Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
Nous avons un récit sur la thématique de l'amitié mais également de la liberté et de l'espoir. Il est vrai que c'est une assez belle description de valeurs de solidarité propre à une époque révolue. C'est ce qu'on appellerait une fresque humaine.
Certains lecteurs pourront ressentir toutes les émotions qui en découlent avec le vent chaud de l'été du Sud-Ouest au bord de la Garonne. Cela fleure bon la ruralité des années 60. On côtoie des gens tout à fait ordinaires ce qui donne de la force à ce récit emprunt par une certaine authenticité qui fait parfois du bien etc...
Oui, j'aurais eu envie de vous dire que j'ai bien aimé cette BD qui rappelle la démarche déjà initié par l'auteur Jean-Louis Trip sur une série comme « Magasin Général » où il s'agit de décrire le quotidien des gens ordinaires. Oui mais non !
Je sais que cette série va plaire incontestablement auprès de beaucoup de monde car elle recèle de toutes les qualités requises. Simplement, je n'y ai pas trouvé mon compte pour des raisons qui tiennent au fait que j'ai sans doute besoin d'un autre type de BD d'ambiance et m'assurant un peu de divertissement.
A vrai dire, je me suis littéralement ennuyé lors de cette lecture et ce n'est jamais bon signe. Cela manque de relief pour moi même si on rappelle artificiellement le contexte d'une époque donnée sur l'histoire mondiale. J'ai vraiment eu du mal finir cette lecture, c'est dire !
Quoiqu'il en soit, ce n'est pas pour ça que je vous déconseillerai cette lecture bien au contraire ! Vous pouvez aisément y trouver votre bonheur.
Ce second opus est tout à fait dans la lignée du premier.
La vie avance pour Viviane et Monique, l'une parce qu'elle découvre la Capitale, la Fac, les débats et AG qui sont le prémisse de Mai 68 et puis aussi la sexualité et ses conséquences... L'autre parce qu'elle porte la vie en elle et se prépare à ces changements sans renier ses valeurs.
Le rugby qu'on nous vend dans le synopsis (pourquoi?) s'efface totalement au profit des grands débats de société.
A lire d'une traite!
Je ne suis sans doute pas impartial car cette histoire et surtout les dessins me rappellent tellement ma jeunesse et mes vacances d'été dans les Pyrénées de mon père mais... "Quel bonheur cette BD!!!"
Finalement le rugby et la rivalité entre ces deux villages seulement séparés par un pont ne sert que de trame à une histoire bien plus profonde. Celle du droit à choisir une autre voie que celle que nos origines sociales nous tracent, d'une jeunesse qui veut vivre et de l'émancipation des femmes.
Et puis quel dessin!!! Détaillé, précis, on s'y croirait, on sent l'odeur de la craie lorsque Homme nous dessine cette classe.
Juste magique!
J'apprécié la fraicheur des personnages et l'insouciance de cette époque. J'ai eu l'impression de voir un peu le film "diabolo menthe" et d'accord avec bd91130 pour le côté Don Camillo. Je recommande. Cordialement Phil 404
Ça commence tout doucement, gentillet, dans le folklore rugbystique avé l'accent, ça sent bon le village et le cassoulet. Et puis, par petites touches ("pas grec, apatride"), ça prend corps, ça s'épaissit. Et je me suis laissé prendre avec un plaisir grandissant au fil des pages.
Chronique, d'une époque, d'une société où le curé, l'instituteur et le petit patron sont encore des notables locaux, où les tout jeunes adultes pas encore majeurs sont encore un peu ados, où ces mêmes jeunes ont souvent le sentiment de ne plus vivre dans le même monde que leurs parents, où les filles et les femmes se demandent si il n'y aurait pas quelques petites choses à changer dans cet environnement si patriarcal, où les villages ressemblent parfois à Don Camillo et Peppone, les cathos face aux cocos, où les études font fonctionner l'ascenseur social et explosent parfois les familles. Les temps changent, certains s'en réjouissent, d'autres ne le savent pas encore.
Bon, allez, je vais faire un peu mon pointilleux, il faudrait éviter dans le prochain album d'avoir une histoire qui se passe quelque part près de Montauban et où les voitures sont immatriculées 83, ça la fiche mal.
Pas grave, je conseille quand même !
Dans deux villages au bord de la Garonne, le nerf de la guerre, c'est le rugby. Au rythme des entraînements et des matchs, le scénario nous dévoile la vie des habitants.
Nous suivons notamment Yvelines, cette campagnarde qui veut aller faire ses études à la ville.
J'ai beaucoup aimé cette histoire de village, cette ambiance particulière teintée de fin des années 60. Ca sent la jeunesse qui se rebelle, celle qui veut briser le carcan de cette société trop rigide.
Ce vent neuf est notamment porté par les personnages féminins. Dans cette BD, on sent le poids de la société sur les femmes.
L'esthétique est plutôt classique. Les décors fourmillent de détails. Les couleurs donnent vie à tout cela créant cette atmosphère campagnarde palpable.
Cette BD a su me séduire par son ambiance mais aussi par ses personnages féminins forts.