Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
On est dans le vrai polar avec ce corps retrouvé dans la baie de San Francisco en plein milieu des années 60 et de sa révolution hippie.
Pour une fois, le point de vue sera féminin avec une inspectrice qui mène l'enquête alors qu'elle doit affronter ses collègues masculins peu enclin à lui laisser sa chance dans ce commissariat. Elle doit également affronter ses démons du passé après la mort de son père également policier.
Son adversaire semble être sorti tout droit d'un film à la Dracula. Il anime en effet une sorte de secte sataniste. On pense évidemment à l'affaire de Charles Manson qui avait secoué la côte Ouest à la fin des années 60 et au début des années 70 avec la mort dramatique de l'actrice Sharon Tate, épouse du réalisateur Roman Polanski.
J'ai bien aimé par contre le dessin de Lucas Varella qui fait dans la ligne claire mais avec une très belle patte qui fait dans l'efficacité et surtout la lisibilité.
J'avoue avoir bien aimé cette première partie malgré un scénario qui reste assez classique dans son ensemble. Ce qui compte, c'est la satisfaction après lecture. On ne sombrera pas dans la parano américaine. Quoique...
Même si c’est un peu à contrecœur, je dois l’admettre, la seconde partie de ce diptyque est une déception. La fin du premier volet m’avait pourtant laissé dans de bonnes dispositions, mais celles-ci se sont quelque peu effilochées à la lecture.
Tout d’abord, on ne reviendra pas sur la qualité du dessin, et c’est assurément le point fort d’« American Parano ». L’atmosphère du San Francisco des sixties est toujours aussi plaisante, et on continue à prendre plaisir à admirer le trait moderne et stylisé de Lucas Varela, agrémenté d’une bichromie à dominante rouge terracotta et bleu horizon. Alors forcément, on se demande pourquoi ça n’a pas aussi bien fonctionné qu’avec « Le Labo », la précédente collaboration des auteurs, réjouissante comédie vintage sur la genèse des ordinateurs individuels.
Car en effet, l’ouvrage pêche davantage par son scénario. Celui-ci s’essouffle assez vite, à l’image de l’enquête de Kimberly Tyler qui piétine… L’intrigue a tendance à partir un peu dans tous les sens, avec moult détails qui, s’ils tentent probablement de restituer une certaine réalité de l’époque, ne paraissent a première vue ni vraiment indispensables ni significatifs. Au fil des pages, les personnages ont l’air de se comporter de manière automatique, y compris Kimberly qui apparaît de moins en moins concernée par son affaire et qui pourtant s’était montrée potentiellement attachante dans le premier épisode, du fait de sa personnalité bien campée. Alors certes, cette froideur peut être en partie due à la ligne claire, qui, si séduisante soit-elle, demeure un peu lisse.
On évitera d’enfoncer le clou avec ce dénouement qui sombre assez platement dans le grand-guignol, et cette révélation finale, un brin incongrue, sur le passé du père de la jeune enquêtrice, qui, on l’imagine, aurait dû nous arracher une larme. L’impression qui domine est que Bourhis semble avoir lâché en cours de route son axe narratif. Malgré un certain potentiel, il survole le sujet et retombe assez vite dans le clichetonneux et le superficiel. Mes attentes concernant ce deuxième chapitre était-elle trop forte pour ma part ? Par tous les diables, c’est loin d’être impossible !
Fin de l'histoire commencée dans le volume précédent. Un album plaisant à lire, notamment grâce au dessin qui possède une vraie originalité, dans un style "pop art" appréciable, bien adapté à l'ambiance des sixties dans laquelle baigne cette aventure. Le scénario, en revanche, est beaucoup plus convenu et ne révolutionnera pas le genre. Sympa à lire, cependant.
Quel dessin ! J’ai adoré ! L’ambiance 60ies édulcorée et pop, avec un soupçon d’art déco, vraiment magnifique ! Les traits des personnages sont supers, ils ont un petit air qui me rappelle les vieux scoubidou. C’est sûrement les lunettes de Kim qui donnent cette impression.
L’histoire du premier tome est très prenante ; le scénariste brouille les pistes, pour notre plus grand plaisir. L’histoire du baron Yeval et de son manoir est vraiment bien calée dans l’intrigue. Le tome 2 est quant à lui beaucoup plus linéaire. Dommage. On va directement à la fin de l’histoire en espérant un petit sursaut scénaristique de dernière minute, mais non.
C’est une excellente BD, j’espère qu’il y aura d’autres albums, car j’ai très envie de revoir ses personnages.
Bon album dans l'ensemble. J'ai cependant été quelque peu décontenancé par le décalage entre le ton de l'histoire et le dessin : le scénario est plutôt sérieux mais le trait fantaisiste et peu réaliste ne cadre pas vraiment avec cette ambiance polar. Lecture très plaisante toutefois et fortement recommandable.