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(3/10: très insuffisant)
"Vénus à la fourrure" est un roman érotique du 19ième siècle. Son auteur l'austro-hongrois Sacher-Masoch, est souvent présenté par la presse, avec beaucoup de simplisme, comme l'inventeur du masochisme (plaisir dans la douleur).
Pour réaliser son adaptation de la "Venus", Guido Crépax a suivi un parti-pri plutôt périlleux.
En effet, le dessinateur italien a choisi de déconstruire complétement le récit, pour ne conserver que les scènes érotiques et sado-maso. Très peu de narration, aucun récitatif. Seul le dernier chapitre, où on en apprend plus sur le contrat moral qui lit Séverin à sa femme, vient quelque peu éclairer le lecteur.
Le résultat est un album découpé en une dizaine de chapitres, comptant rarement plus de 6 planches. Les grandes cases, au dessin griffé à la plume, ne laissent pas beaucoup de place à la volupté. On y voit des personnages aux traits tirés, un escogriffe dépressif et sa maitresse à la beauté maladive.
Difficile d'imaginer ce qu’espérait Crépax nous inspirer en présentant cette adaptation. On préférera "Emmanuelle", ou un autre de ses albums, dans lesquel le dessinateur semble avoir pris plus de plaisir (à créer).