois "versions" de cette petite histoire de Spirou et Fantasio est agrémenté pour sa dernière version d'excellents commentaires du couple Pissavy-Yvernault qui rendent cet album indispensable à mes yeux pour un amateur de l'époque Franquin de la série.
Le génie à l'état brut. Un plaisir total. Tout est savoureux.
Merci à Greg et à Franquin de nous avoir donné un tel livre.
L'apogée du duo Franquin/Greg pour moi. Du pur bonheur, à avoir absolument dans sa collection.
Dans mon top 10, sans hésiter !
Un album que je n'ai vraiment pas trouvé mémorable, mais qui se laisse lire malgré tout. Pas mal, sans plus. 2,5/5
Excellent tome, parmi mes préférés, même si je trouve que les dessins sont légèrement moins bons qu'avant.
Un de mes meilleurs souvenirs du début collège, j'ai eu beaucoup de plaisir à le relire récemment.
Parmi les meilleurs albums de la série et, en tout cas, dans mon top 10.
Un album qui ne m'a pas laissé grande impression mais que je n'ai pas trouvé déplaisant non plus.
A lire quand même au moins une fois, je pense. Je lui mets 3/5 mais j'aurais choisi 2,5/5 si la note avait été disponible dans les choix.
Idem que les précédents commentaires. Toutefois, n'étant pas grand fan du personnage du Marsupilami, je ne classe pas ce tome 12 dans mes 10 favoris.
Un très bon souvenir du début collège, malgré tout...
Ce tome 11 avait tellement de potentiel mais, pour moi, le résultat final est gâché par un scénario trop court qui m'a laissé sur ma faim !
Les dessins sont somptueux, quel dommage... La 2eme histoire est malgré tout bien délire.
Cela dit, il reste un des albums dont je garde un très bon souvenir pour l'avoir lu au début de mon époque collège.
L'histoire est certes moins originale que les précédentes mais reste malgré tout prenante et agréable à lire, car la qualité des dessins est toujours là...
Un bon album qui permet de changer du registre "aventure" typique du tandem.
Encore un superbe album, à avoir absolument dans sa collection ! Tout a été dit dans les précédents commentaires...
En 3e position dans mes favoris.