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Une histoire avec pour auteurs Charlier et Paape ne peut etre inintéressante!
Cependant, ici, ça sent quand même le travail de commande!
Marc Dacier, jeune homme sympathique, pour devenir reporter a "l'eclair" doit faire un tour du monde sans argent, en se debrouillant sur place. Evidemment, ça donne pas mal de latitude a Charlier! Dans ce premier tome, Marc part de bon coeur, et n'aura (pour les besoins de l'aventure) affaire qu'a des truants, pirates, assassins de tous ordres... La coupe est pleine... Le tout n'est pas tres exceptionnel ni original. Le trait statique de Paape n'apporte pas grand chose à l'affaire. ça vaut juste un "pas mal", seulement parce que c'est du Charlier...
Un excellent Marc Dacier. En sauvant un inconnu, Marc se trouve entraîné dans une histoire digne de Percy Fawcett, ce fameux explorateur britannique disparu dans la jungle amazonienne dans les années 20.
Ici Charlier y rajoute une histoire criminelle avec captation d'héritage, ce qui nous vaut d'avoir une fin très morale (surtout pour les enfants des années 60, date de la parution de cette aventure d'abord dans Spirou puis ensuite en album).
C'est très chouette et on passe réellement un bon moment. Une bonne cuvée !
Suite de l'album précédent alors ni la fin des "secrets de la mer de corail" ni le début de cet album ci ne laissaient présager que cela allait être le cas.
Une aventure de bonne tenue qui se laisse lire sans déplaisir. Ce n'est pas la meilleure pâte de Charlier mais c'est très correct.
Un point toutefois mérite d'être souligné : la grande différence de construction narrative entre les BD des années 60 et les contemporaines.
Les premières sont quand même assez datées même si cela leur confère un charme certain.
Retour à San Francisco pour Marc lequel est mis sur la piste d'un fabuleux trésor de la 2nde guerre mondiale de ... 100 millions de $ (l'equivalent de 700 M de $ en 2008 !).
Classique histoire de recherche d'élements d'un trésor puisque 3 américains se sont partagés une partie du secret (un peu comme dans "le secret de la licorne"). Le résultat final n'est quand même pas très exceptionnel.
Grossière erreur de ma part j'ai mis le commentaire de l'album n°3 (Au delà du Pacifique) sur le titre "A la poursuite du Soleil".
Du coup je vais parler de l'album n°2 ici.
Mille excuses donc.
Charlier tisse son histoire de tour du monde au fil de l'eau. Il n'est pas inconvenant de dire que les 2 premiers albums ne sont pas très réussis. Ils font penser aux premières aventures de Tintin où Hergé allait au gré de sa fantaisie.
Ici aussi et cela nuit indiscutablement à l'histoire où l'on passe des Indes au Japon en passant par Formose où Marc est à deux doigts de se faire fusiller comme espion.
Cette suite du premier album (encore que les deux albums peuvent se lire séparément) constitue la phase retour de Marc vers l'Europe.
Sauf que l'aventure qu'il va vivre se fait aux Etats-Unis où il est pris pour le gangster Bill Moratti, son parfait sosie (il faut dire que Paape y met du sien !).
S'ensuivent des aventures pas désagréables où Marc sait faire preuve de beaucoup d'astuce. A lire donc.
"Aventures autour du monde" ou comment Marc Dacier est devenu reporter. Nous sommes dans une version modernisée des "5 sous de Lavarède" (1894), le célèbre roman qui lança Paul d'Ivoi qui "rivalisait" avec Jules Verne en proposant des "voyages excentriques" quand l'auteur amiénois proposait des "voyages extraordinaires".
Pas grand chose à retenir de cet album qui a donc vieilli et reste assez peu crédible. Reste quand même un excellent témoignagne de ce qu'ingurgitaient les petits Français à la fin des années 50.
Suite et fin de la précédente aventure.
Non seulement Marc va trouver la solution quant à la présence de yétis, mais il va aussi trouver la cité perdue des Incas (et accessoirement leur trésor).
Mais croix de bois, croix de fer, il jurera sur l'honneur de ne rien révéler au monde.
... mais Charlier a tout cafté.
Agréable mais sur un tel thème on espérait un peu mieux.
Marc est envoyé au Pérou pour enquêter sur une expédition française qui s'est mal terminée sur les hauteurs andines. Le frère du chef de l'expédition disparu l'accompagne, l'objectif étant de vérifier si des yétis existent sur place, ce que des photos, malheureusement trop floues, laisseraient supposer.
Petite variation sur le thème du Temple du Soleil. Le sujet est sympa mais ce n'est pas le meilleur Charlier.
Publiée en 1962 dans Spirou, l'histoire a terriblement vieilli.
Cette fois ci Marc est en Sicile et il va lutter contre la Mafia. Bien évidemment, il réussira. C'est quand même très naïf, même en 1962.
Rappelons que Lucky Luciano négocia avec les autorités américaines sa libération de prison en leur donnant en échange un coup de main lorsque les forces alliées débarquèrent en Sicile durant la 2ème Guerre Mondiale.
Et que depuis cette organisation souterraine n'a fait que croître.
Alors les exploits de Marc Dacier là bas ...
Cette fois c'est au Soudan que Marc se rend avec celui qui va devenir son ami, le photographe Tricot.
L'histoire qui nous est proposée est en quelque sorte une dérivée aérienne de "Coke en Stock". Rien d'exceptionnel certes mais fort agréable quand même.
Un point me paraît intéressant de souligner. Pas question à l'époque de désigner nomémment un pays de l'Est comme ennemi, la censure y aurait mis bon ordre. En revanche, pas de problème pour citer le Soudan et faire clairement entendre que les noirs pris au piège sont envoyés en Ethiopie.
Dans un monde qui se veut politiquement correct, alors qu'il devrait plutôt se policer, une telle BD verrait-elle le jour désormais ?
Marc Dacier se retrouve à Hong Kong qui était encore à l'époque (parution en 1966 dans Spirou) sous domination britannique.
Nous avons droit à une superbe série d'aventures dans laquelle Marc enquête sur la disparition d'un avion, le vent d'est, qui a mystérieusement disparu des écrans radars. Il a certainement coulé en mer avec sa cargaison d'or.
Mais les Tongs, l'une des triades locales, tient aussi à mettre la main sur ce magot.
Certes la manière de raconter l'histoire est très typée années 60 mais cela en fait aussi tout le charme, le tout procurant un excellent moment.
Pour des raisons (d'ailleurs assez peu crédibles) Marc Dacier se retrouve dans une dictature de type communiste des Balkans avec un fort passé musulman (moult minarets). On pourrait penser à la Yougoslavie de l'époque laquelle n'était pas hérmétiquement close. Ce qui n'était pas le cas de l'Albanie, laquelle avait un régime qu'on qualifiera de particulièrement sévère.
C'est donc dans ce contexte que notre héros va tenter de s'échapper du pays. Le titre de l'album est largement mérité et cette traque exotique vaut largement le détour.
Trèes agréable et très astucieuse histoire d'aventures policières qui se sert du récent vol du fabuleux butin du train Glasgow-Londres pour remettre le couvert.
En fait notre ami Charlier, s'est très largement inspiré d'une nouvelle de Conan Doyle (sans Sherlock Holmes) dont le modus operandi, plus mystérieux encore que le fameux vol du Glasgow-Londres, fait tout le sel de cette magnifique histoire.